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Rennes-le-Château - Chroniques et Actualités de la Haute Vallée de l'Aude et sur les Trésors du Monde

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Message par Her Ven 16 Sep - 13:00

http://www.lindependant.fr/2011/09/16/le-mystere-du-missel-de-l-abbe-sauniere,62248.php

Le vendredi 16 septembre 2011 à 06h00 par Laurent Costes | Mis à jour à 10h34 Réagir
Rennes-le-ChâteauLe mystère du missel de l'abbé Saunière

Près de deux heures de débats acharnés. © Archives C. Boyer
Le sort du missel de l'abbé Saunière a entretenu près de deux heures de débat acharné, hier après-midi, au tribunal de police de Carcassonne. Alexandre Painco, maire de Rennes-le-Château, depuis 2008, était cité devant cette juridiction pour diffamation non publique par Jean Ribes, petit-neveu du célèbre ecclésiastique.

Ce dernier reproche au premier magistrat d'avoir mentionné dans une lettre adressée à tous les héritiers de Bérenger Saunière qu'il avait "récupéré" le bréviaire du défunt lors de l'exhumation de son corps en 2004. Un acte qu'a réfuté le petit-neveu. Il s'est défendu lors de l'audience d'avoir déposé ce précieux ouvrage dans le nouveau tombeau de l'abbé.

"Si le maire avait écrit dans la foulée une lettre d'excuse, nous n'en serions pas là", a déploré Me Jean-Louis Ciréra. Le malaise entre les deux parties est bien plus profond que ce simple verbe utilisé visiblement à tort. Plus que le seul acte de récupération ou non du missel, défense et parties civiles se sont opposées sur les conditions de l'exhumation. Tout à fait "légale", selon l'avocat du plaignant, citant comme témoin à la barre Jean-François Lhuilet, maire de Rennes-le-Château lors de cette opération... et battu en 2008 par la liste du prévenu.

"Magouilles"

Empreintes de "magouilles", selon Me Jean-Marie Bourland, pour la défense. Ce dernier a avancé que sept héritiers de l'abbé n'avaient pas été consultés pour le transfert du corps, seulement accepté par Jean Ribes et sa soeur, alors que la loi impose un consentement à l'unanimité. C'est le nouveau maire qui a découvert cette faille procédurale lorsqu'en 2008, la commune a voulu reprendre l'ancienne concession perpétuelle de l'abbé Saunière, désaffectée. Il devait recueillir l'accord de tous les ayants droit. Sollicité, un généalogiste notaire a trouvé, non pas deux, comme l'ancien maire, mais neuf héritiers...

Dans sa missive, Alexandre Painco s'est ému des conditions de l'exhumation. Et, sur la mauvaise interprétation des constatations de l'huissier de justice présent lors de l'ouverture du tombeau, il a laissé entendre que Jean Ribes aurait récupéré le précieux document. Son défenseur a plaidé l'excuse de bonne foi, voyant dans cette citation une "manoeuvre de l'ancien maire qui n'a pas digéré sa défaite". Bonne foi qu'a contestée Me Cirera en demandant l'euro symbolique de dommages et intérêt.

Le parquet s'en est remis à la sagesse de la présidente. La décision sera rendue le 17 novembre prochain.
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Message par Her Ven 16 Sep - 13:01

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/16/1168176-jean-ribes-une-affaire-d-honneur.html

Limoux et sa région
« Aude - Littoral
PUBLIÉ LE 16/09/2011 09:38 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Limoux. Jean Ribes: une affaire d'honneur
le secret

Limoux. Jean Ribes: une affaire d'honneur

Il y a des secrets qui sont lourds à porter. Celui de la parenté de Jean Ribes avec le très médiatique abbé Béranger Saunière, serait sans aucun doute resté dans l'ombre, si les circonstances de sa présence au tribunal n'avaient été aussi vitales à ses yeux pour rétablir la vérité. Accusé d'avoir subtilisé le bréviaire du prélat lors du transfert des restes, du cimetière à la nouvelle nécropole mise à disposition par la mairie présidée alors par Jean-François Lhuillet sur le domaine dit de l'abbé, lui était insupportable. Voler un mort dont la main droite du squelette serrait encore le manuel de prières sur sa poitrine. Son grand-oncle, dont il veillait à sa manière, discrètement, sur la mémoire, face au déchaînement d'ouvrages en mal de sensationnel aux relents de poubelle ; face aux exactions des profanateurs de tombes, des servants d'ordres occultes, abandonnant sur leur passage dans le cimetière comme dans l'église, les signes évidents de leur égarement. Jean Ribes, à l'image de sa famille, a vécu longtemps dans le silence cette lourde peine. Par pudeur, par solidarité aussi avec une éthique qui lui interdisait de collaborer, indirectement avec les faiseurs de légendes et les chercheurs de trésors ; en quête d'une notoriété qu'il a toujours fui, et qui ne lui était accessible qu'à carnaval à Limoux, le visage masqué. Pour l'honneur d'un homme, d'un gentilhomme même, estimé de tous et aimé par beaucoup à Limoux et ailleurs, les feux de l'actualité ont dissipé l'ombre autour d'une descendance qui n'est désormais plus un mystère. Jean Ribes, le discret, s'en serait bien passé.
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Message par Her Ven 16 Sep - 13:02

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/16/1168293-breviaire-l-heritage-encombrant-de-l-abbe-sauniere.html

Limoux et sa région
« Aude - Littoral
PUBLIÉ LE 16/09/2011 08:21 | F.P.
Limoux. Bréviaire : l'héritage encombrant de l'abbé Saunière
tribunal

La tombe construite en dehors du cimetière où repose la dépouille de l'abbé et son missel.Photo DDM D.D.

le tranfert contesté des restes du célèbre abbé.

Le maire de Rennes le Château, Alexandre Painco accusé de diffamation par le petit-neveu de l'abbé Saunière. En toile de fond

Un missel et pas n'importe quel missel, celui de l'abbé Saunière était au centre des plaidoiries, hier au tribunal de police de Carcassonne. Alexandre Painco le maire actuel de Rennes le Château était assigné en diffamation par l'un des héritiers de l'abbé Saunière, Jean Ribes, bien connu des Limouxins et qui n'est autre que le petit-neveu de l'abbé. L 'histoire débute quand Alexandre Painco fraîchement élu en 2008 souhaite que la commune reprenne la concession du célèbre curé dans le cimetière et fait parvenir sa demande par courrier aux héritiers dont Jean Rives le plaignant et sa famille. En concluant, le maire affirme que celui-ci lors du transfert de la dépouille aurait récupéré le bréviaire du célèbre Bérenger Saunière. L'avocat Jean Louis Cirera pour le plaignant dans une longue plaidoirie a retracé les faits point par point. Un transfert qui s'est passé le 14 septembre 2004 à 7 heures matin en présence d'une quinzaine de personnes, le sous-préfet de l'époque, le capitaine de gendarmerie, le maire Jean François Lhuillet, son premier adjoint, un huissier, un moment qu'il décrit solennel où la célèbre dépouille est amenée du cimetière régulièrement vandalisé et objet de messes noires dans un mausolée communal sécurisé, les restes du célèbre abbé, relativement bien conservé sont exhumés. Sur sa poitrine le fameux missel. Missel qui selon maître Cirera aurait été replacé devant témoins avec les ossements dans sa nouvelle destination. Si les témoins officiels ne manquent pas pour corroborer la bonne foi de Jean Ribes le plaignant. L'avocat de la défense Jean Marie Bourland dans de grands effets de manches, rétorque : « Machination orchestrée, c'était magouille et compagnie, ils ont tous étaient trompés ». En s'appuyant sur le fait que tous les héritiers (9 au total) n'étaient pas présents ce jour là, mais sans donner la preuve de leur existence. Voulant démontrer là l'illégalité du transfert et prouver ainsi que son client Alexandre Painco : « Qui n'a pas fait d'étude, simple cantonnier de son état, qui n'est pas le roi de la syntaxe, maire de première classe et pas de deuxième », aurait vu un complot, appuyé par les dires d'une personne présente ce jour-là, « le petit-neveu aurait gardé le missel » il l'a cru et plaide la bonne foi. Une question reste toutefois essentielle posée par la présidente du tribunal hier en tout début de séance : « Pourquoi monsieur Painco l'avoir écrit dans votre lettre ? » Question qui est restée sans réponse. Le délibéré sera rendu le 17 novembre.
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Message par Her Sam 17 Sep - 10:05

http://www.leprogres.fr/rhone/2011/09/16/l-enigme-des-64-kg-de-pieces-jaunes-jetees-dans-le-rhone

Rhône. L’énigme des 64 kg de pièces jaunes jetées dans le Rhône
Vu 18677 fois | Publié le 16/09/2011 à 00:00

Solaize-Vernaison. Le stock, dans des sacs en toile, a été trouvé par hasard par des plongeurs. Deux Kalashnikov étaient à proximité. L’enquête de la police judiciaire remonte le temps

C’est une énigme visqueuse, indéchiffrable, plongée dans le Rhône, à l’aplomb d’un pont suspendu au métal écaillé. Mardi, des plongeurs de la gendarmerie, en séance d’entraînement, sont tombés sur quatre sacs en toile, au hasard de leurs progressions sous l’eau. La découverte a eu lieu sous le pont qui enjambe le fleuve, entre Solaize et Vernaison, au sud de l’agglomération lyonnaise. Sur la toile usée, les plongeurs ont distingué un nom : « Valiance ». De quoi comprendre immédiatement que ces sacs provenaient de la société de transport de fonds éponyme.

Effectivement, un stock imposant de pièces restait confiné à l’intérieur des sacs. Des pièces de centimes d’euros, un, deux, cinq, dix ou vingt. En tout, 64 kg de pièces jaunes et cuivrées, abîmées par la corrosion. L’état dégradé des pièces a empêché l’utilisation d’une machine automatique pour en faire une comptabilité exacte. « Pièce par pièce, on y serait encore, on verra plus tard », glisse un enquêteur. On ne sait donc pas le montant de cette réserve abandonnée. Comme on ignore sa provenance. Cambriolage, hold-up, détournement ? Seul indice : le conditionnement des pièces, dans des kits destinés à des commerçants, ferait penser que le stock daterait de l'année 2001, au moment du passage des francs aux euros. Aucun casse de cette importance n’a été retrouvé dans les archives. L’enquête, confiée à la brigade criminelle et de répression du banditisme (BCRB) de la police judiciaire de Lyon, butte donc sur un mystère total. Des mains anonymes se sont débarrassées de ces sacs lestés de centimes pour une raison complètement inconnue.

Le lieu, en revanche, n’est pas totalement incongru. « Ce pont est fréquenté depuis des lustres par des malfaiteurs en retour d’opérations », précise un commissaire de la police judiciaire à la mémoire longue. Dans les milieux enquêteurs, on l’appelle parfois « le pont maudit ». Là où on peut se débarrasser d’objets compromettants, à l’écart de l’autoroute A7 et des regards indiscrets.

Confirmation : le lendemain de la découverte des pièces, la police judiciaire a sollicité des plongeurs pour explorer un peu plus largement les lieux. Ils sont tombés sur deux fusils mitrailleurs Kalashnikov et trois chargeurs bien garnis. Les armes rouillées reposaient depuis longtemps au fond du Rhône. L’expertise balistique s’annonce difficile. Impossible, à ce stade, de dire s’il existe un lien entre ces fusils et les quatre sacs au lourd butin. La clé de l’énigme n’est pas prête de remonter à la surface.

Richard Schittly
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Message par Her Mer 21 Sep - 11:04

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Arras/actualite/Secteur_Arras/2011/09/21/article_21-septembre-1922-un-ouvrier-belge-pioch.shtml

ACTUALITÉ ARRAS

21 septembre 1922 : un ouvrier belge pioche dans le « Trésor de Beaurains »
mercredi 21.09.2011, 05:03 - La Voix du Nord

De l'or gravé pour celui qui avait permis le retour de Londres dans le giron de l'empereur romain.

1922. La briqueterie Durand à Beaurains, chemin d'Achicourt, vient de commencer à produire de quoi reconstruire Arras et ses alentours, lourdement bombardés pendant la Première Guerre mondiale. En exploitant l'argile, un ouvrier donne un coup de pioche dans un vase recélant un trésor en or et argent. Le magot connaîtra une existence mouvementée. Aujourd'hui, il est retourné dormir dans un coffre-fort... PAR DANIELLE BÉCU

arras@lavoixdunord.fr

Ce n'est pas un hasard si des ouvriers belges, polonais et autres, ont été appelés à prêter main forte à la reconstruction d'Arras. On manquait de bras. Cinquante pour cent du patrimoine bâti, dont le musée de l'abbaye Saint-Vaast (incendie de 1915), ont été endommagés par la guerre.

L'entreprise Durand-Hilaire fait venir un grand nombre d'ouvriers belges pour alimenter ses fours à briques. Ils puisent la matière première dans une très belle épaisseur d'argile sise en campagne, du côté de ce que l'on appelle aujourd'hui la cité du Petit Bapaume, à la frontière de trois communes : Arras, Achicourt et Beaurains.

Imprudence

Le jeudi 21 septembre 1922 après-midi, Pieter Joseph Armand Saveyn donne un coup de pioche dans une vase de terre cuite enserré dans l'argile, à 1,30 m de profondeur. Trois « cousins » belges assistent à la trouvaille, bientôt rejoints par le contremaître. Le vase en contient un second, en argent. Au total, le trésor mis au jour se compose d'une quarantaine de médailles en or, de monnaies d'or et d'argent, de camées, bijoux, pièces d'argenterie... Fin IIIe, début du IVe siècle. Les médailles les plus importantes ont été frappées en 297 après J.- C., attestent les deux numismates de renom qui ont écrit en 1977 le seul ouvrage de référence (*) de cette affaire, qui se poursuivit en procès rocambolesque.

Personne n'a jamais su qui avait enterré ce trésor dans un coin somme toute à l'abri des regards.

Le contremaître fut bien niais. Au lieu de mettre le trésor à l'abri la première nuit, il l'enferma dans une cabane du chantier, sans gardien. Le lendemain, une bonne partie du trésor, surtout les médailles, s'était fait la malle. Les belges ouvriers n'avaient pas résisté à la tentation !

À qui le trésor ?

La loi disait que l'inventeur du trésor (la personne qui le met au jour) devenait propriétaire de la moitié d'icelui. L'autre moitié appartient au propriétaire du terrain, Mlle Jeanne Wartel. L'enquête se corsa pour départager l'identité du ou des voleur(s). Une plainte fut déposée, mais tomba à l'eau car l'aumônier des ouvriers belges à Arras persuada les quatre indélicats de restituer leur larcin. Ce qu'ils firent... en partie. L'ensemble fut placé sous séquestre, avec le reste du trésor, chez un avoué, Me Le Gentil, qui le conserva pendant cinq ans. Plusieurs belles pièces furent donc vendues en Belgique, et essaimèrent. Entretemps, le classement du trésor est ardemment souhaité par les Monuments historiques du Pas-de-Calais. Et pourquoi n'est-ce pas Beaurains qui négocia la restitution ? Par décision de l'État de reconstituer en priorité les collections du musée des Beaux-Arts de la capitale de l'Artois.

La ville d'Arras décida de payer 35 000 francs à Pieter Saveyn pour acquérir son droit d'inventeur. En 1923, en attente de la subvention d'État de deux millions censée reconstituer les collections du musée brûlées en 1915, elle puisa dans les liquidités que la ville de Marseille avait mises à sa disposition pour sa reconstruction immobilière. Quant à l'information ouverte par le parquet d'Arras contre un des ouvriers, elle fut close par un non-lieu tenant compte de la restitution.

L'acte de partage du trésor fut signé en avril 1927. L'année suivante, le trésor était mis dans un coffre de la Banque de France à Arras. Il y sommeilla jusqu'en 1986, date à laquelle Annick Notter, conservateur du musée, et Alain Jacques, qui venait de fêter les dix ans de la naissance du service archéologique municipal, obtiennent de monter une exposition rétrospective des vestiges localement exhumés, dont le trésor. •

(*) Pierre Bastien et Catherine Metzger, auteurs en 1977 du « Trésor de Beaurains », Mémoires de la commission départementale des Monuments historiques du Pas-de-Calais, tome XVII. Épuisé.
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Message par Her Jeu 22 Sep - 10:03

http://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/15021019

19 mai 2007 16:15; Act: 19.05.2007 16:32 Print

Un trésor de 500 millions de dollars retrouvé
Miami - Des spécialistes américains ont annoncé vendredi la découverte au fond de l'Atlantique du plus grand trésor en pièces d'or et d'argent jamais retrouvé dans une épave.

L'ensemble de la précieuce monnaie pèse plus de 17 tonnes.

(photo: Reuters)
Plus de 500 000 pièces d'argent, des centaines de pièces d'or et de l'or travaillé ont été retrouvés par la société Odyssey Marine Exploration dans une épave de la période «coloniale», remontant au moins au XVIIIe siècle, sur un site non précisé au-delà des eaux territoriales de tout pays.

«On estime que cette découverte représente la plus grande collection de pièces jamais récupérée dans une épave», a annoncé l'organisation basée à Tampa, en Floride. «Le très bon état de la plupart des premières 6000 pièces d'argent retrouvées a été une bonne surprise, et les pièces d'or sont presque toutes dans un état éblouissant», a précisé Greg Stemm, co-fondateur d'Odyssey.

Plusieurs épaves dans la même zone

«La grande variété de dates et d'origines des pièces est passionnante, et nous pensons que la communauté des collectionneurs va être enchantée par la qualité et la diversité de cette collection», a-t-il ajouté. Odyssey a baptisé provisoirement l'épave «Cygne noir», avant d'éventuellement pouvoir l'identifier.

«D'après nos recherches, il devrait y avoir plusieurs épaves de l'époque coloniale dans la même zone, ce qui fait que nous sommes très prudents sur l'identification» du navire abritant le trésor, a déclaré le PDG d'Odyssey John Morris. «Nous sommes en train de prendre des relevés très complets de ce site, qui d'après nous va se révéler d'une immense signification historique».

La société Odyssey a déjà à son actif la découverte de l'épave du navire SS Republic, coulé au large des côtes américaines en 1865, qui recelait quelque 65 000 objets, y compris quelque 50 000 pièces d'une valeur de plus de 75 million dollars.

Odyssey participe également aux recherches pour retrouver le HMS Sussex, un navire de guerre ayant sombré en 1694 en Méditerranée, au large de Gibraltar.

////////////////////////////////////////////////////////////////

http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/Le-fabuleux-tresor-revient-a-l-Espagne-19433992

A QUI APPARTIENT LE TRÉSOR?22 septembre 2011 07:21; Act: 22.09.2011 08:19 Print

Le fabuleux trésor revient à l'Espagne
Un tribunal américain a donné raison à l'Espagne qui revendique la propriété d'un trésor colossal à Odyssey, une société de récupération d'épaves.

En mai 2007, des spécialistes américains ont annoncé la découverte au fond de l'Atlantique du plus grand trésor en pièces d'or et d'argent jamais retrouvé dans une épave.
En mai 2007, des spécialistes américains ont annoncé la découverte au fond de l'Atlantique du plus grand trésor en pièces d'or et d'argent jamais retrouvé dans une épave.Plus de 500 000 pièces d'argent, des centaines de pièces d'or et de l'or travaillé ont été retrouvés par la société Odyssey Marine Exploration dans une épave de la période «coloniale», remontant au moins au XVIIIe siècle.L'ensemble de la précieuce monnaie pèse plus de 17 tonnes. «Le très bon état de la plupart des premières 6000 pièces d'argent retrouvées a été une bonne surprise, et les pièces d'or sont presque toutes dans un état éblouissant», a précisé Greg Stemm, co-fondateur d'Odyssey.

Sur ce sujet
: Un trésor de 500 millions de dollars retrouvé
: Enquête sur la découverte d'un énorme trésor dans l'Atlantique
Un tribunal américain a donné raison mercredi à l'Espagne dans l'affaire à rebondissements qui l'oppose à la société américaine Odyssey, spécialisée dans la récupération d'épaves, à laquelle elle dispute la propriété d'un fabuleux trésor sous-marin.

Le navire «Nuestra Señora de las Mercedes», coulé en 1804 au sud du Portugal et retrouvé en mai 2007 par Odyssey, contenait le plus important trésor sous-marin jamais découvert: plus de 500'000 pièces d'argent et des centaines d'objets en or.

Le tribunal d'Atlanta qui a rendu sa décision mercredi a confirmé une précédente décision de justice et estimé que la découverte d'Odyssey était l'épave d'un navire de guerre espagnol «sous souveraineté» espagnole.

Odyssey, qui affirmait avoir trouvé l'épave dans les eaux internationales, avait rapporté en Floride le butin sans prévenir les autorités espagnoles et en tenant secret l'emplacement exact de l'épave.

«La décision est claire et précise et totalement cohérente avec les principes que nous défendons depuis le début de l'affaire», a réagi dans un communiqué l'ambassade d'Espagne aux Etats-Unis.

«Le jugement comprend l'obligation pour la société américaine de rendre à l'Espagne, en accord avec le droit international, les objets trouvés dans l'épave», ajoute le texte.

Déception

Odyssey a de son côté fait part de son souhait de faire appel. «Nous sommes très déçus par cette décision», a réagi dans un communiqué Melinda MacConnel, vice-présidente d'Odyssey.

Madrid avait dès le départ soupçonné Odyssey d'avoir trouvé le trésor dans ses eaux territoriales. Après une longue bataille juridique, un tribunal fédéral américain avait confirmé en décembre 2009 qu'Odyssey devait rendre à l'Espagne le fabuleux trésor, tout en faisant valoir que ses compétences n'étaient pas suffisantes dans cette affaire.

Odyssey avait fait appel de la décision. Dans son recours déposé devant la justice, la société avait affirmé que, même s'il s'agissait d'un navire de guerre, il effectuait une mission commerciale lorsqu'il a coulé en 1804, un fait qui, selon Odyssey, «rendait légalement nulle la revendication espagnole».
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Message par Her Jeu 22 Sep - 10:08

http://www.lemonde.fr/voyage/article/2011/09/21/dans-les-corbieres-le-pech-de-bugarach-sommet-de-l-etrange_1571246_3546.html

Dans les Corbières, le Pech de Bugarach, sommet de l’étrange
| 21.09.11 | 16h59 • Mis à jour le 21.09.11 | 17h14

Le Pech de Bugarach culmine à 1231 m.David RICHARD

Quand la tramontane dissipe le brouillard au dessus des Corbières, émerge, majestueux et secret, le Pech de Bugarach. Sa proue minérale pose une première énigme : pourquoi parle-t-on de la "montagne inversée" ? Et même lorsque le soleil nimbe entièrement ses flancs de calcaire, une auréole de mystère plane encore dans le ciel bleu de l'Aude.

Le "Bug", comme les locaux le nomment, n'a pas fini d'attirer l'attention. On l'appelle "la montagne sacrée". On dit qu'émane de lui une énergie singulière, puissante et unifiante. Il serait l'un des "chakras" de la " terre mère ", dont le "taux vibratoire" s'élèverait chaque année davantage. On dit aussi qu'il abriterait une base souterraine pour des ovnis. Des humains s'improvisant "médiums" affirment être entrés en contact avec les extraterrestres qui l'ont investi (pas nous, dommage). Certains prétendent enfin qu'il serait l'un des rares lieux terrestres où des hommes survivraient à la fin du monde, celle prédite par le calendrier maya, qui se termine le 21 décembre 2012.

Bref, il suffit de taper "Bugarach" sur un moteur de recherche pour découvrir l'intense activité ésotérique suscitée par le plus haut sommet des Corbières. Culminant à 1 231 m, le Bug cristalise ainsi tous les fantasmes. Déjà, au solstice de printemps, le 21 mars, des randonneurs intrigués nous demandaient sur leur passage : "Avez-vous remarqué quelque chose d'étrange ?". Le solstice d'été attire lui aussi son lot de curieux et de faune new age. "Marches en conscience", "randonnées initiatiques", les initiatives fleurissent… pour ceux qui en ont les moyens.

L'attrait du Pic va grandissant, au grand dam du maire de Bugarach et de nombreux habitants, qui craignent de ne pouvoir maîtriser l'afflux de visiteurs en décembre 2012. Rommie, charmante propriétaire des chambres d'hôtes du Presbytère avec son mari Sander, ne veut froisser personne. "La majorité des clients vient pour la nature, pour les châteaux cathares. De temps en temps, quelques-uns viennent pour l'énergie, pour le Bugarach. Moi, j'aime aller en haut pour la jolie vue. Mais au sujet de l'énergie, je ne sais pas".

Pour la première énigme, la réponse est simple : de par la tectonique des plaques, des strates calcaires datant de plus de 135 millions d'années se sont posées au-dessus de formations âgées de 15 millions d'années, inversant ainsi l'ordre des couches géologiques. Pour le reste, on suppose que la position géographique du pic a catalysé les courants mystiques déjà à l'œuvre dans la région.

Qui en effet n'a pas rêvé au trésor de l'abbé Saunière, ce curé mystérieusement enrichi après avoir entrepris des travaux dans son église de Rennes-le-Château, à quelques kilomètres de-là ? (à visiter absolument !) Qui n'a pas laissé vagabonder son imagination suivre la quête des derniers cathares, ces parfaits et parfaites réfugiés sur les sommets ventés des Corbières ? (arpenter ces châteaux en ruines par grand vent est une expérience unique !)

Au sommet du pic.DAVID RICHARD
Nul besoin pourtant de guide ésotérique pour accéder au sommet du pic, qui vaut le coup d'œil, même pour les plus pragmatiques. Une carte ou un coup de fil à la Maison de la Nature suffiront. Le parcours le plus emprunté part du col du Linas, à 6 km de Bugarach. En moins de deux heures, vous voici en haut, contemplant le massif des Pyrénées et la mer Méditerranée. La voie dite "de la fenêtre" se faufile près d'un trou dans la paroi rocheuse. Plus aérienne, accessible à de bons randonneurs, elle prend deux heures à partir de la cascade des Mathieux. Les épris de marche effectueront la boucle entière à partir du village. Compter entre six et sept heures, pauses comprises. L'occasion d'une belle balade entre ciel et terre.

Carole Rap
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Message par Her Ven 23 Sep - 9:52

http://www.europe1.fr/International/Un-chomeur-bulgare-decouvre-un-tresor-731921/

Un chômeur bulgare découvre un trésor

Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 22 septembre 2011 à 16h47
Mis à jour le 22 septembre 2011 à 16h47

Un trésor remontant au 2e millénaire avant notre ère a été découvert par un chômeur sous un arbre à Svichtov (nord de Bulgarie), a annoncé jeudi le musée archéologique régional. Deux haches en bronze, sept bijoux en or et six pièces en or qui servaient de parures de vêtement constituent ce trésor, datant de l'âge du bronze et d'une valeur estimée à 1,5 million d'euros.

Un chômeur de 42 ans, qui cherchait des métaux à revendre, a découvert le trésor début septembre, sous les racines d'un arbre séculaire. Après avoir dans un premier temps caché sa découverte, l'homme s'est ensuite vu contraint de remettre le trésor au musée de la ville après avoir été interrogé par la police. Selon la législation, les objets appartenant au patrimoine doivent être remis à l'Etat.
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Message par Her Sam 24 Sep - 10:14

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/24/1174712-l-union-les-pirogues-de-l-hers-tresor-archeologique.html

Accueil » Grand Sud » Haute-Garonne
L'Union et sa région

PUBLIÉ LE 24/09/2011 03:49 | MARIE-EVE CHOVET
L'Union. Les pirogues de l'Hers trésor archéologique
manoir de la belle hôtesse

La pirogue carolingienne de l'Hers, superbe et émouvant vestige de l'activité maritime sur place ./ Photo DDM

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C'est un petit musée discret, presque secret, accroché au bord de la passante route d'Albi. Mais ce Manoir de La Belle Hôtesse abrite un trésor : deux pirogues arrachées à la vase du lit de l'Hers-mort, lors de travaux entrepris pour la construction de la rocade, en 1988.

Trésor car pour les périodes préhistoriques, les découvertes de vestiges en bois sont rarissimes dans les régions méridionales. Ils ne peuvent se conserver que dans des milieux gorgés d'eau et à l'abri de l'air. Ces conditions ne sont réunies que dans des lieux particuliers: ancien lit de rivière, tourbière, lac, puits à eau…

Fin de l'âge du bronze
La surveillance archéologique du chantier de recalibrage du lit de l'Hers-Mort, a permis de découvrir, à 6 mètres de profondeur, une première pirogue monoxyle (taillée dans une seule pièce) de chêne datée de la fin de l'âge de Bronze (entre 1800 et 700 AVJC).

Découverte suivie de celle d'une seconde pirogue, plus «jeune», datée de l'époque carolingienne. Asséchées, traitées pour leur conservation, elles révèlent une vie ancienne bien présente dans ces marais.

Pêche ou transport, elles ont assuré leur rôle et les voilà devant nos yeux pour nous apporter cet émouvant témoignage.

Le nom des vaches
A côté d' elles aussi, dans ce petit musée, outils et instruments agraires du siècle dernier, confiés pour le souvenir par les derniers agriculteurs de la commune, font presque figure de «petits derniers». Les noms des vaches, dernières locataires de l'étable où se trouve le musée, est aussi un rappel émouvant d'une époque qui s'éloigne. On se sent tout chose d'avoir fait un aussi long voyage dans le temps...en si peu de temps!

Ouvert à la demandeVéronique Meisse, adjointe à la culture, détient la clé de ce lieu de mémoire: elle en ouvre les portes à la demande et organise des visites pour les élèves du collège de L'Union, ainsi que pour des groupes constitués. Ou encore pour les Journées du patrimoine. A voir absolument.


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Message par Her Sam 24 Sep - 17:15

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/24/1174843-rennes-le-chateau-refection-des-parapets-le-conseil-general-communique.html

PUBLIÉ LE 24/09/2011 11:37 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Rennes-le-Château. Accueil de loisirs à Ribambelle

Comme chaque année depuis 2008, l'association Ribambelle, en partenariat avec la communauté des communes du Pays de Couiza, organise un accueil de loisirs à la

journée pour les 6-14 ans pendant les vacances scolaires. Les programmes d'activités adaptés au fil des jours, à l'âge et aux envies des enfants présents, permettent de satisfaire tout un chacun et de prendre en compte les spécificités de chaque enfant.

Ouverture vacances de la Toussaint : du lundi 24 au vendredi 28 octobre. Inscriptions au 04 68 74 14 81 (transport en car au départ de Couiza). Visitez le centre à www.ribambelle.org.

La CAF de l'Aude a lancé un appel à projet pour développer l'accueil d'enfants en situation de handicap sur le département. L'association Ribambelle, candidate au projet, s'est vue financer un véhicule pour le transport d'enfants à mobilité réduite ainsi qu'un poste d'animateur pour l'accompagnement individuel de ces enfants.
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Message par Her Dim 25 Sep - 15:23

http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateau-forteresse-manoir-languedoc-roussillon-chateaux-aude.html

Châteaux de France

l Accueil l Châteaux Étrangers l Châteaux Val de Loire l Châteaux pour réception l Contact l

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ARQUES - Château d'Arques

Le château s’élève au sommet d’un petit mamelon isolé, à quelques centaines de mètres à l’ouest du bourg.
Mentionnée pour la première fois en 1011, la localité voit la famille d’Arques dépossédée de cette seigneurie au

XIIe, au profit de la puissante Maison de Termes. Pendant la croisade contre les Albigeois, Béranger d’Arques,
descendant de la famille spoliée, figure parmi les proches de Guillaume de Peyrepertuse.

En 1217, Simon de Montfort, chef des croisés, aurait pris et incendié le château et le village puis il aurait ensuite
offert en 1231 à son lieutenant Pierre de Voisins les terres d’Arques. En 1265, le nouveau seigneur d’Arques fit
un passage remarqué sur ses domaines, en condamnant une femme de 60 ans, accusée de sorcellerie, à être
brûlée vive dans le village. A la fin du XIIIe siècle, son fils, Gilles de Voisins, rebâtit le village qualifié de bastide
et commença la construction du château actuel. Son propre fils, Gilles II, acheva son édification vers 1316.

Au XVIe siècle, Arques passa à la famille de Joyeuse en tant que lieu de résidence, le château fut supplanté par
celui de Couiza. Puis, en 1575, les protestants assiègent le château et échouent devant le donjon. Le château
fut vendu, sous la révolution, comme bien national et subit quelques dommages.

Fermé en janvier, février et décembre, ouvert en mars, octobre et novembre de 10h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h
d'avril à juin et septembre de 10h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h, juillet et août de 9h30 à 19h30

Château d’Arques 11190 Arques, tél. 04 68 69 82 87 E-mail : site.arques@wanadoo.fr

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COUIZA - Château des Ducs de Joyeuse

En 1231, le bourg de Couiza passa aux mains de Pierre de Voisins. En 1518, la dernière héritière des Voisins
épousa Jean de Joyeuse, originaire du vivarais. En 1540, il décida de se construire une résidence secondaire à
Couiza. Il semble avoir conservé les quatre ailes et la cour carrée du château des Voisins. A la fin des travaux,
en 1577, les protestants s'emparèrent du château et le pillèrent. Il fut abandonné mais la famille de Joyeuse
le conserva jusqu'en 1646. A cette date, il fut acheté par Claude de Rébé, neveu de l'archevèque de Narbonne.
Le château fut déclaré bien national à la Révolution. Puis il devint hôpital militaire, gendarmerie et entrepot de
laine.

Ce château de transition à la fois forteresse & résidence se compose de 4 ensembles de batiments rassemblés
autour d'une cour rectangulaire. A chaque angle se trouve une tour ronde percée de meurtrières...

Château des Ducs de Joyeuse 11190 Couiza, tel. 04 68 74 23 50,
hôtel restaurant de charme et trois salles pour vos réceptions, mariages et séminaires.

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COUSTAUSSA - Château de Coustaussa

Le château a été construit en 1172 sur un éperon rocheux qui domine la vallée de la Sals. Vers 730, il
semble qu'un site Wisigoth existe en ce lieu. En 1210, le château fut pris par Simon de Montfort et ses troupes.

Devant la terrible réputation de ce dernier, les villageois fuient Coustaussa. En 1211 le seigneur de Coustaussa
essaie de reprendre son fief, en vain, face aux croisés, le château est alors en partie détruit, le village incendié
par représailles. En 1212, le territoire est confié à la famille de Montesquieu de Sault seigneur de Roquefort de
Sault, plus sage que son ancien propriétaire. Le château ne fut plus jamais inquiété par des ennemis. Au XVIe
siècle, de nombreux aménagements sont fait pour rendre plus confortable cette belle demeure. En 1803, le
château est vendu à un marchand de biens. En 1819, un certain Azais, habitant Arques, le démantèle. En 1820,
des bandits saccagent les restes, démontent les pierres importantes et les vendent aux habitants environnants.

Sa nouvelle fonction est devenue carrière de pierres...

Château de Coustaussa 11190 Coustaussa, on accède au château de Coustaussa par la route départemenale 312
qui a elle-même un embranchement avec la route départementale 613, la visite est libre et gratuite à vos risques.

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JOUCOU - Château d'Able

C'est probablement une ancienne tour Wisigothe surplombant les terres de Joucou. Ses vestiges sont
encore visibles depuis la route de Joucou à Belvis au sortir des gorges du Rébenty. Comme le château de Belvis,
il avait la forme d'un rectangle tracé sur une arête d'un roc, de 6 m sur 12m. Le système de défense se trouvait
sur le chemin d'accès avec deux ou trois portes fortifiées côté ouest. On peut suivre les plans avec ce qui reste
encore des murs. On pense qu'un passage existait du plateau de Sault au Rébenty, pour aller au Donnezan.

C'est pour le défendre que fut bâtie cette tour fortifiée. Au Xe siècle il portait le nom de Rébenty. Il aurait été
inféodé à un seigneur de ce nom.
Pendant la croisade des Albigeois, il fut pris & donné comme Belfort au lieutenant de Simon de Monfort. En 1572
les calvinistes s'en emparent et le détruisent (la descendance conserva le nom de Sieur d'Able)...

Château d'Able 11140 Joucou, vestiges visibles route de Belvis, après les gorges du Rébenty.

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PIEUSSE - Château de Pieusse

Le château a été bâti aux environs de 1140 à 1145, sous le règne du roi Louis VII le jeune par les Comtes
de Foix. En 1225, il abrite le concile Cathares, rassemblant une centaines de parfaits présidé par Guilhabert de
Castres, évêque de Toulouse, lors d'une réunion au château, ils décident de créer l'évêché du Razes. Benoît de
Termes y est ordonné évêque de ce nouveau diocèse. En 1229 Bernard Roger, fils du Comte de Foix, cède son
fief au roi Louis IX qui le réunit à l’évêché de Narbonne. De 1764 à 1790, le château dépend de Monseigneur
Dillon, dernier président des États généraux du Languedoc et Archevêque de Narbonne.

Seuls quelques bâtiments sont visibles depuis le village de Pieusse. Plusieurs parties ont été réaménagées en
lieux d'habitation, la muraille du Nord est encore visible ainsi qu'un donjon massif et allongé. Au premier étage
de ce donjon, on retrouve 2 élégantes fenêtres en cintres géminés avec des chapiteaux sculptés, à l’intérieur
des sièges en pierre très conservés, taillés, permettaient aux dames de voir arriver leur seigneur de loin, cette
fenêtre dominait toute la vallée de l’Aude et le Razès. Une autre fenêtre géminée, mais plus simple, se trouve
au deuxième étage. Le donjon, placé à l’avant est debout jusqu’au premier étage. On y voit même une belle voûte
cintrée. La cour possède un puits permettant d'alimenter le village lors d'un siège, c'est dans ce puits que fut fait des
recherches pour retrouver un possible trésor laissé par Monseigneur Dillon durant la Révolution.

Château de Pieusse 11300 Pieusse, propriété privée, visible de l'extérieur

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PUIVERT - Château de Puivert

Campé sur le rocher, à 605m d’altitude, le château de Puivert étend sa verticalité sur une longueur
de 175m. La construction daterait du XIIIe siècle. Les premières mentions de l'édifice remontent à 1170,
il appartient à la famille de Congost, au moment de la croisade des Albigeois. Ces seigneurs pratiquaient
le catharisme et étaient montrés comme des hérétiques. En novembre 1210, le château subit un siège de
quelques jours par l'armée de Thomas Pons de Bruyère, lieutenant de Simon de Montfort, Puivert devient
une possession française. Au début du XIVe siècle, Thomas de Bruyère, petit-fils de Pons et sa femme,
Isabelle de Melun, font reconstruire le "nouveau château", à l'est du Castèl vièlh (vieux château) dont les
vestiges sont toujours visibles. Les armoiries d'Isabelle de Melun, fille d'un grand chambellan de France,
étaient d'ailleurs toujours installées dans l'ancien édifice. La remise en forme du bâtiment lui a donné le
caractère symbolique et pittoresque que l'on peut observer.

De janvier à mars 1996, une réfection totale et un réaménagement de la plate-forme sommitale du donjon étaient
effectués. Pour la première fois, la terrasse devenait enfin accessible au public.

De septembre 1997 à mai 98, une mise hors eau de la tour Gaillarde était réalisée avec remontage des parements
supérieurs disparus. Pour assurer cet ambitieux programme, les propriétaires ont fait le choix d’y réinvestir la quasi
totalité des recettes du château.

Château de Puivert 11230 Puivert, ouvert du 15 decembre au 30 avril tous les jours, 10h à 17h, fermé samedi
hors vacances scolaire toutes zones, du 1er mai au 15 novembre tout les jours de 9h à 19h, fermeture annuelle
du 15 novembre au 15 décembre

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QUILLAN - Château de Quillan

A l'époque romaine, un oppidum est édifié dans la ville de Calianum. Vers 781, une forteresse Wisigothe
est citée dans le village de Kilianus ou Quilhanus. En 844, le roi Charles le Chauve demande au Comte Milon de
restituer le domaine de Quilhanus à l'archevêque de Narbonne. En 1125 un lieu fortifié est cité (peu de précision
sur l'emplacement, mais pourquoi l'installer ailleurs que sur la colline). Fin XIIe siècle, les Aragonais d’Alphonse
II, en guerre contre le Vicomte de Trencavel, prennent la ville après une courte bataille. Vers 1202, les droits de
l'archevêque de Narbonne sont rétablis sur Quillan. Durant la croisade des Albigeois, vers 1210, le château est
pris par "l'armée du Nord". Simon de Montfort le confie à Guy de Lévis, son fidèle lieutenant, malgré la colère de
l'archevêque. En 1232, le château est construit sur l'emplacement de la forteresse. Il est rattaché à l'archevêché
de Narbonne. La période est confuse et Quillan passe alternativement sous le pouvoir du roi ou de l'archevêque.

En 1247, Saint Louis décide la création de plusieurs villes (dont Carcassonne & Limoux). Quillan est alors élevée
au rang de cité. Le nom serait Quillanus. En 1281, la garnison de Quillan est dirigé par un certain Bompart, il a
été nommé par l'archevêque. En 1332 le château est donné au Roi de France, début du remaniement des bâtiments.

En 1394, durant la guerre de cent ans, le Roi somme l'archevêque de fortifier le château. Les troupes aragonaises,
vers 1480, ravagent les régions du Fenouillèdes et de la Haute Vallée de l'Aude. Les Espagnols occupent Quillan. En
1495, les troupes du Roi de France chassent les intrus de la ville et du château. Les Calvinistes prennent la ville en
1573. En 1575, le château est incendié par les Huguenots. Rendue au vicomte de Joyeuse, la ville est fortifiée & des
fossés sont creusés en 1576. Après les guerres de religions, il semble que le château soit très délabré. En 1628, le
Sénéchal de Carcassonne demande à l'archevêque la remise en état du château et du moulin suite à une inspection.

En 1659, le traité des Pyrénées scelle une paix entre l'Espagne et la France et permet l'annexion du Roussillon. La
ville n'est plus proche de la frontière Espagnole, les fortifications deviennent inutiles. En 1735 Quillan est démantelé
sur la proposition de l'archevêque. En 1790, durant la révolution, Quillan devient chef lieu de district. les murs ouest
et nord sont abattus en 1793, pour récupérer les matériaux en vue d'une plate-forme qui servira pour une batterie
de canon. En 1791, le château est vendu aux enchères. L'achat est réalisé par Thomas Marre plâtrier à Quillan...

Château de Quillan 11500 Quillan, propriété de la ville qui a construit un château d’eau à l’intérieur.

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RENNES-LES-BAINS - Château de Blanchefort

C'est au confluent de la Sals et du Rialsesse que les wisighots ont construit cette forteresse. Au Xe siècle le
site fut rebâtit et fortifié. Des remparts furent élevés en escaliers, afin de rendre la nouvelle forteresse imprenable.

Le château tirait son nom de la couleur de la roche sur lequel il était élevé (Blancafortis). Ses dimensions étaient
comparables à celles de Carcassonne. Du château de Blanchefort dépendait l'abbaye de Jaffus dont il ne reste rien
de nos jours, il fut le centre d'une agglomération d'habitants (une villaria) étalant ses maisons au sud ouest. Cette
villaria avait été fondée par les moines de St Policarpe. L'abbaye d'Alet qui exerçait des droits sur la communauté
revendiqua la possession de blanchefort, une bulle du pape Calixte II, daté 1119 confirma en faveur de l'abbé
d'Alet la possession du castrum. Bernard de Blanchefort refusa cette décision, aidé de plusieurs autres seigneurs il
eut recours à une lutte armée contre l'abbé d'Alet et contre le comte Bernard Aton pour conserver son domaine, il y
réussit, et c'est à cette condition qu'il déposa les armes en 1124.

Quelques années plus tard, le mâitre de Blanchefort offrit son village aux templiers. Des chartres témoignent de
cette donation. Sous leur impulsion il fut reconstruit et renforcé. Les documents de l'époque le nomment Village
de Rena. Le seigneur de Blanchefort leur confia l'exploitation des mines de Blanchefort. Les templiers firent
venir de Rhénanie des ouvriers fondeur qu'ils installeront au village de Réna, avec interdiction de fréquenter les
gens du village. En fait l'or natif des filons n'intéressa pas les templiers, ils exploitaient un antique trésor wisigoth
enfoui dans un ancien puit de mine, les mineurs réduisaient les monnaies et les objets précieux en lingot. Tout
cela est bien sur attesté par les chroniques du temps et surtout par les cartulaires du temple. Le puits principal
qui donnait dans les mines était creusé au pied des murailles de Blanchefort. On peut encore de nos jours voir ce
puits. Cette opération dura sans doute 2 ans. Au XIIIe siècle le comte Roger de Blanchefort subit le même sort
que la plupart des châtelains de la contrée. Son domaine fut détruit des biens confisqués au profit de Pierre de
Voisins. Guillaume Catel parle d'une mine d'or près de le Baigs de Régnes.

Château de Blanchefort 11190 Rennes les Bains, vestiges, visite des extérieurs

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SAINT-JUST ET LE BEZU - Château du Bézu

Vers 1060, ses premiers seigneurs étaient Pierre 1er et Bernard 1er d'Albedun. Pendant les XIIe et XIIIe
siècles, quelques autres noms ont été enregistrés dans les chartes de la région : Pierre II, Bernard Sermon 1er,
Bernard II, Bertrand et Bernard Sermon II. Tous ces personnages ont été seigneurs d'Albedun. Guilhabert de
Castres a vécu pendant trois ans de Pâques 1229 à 1232, au château d'Albedun, sous la protection de Bernard
Sermon le Vieux (aussi appelé Bernard Sirmon le Vieux), avant de se réfugier à Montségur. Entre 1292 et 1307,
le chateau aurait momentanément été la propriété des Templiers.

En 1307, Othon d'Aure, vassal du comte, vivait dans le château d'Aldebun et fut accusé de fabrication de fausse
monnaie.

En 1344, la famille de Voisins est de retour dans le château, mais Brunissende, la femme de Jacques
de Vosins, Guillaume de Cathala (Beau-fils de Brunissende et neveu du pape Benoit XII) et un couple d'autres
nobles furent aussi accusés des même faits.

Selon une légende, le puits situé dans les vestiges de la métairie des Baruteaux habriterait une cloche d'argent.
Elle sonnerait le glas chaque nuit du 12 au 13 Octobre (les Templiers furent arrêtés dans le royaume de France le
Vendredi 13 Octobre 1307). Une file de fantômes quitterait alors le cimetière pour se diriger vers le château...

Château du Bézu ou Albedun 11500 Saint Just et Le Bézu, vestiges

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SERRES - Le Château de Serres -

En 1347, un texte mentionne l'évêque d'Alet comme Seigneur de Serres. Au XVIe siècle, un château
seigneurial est bâti sur les vestiges d'une bâtisse médiévale. L'édifice est de plan rectangulaire avec sur
un angle une échauguette sur culot et sur un autre angle une échauguette sur corbeaux, des latrines en
encorbellement complètent l'architecture.

Au XVIIe siècle pour un plus grand confort, modification de l'architecture du bâtiment (fenêtres & portes).

Eléments protégés MH : façades et toitures, inscription par arrêté du 15 septembre 1947

Source Base Mérimée, culture.gouv.fr/culturepatrimoine http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee.fr

Château de Serres 11190 Serres, propriété privée, visite des extérieurs uniquement !

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ALBIERES - Château d'Albières

La première mention, date de 1131 Amiel d'Auriac, fait hommage à l'archevêque de Narbonne pour
ce qu'il possède à Albière et Auriac. Nous ne savons pas ce qu'il advint de ce fief pendant la croisade contre
les Albigeois. D'après l'abbé Louis Astruc, le château, aurait été abandonné quand les occupants, apprirent
la chute de Termes.

Situé au point culminant du village, le château, a une autre conception, que les forteresses de la région. Il
a la forme d'un pentagone irrégulier. De l'enceinte il ne reste que quelques pans de murs atteignant par
endroits 5 à 6 mètres de haut et ils sont tapissés de lierre, au Nord et au Nord-Ouest les murs se trouvent
au niveau du sol. Sur le mur Sud, nous trouvons incrustés dans la pierre quelques gravures qui semblent
avoir été faites au burin. En contrebas, au Sud Ouest, la porte d'entrée est presque entièrement conservée.

A l'Ouest, nous devinons les restes d'un donjon carré de petites dimensions.

La cour intérieure, ne peut pas nous donner d'indications sur son aménagement au moyen âge. Elle a été modifiée
par des bâtiments relativement récents.

Le castrum, cette enceinte plus vaste que celle du château, se présente sous la forme d'un polygone irrégulier qui
épouse le dénivelé du terrain et délimite un espace construit d'environ 7000 m². On ne sait pas à l'heure actuelle,
ce qu'était le castellum primitif avant la construction du château du Xllle siècle, ni s'il était situé au même endroit.

L'enceinte villageoise semble à première vue parfaitement homogène & pourrait de ce fait avoir été batie d'un seul
jet sous l'autorité d'un commanditaire seigneurial, il faut toutefois rester prudent à ce sujet car la construction est à
peine visible dans la partie centrale côté Est. Les accès primitifs, quant à eux, pourraient selon nous se situer sur 3
côtés...

Château d'Albières 11330 Albières, propriété privée, visite des extérieurs

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Message par Her Mar 27 Sep - 12:59

http://www.20minutes.fr/monde/795008-enorme-tresor-lingots-argent-localise-epave-coulee-1941

Un énorme trésor de lingots d'argent localisé dans une épave coulée en 1941
Créé le 27/09/2011 à 08h00 -- Mis à jour le 27/09/2011 à 08h17

TRESOR - Une société a confirmé la localisation et l'identification d'un cargo britannique coulé en 1941 par les Allemands avec à bord quelque 220 tonnes de lingots d'argent...

Une société américaine a annoncé lundi avoir confirmé la localisation et l'identification d'un cargo britannique coulé en 1941 par les Allemands avec à bord quelque 220 tonnes de lingots d'argent, qu'elle compte à présent s'atteler à récupérer.

Ce fabuleux butin, estimé aujourd'hui à plus de 150 millions d'euros et qu'Odyssey Marine Exploration espère pouvoir remonter à partir du printemps, constitue le plus précieux trésor sous-marin jamais retrouvé, selon la société.

Des chercheurs ont pu confirmer grâce à un sous-marin téléguidé la localisation et l'identification du Gairsoppa, qui gît par 4.700 mètres de fond dans l'océan Atlantique au large de l'Irlande, a indiqué Odyssey dans un communiqué.

En février 1941, le navire long de 125 mètres revenait d'Inde et se dirigeait vers la Grande-Bretagne avec dans ses cales du thé et divers métaux, dont sa cargaison de lingots d'argent.

Pris dans une tempête et soudainement à cours de charbon, le cargo s'est détaché du convoi militaire qui le protégeait pour gagner Galway en Irlande.Mais il n'arriva jamais à bon port: le bâtiment était coulé le 17 février par un sous-marin allemand. Sur les 85 passagers, un seul, qui avait trouvé refuge dans un canot de sauvetage, survécut après 13 jours de pleine mer. Le bateau, échoué au fond de l'océan, sombra dans l'oubli.

Une première tentative pour le retrouver avait échoué et c'est finalement la société Odyssey, spécialisée dans la recherche d'épaves à travers les mers du globe, qui est parvenue à localiser le navire.

«Nous avons achevé la première phase du projet, la localisation et l'identification de l'épave, et maintenant nous travaillons à la phase de récupération», a expliqué Andrew Craig, le responsable du projet, cité dans la communiqué.

Un sous-marin téléguidé depuis un bateau d'exploration, Odyssey Explorer, a pu filmer et photographier l'intérieur de l'épave. On découvre sur les clichés l'échelle conduisant vers le poste d'équipage, la boussole du pilote et l'impact de la torpille allemande dans la quille.

«Étant donné l'état et l'exposition de l'épave, nous sommes quasiment persuadés de pouvoir récupérer ce cargo selon nos plans», a-t-il ajouté. La remontée de la cargaison doit commencer au printemps prochain.

«Nous avons eu la chance de trouver l'épave avec la cale ouverte et facilement accessible», a précisé Greg Stemm, le responsable de cette société basée à Tampa (Floride, Sud-Est des Etats-Unis).

Au terme d'une âpre bataille, Odyssey Marine avait obtenu du gouvernement britannique en 2010 l'exclusivité de l'extraction de l'épave et aura le droit de conserver 80% du butin, le solde allant aux autorités britanniques.

Un tribunal américain a donné raison mercredi à l'Espagne dans une affaire à rebondissements l'opposant à Odyssey, accusée de s'être approprié le contenu extraordinaire d'une épave découverte en 2007.

Odyssey affirmait avoir trouvé l'épave d'un navire de guerre espagnol coulé en 1804 dans les eaux internationales et avait rapporté en Floride le butin sans prévenir les autorités espagnoles.

© 2011 AFP
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Message par Her Mar 27 Sep - 13:00

http://www.leparisien.fr/societe/un-fabuleux-tresor-retrouve-en-mer-27-09-2011-1627408.php

Un fabuleux trésor retrouvé en mer

Un butin englouti de 150 M€ : c’est ce qu’ont découvert des chasseurs d’épave au large de l’Irlande. Ils se trouvaient à bord d’un cargo détruit en 1941.
Frédéric Mouchon | Publié le 27.09.2011, 07h00

AU LARGE DE L’IRLANDE, HIER. Les inventeurs de l’épave du « SS Gairsoppa », dont on voit ici le compas, devraient
garder pour eux 80 % du trésor englouti. | (AFP/HO.)

C’est le rêve de tous les chasseurs de trésor sous-marins. La société américaine Odyssey Marine Exploration a annoncé hier avoir localisé un cargo britannique coulé en 1941 par les Allemands, contenant plus de 240 t de lingots d’argent. Cette fabuleuse cargaison, estimée à 150 M€ d’euros, attend sagement depuis un demi-siècle au fond des cales du « SS Gairsoppa », qui gît par 4700 m de fond au large de l’Irlande.
Les prospecteurs américains, qui ont pu localiser l’épave grâce à un sous-marin téléguidé, espèrent remonter le trésor à partir du printemps prochain. « Nous avons eu la chance de trouver l’épave avec la cale ouverte et facilement accessible », a ajouté Greg Stemm, le responsable de cette société américaine spécialisée dans la recherche d’épaves.
Odyssey Marine a obtenu l’an dernier du gouvernement anglais l’exclusivité de l’extraction de l’épave et aura le droit de conserver 80% du butin, le reste revenant aux autorités britanniques. Dans le milieu de la prospection sous-marine, l’entreprise américaine souffre d’une mauvaise réputation. En 2007, Odyssey affirmait en effet avoir trouvé l’épave d’un navire de guerre espagnol coulé en 1804 et avait rapporté en Floride le trésor sans prévenir les autorités locales. Un tribunal américain vient de donner raison à l’Espagne dans ce litige.

Vidéo. L'exploration de l'épave
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Message par Her Mer 28 Sep - 14:47

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/28/1178127-decouverte-majeure-a-la-mine-de-lastours.htm

Carcassonne et sa région
« Aude - Littoral
PUBLIÉ LE 28/09/2011 07:45 | JEAN-LOUIS DUBOIS-CHABERT
Carcassonne. Découverte majeure à la mine de Lastours
archéologie

Une partie de l'équipe de scientifiques en compagnie de Max Brail, le maire de Lastours, à l'entrée du travers-bancs de la mine./Photo DDM, Roger Garcia.

C'est une découverte majeure autant que surprenante que vient de faire l'équipe « Traces » constituée de scientifiques du CNRS et de l'université de Toulouse le Mirail. La mine antique de cuivre des Barrencs, à Lastours, qu'ils fouillent depuis 2009, ne daterait pas des Romains mais serait antérieure. La datation au carbone 14 des charbons de bois recueillis et analysés dans le filon dit du Mourral de la Grave, à l'ouest du site exploré, est formelle : elle atteste d'une activité minière remontant à avant l'arrivée des Romains dans la région, c'est-à-dire antérieure à la fin du IIe siècle avant notre ère.

Et c'est une véritable surprise car, explique Jean-Marc Fabre, l'un des scientifiques, tout, jusqu'ici, laissait à penser que l'exploitation datait des Romains : « Les abords des fosses sont jonchés de débris d'amphores, de fragments de lampe à huile, céramiques fabriquées dans le sud de l'Italie au IIe siècle avant J.-C. Par ailleurs, le gigantisme de la mine, l'organisation de l'exploitation, la gestion des déblais, l'évacuation du minerai à l'extérieur, tout cela porte la signature d'une mine romaine. » Et quoi qu'il en soit démontre que le gisement des Barrencs « s'impose comme un site minier de premier plan dans le paysage minier du sud de la Gaule ».

GAULOIS OU PAS GAULOIS ?
Cette découverte chronologique inédite revêt d'évidents intérêts scientifique et technique - de l'abattage au feu qui consistait à allumer un feu au pied de la paroi pour rendre la roche friable aux outils en fer tels que pic à deux têtes ou pointerolle mis au jour - historique, mais aussi, à plus long terme, économique, voire touristique. Ainsi, souligne Max Brail, le maire de Lastours, l'idée d'un musée des mines et de la métallurgie (1) n'en apparaît que plus justifiée. En tout cas, à défaut de pouvoir ouvrir au public la visite de la mine antique en raison de la dangerosité du site, la volonté de « restituer les découvertes » est manifeste.

Au reste, la datation antérieure aux Romains pourrait ne constituer que le début d'un filon de découvertes. L'équipe Traces prospecte le Mourral de la Grave, une portion de 300 mètres sur 150 mètres de hauteur. C'est-à-dire très peu, sur les 2,5 km de galeries topogaphiées.

L'année prochaine, la dernière phase de campagne de fouilles (chacune dure un mois par an) pourrait également déboucher sur une exploration du plateau recouvrant la mine antique. Les traces d'habitats permettront peut-être et par exemple de savoir si la mine a été exploitée par les Gaulois ou une autre peuplade.

(1) Un projet tué par le conseil général en 2005, après 7 ans de travail, en raison de la position hostile de la commune de Lastours à l'installation d'un centre d'enfouissement des déchets à Lassac.

La datation au carbone 14 de fragments de charbon de bois fait apparaître que la mine antique de cuivre des Barrencs, à Lastours, était exploitée avant l'arrivée des Romains dans la région. Une véritable surprise.

Trois ans de fouilles sur un site exceptionnel
L'équipe « Histoire et archéologie du métal » (Traces UMR 5 608 CNRS - Université de Toulouse II Le Mirail) est composée de huit archéologues et archéomètres spécialistes des mines et de la métallurgie anciennes.

Grâce au classement du périmètre des châteaux de Lastours, l'exploration de la mine antique est financée à hauteur de 15 000 € par an par le ministère de la Culture, la commune de Lastours et la région Languedoc-Roussillon. Débutée en 2009, la campagne de fouilles dure trois ans.

Les chercheurs estiment que dans ce site exceptionnel, outre le cuivre, les anciens cherchaient de l'argent, présent dans les cuivres gris.

La prospection de l'équipe scientifique vise un double but : cartographier le réseau souterrain, ce qui permettra à terme de comprendre l'organisation de la mine, la dynamique d'exploitation, et obtenir des éléments de chronologie absolue. Les sondages effectués, on l'a vu, ont débouché sur cette découverte majeure qu'est la datation de l'exploitation minière antérieure aux Romains.
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Message par Her Jeu 29 Sep - 12:20

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/29/1178776-rennes-les-bains-on-n-oublie-pas.html

PUBLIÉ LE 29/09/2011 09:43 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Rennes-les-Bains. On n'oublie pas

Dépôt de gerbes au mémorial. /Photo DDM.

Rennes-les-Bains n'oublie pas. Ce samedi 26 septembre 1992, un orage d'une rare violence s'est abattu sur le pic de Bugarach, plus de 230 mm d'eau tombés en l'espace de deux heures, un torrent qui a ravagé la vallée de la Viallasse à Couiza en passant par Rennes- les-Bains, y faisant trois victimes. Depuis, tout a été reconstruit mais la population n'oublie pas. Et en ce 26 septembre 2011, en présence du sous-préfet Alain Tainturier, du conseiller général Jacques Hortala, du président de la communauté de communes Henri Barbaza, du président de l'association Couiza Sinistrés Michel Landry, le maire Alain Girard, entouré de son conseil municipal et de bon nombre d'habitants, sont allés déposer une gerbe au mémorial érigé dans le cimetière. Alain Girard a rappelé avec émotion les faits de ce jour tragique et a demandé à la population de se souvenir tous ensemble. Michel Alandry s'est associé aux paroles du maire. Henri Barbaza a rappelé l'action du SMMAR pour ne plus vivre des instants pareils. Jacques Hortala a mis l'accent sur la mobilisation des services, gendarmerie, pompiers, armée, pendant les quinze jours du plan Orsec. Enfin, le sous-préfet s'associant au souvenir a mis l'accent sur « plus jamais ça », prônant la solidarité et la fraternité entre les habitants. Le pot du souvenir a été servi sur la place des Deux-Rennes, mettant fin à ces moments d'émotion.


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Message par Her Ven 30 Sep - 3:40

http://www.la-croix.com/Culture-Loisirs/Culture/Expositions/Les-tresors-de-la-Cite-interdite-exposes-au-Louvre-_NG_-2011-09-29-717421

29/9/11 - 16 H 18 MIS À JOUR LE 29/9/11 - 19 H 56

Louvre
Expositions

Les trésors de la Cité interdite exposés au Louvre

Jusqu’au 9 janvier, le musée du Louvre présente 130 objets issus des collections du musée de la Cité interdite de Pékin. Un prêt inédit qui invite le visiteur à parcourir 800 ans d’histoire chinoise.
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Message par Her Sam 1 Oct - 5:35

http://www.la-croix.com/Culture-Loisirs/Culture/Actualite/Exploration-aux-grands-depots-des-Archives-_NG_-2011-09-30-717889

Exploration aux grands dépôts des Archives

Chaque premier samedi du mois, le centre historique des Archives nationales ouvre au public ses grands dépôts, lieu de conservation des plus prestigieux documents de l’histoire de France.

L’hôtel de Soubise, dans le quartier parisien du Marais, abrite les Archives nationales depuis un décret impérial de 1808. Il accueille des expositions, comme celle qui vient de débuter consacrée à un siècle de fichage policier en France.

En haut de l’escalier central se trouve toutefois une porte habituellement close, qui cache les grands dépôts des Archives nationales. Là sont conservés objets et documents importants de l’histoire de France, des Mérovingiens à la naissance de la Ve République.

Sur inscription préalable, 25 privilégiés peuvent une fois par mois occuper dans cet endroit méconnu, pour une heure et demie, la place des conservateurs. Au premier abord, l’architecture en impose, et le nombre impressionnant d’étagères laisse penser que la visite ne s’adresse qu’aux seuls passionnés d’histoire.

UN FORMIDABLE OUTIL PÉDAGOGIQUE
Grâce au conférencier, pourtant, elle se révèle un formidable outil pédagogique, profitable autant aux adultes qu’aux jeunes adolescents. L’accompagnant s’adapte à son public, pour que chacun ressorte avec une meilleure compréhension de l’histoire nationale. Et ses explications permettent aux reliures délavées de prendre vie.

Elle débute avec la contemplation d’une maquette de la forteresse de la Bastille, datant de la fin du XVIIIe siècle. Dans les galeries des grands dépôts, construites en deux temps, par Louis Philippe puis Napoléon III, pour faire face à l’accroissement des archives nationales, plusieurs trésors se dévoilent selon les choix du conférencier du jour.

Comme l’importante collection de sceaux royaux sur laquelle on admire le travail minutieux des artisans qui ont sculpté la cire. Ou une sélection de grands documents de l’histoire : ordonnance de Villers-Cotterêts, édit de Fontainebleau, journal de Louis XVI, Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, testament de Napoléon…

Hôtel de Soubise, 60, rue des Francs-Bourgeois, Paris 3e . Rens. et Réservation : 01.40.27.62.18

et stephanie.colliard@culture.gouv.fr

ÉDOUARD ADELUS
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Message par Her Dim 2 Oct - 11:50

http://www.leprogres.fr/ain/2011/10/02/patrick-juillard-profession-chercheur-de-tresors

Ain. Patrick Juillard : profession, chercheur de trésors

L’émetteur indiquera souvent la présence de morceaux de métal… / Photo Jean-Pierre Balfin

Ain. Avec son détecteur, Patrick Juillard fouille les collines du Revermont. Il vend et loue aussi des appareils à des apprentis chercheurs, de plus en plus nombreux, qui cherchent aussi un peu de rêve

Patrick Juillard est chercheur. Chercheur de métaux. Chercheur d’or pour les rêveurs, de ferraille pour les sceptiques. Son détecteur en main, il est là pour une petite démonstration.

D’abord, passage obligé à la cave, l’endroit discret par excellence pour enterrer une cassette. L’appareil, un bon modèle, se met à sonner de partout. Mais le rêve sera bref. « On cherche d’abord dans les coins, c’est là que le plus de choses sont cachées. Mais ne vous faites pas d’illusions, quand ça sonne partout, c’est que le sol est probablement infesté de capsules ou de vieux clous, vous risquez de perdre votre temps… » Puis, se basant sur une petite barre de fer incrusté, il recherche plus particulièrement à l’aplomb. Un truc de chercheur. « C’est peut-être un repère pour marquer l’endroit où quelque chose a été enterré. » Rien, le petit barreau servait probablement à faire sécher les saucissons.

Puis, le détecteur sonne, très précisément. Il y a un objet métallique derrière la voûte. Patrick est formel. Mais quoi ? Retirer les pierres scellées pour un bout de ferraille ? Le risque ne sera pas pris.

Alors on remonte au jardin. Pour une démonstration express. « Là, il y a quelque chose… » Patrick est sûr de lui. La bêche, effectivement, met à jour à une quinzaine de centimètres de profondeur… Une vieille pièce de 10 centimes. Puis un peu plus tard, un vieux morceau de gouttière. Le trésor, les vieux napoléons ce sera pour une autre fois.

Patrick Juillard est un passionné de ces recherches au détecteur. Il est même passé à la vitesse supérieure, en en faisant son second métier. Depuis six mois, il a franchi le pas, vend des appareils allant de 150 à un millier d’euros. Il en loue aussi pour la journée. Et il peut dépanner les gens peu dégourdis, en effectuant lui-même la recherche.

« Les gens qui viennent me voir, il y a de tout. Ceux qui vont vendre leur maison et ne veulent pas se dire que leurs successeurs vont trouver le magot lors des travaux, il y a des passionnés d’histoire, de vieilles pièces, des gens tout à fait normaux. »

L’engouement pour la détection, il le trouve grandissant. « Je vois passer pas mal de monde. L’investissement n’est pas élevé, à 250 euros, on a déjà un bel appareil. » Côté technique, rien de bien sorcier. Le détecteur se règle pour pouvoir sélectionner au plus près le métal recherché. « On peut, par exemple, l’étalonner sur une alliance pour l’or, ensuite on n’a plus rien à faire. »

Peut-on vraiment trouver un trésor chez nous ? Lui avoue ne pas avoir encore découvert grand-chose, ses clients peut-être.

« Évidemment, les gens sont discrets, il y a quelques limites à connaître. Parfois, des autorisations à demander. L’autre jour, un acheteur m’a dit qu’il allait faire fonctionner sa lampe frontale. Ca veut dire qu’il allait prospecter sur des sites interdits et qu’il le savait. Mais il ne faut pas rêver, les sites archéologiques, moyenâgeux, ont été passés au crible depuis longtemps. J’ai rencontré un groupe de chercheurs très mordus, ils m’ont dit qu’entre Treffort et Saint-Étienne-du-Bois, ils avaient déjà fouillé partout, que ce n’était même pas la peine de sortir le détecteur… »

Réalité ou volonté de dissuader la « concurrence » ? Allez savoir.

Nous, on rêvera encore, on refera une fouille plus poussée, en se disant qu’il y a plus de chances de trouver quelques belles pièces d’or que de gagner à l’Euromillions…

Patrick Juillard est contactable sur amonorion@sfr.fr ou au 06 18 57 78 57

Olivier Leroy
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Message par Her Dim 2 Oct - 11:52

http://www.leprogres.fr/ain/2011/10/02/on-trouve-pas-mal-de-piecettes-gauloises

« On trouve pas mal de piécettes gauloises… »

Sébastien Chaillot, collectionneur et expert / Photo Jean-Pierre Balfin

Bourg. Un spécialiste expertise ou achète les trouvailles. Et dans l’Ain, il y en a…

Rue Lalande à Bourg-en-Bresse, la petite boutique est originale. On doit sonner pour y entrer, car Sébastien Chaillot est numismate. Dans ses tiroirs, un véritable petit trésor d’histoire, en or, en argent… Ou en plomb.

Dans un coin du magasin sont alignés des détecteurs, des « radars de sol ».

Car son magasin est aussi la « vitrine » de l’activité du « prospecteur » Patrick Juillard. Ils étaient du même village et sont toujours amis.

Et ça tombe bien, car au côté des billets ou carte postale, lui, vend, achète ou expertise la monnaie ancienne. Parfois trouvées à l’aide de détecteurs de métaux.

« Des gens me sont envoyés par Patrick, ils m’apportent leurs trouvailles pour me les vendre ou simplement les faire estimer. »

Ce ne sont jamais des Napoléons, faciles à identifier sur Internet, mais souvent des piécettes gauloises, des gallo-romaines. Ou des rouelles qui ne valent pas grand-chose.

« On en trouve partout, ce sont des petits cercles dont on ne sait s’ils servaient de monnaie ou si elles étaient simplement une pièce pour filer les tissus. »

On lui apporte aussi des fibules agrafes pour les habits gaulois ou gallo-romains, ou des dés. « C’est normal, l’Ain était une terre de passage comme la vallée du Rhône. Si je devais indiquer le secteur où on a le plus de chance de trouver quelque chose ? Je conseillerais la région d’Ambérieu… »

Contact : Bourg numismatique 10 rue Lalande www. Bourg- numismatique.com

O. L.
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Message par Her Mer 5 Oct - 14:46

http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/05/1184411-la-journee-du-souvenir-de-couiza-sinistres.html

Couiza et sa région
ACTU

« Aude - Littoral
PUBLIÉ LE 05/10/2011 09:02 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

La journée du souvenir de Couiza Sinistrés

Les membres de l'association Couiza Sinistrés se sont réunis pour commémorer le souvenir de la catastrophe.
Partager
Comme chaque année, l'association Couiza Sinistrés se souvient du 26 septembre 1992, une date que bon nombre de Couizanais ne peuvent pas oublier puisque ce jour-là, une crue historique de la Salz ravagea le village. Depuis, le temps est passé mais le souvenir reste, et l'association Couiza Sinistrés a pris l'habitude de réunir ses adhérents autour d'un excellent repas au cours duquel sont évoqués les souvenirs de cette journée. Cette année n'a pas failli à la tradition : samedi 24 septembre, ils étaient encore nombreux à participer à cette journée souvenir.
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Message par Her Mer 5 Oct - 17:28

http://axat.blogs.lindependant.com/archive/2011/09/30/pleins-feux-sur-le-chateau-de-puilaurens.html

30.09.2011
Pleins feux sur le château de Puilaurens

Perchée à 690 mètres, au cœur du Pays Cathare, la forteresse de Puilaurens représente sans aucun doute l'expression la plus aboutie de l'architecture militaire du Moyen-Age.

Splendide point de vue panoramique, le château de Puilaurens sera bientôt visible de jour comme de nuit grâce à la mise en place de son illumination. Un projet d'envergure dont les premières prémices ont vue le jour en 1961.
Aujourd'hui, et après un travail de longue haleine, tous les partenaires financiers : l'Etat, La Région Languedoc-Roussillon et le Conseil Général de l'Aude, se sont réunis pour permettre à ce projet de voir le jour courant 2012.
Afin de permettre le lancement des travaux, une convention de partenariat a été signée entre Mrs Marcel MARTINEZ, Conseiller Général et Président de la Communauté de Communes du canton d'Axat, Jacques GALY, Maire de Lapradelle Puilaurens et René XUEREB, Directeur Territorial ERDF Aude Pyrénées-Orientales.

ERDF, pilier de cette réalisation, contribue donc au raccordement des installations du château au réseau électrique de distribution publique. Un prolongement du réseau de 350 mètres qui permettra de réaliser les branchements nécessaires à l'alimentation de l'éclairage du château.

Marcel Martinez et Jacques Galy souhaitent au travers de ce projet mettre en valeur l'un des sites historiques remarquables du Pays Cathare : Le château de Puilaurens. Ils se félicitent de cette belle initiative qui permettra de renforcer la popularité de la forteresse et ainsi favoriser le développement économique et touristique du canton d'Axat.
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Message par Her Mer 5 Oct - 17:30

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ange_Jean_Michel_Bonaventure_marquis_de_Dax_d'Axat

Ange Jean Michel Bonaventure marquis de Dax d'Axat

Militaire puis homme politique français, né à Bouleternère en Roussillon le 11 juin 1767 décédé au château de Saint Georges de Vénéjean le 18 août 1847.

Le militaire

Issu d'une ancienne famille de consuls de la Cité de Carcassonne au Moyen-Age fixée depuis le XVe siècle en Haute Vallée de l'Aude notamment à Axat anoblie par lettres patentes du roi Charles VII le 1er juillet 1457, il fut élève à Sorèze de 1776 à 1781, cadet gentilhomme à l'École militaire en 1782, sous-lieutenant dans Bassigny en 1784, émigré en 1792, il est allé en Espagne où il a fait les campagnes de 1793-1794-1795, soit comme volontaire dans un corps d'émigrés, soit comme officier dans le bataillon de la Frontera, incorporé en 1796 dans le régiment de Bourbon, rentré en France en 1797, chef de bataillon en 1817, il fut reçu chevalier de l'ordre royal et militaire de St Louis en 1814 par Monsieur, comte d'Artois futur Charles X en personne, chevalier de la Légion d'honneur, décoré du Lys.

L'homme politique

Maire de Montpellier (1814-1830), exilé aux Cent Jours, premier président de la Société des Beaux Arts, il fonda avec le baron Fabre, le musée Fabre, principal musée d'art de Montpellier, ouvert au public en 1828 à la suite d'une donation du baron François-Xavier Fabre (1766-1837), peintre et collectionneur, faite à la ville de Montpellier et acceptée par le maire en janvier 1825, après une délibération spécifique menée sur ce sujet par le conseil municipal à sa demande. Le musée fut installé dans l'hôtel de Massilian, hôtel particulier du xviiie siècle, situé à l'est de l'Écusson, le centre historique de Montpellier, et donnant sur l'Esplanade, à proximité immédiate de la Place de la Comédie. Cette installation fut rendue possible après trois années d'importants travaux commencés en 1825, financés en totalité par la municipalité et confiés par le maire, aux deux architectes de la ville de Montpellier, MM. Fovis et Boué. Ils vont œuvrer en étroite liaison avec lui-même et Fabre. Ce sont ces longs travaux qui permettront l'installation et l'ouverture du musée dans cet hôtel en 1828. Le maire tint à faire entrer Fabre au sein du conseil municipal en 1828, année où Fabre fut fait baron par lettres patentes du roi Charles X.

Il participa à la pose solennelle, le 13 octobre 1814 par Monsieur, comte d'Artois, futur Charles X à Montpellier, en présence du préfet, du président du conseil général de l'Hérault, de la première pierre pour le rétablissement de la statue équestre du roi Louis XIV, place du Peyrou. Une première statue en bronze avait été érigée par les États de Languedoc le 27 février 1718. Elle avait été déposée et fondue en canons à Lyon pendant la période révolutionnaire en 1792 où l'esplanade failli disparaître, devenue un terrain vague informe, complètement dévasté.

Il fit ériger en 1828 par la ville place du marché aux fleurs une statue du roi Louis XVI (dont il avait posé solennellement la première pierre le 11 novembre 1819, après une délibération spécifique du conseil municipal de Montpellier décidant de l'érection de cette statue.
Il reçu successivement à Montpellier en tant que maire, Monsieur comte d'Artois futur Charles X en 1814, le duc d'Angoulème en 1815 et la duchesse d’Angoulême (fille du roi Louis XVI et seule survivante de la famille royale emprisonnée au Temple, libérée en 1795) en 1823, reçue avec de grands honneurs et dans la liesse par la population de Montpellier et de la région venue en grande masse l'accueillir du 6 au 7 mai et du 21 au 23 où les honneurs qui lui furent réservés eurent un plus grand éclat encore.

Il assista au baptême du duc de Bordeaux (dit plus tard comte de Chambord) et fut appelé par lettre close du roi Charles X à assister à son sacre à Reims auquel il fut présent - en tant que maire d'une des bonnes villes du royaume - dans les stalles du chœur de la cathédrale, lors de la cérémonie, à cette occasion autorisé à monter dans les carrosses du roi pour s'y rendre.

Il donna sa démission en 1830, lorsque le duc d'Orléans futur Louis-Philippe Ier, nommé lieutenant général du royaume par le roi Charles X dans son acte d'abdication avec la mission expresse d'assurer la montée sur le trône de son petit fils le comte de Chambord à sa majorité, préféra se proclamer roi des Français.
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Message par Her Ven 7 Oct - 19:43

http://www.midilibre.fr/2011/10/07/l-histoire-de-la-vie-et-de-l-eau-en-photos,399160.php

Limoux L'histoire de la vie et de l'eau... en photos
Midi Libre
07/10/2011, 06 h 00
Réagir

Annabelle Moatty, auteure principale des photos et stagiaire dans le cadre du Sage de la Haute-Vallée de l'Aude. (© D.R)
"Les Hommes, les Eaux et les Territoires en Haute-Vallée de l'Aude" ou la petite histoire de la vie des hommes et de l'eau. Dans le cadre du Sage (schéma d'aménagement et de gestion des eaux) de la Haute-Vallée de l'Aude, et des actions de sensibilisation qui sont menées par son équipe tout au long de son élaboration, une exposition photos a été conçue.

Le vernissage aura lieu mercredi 19 octobre, à la maison du département (antenne du conseil général), dès 17 h. Cette exposition est une illustration de la diversité des acteurs de l'eau et des milieux aquatiques. Elle a été réalisée en parallèle d'un travail de communication sur les bonnes pratiques vis-à-vis des eaux et des milieux aquatiques au travers d'un guide des usagers de l'Eau en Haute-Vallée de l'Aude.

Elle allie l'artistique à l'éducatif, autour de panneaux, où portraits et paysages se dévoilent.
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Message par Her Ven 7 Oct - 19:46

http://www.cathare.net/inscription.html

Sortie -diaporama " les espèces protégées de la réserve naturelle de la grotte du TM " à Fontanes de Sault

Lieu: Fontanes-de-Sault 11140
Date: Samedi 01 Octobre 2011 à 14H0

Samedi 14h – 18h / Maison de la Réserve

Diaporama sur les espèces faunistiques et floristiques protégées de la réserve, souterraines et de surface, des plus remarquables à celles qui nous entourent : du desman des Pyrénées, en passant par les 20 espèces de chauves-souris du site jusqu’au lézard des murailles...Sortie sur le terrain pour découvrir et mieux connaître certaines de ces espèces.

Renseignement : réserve nationale de la grotte 04/68/20/06/74

Grotte du TM 71 (11)

Cette grotte de 96 hectares située en haute vallée de l’Aude a été mise en réserve le 17 août 1987 sur la commune de Fontanès-de-Sault. Le lieu est magique mais l’accès de la grotte est malheureusement interdit au public. Des traces et des vestiges d’ours des cavernes y ont été découverts, et une importante faune souterraine y vit encore, 54 invertébrés, et des chauves-souris. Quant à la faune de surface ce sont 40 oiseaux, le desman des Pyrénées ; et 402 espèces végétales.
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Message par Her Ven 7 Oct - 19:52

http://www.midilibre.fr/2011/10/07/surprises-par-la-nuit-au-pic-de-bugarach,399167.php

Limoux Surprises par la nuit au pic de Bugarach
C. V.
07/10/2011, 06 h 00

Deux femmes âgées de 63 et 57 ans, en vacances du côté de Rennes-les-Bains, se sont engagées, un peu tard, dans l'ascension du pic de Bugarach. Surprises par la tombée de la nuit, dans un éboulis rocheux, elles décidaient, apeurées, de joindre les pompiers à l'aide d'un téléphone portable. L'alerte était donnée à 19 h 17, les femmes ont été repérées aux alentours de 20 h puis héliportées par la sécurité civile. Fin de l'intervention à 21 h 30. Le Grimp (Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux) et la gendarmerie attendaient les deux touristes résidant en Suisse, au pied du pic. Indemnes, elles ont pu regagner leur véhicule.

//////////////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Vous voyez bien que les Mayas avaient dit vrai ! car si au Bugarach, on peut être y protégé de la fin du monde comme le disent certains illuminés, on le sera tout autant dans des choses beaucoup moins dramatiques comme par exemple pour ce fait divers...
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