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Rennes-le-Château - Chroniques et Actualités de la Haute Vallée de l'Aude et sur les Trésors du Monde

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Message par Her Sam 8 Oct - 10:53

http://www.ledauphine.com/savoie/2011/10/08/un-tresor-trouve-dans-une-valise

MODANE
Un trésor trouvé dans une valise

Dans le bagage de la Tunisienne, 13 téléphones portables.
Actualité

Elle n’avait qu’un bagage. Quand les fonctionnaires de la Police aux frontières, mardi, l’ont contrôlée, dans le TGV Milan-Paris, ils ont découvert à l’intérieur un bel échantillon : 63 articles, dont 13 téléphones portables et “smartphones”, des stylos, portefeuilles et sacs à main de grandes marques, huit paires de lunettes à l’avenant, un foulard, une trousse à crayons issue d’un grand maroquinier.

Tour ceci était en possession d’une ressortissante tunisienne, mère de quatre enfants dont une handicapée, en situation régulière en France, selon ses dires hébergée chez son concubin. Évidemment, ce trésor en marchandises de luxe en sa possession, c’était curieux.

Un expert de la maison Chanel, consulté sur les deux sacs à main provenant de sa marque, les a évalués à respectivement 2 500 et 3 000 €. L’ensemble de la marchandise se monte à 20 500 €. La Tunisienne, qui se rendait pour la troisième fois en Italie, a expliqué avoir acheté le lot pour 1 000 € à un Marocain, et qu’elle espérait le revendre pour 5 000 €. Elle a reconnu bien savoir que la marchandise était volée ou d’origine douteuse. L’enquête, en ce qui concerne les téléphones, semble montrer qu’ils ont été volés en Grèce.

Soupçonnant l’existence d’un véritable réseau, les policiers ont obtenu par l’intermédiaire du parquet de Bobigny une perquisition au domicile de l’intéressée. La brigade financière d’Épinay-sur-Seine y a découvert une multitude d’objets de luxe. Après sa garde à vue, la Tunisienne a été placée par la justice sous contrôle judiciaire, avec interdiction de quitter la France.
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Message par Her Mer 12 Oct - 21:42

http://www.midilibre.fr/2011/10/10/la-haute-vallee-sauvee-par-un-cure-progressiste,399985.php

Limoux La Haute-Vallée sauvée par un curé progressiste
B. C.
10/10/2011,

Grâce à Louis Cardaillac, l'abbé Félix Armand va-t-il sortir de l'ombre ? (Photo Guillaume)
La foi soulève et déplace les montagnes" affirme un adage. Elle peut aussi les transpercer. L'abbé Félix Armand, curé de Saint-Martin-Lys, en est la preuve. Sa foi de granit était un roc sur lequel il s'est appuyé pour sauver ses paroissiens de la pauvreté tout en développant l'économie d'une région. Une belle histoire ! Elle aurait pu inspirer un cinéaste d'Hollywood.

Si des hommes ont creusé le canal de Suez, construit la Tour Eiffel, percé le tunnel sous la Manche, à la fin du XVIIIe siècle, un prêtre isolé, inspiré par l'Évangile, a fait sauter le verrou du défilé de Pierre-Lys, surnommé "Roc maudit" par les habitants de Saint-Martin-Lys.

Plutôt qu'un grand chantier, ce fut une épopée... Qu'aucun poète n'a chantée. Mais si Louis Cardaillac ne taquine pas la rime, cet agrégé retraité, et docteur es Lettres, qui a enseigné l'Histoire à l'université Paul-Valéry, a réparé l'oubli dont Félix Armand est l'objet.

Le 1er octobre, il a fait paraître un livre intitulé "Félix Armand et son temps" (imprimerie Tinéna, à Quillan). Il l'a dédicacé vendredi à la Maison de la presse.

"Il n'acceptait pas la pauvreté que subissaient les villageois de Saint-Martin. Il ne supportait pas non plus que la Pierre-Lys soit obstruée par la montagne. Et il a eu cette idée de génie, inspirée par sa foi, d'organiser un chantier (NDLR : il s'est déroulé de 1774 jusqu'à 1823) pour creuser la roche. Grâce à lui, toute une région de l'Aude, depuis Saint-Martin jusqu'à Carcassonne, fut ainsi économiquement désenclavée en ouvrant une route vers les Pyrénées-Orientales (avant il fallait passer par le col de Saint-Louis-de-Parahou, une route interminable). Et toujours grâce à lui, des dizaines de gens sans travail ont pu gagner un salaire décent en œuvrant sur ce chantier. Félix Armand a même institué une société mutuelle pour protéger les personnes victimes de la misère !".

Et c'est lui qui a introduit la culture de la pomme de terre sur les hauteurs dominant Saint-Martin, en plus ! "Cette histoire démontre qu'il existe des hommes d'Eglise qui ont un grand esprit d'ouverture". Félix Armand était pourtant monarchiste. Mais les étiquettes politiques ont-elles toujours le sens qu'on leur prête ? Car, dans les mémoires, Félix Armand apparait surtout comme un homme de progrès. Sans doute était-il homme d'Évangile plus que d'Église ? Un monarchiste dont le royaume n'était pas de ce monde...

En tout cas, on est loin de l'abbé Saunière, curé de Rennes-le-Château, qui, lui, s'est enrichi avec l'argent des messes. Et il n'a laissé aucun trésor, quoique beaucoup d'illuminés tentent de le découvrir en creusant des trous. Félix Armand, lui, n'a laissé qu'un trou, mais le bon ! Par affection, ses paroissiens ont même surnommé cette ouverture dans la montagne "Le trou du curé".
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Message par Her Ven 14 Oct - 19:11

http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/14/1192057-la-haute-vallee-de-l-aude-en-train-touristique.html

Carcassonne et sa région
« Aude - Littoral
PUBLIÉ LE 14/10/2011 08:55 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Le 16/10/2011
La haute vallée de l'Aude en train touristique
excursion

Un train pas comme les autres.

L'équipe de l'Amicale des Cheminots vous amène découvrir la Haute Vallée de l'Aude dimanche 16 octobre, via le Lauragais, la cité de Carcassonne et Quillan. À Espéraza, les passagers pourront visiter le musée des dinosaures : et le musée de la chapellerie. : A Limoux, une pause dégustation sera proposée afin de savourer avec modération, la fameuse blanquette.

La traction du train sera assurée par une locomotive diesel des années soixante. La rame de ce Train spécial est constituée notamment de voitures de type « Est » (1932). La voiture « bar » sera à votre disposition durant tout le trajet. L'horaire au départ de Toulouse est fixé à 8 h 27. Le retour est prévu pour 21 h 02. Gares desservies : Labège-innopole, Escalquens, Villefranche-de-Lauragais, Castelnaudary, Bram, Carcassonne, Limoux, Esperaza et Quillan. Pour vous procurer les billets du Train à vapeur de Toulouse, un vrai grand train d'autrefois, avec son panache de vapeur et son sifflet caractéristique, s'adresser au Train à vapeur de Toulouse, lieu-dit « En Garric », 31590 Verfeil Téléphone 05 61 09 42 61. E-mail : contact@trainvapeur-toulouse.com. Site : http://www.trainvapeur-toulouse.com
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Message par Her Dim 16 Oct - 12:29

http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/16/1193524-limoux-deux-chasseurs-blesses-au-cours-de-battues.html

Limoux et sa région
« Aude - Littoral
PUBLIÉ LE 16/10/2011 03:46 - MODIFIÉ LE 16/10/2011 À 08:47 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

Limoux. Deux chasseurs blessés au cours de battues

Un chasseur sachant chasser

Deux accidents de chasse se sont produits au cours de la journée d'hier, dans le cadre de battues au sanglier et au chevreuil. Le plus grave est survenu sur le coup de 10 heures, à Leuc, au lieudit «Saint-Charles». Un des chasseurs de l'équipe en place, constituée d'une trentaine de personnes, a voulu se déplacer et a fait une chute. Son arme,un fusil calibre 12 type «drilling», à balle 7.65, était chargée. En tombant le coup est parti, blessant gravement le chasseur dans la région de l'abdomen. Il s'agit de M.Jean-François Cros, âgé de 55 ans, employé de mairie à Carcassonne, domicilié dans cette ville. Secouru par ses camarades qui alertaient les secours, le chasseur, qui n'aurait pas perdu connaissance, était héliporté par le Samu 11 vers l'hôpital Rangueil de Toulouse. Bien que son état soit estimé préoccupant, le diagnostic vital ne serait pas engagé.

Le second accident s'est produit vers 15 heures, sur la commune de Bessède-de-Sault. L'équipe de l'AICCA Bessède-Aunat, une quinzaine de chasseurs, était postée au col de Triby.Une balle perdue, tirée par l'un des chasseurs sur un chevreuil, serait venue se loger dans la cuisse droite de M.William Roubaud, 47 ans, domicilié à Canohès dans les P.-O. Ce dernier se trouvait à 200 m environ du chasseur maladroit. Rapidement secouru par ses camarades, il était héliporté, toujours par le Samu 11, sur l'hôpital de Perpignan.

Dans les deux cas, les gendarmes ont ouvert une enquête.
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Message par Her Dim 16 Oct - 12:31

http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/16/1193702-couiza-les-elus-se-forment-aux-arcanes-du-debroussaillement.html

Couiza et sa région
« Aude - Littoral
PUBLIÉ LE 16/10/2011 03:47 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Couiza. Les élus se forment aux arcanes du débroussaillement

Les acteurs de la réunion ont abordé toutes les difficultés qui se posent aux maires en matière de débroussaillement./Photo DDM.

Dernièrement, les élus étaient convoqués à une journée de formation sur le thème: «Quelles démarches et quels moyens pour l'application du débroussaillement obligatoire sur la commune? ». Une journée de formation qui s'est étalée sur la journée, animée par François Joliclercq, des communes forestières Languedoc-Roussillon ; Jean-Paul Baylac, du SDIS 11 ; Éric Alger, de la DDTM 11 ; François Chattelard, du conseil général de l'Aude.

Une obligation légale
Après quelques mots d'accueil par l'adjoint Jean-Paul Quief, en l'absence du maire excusé, les participants sont rentrés dans le vif du sujet. Le débroussaillement est une obligation légale et un enjeu fort pour les maires afin d'éviter les incendies. La réglementation du débroussaillement obligatoire est une protection pour les personnes, les biens et la forêt. Les textes de loi relatifs au débroussaillement se trouvent essentiellement dans le code forestier. Ces articles donnent la définition du débroussaillement, définissent les périmètres et indiquent les modalités de réalisation des travaux. Ils précisent également le rôle des maires et du préfet ainsi que les sanctions de contrainte encourue par les contrevenants. À noter que l'article L 122-8 du code des assurances laisse en cas de dommages garantis en sus des franchises prévues au contrat une franchise d'un montant maximum de 5 000 € s'il est établi que l'assuré ne s'est pas conformé aux obligations de débroussaillement.

La formation s'est poursuivie avec la méthode de mise en œuvre du débroussaillement obligatoire: comment informer les administrés, encourager la mise en œuvre du débroussaillement, contrôler et contraindre les propriétaires défaillants. C'est par un échange très fructueux entre les participants que s'est clôturée cette journée de formation.
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Message par Her Dim 16 Oct - 12:32

http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/16/1193819-cubieres-sur-cinoble-gorges-de-galamus-le-bilan-de-la-saison-estivale.html

Cubières-sur-Cinoble et sa région
« Aude - Littoral
PUBLIÉ LE 16/10/2011 03:46 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Cubières-sur-Cinoble. Gorges de Galamus : le bilan de la saison estivale

L'Ermitage des gorges de Galamus. /Photo DDM.

Les gorges de Galamus, site naturel remarquable des Pyrénées-Orientales et de l'Aude, sont depuis neuf saisons mises en avant par les communes limitrophes. La traversée plus ou moins périlleuse du site pouvait durer jusqu'à 3 heures (au lieu de 10 minutes) du fait de son étroitesse. Face à ce phénomène, les communes de Cubières-sur-Cinoble et de Saint-Paul-de-Fenouillet ont décidé avec l'aide des deux départements de mettre en place un dispositif de circulation alternée avec une navette. Cette opération a débuté en 2003 à titre expérimental et est réitérée chaque année du 5 juillet au 31 août de 13 heures à 19 heures.

La grande nouveauté de la saison 2011, avec plus de 21 000 véhicules, restera l'arrivée des deux diablines, des véhicules électriques qui ont servi de navette au sein du site pour le plus grand plaisir des touristes émerveillés du paysage et de cette démarche «énergie propre». Plus de 5 400 utilisateurs pour ce coup d'envoi, record absolu depuis la création de cette opération, le maximum ayant été 3 738 en 2009. La commune de Cubières est à l'origine de cette évolution environnementale et propriétaire des deux véhicules. ERDF, qui a suivi l'aventure depuis le début avec la commune de Cubières, a soutenu cette dernière dans les différentes étapes techniques et administratives et a participé financièrement à l'aboutissement du projet. Cerise sur le gâteau, tout est gratuit: la navette, la visite, les parkings…
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Message par Her Dim 16 Oct - 12:51

http://www.midilibre.fr/2011/10/16/reprise-du-catechisme,403014.php

Roquefort-des-Corbières Reprise du catéchisme
Midi Libre
16/10/2011, 06 h 00

Les enfants à la découverte de la religion catholique. (© D.R)
ROQUEFORT-DES-CORBIERES

Annie et Danielle accueillent les enfants au catéchisme dans le local de la rue des Commerces le mercredi matin. Les enfants sont séparés en deux groupes, à 9 h 30 les enfants de première année, pour ceux qui sont en classe de CE1/CE2 et à 10 h 30 les enfants en classe de CM1/CM2 pour la préparation à la première communion. Quelques enfants en préparation à la profession de foi viennent s'ajouter à ceux du premier groupe. Tous participent et animent la messe qui a lieu à Roquefort le dernier samedi de chaque mois (pour le mois d'octobre, en raison des vacances, ce sera le samedi 22). A la fin de l'année 2012, les 19 et 20 juin aura lieu le traditionnel voyage à Lourdes. Il sera proposé à tous les enfants inscrits. Les séances de catéchisme sont animées avec des parcours, en première année : "ma vie est un trésor" et en deuxième année "trésor de la foi". Ces cahiers d'activités sont composés de fiches ludiques pour apprendre la vie des chrétiens, de Jésus, des Saints, de l'Eglise catholique et d'un CD de chansons d'accompagnement.

Les enfants qui s'inscrivent au catéchisme n'ont pas forcément reçu le Baptême, ce sacrément peut leur être donné pendant leur temps d'ouverture à la foi.
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Message par Her Dim 16 Oct - 12:53

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Le-Tresor-du-sanctuaire-de-Sainte-Anne-d-Auray-pille-en-un-eclair_39382-2000741_actu.Htm

Sainte-Anne-d'Auray
Le Trésor du sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray pillé en un éclair
Faits diverssamedi 15 octobre 2011

Le père André Guillevic, recteur du sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray : « Les voleurs ont opéré en un temps record. »
Photo : Ouest-France

En février 2004, le Trésor du sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray avait été dévalisé une première fois. De nombreux objets avaient été dispersés dans la Laïta après avoir été dépouillés de leurs pierres précieuses. Cette fois, le cambriolage perpétré dans la nuit de jeudi à vendredi, dans la salle du Trésor du sanctuaire, semble de tout autre nature.

Les voleurs ont brisé cinq vitrines

Les voleurs s’y sont introduits en usant de pieds de biche avec lesquels ils ont forcé les lourdes portes. À ce moment précis, le système d’alarme s’est déclenché. Les voleurs n’ont eu le temps de briser à la masse et sans prendre de gants, cinq vitrines sur une quinzaine.

« Ils ont pris ce qu’ils pouvaient en un temps record, constate le père André Guillevic, recteur du sanctuaire encore sous le choc de ce pillage. Les voleurs ne visaient pas de grandes pièces, ni d’objets historiques qui aient une valeur muséographique. Ils ont jeté leur dévolu sur de petites pièces en or pour la plupart, aussi faciles à emporter à la va-vite qu’à écouler par la suite. Tout cela peut être fondu. »

Stupeur et tristesse à Saint-Anne-d’Auray

À Sainte-Anne, c’est évidemment la stupeur et la tristesse qui prévalent aujourd’hui : « Nous pensons d’abord aux pèlerins qui ont offert ces objets, plus qu’à leur valeur pécuniaire, indique sœur Anne-Marie, responsable de la gestion du Trésor. Sainte-Anne est par définition terre de vie et d’offrandes. Nous sommes touchés au cœur. »
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Message par Her Dim 16 Oct - 12:55

http://remimogenet.blog.tdg.ch/archive/2011/10/16/992026a9d03e4141f9ce8fb420c54b0d.html

16.10.2011
Genève et les trésors immortels

Ma bonne amie blogueuse Barbie, après avoir lu mon article sur les légendes de Genève, m'a indiqué une page Internet au sein de laquelle on pouvait en lire une. Or, j'ai pu constater qu'elle ressemble de près à une légende qui existe à Viuz en Sallaz sur les meulières de Vouan: chaque année, à Noël, les creux, qui sont des portes, s'ouvrent, et on peut alors accéder à une salle du palais des fées qui contient un trésor grandiose. Mais il faut ressortir avant le douzième coup de minuit - les portes ne s'ouvrant qu'au premier. Inutile de dire que rares sont ceux qui parviennent à s'arrêter à temps: c'est comme quand on va au casino et qu'on commence à gagner. L'intérieur d'un casino est d'ailleurs chatoyant à souhait: un vrai temple enchanté. Celui de Baden-Baden a des peintures de femmes divines, sur ses murs!

Cette légende se trouve aussi en Bretagne, selon Le Braz; mais mon avis est que ces motifs viennent en réalité des prêtres catholiques médiévaux qui racontaient des histoires édifiantes pour frapper les esprits en reprenant des thèmes mythologiques anciens: fées, dames blanches, spectres... Or, il faut se souvenir que Viuz en Sallaz fut sous la sujétion de l'évêque de Genève. On peut après tout imaginer que le même prêtre a raconté à peu près la même histoire, ou que les prêtres du diocèse avaient le même recueil d'exemples à présenter aux ouailles en sermon: les évêques avaient précisément pour charge d'établir ces recueils.

Cela a aussi pu se transmettre de façon orale. Cela expliquerait les menues différences: ruines d'un château pour les citadins que sont les Genevois, parois rocheuses à Viuz en Sallaz, qui est un village! Et donc, fantôme d'une défunte qui de son vivant logea au château, fée du mont au sein de la roche.

La Voix des Allobroges, à l'époque où ce noble journal paraissait sur papier, m'avait demandé des poèmes en rapport avec la Savoie, et je m'étais dit que je pourrais reprendre en vers les légendes locales: je participerais moi aussi à la mythologie universelle! J'en ai donc, alors, publié un sur ces fées de Vouan. La forme - un sonnet assonantique - est un peu imitée de Jean-Vincent Verdonnet, mon ami de Vétraz-Monthoux:

Au Vouan les fées se cachent sous la roche;
Leur cité d'or se tient sous la montagne.
Quand vient Noël soudain s'ouvre une porte
Qui montre aux yeux la splendeur et la flamme.

Jadis plus d'un croyant voir un trésor
Luire à portée a mis toute son âme
A s'emparer d'escarboucles énormes
Qui ressemblaient à de grandes étoiles!

Hélas, sur eux se sont closes les grottes;
Des profondeurs celui qu'on nomme l'Orc
Fit s'étirer ses griffes pour ces hommes.

On les entend gémir dans les abîmes.
Quel héros viendra donc des Terres fines
Les délivrer de ces affres terribles?

Un peu sombre, peut-être, mais quand même pas sans espoir.

09:49 Publié dans Littérature & folklore | Lien permanent | Commentaires (2) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note
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Message par Her Dim 16 Oct - 12:57

Lectoure et sa région
« Gers
PUBLIÉ LE 16/10/2011 03:47 | B.F.

Lectoure. La dédicace « guidée » de Charlou à Goutz

Au temps d'Alaric 1er, le roi des Wisigoths installé à Toulouse et qui aurait pu cacher partie du trésor du roi Salomon dans un castrum de Lomagne appelé Gotz, Goutz signifiait « le verseur de semence ». C'est ce que nous apprend Charles Dugros qui vient d'en faire le titre éponyme de son roman sous-titré « Histoire de mon village ». Depuis sa jeunesse, Charles Dugros aime interroger les mémoires vivantes de Midi-Pyrénées, dépositaires des mythes et légendes de notre histoire de France et d'Occitanie. En 2008, un retour dans son village natal de Goutz le conduit à y poursuivre un travail de mémoire commencé 40 ans plus tôt. « Mon livre est un roman où se mêlent des faits historiques, des souvenirs d'enfance et de l'imaginaire », nous prévient « Charlou ». Il y évoque la commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean, Jeanne d'Albret, Nostradamus…

Publié aux éditions Agora, « Le Verseur de semence » sera présenté à l'Ostal d'Occitanie, à Toulouse, le 29 octobre. En avant-première Charles Dugros vient le dédicacer à Goutz aujourd'hui, à 15 heures. En avant-propos, il commentera la visite de son village à retrouver ensuite au fil des pages… entre mythes et réalités.
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Message par Her Mer 19 Oct - 14:50

http://www.courrierinternational.com/article/2011/10/19/le-fabuleux-butin-du-general

Le fabuleux butin du général
Un général japonais aurait planqué un magot aux Philippines pendant la Seconde Guerre mondiale. Depuis plus de soixante ans, les chasseurs de trésors ne cessent de le chercher, relate The Straits Times.

19.10.2011 | Alastair McIndoe | The Straits Times

Philippines
Japon

Depuis des décennies, les chasseurs de trésors passent au crible les côtes philippines à la recherche d’un immense butin de guerre que les troupes japonaises y auraient caché avant de se rendre aux armées alliées en 1945.

Mythe ou réalité, le trésor de Yamashita – du nom du général japonais qui tenta un ultime baroud d’honneur face aux forces alliées aux Philippines – continue de faire rêver. Les habitants de Mauban, petite ville côtière de l’archipel où se trouverait une partie du trésor de Yamashita, n’ont donc guère été surpris de voir des chasseurs de trésors recommencer à explorer des parcelles privées, en février dernier. Située sur l’île de Luzon, dans la province de Quezon [sur la plus grande île du pays] Mauban avait été l’un des principaux ports de débarquement de l’invasion japonaise en décembre 1941. Plusieurs sources font état de l’aménagement de tunnels durant l’occupation. Selon une estimation faite après la guerre, le butin se monterait à 4 000 ou 6 000 tonnes d’or, soit plusieurs centaines de milliards de dollars.

Le dictateur Ferdinand Marcos [qui a régné de 1965 à 1986] a même en son temps fait appel à l’armée philippine pour trouver cet or.

“Cette chasse au trésor est à l’origine de beaucoup d’activités illégales. Des sites archéologiques, dont certaines grottes datant de l’âge de pierre et autres lieux historiques importants, ont été dégradés”, explique Angel Bautista, responsable du patrimoine culturel au Musée national des Philippines.

En septembre, des centaines de résidents en colère se sont réunis devant la mairie de Mauban pour demander l’arrêt des déprédations. La manifestation a mis en évidence les problèmes générés par cette quête obsessive du trésor de Yamashita.

Les habitants se sont plaints du vacarme occasionné par les travaux qui, de surcroît, affectent leur approvisionnement en eau et risquent de provoquer un glissement de terrain. Cela n’a fait qu’aggraver la situation : peu après, les résidents ont été réveillés en pleine nuit par des explosions.

Les chasseurs de trésors opérant aux alentours d’Olongapo ont provoqué un éboulement, causant la mort de deux personnes et en blessant sept autres.

Pourtant, si bon nombre de plongées et de fouilles sauvages sont illégales, certaines opérations sont, elles, autorisées. Ainsi, la société Cabanisas, de Manille, a obtenu une autorisation du gouvernement pour entreprendre une quête du trésor.

“Il paraît qu’ils avaient une carte appartenant à un Japonais qui était avec eux de temps en temps”, déclare Fernando Llamas, maire de Mauban.

Les travaux ont dorénavant cessé à Mauban. Après s’être rendus sur les lieux, les responsables locaux ont découvert de nombreuses infractions, et notamment des tunnels horizontaux. Les sept mois de recherche de Cabanisas seraient restés infructueux, mais la société n’a fourni aucun détail. “Et pourtant, il y a encore beaucoup de gens, Philippins et étrangers, qui gaspillent leur argent dans la chasse au trésor de Yamashita”, constate Angel Bautista, dont le bureau est chargé de la délivrance des permis aux chasseurs de trésors. Ces derniers sont persuadés que les Japonais ont enterré l’or, les pierres précieuses et autres richesses pillées dans tous les pays d’Asie du Sud-Est aux Philippines après l’offensive des sous-marins alliés qui avait compromis leur rapatriement au Japon. Le musée national – qui était chargé d’encadrer les activités des chasseurs de trésor l’année dernière – a enregistré près de soixante fouilles illégales cette année. Sur les quarante demandes d’autorisation reçues ces huit derniers mois, seules cinq ont été approuvées et, d’après le musée, jamais aucun lingot n’a été identifié comme faisant partie du trésor de Yamashita.

La loi stipule que 70 % ou 50 % de tout trésor découvert sur un terrain public ou privé doit revenir à l’Etat philippin. Naturellement, la légende du trésor de Yamashita alimente tout une industrie locale de fausses cartes au trésor et autres escroqueries.

En janvier dernier, un couple de Chinois en partance pour Hong Kong a été arrêté par les douaniers de l’aéroport de Manille en possession d’un lingot d’or de 5 kg, estampillé “Yamashita Gold 999”. S’ils ont finalement pu prendre leur avion, ils ont dû laisser leur lingot aux autorités. Après examen, il s’est avéré que l’objet du délit était en réalité en bronze.


Histoire

Durant la Seconde Guerre mondiale, le général japonais Tomyuki Yamashita envahit avec ses 30 000 hommes les colonies britanniques de Malaisie et de Singapour, défendues par 120 000 soldats britanniques, indiens et australiens. Il devint en 1944 gouverneur militaire des Philippines et fut exécuté en 1946.
La légende du trésor de Yamashita prend sa source à la fin des années 1930, époque où les troupes japonaises envahirent la Mandchourie. Les soldats auraient pillé tous les villages où ils passaient, amassant un butin considérable. Ce trésor aurait été chargé à bord d’un navire japonais en partance pour les Philippines, puis enfoui dans des tunnels sur l’île de Luzon. Mais, de décembre 1944 à septembre 1945, Yamashita ne cessa de se déplacer, combattant les Américains qui reprenaient peu à peu le contrôle de l’archipel. Certains historiens estiment que, dans ces conditions, jamais le général n’aurait eu le temps de transporter son magot d’un endroit à l’autre.
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Message par Her Mer 19 Oct - 14:56

http://catherinepierdat.over-blog.com/article-bientot-80403341.html

Vendredi 23 septembre 2011
L'Île Sacrée en pré-vente

L'Île Sacrée, un essai de Catherine Pierdat, en pré-vente dès aujourd'hui

Synopsis

L’abbé Henri Boudet est curé de Rennes-les-Bains, petite station thermale très prisée en cette fin de dix-neuvième siècle. Il publie en 1886 un livre singulier et obscur : « La Vraie Langue celtique et le Cromleck de Rennes-les-Bains » dans lequel il prétend restituer la langue originelle grâce à l’anglais moderne, très proche, selon lui, de la langue des Tectosages, tribu celte du sud-ouest de la Gaule. L’abbé se lance dans des démonstrations farfelues, pour ne pas dire ridicules, et additionne les élucubrations. Il devient la risée de la communauté scientifique locale qui s’esclaffe en citant des passages de son ouvrage. Pourtant, Henri Boudet est loin d’être idiot et on ne lui connaît pas non plus de signes de folie. Alors pourquoi ce suicide éditorial ? La raison est simple : le livre est codé. Il n’est pas destiné au profane mais à une élite d’initiés. Ce que contient ce livre est si grave, si important, que la raillerie de quelques scientifiques rationalistes ne peut pas affecter son auteur.

Pour la première fois, La Vraie Langue celtique de l’abbé Boudet est entièrement décodée. Après quatre ans de travail acharné et méthodique, l’auteur de L’Île Sacrée met au jour un double secret — d’Etat et d’Eglise — jusqu’ici oublié des historiens. Il s’agit d’un Plan divin imaginé par les Spirituels franciscains du XIIIe siècle et réalisé sur terre au fil des siècles, étape par étape, par des souverains, des papes, des artistes tels que Nicolas Poussin, et des savants tels que Cassini. Le Plan restitué par l’analyse de la VLC (La Vraie Langue Celtique) révèle deux lieux dissimulés : une île de l’Atlantique et une colline sacrée du département de l’Aude.

La Vraie Langue celtique de l’abbé Boudet est la clef d’une énigme historique des plus populaires de notre temps, la fameuse affaire de Rennes-le-Château.

Symbolisme
Géographie sacrée
Histoire secrète

Auteur : Catherine Pierdat
Préface : Christian Doumergue
Pages : environ 350
Prix : 24,90 € TTC
Editeur : RDM Editions

Si vous êtes intéressez par ce livre rejoignez le groupe Facebook de l'auteur.

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Commentaire d'Hercule : Cela m'étonnerait beaucoup que cette personne ait réussi à décoder le mystère du livre de l'abbé Henri Boudet en passant par les spirituels franciscains qui sont des fils de saint François d'Assise et qui avaient épousé Dame Pauvreté comme leur fondateur... et donc qui ne courraient pas après la fortune !... par contre, ces religieux étaient très portés sur les prophéties chrétiennes et là c'est plus intéressant, mais je reste très septique sur la démarche.

Nous verrons les réactions et les critiques.


Dernière édition par Hercule le Mer 19 Oct - 15:05, édité 1 fois
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Message par Her Mer 19 Oct - 14:58

http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/19/1195607-couiza-ombres-et-lumieres-sur-rennes-le-chateau.html

Couiza et sa région
PUBLIÉ LE 19/10/2011 09:54 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Couiza. «Ombres et Lumières» sur Rennes-le-Château

La présentation du livre «Ombres et lumières». /Photo DDM.

Encore un livre de plus, allez- vous dire ! Eh bien non , le livre «Ombres et lumières», de Jean-Louis Socquet-Juglard et de Jean-Pierre Monteils présenté en ce vendredi à l'office de tourisme du Pays de Couiza, est un livre différent de tous ceux qui existent à ce jour sur le sujet de Rennes-le-Château et sa proche région. Différent par son contenu: il se démarque radicalement par l'angle d'attaque choisi par les auteurs. Si Rennes-le-Château et le pays qui l'entoure bénéficient d'une telle notoriété, leur histoire autant que leur esthétique et leur ambiance doivent y être pour quelque chose.

Dans ce livre, Jean-Louis, le «photographe de l'Aude», publie quelque 172 photos. Quant à Jean-Pierre Monteils, il est historiquement le plus ancien auteur vivant ayant écrit un livre sur Rennes-le-Château. Ses textes sont complémentaires des photos, avec un ton volontairement décalé, poétique, humoristique, tendre.

C'est le premier «beau livre» dédié à la cité du Chariot, à ses alentours mais aussi aux personnes qui ont vécu et vivent en ces lieux,un livre à offrir ou à s'offrir, en tout cas un livre qui manquait. Et à l'heure des dédicaces, tous, président de l'office de tourisme, président de la communauté de communes, maire et conseiller général ont été d'accord pour reconnaître la qualité de l'ouvrage, disponible à l'office de tourisme de Couiza ou à Rennes-les-Bains dans les bureaux d'Ecla.
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Message par Her Mer 19 Oct - 15:09

http://www.courrierinternational.com/article/1999/03/25/quand-marcos-recuperait-les-tresors-de-guerre-japonais

Quand Marcos récupérait les trésors de guerre japonais
Président de 1965 à 1986, Ferdinand Marcos a accumulé une immense fortune. A-t-il dérobé les stocks d'or cachés par les Japonais durant la Seconde Guerre mondiale ? Certains militaires l'affirment aujourd'hui et réclament leur dû.

25.03.1999 | Josephine L. Carpio | The Manila Times

N° 438
FICHES PAYS
Philippines
Japon
VILLES
Manille

Accusée d'avoir fait fortune illégalement, la famille Marcos s'est défendue pendant treize ans en affirmant que cet argent provenait de trésors enterrés par l'armée impériale japonaise. Elle ne se doutait pas que cet argument se retournerait un jour contre elle. Une organisation composée de militaires d'active et à la retraite - dont les membres appartenaient à une unité spéciale créée par Marcos pour rechercher les trésors cachés - revendique aujourd'hui une part de ces millions. Baptisée The Forgotten Claimants of Yamashita World War II Treasures Versus the Marcos Estate Inc. [Contre la fortune des Marcos, les demandeurs oubliés des trésors laissés par Yamashita pendant la Seconde Guerre mondiale], cette association certifie avoir joué un rôle direct dans la découverte du butin de guerre japonais. "Sans nous, la fortune des Marcos n'existerait pas, car nous sommes la clé du problème, le chaînon manquant", affirme son porte-parole, Robert Caoile, retraité de l'armée. Les 590 millions de dollars [3,5 milliards de FF] des Marcos actuellement en dépôt à la Banque nationale des Philippines font aujourd'hui l'objet d'un différend entre le gouvernement philippin, la famille de l'ancien président et quelque 10 000 victimes des violations des droits de l'homme perpétrées sous le régime Marcos.
Selon M. Caoile, les soldats ont été recrutés pour faire partie d'une unité secrète - dénommée Task Force Restoration [unité spéciale de récupération] - juste avant que Marcos ne proclame la loi martiale, le 21 septembre 1972. Leur mission consistait à mettre en oeuvre d'importantes fouilles pendant que les troupes combattaient les rebelles communistes et sécessionnistes dans d'autres régions du pays. M. Caoile affirme qu'un mois environ après la proclamation de la loi martiale, au lieu de recevoir des armes pour lutter contre les rebelles, les membres de la Task Force Restoration se sont vu livrer des pelles, des bulldozers, des pelleteuses, des grues. Ils ont alors reçu l'ordre de fouiller un terrain proche du lac Caliraya [à quelques kilomètres à l'est de Manille]. La zone des fouilles mesurait un demi-hectare de surface sur plus de douze mètres de profondeur, se souvient l'ancien militaire. Il précise que les opérations étaient menées durant la nuit pour éviter d'éveiller la curiosité, notamment dans les zones habitées.

Dans une déclaration de douze pages, des membres de l'unité qui auraient mené à bien ce programme affirment avoir mis au jour dix chambres fortes en béton contenant des fûts d'acier et des caissons en cuivre près du lac Caliraya, le soir du 27 avril 1973. Les fûts et caissons contenaient de l'or et divers métaux précieux. Presque immédiatement, Marcos est apparu à bord d'un hélicoptère présidentiel, accompagné du général Fabian Ver, du colonel Ramon Cannu, officier commandant la deuxième brigade d'infanterie, et de plusieurs membres du bataillon de la garde présidentielle. Ils étaient également accompagnés de quatre ressortissants japonais. Comme beaucoup de soldats avaient vu le trésor, Marcos aurait promis aux membres de l'unité spéciale qu'ils recevraient leur part en temps voulu. Ce spectacle et cette promesse allaient se répéter au fur et à mesure des nouvelles découvertes. Selon M. Caoile, son unité aurait fouillé au moins trente sites sur l'ensemble du territoire, mettant au jour quelque 60 000 tonnes d'or, de métaux précieux et autres pierres précieuses. Ce chiffre paraît hautement invraisemblable, même par comparaison avec les réserves mondiales.
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Message par Her Mer 19 Oct - 15:42

http://enigme-de-rennes-le-chateau.e-monsite.com/pages/des-artistes-et-des-pierres-dans-le-razes-le-bel-oeuvre-de-l-abbe-boudet.html

"Des artistes et des pierres dans le Razès - Le bel oeuvre de l'abbé Boudet"
Auteur Gérard Piedevigne

485 pages - Parution : à compter du 22 Avril 2011 -

Dan Brown, auteur du Da Vinci Code, a intégré dans son œuvre quelques données propres à l’énigme de Rennes le Château. Le lecteur trouve ainsi dans ce roman les traces d’une proximité qui donnent au récit un caractère d’authenticité. Cet amalgame subtilement dosé a certainement contribué au succès du livre.

L’un des effets consécutifs à la publication de ce roman et à l’engouement qu’il a suscité, a été indéniablement d’accroître la renommée du petit village de l’Aude et de son mystère. En quelques coins sur la planète, l’histoire de monsieur l’abbé Saunière ou son nom seul, même, éveille désormais l’attention et parle à l’imagination. Au plus près cependant, c’est à dire parmi les habitants du terroir et au sein de la communauté de passionnés, intensément attachés à cette affaire, l’écho de cette réputation n’a provoqué qu’une satisfaction diversement partagée. Aux regrets, ici et là, du joli temps où l’approche du mystère réservait aux premiers observateurs le goût de la familiarité, s’est ajoutée la crainte que cette célébrité ne génère pour les résidents quelques inconvénients qui l’emporteraient sur les avantages. Le phénomène actuel « Bugarach » (sur lequel il y aura lieu de revenir ultérieurement) démontre aujourd’hui le bien fondé de cette appréhension.

Le succès littéraire de Dan Brown a toutefois généré un effet imprévisible, qui ne s’est d’ailleurs manifesté et développé que dans les temps suivants. Le Da Vinci Code est un roman et quelles que soient ses qualités, les lecteurs l’ont toujours considéré pour tel, c’est à dire une œuvre d’imagination. Peu à peu, l’énigme de Rennes le Château qui constituait la référence lointaine mais concrète, du roman, s’est vue à son tour appréhendée sous une même optique. Le Da Vinci Code a contaminé l’affaire de Rennes et de l’abbé Saunière. La perception qu’en avait le public a évolué au fil du temps et l’authentique mystère est devenu une « histoire » en laquelle chacun s’est attardé à retrouver, sous le voile qui habille les rêves, les mêmes ressorts que ceux qui animent une œuvre de fiction. Les réflexions et les interrogations ont laissé la place à l’imagination et aux supputations toujours plus audacieuses, improbables souvent, jusqu’en des projections fantaisistes ou chimériques.

Or, l’énigme de Rennes n’est pas fictive et quoiqu’elle puisse susciter de spéculations, elle est évidemment enracinée dans le terroir (et au-delà), sa géographie, son histoire. Les signes de sa présence sont nombreux et incontestables. Cette diversité constitue même l’une des caractéristiques de l’affaire et, indirectement, l’un des autres facteurs qui ont contribué à banaliser l’énigme de Rennes et à amoindrir l’intérêt qu’elle suscitait dans l’esprit du public.

Autant de signes en effet, autant de portes appelant à pénétrer le mystère, autant de pistes d’investigations. Ajoutons encore : autant d’hypothèses formulées. Chacun des observateurs, dont un nombre considérable sont devenus auteurs, ont entrevu dans ce signe ou cet autre, et selon leur perception personnelle, matière à déterminer l’origine et la nature de l’énigme, et donc sa résolution. Cependant, tant de diversités pour une seule affaire ne pouvaient que susciter la perplexité dans l’appréciation commune. Le doute, l’incrédulité ont suivi, la désaffection enfin, tandis que se développait un mode de communication chargé de surenchères, où la volonté de persuader du bien fondé de ses propres convictions, consistait avant tout à montrer l’improbabilité de celles des autres. Ultime conséquence : à ce jour, diverses objections ont été présentées, réfutant l’existence même d’une énigme dans cette affaire.

Une première démarche consisterait donc à raviver l’intérêt du plus grand nombre, en soumettant à leur attention des éléments dont la réalité ne fait aucun doute et qui, par leur nature ou leur facture, ont interrogé le sens commun. Si les signes avertissant de la présence du mystère sont nombreux, il nous faut toutefois les classer par rang d’importance et d’authenticité. Trois d’entre eux viennent prioritairement à l’esprit. Ils sont « fondamentaux » entre les fondamentaux.

L’un consiste en l’existence des constructions et des emménagements entrepris par l’abbé Saunière, sur le rocher de Rennes le Château. A la question : comment, considérée sous toutes ses facettes, s’ajoute celle du : pourquoi ?

Le deuxième élément, la géographie, nécessite la participation du lecteur. Ce n’est qu’au travers des cartes et à l’approfondissement des observations qu’apparaissent les motifs d’interrogation. Ils ont trait à l’occupation du sol par les hommes, dans le cours des temps et à leur rapport avec leur environnement naturel, notamment géologique.

La Vraie Langue Celtique, rédigée par le curé de Rennes les Bains, au cours de la deuxième partie du 19ème siècle, constitue le premier de tous les indices insinuant l’idée de la présence d’une énigme. A lui seul, il fait réponse à toutes les objections. Il en sera ainsi, tant que l’on n’aura pas démontré que son auteur, l’abbé Boudet, était un malade mental et ce livre, la manifestation de son aberration. Or personne, ni aujourd’hui ni par le passé, n’a émis un tel jugement. Malgré la difficulté qu'il présente à sa lecture - on y balance tout d'abord de la perplexité à l'incompréhension - tous ceux qui l'ont parcouru, depuis sa publication, ont pressenti que sous son apparente incohérence, ce document véhiculait certainement un message auquel son auteur attachait une importance primordiale. Quel intérêt en effet, y aurait-il à dissimuler de banales informations ?

Ce livre n'est pas codé, au sens strict de ce mot, mais son auteur a usé de tous les artifices pour rendre son contenu hermétique. Je soupçonne l'abbé Boudet d'avoir été autrefois un écolier aussi brillant que facétieux. Très érudit encore : un seul mot suffit parfois pour entraîner le lecteur dans des prolongements lointains. Bref, en un peu plus de trois cent pages, monsieur Boudet en a écrit pour mille. Devant la performance, la question se pose d'ailleurs de la participations de tiers dans la conception de l'ouvrage dans son ensemble.

L’abbé Boudet n’a pas inventé l’énigme de Rennes. Mais il est à l’origine, comme ceux qui ont œuvré avec lui, de son émergence au grand jour. L’érection des bâtiments par l’abbé Saunière, comme les emménagements de l’église et de ses abords, tout avait été organisé, antérieurement à la publication de la Vraie Langue Celtique…

//////////////////////////////////////////////////////////////////////////

4e de couverture

« La Vraie Langue Celtique et le cromleck de Rennes les Bains », livre étrange rédigé par l’abbé Henri Boudet, est l’un des éléments à disposition des observateurs, dont l’authenticité ne peut être mise en doute.

Le présent document propose une lecture de ce livre. La nature de l’énigme de Rennes y apparaît sous un jour nouveau. Monsieur Boudet désigne en effet l’alchimie comme son facteur essentiel et souligne son incidence depuis son apparition dans les temps reculés.

Le désir nous gagne alors de rouvrir sous cette lumière nombre d’ouvrages et de rapports qui ont de quelque manière abordé cette affaire. Récents ou lointains, dispersés dans le temps, parfois anonymes, ces témoignages semblent soudain libérer un peu de leur sens caché.

***

…Chacun peut voir aujourd’hui ce qu’ils ont laissé sur le rocher. Oublions le caractère outrancier, presque profanateur de cette mise en scène, chassons la perplexité face à la pseudo-église. Alors les regrets de l’abbé nous reviennent et font songer à ce long passé dont ils étaient les héritiers.

Ce monument invisible, que seule suggère une empreinte, à peine matérialisée, est le symbole d’une Eglise disparue, celle de leurs ancêtres. L’abbé n’a cessé de rappeler l’essor du peuple celte, dominé par César, contraint plus tard d’abdiquer sa religion, son clergé soumis aux missionnaires romains. Celtes, Wisigoths, Cathares et Camisards, ces noms témoignent d’une fatalité. Notre pays se souvient encore d’une succession de soumissions politiques et religieuses, qui ont donné à l’âme occitane plus qu’à d’autres, le goût de la liberté. Alors, avant de s’incliner, ils ont déposé ce témoignage qui ressemble fort à un…pied de nez adressé à Rome et à la République.

//////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Table des matières

Sommaire

Avant propos

I - Imagerie Populaire

II – Autour de La Vraie Langue Celtique

III – La Vraie Langue Celtique (1)
Quelques exemples - N.D. de Marceille – Le guy – La chasse au sanglier.../...

IV- La Vraie Langue Celtique (2)
I- Le domaine
II- Topographie dans la VLC – Une Hiérophanie dans le Razès
III- Alchimie – Clé de lecture -
V- La Vraie Langue Celtique (3)
Les nombres – Coudée de Nippur – Système sexagésimal.../...

2ème Partie

VI - La Vraie Langue Celtique (4)
Hermétisme et anticipation
Rédaction du document – Substitution – Anticipation – La dalle des chevaliers.../...

VII – La Vraie Langue Celtique (5)
Le secret de l’abbé Boudet – Ce trésor est à Sion …/...
St Vincent – St Thomas d’Aquin – Les bergers d’Arcadie.../...

VII - Deux énigmes sous la plume de l’abbé
Géomorphologie – L’abbé et la géographie.../...

VIII – Rennes le Château
L’abbé Boudet chez son voisin l’abbé Saunière
Empreinte de l’abbé Boudet – Environnement de l’affaire au 19ème siècle
Implication impossible de l’Eglise – L’or impossible.../...

IX - Les Corbières avaient-elles une vocation à la pratique de l’alchimie ?
La fresque de Rennes le Château - Le Serpent Rouge - Circuit – La carte de La VLC.../...

X - Conclusion

Compléments

Topographie - Observations Thierry Espalion

Bibliographie

Sommaire

//////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Extrait - 1

* (31) Les origines d’Alexandre le grand.

« to eye (aï) avoir l’œil sur……. Traduction qu’il répète à nouveau (page 32) : « ….avoir l’œil sur… Jéhova est le nom sacré, le vrai nom du Seigneur…. » L’abbé cite là un texte de Rollin rapportant une anecdote elle-même prélevée chez Flavius Josèphe, selon laquelle Alexandre le Grand se serait prosterné un jour devant le grand prêtre Jaddus afin de glorifier le dieu de celui-ci, pour lui avoir insufflé en un rêve prémonitoire sa fameuse marche conquérante… Il aurait reconnu le grand prêtre à sa mitre et au nom de Jéhovah qui y était attaché en lettres d’or ; épisode dont Voltaire niait l’authenticité et l’utilité de le rapporter, sinon pour distraire les enfants (Dictionnaire philosophique).

Le texte de l’abbé laisse cependant paraître une contradiction qui ne peut manquer de nous alerter : « les hébreux n’écrivant pas, par respect, le nom de Jéhova… », pourquoi le grand prêtre Jaddus portait-il ce nom gravé sur une lame d’or fixée à sa coiffe ?

A la lecture de ce curieux événement, l’abbé Boudet fit donc preuve d’une plus grande perspicacité que Voltaire. Pour qu’il nous fît part de cette anecdote malgré ici son caractère insolite, il fallait bien en effet qu’il y ait discerné une raison suffisante.

Ce grand prêtre Jaddus, vêtu de ses ornements pontificaux, était donc coiffé d’une mitre. Voilà un attribut qui rappelle celui des prêtres d’Oannès, le dieu poisson de la mythologie chaldéenne. Ils se reconnaissaient à la mitre, qui imitait précisément la gueule ouverte du poisson. Oannès, ou Dagon, être mi-homme, mi-animal et donc amphibie présentait par conséquent une double personnalité, aux caractères à la fois physiques et spirituels. On retrouve là la caractéristique des cultes sumériens et chaldéens, une idée de recel des connaissances cachées sous la forme d’un double langage ou d’une double apparence. Le dieu poisson était messager et initiateur, apportant aux hommes les connaissances et la civilisation. Il personnifiait le lien entre les hommes et le sacré ; proche encore de Ea, le dieu de la mer, dont les prêtres tenaient en main des serpents (symbole de la connaissance et de l’initiation aux secrets).

Or voici qui démontre que le récit rapporté par Rollin à la suite de Flavius Josèphe, n’était pas anodin : Alexandre le Grand dit-on, se réclamait d’une ascendance divine, il se disait fils de Zeus. En cela il récupérait à bon compte et à des fins politiques une légende courant au sujet de sa naissance : sa mère Olympias aurait trompé son mari Philippe avec Zeus. Mais ceci m’a paru curieux : le dit mari redoutait d’aller coucher près de son épouse, parce que celle-ci se mettait au lit en compagnie… de serpents. Alors, fils de Zeus ? Ou d’un serpent tentateur et lubrique ? Merveille allégorique : Alexandre reçut ainsi de l’un la puissance et de l’autre le savoir.

Cet événement met en scène trois notions, celle de puissance et de domination d’Alexandre, celle du savoir et du sacré de Jaddus ; celle de complémentarité enfin, sous le signe des attributs qui les unit : une mitre et des serpents. Mais c’est encore l’image du pouvoir s’inclinant devant le sacré. Monsieur Boudet pourrait ainsi conclure – du moins est-ce suggéré par le récit : domination par la puissance et la force, domination par la rétention du savoir, domination psychologique par la pression du sacré : voilà l’Eglise de Rome. Et hors la scène, dans notre imaginaire, apparaît soudain son représentant, personnage jusqu’alors caché, l’évêque, coiffé de la mitre et tenant à sa main le bâton surmonté de sa crosse, représentation stylisée du serpent initiateur.

L’art de monsieur Boudet a consisté à dire plusieurs choses importantes dans un même texte. Quoique ce soit là un usage commun chez les hermétistes, sa mise en œuvre par l’abbé a atteint un niveau rare, si bien que la lecture de son livre a rebuté le plus grand nombre d’observateurs.

Le premier obstacle à la compréhension de cet ouvrage réside dans notre refus inconscient d’accepter plusieurs sens à un même texte. Or, nous devons non seulement admettre cette diversité, mais aussi reconnaître à chacune de ces significations son utilité propre. Rien n’est à rejeter. Car cette manière de procéder a permis à l’auteur de la Vraie Langue Celtique de révéler les facettes essentielles d’une histoire que nous ignorions. Celle d’un terroir qui a connu, plus intensément qu’ailleurs, la disparition de l’identité Celte et la soumission de son clergé.

L’anecdote « Jaddus » rappelle aussi l’origine lointaine de la prérogative du clergé celte, dont l’auteur va nous entretenir tout du long de son ouvrage : l’alchimie. Origine, dans les temps anciens et origine géographique. Elle dit que l’alchimie est le fait des prêtres. Et que même les plus grands de ce monde lui portent tant de vénération qu’ils se prosternent devant l’adepte.

* « …ce conquérant de l’Asie se prosterna pour adorer celui dont le nom redouté était gravé sur une lame d’or brillant au-dessus du front du successeur d’Aaron. D’après la tradition des hébreux, Jéhova exprimait la trinité des personnes dans l’unité divine… »

Propos étonnant, erreur volontaire ? La doctrine hébraïque prônait l’unicité du Très-Haut. Le contraire aurait constitué un blasphème. Ce n’est qu’au contact des peuples étrangers que des notions hérétiques apparurent. Il faudra la foi et la volonté de Moïse pour ramener au droit chemin ceux qui avaient sombré dans la confusion.

L’abbé ne pouvait se prononcer ainsi que pour servir sa cause. Car il y a un autre sens à cette assertion. Aaron n’était-il pas le grand-prêtre des secrets et de l’initiation, le maître du serpent ?

L’inscription interdite : Jehova, sur la lame d’or, au front de l’adepte Jaddus, symbolise ce pouvoir mystérieux vers lequel courent les hommes. Le pouvoir de transformer les choses en or. La trinité des personnes dans l’unité divine exprime ici l’origine de ce pouvoir : l’unification des trois principes de la matière en une entité : la pierre...


- Le Kaïrolo -

Alors, qui pouvait être ce monsieur Cailhol ? Notre langue d’Oc possède, entre autres subtilités, une lettre singulière, qui rappelle par sa prononciation la lliota (ll) espagnole. Nous l’écrivons lh et nous la prononçons : lye, lyi, lya ou lyo suivant la voyelle suivante, en donnant un petit coup de fouet du bout de la langue. Le son l de ce fait est escamoté et à peine audible. On entend alors : ye, yi, etc.… On appelait cette lettre un l mouillé.

Pourquoi prononçons-nous le nom de ce monsieur (phonétiquement) CA-YOL alors que nous devrions respecter la présence du « lh », ce qui se traduirait alors à l’oreille par un CAI-YOL ?

La tête sculptée du Sauveur se trouverait dans ce cas entre les mains de ce CAI-YOL. Pourquoi ne pas tenter : Keyhole ? Je ne pense pas toutefois que quiconque connaisse un Keyhole à Alet ? Mais à Rennes les Bains, oui ! Ou plutôt, une keyhole, celle que monsieur Boudet nous a si souvent désignée. Mais que voudrait dire dans ce cas : « entre les mains d’une keyhole » ?...

.............................................................

Ce souffre est donc « le maître » qui va aiguiser les caractéristiques naturelles du mercure premier jusqu’à ce qu’il acquière les attributs qui feront de lui la pierre philosophale. Le disciple ne dépassera pas le maître mais en quelque sorte, selon Fulcanelli toujours, l’égalera en compétence.

L’image de la meule et du blé moulu n’est pas aussi abstraite qu’il y paraît. Les grains de blé, comme le fumier à demi composté, comme le suc extrait du gui encore, contiendraient un élément dont l’action serait semblable à celle du maître.

J’ignore si ce propos est fondé. Il me semble cependant qu’on pourrait le rapprocher d’une théorie qui court dans le milieu des prospecteurs et que j’ai entendu autrefois formulée par un orpailleur très compétent. Les quelques premiers vingt centimètres de terre ou plutôt de terreau, que l’on rencontre souvent sur les berges des ruisseaux, siège d’une végétation épaisse et sauvage, contiendraient un élément, l’acide humique, qui permettrait l’agglomération naturelle des paillettes d’or et serait donc à l’origine des petites pépites.

Le processus dont l’abbé suggère le déroulement en cette fin d’année 1884 supposerait donc la présence (en Constantin et en keyhole) de métaux aptes à cet étrange amalgame. La zone est évidement riche en minerais divers.

Pourquoi ce prénom : Constantin ? J’ai pensé à Constantin de Pise, alchimiste qui vécut au début du 13ème siècle. Personnage important : il fut le premier, à travers un traité d’alchimie (liber secretorum alchimia) à revendiquer une plus grande considération pour l’alchimie qu’elle n’en avait jusqu’alors, et à la définir enfin sous le titre de « science ». Constantin de Pise fut un « maître » pour l’alchimie.

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Extraits - 2

Le guy sacré -

« … Dans la Bretagne, le cri fameux était Eguinané qui est le synonyme d’étrennes, parce qu’il est le signal de la distribution des étrennes… » « D’après l’auteur des Derniers Bretons, Eguinané ou plutôt enghin-an-eit, signifierait blé germé… »

Un usage très ancien persiste – je le connais du moins dans nos régions méridionales et nous le pratiquons – de semer, aux alentours de la Sainte Barbe, un peu de blé ou quelques lentilles, dans une assiette dont le fond a été au préalable garnie d’un peu d’ouate ou de terreau léger humidifié. Humidité qu’il faudra surveiller jusqu’à la Noël environ, dans la douceur de la maison ; alors le blé ou les lentilles ayant germé présenteront l’aspect d’une belle barbe, semis en miniature d’un grand champ. C’est là le symbole de la vie qui renaît et celui des moissons espérées.

Sans doute y a-t-il quelques similitudes entre le gui, dont le feuillage persistant rappelle que la nature n’est qu’endormie durant l’hivers et le blé germé, image d’une vie renaissante. Ou encore à travers l’esprit festif qui entraîne de part et d’autre à la prodigalité.

Au delà des besoins nécessaires, le blé germé peut combler, pour peu que l’on réussisse sa culture, une étrange maladie qu’est la peur de manquer, le désir d’anticiper et d’accumuler. .... Mais en quoi le blé germé pourrait-il parer aux crises de fièvre intermittente ? Le fait n’est envisageable que si l’on attribue à ces termes une autre signification.

On sait avec quelle intensité, avec quelle fièvre, les hommes songent quelquefois à la possession de l’or. Qu’est-ce qui pourrait mieux étancher cette soif que la distribution des étrennes, constituées de ce blé que l’on aura fait germer ? Ces grains d’or, que par une savante préparation, on aura su multiplier ? Le blé est l’or alchimique.

Il faudrait une audace certaine pour assimiler l’usage du gui, en tant que stupéfiant, à la médecine ou même à la spagirie. Car il est vrai que l’on peut obtenir du gui un suc qui, après préparation, délivre un élixir que les anciens alchimistes décrivaient « hautement initiatique ». Les Druides en auraient réservé l’emploi pour leurs cérémonies.

Lorsque l’abbé Boudet cite Pline, c’est à cela qu’il fait allusion. Sous le couvert de vertus médicinales, le gui signifiait en réalité « la panacée universelle » permettant aux candidats élus à l’initiation de recevoir et comprendre les enseignements que leur divulguaient les Druides, touchant aux choses sacrées.

Mais il conteste toutefois que le gui ne soit doué que de cette seule vertu : en précisant que, du fait de la rareté du gui, «… les Celtes étaient inévitablement condamnés à ne jamais guérir de leur maladie… » et plus loin : « …cette plante célèbre n’était point, comme l’affirme Pline, une panacée universelle, et que les Druides savaient fort bien appliquer à une maladie particulière un remède particulier, en opposant le gui à la fièvre intermittente, et les bains à d’autres maladies tout aussi redoutables ».

C’est à dire que selon lui, le gui avait un autre pouvoir :

Il signifie par là que cette plante servirait non seulement à la spagirie, mais aussi à l’alchimie. Toutefois, l’expression « fièvre intermittente » peut avoir dans ce contexte deux significations simultanées. L’une est celle évoquée précédemment : la soif de l’or.

L’autre (et c’est de celle ci qu’il s’agit dans la phrase citée) fait allusion à un moment de l’œuvre. Son approche nécessite un retour dans le texte.

« … Les Druides sont les hommes du chêne, leurs sacrifices ont lieu sous les branches de cet arbre, excepté dans les pays où les chênes sont remplacés par des sapins ou des hêtres, et le gui doit absolument croître sur un chêne, quoique personne, pas même le célèbre botaniste Decandolle, n’ait jamais pu l’y découvrir ».

L’interprétation suivante est toute personnelle et appelle à l’indulgence du lecteur pour son éventuelle confusion. Plusieurs notions ressortent de la phrase de l’abbé :

1- Les Druides officiaient partout, et pas seulement sous les chênes.

2- Les Druides n’ont jamais cueilli le gui sur les chênes, puisque :

3- Le gui ne pousse pas sur les chênes.

4- Les Druides n’ont jamais cueilli de gui, puisqu’il faut que celui ci pousse impérativement sur un chêne.

Concluons :

1- Les cérémonies druidiques, pratiques religieuses à quelques divinités de la nature, se déroulaient au fond des forêts et avaient d’autres buts que la cueillette du gui.

2- Si les Druides sont « les hommes du chêne », c’est donc que le chêne recouvre une autre signification et, partant, le gui est une image véhiculant une autre fonction.

Je n’ai jamais vu le gui pousser sur un chêne, mais mon expérience est limitée et les chênes de chez nous – chênes verts ou chênes rubescents – ne représentent pas toutes les variétés de cet arbre. Je l’ai par contre bien connu sur des cerisiers, des pommiers et surtout un splendide et vieil amandier que ce parasite a réussi à vider de sa substance. Des années durant, j’ai tenté d’en curer les branches, périlleusement. L’âge m’a fait renoncer.

Si le gui, selon monsieur Boudet, possède une vertu alchimique, comment faut-il l’entendre ?

Chacun l’observera, cette plante est parasite, c’est à dire qu’elle vit aux dépends de son support. On l’aperçoit poussant ici et là, jamais sur le sol, mais au gré de sa fantaisie, particulièrement sur les branches hautes.

Cette aptitude le caractérise : le gui, dans son principe, est volatil.

Il vit en parasite, en ce sens que ses racines pénètrent le bois des arbres et s’y accrochent. On peut donc également le dire : fixe.

Voilà un corps naturel qui, à travers d’authentiques caractéristiques qui le singularisent, recouvre l’image d’un élément indéfini, qui se distingue à nos yeux par ses deux principes simultanément contraires : fixe et volatil. Je crois qu’en ce sens, le gui est un symbole alchimique à nul autre pareil.

Accroché aux arbres, telle est son image qui me fait songer à la représentation que l’on rencontre quelquefois, proche du caducée : un serpent inerte pendu à une croix.

La croix représente le chêne. Non pas l’arbre, ni l’arbre creux, mais le tonneau, bâti de douves de chêne assemblées. Il s’agit de l’ustensile où la matière première de l’alchimiste subit les opérations de maturation, de putréfaction etc..

Le serpent évoque là les deux principes : mercure et soufre assemblés. L’aspect inerte du reptile signifie que le soufre en s’associant au mercure, s’est assagi. Pour reprendre l’image de l’abbé, le feu du soufre s’est calmé, comme une fièvre enfin maîtrisée. Etape proche de la fin dans l’exercice de la pierre.

Le gui, en s’accrochant dans les hauteurs de l’arbre, fait songer aux louvoiements du serpent ; à la fois fixe et volatil, soufre et mercure, il évoque cet instant où les deux principes vont s’associer, où la fièvre va s’éteindre.

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Extrait - 3 - Géologie

VIII- Deux énigmes sous la plume de l’abbé.

Géomorphologie et histoire

La plupart des passages de la Vraie Langue Celtique où l’auteur a évoqué l’un ou l’autre de ces sujets, géographie et présence humaine, ont été abordés au cours des pages précédentes. Une observation récente rendait toutefois leur reprise nécessaire.

Géomorphologie et occupation du sol constituent deux aspects de l’énigme intimement liés, puisque la seconde est conséquente de la première. Leur approche parait donc indissociable. L’aspect alchimique lui-même trouve son origine dans le même fond que les deux précédents.

J’avais autrefois essayé de découvrir une cause naturelle aux curiosités topographiques que l’on pouvait observer sur les Corbières ; notamment en repérant les sommets afin de retrouver la trace de caractéristiques identiques à celles que reflétaient les implantations humaines. Le phénomène existait en effet : globalement les élévations se présentaient sous l’aspect d’alignements parallèles entre eux. A la réflexion pourtant, cette formation semblait logique : les hommes élisant de préférence leurs résidences dans les vallées, lesquelles s’allongent elles-mêmes entre les sommets. (Le compas est la règle)

Ces résultats ne pouvaient cependant satisfaire toutes les interrogations, même sur un plan géographique. Comment expliquer la formation de figures géométriques aussi compliquées et exigeantes de précision que des pentagrammes, siégeant sur des montagnes ? Puis, dans le cours des investigations, l’intérêt que présente ce mode de recherche, peu à peu me sortit de l’esprit.

Voici quelques temps, j’avais pris la résolution de museler les effets d’une passion excessive auxquels nous entraîne quelquefois une énigme comme celle de Rennes les Bains. Relâchement dont j’espérais profiter pour renouer avec des loisirs d’autre nature, comme celui qui fut familialement le nôtre durant près de trois dizaines d’années : la minéralogie. Aussi incroyable que cela paraisse, tandis que nous avions fouillé tant de gîtes, anciens ou récents, dans les régions voisines, nous ignorions ceux des Corbières ! Lacune que je brûlais de combler au plus tôt. Comme il se doit, l’inventaire et la localisation des sites à prospecter nécessitent un repérage sur des cartes appropriées. C’est en dépliant l’une d’elle que la « chose » m’a surpris..........

....................

Les cartes sont des livres qui aident à comprendre l’histoire des pays qu’elles représentent. Lorsqu’on ajoute sur celles-ci la reproduction des couches géologiques et des accidents tectoniques, cette même histoire avoue alors des secrets que les gens du cru eux-mêmes ne connaissent pas. Les cartes géologiques nous font voir sous la terre.

J’avais devant moi les couvertures du versant Nord des Pyrénées centrales et orientales. Impatient, j’ai couru du regard, de Lavelanet à Quillant, à Bugarach, Mouthoumet, Durban. Je m’apprêtais à chercher des mines mais une réalité a stoppé mon élan. Toute la zone qui m’intéressait, celle que mes yeux avaient si souvent parcourue à la recherche de configurations étranges ; où j’avais repéré les clochers, les bornes, les croix, jusqu’aux rochers et aux bergeries, tout ce terroir sur lequel j’avais bâti tant d’hypothèses, était parcouru de failles géologiques. Je ne voyais plus qu’elles sur la carte, traits noirs par-dessus l’entremêlement des couches colorées. Des traits, de toutes part, parallèles, régulièrement espacés. Orientés sud-ouest à nord-est. J’avais devant les yeux une sorte de schéma directeur du canevas que j’avais tracé autrefois sur le secteur. Parallèles, orientation, régularité. Pour ce que j’en voyais alors, je ne doutais pas que ce fut là l’origine lointaine de la curiosité topographique que j’avais observée.

Tout aussi rapidement, je me suis porté au-dessus de Rennes. L’accident tectonique, sur la zone Cardou, Bazel, Montferrand avait été plus violent sans doute. Plus étonnant, la position et l’orientation des diverses failles rappelaient, de façon approximative, le tracé de la lame V du tarot de Dodal…

Depuis lors, j’ai tempéré mon enthousiasme, en poussant davantage la recherche des points de convergence. La régularité n’est pas aussi constante ni aussi précise qu’il m’avait semblé au premier regard. L’orientation n’est pas toujours rigoureusement identique. Mais doit-on se montrer intransigeant en ce domaine ? Fallait-il s’attendre à ce que les hommes aient reproduit fidèlement la nature jusque dans ses variations ?

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Il faudrait s’interroger différemment : doit-on s’attendre à ce que la géologie offre à notre attention des modèles de constance et de précision rigoureuse ? La question d’ailleurs doit paraître fantaisiste aux géologues. Sans doute ne se sont-ils même jamais penchés sur cet aspect, tant ils savent par leurs observations la part de l’impondérable et la complexité des paramètres en présence dans les processus des formations géologiques.

L’apparentement est cependant probable, sur ce secteur, entre d’un côté la présence et les caractéristiques des failles et de l’autre l’implantation de l’activité humaine. Aussi loin que l’on recherche une origine à cet aspect organisé de l’occupation du sol, la seule explication raisonnable qui convienne tient à la formation géologique du versant Nord des Pyrénées, telle qu’on peut l’observer dans cette zone particulièrement.........................................

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Extrait - 4 - L'empreinte de l'abbé Boudet

.../... Faut-il conclure que l’émergence de « l’affaire de Rennes » n’est due qu’au goût de lucre du curé de Rennes le Château ? Oui, sans aucun doute : l’arrivée de l’abbé Saunière a été l’élément décisif qui a mis soudain en lumière cette affaire gardée jusque là cachée. Si ce prêtre s’était contenté d’emménager son église, de bâtir des cabanes et des bassins dans son jardin, l’énigme serait restée endormie, inconnue du public. Ce sont ses dépenses excessivement élevées et son comportement qui, provocant la réaction de l’évêché, ont fait naître la rumeur que nous connaissons aujourd’hui. Si bien que l’on peut s’interroger : l’abbé Saunière était-il si avide et si peu éveillé qu’il n’ait pas songé à ce que sa conduite et le luxe ostentatoire qu’il affichait allaient provoquer ? Peut-on envisager que le « dérapage Saunière » ait été lui aussi organisé ? Plus raisonnablement l’histoire, telle que nous la connaissons, résulte certainement d’un concours de circonstances.

En 1886 le livre était imprimé et diffusé. Pourquoi son auteur ne s’en est-il pas tenu là ? Ainsi que l’a exprimé Franck Daffos, la Vraie Langue Celtique a sans doute été jugée trop compliquée à déchiffrer. Mais aussitôt, nous nous interrogeons : pourquoi avoir voulu soudainement promouvoir les informations contenues dans un livre que l’on avait justement si peu diffusé ? Il y a là un changement radical de comportement.

Le projet Saunière, si l’on peut ainsi nommer l’ensemble des travaux et des emménagements entrepris à Rennes le Château, implique la participation d’autres acteurs que les deux prêtres, ne serait ce que pour expliquer cette décision, en forme de volte face. Ce changement se révèlera d’ailleurs plus significatif, dans une réflexion a posteriori....../......

Empreinte de l’abbé Boudet

La Vraie Langue Celtique est émaillée d’allusions, d’anecdotes et de réflexions qui en soulignent le sens global. Ils servent aussi de repères au lecteur, car suivre l’abbé n’est pas chose facile. Nombre d’entre eux – les plus significatifs – se découvrent à Rennes le Château, cachés dans l’une ou l’autre des réalisations dues à l’abbé Saunière. C'est-à-dire l’emménagement ou la décoration de l’église, du jardin et bien entendu dans le domaine lui-même. De telle sorte que par l’emploi qu’il a fait de ces repères, l’action de l’abbé Saunière dans son ensemble s’avère en première étude être le reflet matérialisé de La Vraie Langue Celtique.

Un grand travail a déjà été accompli par différents auteurs pour analyser les divers aspects des travaux entrepris à Rennes le Château et en comprendre la signification. Nous ne verrons donc ici que les principaux éléments parmi ceux qui viennent en écho des informations données par l’abbé Boudet .../...

.../... La présence de Satan dans l’église doit avoir une autre signification. C’est celle que désigne le déchiffrage de la Vraie Langue Celtique : selon son auteur, ce ne serait qu’à travers le symbolisme alchimique de celui-ci, que l’Eglise se serait intéressée particulièrement à Satan. (Divers auteurs ont vu en lui Asmodée, le gardien des trésors: nous verrons quel trésor il surveille du regard).

Retenons encore la position de la main sur le genou découvert. Si celui-ci symbolise l’initiation, alors initions-nous ! Car c’est vers la main que notre attention est ainsi attirée. Inutile de rappeler le sens que l’abbé a attribué à « main ». Nous pourrions dire ici à juste raison que « cette main tient la clé » de l’énigme......../.......

.../... Ce n’est pas là évidemment ce que l’on ressent à la lecture de l’abbé Boudet. Sans doute était-il difficile d’exprimer à travers des montages divers, de peintures ou de sculptures, toute la diversité et la sensibilité que permet la rédaction littéraire. Le passage d’un mode d’expression à un autre produit ici un effet que les abbés n’avaient peut-être pas envisagé.

Non seulement l’emménagement de l’église ne rapporte pas les informations annexes qui font la richesse de la Vraie Langue Celtique, mais on n’y éprouve pas, ou très peu, l’atmosphère qui inciterait l’observateur à situer cette alchimie dans un ordre de pensées plus élevées, plus complexes que le souci ordinaire d’une transmutation métallique. Non pas que ce mode d’analyse soit ici impossible, mais la prolifération des exemples et des symboles n’y est pas propice.

La question vient enfin naturellement sur le détournement de leur symbolisme naturel qui a été opéré sur tous ces accessoires pieux, afin de leur substituer une autre signification. Quelle que soit l’importance que l’on ait voulu donner au message, il semble que sa mise en place dans cette église ait fait fi, quelque peu, de la chose sacrée.

Ne cherchons pas quelle autorité aurait pu imposer à ces prêtres de s’investir aussi loin. Il n’y en a pas. En revanche, si nous pouvions lire dans les tiroirs secrets il apparaîtrait, je crois, autours des abbés, des amitiés, des conseils, sans doute aussi quelques oreilles complaisantes.

Ce que nous pouvons désormais soupçonner de l’énigme incite à regarder plus loin. Ce serait une erreur de juger les choses d’hier avec le regard d’aujourd’hui.

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Extrait - 5 - Pierre Plantard

.../... C’est toutefois dans le plan que se vérifie sa connaissance de l’incidence alchimique dans l’église St Sulpice. Sur le schéma réalisé de sa main, la forme du croissant de lune qu’il a dessiné à l’emplacement des marches, limitant la croisée du transept d’avec le chœur, ne peut échapper à notre regard. Il l’a d’ailleurs en quelque sorte soulignée d’un trait, de S à P. Ce qui fait en outre référence à la 10ème strophe du poème.

La démarche de Pierre Plantard a fait l’objet de nombreuses critiques, notamment celle d’avoir créé ou modifié des éléments et d’avoir ainsi égaré les recherches. On l’a dit mégalomane et préoccupé d’une destinée exceptionnelle.

.../... Animé d’un feu secret, comme ceux qui courent sur le chemin de l’or, inclinaison identique à celle des de Sède et de Cherisey. Pierre Plantard s’est dissimulé, des années durant, derrière ce personnage étrange dont nous avons gardé l’image, pour chercher, à l’écart de la curiosité, des envies, des moqueries, ce que tant d’autres ont cherché avant lui : la pierre philosophale. Une pierre qu’il a nommé diversement Marie Madeleine, Sigisbert, le Grand Monarque ou la Reine blanche du Castel.

Même lorsqu’ils veulent se dissimuler, les hommes laissent toujours traces, ici ou là, de leurs secrètes volontés.

.../... Jusqu’où ont-ils progressé dans cette énigme ? Ils semblent avoir rencontré des difficultés dans leurs investigations Elles se sont traduites par des hésitations ou des erreurs. Quelques-unes traînent encore : je m’interroge sur le bien fondé de leur interprétation des décodages « …. Par la croix et ce cheval de dieu… » ou encore « Mort Epée » qui les ont conduits à St Sulpice.

.../... Pierre Plantard… un équilibriste qui a habilement caché sa passion sous les falbalas de sa mythomanie. Trop habilement même, puisqu’il n’est resté que cette image, et qu’il s’est trouvé un jour seul, prisonnier du personnage qu’il avait créé.

Monsieur Plantard apparaît soudain pathétique. Les images le font paraître rêveur, lointain, énigmatique. Je l’imagine partagé entre passion et solitude, cédant parfois au besoin de s’extérioriser, d’approcher la lumière, de vivre et se dévoiler. A mi-mots.

Il n’a sans doute pas renoué tous les fils de la soit-disant longue ascendance dont il se réclamait. En apparence, il n’est pas allé au bout de la solution. Aura-t-il - mais qui saura désormais en témoigner ? - aura-t-il retrouvé la trace de cet enfant perdu ? Dont nul n’a jamais su dire s’il avait réellement existé, et pour cause : ce Sigisbert IV, ce petit enfant royal est une belle image : celle de l’enfant philosophal, la pierre.


En manière de conclusion

.../... L’entreprise des abbés Boudet et Saunière ne constitue qu’un épisode dans le cours d’une longue aventure. La démarche de l’abbé Boudet y apparaît capitale, dans la mesure où sans elle, cette énigme ne serait jamais venue à la connaissance publique.

S’il n’y avait eu la construction de l’ensemble appelé « domaine », sans les aménagements des édifices religieux, la curiosité suscitée par le curé de Rennes le Château n’aurait pas dépassé les limites des villages proches. Or, travaux à l’église et au domaine, tout ceci est consécutif à l’intervention de monsieur Boudet.

Malgré l’empreinte très personnelle que lui a imprimé son auteur, la Vraie Langue Celtique est vraisemblablement l’aboutissement d’une décision collective, conviction fondée sur le caractère exceptionnel des circonstances qui ont entouré sa publication. Tous ces événements en effet, que l’on peut dire fondateurs de l’énigme, c’est à dire la rédaction du livre, comme les divers travaux entrepris à Rennes le Château, ont été conditionnés par une succession de conjonctures qui furent alors pressenties lourdes de conséquences pour l’avenir de l’Eglise en France et donc celui du clergé local.

.../... Pour des raisons strictement naturelles, liées à la formation géologique qui caractérise cette région – globalement limitée aux Corbières – celle-ci a été occupée par les hommes depuis des temps très anciens. Territoire privilégié, du fait de la proximité du rivage méditerranéen d’un côté et des vallées pyrénéennes de l’autre. Terroir de moyenne altitude entre la plaine et le littoral, (navigation de cabotage) et les habitats sur les soulanes proches durant les périodes de grand froid.

Terre de passage, de refuge et terre enviée aussi pour ses ressources minières, incidence certaine dans le déroulement de l’histoire locale. C’est dans ce contexte que l’on doit aborder la question de l’alchimie. Quelle que soit l’origine de cette pratique, elle a pu trouver dans la région un terrain de prédilection, favorisée par l’abondance de richesses minérales et leurs variétés.

En ne précisant aucune limite géographique – en apparence du moins - à la pratique alchimique par le clergé, l’abbé Boudet laisse croire à une vaste extension.

Il est vrai que les échos sont nombreux qui donnent du corps à cette suggestion, ils sont lisibles dans l’histoire, l’art ou l’architecture. Pourtant, si apparents qu’ils soient, ces rapports ne signifient pas une généralisation de l’Art alchimique à l’ensemble du clergé. Il est évident que le secret n’aurait pu y résister et cette raison, à elle seule, exclut un tel développement.

La communication de l’abbé doit être considérée dans un cadre plus large, au delà d’une acception de l’énigme limitée au terroir des deux Rennes et aux aventures de leurs pasteurs respectifs. Ce qu’elle comporte en effet d’apparente contradiction, ne s’explique pas en dehors de motivations collectives ou que l’on pourrait qualifier même de « régionalistes ».

.../... La conjugaison au cours du 19ème siècle des lois anticléricales et des avancées scientifiques annonçait la fin prochaine de l’ordre d’autrefois. On connaît les événements qui ont ponctué cette époque, au cours desquels s’est exprimé le désarroi de la fraction royaliste et catholique. Mais qu’en fut-il tout au bout de la province, et pour ces prêtres plus précisément, dont l’auteur nous entretient à mi-mots ? Les bouleversements qui s’annonçaient ne se traduiraient pas seulement par l’impossibilité pour eux d’œuvrer à la pierre, mais également par leur propre disparition et avec eux, celle d’une tradition dont l’origine se perdait quasiment dans les temps bibliques.

.../... Autrefois appelée Art Royal, l’alchimie semble avoir été plus que cela. La transmission de cette connaissance, parmi d’autres, depuis les druides vers le clergé, ressemble sous la plume de l’abbé à une filiation. Il en établit d’ailleurs une continuité.

Par bribes, l’information nous atteint peu à peu : les prêtres du Razès chrétien n’ont pas seulement acquis la connaissance d’un art, ils ont hérité du druidisme dans son intégralité : le savoir, le pouvoir et l’auréole. Les druides eux-mêmes détenaient et perpétuaient une science étendue, d’origine si lointaine que l’abbé Boudet l’estime venir de Dieu ; ascendance qui de ce fait l’entourait d’un caractère sacré. Ce cumul de la science et de la spiritualité donne au druidisme, avec le recul, une originalité dont s’est peu à peu défait le sacerdoce chrétien.

Les premiers rois de France étaient investis de prérogatives dont celles de juger sous le chêne ou de guérir les écrouelles. Ce ne sont que deux attributs que le druide assumait parmi une foule d’autres. On pourrait dire que les druides, par la dimension de leur fonction, étaient rois avant les rois. Les prêtres alchimistes du Razès, en héritant des Celtes cette science, ainsi que l’entend l’abbé, la reçurent comme les druides l’avaient reçue : l’alchimie est une science sacrée .../...

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Déjà parus - Un parcours en raccourci.

Ce dernier document, sous-titré « Le bel œuvre de l’abbé Boudet » met un terme à un engagement intime, décidé en aparté voici de nombreuses années, à la suite de la disparition de quelques uns des miens, avec qui je partageais un attrait déjà ancien pour l’énigme de Rennes le Château. Ce parcours a été ponctué de plusieurs essais, venant chacun en prolongement du précédent.

Le Compas est la règle, en 2006, faisait état pour l’essentiel, d’une interprétation cartographique du tableau de Nicolas Poussin, Les Bergers d’Arcadie. Les vérifications faites sur le terrain ont confirmé ces localisations. Ces informations ont aussitôt trouvé preneur (Voir ultérieurement page à ce sujet).

Un berger sous les étoiles (2008) poursuivait une étude entamée précédemment sur la topographie locale et faisait apparaître l’empreinte d’une forme de plan d’occupation du sol en un temps indéterminé. Il était également fait mention de l’environnement humain et religieux durant la période où fut réalisée la toile des Bergers d’Arcadie.

La rencontre, au début de l’année 2009, de Thierry Espalion, s’avéra décisive dans la poursuite de cette enquête. Il venait de faire la découverte, sur le site du « Cap de l’Homme », d’une pierre qui à bien des égards évoquait celle présente sur le tableau de La Pièta, visible dans l’église de Rennes les Bains.

Découverte capitale à plus d’un titre. D’abord par les prolongements qu’elle permit d’établir quant à la réputation de cette énigme dans les temps passés, à travers notamment la lecture de diverses œuvres d’art. La parution de « La clef du pape » (2009) s’inscrivait dans cette optique. La preuve a été donnée à cette occasion – et qui n’a cessé de se vérifier depuis - qu’une entente et une collaboration sans arrière pensée d’intérêt ou de prééminence constituaient un facteur de réussite.

Découverte plus importante encore, par le mode d’analyse qui en fut à l’origine. A l’heure où je rédige ces lignes, il est fortement évoqué ici ou là, la phrase extraite d’un décodage désormais connu : « …Par la croix… ». Or il est évident que la signification qui jusqu’à ce jour a été proposée de ces quelques mots, paraît bien abstraite en regard de l’application qu’en a faite Thierry Espalion. Car c’est bien un raisonnement autour de la notion de croix, considérée dans ses diverses acceptions, qui l’a conduit au Cap de l’Homme.

Quelques mois plus tard, nouvelle découverte de la part de Thierry, tout aussi importante : le plan du domaine de l’abbé Saunière reflétait exactement le schéma cartographique dissimulé dans la composition des Bergers d’Arcadie, sous la forme d’un triangle isiaque. C’est à dire que, comme le tableau, le domaine de l’abbé avait pour raison d’être de guider les observateurs vers des lieux précis sur le terroir de Rennes les Bains. La clef du domaine (2009) (Pour mémoire : ces observations sur le plan du domaine de l'abbé Saunière ont plus tard été "récupérées" par deux individus, apparemment en grand besoin de reconnaissance. Toutefois il ne semble pas à ce jour que cette indélicatesse ait eu d'autre fin que tirer des traits sur du papier...)

Le document titré « De Sumer à Rennes le Château » (2010) mettait en avant l’hypothèse de la présence dans le passé d’une population venue de Mésopotamie. Aussitôt cette publication, de nouvelles observations sur le terrain, sans remettre en cause les analyses précédentes, ont toutefois rendu nécessaires la révision et l’extension de cet ouvrage.

- Le compas est la règle (2006) (épuisé)

- Un berger sous les étoiles (2008)(épuisé)

- De Sumer à Rennes le Château (2010)

- Des artistes et des pierres dans le Razès - Le bel oeuvre de l'abbé Boudet (2011)

- Participation à "La clef du pape" de Thierry Espalion (2009)

- Participation à "La clef du domaine" de Thierry Espalion(2009)

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Commentaire d'Hercule : Les recherches sur le livre de l'abbé Henri Boudet m'intéressent toujours et il faut remercier Gérard Piedevigne pour ces larges extraits mis à disposition d'éventuels lecteurs. En ce qui me concerne, je n'ai pas retrouvé dans ces extraits de pistes nouvelles qui permettent d'approcher de la cache première...
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Message par Her Jeu 20 Oct - 11:04

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Les Aventures de Tintin : “Le Secret de la Licorne”, un film de Steven Spielberg, d’après l’adaptation de la BD d’Hergé.
Publié le Jeudi, 20 octobre, 2011 par Alain Sheller. Dans: Evènements, Films. Tags: Cinéma

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Tintin, son fidèle chien Milou, et ses amis, découvrent un bateau coulé par un ancêtre du Capitaine Haddock et partent à la chasse au trésor. De la haute mer aux sables des déserts d’Afrique, ils vont affronter mille obstacles, risquer leur vie, et prouver que, quand on est prêt à prendre tous les risques, rien ne peut vous arrêter…

On y découvre bon nombre des emblématiques protagonistes des aventures de Tintin dans une ambiance épique et une réalisation qui s'annonce impressionnante.
On ne présente plus ce réalisateur et producteur de légende, qu’est Steven Spielberg, qui revisite souvent les thèmes de l’enfance et de la famille. Cette personnalité les plus emblématiques et influentes du Septième Art, nous entraine cette fois-ci dans un film d’aventure adapté des albums de Hergé “Le Crabe aux pinces d’or“, “Le Secret de La Licorne” (The Adventures of Tintin : The Secret of the Unicorn), et “Le Trésor de Rackham le Rouge“.

Pour ce long métrage produit par Peter Jackson, Steven Spielberg a utilisé la “Performance Capture”, une méthode révolutionnaire en matière d’animation (images de synthèses, plus prises de vue live avec de vrais acteurs), que je vous laisse découvrir en image ci-dessous.

Du côté des acteurs :

Dans les rôles principaux, on remarquera, Jamie Bell (Billy Elliot dans le film de Stephen Daldry en 2000), qui interprète le célèbre journaliste-reporter Tintin, Andy Serkis (Seigneur des Anneaux, La planète des singes), qui endosse le rôle du capitaine Haddock, Nick Frost, Simon Pegg (Dupont et Dupond), et Daniel Craig (James Bond dans Casino Royale, Quantum of Solace), qui interprète pour l’occasion du film de Spielberg le pirate Rakham Le Rouge.

Synopsis :

Parce qu’il achète la maquette d’un bateau appelé la Licorne, Tintin, un jeune reporter, se retrouve entraîné dans une fantastique aventure à la recherche d’un fabuleux secret. En enquêtant sur une énigme vieille de plusieurs siècles, il contrarie les plans d’Ivan Ivanovitch Sakharine, un homme diabolique convaincu que Tintin a volé un trésor en rapport avec un pirate nommé Rackham le Rouge. Avec l’aide de Milou, son fidèle fox terrier blanc, du capitaine Haddock,un vieux loup de mer au mauvais caractère, et de deux policiers maladroits, Dupond et Dupont, Tintin va parcourir la moitié de la planète, et essayer de se montrer plus malin et plus rapide que ses ennemis, tous lancés dans cette course au trésor à la recherche d’une épave engloutie qui semble receler la clé d’une immense fortune et une redoutable malédiction!

Bande annonce Tintin “Le Secret de la Licorne”.
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Message par Her Sam 22 Oct - 22:39

http://www.lefigaro.fr/culture/2011/10/21/03004-20111021ARTFIG00590-les-tresors-de-libye-desormais-exposes-aux-pillages.php

Les trésors de Libye désormais exposés aux pillages
Mots clés : LIBYE, Kadhafi, Mouammar Kadhafi, UNESCO

Par Valérie Sasportas
Mis à jour le 21/10/2011 à 17:43 | publié le 21/10/2011 à 17:26 Réactions (32)

Le site de Leptis Magna, près de Tripoli, en Libye. Crédits photo : SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA/SIPA
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La guerre a épargné les sites culturels, selon l'Unesco qui organisait le 21 octobre une réunion d'experts sur la préservation du patrimoine libyen.
» EN IMAGES - Le patrimoine libyen échappe au pire

Il n'y a pas eu de «génocide culturel». Après des mois d'un conflit qui s'est achevé jeudi 20 octobre, avec la mort de l'ex «Guide» Mouammar Kadhafi, «nous avons reçu de bonnes nouvelles : il n'y a pas eu de dégâts majeurs sur la plupart des sites culturels du pays», a déclaré le 21 octobre Irina Bokova, directrice générale de l'Unesco, à Paris, lors de l'ouverture de la conférence d'experts réunis en urgence par l'organisation onusienne, pour la préservation du patrimoine culturel dans le pays. «Leptis Magna, par exemple, a été globalement épargné par le conflit. C'est d'abord grâce aux populations alentours, qui même dans les moments les plus difficiles, se sont mobilisées pour les protéger», a précisé la directrice. Ce colloque était prévu depuis plusieurs semaines. Mais la fin du colonel et la chute de Syrte, son dernier bastion, ont donné à l'événement une importance particulière.

C'est maintenant que la Libye doit être aidée

«C'est maintenant que la Libye doit être aidée. Sinon, on risque d'avoir des pillages, comme en Afghanistan et en Irak. Les populations locales ne sont pas toujours conscientes de la richesse de ce patrimoine qui s'étend du Sahara jusqu'à la Méditerranée», affirme Francesco Bandarin, sous-directeur général pour la culture de l'Unesco. Les «bonnes nouvelles» sont venues du Bouclier bleu, l'organisation internationale en charge des sites du patrimoine culturel, aux termes de la Convention de La Haye de 1954, pour la protection des biens culturels en cas de conflits armés. Ses experts se sont rendus fin septembre en Libye. Si les experts de l'organisation ont pu inspecter les principaux sites, «il faut encore évaluer le sud, la région du Djebel Neffousa, mais aussi Sabrata, cette grande ville de la Tripolitaine. Nous n'avons pas d'idée précise de ce qui s'est passé là-bas, à cause du manque d'informations», a souligné Francesco Bandarin.

L'information est principalement venue des forces de l'Otan. «Nous avons été en contact permanent avec les États engagés dans l'action militaire et le secrétaire général de l'Otan. Nous leur avons fourni les coordonnées géographiques précises et les cartes des sites protégés du Patrimoine mondial», a souligné Irina Bokova.

Il s'agit du premier résultat concret d'une telle coopération. D'où ce prolongement : «Nous avons fait en sorte que l'Otan organise un cycle de formation à la protection des sites culturels, à Vienne, du 22 novembre au 2 décembre prochain», s'enorgueillit-on, à l'Unesco.

Un «crime» qui rapporte «13 milliards d'euros par an

Mais toutes les nouvelles ne sont pas bonnes. «Une mosaïque a été détruite à Cyrène. Trois amphores romaines ont été volées au musée d'Apollonia. Surtout, le vol du trésor de Benghazi est un cataclysme. C'est l'un des plus grands vols de biens archéologiques de l'histoire», s'est indigné Francesco Bandarin. Huit mille monnaies anciennes d'or, d'argent et de bronze, des pièces archéologiques : le trésor sommeillait dans une caisse entreposée à la Banque nationale du Commerce de Benghazi, où le département des Antiquités de Libye les avait déposées. Le professeur italien Serenella Ensoli, qui a dévoilé le pillage, a fait le voyage de Naples à Paris. «Il faut aller à la Banque de Benghazi au plus vite, voir ce qu'il reste de cette caisse, a-t-elle appelé. La chercheuse est inquiète. «Il n'y avait pas de document visuel inventorié par l'Italie entre 1940, année où l'ancienne colonie a emporté les pièces et 1961, quand elle les a restituées». Serenella néanmoins possède bien quelques images des pièces disparues, des photos floues. Karl Heinz Kind, chef de l'unité des biens culturels d'Interpol se veut optimiste : «Nous avons reçu des Carabiniers des informations que nous avons pu entrer dans la base de données mondiale d'Interpol. J'espère que cela rendra difficile la vente sur les marchés».

Reste que la Libye, seule, ne pourra pas lutter contre le trafic d'art organisé. Le fantôme de Bagdad, dont le musée fut vidé de plus de 15 000 pièces archéologiques, hante les mémoires. L'Irak, depuis la fin de sa guerre, est devenu la première «source» de ce «crime» qui rapporte «13 milliards d'euros par an», pour reprendre les mots de Francesco Bandarin. Saleh Al Agab Abdallah, directeur du département des antiquités de Libye, tire la sonnetet d'alarme : «Notre institution est encore coloniale. Nous la voudrions post-coloniale. Beaucoup de sites archéologiques ne font l'objet d'aucun plan de gestion. La Libye n'a absolument aucune infrastructure pour la protection du patrimoine. Tout se fait avec les missions étrangères». Pour aider la Libye, vendredi, Irina Bokova a annoncé la création d'une présence permanente à Tripoli de l'Unesco.

LIRE AUSSI

» EDITION ABONNES - Les trésors volés du printemps arabe
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Message par Her Lun 24 Oct - 9:36

Bonjour à tous,

Une bonne nouvelle pour les allumés du Bugarach : L'humanité a une nouvelle fois survécu à une fin du monde annoncée.

La Bible dit : Les faux-priophètes se reconnaissent au fait que leur prophéties ne se réalisent pas.

Le test de l'accomplissement : « Quand ce que dira le prophète n'aura pas lieu et n'arrivera pas, ce sera une parole que l'Éternel n'aura point dite. C'est par audace que le prophète l'aura dite : n'aie pas peur de lui. » (Deutéronome 18.22)

////////////////////////////////////////////////////////////////

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-La-fin-du-monde-etait-pour...-hier_6346-2003630_actu.Htm

États-Unis
La fin du monde était pour... hier
Insolitesamedi 22 octobre 2011

Harold Camping, prédicateur américain.
Reuters
Il a remis ça. Cinq mois après avoir prédit la fin du monde, le prédicateur américain Harold Camping a récidivé, la fixant après de nouveaux calculs savants au… 21 octobre 2011.

Après son échec très médiatisé du 21 mai dernier, M. Camping, 90 ans, a fait valoir dans «un message spécial» sur le site Internet de sa radio chrétienne «Family radio» basée à Oakland (Californie) que l’époque était «très inhabituelle». «L’humanité est entrée dans le jour du jugement dernier le 21 mai 2011, ce «jour» durera cinq mois (153 jours) jusqu’au 21 octobre 2011», a-t-il affirmé, appuyant sa longue démonstration sur des dizaines de citations bibliques et repères historiques.

«Dieu a terminé Son glorieux travail»

Le prédicateur a ajouté qu’après avoir «étudié la Bible pendant cinq mois avec grand sérieux», il avait également découvert que Dieu ne sauvait plus de pécheurs, «ayant terminé Son glorieux travail».«Nous pouvons être sûrs que le monde entier […] sera annihilé le 21 octobre 2011», affirmait-il dans un autre message sur son site internet. Camping est un récidiviste de la fin du monde : c’est la troisième fois qu’il l’annonçait l'apocalypse. Les faits lui ont une nouvelle fois lui ont donné tort.
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Message par Her Lun 24 Oct - 10:04

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20110331.OBS0573/en-manque-d-inspiration-le-fbi-recrute.html

En manque d'inspiration, le FBI recrute ...
Publié le 31-03-11 à 15:23

Un dizaine d'années après un meurtre, le FBI n'arrive toujours pas à déchiffrer le contenu de deux messages retrouvés dans les poches de la victime. Il fait donc appel au grand public.

Le FBI demande de l'aide pour déchiffrer les deux lettres retrouvées sur la victime du Missouri. (AFP)

Décryptage impossible pour le FBI depuis une dizaine d’années, il est temps pour vous de montrer vos talents d’enquêteur. L'agence américaine a appelé à un regard nouveau pour tenter de décoder deux messages qui restent non résolus depuis 1999, révèle le site américain Network.world. Découvertes dans les poches de Ricky McCormick, un homme tué dans le Missouri, deux lettres "codées utilisant une variété exaspérante de lettres, nombres, tirets, et parenthèses" rendent la vie impossible aux agents du FBI.

Personne ne sait déchiffrer ses codes

Service d'analyse cryptographique du FBI, Association américaine des cryptogrammes, aucun expert n’arrive à déchiffrer son contenu. Ces deux indices auraient été écrits trois jours avant le meurtre par la victime retrouvée dans un champ du Missouri en 1999. "Ricky McCormick n'avait pas son bac, mais il pouvait lire, écrire, et on disait de lui qu'il était débrouillard. D'après des membres de sa famille, il utilisait de telles notes cryptées depuis l'enfance, mais apparemment personne de sa famille ne sait comment déchiffrer les codes, et on ne sait pas si quiconque en dehors de McCormick pouvait traduire son langage secret.

Seule récompense promise pour le futur "Robert Langdon", "la satisfaction de savoir que son cerveau pourrait aider à traîner un tueur devant la justice".

Jean du Lérain - Nouvelobs.com

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FBI wants public help solving encrypted notes from murder mystery
FBI cryptanalysis hasn’t decrypted notes from 1999 murder mystery
By Layer 8 on Tue, 03/29/11 - 1:30pm.

Email 174 Comments Print
The FBI is seeking the public's help in breaking the encrypted code found in two notes discovered on the body of a murdered man in 1999.

The FBI says that officers in St. Louis, Missouri discovered the body of 41-year-old Ricky McCormick on June 30, 1999 in a field and the clues regarding the homicide were two encrypted notes found in the victim's pants pockets.

More cool stuff: The weirdest, wackiest and stupidest sci/tech stories of 2010

The FBI says that despite extensive work by its Cryptanalysis and Racketeering Records Unit (CRRU), and the American Cryptogram Association, the meanings of those two coded notes remain a mystery and McCormick's murderer has never been found. One has to wonder though, if the FBI can't figure this out, who can? But I digress.

From the FBI: "The more than 30 lines of coded material use a maddening variety of letters, numbers, dashes, and parentheses. McCormick was a high school dropout, but he was able to read and write and was said to be 'street smart.' According to members of his family, McCormick had used such encrypted notes since he was a boy, but apparently no one in his family knows how to decipher the codes, and it's unknown whether anyone besides McCormick could translate his secret language. Investigators believe the notes in McCormick's pockets were written up to three days before his death."

"Standard routes of cryptanalysis seem to have hit brick walls," said CRRU chief Dan Olson in a statement. To move the case forward, examiners need another sample of McCormick's coded system-or a similar one-that might offer context to the mystery notes or allow valuable comparisons to be made. Or, short of new evidence, Olson said, "Maybe someone with a fresh set of eyes might come up with a brilliant new idea."

The FBI says it has always relied on public tips and other assistance to solve crimes though breaking a code may represent a special circumstance.

For larger images of the notes go here.

If you have an idea how to break the code, have seen similar codes, or have any information about the Ricky McCormick case, write to CRRU at the following address:

FBI Laboratory

Cryptanalysis and Racketeering Records Unit

2501 Investigation Parkway

Quantico, VA 22135

Attn: Ricky McCormick Case

There is no reward being offered, just the knowledge that you may be solving an intriguing murder mystery, the FBI stated.

Follow Michael Cooney on Twitter: nwwlayer8

http://www.fbi.gov/news/stories/2011/march/cryptanalysis_032911/image/cyphered-note

http://www.fbi.gov/news/stories/2011/march/cryptanalysis_032911/image/encyphered-note
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Message par Her Lun 24 Oct - 20:21

http://www.lindependant.fr/2011/10/24/les-goths-de-scandie-en-septimanie,76464.php

Lundi 24 octobre 2011

Villarzel-Cabardès : Les "Goths de Scandie en Septimanie"
Le 24/10/2011 à 06h00
VILLARZEL-CABARDES

Voilà plus de 40 ans que le village est hanté par la présence des Wisigoths : depuis la découverte de la nécropole du Mourel dels morts, en 1967. Mais qui sont donc ces Wisigoths dont on parle tant au point même de baliser le chemin de randonnée "Sur la trace des Wisigoths" ? C'est donc à cette question que la société archéologique a voulu répondre en organisant une conférence sur le thème des différentes migrations de ce peuple intitulée : "Les Goths, de Scandie en Septimanie, et la nécropole wisigothe du Mourel dels Morts".

La présidente de la société archéologique, Ghislaine Rouquet, a présenté élogieusement le conférencier à la cinquantaine de personnes qui, bravant la tentation du match de football France-Bulgarie, était venue assister à cette manifestation dans la salle Henry-Bonnet du foyer municipal. Elle a retracé le parcours de celui-ci. et celui de Daniel-Pierre Cattaneo, qui a réalisé les fouilles de cette nécropole, avec Louis Guiraud, et créé, avec lui, la société archéologique, puis le dépôt de fouilles et musée Claude Jounet qu'anime inlassablement ce dernier.

Après une localisation géographique et une présentation des principales sources d'information, Daniel-Pierre Cattaneo a retracé, en s'appuyant sur une lecture critique de Jordanès et les témoignages de l'archéologie, le long parcours de ce peuple. Partis du sud de la péninsule scandinave, ils s'établirent dans le nord de la Pologne pour traverser l'Europe, un siècle plus tard, et s'installer sur les rives de la mer Noire. De là, sous la pression des Huns, leur périple reprit, pour les amener, après le pillage de Rome sous la direction d'Alaric 1er, et la prise d'otage de la propre soeur de l'empereur romain, Galla Placidia, jusqu'en Gaule sous la conduite de leur nouveau roi Athaulf. Là, ils fondèrent le premier royaume barbare indépendant fédéré à l'Empire romain, par le "foedus" de 418, avant de se replier en Espagne et en Provincia Galliae ou Gothie (Septimanie) où ils établirent un puissant royaume wisigoth qui se maintiendra jusqu'à la chute de l'Espagne, puis de Narbonne face aux armées musulmanes d'Al-Andalus. Ayant évoqué les transformations politiques, économiques et sociales de ce peuple, le conférencier a fait une brève présentation de la nécropole wisigothe du Mourel dels Morts où l'on retrouve les traces de l'installation des Wisigoths en Narbonnaise.

Après avoir généreusement applaudi, le public a poursuivi les discussions sur les questions qui se posent encore, tant sur les migrations des Goths que sur la nécropole wisigothique de Villarzel, autour de quelques douceurs et un pot de l'amitié.
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Message par Her Ven 28 Oct - 18:19

http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/28/1202975-quillan-exposition-il-est-venu-le-temps-des-cathedrales.html

PUBLIÉ LE 28/10/2011 08:39 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Du 28/10/2011 au 07/11/2011
Quillan. Exposition : il est venu le temps des cathédrales !

Peter Reid nous fait pénétrer à sa façon dans le monde ecclésiastique./Photo DDM, B.B.

Jusqu'au 7 novembre, Peter Reid expose ses photographies de diverses cathédrales d'Europe à l'office de tourisme Aude en Pyrénées. Peter Reid est né à Durham et partage son temps entre le nord-est de l'Angleterre et la cité des Trois Quilles. Depuis toujours, il s'intéresse à l'histoire de la culture européenne avec une référence spécifique pour l'architecture religieuse qui a été construite au cours de la période allant du XIe au milieu du XVIe siècle.

« C'est une première expo à Quillan et j'espère que cela va plaire ! J'étais professeur de mathématiques et je suis à présent un heureux retraité, déclare-t-il. Ma photo déclic a été produite avec un appareil jetable lorsque j'avais 14 ans au musée du Louvre. J'avais commencé, j'ai poursuivi ma ronde ». Et la ronde est grande car vous découvrirez lors de la visite de cette expo Notre-Dame de Paris, la Sainte Chapelle, la chapelle Royale de Versailles et la basilique Saint-Denis, de Paris, sans oublier les cathédrales d'Albi, d'Orléans, de Perpignan, de Carcassonne…
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Message par Her Ven 28 Oct - 18:41

http://www.lejsl.com/edition-de-chalon/2011/10/28/les-tresors-d-autun-ont-captive-le-public

SAINT-RÉMY
Les trésors d’Autun ont captivé le public
Notez cet article :
le 28/10/2011 à 05:00 par David CARRETTE (clp) Vu 35 fois

Laurent Schmitt face à son auditoire d’environ 25 personnes. Photo D. C. (CLP)
Le grand numismate Laurent Schmitt était samedi à St Rémy pour une conférence passionnante sur les "ors d'Autun"

Début 2010, lors de la construction de logements, près de la porte d’Arroux à Autun, les travaux ont permis de découvrir un quartier antique ainsi que plus de 100 000 pièces de monnaie en bronze datant du III e siècle. D’entrée, Laurent Schmitt a expliqué toutes les facettes de cette ville-trésor qu’est l’ancienne Augustodunum, véritable caverne d’Ali Baba pour les passionnés de monnaies anciennes.

Au cours d’une conférence riche et argumentée, il a régalé son auditoire, essentiellement des passionnés et collectionneurs. Ce spécialiste est « tout simplement époustouflant » d’après M. Laurenceau, président de l’Association numismatique de Saint-Rémy qui organisait ce week-end spécial. Le public a voyagé au travers des chemins de cette cité qui n’a pas fini de révéler ses mystères.

La numismatique d’Autun est très riche et il semble certain que de nombreuses trouvailles isolées ou de trésors sont encore à faire. Une visite à Autun prévue en 2012, toujours dans le cadre de la bourse numismatique san-rémoise, sera l’occasion de découvrir sur place les richesses de la ville et les trésors numismatiques qu’elle recèle. Entre l’étrange temple de Janus, le théâtre romain ou la funèbre pyramide de Couhard, les numismates vont prendre du bon temps.
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Message par Her Ven 28 Oct - 18:46

http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/Actualites/Communiques-de-presse/Les-derniers-communiques/Communiques-nationaux/p-12299-Decouvertes-numismatiques-a-Autun.htm

Découvertes numismatiques à Autun
Publié le 3 décembre 2010 · Mis à jour le 20 décembre 2010

code opération : CB04003602

La fouille archéologique du faubourg d’Arroux, au nord d’Autun, menée dans le cadre d’un projet de logements sociaux, a permis la découverte d’un quartier antique partagé entre artisanat et habitat aisé. Les archéologues ont notamment mis au jour l’officine du coroplathe (fabricant de figurines) Pistillus : four de potier, moules, figurines et ratés de cuisson signés « Pistillus » confirment la présence de son officine à Autun. Son œuvre, bien que populaire, se distingue par des statuettes soignées et des thèmes variés : déesses protectrices, Vénus, Abondance, animaux, mais aussi de tendres représentations de l’intimité romaine. Lors des dernières semaines de la fouille, principalement consacrées à l’étude d’un ensemble de vestiges datant de l’époque augustéenne (début du Ier siècle de notre ère), un important dépôt monétaire a été exhumé.

Plus de 100 000 pièces romaines

L’ensemble était enfoui dans une fosse scellée par des tuiles. Il pèse environ 38 kg et consiste en plus de 100 000 pièces romaines de la fin du IIIe siècle de notre ère. Ces monnaies sont de toutes petites pièces en bronze de moins de 0,4 g. Ce sont des exemplaires non officiels, comme il en a beaucoup circulé durant la période très troublée de la seconde moitié du IIIe siècle, et même peut-être encore au IVe siècle.

De graves crises frappent l’Empire à cette période : guerres incessantes entre prétendants au trône, épidémies, poids financier et politique de l’armée, pression aux frontières, crise économique, etc. L’État romain n’est plus en mesure d’assurer pleinement la pérennité et le contrôle du système monétaire. De petits monnayages de bronze, de peu de valeur, qu’on peut qualifier de « monnaie de nécessité », apparaissent alors : ils sont produits par des particuliers mais sont plus ou moins tolérés par l’État. Ils imitent pauvrement les émissions officielles et les effigies sont difficilement identifiables. Les pièces découvertes à Autun se rapprochent de celles typiques du IIIe siècle, telles les monnaies de Tétricus.

La forte teneur en cuivre du dépôt a permis au panier en vannerie, dans lequel elles étaient stockées, d’être en partie conservé.

Si l’ensemble avait une certaine valeur, il ne s’agit probablement pas d’un trésor dissimulé, mais plutôt d’un dépôt de pièces déclassées destinées à la refonte. La fosse est d’ailleurs située dans l’emprise d’un des ateliers de métallurgie mis au jour sur le site. En effet, pour rétablir une économie monétaire saine, certains empereurs ont lancé des réformes et tenté de remplacer les anciennes pièces sans autre valeur que celle de leur métal. Le dépôt monétaire d’Autun est peut-être lié aux réformes de Dioclétien sous la Tétrarchie (fin IIIe siècle-début IVe siècle).

Un second dépôt devait se situer non loin du premier puisque un peu plus de 2 000 pièces ont été collectées à l’emplacement d’un mur du même atelier. Mais le démantèlement de cette maçonnerie, au IVe siècle ou Ve siècle, a dû partiellement le détruire.

Ces vestiges numismatiques vont permettre de mieux appréhender tant les aspects du monnayage non officiel, que les phénomènes de déclassement et de refonte des monnaies durant l’Empire.

Ces ensembles viennent s’ajouter aux quelque 300 monnaies romaines – en bronze dans leur très grande majorité – découvertes sur le reste de la fouille. Communes ou rares, ces monnaies, au même titre que les autres objets et vestiges, ne livrent d’utiles indications que parce qu’elles sont découvertes et étudiées dans leur contexte archéologique.

Aménagement
OPAC Saône et Loire
Contrôle scientifique
Service régional de l’archéologie (Drac Bourgogne)
Responsable scientifique
Stéphane Alix, Inrap
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Message par Her Sam 29 Oct - 13:35

http://www.lalsace.fr/loisirs/2011/10/29/le-plus-grand-musee-du-monde-git-au-fond-des-oceans

Loisirs Magazine
Trésors
Le plus grand musée du monde gît au fond des océans

le 29/10/2011 à 05:00

Au gré des soubresauts de l’Histoire, des civilisations disparaissent, parfois de façon soudaine ou mystérieuse, et leurs trésors ensevelis suscitent alors une fascination sans limite. Combien d’hommes sont partis sur les traces des fabuleux trésors incas et de l’Eldorado, quitte à y laisser leur vie ? Combien furent-ils, avant Carter, à rechercher la tombe du pharaon Toutankhamon ? Et le fameux trésor des Templiers, existe-t-il vraiment ?

Les précieuses cargaisons de navires abîmés en mer représentent un autre sujet de passions et d’espoirs enflammés. Comme le souligne Erick Surcouf, le plus grand musée du monde gît au fond des océans. L’auteur retrace l’histoire de ces trésors fabuleux, qui conduisent le lecteur du royaume des Incas jusqu’à Troie, et sur les mers du monde entier.

TRÉSORS TERRESTRES ET SOUS-MARINS, Erick Surcouf, éditions Arthaud, 192 pages, 39 €.
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Message par Her Sam 29 Oct - 13:36

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2011/10/29/le-tresor-de-pouilly-bientot-expose

29.10.11 à 05h00
PATRIMOINE - AU MUSÉE LORRAIN, DU 17 DÉCEMBRE AU 11 MARS ET ENSUITE AU MUSÉE DE LA RENAISSANCE À ÉCOUEN
LE TRÉSOR DE POUILLY BIENTÔT EXPOSÉ

RÉGION LORRAINE | A LA UNE | PATRIMOINE
Des pièces exceptionnelles d’argenterie civile. Photo Dominique CHARTON
Nancy. Petit à petit, le trésor de Pouilly-sur-Meuse se dévoile. Cet ensemble unique d’une trentaine de pièces d’orfèvrerie de la Renaissance a été classé « Trésor national ». Découvert fortuitement, en 2006, par deux amis qui effectuaient des travaux d’assainissement dans la propriété de l’un des deux, cet ensemble leur a immédiatement paru être une trouvaille exceptionnelle qu’ils ont aussitôt portée à la connaissance de la Direction régionale des Affaires culturelles, laquelle a fait expertiser les pièces exhumées. Michèle Bimbenet-Privat, spécialiste des arts décoratifs au Musée national de la Renaissance à Écouen, a immédiatement confirmé la valeur patrimoniale unique de cet ensemble de vaisselle civile d’argent dont les poinçons ont parlé, permettant de dater les objets entre 1466 pour la pièce la plus ancienne, une aiguière, et 1567 pour deux gobelets portant le poinçon du Strasbourgeois Dietrich Brey. Si l’on conserve en effet un certain nombre de pièces d’orfèvrerie religieuse (ciboires, calices), la vaisselle civile a disparu, victime de refonte ou de vols, lors des périodes de trouble. C’est sans doute pour le préserver lors d’un conflit que ce trésor a été caché. Ayant relevé sur plusieurs pièces, dont deux coupes sur pied à décor de moresques, des poinçons de Châlons-en-Champagne, Michèle Bimbent-Privat a évoqué ce sujet avec l’un de ses confrères historiens de la Bibliothèque nationale qui effectuait des recherches en vue de la rédaction d’une thèse sur les familles de Châlons-en-Champagne au XVI e siècle.

Maxence Hermant a pu déterminer que le B figurant sur certaines était celui de la famille champenoise Bescheffer.

BRANCHE PROTESTANTE
Or on sait qu’une branche de cette famille épousa la religion réformée. Il est possible qu’au moment des guerres de religion, la branche protestante ait quitté la Champagne pour la région de Pouilly et que, par peur de la soldatesque, elle ait enfoui son bien le plus précieux, sans pouvoir le récupérer. Désormais déposé au Musée Lorrain à Nancy, après avoir failli être vendu aux enchères, le trésor de Pouilly sera exposé au Palais ducal, du 17 décembre au 11 mars, avec d’autres trésors des collections du Musée pour expliquer ce qu’est justement un trésor et ce qu’il convient de faire ou de ne pas faire lorsqu’on en découvre un. Les inventeurs de celui de Pouilly ont permis qu’il demeure dans le patrimoine national, en avertissant les autorités compétentes.

RETIRÉ DES ENCHÈRES
Évalué 1,4 million d’euros, il a mobilisé de nombreux partenaires (État, Ville de Nancy, Conseil régional de Lorraine, Société d’histoire de la Lorraine et du Musée Lorrain) pour réunir la somme.

Les fonds tardant à arriver, les propriétaires ont proposé les pièces à une société de ventes aux enchères. Il manquait en effet 620.000 € pour régler les propriétaires. Le mécénat de la Caisse nationale de prévoyance (CNP assurance) a permis de mettre les pièces à l’abri du feu des enchères. En outre, grâce à la diligence de Laurent Hénart, ce trésor a pu échoir au Musée Lorrain qui le garde précieusement dans un coffre et le montrera entouré d’autres pièces provenant d’Écouen dont une importante tapisserie représentant le repas d’un général. Un livre sur le trésor de Pouilly est en préparation aux éditions de la Réunion des Musées nationaux.

Didier HEMARDINQUER
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