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Rennes-le-Château - Chroniques et Actualités de la Haute Vallée de l'Aude et sur les Trésors du Monde

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Message par Her Mer 24 Aoû - 10:34

http://www.lefigaro.fr/societes/2011/07/29/04015-20110729ARTFIG00636-bertrand-sciboz-chasseur-d-epaves.php

Bertrand Sciboz, chasseur d'épaves
Mots clés : Chercheur D'épaves, FRANCE, Bertrand Sciboz

Par Mathilde Golla
Mis à jour le 24/08/2011 à 11:59 | publié le 29/07/2011 à 11:58 Réagir

Bertrand Sciboz, chasseur d'épaves
Il est l'un des rares chasseurs de trésors maritimes à pouvoir en vivre en France.

Bertrand Sciboz n'est pas Barbe Noire! Le chercheur d'épaves originaire de Saint Vaast-La-Hougue, petit port de pêche situé dans la Manche, est avant tout un chef d'entreprise passionné. Le plongeur aguerri sillonne les océans en quête de trésors et d'histoire mais il sait garder les pieds sur terre.

A ses yeux, «pour être chasseur d'épaves, il faut vraiment considérer cela comme étant un métier et pas comme un loisir. Il faut être rigoureux dans ses recherches, notamment le travail d'archivage et l'ensemble des travaux réalisés. Sous ces conditions, on peut être reconnu et ainsi gagner sa vie avec la recherche d'épaves». L'expert des milieux sous-marins distingue ainsi les «touristes», ceux qui se rémunèrent en organisant des visites d'épaves déjà localisées, de ceux qui tirent leurs revenus de la recherche d'épaves. Et en France, ces loups de mer sont peu nombreux. Bertrand Sciboz se dit même «le seul en France à vivre de cette activité» d'exploration, où règne le secret.

Il faut dire que le plongeur féru d'histoire s'intéresse aux épaves et à leurs trésors depuis tout petit. Comme son grand-père, cet autodidacte a d'abord rêvé de retrouvé le navire de la Blanche Nef. Un vaisseau normand qui fit naufrage à Barfleur au large du Cotentin en l'an 1120, avec à son bord un trésor inestimable. Bertrand Sciboz ne mettra pas la main sur cette épave mais sur de nombreuses autres.

Ses recherches ont été nettement facilitées par les progrès techniques et notamment lorsqu'il s'est équipé d'un sonar à balayage latéral.

Le marin, qui est devenu expert maritime et expert judiciaire auprès de la cour de Caen, reconnaît «qu'il faut apprendre à vivre avec les vaches maigres». Surtout depuis un changement de réglementation qui ne permet plus aux chercheurs de conserver les fruits de leurs découvertes. Bertrand Sciboz a ainsi diversifié ses activités et crée le Ceres, Centre Européen de recherches et d'Etudes Sous-marines. Entouré d'une équipe de 5 personnes, le chef d'entreprise répertorie les épaves, établit une cartographie des fonds marins et propose une base de données. Ceres est en outre mandaté pour expertiser des navires coulés et en déterminer la cause ou partir à la recherche «d'épaves modernes» ayant coulé avec des cargaisons de «métaux à forte valeur ajoutée». Comme lors d'une récente expédition en Irlande. Et de conclure: «il est plus facile de retrouver 3000 tonnes de nickel que de trouver 3 tonnes d'or».

Par Mathilde Golla
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Message par Her Mer 24 Aoû - 10:35

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Le-tresor-des-Beaumont-se-recherche-en-famille-_53255-avd-20110821-61108092_actuLocale.Htm

Ouest-France / Pays de la Loire / Laval / Sainte-Suzanne / Archives du dimanche 21-08-2011
Le trésor des Beaumont se recherche en famille - Sainte-Suzanne

dimanche 21 août 2011

Pour résister à Guillaume le Conquérant, le seigneur de Sainte-Suzanne, Hubert II de Beaumont, s'est empressé de cacher ses objets les plus précieux dans « la salle du trésor » du donjon. Revenu à notre époque, il s'aperçoit que la totalité de son trésor a disparu. Qu'est-il devenu ? C'est ce que tentent de découvrir petits et grands chaque week-end.

Samedi, livret en mains, Baptiste, 12 ans et Justine, 16 ans, étaient sur les traces du Trésor. Première énigme facilement décodée par nos jeunes « chercheurs de trésors » : « On y plaçait une lanterne pour s'éclairer et de l'herbe sèche pour s'essuyer. » D'énigme en énigme, de coffre en coffre, la chasse se poursuit dans l'enceinte du château avec de temps en temps l'aide des parents et de Corentin, 14 ans. « Un trésor, des énigmes, c'est plus intéressant pour les jeunes qu'une simple visite », commentent les parents. Très perspicace, la famille a trouvé l'emplacement exact du coffre final où une surprise l'attendait.

Chasse au trésor autonome : le Trésor des Beaumont. De 10 h à 19 h, les samedis et dimanches d'août et septembre (sauf pour les journées du patrimoine les 17 et 18 septembre). Retrait des livrets de jeu à l'accueil du Centre d'interprétation de l'architecture et du patrimoine. Gratuit.
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Message par Her Mer 24 Aoû - 10:38

http://www.lefigaro.fr/societes/2011/07/21/04015-20110721ARTFIG00654-la-recherche-d-epaves-une-activite-lucrative.php

La recherche d'épaves, une activité lucrative

Par Mathilde Golla
Mis à jour le 24/08/2011 à 12:31 | publié le 21/07/2011 à 12:30 Réagir

Épave El Condesito - Crédit photo: Philippe Guillaume sur Flickr

Gains potentiels importants, progrès techniques qui facilitent les recherches: la chasse aux trésors sous-marins est en plein essor. Des sociétés spécialisées sont créées, dont certaines sont cotées en Bourse.

Des profondeurs sous-marines aux marchés financiers, il n'y a parfois qu'un pas... que la société américaine d'exploration Odyssey Marine Exploration a déjà franchi! A l'image du leader de la recherche d'épaves coté à la Bourse de New York depuis novembre 2003, d'autres sociétés spécialisées dans la chasse aux trésors maritimes, plus petites, viennent se financer sur les marchés et grossissent les rangs des acteurs de la filière.

Même si le secret est roi au royaume des chasseurs d'épaves, une chose est certaine: la chasse aux trésors engloutis sous les mers peut rapporter gros. Odyssey Marine Exploration, une des rares sociétés à communiquer sur ses activités, a ainsi décroché la lune en septembre 2003 avec la découverte du Republic, un steamer américain rempli de pièces d'or qui a sombré au large de la Géorgie en 1865. Après douze années de recherche, la société américaine a mis la main sur un butin contenant près de 400.000 dollars de l'époque en pièces de monnaie, soit une valeur actuelle comprise entre 120 et 200 millions de dollars. La société a pu conserver 90% de la cargaison. Odyssey a également pu développer des produits dérivés de cette expédition. Cette découverte avait en outre fait flamber l'action du groupe en Bourse. Et aux yeux des dirigeants, «les 20 millions dépensés pour les recherches ne sont qu'un goute d'eau en comparaison de la valeur potentielle des vestiges du Republic».

Et si les pièces d'or et les pierres précieuses continuent à faire rêver les chasseurs d'épaves, elles ne sont pas les seuls trésors de valeur. Les monnaies, canons, gobelets, bouteilles anciennes et même cargaison de matières premières peuvent également rapporter gros. Ainsi, la société britannique Blue Water Recoveries, créée en 1995, a collecté 23.000 tonnes de métaux précieux grâce à ses recherches d'épaves.

Trente épaves rentables à récupérer
Mais retrouver une épave sous-marine a un coût. D'après l'Unesco, près de 3 millions d'épaves jonchent les profondeurs sous-marines mais seul un millier d'entre elles contiendraient suffisamment d'objets de valeur pour rentabiliser la recherche.

Les explorations menées pour retrouver des épaves englouties à des centaines de mètres de profondeur sont en effet très couteuses. Il faut disposer d'un matériel technologiquement très avancé et d'équipages experts, pour des expéditions qui peuvent durer plusieurs mois, voire plusieurs années. Sans compter le travail préalable au lancement d'une opération: la traque d'archives, de cartes et de tous documents en mesure d'identifier et de cartographier les trésors potentiels. John Morris, cofondateur et PDG d'Odyssey Marine Exploration estimait ainsi que «moins d'une trentaine d'épaves sont financièrement intéressantes à récupérer» à travers le monde.

En outre, le développement des technologies rend les recherches plus accessibles et attire des chasseurs de trésors. Les fonds des océans du monde entier sont passés au peigne fin. Les expéditions sont principalement menées par des sociétés anglo-saxonnes tenues par des financiers. Dans ce contexte, John Morris estime que «toutes les épaves auront probablement été visitées dans une dizaine d'année: notre créneau est donc très limité». Une course contre la montre est ainsi engagée, au mépris parfois des règles en vigueur.

La réglementation sur les épaves se durcit
Fin 2007, Odyssey a ainsi eu des démêlées judiciaires. La société américaine a mis la main sur le trésor du «Black swan», nom de code donné à la mystérieuse épave découverte aux larges des côtes de Gibraltar et dont Odyssey a conservé la cargaison de 17 tonnes d'or et d'argent. Problème, l'Espagne revendique la propriété du bateau et du trésor et elle veut récupérer ce butin et les coordonnées de localisation de l'épave, gardées secrètes.

De fait, la commercialisation des trésors des mers est régie par des lois. Les cargaisons identifiées doivent être déclarées et seuls les trésors relevés dans les eaux internationales peuvent être conservés, à condition toutefois que les navires repêchés ne battent pas pavillon espagnol, anglais, français ou américain, sinon les droits des butins reviennent alors aux pays concernés. Et l'Unesco tente de durcir encore les lois afin de limiter les pillages. L'organisation des Nations Unies estime notamment qu'en dix ans, près de trente épaves ont été détruites et exploitées commercialement en Asie, et déplore pour chacune d'entre elles le pillage de 500.000 objets.

En France désormais, «toutes les découvertes maritimes appartiennent à l'Etat», indique le département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines, affilié au Ministère de la Culture. Des récompenses sont toutefois attribuées aux découvreurs d'épaves et de trésors.

Un chercheur d'épaves traque le corps de Ben Laden
La traque des fonds marins n'a plus pour seule finalité de retrouver des pièces d'or et autres fabuleux butins. Récemment, un chercheur d'épave a ainsi choisi de partir à la recherche du corps de Ben Laden. Bill Warren, un célèbre chercheur d'épave américain, souhaite prouver aux sceptiques la mort du dirigeant de l'organisation terroriste Al-Qaida, et toucher au passage une prime de 25 millions de dollars. Pour ce faire, ce plongeur de 59 ans sondera le nord de la mer d'Arabie pour retrouver le corps de l'ex-ennemi numéro un des Etats-Unis. Mais selon Bertrand Sciboz, également chercheur d'épave, «rechercher un corps dans la mer d'Arabie alors qu'il y a 2000 mètres de fond, c'est une opération totalement impossible».
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Message par Her Mer 24 Aoû - 10:39

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/02/03/01016-20090203ARTFIG00265-bataille-autour-du-tresor-enfoui-du-victory-.php

Bataille autour du trésor enfoui du «Victory»
De notre correspondant à Londres Cyrille Vanlerberghe
03/02/2009 | Mise à jour : 08:17

L'équipage de l' Odyssey Explorer a remonté à la surface deux des 100 canons de bronze transportés par le HMS Victory, un navire commandé par l'amiral Balchin. Crédits photo : AFP
Des chasseurs de trésor américains convoitent les 4 tonnes d'or du navire qui a coulé dans la Manche en 1744. Mais la Couronne britannique en revendique la propriété.

En 1744, lors d'une violente tempête, le navire de guerre britan­nique HMS Victory disparaît à quelques dizaines de kilomètres de la pointe du Cotentin. À l'époque, tout porte à croire que ce symbole de la puissance navale britan­nique, portant 100 canons de bronze, a fait naufrage sur les rochers des Casquets, au large des îles Anglo-Normandes, provoquant la mort des 1 100 hommes d'équi­page et la disparition de prises de guerre dont la valeur actuelle est estimée à plusieurs centaines de millions d'euros. Quelques années après le naufrage, l'amirauté britannique lança un nouvel HMS Victory, encore plus puissant mais surtout plus marin, qui allait servir de navire amiral à lord Nelson, notamment à Trafalgar.

Deux siècles et demi plus tard, le mystère a enfin été résolu. L'épave a été retrouvée «à presque 100 km du lieu présumé du nau­frage» par Odyssey Marine Exploration, une société américaine basée en Floride et spécialisée dans la chasse aux trésors.

100 000 pièces d'or
Mais à qui appartiennent le Victory et ses pièces d'or ? D'après Odyssey, qui a fait la découverte en mai dernier mais ne l'a révélée au public qu'hier, les restes du navire se trouvent dans les eaux internationales, en dehors des zones françaises et britanniques. Mais comme il s'agit d'un ancien bâtiment militaire, il appartient de droit à l'État britannique, quelle que soit sa position. «Aucune action intrusive ne peut être engagée sans l'accord du Royaume-Uni», a averti un porte-parole du ministère de la Défense à Londres.

Après la découverte initiale au sonar, c'est dans ce cadre très réglementé, et avec la supervision de la Royal Navy, que l'équipage de l'Odyssey Explorer a pu poursuivre son exploration. Le petit robot plongeur montre que les restes du Victory sont en très mauvais état. Le site a été régulièrement dragué par les chaluts de pêche. Un repérage photographique permet de situer 41 canons de bronze, deux ancres, le gouvernail et des restes du gréement. Pour confirmer la nature de l'épave, l'équipe d'Odyssey remonte deux des canons à la surface. Les armes des rois George Ier et George II, gravées sur les deux pièces d'artillerie, permettent de lever les derniers doutes.

Désirant exploiter au mieux sa découverte, la société américaine a déjà vendu les droits d'un documentaire télévisé à la chaîne Discovery. En revanche, la suite risque d'être plus compliquée. Car la société Odyssey est avant tout intéressée par l'or du Victory. Près de 100 000 pièces d'or rapportées de Gibraltar, soit pas moins de 4 tonnes de métal précieux, valant au bas mot 140 millions d'euros.

Greg Stemm, le PDG d'Odyssey, a affirmé hier à Londres qu'il était en train de négocier un accord d'exploitation de l'épave avec le ministère de la Défense britan­nique. Mais si la Royal Navy préfère récupérer le trésor toute seule, les chasseurs de trésor américains oseront-ils agir en pirates ?
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Message par Her Mer 24 Aoû - 10:40

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/20/97001-20100820FILWWW00368-tresor-recours-contre-l-espagne.php

Trésor: recours contre l'Espagne
AFP Publié le 20/08/2010 à 13:51

La société américaine Odyssey, spécialisée dans la récupération d'épaves, a présenté hier devant la justice ses arguments dans l'affaire à rebondissements qui l'oppose au gouvernement espagnol, auquel elle dispute la propriété d'un fabuleux trésor sous-marin.

Odyssey Marine Exploration Inc. a déposé un recours auprès d'une cour d'appel pour contester la remise à l'Espagne du butin trouvé sur l'épave d'un bateau qu'elle a découvert en 2007 au large de Gibraltar. Il s'agit du plus grand trésor sous-marin jamais trouvé, composé de 500.000 pièces d'argent et de centaines d'objets en or.

Madrid, qui a dès le départ soupçonné Odyssey d'avoir trouvé le trésor dans ses eaux territoriales, a fourni en 2008 des "preuves" sur le fait que l'épave pillée était le "Nuestra Señora de las Mercedes", navire de guerre coulé le 5 octobre 1804 au sud du Portugal, avec une importante cargaison d'or et d'argent.

Après une longue bataille juridique, un tribunal fédéral américain avait confirmé en décembre qu'Odyssey devait rendre à l'Espagne le fabuleux trésor, tout en faisant valoir que ses compétences n'étaient pas suffisantes dans cette affaire.

Selon le jugement émis en décembre, il est "indiscutable que l'épave Nuestra Señora de las Mercedes est un navire d'Etat espagnol et que son chargement ainsi que les restes humains sont patrimoine espagnol". Odyssey avait fait appel de la décision.

Dans le recours déposé hier devant la justice, la société affirme que, même s'il s'agissait d'un navire de guerre, il effectuait une mission commerciale lorsqu'il a coulé en 1804, un fait qui "rend légalement nulle la revendication espagnole".

Par ailleurs, "si le tribunal était incompétent, il n'avait pas l'autorité légale pour ordonner le transfert de propriété (du trésor) à l'Espagne", a fait valoir dans son argumentaire la vice-présidente et juriste d'Odyssey, Melinda MacConnel.

Odyssey affirme que le trésor a été trouvé "dans les eaux internationales de l'océan Atlantique", mais a rapidement rapatrié son butin vers les Etats-Unis et gardé secret l'emplacement exact de l'épave, ce qui a éveillé les soupçons de Madrid.
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Message par Her Mer 24 Aoû - 11:32

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/24/1152399-a-la-decouverte-des-reserves-du-museum.html#xtor=EPR-1

Toulouse et sa région

« Toulouse
PUBLIÉ LE 24/08/2011 08:50 | S. G.
À la découverte des réserves du Muséum
Toulouse

Les réserves du Muséum ouvertes aux enfants : une véritable occasion de découvrir le travail des scientifiques./Photo DDM, Xavier de Fenoyl
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Le laboratoire scientifique du Muséum de Toulouse est accessible au public. L'occasion de découvrir comment travaillent ses chercheurs et d'avoir un contact direct avec les objets de collection.

Ce vendredi-là, ce sont les araignées qui sont examinées sous l'œil perplexe des visiteurs. Projections d'espèces, découvertes sous microscope…

Comme chaque jour, le Muséum de Toulouse a ouvert au public son laboratoire scientifique situé en sous-sol. L'occasion pour petits et grands de voir comment les chercheurs travaillent et quelles sont les méthodes utilisées. « Ce laboratoire, ou réserves, permet d'avoir un contact direct avec des collections et des spécimens, note Thierry Buffin, responsable de la médiation. Il permet aussi de découvrir les pratiques de la science ».

Voir, apprendre, toucher, comparer… Une expérience inoubliable dans les entrailles du Muséum de Toulouse pour une approche ludique et pédagogique. « Le public peut aussi apporter un échantillon de fossile par exemple trouvé dans la nature et le faire identifier dans ce laboratoire ». Avec à disposition des ordinateurs, des loupes et des planches pour un complément d'infos.

Ce lieu ouvert début 2011 est inspiré du Natural British Museum de Londres. « Il comprend notamment un espace appelé, « investigate » pour les enfants ».

Revenons à nos araignées naturalisées. « Durant une heure, le public va assister à une séance de découverte et apprendre avec Anne- Cécile, animatrice, la différence entre insectes et araignée. Il va découvrir leur milieu et jouer le test des questions réponses. Il apprendra aussi que seule une trentaine d'araignées est dangereuse pour l'homme sur les 30 000 espèces répertoriées ».

Quand s'y rendre
Les réserves du Muséum de Toulouse (35 allées Jules- Guesde) sont ouvertes du mardi au dimanche en accès libre ou sur rendez-vous. À partir de septembre, elles seront ouvertes le mercredi et le week-end. Prochains thèmes abordés : les fossiles, les plumes, les pigments et les insectes. Tél. 0 567 738 484
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Message par Her Mer 24 Aoû - 11:49

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/24/1152234-ces-pierres-qui-nous-tombent-du-ciel.html

Foix et sa région
« Ariège
PUBLIÉ LE 24/08/2011 07:52 | J.M.
Ces pierres qui nous tombent du ciel
minéralogie spatiale

Cette météorite a été trouvée dans la Drôme en 2002 à Alby sur Chéran./Photo Museum

La météorite observée en Ariège le 2 août dernier intéresse les scientifiques qui souhaiteraient pouvoir récupérer des fragments.

La météorite qui est passée dans le ciel de l'Ariège, à 3 h 30 du matin, le 2 août, dans le ciel de l'Ariège, continue d'intéresser les scientifiques. L'Université parisienne de Jussieu recherche des témoignages, comme le Muséum d'histoire naturelle où travaille depuis 20 ans Brigitte Zanda, responsable des collections de météorites du Muséum. « Ce sont des objets rares, dit-elle, qui permettent d'étudier la minéralogie du système solaire. En réalité ce sont des fossiles des premiers instants du système solaire, les objets les plus vieux de l'espace. » On comprend donc mieux leur intérêt pour les chercheurs qui essayent de reconstituer le processus de la formation de la Terre, du soleil et des planètes. Des matériaux, des résidus ayant servi à cette gestation, se sont retrouvés dans l'espace. Ils ont peu évolué depuis l'origine, c'est ce qui fait tout leur intérêt pour les chercheurs, car ce sont des témoins essentiels. Parmi eux il y a les astéroïdes, blocs ferreux ayant fondu, et des météorites qui ont gardé leur composition globale (silicate de fer), la même que celle du soleil. Ces objets pénètrent de temps à autre dans notre atmosphère, de nuit comme de jour, en différentes trajectoires ; c'est totalement aléatoire. Les météorites sont plus grosses que les étoiles filantes (lire ci-contre). En moyenne, on en signale une par an en France. Il y en a sans doute davantage, mais encore faut-il en avoir le témoignage. « Nous avons rarement des échos d'observations. La population étant moins rurale, il y a moins de témoins potentiels. Les gens ne sont plus dehors comme il y a un siècle. Il n'y a personne pour les voir ou les ramasser. On remarque d'ailleurs que les observations n'ont lieu pratiquement que dans les grandes vallées. En 20 ans, il n'y a eu qu'une seule météorite dont je suis sûre. »

En ce qui concerne la météorite ariégeoise Brigitte Zanda recueille et recoupe les témoignages, avec l'espoir que l'on puisse déterminer sa trajectoire, et qui sait ? En retrouver des fragments. Peut-être dans les Pyrénées. À moins que « l'objet » n'ait disparu, englouti dans les eaux de la Méditerranée. La bredouille est souvent la règle dans cette chasse insolite mais passionnante.

44 météorites récupérées

Entre 1 800 et 1900, il y a eu 44 chutes de météorites observées et récupérées en France, soit près d'une tous les 2 ans, mais seulement 8 (9 si on compte celle de 1978) entre 1900 et 2000. Ce qui traduit bien les changements d'habitude des populations.

La croûte de fusion de certaines pierres peut être vernissée (et avoir un éclat qui ressemble à celui de l'obsidienne). Ce sont les pierres provenant de la surface d'astéroïdes fondus, et dont la composition chimique est proche de celle d'un basalte (elles ne contiennent pas de minéraux opaques comme le métal qui rendent la croûte plus terne). Il ne faut pas confondre les météorites avec les étoiles filantes, minuscules débris de comètes qui se pulvérisent en entrant dans l'atmosphère terrestre. En cas d'observation de météorites : tel.01 40 79 35 42 ou zanda@mnhn.fr
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Message par Her Jeu 25 Aoû - 9:57

http://www.midilibre.fr/2011/08/24/l-etat-s-interesse-au-tresor-de-la-rue-droite,376677.php

Millau L’État s’intéresse au trésor trouvé dans sa cave
GABRIEL PANTEL-JOUVE
25/08/2011, 06 h 00 | Mis à jour le 25/08/2011, 08 h 22
41 réactions

Début juillet, Marc Aigouy était heureux de présenter les trente-quatre pièces. (FRANÇOIS CÉLIÉ)
On avait quitté Marc Aigouy début juillet. À l’époque, ce numismate installé rue Droite à Millau, rayonnait après la découverte d’un trésor d’une valeur estimée à 100 000 euros. Trente-quatre pièces d’or trouvées par un couple de jeunes Millavois en marge de travaux dans leur appartement. Les médias nationaux s’étaient alors empressés de venir taper à sa porte pour couvrir ce sujet peu banal.

Mais cette exposition médiatique avait aussi éveillé la curiosité de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) de Toulouse, en l’absence d’une déclaration sur ses bureaux. "Normalement, celle-ci doit être déposée auprès du maire qui doit en référer à l’État, et donc en l’occurrence nous", rappelle Michel Vaginay, responsable du service archéologie de la Drac de Toulouse.

Marc Aigouy, numismate : "Ils devront remettre le trésor à l’État qui se donnera alors 5 ans pour l’analyser."

"Face à l’impossibilité de prendre contact avec le couple pour connaître les circonstances de leur découverte, le service d’État basé à Toulouse n’a eu d’autres recours que de déposer une plainte. Aujourd’hui l’enquête suit son cours. C’est dans ce cadre-là que Marc Aigouy, qui n’a plus de contact avec les découvreurs, a été longuement entendu par la police il y a quinze jours.

Ce dernier émet depuis quelques critiques contre la législation française : "Elle est mal faite et absurde. Si tout se passe pour le mieux pour ces jeunes Millavois, ils devront remettre le trésor à l’État qui se donnera alors cinq ans pour l’analyser, prévient-il, à titre de comparaison, en Angleterre, cette période ne dure que trois semaines."

Michel Vaginay, de la Drac de Toulouse : "Nous devons vérifier le contexte dans lequel a été faite cette découverte..."

Mais le couple pourrait aussi perdre définitivement tout ou partie de son magot. "Nous devons vérifier le contexte dans lequel a été faite cette découverte. Si ces jeunes gens sont bien les propriétaires de la cave où ont été retrouvées les pièces, si ce sont eux qui sont tombés dessus par hasard et si les travaux étaient bien déclarés", détaille l’archéologue Michel Vaginay.

Pour l’heure, la Drac attend toujours les résultats de l’enquête.

L'Etat, la loi, l'or
VITE DIT Tous ceux qui croyaient, de bonne foi, profiter de ce qui pousse dans leur jardin ou traîne dans leur cave en seront pour leurs frais. On a beau être propriétaire, l’État n’est jamais loin et toujours prêt à vous demander des comptes. L’heureux couple découvreur, voici quelques semaines, d’un trésor rue Droite, peut en témoigner. Après être passé entre les mailles d’escrocs en tous genres, après avoir entrevu l’espoir de lendemains sonnants et trébuchants, le voilà aujourd’hui obligé de s’expliquer sur les travaux entrepris dans l’appartement, ceux-là mêmes qui ont conduit à la formidable découverte (ci-contre). Et si l’on en croit les responsables de la Drac (Direction régionale des affaires culturelles), il est préférable que tout ait été fait dans le respect de la loi. Sans quoi, l’État pourrait s’accaparer les pièces d’or sans autre forme de procès...

DOMINIQUE MERCADIER
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Message par Her Jeu 25 Aoû - 9:59

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Le-groupe-des-Mnm-s-gagne-la-course-au-tresor-_29238-avd-20110823-61115509_actuLocale.Htm

Ouest-France / Bretagne / Châteaulin / Roscanvel / Archives du mardi 23-08-2011
Le groupe des Mnm's gagne la course au trésor - Roscanvel

mardi 23 août 2011

Dimanche soir, les participants de la course au trésor se sont réunis autour du pot de l'amitié. Partis samedi en début d'après-midi de la pointe des Espagnols, ils ont eu un jour et demi pour trouver le trésor. C'est le groupe des Mnm's qui a eu cette chance après avoir décrypté les différentes énigmes tout au long du parcours. Ils étaient quatre : Marco, Sylvain, Nicolas et Marine.

À part Nicolas, tous participaient pour la première fois à la course : « Les énigmes étaient compliquées mais c'est bien, les marches n'ont pas été trop longues (une demi-heure). On a découvert de beaux endroits, des hameaux improbables et les fortifications. C'était bien de se retrouver le soir, on a fait des connaissances. On conserve l'esprit du jeu mais on s'aide entre nous. Ce qu'on voulait c'est être tous les quatre, bien rigoler, chanter. On a toujours été bien accueilli. » Ils ont gagné des balades à cheval, des pêches en mer, des pizzas, des places pour le Dans Ar Vag et le festival du Bout du Monde qu'ils ont offert à ceux arrivés en 2 e position. Tous étaient d'accord pour dire : « On reviendra l'année prochaine ! »
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Message par Her Ven 26 Aoû - 9:22

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet.php

Il gagne deux fois le gros lot au loto
jeudi 25 août 2011

C'est le cas typique du gars qui énerve. Un joueur du loto a gagné trois millions d'euros en cochant les six bons numéros du tirage du 27 juillet. Bon, c'est arrivé à d'autres veinards, pourrait-on se dire. Là où ça devient agaçant, c'est que le bonhomme n'en est pas à son premier coup de chance. Il y a quinze ans, en avril 1996, il avait aussi empoché la cagnotte du jeu ! Un joueur sur 363 millions de millions pouvait prétendre à telle baraka. Y a pas à dire, ça n'arrive vraiment qu'aux autres.
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Message par Her Lun 29 Aoû - 11:49

http://www.20minutes.fr/article/776642/palais-wisigoth-cache-sous-arsenal

Toulouse
Un palais wisigoth caché sous l'Arsenal

Créé le 29/08/2011 à 04h16 -- Mis à jour le 29/08/2011 à 04h16

Les fouilles ont lieu entre le resto U et le Canal de Brienne. F. SCHEIBER / 20 MINUTES.

Insolite Les fouilles en cours sous un parking de la fac de droit livrent leurs premiers secrets

Le temple futuriste de l'économie toulousaine sera bâti sur les ruines d'un probable palais royal wisigoth. Les fouilles menées sous le parking de la Cité U de la fac de Droit en prévision de la construction de la Toulouse School of Economics (TSE) ont commencé au cœur de l'été. Avec déjà quelques surprises à la clé pour les archéologues de l'Inrap*. Pas toujours historiques. Comme cet enchevêtrement, plus fourni que prévu, de canalisations de gaz et d'eau qui alimentaient le resto U dans les années soixante-dix. Des vestiges beaucoup plus précieux affleurent aussi à la surface du parking encaissé : les fondations de l'angle d'un bâtiment, avec un portique d'entrée de 4 mètres de large. « Nous sommes donc sûrs que ce n'est pas une maison d'habitation », indique Jean Catalo, le responsable d'opération.

Ouverture au public
Il penche plutôt pour l'ultime témoignage d'une partie du palais royal des Wisigoths qui, au ve siècle, avaient fait de Toulouse leur capitale. La présence à deux pas de là d'autres vestiges de la construction retrouvés en 1992, lors des fouilles de l'église Saint-Pierre-des-Cuisines, va dans ce sens. Tout comme les matériaux utilisés : du mortier et, déjà, de la brique rose. « Les Wisigoths, bien que dits barbares, n'ont pas imposé leurs techniques de construction, ils se sont adaptés aux savoir-faire locaux », explique Jean Catalo. D'autres strates de l'histoire de la Ville rose se superposent sur cette parcelle de 2 900 m2, qui fut la frontière entre la ville antique et le bourg médiéval. Les spécialistes ont notamment retrouvé des tombes du iiie siècle et leurs squelettes. Puis ils ont fait un bond dans le temps jusqu'aux sous-sols de l'Arsenal, où l'on fabriquait des armes de la Révolution aux années soixante.
Les fouilles vont se poursuivre jusqu'en janvier, sous le regard des étudiants. Déjà, des curieux s'agglutinent pour observer en contrebas le ballet des pelleteuses et des pinceaux. L'équipe a dont décidé d'organiser une opération « chantier ouvert », le samedi 17 septembre, pour les Journées du patrimoine.
* Institut national de recherches

archéologiques préventives

Hélène Ménal
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Message par Her Mar 30 Aoû - 9:47

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/30/1155873-les-explorateurs-stoppes-a-620-metres.html#xtor=EPR-1

PUBLIÉ LE 30/08/2011 08:05 - MODIFIÉ LE 30/08/2011 À 10:07 | LAURENT GAUTHEY
Un site spéléologique découvert à 620 mètres de profondeur
spéléo

L'un des spéléologues se faufile dans un passage particulièrement étroit. La dernière expédition a duré une quinzaine d'heures./Photo DR.
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Dans le secteur de l'Etang de l'Hers, Phil Bence et un groupe de spéléologues sont descendus à plus de 620 mètres, découvrant l'un des plus grands sites ariégeois.

Plusieurs années d'efforts, quelque cent trente sorties et une dernière expédition d'une quinzaine d'heures auront été nécessaires pour découvrir un site de spéléologie hors normes, dans le secteur de l'étang de l'Hers, à 621 mètres de profondeur exactement. « Le site, et ses trois entrées, étaient bien connus depuis 2003, mais jusqu'à 300 mètres de profondeur, relate Phil Bence. Nous avons poursuivi les explorations, travaillé à rendre certains passages praticables. Cétait compliqué : le site n'est accessible que trois mois par an, à cause de la neige. La roche, de plus, est friable, certains passages sont très difficiles ». Mais les efforts ont fini par payer, petit à petit, à force de persévérance : il fallait pas moins de huit heures d'effort pour attendre ce grand vide impressionnant, difficile à équiper en raison des écoulements d'eau et de la mauvaise qualité du rocher. Là, les spéléologues sont arrivés à un puits de 115 mètres de profondeur, avant de prendre pied dans une vaste salle de marbre blanc. Puis, « un dernier ressaut d'une dizaine de mètres de profondeur permet d'atteindre un collecteur, une belle rivière souterraine, cerise sur le gâteau de toute exploration spéléologique ! », termine Phil Bence. Il aura fallu une quinzaine d'heures pour boucler cette dernière exploration.

Mais, le spéléologue ariégeois s'en dit persuadé, l'aventure n'est pas encore terminée. D'abord, il reste à percer le mystère de la rivière souterraine, et passer dans un siphon d'une dizaine de mètres pour suivre cette eau qui ressort aux Neuf-Fontaines, à Aulus. Le fort courant d'air ressenti au fond laisse également penser que ce réseau communique avec le réseau Georges, l'un des plus vastes sites ariégeois. « C'est un grand plaisir de réaliser ce genre de découvertes, résume Phil Bence. Il y a l'attrait de l'inconnu, le frisson de l'exploration. Mais aussi, une meilleure connaissance du réseau hydrologique en-dessous de l'étang de l'Hers ».

Le chiffre : 780
mètres > En-dessous de la surface. C'est le record de profondeur, en Ariège. Il se situe dans le «système de Paloumé» (Coume Ferrat) et se situe à - 780 m dans les dernier siphon (plongée à - 33 m en 2003). Le réseau Georges fait - 720 m de profondeur dans le siphon III (zone noyée) et pourrait communiquer avec le réseau exploré par l'équipe de Phil Bence.

« L'Ariège est un département où l'on peut encore faire de belles découvertes, ce qui est rare au plan national. Il reste des zones inexplorées». Phil Bence, spéléologue
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Message par Her Mar 30 Aoû - 9:52

http://www.midilibre.fr/2011/08/29/vol-du-tresor-je-n-y-crois-pas-une-demi-seconde,378860.php

Millau "Vol du trésor ? Je n’y crois pas une demi-seconde"
GABRIEL PANTEL-JOUVE
30/08/2011, 06 h 00

L'enquête suit son cours. (Photo EVA TISSOT)
L’affaire du trésor de la rue Droite continue à faire grand bruit. Vendredi, une dépêche de l’Agence France presse (AFP) faisait même état de l’hypothèse d’un vol émise par la Direction des affaires culturelles (Drac) de Midi-Pyrénées. "Si l’on n’est pas dans le cas d’une découverte fortuite non déclarée, tout est possible, y compris un vol et une tentative de recyclage sous le masque de découverte fortuite", expliquait alors Eric Mauduit. Soit.

Son de cloche très différent, hier matin, avec un autre responsable de la Drac, Michel Vaginay : "Pour l’instant on en est resté à la version lue dans la presse, c’est-à-dire qu’il s’agit d’une découverte fortuite, reconnaît-il, mais on se doit de se poser toutes les questions nécessaires et l’hypothèse du vol fait partie de celles-ci", explique-t-il en fustigeant au passage le parti pris par l’AFP.

Marc Aigouy, le numismate ayant présenté les 34 pièces d’or à la presse, est lui plus catégorique encore : il n’a jamais rien soupçonné de tel. "Je n’y crois pas une seule demi-seconde, prévient-il, lorsque les pièces m’ont été amenées, elles étaient encore toutes sales et il y avait le pot dans lequel elles se trouvaient."

Vue la rareté de certaines, ce professionnel des monnaies avait alors eu l’accord des découvreurs pour parler de cette histoire aux médias. Une exposition qui ne fait qu’augmenter son scepticisme au sujet du vol ou d’un recel présumés. "Le couple ne connaissait absolument rien sur les monnaies anciennes, se rappelle-t-il. Dans notre profession, nous possédons un système qui s’appelle la chaîne du vol. Ainsi, nous connaissons toutes les pièces qui ont été dérobées. Dans la région, seules des monnaies de Villefranche-de-Rouergue ont disparu mais celles-ci ne correspondent pas à celles retrouvées à Millau car elles sont bien plus anciennes."

Pour autant, depuis qu’il a restitué le trésor au jeune couple, Marc Aigouy n’a plus de nouvelles. "Mais j’aurais pu aider la Drac à les contacter, s’offusque-t-il, seulement personne ne me l’a demandé."

Pour finir, le numismate s’en prend une nouvelle fois à la législation française qui est pour lui la cause de nombreuses pertes de monnaie. "Si elle n’était pas aussi dure, on ne retrouverait pas tant de pièces de monnaie française dans les catalogues allemands ou belges, affirme-t-il, de trop nombreux inventeurs (NDLR. le nom donné aux personnes qui découvrent des pièces) ne déclarent pas leurs trouvailles car ils ont peur de se les faire retirer par l’État. C’est vraiment dommage". L’enquête, elle, suit toujours son cours.
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Message par Her Mar 30 Aoû - 9:53

http://www.corsematin.com/article/papier/vingt-mille-yeux-sous-la-mer-en-quete-de-mondes-perdus

Vingt mille yeux sous la mer en quête de mondes perdus

Publié le mardi 30 août 2011 à 10H50

L'archéologie sous-marine a pris son essor dans les années soixante mettant au jour des trésors engloutis autour de la Corse depuis la préhistoire. Un riche patrimoine menacé par des pilleurs d'épaves sans scrupule
Au carrefour des routes maritimes menant vers « l'Orient compliqué », la Corse recèle dans ses fonds sous-marins plus de deux mille ans d'histoire que racontent d'innombrables épaves de toutes les époques, bateaux de commerce naufragés ou navires de guerre gisant dans les abîmes. Ces trésors inestimables que l'archéologie sous-marine s'efforce aujourd'hui de répertorier avec de puissants moyens technologiques sont demeurés inaccessibles des siècles durant, considérés comme perdus à jamais dans le monde du silence.
Devenu désormais accessible, le monde inconnu des abysses commence à livrer ses secrets. L'archéologie sous-marine n'a que cinquante ans d'existence, mais de belles perspectives devant elle, ainsi que le souligne Franca Cibecchini dans un article documenté publié dans le catalogue du « Mare Nostrum » qui rend compte de l'exposition « Les Corses et la mer » actuellement présentée au musée de la Corse à Corte. (1)
Selon Franca Cibecchini, « le développement et la diffusion du scaphandre autonome inventé dans les années 1940 par le Français Jacques-Yves Cousteau ont rapidement eu pour corollaire une croissance brutale des découvertes d'épaves. Depuis cette période, des plongées sous-marines sont organisées par des clubs sportifs sur le continent et en Corse pour découvrir des sites archéologiques. »
Cette formidable avancée dans le décryptage des histoires croisées des peuples du Mare Nostrum n'est pas sans comporter un risque, « le pillage presque systématique des sites localisés dans la zone de zéro à 50 mètres de profondeur. »
Les premières recherches sous-marines dignes de ce nom ont été menées dans les années 1960 près de Bonifacio, principalement autour des épaves découvertes autour des îlots des Lavezzi et de Cavallo. Mais il faut déchanter : « En 1965, les plus remarquables étaient déjà pillées à plus de 95 % ».
Première campagne sérieuse en 1967 dans le Cap Corse
Désormais, il devient évident que les fouilles sous-marines doivent être confiées aux seuls archéologues. C'est ainsi que sous l'inspiration d'André Malraux, ministre de la Culture, se crée en 1966 la DRASSM, direction des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines qui deviendra plus tard le DRASSM (département).
La première fouille opérée de façon scientifique se déroule en 1967 dans le Cap Corse sur l'épave dite Tour Sainte-Marie remontant aux années 30 à 50 après Jésus-Christ.
« Pour la première fois en Corse, le tumulus d'amphores d'une épave fait l'objet de relevés et d'une couverture photographique minutieuse avant le prélèvement du mobilier. Malgré une campagne prometteuse et une profondeur non négligeable, l'épave Tour Sainte-Marie n'échappera pas au triste destin d'un pillage progressif », indique Franca Cibecchini.
Quelques centaines de pièces provenant de la cargaison d'origine espagnole ont pu néanmoins être sauvées. Il s'agit pour l'essentiel d'amphores à sauce de poisson, d'amphores à salaison contenant encore des résidus de poisson et d'amphores à vin !
À partir des années 1970, le DRASSM entreprend d'intervenir régulièrement en Corse avec son propre navire de recherche, l'Archéonaute. Tâche considérable dans la mesure où le patrimoine archéologique sous-marin couvre toutes les périodes depuis la Préhistoire. Les témoignages de l'Age du Bronze retrouvés en baie de Calvi voisinent avec les épaves de la Seconde Guerre mondiale.
Des vestiges de l'Antiquité grecque datés d'avant notre ère, ont été retrouvés nombreux notamment à Lecci di Porto Vecchio et aux Sanguinaires. Franca Cibecchini dresse l'inventaire d'une cargaison dont la richesse témoigne de l'intensité des échanges en ces temps reculés : « Le navire coulé aux Sanguinaires transportait du vin d'origines diverses, principalement d'Italie et du bassin égéen, mais aussi des amphores puniques et un lot de céramiques fines gréco-orientales. Complètent la cargaison des lingots de cuivre, et surtout plus de 550 kg de verre bleu brut, peut-être de provenance syrienne et qui rendent cette épave tout à fait extraordinaire. »
Trois nouveaux sites sous-marins sont à l'étude dès les années quatre-vingt. L'épave dite Mortella à Saint-Florent sur laquelle existent encore neuf canons et où l'on a repéré des traces d'incendie pouvant résulter d'un combat naval que l'on situe au milieu du XVIe siècle. Dans la même période, on a relevé une autre épave devant l'Île Rousse, un « petit bateau chargé de vaisselle ainsi que de pierres de construction. » Enfin, le bateau coulé au début du XVIIe siècle entre Porto-Vecchio et Bonifacio (appelé Rondinara) transportait « toutes les formes et techniques décoratives connues en Toscane : des coupes, des assiettes, des saladiers produits en grande majorité à Pise et décorées a stecca et à la manière ditea girandola. »
Nouvelles campagnes en 2012 à bord de « l'André-Malraux »
Selon Franca Cibecchini, l'avenir de la recherche dépendra de la volonté des collectivités de travailler en synergie : « Le présent et l'avenir des biens culturels maritimes en Corse sont étroitement liés à la possibilité de nouer des partenariats et d'établir des coopérations solides avec les autres acteurs de l'archéologie et du monde de la mer, en particulier la collectivité territoriale de Corse et les réserves naturelles et maritimes de Corse. C'est seulement grâce à des collaborations multiples que la réalisation de projets d'envergure devient possible. »
Un effort important a été consenti pour réorganiser les dépôts provenant des vestiges de la mer en Corse, regroupés essentiellement dans les musées de Sartène et de Bastia. Mais il est souhaitable d'aboutir dans les meilleurs délais « à une meilleure et plus vaste exposition au public du patrimoine issu de la mer en Corse, un patrimoine très riche qui ne peut demeurer l'apanage d'un nombre réduit de plongeurs privilégiés ou de rares acteurs institutionnels. »
Dès 2012, le DRASSM lancera l'André-Malraux, nouveau bateau armé pour la recherche archéologique sous-marine, capable d'étudier des épaves reposant à grande profondeur. Deux mois de fouilles sont prévus autour de l'île en privilégiant les sites du Cap Corse et des Bouches de Bonifacio.
1 - Mare Nostrum, Les Corses et la mer, jusqu'au 30 décembre au Musée régional d'Anthropologie à Corte.04.95.45.25.45 : www.musee-corse.com
Catalogue de l'exposition, éd. Collectivité territoriale de Corse / Albiana, 570 pages, 43 euros.
A la recherche du trésor de Rommel : des plongeurs pris dans les filets de la douane à Macinaggio
Des recherches sous-marines non autorisées et menées à grande échelle près de Bastia par une équipe de plongeurs allemands, l'affaire avait défrayé la chronique en 2007.
Soixante ans après la révélation de l'existence, au large de Bastia, du trésor dit de Rommel ils exploraient les fonds dans le but de découvrir ce butin de guerre raflé en Tunisie en 1943 et enfermé dans plusieurs caisses immergées on ne sait où exactement, entre le Cap Corse et l'embouchure du Golo. Au total, 20 millions de dollars en lingots d'or et pierres précieuses.
L'histoire abracadabrante de ce trésor commence en 1948 avec l'arrivée à Bastia d'un certain Peter Fleig se disant scaphandrier et ancien SS, venu lancer une campagne de fouilles sous-marines financées avec le soutien du ministère de la Guerre de l'époque à hauteur de 1 million de francs.
Au bout de plusieurs semaines de plongées infructueuses au large de la Marana, le trésor reste introuvable et Fleig disparaît mystérieusement après avoir purgé deux mois de prison à Bastia pour vol.
Il n'en faut pas plus pour que la presse internationale s'enflamme et que naisse la légende du « trésor de Rommel » qui continue aujourd'hui de faire rêver.
En avril 1963, une équipe anglo-américaine emmenée par un sujet britannique, Lord Kilbracken, entreprend clandestinement au même endroit de nouvelles fouilles à bord du « Sea Diver », un yacht équipé des dernières trouvailles de l'électronique. Bien que menées avec l'aide d'un professionnel de la plongée, Robert Stenuit, ces recherches se soldent par un nouvel échec. Après une campagne incognito de plusieurs semaines, le « Sea Diver » s'éloigne définitivement et le trésor de Rommel garde son secret.
Au printemps 2007, de nouvelles recherches sont entreprises par une équipe allemande dotée de moyens dignes des romans d'Ian Fleming : magnétomètre au césium, sonar à balayage latéral tracté par câble, caméra sous-marine téléguidée reliée à une batterie d'ordinateurs. À bord de ce bateau loué dans le sud de l'île, Klaus Keppler, spécialiste mondial des recherches de trésors sous-marins, et une équipe de plongeurs aguerris. Leurs investigations s'étendent d'Aleria à Macinaggio et s'effectuent sous les caméras de la chaîne allemande ZDF.
Repéré par les douaniers à un mille de la côte du Cap Corse, le bateau battant pavillon allemand apparaît suspect et sera conduit à Macinaggio pour inspection. Un début d'enquête permet d'établir qu'il s'agit de la recherche avouée du trésor de Rommel mais effectuée sans aucun permis. Un procès-verbal est dressé. Les contrevenants qui s'exposent à 7 500 euros d'amende se voient signifier la suspension immédiate de leurs recherches. Contre toute attente, ils passent outre l'interdiction et reprennent la mer en se mettant en règle : ils obtiennent in extremis par fax une autorisation de fouilles délivrée depuis Marseille par le DRASSM.
Cette nouvelle campagne orchestrée avec des moyens considérables n'a rien donné, sinon un film diffusé par la TV en Allemagne. Et les contrevenants ont fini par échapper aux poursuites.
D'autres plongeurs viendront peut-être demain tenter leur chance. À ce rythme, les sommes investies dans la recherche de ce butin de guerre vont bientôt atteindre sinon dépasser le montant du trésor de Rommel lui-même !
Il est des légendes qui n'ont pas de prix.
J.-P. G.
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Message par Her Jeu 1 Sep - 6:34

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet.php

De l'or à la poubelle
mercredi 31 août 2011

Par inadvertance, un Australien a jeté aux ordures ses bijoux de famille et ses lingots d'or. Le trésor, estimé à 37 000 €, était placé dans une simple bourse plastique, pour ne pas attirer l'attention des cambrioleurs. Mais, en plein déménagement, l'homme l'a confondu avec un vulgaire sac de déchets ! Depuis, ses amis l'informent régulièrement du prix de l'once d'or, qui atteint des sommets ces derniers temps.
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Message par Her Jeu 1 Sep - 7:01

http://www.midilibre.fr/2011/08/29/l-effet-fin-du-monde-s-essouffle-t-il,378537.php

Limoux L'effet fin du monde s'essouffle-t-il ?
B. C.
29/08/2011, 06 h 00

Le Bugarach vu depuis la mairie : la fin du monde n'entraîne pas des pics de fréquentation. (Photo GUILLAUME)
BUGARACH

Dans l'histoire de l'humanité, il y aurait eu 182 prédictions annonçant la fin du monde. Celle qui la prévoit le 21 décembre 2012 est donc la 183e. Mais les hommes ayant la mémoire courte, ils ne souviennent pas des 182 précédentes.

Et beaucoup vont se réfugier dans des théories à "quat'sous" expliquant le crash final. Car elles pullulent. En pianotant "Bugarach" sur internet, on découvre ainsi des thèmes revigorants : "Recentrage et ressourcement" ; "fêter la fin de la 9e onde, apogée de notre cycle" ; "stage de développement personnel" ; "conscience du cristal niveau 1" ; "l'arbre gynécologique au féminin sacré (code d'Isis)"…

Dans le même ordre d'idée, mais dans le genre science-fiction, on trouve aussi la théorie de la base spatiale installée sous le pic dominant le village, et qui serait habitée par "des hommes venant d'Orion ayant un aspect humain" (entendu dans une vidéo). Si ces envolées imaginaires rassurent ceux qui claquent des dents à l'idée de mourir quatre jours avant Noël, elles n'en sont pas moins surveillées par la Mivilude (Mission Interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les Dérives sectaires).

"Les groupes libertaires prônant la vie en commun, voire une forme de communisme tel le 'phalanstère de Godin', ne sont pas à craindre, nuance Olivier Tainturier, le sous-préfet, même si nous restons prudents, bien sûr. En fait, une secte est repérable à partir d'un faisceau d'indices : sa dimension spirituelle, son leader charismatique, enfermement moral, physique…".

Le phénomène attire en tout cas les journalistes du monde entier. "Rémy Lainé, un reporter d'Arte est même venu passer une journée pour s'imprégner de l'ambiance. Il reviendra en septembre avec une équipe afin de tourner un documentaire d'une durée d'une heure, confie Jean-Pierre Delord, le maire de Bugarach, l'équipe d'Arte devrait rester un mois. Jusqu'à maintenant, ceux qui sont restés le plus longtemps sont des Italiens. Et puis on a eu CNN !".

Oui, mais : l'augmentation du nombre de touristes, à laquelle on aurait pu s'attendre cet été, n'a pas eu lieu : "Il y a eu un peu plus de monde que d'habitude mais pas d'affluence notable. Des gens sont venus, curieux de voir le village. Je me demande si le 21 décembre 2012, on subira une ruée ? Je ne le crois plus vraiment. Et puis en hiver, la période ne s'y prête pas car il fait trop froid". J.-P. Delord a-t-il raison d'ironiser ? Un illuminé peut tout braver pour sauver sa vie et ressourcer ses cellules en énergies lumineuses…

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2 réactions

Marie 31 le 31/08/2011, 19h35

"L'effet fin du monde" est essentiellement un effet créé artificiellement par la Miviludes pour se donner quelque chose à faire et justifier l'argent indu qu'elle reçoit du gouvernement. Des annonces de fin du monde, comme vous le dites, il y en a eu beaucoup. La différence cette année, c'est que la Miviludes, qui veut dicter aux uns et aux autres ce qu'il faut penser en fait son fonds de commerce, et c'est bien le terme. Elle cherche à en tirer une légitimation de son existence. Regardez son illogisme, elle s'attaque directement aux gens qui ont une grande dimension spirituelle, il faut le faire ! Et comme elle n'a rien en réalité à leur reprocher, elle relie les pires choses à ce phénomène. Mais une grande dimension spirituelle ne peut pas s'accompagner de ces pires choses, car alors elle n'est plus cette dimension ! Ah vraiment, la Miviludes dit et fait vraiment n'importe quoi pour traîner les gens bien dans la boue. Mais à quoi le gouvernement pense-t-il lorsqu'il garde une institution aussi perverse en son sein ?
Alertez
Répondre à Marie31

Jean Lassoie le 29/08/2011, 11h58
http://www.tilltheworldends.com/fr/fin-monde.php
Mais non ca ne s'essoufle pas, on en rigole voilà tout. Ce n'est pas sérieux tout cela
Alertez

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Commentaire d'Hercule : Je suis content de découvrir le reportage et l'analyse de ce journaliste et celle du 1er commentaire qui rejoignent les miennes.
Par contre, je ne sais pas où le journaliste a trouvé 182 prophéties qui parlent de "la Fin du Monde". Il fait bien de parler au conditionnel.
En ce qui me concerne, dans mes "Chroniques Prophétiques" et dans "Prophéties et Messages" que vous pouvez trouver sur ce blog, j'ai du rassembler 700 à 800 prophéties bibliques et chrétiennes, depuis le livre de la Genèse jusqu'à aujourd'hui, et il n'y en a aucune qui annonce "la Fin du Monde".


Dernière édition par Hercule le Dim 11 Sep - 11:58, édité 1 fois
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Message par Her Mer 7 Sep - 21:47

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/07/1161273-l-espagne-veut-des-ours.html

PUBLIÉ LE 07/09/2011 08:17 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
L'Espagne veut des ours !
Pyrénées

La Principauté des Asturies souhaite transplanter dans les Pyrénées quatre ours bruns issus des monts cantabriques./photo DDM, archives.

Alors que le gouvernement français vient de renoncer à lâcher une ourse slovène dans le Béarn, les Espagnols, eux, volent au secours de l'ours des Pyrénées. En effet, le gouvernement de la Principauté des Asturies a déposé un projet Life « Nature et Biodiversité » dont l'objectif est la transplantation dans les Pyrénées de quatre ours brun issus de la population des monts cantabriques, de proches cousins, sur le plan génétique, des Pyrénéens.

52 oursons observés

Ce projet Life, préparé avec le ministère espagnol de l'Environnement, est estimé à 22 millions d'euros et, outre les Asturies, concerne d'autres régions comme la Galice, la Cantabrie, la Navarre, l'Aragon et la Catalogne. Il sera cofinancé par l'Union européenne qui doit cependant confirmer son accord. « L'Espagne, comme la France, est soumise à la directive européenne habitat, une législation qui classe l'ours comme espèce prioritaire et impose des mesures de protection et de restauration dans les secteurs où elle est menacée. Le projet Life est une manière pour l'Espagne de répondre à ses obligations » explique François Arcangeli, président de l'association « Pays-de-L'ours-Adet ».

Les efforts engagés depuis 10 ans par la péninsule pour réintroduire l'ours dans les Monts Cantabriques sont aujourd'hui couronnés de succès : 26 ourses suitées et 52 oursons ont été observés au début du printemps 2011 dans la partie occidentale de cette cordillère. D'où l'idée, pour répondre à la directive habitat, de transférer des ourses dans le versant sud des Pyrénées à l'horizon 2012 ou 2013.

Selon François Arcangeli, cette décision pourrait permettre de débloquer la réintroduction avortée d'une ourse en Béarn. « Le parlement et la commission européenne ont été saisis de ce cas. La France ne respecte pas la législation européenne et des sanctions vont être prises ».


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Message par Her Ven 9 Sep - 12:33

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/09/1163203-vols-arrestations-en-cascade-dans-le-limouxin-et-la-haute-vallee.html

Limoux et sa région
PUBLIÉ LE 09/09/2011 09:31 - MODIFIÉ LE 09/09/2011 À 13:50 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Limoux. Vols : arrestations en cascade dans le Limouxin et la haute vallée
faits d'ici

Arrestations en cascade dans la région de Limoux et de la haute vallée. La première a eu lieu mercredi à l'aube par les gendarmes de Limoux épaulés du PSIG et de la nouvelle cellule limouxine spécialisée dans le cambriolage. Une quinzaine de gendarmes sont intervenus en centre ville et sur l'aire de Brides, ils ont appréhendé trois hommes, très jeunes, pour des vols récents, de moins d'un mois, dans deux restaurants, à Limoux et Castelnaudary. Les trois individus interpellés sont bien connus des services de police. Un des deux plus jeunes cambrioleurs, 19 ans, a plus de condamnations à son actif que de dates d'anniversaire. C'est Hyper actif de la cambriole et ses associés sont passés hier devant le procureur de la république en comparution immédiate. Ce dernier a écopé d'une 22e condamnation, 25 mois de prison ferme avec détention immédiate à la maison d'arrêt de Perpignan, le second 18 mois dont six avec sursis incarcéré à Carcassonne et le troisième 15 mois avec sursis et 24 mois de mise à l'épreuve. Deuxième arrestation, plus rocambolesque celle-là, vécue hier en direct par des Quillanais vers 17 h 15 route de Belvianes. Trois personnes ont été surprises la main dans le sac ou presque par les gendarmes, dans la résidence inoccupée d'un Anglais. Un des trois individus a bien tenté de fausser compagnie aux forces de l'ordre, mais en vain. La question pour ces trois dernières arrestations est de savoir si elles ont un lien avec l'ensemble des vols commis ses derniers mois sur la région et notamment ceux perpétrés à l'Auberge du Chalet à Belvianes ou bien encore ceux de Quillan et Couiza. Dernière arrestation en date, celle de l'amateur de bonnes bouteilles à la cave du Cep d'or à Limoux. F.P.
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Message par Her Dim 11 Sep - 11:59

http://www.leprogres.fr/jura/2011/09/11/des-racines-et-des-ailes-filme-le-tresor-englouti-de-vouglans

« Des racines et des ailes » filme le trésor englouti de Vouglans
Publié le 11/09/2011 à 00:00

Grégory Tourreau (en tee-shirt bleu) briefe les plongeurs sous l’œil de la caméra avant le départ / Photo Jean-François Butet

Télévision. Des plongeurs mandatés par l’émission de France 2 « Des racines et des ailes » sont allés, hier, débusquer la chartreuse, un fleuron du patrimoine jurassien englouti dans les profondeurs du lac de Vouglans

« Nous voulions mettre les lacs du Jura en valeur. Quelqu’un m’a parlé de la chartreuse engloutie du lac de Vouglans. Ca m’a tout de suite fait rêver », explique la réalisatrice Katia Chapoutier.

L’équipe d’Eclectic Production mandatée par l’émission « Des racines et des ailes » pour réaliser un film sur le patrimoine du Jura, a donc embarqué hier, a bord du bateau d’Aquatix, la seule structure de plongée professionnelle du département. Selon Katia Chapoutier, le patron d’Aquatix, Grégory Tourreau est « la référence pour cette plongée ». La réalisatrice l’a donc d’abord déniché, lui. « Le problème, c’est que mon caméraman, Damien, est excellent. Mais je ne pouvais pas lui demander de plonger à cinquante mètres de profondeur pour filmer l’édifice », sourit-elle. Greg Tourreau a donc présenté à Katia l’un de ses clients belge, Thierry Hustin, un fan de vidéo subaquatique. L’homme a déjà filmé la chartreuse en plongée. « Nous avons visionné son travail et nous l’avons trouvé très bon ». Voilà pour la partie technique. Mais qu’aurait été ce film réduit aux seules images ? C’est là que Greg est à nouveau intervenu en avançant le nom d’un autre de ses clients, le plongeur dijonnais Gérald Naigeon.

« Depuis qu’il a découvert la chartreuse, il est tombé amoureux des lieux, il est devenu un véritable spécialiste de son histoire », souligne Katia.

Tout ce petit monde s’est retrouvé, en début d’après-midi, amarré à l’une des bouées qui signalent le site de plongée à quelques encablures du port de la Mercantine. Deux plongées étaient envisagées. Après la première, un débriefing des images sur la plage a montré qu’une seconde immersion n’était pas nécessaire.

Manifestement, Thierry Hustin avait fait du bon boulot dès le premier passage. L’idée des producteurs de l’émission patrimoniale était de mettre en lumières les trésors cachés du Jura.

« Et de faire connaître ce lac de Vouglans qui ne l’est pas tellement », ajoute Katia. Qui termine : « avec la chartreuse, on est en plein dedans ! ».

Le matin même l’équipe d’Eclectic Production filmait une rencontre de montgolfières à la Saline Royale d’Arc-et-Senans. Ce dimanche, elle sera à la villa palladienne à Syam. Elle s’est déjà intéressée à Arbois, avec les vendanges, la fête du Biou, et l’incontournable maître chocolatier Édouard Hirsinger. Elle a filmé l’histoire d’amour entre le patron de Juraflore, Jean-Charles Arnaud, et le fort des Rousses. Et va encore travailler avec l’ONF, un musher, un tavailloneur, et un fan de train à vapeur. Le tournage, qui a débuté en septembre, va se poursuivre jusqu’en janvier. Katia Chapoutier et son équipe auront alors douze semaines de montage pour livrer un produit fini.

« Des racines et des ailes » devrait diffuser ce film à ses trois millions et demi de téléspectateurs réguliers à l’automne 2012.

La chartreuse de Vaucluse tire son nom de la forêt qui la surplombe. Fondée en 1139 par les moines de Saint-Bruno, elle est l’une des plus anciennes de l’ordre. Au XIV e siècle, elle s’étend sur 144 hectares. Les bâtiments sont en partie détruits par les troupes de Louis XI. La chartreuse est reconstruite et agrandie en plusieurs chantiers entre 1756 et 1787… Pour être pillée à la Révolution. Les moines sont chassés et l’endroit vendu comme bien national. En 1927, la chartreuse est classée monument historique.

Elle connaît divers propriétaires dont le dernier est exproprié au moment de la construction du barrage de Vouglans.

Les premières études commencent en 1956, le barrage est achevé en 68. Noyer la vallée de l’Ain du saut de la Saisse à Pont-de-Poitte, au nord, jusqu’en amont du village de Menouille, au sud, prend un an et demi. La chartreuse est le seul édifice qui n’est pas détruit avant cette mise en eau. Sa toiture est démontée, comme ses portes extérieures qu’EDF fait reconstruire à ses frais sur les berges actuelles, sous le village d’Onoz. À l’époque, 150 personnes vivent dans la vallée, réparties dans une cinquantaine de foyers au Bourget et dans les hameaux de Brillat, Bellecin, et Généria. Par chance, il n’y a pas de cimetière ni d’église le long de cette partie de l’Ain, ce qui facilite le déplacement de cette population. Elle est relogée dans les communes proches. Deux ponts traversent la rivière, l’un à la Pyle (il sera remplacé par le viaduc d’aujourd’hui), l’autre à Brillat. Ils sont détruits comme les deux centrales électriques de la Saisse et de Vaucluse, ainsi que les habitations. Aujourd’hui, la retenue de Vouglans est le troisième lac de barrage de France. Il mesure 35 kilomètres de longueur pour une largeur moyenne de 450 mètres. La légende veut que, s’il venait à céder, il y aurait un mètre d’eau place Bellecour à Lyon… La chartreuse repose à une profondeur qui varie de 45 à 70 mètres selon la hauteur de l’eau du lac. Elle n’est accessible qu’à des plongeurs très expérimentés.

Jean-François Butet


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Message par Her Dim 11 Sep - 12:07

Bonjour à tous,

Comme la croûte terrestre se disloque partout à travers de monde, et que allons assister en France au réveil d'anciens volcans en sommeil depuis des millénaires, je vous invite à conserver cette adresse :

http://www.activolcans.info/activ.php

Meilleures pensées
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Message par Her Mer 14 Sep - 9:55

http://www.chasses-au-tresor.com/generalites/chasseurs-de-tresors/stage-initiation-aux-detecteurs-de-metaux.html

Stage d’initiation aux détecteurs de métaux
Publié le 9 septembre 2011 | Par ChAT (Chasses Au Trésor)

L’association NORDSUD INSTITUTE (que nous vous présentions dans un article récent) organise prochainement (à partir du mois d’octobre) un stage d’initiation à l’utilisation de détecteurs de métaux et à la recherche de trésors patrimoniaux…

…l’occasion d’apprendre ou d’approfondir le fonctionnement des détecteurs de métaux et des appareils utilisés pour la recherche de trésors, et de profiter des meilleurs conseils.
Ce stage ne se limite d’ailleurs pas à apprendre le fonctionnement des appareils. Il apporte également une méthodologie éprouvée dans la recherche de trésors patrimoniaux.

Les investigations, notamment à l’aide de caméras fibroscopiques ou d’autres instruments de recherche, sont abordées.
Ce stage est animé par un spécialiste du sujet : Hervé MICHEL.

Si vous êtes intéressé, faites connaitre votre intention de participer auprès de NORDSUD INSTITUTE qui vous préviendra du calendrier. Le stage devrait se dérouler à l’Isle-sur-la-Sorgue (Vaucluse).

Nous sommes toujours heureux de pouvoir vous faire bénéficier d’avantages : sachez que si vous souhaitez participer à ce stage (ou à toute autre activité proposée par NORDSUD INSTITUTE dans les offres Sorties – Voyages Stages/Séminaires) vous pouvez bénéficier de 10 % de remise immédiate.

Il vous suffit pour cela de vous réclamer de notre site et d’indiquer le code 4RJB6V lors de vos contacts.

Publié dans A la Une, Chasseurs de trésors | Marqué avec Caméra fibroscopique, Chasseur de trésor, chasseur de trésors, Débutant, Détecteur de Métaux, Détection, Détection électromagnétique, Expert, Initiation, Initiation aux détecteurs de métaux, Initié, Investigations, L'Isle-sur-la-Sorgue, Matériel de détection, Promotion, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Recherche de trésor, Recherche de trésors familiaux, Recherche de trésors patrimoniaux, Réduction, Stage, Vaucluse
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Message par Her Jeu 15 Sep - 11:50

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/15/1167168-limoux-le-breviaire-de-l-abbe-sauniere-a-la-barre.html
PUBLIÉ LE 15/09/2011 09:00 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

Limoux. Le bréviaire de l'abbé Saunière à la barre
Justice

Le 14 septembre 2004, dans la lueur hésitante du jour, une quinzaine de personnes sont rassemblées dans le petit cimetière de Rennes- le- Château pour le transfert des restes de l'abbé Béranger Saunière, dans le tombeau flambant neuf, et surtout mieux gardé, construit dans l'enceinte de la propriété de l'abbé, à une cinquantaine de mètres à vol d'oiseau. Profanations de tombes, messes noires, les morts avaient perdu le repos. Il y a là le sous-préfet de l'époque, M.Campariol, le commandant de gendarmerie de Limoux, l'ancien maire M.Lhuillet et deux adjoints, plusieurs gendarmes en tenue, les employés des pompes funèbres, et Me Cirera, avocat de la famille du descendant le plus proche de l'abbé, son petit-neveu. « C'était un moment fort sur le plan émotionnel raconte l'avocat carcassonnais. Dans le cercueil, il y avait le bréviaire de l'abbé, qui est passé de main en main. Une image pieuse de l'époque faisait office de marque-page. Ossements, restes de vêtements, chaussures, et bréviaire ont été ensuite déposés dans la nouvelle sépulture ». M.Painco, le nouveau maire de la commune élu en 2008, il n'apparaîtra au village que plusieurs années pus tard et était donc absent, a vu autre chose, prétendant dans une lettre adressée à des descendants de l'abbé, que le bréviaire susceptible de contenir des informations essentielles sur la fortune de l'abbé Saunière et surtout le fameux trésor, avait été subtilisé par le petit-neveu. « Face à cette accusation à l'évidence diffamatoire, mon client a décidé de rétablir la vérité devant le tribunal », assène Me Cirera. Même si le maire actuel de Rennes- le- Château est revenu depuis sur ses déclarations. Outre le témoignage des personnes présentes, une délibération de l'ancien conseil municipal, accusé d'avoir consigné le fameux bréviaire dans un coffre, confirme la présence de celui-ci dans la nouvelle sépulture. Sur fond de bataille électorale qui faisait rage. L'audience devant le tribunal de police de Carcassonne aura lieu cet après-midi à 14 heures.
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Message par Her Ven 16 Sep - 7:51

http://www.la-croix.com/Culture-Loisirs/Culture/Actualite/Une-robe-vieille-de-5900-ans-decouverte-en-Armenie-_NG_-2011-09-15-711563

15/9/11 - 14 H 17 MIS À JOUR LE 15/9/11 - 14 H 17
Une robe vieille de 5900 ans découverte en Arménie

Les restes d’une robe de femme, datant d’environ 5900 ans, ont été découverts par des archéologues dans des grottes du sud de l’Arménie. Cette robe multicolore est «le seul exemplaire de vêtement fabriqué à partir d’une matière aussi ancienne», a déclaré Pavel Avetissian, directeur de l’institut d’archéologie et d’ethnologie de l’Académie arménienne des sciences.

Cette découverte devrait permettre, une fois réunis tous les morceaux de l’habit, d’«établir comment s’habillaient les femmes au XXXIXe siècle avant Jésus-Christ», a ajouté Pavel Avetissian, qui s’attend à d’autres découvertes sur ce même site.

Une chaussure en cuir présentée comme la plus vieille du monde (5500 ans) et le plus ancien vignoble (remontant à 6100 ans) avaient précédemment été découverts au même endroit.
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Message par Her Ven 16 Sep - 12:47

http://www.disons.fr/?p=20498

Le royaume Wisigoth
PAR D. FURTIF, LE 16.09.11
Lectures :39

Ça paraissait facile, le 1er Janvier 414, je vous invitais au mariage d’Athaulf avec Galla Placida. Narbonne en hiver, qui sait, ça pouvait être tentant! Et là, au milieu des barbares mêlés aux Hispano-romains, des dignitaires de l’église arienne, d’un évêque, tout ce petit monde un peu éméché récitant des discours en latin, des poèmes et portant des toasts … C’est bien la mort si je n’arrivais pas à vous faire avaler le coup de l’installation de nos Wisigoths en Espagne — comme ça, direct.

Je vous la disais déjà reine d’Espagne et d’une Aquitaine jusqu’à la Loire. Mais voilà, ça ne s’est pas passé exactement comme ça. La mère Galla Placida connaitra un destin pour le moins curieux et riche en rebondissements — j’ai reçu une promesse d’article qui vous en parlera.

On avait passé un accord avec l’empire ( le foedus) instituant l’attribution des provinces d’Hispanie aux Wisigoths, à charge pour eux de la défendre contre de nouvelles déprédations de nouveaux envahisseurs. La bande à Attila était au sommet de sa puissance . Ce foedus négligeait un point de détail, presque rien : l’occupation et la volonté de rester sur place de certains individus pas commodes nommés Vandales, Alains et Suèves. Ils sont là depuis 409 /410. Ils ont un peu ravagé la Gaule après la grande nuit de patinage à Mayence sur le Rhin gelé, à la Saint Sylvestre 406.

Curieux parcours que celui de nos patineurs.

Si nous prenons les Vandales …

Ils ont une base de départ très proche des Goths : Nord Jutland (Danemark) et région d’Oslo. De là, ils démarrent et s’installent entre les Goths et les Germains de L’Est, en Poméranie. Ils descendront, eux aussi, vers le Sud en s’arrêtant en Slovaquie pendant que les Goths poursuivent vers la Mer Noire. Ils seront victimes comme beaucoup d’autres du Snooker géant provoqué par les Huns et se retrouveront, avec beaucoup d’autres, au meeting d’hiver de Mayence.

Une fois le Rhin franchi, c’est la routine des incendies et des faubourgs des cités dévastés, car les cités fortifiées exigent un matériel de siège qu’ils n’ont pas sous la main. La rumeur de leur apparition se répand devant eux, les fichus paysans planquent leur fichues récoltes. Quand on a des milliers de barbares à nourrir ça fait bien du souci. Coté opération militaire tout n’est pas rose non plus, les garnisons romaines disponibles les coursent dans la campagne gauloise. Pas faciles les légionnaires du Bas Empire, pas commodes les auxiliaires francs passés tout dernièrement au service de l’Empire pour l’honneur, la vertu et la grandeur de Rome ; quelques défraiements trébuchants et quelques attributions de terres dans la région de la Somme.Il échapperont de peu au massacre total. La cavalerie Cataphracte des Alains, alliés des Vandales depuis le centre Europe les sauvera de la destruction par les Francs.

C’est ensemble qu’ils échapperont au Romains aidés des Francs et passeront en Hispanie où ils retrouveront les Suèves. Ils s‘installeront en Bétique, au Sud et en Galicie, au Nord-Ouest. Tous ces évènements se déroulent pendant qu’Alaric multiplie les matchs aller et les matchs retour en Italie du Nord. Stilicon éliminé, Rome enfin ravagée et pillée, nos Wisigoths musardent un peu en Calabre, histoire de voir s’il n’y aurait pas moyen de passer en Tunisie, le grenier inentamé de tout l’Empire d’Occident, une province épargnée par toutes les incursions barbares du 4è siècle.

Si bien que, quand les Wisigoths se présentent au Sud de l’Espagne pour tenter par là ce qu’ils n’ont pas pu accomplir en Calabre, ils se heurtent à des Vandales pas du tout coopératifs et à la fameuse cavalerie des Alains qui les fait changer d’avis. C’est ainsi que, remontant vers le Nord, il se concentrent dans la région qui va de Narbonne => Bordeaux et fondent le royaume de Toulouse.

Le parcours des Alains est un des plus incongrus .(voir carte générale de l’article les Wisiquoi)

Si on les prend au 1er et 2è siècles, ils nomadisent dans la région du Nord Caucase où ils créent bien du soucis aux garnisons romaines et aux cités greco-romaines du royaume du Bosphore et de Colchide. Alors que les Goths arrivent depuis le Nord et s’installent sur la côte de la Mer Noire, la ruée des Huns bouscule tout ce petit monde. Les Wisigoths traversent le Danube et s’échappent par le Sud en laissant derrière eux leurs frères Ostrogohs sous le joug des Huns. Les Alains eux, premiers télescopés par les hordes de Huns, se retrouvent entrainés vers le sud Pologne et le centre Allemagne. Ils lieront alors leur destin à celui des Vandales qu’ils suivront de Mayence en Gaule, au Sud en Espagne puis, de là, en Afrique jusqu’en Tunisie .

Mais ces Alains nous égarent et nous éloignent de nos chers Wisigoths.

Pendant 20 ans les Vandales apprennent à naviguer en forçant un peu les équipages de la région. Leur roi Genséric, vers 428 , devant l’épuisement de la Bétique sous l’économie de pillage des barbares et incité par une querelle dans la région de Tunis due à une nouvelle usurpation ( pour l’honneur et la vertu et la grandeur de Rome) décide de faire passer tout son petit monde de l’autre coté.

La place est libre. Advienne le royaume d’Espagne pour l’honneur et la grandeur de Dieu. En effet les affaires de Rome vont de plus en plus mal. La seule force digne de ce nom agissant au nom de Rome se rencontre entre la Somme et la Loire sous les ordres du général Aetius. Une fois encore les ennemis les plus fidèles et les plus intraitables de ce général valeureux sont au Palais impérial à Ravenne. Attila terrorise tout le Monde. La force de persuasion du général romain obtient un résultat diplomatique inouï, traduit par une alliance militaire unique dans l’histoire. Tous les barbares disponibles dans la région , associés à ce qu’il reste de légions affrontent les hordes d’Attila revenant de la région d’Orléans. Les combats se tiennent aux Champs Catalauniques 453.

Le 21 septembre 454 Galla Placidia a la peau d’Aetius le vainqueur d’Attila. La routine. On peut renoncer sans honte à raconter les derniers soubresauts du trône d’Occident. En 476 les rois fédérés Wisigoth, Franc et Burgonde refusent de reconnaître l’autorité du dernier usurpateur ou héritier de l’empire véritable. Odoacre, un Skire, détrône sans massacre le dernier et renvoie les insignes impériaux à Constantinople. Les Ostrogoths libérés du joug Hun le liquideront sous peu et fonderont le royaume Ostrogoth d’Italie

L’Empire Romain s’effondre et le royaume Wisigoth devient, de fait, autonome à partir de 454 Comme ce qui soudait barbares et Romains n’était pas la puissance de Rome mais la terreur des Huns , cette alliance s’évanouit , les rivalités reprennent; Aetius est liquidé, le jeu continue avec d’autres. Les Wisigoths, entrant sans problème dans les caligae de romains, écrasent consciencieusement les révoltes de paysans et d’esclaves d’Espagne. Il importe que les libertés prises à l’égard d’un pouvoir romain peu à même de s’imposer, cessent. Il faut que le racket général reprenne et les nouveaux maîtres, associés à ce qui reste des anciens, y veillent scrupuleusement. En 477 l’Empereur d’Orient Zenon reconnait officiellement le royaume.

Les Suèves et les restes de Vandales furent éliminés. Un os pourtant : une opposition résolue des Basques met en échec une conquête totale de la péninsule. Ces derniers entament une période de prospérité, étendant leur domaine d’occupation vers les Pyrénées centrales et orientales et le Sud Garonne. D’autres que les Wisigoths auront à s’y frotter.

La prépondérence basques s’étend jusqu’au Sud de la Garonne (partie indivise)

Nos Wisigoths s’installent, répandant avec eux leur économie de rapines systématiques, assez étrangère à une vision à long terme . Les loups sont portés , comme toujours, à tondre de trop près les moutons, pire, à tuer les brebis. Comme ils sont peu nombreux, l’accaparement, là où ils s’implantent, des 2/3 des grandes propriétés est pratiquement sans conséquence pour les grands hispano-Romains. Les paysans esclaves ou les humbles libres se retrouvent soumis à un supplément de rapaces et de rapacité. La masse de la population voit sa condition s’aggraver. On glisse insensiblement vers ce que deviendra la société féodale et sa régression sensible au plan collectif. Les villes laissées de coté par les barbares se trouvent asphyxiées par une stagnation des échanges, même locaux, et une déprise générale sur les campagnes . L’emprise de la cité sur la campagne étant la marque de l’antiquité.

Comme la terre, la langue subit des implantations Wisigoth qui la modifient .

Le racket local général à tous les neo royaumes barbares ne suffit plus. La solution sera pour eux de revenir aux conquêtes. Les Francs sont plus heureux dans ce programme. Après avoir éliminé le reliquat romain de Syagrius, ils se retrouvent au contact des possessions Wisigoth sur la Loire. L’affaire sera tranchée ( tout près de Poitiers) à Vouillé en 507. L’Aquitaine et le royaume de Toulouse sont perdus. Seule la Septimanie restera dans le monde Wisigoth. Tolède devient la nouvelle capitale.

Complètement impuissants en raison des dissensions internes des familles dirigeantes et de la fronde perpétuelle des grands, les Wisigoths ne font pas le poids face à la reconquête Byzantine de la 2è moitié du 6è siècle. Les fréquents assassinats, les jalousies , les vendettas, les guerres intestines jalonnent les 3 siècle de la « domination wisigoth » en Espagne.

Cette histoire finira par la pantalonnade de 711 : deux prétendants au trône sur un fond de populations pas hostiles à l’idée d’être débarrassées de ces vautours. Le contingent Berbère aux faibles effectifs sous la conduite de Tariq ibn Zivad ne rencontrera presque aucune opposition à se mettre à son compte. Pour accaparer le territoire de ses employeurs , il lui faudra 3 ans.

Dans 20 ans territoire du Sud et territoire du Nord s’affronteront au même niveau qu’en 507


http://clovis1er.free.fr/486syagrius.htm

http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C5%93dus foedus

http://rennes.le.chateau.online.fr/images/561.jpg

http://blog.legardemots.fr/public/cataphracte.jpg

http://www.peuplescavaliers.be/peuplescavaliers/photos/armuresarmate.jpg
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Message par Her Ven 16 Sep - 12:58

http://www.mylorraine.fr/article/le-tresor-de-pouilly-sur-meuse-presente-au-public/8625/

LE TRÉSOR DE POUILLY-SUR-MEUSE PRÉSENTÉ AU PUBLIC
14sep 2011
Publié par Adrien

Le fameux trésor découvert à Pouilly-sur-Meuse par un particulier, dans son jardin, sera présenté pour la première fois au public à l’Hôtel de Région, lors des journées du Patrimoine. Retour sur cette folle découverte qui, selon les experts, n’arrive qu’une à deux fois par siècle…

C’est en effectuant des travaux de déblaiement dans son jardin qu’un particulier a découvert en 2006, dans un petit village du nord-meusien, ce qu’on appelle désormais le « trésor de Pouilly ». Aucun lien avec « Puyi », le dernier Empereur de Chine, donc… On imagine aisément la stupeur de notre homme lorsque, au milieu des gravats, il est tombé nez-à-nez avec 31 pièces d’orfèvrerie en argent et vermeil datant de la Renaissance. Au total, 3 coupes, 1 aiguière (sorte de carafe), 21 cuillères, 2 timbales et 1 couvercle formant un gobelet emboitable, le tout dans un excellent état de conservation ! Tout porte à croire que cet ensemble exceptionnel aurait été enfoui il y a 4 siècles pour échapper à un pillage, et certainement au moment des Guerres de Religions, entre 1562 et 1598.

Datées vraisemblablement d’une période allant de 1480 à 1570, les pièces sont marquées des poinçons de 4 villes où elles ont été fabriquées : Châlons-en-Champagne, Reims, Paris et Strasbourg. L’aiguière, fabriquée à Paris vers 1507, serait même la plus ancienne connue à ce jour. Classé « trésor national » en avril 2009 (ce qui est relativement rare pour des pièces d’orfèvrerie), on crut un temps que le Musée de Bar-le-Duc, éminente ville « Renaissance », en ferait l’acquisition. Mais l’ancienne capitale du duché de Bar n’étant pas parvenue à réunir les fonds, l’ensemble devait être mis en vente le 9 novembre 2009 à la prestigieuse maison Sotheby’s. Il a été racheté in extremis pour le compte de la ville de Nancy, avec le soutien de l’Etat, de la région Lorraine, de la Société d’Histoire de la Lorraine, du Musée Lorrain (dont il a intégré les collections) et grâce au mécénat de CNP Assurances. Une transaction dont le montant atteint 1,4 million d’Euros.

Le trésor sera présenté à l’Hôtel de Région (salle de l’Europe) le samedi 17 et le dimanche 18 septembre 2011 à l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine. Ce week-end, c’est d’ailleurs tout l’Hôtel de Région qui sera ouvert et accessible au public qui pourra visiter la Chapelle de la Congrégation, la galerie Foch, le bureau du président…, puisque l’ensemble administratif se situe pour partie dans un bâtiment classé, l’abbaye Saint-Clément. 3 autres expositions seront également visibles, des expositions dédiées à d’autres « trésors lorrains » que sont les émaux de Longwy, les cristalleries de Saint-Louis et la pierre d’Euville.

Metz, Hôtel de région, salle de l’Europe
Samedi 17 (14h – 18h) et dimanche 18 septembre (10h – 18h)
Crédit photo : © Sotheby’s / Artdigital Studio
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