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La Ruine de la France - Désespérance et Recrudescence des Suicides

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La Ruine de la France - Désespérance et Recrudescence des Suicides Empty La Ruine de la France - Désespérance et Recrudescence des Suicides

Message par Her Jeu 9 Juin - 6:10

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/06/a-quand-autant-dénergie-contre-les-suicides-que-contre-les-excès-de-vitesse-.html

07 juin 2011

A quand autant d'énergie contre les suicides que contre les excès de vitesse ?

Lu dans L'Homme nouveau :

"La France a le triste privilège de se ranger parmi les pays qui affichent la plus forte mortalité par suicide (après la Finlande, le Danemark et l’Autriche). Il y a dans notre pays un suicide toutes les cinquante minutes… L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) recensait 10 353 morts par suicide en 2008 (tous âges confondus) contre 10 127 en 2007. Si, après trente ans d’augmentation, le chiffre de suicides semble s’être stabilisé autour de 10 000 à 12 000 décès par an depuis 1993, il n’en demeure pas moins supérieur au nombre de victimes du sida et deux fois plus important que celles de la circulation routière. Encore ces chiffres sont-ils sous-estimés d’environ 20 % selon un rapport du Haut Comité de la Santé publique. Du fait d’un défaut de déclaration ou de l’existence de suicides « cachés », inscrits dans d’autres rubriques de décès comme les intoxications ou les accidents. On dénombre en outre plus de 130 000 tentatives de suicide par an, soit plus de 10 fois le nombre de suicidés. [...]

Un suicidé sur deux a moins de 50 ans. Si les hommes inactifs entre 25 et 59 ans se suicident deux fois plus que les actifs, le Conseil économique, social et environnemental estime à 300 ou 400 le nombre de suicides liés au travail. La France a ainsi connu plusieurs vagues importantes de suicides dans le monde professionnel, plus ou moins médiatisées : dans le secteur automobile et à France Télécom depuis 2008, à la Poste aujourd’hui et toujours dans la police et le monde agricole… [...] Impensable encore il y a quelque temps, en sus du suicide des jeunes et des adolescents (en augmentation notamment à cause de l’expansion d’incitations plus ou moins sataniques par internet), apparaît maintenant le phénomène du suicide chez des enfants ! Selon une enquête menée par l’Inserm, 2 % des 11-12 ans déclaraient en 2003 avoir tenté de mettre fin à leurs jours. En 2006, 522 jeunes de 15 à 24 ans s’étaient suicidés et 30 de moins de 15 ans. « Cela renvoie à un grand désespoir. L’enfant a l’impression qu’il ne pourra jamais être aimé comme il l’attendait », commente Christian Flavigny, l’un des quelques psychiatres à avoir étudié les gestes suicidaires chez l’enfant. Il résume là en réalité la raison majeure du suicide à tout âge (y compris par mode d’euthanasie) et son engrenage extensif : « L’environnement (sociofamilial de l’enfant) est remarquable par son caractère peu sécurisant et peu contenant », selon une autre enquête effectuée entre 2004 et 2005 au CHU de Saint-Étienne. Une crise d’identité causée par une crise d’amour. Plus qu’un problème de santé publique, le suicide est un problème de santé morale, révélateur du mal-être social engendré par la culture de mort."

Posté le 7 juin 2011 à 08h39 par Michel Janva
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Message par Her Ven 23 Sep - 8:56

http://www.sudouest.fr/2011/09/23/serie-noire-dans-les-rangs-de-la-police-506833-7.php

06h00 | Mis à jour 06h44
Série noire dans les rangs de la police

En l'espace de deux heures, hier matin, deux policiers se sont suicidés et un troisième est en état de « mort cérébrale » après un acte similaire.

La série noire a débuté vers 8 heures dans le 19e arrondissement de Paris. Un gardien de la paix en poste à la police judiciaire du Val-de-Marne a mis fin à ses jours « à l'aide de son arme de service, dans une voiture banalisée ». Il était en état de mort cérébrale. Une heure plus tard, un de ses collègues, en poste à la direction de l'ordre public, a mortellement blessé son épouse chez lui, à Chevilly-Larue (Val-de-Marne), avant de retourner son arme de service contre lui. Il se serait également servi de son arme de service pour se donner la mort. Vers 10 heures, au Pré-Saint-Gervais (Seine-Saint-Denis), un troisième gardien de la paix en poste en région parisienne s'est pendu à son domicile.

Le fait que ces suicides se soient étalés sur un laps de temps aussi bref relève du « hasard », selon des sources syndicales policières.

Problème récurrent

Des enquêtes ont été ouvertes afin de déterminer la cause de ces suicides n'ayant pas de liens entre eux, de premières informations faisant état de « raisons et drames personnels » et non professionnels. Mais la préfecture de police a immédiatement réagi. Assurant prendre « toute la mesure du problème » et exprimant son « émotion », elle a organisé une réunion dans l'après-midi, sous l'égide du préfet Didier Martin, secrétaire général de l'administration policière. Elle a également mis en place, « pour les familles ou les policiers qui le souhaitent, un soutien psychologique ».

Les suicides dans la police sont un problème récurrent, souvent tabou. Une étude de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a fait valoir par exemple, en 2008, que le risque de suicide dans la police est supérieur de 36 % à celui du reste de la population. Il y a chaque année entre 40 et 50 suicides de policiers, et les fonctionnaires passant à l'acte le font majoritairement avec leur arme de service.

Faits divers
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Message par Her Ven 30 Sep - 3:38

http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Boris-Cyrulnik-appelle-a-une-prevention-du-suicide-des-enfants-_NG_-2011-09-29-717312

29/9/11 - 12 H 41 MIS À JOUR LE 29/9/11 - 17 H 51
Suicide
Boris Cyrulnik appelle à une prévention du suicide des enfants
Dans un rapport remis, jeudi 29 septembre, à Jeannette Bougrab, secrétaire d’État à la jeunesse, le psychiatre demande une politique de prévention avec notamment une meilleure formation des médecins, infirmières, éducateurs et enseignants sur le sujet.

Patrice THEBAULT/CIRIC
"Les suicides aboutis sont rares" chez les 5-12 ans, mais "ils sont certainement plus fréquents car les chiffres ne parlent que des suicides évidents".
Avec cet article
Christian Flavigny : « Il faut sensibiliser à la dépression de l’enfant »
Quand les détenus sont appelés à endiguer le suicide en prison
Prévention
Silhouette
La souffrance psychique touche de plus en plus tôt les jeunes et peut mener au suicide, même chez les enfants. Le phénomène serait encore plus important que ne le laissent penser les statistiques. Selon Boris Cyrulnik, auteur d’un rapport remis jeudi 29 septembre à la secrétaire d’État à la jeunesse, Jeannette Bougrab, certains décès considérés comme accidentels, s’assimileraient à une forme de suicide.

En 2009, 37 enfants et préadolescents de 5 à 14 ans se sont donné la mort, selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (l’Inserm). Début 2011, une adolescente de 14 a tenté de se tuer tandis que deux enfants de 9 et 11 ans ont mis fin à leur jour.

"Les suicides aboutis sont rares" chez les 5-12 ans, note le psychiatre dans ce rapport, mais "ils sont certainement plus fréquents car les chiffres ne parlent que des suicides évidents".

« UNE DÉFLAGRATION EXCEPTIONNELLE »
"Le cumul des événements qui déclenche l’acte suicidaire résulte d’une cascade de déchirures invisibles, d’une convergence d’événements de nature différente", qui peuvent être un deuil précoce, un conflit entre les parents, des maltraitances, l’absence d’un univers sécurisant à la maison, ou encore le harcèlement à l’école, explique le médecin.

"La détresse d’un enfant est souvent difficile à percevoir car il vit dans un temps immédiat", rappelle Boris Cyrulnik. Plus que l’adulte, il a des difficultés à dire son mal-être.

L’enfant "insécurisé", "seul, sans partage de la souffrance, sans aide ni possibilité de déchiffrer ce qui lui arrive, le jour où il comprend ce qu’est la mort, il se laisse prendre".

Entre 6 et 9 ans, âge auquel ils prennent conscience de cette réalité, "une pichenette peut suffire pour passer à l’acte. Une phrase blessante, une petite frustration, une mauvaise note à l’école ou le déménagement d’un copain peuvent provoquer une déflagration exceptionnelle".

PRÉVENTION "AUTOUR DE LA NAISSANCE" ET À L’ÉCOLE
"Il peut écrire une lettre d’adieu (…) mais le plus souvent, il se penche trop par la fenêtre ou descend d’un autobus en marche. Alors les adultes parlent d’accident", écrit Boris Cyrulnik.

Celui-ci appelle à une politique de prévention "autour de la naissance", en donnant, notamment, une "cohérence aux métiers de la petite enfance" via une "université" ou encore en formant les médecins, infirmières, éducateurs et enseignants à cette problématique.

À l’école, le psychiatre prône une adaptation des rythmes scolaires, une notation plus tardive et une lutte contre le harcèlement.

UN PHÉNOMÈNE MALGRÉ TOUT MARGINAL
Jeannette Bougrab s’est félicitée de ce "rapport inédit qui aborde ce qu’on refuse de voir, le suicide des tout petits de sept, huit, neuf ou dix ans", a-t-elle dit en s’adressant à Boris Cyrulnik qui, selon elle a "brisé un tabou".

Pour le pédopsychiatre Marcel Rufo, il y a cependant "confusion des sujets". "Si on dit que le suicide des pré-ado augmente en nombre, je suis tout à fait d’accord, mais à 12 ans on n’est plus un enfant, et le suicide chez l’enfant c’est 6-8 cas par an", a-t-il dit à l’AFP, déplorant "une culpabilisation terrible de l’accident".

"Le comportement à risque fait partie du comportement normal de l’enfant. Certains enfants disent parfois 'je veux me tuer', mais ils disent cela comme une échappatoire, un appel", a-t-il souligné.

De son côté, Christian Flavigny, qui a étudié le sujet dès 1982, salue l’initiative mais appelle, dans une interview à La Croix à ne pas alarmer outre mesure sur un phénomène qui reste, selon lui, très marginal.

La-Croix.com avec AFP
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Message par Her Mer 19 Oct - 8:50

http://www.famillechretienne.fr/education/petits/comment-prevenir-le-suicide-des-enfants_t6_s25_d62722.html

Comment prévenir le suicide des enfants
famillechretienne.fr12/10/2011Par Claire Frangi1 commentaire

Boris Cyrulnik alerte sur le suicide des 5-12 ans, rare mais qui peut toucher jusqu’aux familles sans histoires. Pour le célèbre neuropsychiatre, le phénomène révèle un mauvais fonctionnement de la société. Il appelle à développer les métiers de la petite enfance, tout en améliorant nos rythmes et exigences scolaires.

Vous avez remis un rapport officiel – Quand un enfant se donne « la mort » – le 29 septembre au secrétariat d’État à la Jeunesse sur le suicide des enfants. C’est un sujet dont on ne parle jamais, est-il tabou ?
Plus qu’un tabou, c’est un sujet impensable. On n’ose pas se dire qu’un enfant qui démarre la vie peut en venir à se donner la mort. J’aime faire un parallèle avec les canaris que les mineurs emportaient dans les mines de charbon : très sensibles aux pertes d’oxygène, ils donnaient le signal qu’un coup de grisou était proche. Les enfants sont comme des canaris. Quand ils passent à l’acte, ils deviennent le marqueur d’un dysfonctionnement socioculturel. Ces suicides ont donné lieu à peu de publications : une bonne étude française, quelques études américaines, c’est à peu près tout. On peut pourtant parler d’un phénomène de société, même si les chiffres varient de façon importante (de 30 à 100 suicides d’enfants par an en France).

Quelles sont les raisons qui poussent un enfant au suicide ?

C’est très hétérogène. En 2010, vingt-sept suicides d’enfants ont eu lieu en France.

De façon schématique, on peut dire qu’un ou deux de ces enfants sont précoces, et accèdent très tôt à une représentation de la mort qu’ils ne maîtrisent pas. Ils comprennent un problème qui les touche à un âge où ils n’ont pas de prise sur leurs émotions et ne sont pas armés pour y faire face. Ces cas sont très rares : j’en ai rencontré un en quarante ans de pratique.

Six ou sept enfants sur les vingt-sept ont été isolés sensoriellement au cours des premiers mois de leur vie. J’ai ainsi rencontré une mère qui posait son bébé dans la baignoire, sans eau, et s’en allait. Par la suite ils sont souvent abandonnés, maltraités, ou agressés sexuellement. Ces enfants sont repérés par l’aide sociale à l’enfance, par les pédopsychiatres.

La vingtaine d’enfants restants a connu un isolement précoce, et leur niche sensorielle s’est appauvrie. Cet isolement est lié à un décès de la mère, une maladie, l’absence du père, des parents qui se lèvent très tôt et rentrent tard, épuisés, débordés, etc. Les neurosciences montrent que la synaptisation [la connexion entre les neurones qui trace des circuits d’échanges dans le cerveau] ne se fait pas correctement, et ces enfants sont alors incapables de maîtriser leurs impulsions. Ils tentent de résoudre un problème de manière impulsive. C’était le cas d’une petite fille qui a sauté par la fenêtre, pensant mettre un terme à la dispute de ses parents. Ou encore de cette autre qui voulait rejoindre sa grand-mère sur un nuage. Ces cas sont les plus fréquents, et surviennent dans des familles sans histoire, si bien que ces enfants sont difficiles à repérer.


En quoi le suicide des enfants se distingue-t-il du suicide des adolescents ?

La plupart des adolescents qui se suicident ont eu des troubles de développement pendant l’enfance, et connaissent des difficultés d’insertion sociale. Même s’ils ressentent une inquiétude dans l’enfance, elle ne se dévoile qu’à l’adolescence et se manifeste par de la déprime, de l’agressivité, de la tristesse.


Les enfants ont-ils conscience qu’ils commettent alors un acte irréversible ?

Pour la minorité d’enfants maltraités ou trop intelligents, oui. Mais pas pour la majorité des enfants. Dans la tête des enfants, le mot « mort » met longtemps avant de parvenir à une signification adulte. La mort c’est d’abord être allongé, puis cela désigne un ailleurs invisible. Vers 7 ans, l’enfant se met à comprendre qu’elle est irréversible. Par exemple, il a compris que sa grand-mère ne reviendra pas.


Y a-t-il des signes précurseurs ?

Les enfants précoces sont fascinés par la mort. Ils en parlent sans arrêt, ce qui effraie leurs parents. Les enfants maltraités ne se développent pas, pleurent sans arrêt, ne mangent pas, ne parlent pas. Pour les autres, la majorité, il n’y a pas de signes annonciateurs. Ces enfants sont impulsifs et très émotifs.


Comment comprendre les attitudes à risque des enfants ?

Les garçons prennent plus de risques que les filles. Ils ont besoin d’un rituel d’accueil dans la société, bien différent d’un bizutage. Dans certaines cultures, on emmène les garçons dans la forêt, on leur parle des mauvais esprits, puis on leur enseigne des danses, des chants qui les rendront plus fort que ce mal. Ils acquièrent donc le sentiment d’être plus forts que la mort. Notre culture a oublié ces rituels qui existaient via un certain nombre d’institutions, comme le scoutisme. Les enfants inventent alors leurs propres rituels, comme le jeu du foulard, ou la drogue pour les adolescents.


Quelle est la part de responsabilité des parents, de la société ?

En dehors des cas de maltraitance, les parents ne sont ni coupables, ni responsables. Prenons l’exemple d’une femme qui vient d’accoucher, et apprend au même moment le diagnostic d’Alzheimer pour sa mère. Elle est harcelée, tiraillée entre les deux, débordée. L’enfant en pâtit. Le tout se passe donc à l’insu de la famille, à la faveur d’une maladie, d’un décès.

Quant à la société, sa responsabilité tient à ses mauvais fonctionnements, notamment le développement de la technologie, qui accroît la solitude des enfants. Le système scolaire est également en cause. Les Finlandais ont à présent deux fois moins d’heures de cours que les Français, et en dix ans leur taux de suicide a chuté de 40 %. Ils ont également observé une diminution des angoisses des enfants et des troubles du développement. La Corée du Nord et le Japon, qui avaient surinvesti l’école, ont décidé de ralentir leurs rythmes scolaires, et sont parvenus à un résultat similaire.

Pour lutter contre les suicides d’enfants, la condition est donc d’initier des réformes socioculturelles. C’est pourquoi je propose de développer les métiers de la petite enfance autour de la naissance, de l’école, et de la famille. Selon la théorie de l’attachement, les enfants se développent mieux dans une famille à multiples attachements : les parents, mais aussi la grand-mère, les voisins, l’institutrice, les assistantes en crèche, etc. Autrefois, il y avait le village pour élever les enfants. Aujourd’hui, cette dimension a été oubliée, et les enfants sont de plus en plus seuls.

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