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La Ruine de la France - Des Hommes et des Femmes sans Scrupules

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La Ruine de la France - Des Hommes et des Femmes sans Scrupules - Page 3 Empty Re: La Ruine de la France - Des Hommes et des Femmes sans Scrupules

Message par Her Lun 5 Déc - 20:03

http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/04/1231475-polemique-claude-gueant-evoque-un-controle-de-dsk-au-bois-de-boulogne.html#xtor=EPR-1

PUBLIÉ LE 04/12/2011 07:16 - MODIFIÉ LE 04/12/2011 À 18:36 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Polémique. Claude Guéant évoque un "contrôle" de DSK au bois de Boulogne

Cette fois-ci, c'est le ministre de l'Intérieur en personne qui monte au créneau contre DSK./AFP

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Un autre pavé dans la mare et encore une polémique: c'est cette fois le Ministre de l'Intèrieur Claude Guéant, lui-même, qui a déclaré : «Oui, j'ai entendu parler de cette histoire au cours de laquelle monsieur Strauss-Kahn avait été contrôlé au bois de Boulogne » par les policiers lors d'un « contrôle de routine », ajoutant que ce n'était « quand même pas la faute de la police s'il était là-bas ce soir-là ! ». Dans un entretien donné au JDD, Claude Guéant évoque ce contrôle policier effectué en 2006 et revient sur la thèse du complot dans l'affaire du Sofitel de New York en rejetant catégoriquement les allégations impliquant la police française.

Selon deux journalistes américain et français, DSK aurait en effet été victime là où une femme de chambre accuse l'ex-favori de la présidentielle de l'avoir violée.

« Quand je lis que, sous prétexte que M. Strauss-Kahn a égaré son téléphone, on brode toute une théorie du complot, je suis interloqué. M. Strauss-Kahn n'était pas espionné par la police française ! C'est scandaleux de le prétendre aujourd'hui », déclare le ministre.

« Je trouve grave qu'on essaie de détourner le regard sur ce qui me paraît l'essentiel dans cette histoire : y a-t-il eu des fautes pénales et civiles commises ? La justice civile américaine se prononcera dans le volet civil », a répondu Claude Guéant.

Dans ce dossier, la justice américaine a abandonné toute poursuite pénale. M. Strauss-Kahn a depuis été cité en France dans l'affaire de proxénétisme autour de l'hôtel lillois du Carlton, enquête instruite à Lille.

« UNE CAMPAGNE DE RUMEURS »
« Dans l'affaire du Carlton, attendons les développements à venir. Monsieur Strauss-Kahn sera bien entendu un jour. Maintenant, je souhaite qu'on tourne la page. Toute cette affaire est un long fait divers. La campagne présidentielle mérite mieux », dit Claude Guéant affirmant n'avoir su « qu'après les vacances d'été » que DSK était cité dans cette affaire.

Le ministre rejette également la thèse d'un piratage du Blackberry de DSK, qui aurait permis à l'UMP de consulter ses mails, un argument à l'appui de la thèse du complot : « Quand je lis que, sous prétexte que M. Strauss-Kahn a égaré son téléphone, on brode toute une théorie du complot, je suis interloqué. »

Il dénonce une « campagne de rumeurs et de sous-entendus » qui « est un poison pour notre démocratie ». « On n'a pas le droit de sous-entendre des choses aussi graves sur la base de faits aussi insignifiants. »

Relancé par le journaliste sur le fait qu'»en décembre 2006, la police aurait interpellé Dominique Strauss-Kahn dans le bois de Boulogne », M. Guéant affirme qu'il a « entendu parler de cette histoire au cours de laquelle monsieur Strauss-Kahn avait été contrôlé au bois de Boulogne par les fonctionnaires en charge de la surveillance de cet endroit lors d'un contrôle de routine ».

« Mais, il n'y a aucune procédure à ce sujet. Il n'était pas tombé dans un guet-apens de la police ! Il n'était pas suivi, dit-il.

« Une exploitation politique »
Me Richard Malka, un avocat de Dominique Strauss-Kahn a dénoncé hier soir, les propos de Claude Guéant évoquant le contrôle policier de 2006, parlant « d'une exploitation politique ».

« A l'époque, a expliqué Me Malka, Dominique Strauss-Kahn habitait sur le Bois de Boulogne, au 15 avenue du Maréchal Maunoury. Un soir, en rentrant chez lui, il a fait l'objet d'un contrôle de routine, et rien de plus. D'ailleurs, en quinze ans de résidence là-bas, il s'est fait contrôler à plusieurs reprises, y compris en compagnie de sa femme » Anne Sinclair, a -t-il ajouté.

« On peut se demander, a-t-il poursuivi, pourquoi et qui se laisse aller à de l'exploitation politique, en faisant ce type de déclaration allusive, qui plus est en ce moment », a conclu Me Malka.

Quant à la théorie du complot sur laquelle est revenue avec véhémence, le ministre de l'Intérieur Me Malka s'est refusé à tout commentaire.

Enfin, concernant l'affaire du Carlton, on apprenait hier que DSK qui devait être entendu courant décembre, devra finalement patienter jusqu'en début d'année 2012.

CAMBADELIS S'INTERROGE

Jean-Christophe Cambadélis, député PS de Paris proche de Dominique Strauss-Kahn, a également donné son avis sur la sortie médiatique du ministre de l'Intérieur Claude Guéant qui en "fait trop" et ajoutant: "Cela finit par être suspect." "DSK n'est plus candidat à l'élection présidentielle. Il est à terre. Il doit faire face à des attaques de tous côtés. Et le ministre de l'Intérieur en rajoute. Plantant sa petite dague. Pourquoi?" a notamment écrit l'élu PS sur son blog.

Le chiffre : 18
septembre > DSK. Interrogé le 18 septembre sur la thèse du complot, DSK avait répondu : « Un piège ? C'est possible, un complot ? Nous verrons ». Jeudi, il avait toutefois pris ses distances avec cette théorie.

« Imaginer que nous ayons pu appeler la justice américaine relève du fantasme pur et simple. »

Claude Guéant, à propos de l'affaire du Sofitel de New York.
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Message par Her Mer 7 Déc - 6:38

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/12/magouille-des-comptes-de-campagne-par-le-conseil-constitutionnel.html

01 décembre 2011

Magouille des comptes de campagne par le Conseil constitutionnel

Jacques Robert a été membre du Conseil constitutionnel de 1989 à 1998. A ce titre, il a examiné, en octobre 1995 les comptes de campagne des candidats, notamment ceux d’Edouard Balladur. Il témoigne de la magouille :

"Je vis très mal la façon dont le droit, à cette occasion, a été tordu. [...] Comme tous les dossiers électoraux, celui d’Edouard Balladur a été examiné par trois conseillers rapporteurs détachés auprès de nous par la Cour des comptes et le Conseil d’Etat. Leur rapport, présenté en séance plénière, était sans équivoque : les comptes du candidat Balladur accusaient 10 millions de francs de recettes d’origine inconnue. Ils étaient donc irréguliers.

Ont-ils tenté d’obtenir une explication de l’ex-candidat?
Oui. Ils lui ont écrit à trois reprises, par lettre recommandée, mais Edouard Balladur ne leur a jamais répondu. L’explication selon laquelle ces 10 millions provenaient de la vente de tee-shirts, esquissée par son trésorier, ne tenait pas la route. C’était une somme énorme. On s’est tous dit que Balladur se fichait de nous. [...] Nous étions tous très ennuyés. Roland Dumas, président du Conseil, a alors pris la parole. « Nous ne sommes pas là pour flanquer la pagaille, a-t-il dit. Les Français ne comprendraient pas qu’on annule l’élection pour une affaire de dépassement de crédits. Il faut trouver une solution. » Il s’est tourné vers les rapporteurs. « Des postes ont peut-être été majorés? Si vous baissiez cette somme, ce serait pas mal… » La séance a été suspendue. Les trois rapporteurs se sont retirés pour travailler. Au bout de cinq ou six heures, quand ils sont revenus, le montant avait été réduit, mais les comptes étaient encore largement dépassés. Roland Dumas leur a demandé de faire un effort supplémentaire. Les rapporteurs se sont retirés à nouveau. Ils ont fini par présenter des comptes exacts… à 1 franc près. Sans doute pour montrer qu’ils n’appréciaient pas d’être pris pour des imbéciles. [...] Une chose est sûre : nous n’étions pas très fiers. Nous venions de passer trois jours à huis clos. Nous étions épuisés, mal à l’aise. Nous nous sommes dispersés sans un mot, avec le sentiment que la raison d’Etat l’avait emporté sur le droit. [...] Mon impression, c’est que Roland Dumas, Jacques Chirac et Edouard Balladur se tenaient à l’époque par la barbichette. Et que nous avons servi de caution à une belle entourloupe."

Posté le 1 décembre 2011 à 09h56 par Michel Janva
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Message par Her Jeu 15 Déc - 21:41

http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Condamnation-historique-de-Jacques-Chirac-_NG_-2011-12-15-747157

15/12/11 - 12 H 48 MIS À JOUR LE 15/12/11 - 19 H 20
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Jacques Chirac
Condamnation historique de Jacques Chirac
L’ancien président de la République a été condamné jeudi 15 décembre à deux ans de prison avec sursis dans l’affaire des emplois fictifs du RPR et dans celle des chargés de mission de la Ville de Paris.

(Saget/AFP)
Jacques Chirac, en juin 2001
Selon le tribunal correctionnel de Paris, l’ancien chef de l’État s’est rendu coupable de « détournement de fonds publics », « d’abus de confiance » et de « prise illégale d’intérêts » .

C’est la première fois en France qu’un ancien président de la République est poursuivi en justice, jugé et condamné.

Avec cet article
Réactions après la condamnation de Jacques Chirac
« Ce jugement démontre la totale indépendance des juges vis-à-vis du pouvoir »
Le procès de Jacques Chirac renvoyé au 20 juin
Le procès Chirac dans l'incertitude
Technique, parfois même ardue juridiquement, l’audience de jeudi 15 décembre commençait à tirer en longueur jusqu’à ce qu’une petite phrase dénuée de toute ambiguïté fasse comprendre au public que l’ancien président serait finalement condamné : « Jacques Chirac a manqué à l’obligation de probité incombant aux personnes publiques. Et ce, au mépris de l’intérêt général des Parisiens. »

Le prononcé de la sanction ne s’est ensuite pas fait attendre : le tribunal l’a condamné à deux ans de prison avec sursis, et ce malgré « son âge, son état de santé dégradé, ses fonctions éminentes ».
« Nous allons lire attentivement le jugement », a bredouillé au sortir de l’audience son avocat, Me Georges Kiejman, visiblement sonné. Pris de cours par une peine à laquelle il ne s’attendait pas, le ténor a préféré se déplacer sur un terrain plus politique : « J’espère que ce procès ne changera rien à l’affection profonde que portent les Français à Jacques Chirac. »

À entendre la défense, l’ancien président aurait appris la nouvelle de sa condamnation « avec sérénité » et devait faire savoir en fin de soirée s’il ferait ou non appel (1). Sans surprise, l’avocat de l’association Anticor, Jérôme Karsenti, a salué « une décision historique pour l’avenir de la démocratie. Il s’agit d’un message donné à l’ensemble des hommes politiques ».

IL ÉTAIT « SEUL EN MESURE DE MAÎTRISER LE PROCESSUS » DES RECRUTEMENTS
C’est dans une atmosphère très tendue que les juges avaient, peu avant, fondé point par point leur décision. Convaincus que le prévenu a mis les deniers de la Ville de Paris au service de ses ambitions électorales, ils ont reconnu Jacques Chirac coupable de « détournement de fonds publics » et « d’abus de confiance » dans le volet parisien de l’affaire.

Concernant les 21 chargés de mission litigieux, il était « seul en mesure de maîtriser le processus » des recrutements. Ses directeurs de cabinet n’étaient ni « les concepteurs, ni les organisateurs » de telles embauches.

Les juges n’ont pas plus épargné Jacques Chirac dans l’autre volet du dossier, celui des emplois fictifs du RPR. L’ancien président avait, pour sa défense, martelé ne jamais s’être « intéressé au fonctionnement interne de son parti ». Sans convaincre. Rappelant qu’il « présidait lui-même les réunions préalables au vote des budgets », les juges l’ont condamné pour « prise illégale d’intérêts ».

LE TRIBUNAL A CONSIDÉRÉ QUE 19 EMPLOIS ÉTAIENT « FICTIFS »
Au final, le tribunal a considéré que 19 emplois étaient « totalement ou partiellement fictifs ». Aux dires des juges, Jacques Chirac a bel et bien été « l’initiateur et l’auteur des pratiques pérennes et délibérées », lesquelles lui étaient « personnellement imputables ».

L’ancien président avait reconnu des approximations dans la gestion des recrutements, mais nié tout « système » de détournement de fonds. C’est pourtant bien cela, précisément, que lui reproche le tribunal, sans jamais le dire formellement.
Côté UMP, plusieurs députés ont accueilli le jugement « avec tristesse ». La fille adoptive de Jacques Chirac, Anh Dao Traxel, a dénoncé une « décision trop sévère ».

Le candidat PS à la présidentielle, François Hollande, s’est, lui, félicité qu’un tel procès ait pu se tenir : « La justice est passée et elle devait passer, pour que ne s’installe pas un sentiment d’impunité. » Il a toutefois tenu à ajouter : « J’ai une pensée pour l’homme, Jacques Chirac, qui connaît des ennuis de santé. »
L’ancien chef de l’État était absent à la lecture du jugement, comme il l’avait été durant tout le procès, du 5 au 23 septembre, excusé par un rapport médical faisant état de troubles neurologiques « sévères » et « irréversibles ».
(1) Il encourait dix ans de prison et 150 000 € d’amende.

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Les autres condamnations
Le tribunal correctionnel a prononcé hier sept condamnations, outre celle de Jacques Chirac, et deux relaxes. Seuls l’ancien directeur de cabinet du maire de Paris, Michel Roussin, et Pierre Boué, un proche des milieux sportifs, ont été blanchis. Marc Blondel, ancien secrétaire général de Force ouvrière, a été déclaré coupable, mais bénéficie d’une dispense de peine. Les autres condamnés, parmi lesquels Jean de Gaulle (le petit-fils du fondateur de la Ve République) et François Debré (frère de Jean-Louis et de Bernard Debré), sont condamnés à des peines de deux à quatre mois de prison avec sursis.

MARIE BOËTON

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Commentaire d'Hercule : J'entends partout sur les médias que cette procédure judiciaire a été beaucoup trop longue.
C'est vrai ! car tout citoyen a droit à une Justice équitable dans des délais raisonnables, sauf bien entendu pour cette affaire où c'est l'incriminé lui-même, le citoyen Chirac, qui par ses avocats a usé de tous les vices de procédure et autres stratagèmes pour freiner la procédure afin qu'elle traîne en longueur et ceci pour tenter d'échapper à la Justice.
En ce qui me concerne, ce jugement me convient très bien.

Et je ne doute pas un seul instant que l'état de santé de notre ancien Président s'en trouvera soudainement amélioré.
Her
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