Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile
Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Mar 14 Juin - 20:43

Bonjour à vous !

En parlant d'actualités, cette lettre date en fait du mois de mars 2010 comme vous pourrez le voir. Je vous la transmets pour honorer le courage de ce médecin qui s'est mouillé pour un grand nombre.

(ce lien vous permettra de constater que ce n'est pas un hoax ) :

http://www.ladepeche.fr/article/2010/03/25/804486-Cazals-La-lettre-choc-du-medecin-a-Sarkozy.html


Docteur Christian SADEK Médecin généraliste Les Prades 46250 CAZALS
à Monsieur Nicolas SARKOZY Président de la République Française Cazals,

"le 08 Mars 2010

Monsieur le Président de la République,

Avec tout le respect que je vous dois dû à votre fonction, je me permets de vous adresser ce petit présent : un croc de boucher. Ce n'est pas pour y suspendre Monsieur Dominique de VILLEPIN et n'a rien à voir avec les balles de 9mm qui vous ont été adressées anonymement.

Moi, je vous dis qui je suis, et pourquoi je vous adresse cet objet.

En temps que médecin de campagne, je suis tous les jours au contact de la France « d'en-bas », des agriculteurs, des artisans, des professions libérales, des commerçants, des employés salariés qui doivent travailler toujours plus pour en fait gagner de moins en moins.

Je côtoie aussi des personnes au R.S.A. qui travaillent au noir, arrivent à toucher de nombreuses allocations diverses et variées et qui en fait ne payent pas d'impôts et s'en sortent beaucoup mieux que ceux qui sont au SMIC, et qui travaillent 7 H /jour, et bien mieux que de nos agriculteurs qui eux travaillent plus de 60 H/ semaine et 365 jours par an et qui parfois sont obligés de fréquenter les Restos du Coeur pour nourrir leurs enfants.

Et que dire de nos retraités qui ont de plus en plus de mal à joindre les deux bouts. Tous les jours, je mesure la température de la population de notre canton et, je ne sais si c'est une conséquence du prétendu réchauffement climatique, mais la température monte, monte lentement mais sûrement et un jour cela va éclater.
Je pense que c'est comme le « big one » sur la faille de San Andréa : on sait que cela va arriver mais on ne connaît pas la date.

C'est ce que je perçois sur le canton de Cazals et aussi ce que je pressens dans les autres cantons de France.
Il serait dommage que notre Pays qui est au bord de la faillite, faillite en grande partie liée à l'incompétence et à la corruption de nos énarques, soit victime d'une troisième révolution qui achèverait de le ruiner.

Comme en 1789, la Révolution pourrait éclater pour une parole de trop : en 1789 ce serait Marie-Antoinette qui l'aurait prononcée « Ils n'ont plus de pain alors qu'ils mangent de la brioche ». L'ENA n'existait pas mais déjà nous avions une énarque qui ignorait comment se faisait le pain et la brioche : aucune réalité de la condition de vie des gens sur le terrain.

C'est peut être pour éviter cela que nos énarques et hommes politiques font de longs discours qui nous endorment et ne veulent plus rien dire : au moins cela évite de mettre le feux aux poudres et ils se sont fait plaisir en alignant des mots mais aucune idée. Nous sommes en présence d'un Etat qui devient de plus en plus inquisiteur envers ses citoyens, de plus en plus répresseur envers les honnêtes gens, de plus en plus laxiste pour les voyous : auriez-vous peur des voyous Monsieur le Président?

Pourtant ce sont les honnêtes gens qui feront la prochaine révolution parce qu'ils en ont assez que 1789 ne serve à rien et qu'ils ne soient bons qu'à payer des impôts. Je pense, en tant que médecin, que la révolution c'est comme le vaccin : de temps en temps il faut des rappels.
Il y a trop longtemps maintenant que le dernier rappel a été administré.

Après le dépistage des délinquants à l'âge de 3 ans, la taxe carbone qui épargne les plus pollueurs (vos petits copains), les radars « pompes » à fric, qu'allez vous nous pondre : le rétablissement des lettres de cachet ? Pourvu que je n'en sois pas la première victime !

Vous êtes en train de nous faire une France à l'Américaine. Mais pas celle d'Obama ! Celle de Bush, marionnette de la C.I.A., des lobbies de l'industrie et de l'armement. Votre idole était G.W. Bush : cela « crevait » les yeux. L'Europe géographique avait un pays à la botte des américains (l'Angleterre), maintenant elle en a deux.
Lors de l'invasion en Irak, par les américains, je devrais dire par la C.I.A. et les industriels de l'armement et accessoirement G.W. Bush, Jacques CHIRAC a eu probablement la meilleure initiative de ses mandats : ne pas y aller. Sil n'en avait pas été ainsi, je pense que notre pays, qui compte 1/6 de musulmans explosait de l'intérieur. En médecine il y a un dicton qui dit « primum no nocere » - d'abord ne pas nuire- et il a su l'appliquer.

Vous êtes, lentement mais sûrement, en train de transformer le pays en dictature car vous avez l'esprit d'un petit dictateur ; il existe une grande similitude entre vous et Napoléon III dit Le Petit (dixit Victor Hugo).

Mis à part quelques ministres, vous vous êtes entouré (mais cela est peut être voulu) d'incompétents notoires qui n'ont aucune réalité du terrain, comme par exemple Madame R. Bachelot qui nous a montré ses talents dans la gestion de la « grosse » épidémie de grippe A. Heureusement que le virus H1 N1, quant à sa virulence, n'avait rien à voir avec le H5 N1, auquel cas elle aurait participé à décimer le pays : elle aurait peut être résolu le problème de chômage en créant un maximum d'emplois... dans les funérariums.

Il y a un proverbe qui dit « au royaume des aveugles, les borgnes sont rois » : je crains que vous l'ayez fait vôtre. Mais au fait, cette épidémie de grippe, n'était-ce pas une diversion, pour faire parler d'autre chose que de la crise ce qui aurait risqué d'échauffer les esprits ? En vous adressant ce présent, je ne fais pas de menaces, je m'inspire un peu de vous - après tout c'est vous qui en avez parlé le premier, du croc de boucher - Je fais seulement de la prévention.

Il serait en effet regrettable que votre absence de bon sens, votre éloignement de plus en plus grand de la France « d'en bas », comme avait dit Jean Pierre Raffarin, vous conduise à vous y trouver suspendu par le peuple, ou pire encore, que la Guillotine, reléguée au musée par Robert Badinter, reprenne du service et fonctionne au rythme qu'elle a connu sous la Terreur. Je vous rappelle que vous êtes le Président de tous les Français même si tous n'ont pas voté pour vous et que vous avez été choisi pour vous occuper de notre Pays, pas pour l'anéantir.

Je suis un libéral, mais je suis pour le libéralisme choisi et non subi et imposé. Vous êtes en train de créer un système de santé à l'américaine, c'est-à-dire à deux voire trois vitesses, alors que Monsieur Obama lui veut faire machine arrière et rendre l'accès aux soins à tous les Américains qui en étaient exclus.

Vous êtes en train d'anéantir l'enseignement qui est le type même d'investissement à long terme où l'on dépense aujourd'hui de l'argent (nos impôts) qui sert à former les cerveaux qui feront l'élite intellectuelle de demain. Les pays nordiques comme la Finlande l'ont bien compris. Avec la suppression du juge d'instruction, vous êtes en train de créer une justice aux ordres du pouvoir : la France va devenir une République Bananière si elle ne l'est pas déjà. A l'allure où vous allez, la France sera le premier pays sous développé d'Europe : plus d'université, plus d'hôpitaux, plus d'industries, plus de services publics, plus d'agriculture.,. une réserve de gaulois pour touristes étrangers tout au plus.
Attention !
Les Gaulois à l'image d'Astérix et Obélix pourraient bien entrer en Résistance.

Lettre ouverte à Nicolas Sarkozy

Dans 15 jours j'adresse cette lettre à N. Sarkozy accompagnée de son "cadeau" le crochet de boucher. Diffusez la à un maximum de vos contacts, qu'elle fasse le tour du pays. Si un maximum de gens sont informés je ne risque rien. Je compte sur vous et .......
Vive la liberté d'expression !!!

Docteur Christian SADEK Médecin généraliste Les Prades 46250 CAZALS

//////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Bravo mon Cher Toubib, ne n'aurais jamais pu être plus explicite. Je rêve de cohortes de citoyens courageux comme vous, pour dire la vérité, rappeler à l'ordre les crapules, instruire les ignorants et redonner un peu de dignité à notre beau Pays qui est en train de se faire vampiriser et de se faire voler son âme...


Dernière édition par Hercule le Sam 29 Oct - 7:08, édité 2 fois
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Dim 26 Juin - 7:13

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/06/aymeric-chauprade-gagne-son-procès-contre-hervé-morin.html

25 juin 2011

Aymeric Chauprade gagne son procès contre Hervé Morin

Le géopoliticien français Aymeric Chauprade vient de faire condamner l’Etat et d’obtenir l’annulation de la décision du ministre de la Défense Hervé Morin, qui l’avait interdit de toute enseignement dans les écoles militaires françaises à la suite de la parution de son livre Chronique des civilisations, dans lequel il mettait en doute la version officielle des attentats du 11 septembre 2001.

Posté le 25 juin 2011 à 22h55 par Michel Janva

//////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Il y en a vraiment plus qu'assez de cette dictature maçonnique du gouvernement français.
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Lun 27 Juin - 15:32

http://www.france-jeunes.net/lire-la-lettre-d-une-dame-de-86-ans-a-sa-banque-26093.htm

La lettre d'une dame de 86 ans à sa banque

Sa réponse est intellectuellement savoureuse, et vaut le coup d'être connue...


Cher Monsieur,

Je vous écris pour vous remercier d'avoir refusé le chèque qui m'aurait permis de payer le plombier le mois dernier. Selon mes calculs, trois nanosecondes se sont écoulées entre la présentation du chèque et l'arrivée sur mon compte des fonds nécessaires à son paiement. Je fais référence, évidemment, au dépôt mensuel automatique de ma pension, une procédure qui, je dois l'admettre, n'a cours que depuis huit ans. Il me faut d'ailleurs vous féliciter d'avoir saisi cette fugace occasion et débité mon compte des 30 Euros de frais pour le désagrément causé à votre banque. Ma gratitude est d'autant plus grande que cet incident m'a incité à revoir la gestion de mes finances. J'ai remarqué qu'alors que je réponds personnellement à vos appels téléphoniques et vos lettres, je suis en retour confrontée à l'entité impersonnelle, exigeante, programmée, qu'est devenue votre banque.

A partir d'aujourd'hui, je décide de ne négocier qu'avec une personne de chair et d'os. Les mensualités du prêt hypothécaire ne seront dorénavant plus automatiques, mais arriveront à votre banque par chèques adressés personnellement et confidentiellement à un(e) employé(e) de votre banque que je devrai donc sélectionner. Soyez averti que toute autre personne ouvrant un tel pli consiste en une infraction au règlement postal. Vous trouverez ci-joint un formulaire de candidature que je demanderai à l'employé(e) désigné(e) de remplir. Il comporte huit pages, j'en suis désolée, mais pour que j'en sache autant sur cet employé(e) que votre banque en sait sur moi, il n'y a pas d'alternative. Veuillez noter que toutes les pages de son dossier médical doivent être contresignées par un notaire, et que les détails obligatoires sur sa situation financière (revenus, dettes, capitaux, obligations) doivent s'accompagner des documents concernés. Ensuite, à MA convenance, je fournirai à votre employé(e) un code PIN qu'il/elle devra révéler à chaque rendez-vous. Il est regrettable que ce code ne puisse comporter moins de 28 chiffres, mais, encore une fois, j'ai pris exemple sur le nombre de touches que je dois presser pour avoir accès aux services téléphoniques de votre banque. Comme on dit : l'imitation est une flatterie des plus sincères. Laissez-moi développer cette procédure.

Lorsque vous me téléphonez, pressez les touches comme suit : Immédiatement après avoir composé le numéro, veuillez presser l'étoile (*) pour sélectionner votre langue.
Ensuite le 1 pour prendre rendez-vous avec moi.
Le 2 pour toute question concernant un retard de paiement.
Le 3 pour transférer l'appel au salon au cas où j'y serais.
Le 4 pour transférer l'appel à la chambre à coucher au cas où je dormirais.
Le 5 pour transférer l'appel aux toilettes au cas où...
Le 6 pour transférer l'appel à mon GSM si je ne suis pas à la maison.
Le 7 pour laisser un message sur mon PC. Un mot de passe est nécessaire. Ce mot de passe sera communiqué à une date ultérieure à la personne de Contact autorisé mentionné plus tôt.
Le 8 pour retourner au menu principal et écouter à nouveau les options de 1 à 7.
Le 9 pour toute question ou plainte d'aspect général. Le contact sera alors mis en attente, au bon soin de mon répondeur automatique.
Le 10, à nouveau pour sélectionner la langue. Ceci peut augmenter l'attente, mais une musique inspirante sera jouée durant ce laps de temps.
Malheureusement, mais toujours suivant votre exemple, je devrais infliger le prélèvement de frais pour couvrir l'installation du matériel utile à ce nouvel arrangement.
Puis-je néanmoins vous souhaiter une heureuse, bien que très légèrement moins prospère, nouvelle année ?

Respectueusement,

Votre humble cliente
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Dim 4 Sep - 22:18

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/26/1153739-flashe-a-deux-reprises-en-six-minutes.html

Foix et sa région
« Ariège
PUBLIÉ LE 26/08/2011 08:14 - MODIFIÉ LE 26/08/2011 À 10:27 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Flashé à deux reprises en six minutes
l'histoire du jour

Un radar sur la RN20./Photo DDM

Dimanche 14 août, un automobiliste lotois de passage, Thierry Brissard rentre tranquillement de vacances, dépassant de quelques kilomètres les limites de vitesses autorisés. Quelques jours plus tard, ce n'est pas un, mais deux PV qu'il reçoit pour dépassement de vitesses, un à 121 km/h et l'autre à 119 km/h. Là où le bat blesse, c'est que les deux excès ont été enregistrés à une distance d'environ douze kilomètres, sur la nationale 20 entre Foix et Pamiers. Si le conducteur assume ses erreurs, c'est la proximité des deux contrôles qui le choque. Six minutes séparent les horaires des deux excès relevés par des groupes de gendarmes équipés de jumelles. Thierry Brissard ne trouve « pas ces contrôles préventifs, surtout qu'aucun n'était visible en roulant ». Thierry Brissard a donc envoyé une lettre au préfet pour relater les faits, sans pour autant demander d'indulgence : « A mon avis, ce genre de contrôle redondant ne ressemble en rien à des mesures de prévention telles qu'elles devraient l'être, mais plutôt à un besoin de résultat démesuré, d'autant plus qu'à aucun moment je n'ai aperçu de radar ou d'agent en bord de route, explique-t-il dans ce courrier. J'espère que cette lettre ne restera pas morte et permettra de revoir l'organisation et les méthodes actuellement pratiquées dans l'Ariège ». Ce touriste lotois, en tout état de cause, gardera un goût amer de son passage et Ariège, et peut-être le sentiment d'avoir été puni deux fois pour la même faute.
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Ven 9 Sep - 11:13

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/immigration-manuel-valls-veut-changer-les-idées-du-ps.html

08 septembre 2011

Immigration : Manuel Valls veut changer les idées du PS

Lu dans le dernier Minute :

"Manuel Valls ne désarme pas. Le député-maire d’Evry, candidat à l’investiture du PS pour l’élection présidentielle, poursuit son combat, de l’intérieur du PS, contre ce qu’il appelle «la gauche compassionnelle»: celle qui geint et qui pleurniche en permanence. Il s’attaque cette fois à l’un des sujets les plus sensibles au PS: l’immigration. En cognant sur le gouvernement de François Fillon qu’il accuse… d’être trop laxiste! Dans un entretien à « La Voix du Nord » du 2 septembre, Manuels Valls a dénoncé en effet les « ambiguïtés » de l’UMP: « A la remorque de l’extrême droite dans ses discours, a-t-il affirmé, la droite régularise, dans les faits, de manière massive et aléatoire. » Ça fait du bien quand c’est un élu de gauche qui le confirme. « Les solutions erratiques et brutales aggravent les difficultés, a-t-il expliqué. La fermeture de Sangatte a multiplié les “Sangatte perlés” du nord de la France jusqu’aux gares parisiennes. » Oh? Ça alors! Et Manuel Valls de réclamer « à la fois plus d’humanité et plus de détermination ». En rupture complète avec les années Mitterrand, où il était de bon ton de dire, avec le président de la République, que les immigrés sont chez eux chez nous, Valls réclame encore l’établissement de «quotas migratoires» car il lui apparaît que «avec le déséquilibre Nord-Sud, la pression migratoire va atteindre des proportions inégalées dans les prochaines années». Bien vu là encore! «Je veux convaincre nos compatriotes que cette immigration peut être profitable à la France si les flux sont véritablement maîtrisés», ajoute-t-il, avant d’insister plutôt sur la « maîtrise ». A savoir «d’abord définir des quotas migratoires établis selon nos capacités d’accueil». Et quand le journaliste s’inquiète des réactions que ses propositions vont susciter chez ses camarades socialistes, Valls répond: «Je préfère susciter des remous chez mes camarades que la colère des Français.» Car il en est persuadé: « «L’immigration sera un thème important de la prochaine campagne présidentielle.»"

Posté le 8 septembre 2011 à 10h50 par Michel Janva
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Ven 9 Sep - 11:48

http://www.sudouest.fr/2011/09/07/des-quotas-a-toulouse-les-motards-de-la-police-doivent-delivrer-plus-de-pv-492893-4755.php

Mercredi 7 septembre 2011 à 16h57
Par SudOuest.fr, avec AFP 25 commentaire(s)

Des "quotas"? A Toulouse, les motards de la police doivent délivrer plus de PV

Les motards de la police à Toulouse ont récemment reçu des objectifs chiffrés et écrits d'amendes à infliger et d'interpellations à effectuer, a rapporté le syndicat Unsa Police ce mercredi.

Pour le syndicat, il s'agit de quotas inacceptables et dangereux. C'est aussi une première, déclare Cédric Delage, secrétaire régional de la troisième force syndicale au sein de la police.

La direction policière conteste l'instauration d'une nouvelle politique visant à "faire du chiffre". Le syndicat majoritaire Unité-SGP Police, évoque, lui, une controverse qui n'a pas lieu d'être.

Dans une lettre dont la Dépêche du Midi a révélé l'existence, un haut responsable policier en Haute-Garonne demande aux chefs des deux brigades de motards (50 hommes au total) de "développer l'activité d'interpellation en matière de lutte contre la délinquance, notamment routière, ainsi que celle de verbalisation, et ce de manière significative"; 50 timbres-amendes et deux interpellations par motard et par mois "constituent des minimums".

"Vous n'hésiterez pas à me signaler les personnes de votre équipe qui, de manière déloyale, n'exécuteraient pas les instructions demandées", ajoute le chef du Service d'ordre public et de sécurité routière.

Le courrier date du 23 juin. Au cours des cinq premiers mois de 2011, chaque motard a distribué chaque mois en moyenne 42,27 amendes et procédé à une interpellation.

"Pour qu'il y ait une interpellation, il faut qu'il y ait un délit. Et lorsqu'on se retrouve en fin de mois avec des fonctionnaires qui n'ont pas le nombre d'interpellations demandées, on peut arriver à des dérives très graves", s'indigne le secrétaire régional d'Unsa Police.

"La politique du chiffre existe depuis 2006, mais là, elle arrive à son paroxysme", s'émeut-il.

"L'objectif n'est pas de faire du chiffre, mais bien de lutter contre l'insécurité routière et de sauver des vies", réplique dans la Dépêche le directeur départemental de la sécurité publique, Lucien Pourailly.

Le premier syndicat policier, Unité-SGP Police, a jugé "malvenu de soulever (ce) lièvre".

"Le principe même des quotas, de la pression, du chiffre, on est fondamentalement opposé", dit Didier Martinez, son secrétaire régional.

Mais il explique qu'un changement de rythme de travail imposé aux motards en juin a provoqué chez eux "une réaction épidermique" et une baisse notable de leur activité.

L'administration n'a pas décidé brutalement de fixer des quotas qui n'existaient pas, et de tirer l'activité vers le haut, mais de "reprendre les choses en main", dit-il. Elle a adressé des "messages individuels aux deux chefs de brigade, qui leur disaient: +ressaisissez-vous, revenez à une activité normale et minimale+", a-t-il dit.
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Ven 9 Sep - 11:49

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/idéologie-du-genre-il-écrit-aux-députés-de-son-département.html

08 septembre 2011

Idéologie du genre : il écrit aux députés de son département

Lu ici :

"Messieurs les députés du Maine & Loire,

80 députés ont signé un appel au ministre de l'éducation afin que soient retirés des manuels scolaires présentant le genre comme une vérité scientifique alors que ce n'est qu'une théorie et même une idéologie qui si demain venait à s'imposer conduirait inéluctablement à l'explosion de la cellule familiale et par voie de conséquence de la société toute entière. En effet :

. Les théoriciens du genre pensent, comme Simone de Beauvoir, "qu’on ne naît pas femme, on le devient »

. On naît « neutre » et c’est la société qui impose à chaque homme d’être homme parce qu’il a un sexe masculin et à chaque femme d’être femme parce qu’elle a un sexe féminin, avec toutes les inégalités que cela implique.

. Puisque le genre est une pure construction sociale, toute représentation sociale de la sexualité est artificielle.

. Puisque l’hétérosexualité n’est plus « évidente », toutes les formes de sexuation sont envisageables : homosexualité, bisexualité, transsexualité et toutes les autres formes de sexualité qu’inventeront les individus, au nom de la tolérance. Tout devient permis.

. Ces théories affichent clairement la volonté de détruire le modèle familial existant, vécu comme un conditionnement social et un obstacle à la revendication du droit à choisir son sexe.

Par la présente, je vous demande de rejoindre ces 80 députés et d'apporter votre appui à la demande qu'ils expriment.

Dans l'attente de votre réponse, je vous prie d'agréer l'expression de mes cordiales et électorales salutations,"

Posté le 8 septembre 2011 à 09h22 par Lahire
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Sam 24 Sep - 11:43

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/24/1175370-agen-agression-de-nicolas-sarkozy-hermann-fuster-risque-gros.html#xtor=EPR-1

PUBLIÉ LE 24/09/2011 10:50 | C.ST-. P
Agen. Agression de Nicolas Sarkozy : Hermann Fuster risque gros

Les faits n'ont pas été commis dans la sphère professionnelle, fait valoir comme argument massif Me Laurent Bruneau, lors d'une conférence de presse tenue hier à la CGT./Photo Jean-Michel Mazet.

Rayé des cadres, une mort sociale de 2 ans, sans salaire, ni indemnités. La tête d'Hermann Fuster, convoqué le 30 septembre devant le conseil de discipline, est mise à prix. Celui qui a agrippé par le col le président Nicolas Sarkozy à Brax est aujourd'hui sous la menace d'une exclusion temporaire de 24 mois réclamée par la mairie devant ce qu'elle considère sans détour comme une faute avérée.

« Je tiens à mon travail, je m'y suis toujours accroché. C'est ma vie ! Plus les liens que j'ai forgé avec les élèves, les parents, les enseignants. Je n'ai pas envie de tout perdre. » Herman Fuster ne renie rien et exprime des regrets qui sonnent sincères. Il persiste et signe dans son explication des faits tels qu'il les avait énoncés à la barre du tribunal. Loin de lui l'idée d'exercer des violences, mais il admet que la façon d'interpeller le président pour lui parler de « choses personnelles » en créant un contact physique, était « une connerie » et il campe toujours sur sa position de défense. En l'exfiltrant sans ménagement de la foule, le cordon de sécurité présidentiel l'a désarçonné au point d'entraîner le chef de l'Etat avec lui. Trois mois après être sorti de l'anonymat, celui qui se dit encore dépassé par l'ampleur médiatique et n'avoir jamais recherché cette notoriété, reste fidèle à l'image publique dévoilée lors de son procès, en retrait, vêtu de la même tenue qu'il arborait le jour de la visite d'Etat, ses cheveux longs ramassés en catogan. Une forme de protection pour cet idéaliste ténébreux pour lequel le travail a servi de viatique suite à une dépression. Un look sombre, plutôt détonant en ce 30 juin, de jeune pas franchement « encarté » et qui suscitait de la méfiance. Un être à part qui s'est dépeint hier comme timide, à mille lieux de la violence et « en aucun cas le monstre que l'on a présenté ». Une réserve presque maladive qui rompt singulièrement avec la nature « hors norme » de l'acte qui lui est reproché. Me Laurent Bruneau analyse la sanction à laquelle son client est exposé comme « une façon de le pousser à démissionner. Ce n'est plus la mise à mort demandée au début, mais le bagne… », résume l'avocat qui est monté hier au créneau avec le syndicat CGT des Territoriaux de la ville d'Agen pour s'insurger contre ce qu'ils considèrent comme « une double peine injuste ». « Les faits sont reconnus, il n'en est pas fier. Mais il les a commis dans le cadre de sa vie privée et en dehors du temps de travail. Il n'y a pas de faute de service. C'est choquant qu'on veuille le sanctionner professionnellement alors qu'il a toujours donné satisfaction. On lui reproche d'avoir porté atteinte à la dignité de la fonction, mais ce n'est qu'un fonctionnaire au bas de l'échelle. Le droit au travail est un droit fondamental. Sur les centaines de délits jugés chaque semaine au tribunal, les prévenus ne perdent pas leur emploi », assène Me Bruneau qui voit là la volonté de le priver de tout projet, d'amputer son avenir et de le placer dans un monde parallèle.

L'avocat de l'Agenais Hermann Fuster et la CGT dénoncent une « double peine » face aux 2 ans d'exclusion demandés. Ils appellent à une mobilisation le 30 septembre. Une pétition a déjà réuni 850 signataires.

Retour sur une visite et une affaire d'etat
Le 30 juin, le président de la République boucle sa visite lot-et-garonnaise par le village rural de Brax. Hermann Fuster a emprunté le jardin d'une propriété privée pour déjouer les forces de l'ordre et s'est faufilé au deuxième rang de la foule triée sur le volet. Au moment où il sent la main du président lui échapper, il décide de l'empoigner pour le retenir et évoquer des questions de politique internationale. Mais des témoins ont une autre lecture et affirment qu'il avait le poing armé et qu'il a exprimé ouvertement son intention de le frapper. Maîtrisé par les services de sécurité et placé en garde à vue à la gendarmerie, il sera jugé et condamné dès le lendemain en comparution immédiate à une peine de sursis. Le président n'a pas souhaité porter plainte. Dans la foulée, la mairie le suspendra de ses fonctions, mais son temps de travail étant annualisé, cela prendra effet sur ses congés d'été sans impacter jusqu'ici ses revenus. Par ailleurs, une procédure administrative a été engagée et le conseil de discipline saisi fixé le 30 septembre à 10 heures au centre de gestion de la Fonction publique territoriale.

////////////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Hermann Fuster ne serait pas le premier à se faire exclure, sans salaire, ni indemnités par le totalitarisme franc-maçon qui oeuvre toujours dans l'ombre... Mais, il est bien possible que dans un temps qui n'est guère éloigné, ce soient les francs-maçons et leurs sbires corrompus (les francs-maçons sans tablier) qui se retrouvent prochainement exclus sans tambours, ni trompettes, sans salaire, ni indemnités. Tous les totalitarismes finissent un jour victimes des systèmes corrompus qu'ils ont eux-mêmes mis en place : "Qui vit de m'épée meurt l'épée", c'est une parole de Jésus au sujet de la Justice immanente...
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Ven 7 Oct - 8:13

http://www.valeursactuelles.com/actualités/société/coup-de-gueule-de-marie-neige-sardin-après-26-agressions-“je-ne-me-soumettrai-pas

Insécurité.
Marie-Neige Sardin, victime de 26 agressions : “Je ne me soumettrai pas"
Fabrice Madouas le jeudi, 06/10/2011
dans Société

Libraire en Seine-Saint-Denis, Marie-Neige Sardin a été agressée vingt-six fois en sept ans. Elle résiste, tout en déplorant les renoncements de la justice.

Pas question pour Marie-Neige Sardin, 54 ans, de quitter sa petite librairie du Bourget. Malgré les vio­lences et les intimi­da­tions, malgré le départ des com­merçants qu’elle côtoyait auparavant, cette femme énergique ne veut rien cé­der à ses agresseurs. « Énormément de per­sonnes vivent en France ce que je vis dans ma banlieue », écrit-elle dans le livre qu’elle vient de publier. Elle y dénonce notamment les faiblesses d’une jus­tice trop accommodante avec les délinquants. Un témoignage choc.

Pourquoi avez-vous écrit ce livre ? Pour témoigner. De ce que j’ai subi et de ce qu’ont vécu et vivent encore d’autres victimes, qui n’ont pas les moyens de le faire savoir.

Qu’avez-vous subi ? Vingt-six agressions en sept ans, certaines d’une vio­lence extrême. J’ai été violée. Ne me demandez pas de le raconter.

Quand était-ce ? Le 22 juin 2004. J’avais porté plainte pour une première agression, en janvier de la même année. Deux hommes armés d’un pistolet et d’une bonbonne de gaz lacrymogène m’avaient dérobé la caisse et les jeux de grattage. J’avais alors reçu un coup de crosse, qui m’a ouvert le cuir chevelu. J’étais cou­verte de sang… Le viol a eu lieu quelques jours avant une confrontation prévue dans le cadre de cette affaire. Ils étaient quatre. Ils m’ont dit : « Retire ta plainte, sinon on fera la même chose à ta fille. »

Avez-vous reconnu certains de vos agresseurs ? Oui, le chef de cette bande, sur le fichier de la police. Je le désigne dans mon livre par une initiale, G. Il est connu des services de police pour agressions, vols, dégradations… J’ai aussi identifié l’un des violeurs. Mais cela n’a servi à rien.

Que s’est-il passé ? Dans l’affaire du braquage, la juge pour enfants a conclu à un non-lieu. Sa mère et sa sœur ont affirmé que G. dormait chez lui au mo­ment des faits. C’était parole contre parole. La sienne a pesé plus lourd que la mienne.
Il y avait pourtant des témoins… Oui, un père de famille, accompagné de ses deux enfants. Il a finalement renoncé à témoigner, les deux braqueurs l’avaient menacé de s’en prendre à ses enfants… Deux ans plus tard, la sœur de G. est venue chercher un colis à la boutique. Je lui ai demandé pourquoi elle avait affirmé que son frère dormait lors du braquage. « Je le couvre », m’a-t-elle dit. Il y avait à ce moment-là un prêtre dans la boutique. Il a témoigné de ce qu’il avait entendu, mais la procédure n’a pas été relancée.

Et dans l’affaire du viol ? Là encore, le suspect a dit qu’il était étranger à cette affaire : il aurait dormi chez son frère. Les empreintes relevées par la police juste après le viol n’ont pas permis de le confondre. La juge a donc rendu un non-lieu, motivé par le manque de preuves. Ce qui n’a pas empêché la bande en question de se vanter dans tout le quartier de m’avoir violée. Un gardien d’immeuble est même allé le raconter à la police, mais sa déposition est restée sans suite.
Vous avez quand même été indemnisée… Oui, par la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (Civi). C’est une reconnaissance du viol que j’ai subi, mais c’est l’État qui m’a indemnisée, à la place des coupables… La so­ciété a reconnu que j’avais été victime d’agressions, mais elle a renoncé à poursuivre les auteurs de ces agressions.

En revanche, vous avez été condamnée, en juin, à 500 euros d’amende pour “injure envers un particulier en fonction de sa race, de sa religion ou de son origine”. Que s’est-il passé ? J’ai fait appel de cette décision. L’affaire remonte à 2008, je la raconte en détail dans mon livre. Une jeune femme est venue s’installer dans l’appartement qui fait face au mien. Elle a pendu la crémaillère pendant trois jours, ou plutôt trois nuits. La troisième nuit, je suis allée lui demander d’arrêter de « faire la bamboula ». Nos relations se sont envenimées… Deux ans plus tard, elle est allée dire que j’avais osé la traiter de “bamboula”, ce que je conteste, évidemment. J’ai mon franc-parler, mais je n’ai jamais insulté quelqu’un en raison de sa couleur de peau ou de sa religion. Je suis née avec la diversité, j’ai grandi avec la diversité, je travaille avec la diversité. Je ne suis pas raciste. Je n’accepte pas d’être condamnée sur une calomnie, alors que la justice a toujours ignoré ma parole quand j’ai été agressée. C’est cette inversion des valeurs que je combats. Je veux qu’un criminel soit jugé comme un criminel, et qu’on ne lui cherche pas de fausses excuses. Moi, on m’a fait comprendre qu’il fallait leur laisser leur chance… Plus on leur trou­ve des excuses, plus ils som­brent dans la violence. Et cette violence se retourne souvent contre eux. Je l’ai déjà dit : ces jeunes, je les ai vus grandir, je ne suis pas sûre de les voir vieillir.

Pourquoi restez-vous ici ? Mon père était gendarme, ma mère a travaillé dans la police. Ils m’ont inculqué certains principes. Je ne ferai pas allégeance aux bandes qui veulent imposer leurs lois. Je ne me soumettrai pas. J’aurais l’impression de déserter si je partais. Je sais bien que certains n’attendent que ça. Les autres commerçants sont partis, ils ont été remplacés. Ma boutique est bien placée, on la voit du RER. Des hommes, que je ne connais pas, passent me voir presque tous les mois pour me la racheter. Curieusement, leurs visites surviennent souvent après une nouvelle agression… J’ai acheté cette petite librairie en 1978, avec mon père. Que deviendrait-elle si je la vendais ? Un fast-food ? Un taxiphone ? Et puis, je ne me bats pas seulement pour moi…

Pour qui d’autre ? Pour ces gamins qui viennent m’acheter des livres, à qui j’en prête parfois. L’un d’eux, à qui j’avais prêté l’Étranger, a mis deux mois à le lire. Maintenant, il lit Balzac ! Et puis il y a ces jeunes filles qui viennent me voir parce qu’elles savent ce que j’ai vécu… En sept ans, je dirais qu’une dizaine sont venues me dire ce qu’elles avaient subi, elles aussi. Elles, elles n’osent pas aller porter plainte : culturellement, c’est très difficile d’en parler à leurs parents. Je suis un peu leur soupape. Je leur donne le téléphone d’une association qui m’a beaucoup aidée, le Collectif féministe contre le viol. Moi, je ne m’en suis jamais vraiment remise. Je ne supporte plus que l’on me touche. Aller chez le médecin est une épreuve. Mais j’ai la chance d’avoir été maman avant. Alors, imaginez le traumatisme que c’est pour une gamine de 15 ou 16 ans !

Qu’attendez-vous des hommes politiques ? Plus grand-chose… J’attends de la justice et de la police qu’elles protègent les gens honnêtes. Propos recueillis par Fabrice Madouas et Augustin Jalon

Celle qui dit non, de Marie-Neige Sardin, L’Œuvre Éditions, 160 pages, 19 €.
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Jeu 20 Oct - 10:10

http://henridefersan.blogspot.com/

FRIDAY, NOVEMBER 02, 2007

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai BEKETCH

In memoriam Serge de Beketch (12/12/1946 - 06/10/2007) (Editorial du Libre Arverne n°260, 11/10/2007)
Serge de Beketch nous a quittés. Pour notre courant de pensée, la perte est irremplaçable, plus que la perte du Detroit en temps de guerre pour la VIth Fleet (navire-ravitailleur de la marine américaine, sa perte condamne porte-avions et croiseurs à la pénurie de munitions et de carburant…). Le 6 octobre, j’installais mon stand lors de la Fête de la Tradition quand je fus interpellé par Caroline Parmentier, ma tourneboulante consoeur de Présent. Mais une Caro avec la tête des mauvais jours. Et de m’apprendre la nouvelle que je redoutais depuis quelques temps : « les médecins ne donnent pas 48 heures à Serge ». Le lendemain, on m’apprenait sa mort durant la nuit, entre la Fête du Rosaire et celle de la Saint Serge. L’abbé de Cacqueray arrivant sur mon stand, je l’en informais immédiatement. Il fit un signe de croix bénissant la mémoire de Serge et me demanda de prévenir séance tenante Mgr Fellay. Brève biographie pour les rares personnes ne le connaissant pas encore. Né le 12 décembre 1946, Serge André Yourevitch Verebrussoff de Beketch était le fils du sergent-chef Youri de Beketch mort pour la France à Dien-Bien-Phu et le petit-fils de Cyrille de Beketch, aide de camp du général Dénikine. La quasi-totalité de sa famille paternelle ayant été exterminée par les commissaires politiques juifs de l’URSS, cela ne le prédisposait pas à une tendresse excessive pour les deux facettes du bolchevisme et leurs collaborateurs. Journaliste à Minute en 1966, il se lia d’amitié avec René Goscinny qui le fit renter à Pilote. Directeur de National Hebdo de 1986 à 1990 puis de Minute-La France de 1990 à 1993, il fonda Le Libre Journal de la France Courtoise et fut co-fondateur et animateur vedette de Radio Courtoisie.

Serge de Beketch sera éternellement associé en ce qui me concerne à une période exaltante de l’histoire de notre famille de pensée. Si on devait donner un seul mot pour désigner Serge, c’est à « excessif » que je penserais. Tout était excès chez lui, et c’est ce qui faisait son charme. On l’aurait suivi jusqu’aux confins de la Sibérie, jusqu’aux yourtes (pas de blagues, monsieur le correcteur de texte) de Yakoutie. Dans la grande armée de la presse nationale, Serge était l’ataman, flanqué de ses Cosaques du Libre Journal de la France Courtoise, sabre au clair, au galop, étêtant tout ce qui bouge, bousculant même l’infanterie régulière de notre propre camp quand elle avait le malheur de se trouver sur le chemin des convenances que nous piétinions avec allégresse. Nous étions des corsaires, des partisans, des irréguliers, des corps-francs, mais nous étions surtout de ces hommes libres n’ayant de comptes à rendre qu’à Dieu et à notre ataman, suscitant parfois le regard courroucé de ces « messieurs convenables » prostituant leurs idéaux pour une écharpe de Conseiller Régional et autre bimbeloterie pour arrivistes de chef-lieu d’arrondissement. Pendant les années où j’ai eu l’honneur de travailler avec lui, Serge a été notre Ungern-Sternberg. J’ai longtemps cherché quelle chanson je pouvais chanter en l’honneur de Serge. Les Partisans Blancs ? Je la laisse à mes confrères de Radio Courtoisie. La Cavalcade ? D’autres l’ont pris. Les Cosaques ? Redondance avec ce qui précède. Alors je vais choisir à l’heure du requiem Le vent menait : « Où nous passons menant la roue solaire L'or des moissons s'attache à nos pas, Qu'on nous appelle soldats ou mercenaires, Nous sommes toujours prêts au dernier combat. Le vent menait le bruit de nos batailles, Le vent du nord menait au dernier port. Le vent menait le sang et la mitraille, Le vent du nord nous amenait la mort… »

Serge de Beketch était donc un homme d’excès, mais dans le sens noble du terme. La prodigalité légendaire attribuée aux Russes trouvait en lui l’illustration vivante. Généreux, Serge l’était. Il a donné sa chance à plusieurs jeunes, moi le premier. Je ne l’ai jamais vu manifester la moindre haine contre quiconque, même envers les porcs de Charlie Hebdo, même cette éponge imbibée d’alcool de Siné qui avait injurié son père. Ces dérapages verbaux, sous le coup de la colère, ne devaient être pris qu’à leur juste valeur : le cri de désespoir de l’homme devant l’injustice, la mesquinerie, parfois même l’ignominie des puissants. Ses envolées ont donné des sueurs froides à Jean Ferré et à Jean-Marie Le Chevallier. Si on devait les résumer en une phrase, c’est celle lors de la Fête du Livre de Toulon lorsque l’équipe de Charlie Hebdo ne demanda rien de moins qu’une « protection policière » (comme tout anar en peau de lapin), il leur envoya un bristol dans le ton de leur journal : « La municipalité de Toulon est chargée du ramassage des ordures, pas de leur sécurité ». Nous avions beaucoup ri, Le Chevallier nettement moins. Il voyait s’éloigner ses rêves d’un bon papier sur lui dans Le Figaro et Libération… Lors de la période toulonnaise, j’étais aux côtés de Serge comme Rédacteur en Chef du Toulonnais, le journal municipal dont il était le directeur. Seul journal municipal qui était lu jusqu’à Amiens ! Un jour, Serge s’était excusé de m’avoir entraîné dans cette galère. Je lui avais répondu : « Pourquoi vous excuser ? On s’est bien marré ! ». De Toulon, je garderais le souvenir de la gentillesse de Philippe David de Beauregard qui, plus d’une fois, allait plaider notre cause auprès du maire parce que nous avions froissé la susceptibilité de tel ou tel élu d’un parti dont le journal officiel appelait au meurtre contre « Leuch » ; et ces fous-rires lors des bouclages (notamment une fois où entrant dans le bureau de Serge avec une demande de me laisser deux pages pour le compte rendu d’un Toulon-Bordeaux en Coupe de France de football, je fus reçu par un tonitruant et théâtral : « Fersan, fichez le camp de mon bureau vous et votre football ! ». Serge est toujours resté hermétique au charme du ballon rond.

Von Salomon avait trouvé un mot exact qui définissait Serge et son armée : Les Réprouvés. Le Libre Journal avait un côté du Petit Nicolas. Nous étions tous, et Serge le premier en tant que « meneur de la bande », un groupe de « sales gosses » fortes têtes, insolents mais avec des cœurs gros comme ça. Pas l’un qui ressemblait à l’autre. Le village gaulois d’Astérix, entre chamailleries, réconciliation lors du banquet final… Mâtin, quel journal quand on y pense. Grâce à Serge, j’ai découvert un monde mille fois plus chaleureux et intéressant que si j’avais fait une petite carrière de sbire du régime au Quai d’Orsay. Bernard Lugan, Bernard Antony, Marie-Claude Monchaux, Michel de l’Hyerres, Anne Merlin-Chazelas, le marquis d’Olmetta, Nicolas Bonnal, François Brigneau, ADG, Aramis… Croyez-moi, c’est autre chose que des noms sur des couvertures de livres. C’était l’art de Serge de nous faire tous cohabiter sans heurts, et Dieu sait qu’il n’y avait rien de moins facile, car, tous autant que nous étions, on était du genre à avoir notre caractère : les deux Bernard ne sont plus à présenter dans ce registre, François Brigneau a été l’un des rares dans nos milieux à balancer publiquement ses quatre vérités – fortement déplaisantes - à Le Pen en personne, Nicolas Bonnal, chat philosophe, avait le coup de patte cynique. Le marquis d’Olmetta avait l’habitude savamment entretenue de lancer dans telle ou telle réception aussi mondaine que compassée des remarques aussi cinglantes que justes faisant l’effet de la glace à la vanille tombant dans le plat d’épinards. Solide matrone, Anne-Marie Chazelas était la preuve que la Maison d’Education des Jeunes Filles de la Légion d’Honneur fabrique autre chose que des oies blanches et quand vous aviez le malheur de soliloquer contre le trône, l’autel et le peuple élu, elle vous rossait épistolairement d’importance ! Marie-Claude Monchaux, la meilleure illustratrice pour enfants de tous les temps, que l’on imagine dame effacée devant ses pastels et ses feuilles ayant jadis été une petite fille modèle aux robes impeccables et nattes enrubannées, était une fillette pour le moins rude : rentrée chez elle en larmes et en sang, elle désigna comme auteur de son chagrin les fils du voisin. Furieux, son père se rendit chez le coupable pour s’entendre dire par le géniteur d’icelui : « Ah c’est vous le père de la petite tigresse ? Venez voir dans quel état elle a mis mon fils… », car si les larmes étaient les siennes, le sang était celui de l’un des garçons qu’elle avait frappé… Quant à ADG, ses relations avec Serge oscillaient entre l’excellente et la rupture en fonction de leurs évolutions d’humeur. L’énumération ne serait pas complète sans l’auteur de ces lignes, qui, entre deux envolées romantiquement fascistes sur la beauté des Bundesmädel à nattes blondes, la pureté de l’Europe Nouvelle et le courage de ses combattants, prend la plume pour solutionner métaphoriquement de manière finale ceux qui lui bavent sur les rouleaux en murmurant : « Toi mon salaud, tu ne vas pas regretter le voyage, tu vas te retrouver à faire du travail manuel en Pologne sans comprendre ce qui t’arrive… »

Par Radio Courtoisie, par Le Libre Journal, j’ai rencontré grâce à Serge des gens uniques. C’était l’une de ses marques de fabrique, cette ouverture d’esprit, cet éclectisme intellectuel qui lui faisait s’intéresser à tous les domaines des sciences, de l’histoire, de la culture. Le Libre Journal du mercredi était devenu le havre, le port d’attache des tous les dissidents. Sous la tutelle de « Obiwan Beketchi », le jeune Jedi finissait sa formation. Serge était l’ennemi de l’obscurantisme mafieux qui a asservi la recherche au dogme. Il y avait un mot qu’il détestait par dessus tout : censure. En politique, en religion, en histoire, Serge pratiquait la politique du micro ouvert. Tout le monde, dans la mesure où le discours était argumenté et étayé, avait le droit à la parole. Avec Serge, tout était merveilleusement possible, même l’inconcevable. Un mercredi, il s’aperçoit avec horreur qu’il avait invité dans la même émission le fils de Grossouve, « suicidé » sous Mitterrand, et Dominique Erulin, sur la tête duquel l’Elysée avait mis un contrat, supervisé par… de Grossouve. Les deux arrivent. Le fils de Grossouve, gentil jeune homme timide et svelte. Erulin, massif et sanguin… Et là, l’incroyable se produit : le baroudeur serre avec vigueur la main de son vis-à-vis en lui disant : « Tu n’es pas responsable de ton père ». Pendant l’émission, Erulin le dur à cuire fut d’ailleurs ému par le témoignage du fils orphelin d’un ennemi abattu sur ordre du bananier en chef adepte de la phrase « les morts ne parlent pas ». Jean Ferré a résisté à toutes les pressions, et Dieu sait qu’il y en eut, de la part des coteries en place pour éliminer Serge. Grâce à Serge, j’ai découvert le professeur Faurisson (dont Serge, engagé pourtant dans Tsahal en 1967 fut l’un des plus grands défenseurs), j’ai pu « tester » le commandant Bunel et voir si c’était du lard ou du cochon, je me suis lié d’amitié avec le docteur Dor et avec Hervé Ryssen, j’ai découvert des scientifiques aussi brillants que persécutés et des hommes et femmes politiques sous un jour inédit (notamment une Catherine Mégret d’une gentillesse extrême avec un humour décapant, venue à la radio avec sa petite Bertille qui, lorsque Serge lui posa la question volontairement piégée « dis bonjour au micro » répondit ce qu’on attendait d’elle : « Bonjour micro ! »). Il m’a aussi permis de rencontrer son fils Emeric, devenu parrain d’un de mes fils et mon véritable alter-ego. Je ne sais pas qui remplacera Serge, mais je lui souhaite bien du courage.

Car Serge nous manquera à tous et à toutes. Avec la mort de Jean Ferré, Radio Courtoisie a perdu son cerveau, avec celle de Serge de Beketch, elle perd son cœur. Même si j’ai la chance d’avoir encore mes deux parents, aujourd’hui je ressens ce que c’est que d’être orphelin. A « maman » Danièle, à Emeric mon « plus que frère », à Cyril « le frère qui a réussi », j’associe mes prières les plus filiales et fraternelles. Serge ne mourra jamais dans nos cœurs et son souvenir, lui, est aussi immortel que l’Académicien qu’il aurait mérité d’être. Que l’Etat romanesque de Tradiland décrète trois jours de deuil national.

Labels: droite nationale, Tradiland
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Sam 29 Oct - 7:09

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/la-nouvelle-génération-de-catholiques-na-pas-peur.html

26 octobre 2011

La nouvelle génération de catholiques n'a pas peur

Alors que dans Le Monde daté de demain, plusieurs articles sont consacrés aux manifestations contre la christianophobie (le quotidien prenant évidemment parti pour le spectacle scato-christianophobe, financé notamment par... le président du Monde, Pierre Bergé), Hélène Julien écrit sur Nouvelles de France :

"Entre les jeunes chrétiens d’Irak, les Coptes, nos jeunes de France, et ceux du monde entier, n’existe aucune différence : vivre en chrétien dans la Cité, requiert leur courage sans pareil, et les convictions inhérentes à leur Foi mettent en danger leur vie, leur âme, et leur liberté. Le Père Daniel Ange, dans un de ses enseignements, exhortait les jeunes à devenir des « héraults de la Foi », en s’engageant à témoigner pour le Christ, par une vie en cohérence avec les recommandations de l’Eglise.

Il s’agit d’une bataille entre l’individualisme, pur produit du pluralisme selon Bourdieu, et le Credo de l’Eglise universelle. L’un revendique la glorification du moi, la satisfaction de tous les penchants humains, l’épanouissement à tous prix, tandis que la vie chrétienne propose de s’oublier soi-même pour notre prochain, à tenir bon dans ses convictions, en dépit des lois mises en place par la société, qu’il s’agisse de l’avortement, ou des lois plus tacites, qui stigmatisent comme anormaux les choix de pureté, de famille nombreuse, du refus du péché…

Quand les jeunes se rendent en masse pour prier et témoigner devant le Théâtre de la Ville, il ne s’agit plus seulement de défendre l’Honneur du Christ. Son image, souillée, moquée, leur rappelle douloureusement les difficultés à témoigner, à cause de cette christianophobie, de plus en plus marquée par les différences de traitement, qui leur sont réservées. En effet, à l’école, à la fac, dans les écoles, les jeunes sont muselés, face aux enseignants et entre eux, n’osant pas toujours aller à contre-courant, de peur d’être taxés d’extrémistes, ce mot-barrage facile organisé par les politiques républicaines et médiatiques.

Certes, on ne guillotine plus de nos jours en France. Mais on charrie, on insulte, on persécute insidieusement : osera-t-on nous dire qu’on peut, par exemple, plaider contre l’avortement, en tant qu’étudiant en journalisme, en tant qu’élève d’une faculté, en tant que médecin, infirmier, en tant que professeur des écoles ? Les tabous sont mis en place, et ils s’articulent autour de la petite sœur, non moins mesquine, de l’ancienne déesse Raison : la Tolérance. [...]
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Dim 30 Oct - 17:50

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/mgr-centène-nous-encourage-à-témoigner.html

27 octobre 2011

Mgr Centène nous encourage à témoigner

Extrait d'une intervention de Mgr Centène lors d'un colloque sur les chrétiens persécutés, le 15 octobre :

"Notre société, jadis chrétienne, tend à devenir païenne. Elle perd la notion du sens de l’existence, du sens des actions pour sombrer dans un nihilisme mortifère et désespérant où chacun est invité à se créer son propre but, sa propre fin et donc son propre chemin pour y parvenir. Elle perd la notion de vérité, en se fourvoyant dans un relativisme où toute pensée ne serait qu’opinion, chacune valant bien l’autre puisque le jugement ultime revient à l’esprit créateur de vérité de chacun. « A chacun sa vérité ». Elle perd la notion de sacralité de la vie, et particulièrement de la vie humaine, en prétendant être maîtresse de la vie et de la mort, en prétendant pouvoir décider qui doit vivre, qui doit mourir, et quand. Ces trois notions, celle du sens, celle de la vérité et celle de la vie, sont, aujourd’hui, dans notre monde occidental, les trois points fondamentaux desquels nous devons témoigner, quitte à être marginalisés ou moqués parce que nous ne serions pas dans l’esprit du temps.

Mais si nous sommes dans le monde, et que le Christ est bien mort et ressuscité pour sauver le monde, nous ne sommes pas du monde, au sens où nous ne devons pas chercher à épouser les idées du monde, sous le faux prétexte de l’irénisme, mais en réalité par amour propre mondain, par peur ou par manque de lucidité.

Face aux maîtres du soupçon, face à Nietzsche, face à Sartre, face à Foucault et autres Onfray, face à tous ceux qui essaient de nous faire croire qu’il n’existe aucun sens à rien, que l’absurde est la seule explication du monde, face au désespoir qui s’insinuent chez des générations entières qui n’ont plus de rêve, nous devons sans cesse, à temps et à contretemps, réaffirmer qu’il y a un chemin de bonheur pour l’homme, un chemin qui mène à la vie et que ce chemin de bonheur s’appelle Jésus-Christ. Saint Paul écrivait il y a deux mille ans : « Un temps viendra où l'on ne supportera plus l'enseignement solide ; mais, au gré de leur caprice, les gens iront chercher une foule de maîtres pour calmer leur démangeaison d'entendre du nouveau » (2 Tm 4; 3).

Face au relativisme, conséquence de l’idéologie nihiliste de l’absurde, qui voudrait que l’esprit humain soit créateur du réel, que chaque esprit humain soit créateur de son propre réel, faisant sombrer l’homme dans l’individualisme et l’égocentrisme, un individualisme et un égocentrisme mortels puisque par nature l’homme est un être de relation, fait pour aimer Dieu et ses frères, nous devons sans cesse, à temps et à contretemps, réaffirmer qu’il existe une unique vérité, une unique vérité libératrice (cf. Jn 8; 32), et que cette vérité s’appelle Jésus-Christ.

Face à la culture de mort qui empoisonne notre société, faisant des êtres les plus faibles, comme l’enfant à naître et le vieillard sans défense, des boucs émissaires de notre propre folie, dont la vie et la mort dépendraient de notre décision, nous devons sans cesse, à temps et à contretemps, réaffirmer la sacralité de la vie car il n’y a qu’un seul auteur et maître de la vie et que cet auteur et maître de la vie s’appelle Jésus-Christ.

Il en va du salut de nos sociétés, il en va du salut du monde, il en va de notre propre salut. Alors, que toute notre vie, nos paroles et nos actes, soient un vivant et joyeux témoignage du Christ. Ainsi, au jour de notre mort, où toute vérité sur nous-mêmes sera amenée en pleine lumière, à la question que le Seigneur me posera : « Qu’as-tu fait du temps que je t’ai donné sur la Terre ? », je pourrai répondre en vérité : « Seigneur, J’ai lutté pour vous être fidèle, pour être votre témoin »."

Posté le 27 octobre 2011 à 14h26 par Michel Janva
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Her Mar 29 Nov - 10:44

http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/29/1227334-tarbes-plainte-de-4-policiers-pour-harcelement.html

PUBLIÉ LE 29/11/2011 08:00 - MODIFIÉ LE 29/11/2011 À 10:34 | THIERRY JOUVE
Tarbes. Plainte de 4 policiers pour "harcèlement"

Renaud Bavouzet et Cédric Delage, de l'Unsa police, soutiennent la démarche des policiers tarbais./Photo DDM, L.D.

Partager
Quatre policiers du commissariat de Tarbes viennent de déposer plainte auprès du procureur de la République pour « harcèlement moral » contre Brigitte Pommereau, directrice départementale de la sécurité publique, et son adjoint, François Frémaux.

« Si l'on s'engage dans cette procédure, c'est que l'on sait où l'on va. On a des preuves de ce que l'on avance. »

Quatre policiers du commissariat de police de Tarbes viennent de déposer plainte - le 17 novembre auprès du procureur de la République - pour « harcèlement moral » contre Brigitte Pommereau, directrice départementale de la sécurité publique (DDSP), et son adjoint le commandant François Frémaux. C'est extrêmement rare, dans la police, que des policiers, qui plus est de la base, attaquent au pénal leur hiérarchie. Ce n'est pas le genre de la maison où, en général, on règle les différends en interne. « On aurait préféré que les choses se règlent autrement », indiquent les policiers, mais, selon eux, devant le refus de dialoguer de la hiérarchie, ils n'avaient pas d'autres choix que la voie judiciaire.

DÉCISIONS DU PARQUET CONTESTÉES

Les quatre policiers - tous officiers de police judiciaire - qui se rebiffent appartiennent au Groupe d'appui judiciaire (le GAJ), une nouvelle unité créée le 1er avril dernier et qui traite le « petit judiciaire » : petits vols, violences légères, etc. Ils sont six dans le groupe. Ils dénoncent la politique du chiffre de la hiérarchie et la pression qu'elle exerce sur les fonctionnaires pour y parvenir et ainsi gonfler le « fameux taux d'élucidation ».

L'un d'eux raconte : « Quand nous traitons une affaire, nous informons le parquet qui décide ou non de poursuivre. Quand le parquet classe sans suite, le commandant Frémaux nous demande parfois d'effectuer des actes complémentaires. Il conteste la décision du parquet ». Pris entre le marteau et l'enclume, les policiers ne savent plus quoi faire.

Autre cas de figure. « On nous pousse à faire des comptes rendus d'enquête (CRE). En principe, on ne fait un CRE que lorsque l'auteur des faits est identifié. Le problème, si l'on écoute notre hiérarchie, c'est qu'une personne va se retrouver fichée dans le système de traitement des infractions constatées (STIC) alors qu'il n'est pas prouvé qu'elle a fait quoi que ce soit. Tout cela parce que les CRE boostent le taux d'élucidation ».

DEMANDES DE MODIFICATIONS DE PROCÉDURES

Les policiers portent ensuite des accusations plus graves contre leur hiérarchie. « Pour qu'une affaire tienne devant le parquet, on nous demande - ce que nous avons toujours refusé de faire - de modifier des procédures, de reprendre des P.V. d'interpellation par exemple, ce qui équivaudrait à faire des faux ». Les membres du Groupe d'appui judiciaire expliquent que ces « ordres » ne se font, bien sûr, « jamais par écrit ».

Joints par nos soins, Brigitte Pommereau et François Frémaux, tenus par le devoir de réserve, n'ont pas souhaité s'exprimer sur ce dossier délicat.

La plainte est sur le bureau de Chantal Firmigier-Michel, procureur de la République, qui devrait probablement saisir sans tarder l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).

L'Unsa soutient la démarche des policiers
« Ce n'est pas une manœuvre syndicale », indique, en préambule, Cédric Delage, secrétaire régional UNSA police. « Les quatre policiers qui ont porté plainte appartiennent tous à un syndicat différent. » Cédric Delage souligne « le courage » de ces fonctionnaires qui osent mettre en cause leur hiérarchie, avec les conséquences que cela peut avoir sur leur carrière. Pour lui, cela illustre le malaise de la police nationale en proie notamment aux manques de moyens et à la politique du résultat. Il explique que cette démarche libère la parole au commissariat de Tarbes. Un fonctionnaire d'un autre service s'apprête également à déposer plainte contre la hiérarchie. « Nous soutenons cette démarche et serons très attentifs à ce dossier. Nous souhaitons qu'il y ait une enquête de l'IGPN, et à l'issue de cette enquête, notre organisation syndicale prendra ses responsabilités vis-à-vis des autorités tarbaises », indique Cédric Delage.
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai Empty Re: La Ruine de la France - Des Femmes et des Hommes Courageux qui Agissent et qui Parlent Vrai

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum