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Message par Her Jeu 12 Mai - 7:03

http://www.polemia.com/article.php?id=3778

Le : 08 Mai 2011
ENA : Vive les mutins de Panurge !

La présidente du jury de l’ENA, Michèle Pappalardo, a réussi à faire parler d’elle… en dénonçant « le conformisme des candidats ». Un élève de l’ENA lui répond ici avec insolence : « Les prétendus non-conformistes que le jury semble appeler de ses vœux sont des rebelles de bac à sable. L’Union européenne, les droits de l’homme et la diversité : voilà les valeurs cardinales furieusement subversives qu’il faut afficher pour plaire au jury ». Un jury présidé par un « commissaire au développement durable », par ailleurs femme de député UMP : la subversion est en marche ! Polémia

La presse s’intéresse généralement assez peu aux rapports rédigés chaque année par les présidents du jury du concours d’entrée à l’ENA. Et pour cause : techniques, austères, prévisibles, ceux-ci ne présentent que peu d’intérêt pour des journalistes qui se reconnaissent dans des « valeurs » aux antipodes de celles qu’ils prêtent à l’ENA et à la grande majorité de ses élèves. Michèle Pappalardo (ancienne élève de l’ENA, promotion « Droits de l’Homme »), dernière présidente en date, croit avoir trouvé la solution imparable pour dépoussiérer l'image de l'école : « Nous n’avons pas été éblouis, en règle générale, par l’originalité des candidats, à commencer par leur apparence vestimentaire. A part un corsage, deux vestes et une cravate colorées et un seul pantalon de velours… tous les autres candidats étaient en costume-cravate et tailleur noir ou anthracite, voire bleu marine ». Et de regretter comme il se doit le conformisme, la faible représentation des candidats issus de la « diversité » et des femmes. Le Monde, par l'intermédiaire d'Olivier Rollot, s'enthousiasme : « La présidente du jury taille un costard aux candidats dans son rapport » et lance une incantation libératrice : « Concours de l’ENA, sortez du moule ! » Et pourtant… !

Rebelles de bac à sable et pensée unique

Ayant eu la chance de réussir le concours après avoir été confronté à ce jury lors du Grand Oral, je peux aisément affirmer que ces incitations au « non-conformisme » sont trompeuses : les prétendus non-conformistes que le jury semble appeler de ses vœux sont des rebelles de bac à sable, qui, loin de se démarquer de la pensée unique, affirment le plus bruyamment son attachement à celle-ci et à ses fausses évidences. L’Europe, les droits de l’homme et la diversité : voilà les valeurs cardinales furieusement subversives que nous devions afficher pour décrocher notre admission. Le catéchisme rêvé des tenants du politiquement correct ! Le candidat modèle est celui qui se garde des « dérapages populistes et autres survivances des égoïsmes nationaux », et livre au jury des « réponses authentiques, empreintes de tolérance et d’ouverture d’esprit », tout en sachant « exercer sa vigilance citoyenne à bon escient ». Et notre habitus, construit au sein de l’école du roi Richard (Descoings, le patron de Sciences-Po), a fait le reste pour nous permettre de débiter ces sottises sans l'esquisse d'un sourire !

L’ENA, devenue la porte d’entrée des élites mondialisées

Contrairement aux poncifs de la pensée dominante, l'ENA n'est plus l'école de la bourgeoisie traditionnelle et des valeurs auxquelles on l’identifie (sens de l'Etat, autorité, conservatisme moral) : c'est au contraire l'une des portes d'entrée favorites des élites mondialisées, dont le rêve est la liquidation de l'Etat Nation !

Depuis peu, l'ENA s'est autobaptisée « L'Ecole européenne de gouvernance » ! Tout est dit : européenne et non plus nationale ; gouvernance (ce concept par lequel « l'élite » technicienne et médiatique souhaite écarter le peuple de la réalité du pouvoir), au détriment de la conception traditionnelle de l'administration dont la soumission au politique (et donc au peuple) et la neutralité avaient fait de la France une référence pour de si nombreux pays.

Mme Pappalardo veut banaliser l'ENA comme Descoings a vulgarisé Sciences-Po, devenue aujourd'hui une « Business School » comme une autre. Elle déplore les lacunes historiques des candidats, tout en ayant une vision anglo-saxonne et post-historique de l'ENA : « Dieu rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes », disait Bossuet…

L’ENA devrait être l’école de la tradition et de l’avenir

L’ENA devrait être l’école de la tradition (références à l’histoire de France et à ses figures, volonté de perpétuer un modèle national façonné par l’Etat) et de l’avenir : elle n’est désormais que l’école du présent, fascinée par son époque, par les autres pays (« N’innovons pas, imitons ») et leurs élites issues de la grande révolution culturelle libérale-libertaire des années 1970.

Christopher Lasch, dans son remarquable ouvrage La Révolte des élites, écrivait ceci il y a plus de quinze ans : « Les élites hédonistes assoient leur pouvoir sur le culte de la marge et sur un fantasme de l’émancipation permanente. Alors qu’elles sont responsables des normes imposées à la société, leurs comportements consistent à feindre d’être hors norme. Cette dialectique permanente de la norme et de la marge est celle de notre temps. »

Des écoles de journalisme au monde de la culture en passant par l’Ecole nationale d’administration, les « rebellocrates » et les « mutins de Panurge » chers à Philippe Murray rivalisent en effet de non-conformisme… !

Antonin Coignet
5/05/2011

Antonin Coignet est le pseudonyme d’un élève de l’ENA – promotion Marie Curie.

Correspondance Polémia – 8/05/2011

Image : Michèle Pappalardo, commissaire générale au Développement durable

Antonin Coignet
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Message par Her Jeu 12 Mai - 7:06

http://www.polemia.com/article.php?id=3756

Le : 03 Mai 2011

Les experts de l'oligarchie, ces imposteurs

Dans les grands médias on oppose les « experts », gens « sérieux » et « raisonnables », aux « populistes » présentés comme des « démagogues irresponsables ». Michel Geoffroy fait ici éclater l’imposture. Depuis trente ans les « experts », de bonne foi ou non, se sont toujours trompés. Ils n’ont su ni expliquer ni maîtriser les flux migratoires, la montée de l’insécurité, l’explosion de la dette. Ces « sachants » ne sont que des « parlants », aussi arrogants qu’incompétents. Michel Geoffroy, qui les connaît de près, donne ici libre cours à sa verve.
Polémia

La superclasse dirigeante aime se draper dans une image de « crédibilité » et de « compétence », qu’elle oppose, bien sûr, à « l’extrémisme » ou à « la démagogie » de tous ceux qui contestent son action. Ne connaît-elle pas les lois de l’économie mieux que quiconque ? N’a-t-elle pas triomphé du socialisme et de l’histoire ? N’a-t-elle pas rompu avec les terribles erreurs du passé et ne puise-t-elle pas aux meilleures sources du génie anglo-saxon ? Ne sait-elle pas mieux que nous ce qui est bon pour nous (le libre-échange mondialiste) et dangereux pour nous (le protectionnisme) ?

Les Européens en général et les Français en particulier sont de plus en plus nombreux en tout cas à apprécier les « excellents résultats » (!) obtenus dans la durée par leur établissement politique.

Trois exemples où les « experts » au pouvoir ont déjà démontré la plénitude de leurs talents :

Echec sur la maîtrise des flux migratoires d’abord

L’Etablissement politique, cédant au politiquement correct et aux demandes insistantes du patronat, n’a cessé d’encourager l’immigration de peuplement, faute de savoir l’empêcher.

Malgré les déclarations périodiquement faites lors des consultations électorales – comme en témoignent les propos récents du ministre de l’Intérieur – en faveur d’un arrêt ou d’une maîtrise de l’immigration, les gouvernants se sont en réalité montrés incapables d’une quelconque régulation ni à l’échelle nationale, ni à celle de l’Europe. L’immigration n’est pas plus « choisie » aujourd’hui qu’hier. Elle s’impose toujours plus, à Lampedusa comme à Saint-Denis ou à Marseille. Nos experts ont, il est vrai, trouvé la solution : naturaliser et régulariser les immigrants, légaux ou non, par les artifices les plus divers, c’est-à-dire créer des Français de papier qui peuvent ainsi sortir des… statistiques, à défaut de quitter le territoire. Il fallait y penser. C’est à cela que l’on distingue un expert d’un démagogue.

Echec sur la sécurité publique ensuite

Dans ce domaine également, les résultats de l’oligarchie sont « excellents » (!). Le marché de la vidéosurveillance se porte très bien, comme les effectifs policiers et surtout des agents de sécurité ne cessent d’augmenter. La délinquance, elle, ne diminue nullement. L’âge des délinquants baisse. Les violences contre les personnes augmentent et les récidivistes continuent de courir les rues. Quel succès pour les « super-flics » qui nous gouvernent : plus on met de moyens moins on obtient de résultats ! Il faut dire que l’oligarchie continue d’adopter une vision rousseauiste de la société et laisse les juges préférer les criminels aux victimes. Il paraît que cela serait conforme à nos « valeurs ». Et malgré la multiplication des radars en tous genres (encore un fructueux marché) on découvre même que le nombre de morts sur la route ne diminue pas. Encore bravo !

Echec sur la maîtrise des finances publiques enfin

Les déficits publics n’ont cessé de progresser depuis trente ans. Ils atteignent aujourd’hui un niveau jamais atteint par notre pays en temps de paix. Alors que nos principaux voisins européens sont capables de réduire leurs dépenses publiques, nos « experts », eux, n’y arrivent toujours pas. Ils prétendent « réformer l’Etat », mais ils sont incapables de faire ce que font même les Portugais, les Grecs ou les Roumains, sans parler des Allemands : faire de vraies économies sur le train de vie de l’Etat. On fête cette année les dix ans de la nouvelle loi organique relative aux lois de finances, la fameuse LOLF censée favoriser la « responsabilisation » spontanée des gestionnaires et les contrôles du Parlement.

Le résultat est là aussi excellent : avec la RGPP on a supprimé des emplois en ne remplaçant pas un fonctionnaire sur deux dans presque toutes les administrations d’Etat. Mais cette année dans la plupart des grands ministères il n’y aura pas assez de crédits de rémunérations pour payer les fonctionnaires, sans rallonge budgétaire en fin d’année. Il y a même des ministères qui risquent de dépasser leur plafond d’emploi fixé par la loi de finances. Donc moins il y a de fonctionnaires, moins on peut les payer. Une performance exceptionnelle en Europe.

Echec aussi sur la santé, la ville, l’éducation nationale, le chômage

Il faut, bien sûr, être juste : ces trois exemples sont loin de résumer les « excellents résultats » (!) obtenus d’une façon générale par les experts de l’oligarchie. On pourrait citer aussi à leur actif, par exemple, les performances de l’éducation nationale, la réduction du chômage, la maîtrise des dépenses de santé ou bien encore les acquis remarquables de la « politique de la ville » dans notre pays.

Ces exemples montrent en tout cas que nos « experts » autoproclamés, en réalité, ne maîtrisent rien du tout. Ils ne savent rien, ils ne peuvent rien : ils ne sont experts qu’en communication.

Les médias du Système nous les montrent à l’envi escaladant les marches du Palais de l’Elysée un dossier à la main pour le conseil des ministres, l’air important, ou bien nous parlant doctement des dangers du réchauffement climatique ou de ceux de la dépendance, ou se faisant photographier à l’issue du G20, le sourire de circonstance aux lèvres.

Les « sachants » ne sont que des « parlants »

Mais ces prétendus « sachants » ne sont en réalité que des « parlants ». Gribouilles impuissants, de surcroît, car ils ne sont experts qu’en poudre de Perlimpinpin.

A côté d’eux, les éphémères ministres de la Troisième ou de la Quatrième République nous semblent maintenant des géants de compétence et d’efficacité.
René Coty, réveille-toi, ils sont devenus fous !

Michel Geoffroy
29/04/2011

Correspondance Polémia – 3/05/2011

Image : Ç'est ben vrai ça !

Michel Geoffroy
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Message par Her Jeu 12 Mai - 7:08

http://www.polemia.com/article.php?id=3737

Le : 21 Avril 2011

La NON-démocratie française

Officiellement la France est une démocratie. De fait, le peuple élit ses parlementaires et le président de la République. Mais cela n’a guère de conséquences pratiques. Sur les sujets essentiels, le peuple n’est pas consulté. Or l’expérience des référendums dans les pays voisins (Suisse, Islande, Allemagne notamment) montre que le peuple ne vote pas comme les élites dirigeantes le souhaitent.

Aides aux banques : le modèle islandais

Lors de la crise financière l’Etat français a apporté 110 milliards d’aide aux banques. Le gouvernement français a, certes, agi comme tous les autres gouvernements occidentaux qui ont transféré aux contribuables les dettes privées imprudentes des banques. Mais en Islande, le seul pays où il y a eu un référendum sur ce sujet, plus de 90% des électeurs se sont prononcés contre la prise en charge des dettes de la banque Icesave. Mis sous pression des créditeurs britanniques et hollandais, le gouvernement islandais a tenté de passer en force et de payer quand même. Les Islandais se sont à nouveau opposés au règlement moins défavorable qui leur était proposé. Cette fois par 60% des suffrages.

Frein à l’immigration : le modèle suisse

Les gouvernements successifs ont imposé aux Français une immigration croissante sans solliciter leur avis ni même leur dire officiellement la politique qui était conduite. De même, les Français n’ont pas été consultés lorsqu’en 2003 le gouvernement a décidé de permettre le maintien en France des étrangers criminels. Les Français ne sont pas davantage consultés lorsqu’il s’agit de construire sur terrains et fonds publics de grandes mosquées. Il en va différemment en Suisse : le peuple s’y est prononcé par référendum pour le renvoi des étrangers criminels et pour l’interdiction de mosquées avec minarets (c'est-à-dire de ces grandes mosquées qui poussent partout en France). De même les Suisses vont probablement être appelés à se prononcer sur un référendum visant à limiter à 0,2% de la population le taux d’immigration ; un référendum demandé cette fois par les écologistes dans le but d’éviter le surencombrement de la Suisse.

Choix environnementaux : le modèle allemand

La démocratie en Allemagne est fort loin d’être parfaite puisque la police fédérale (comme l’ancienne STASI) peut infiltrer certaines formations politiques à des fins de provocations. Mais en matière d’environnement les électeurs peuvent se prononcer sur des sujets concrets. Ainsi les électeurs de Garmisch-Partenkirchen se prononceront le 8 mai 2011 sur la tenue des Jeux olympiques d’hiver à Munich. Un choix démocratique qui ne sera pas offert aux électeurs d’Annecy ou de Chamonix. De même les Parisiens n’auront aucunement la possibilité de se prononcer par référendum sur le bien-fondé de la construction de tours de grande hauteur à Paris.

Choix européens : le précédent du vote sur le Traité constitutionnel

Il est vrai que les Français ont pu se prononcer par référendum en 2005 sur le Traité constitutionnel européen. Ils l’ont refusé. Deux ans plus tard et sous le nom de Traité de Lisbonne le même texte était adopté par le Parlement. Un déni de démocratie exemplaire.

La réforme constitutionnelle : plus de pouvoirs aux juges, moins de pouvoir au peuple

Deux réformes majeures caractérisent la révision constitutionnelle française de 2008 :

-officiellement, le référendum d’initiative populaire est possible mais à des conditions… impossibles : obtenir la signature de 20% des parlementaires et de 10% des électeurs sur un texte préalablement validé par le Conseil constitutionnel ; un parfait faux-semblant ;

-officiellement, tous les citoyens pourront saisir le Conseil constitutionnel de la constitutionnalité des lois via la Cour de cassation ; en pratique, cela revient à renforcer le pouvoir des juges au détriment du pouvoir des parlementaires représentant le peuple.

L’intolérance d’une caste médiatique de plus en plus hostile à la démocratie

La démocratie suppose la liberté du débat et la libre information des électeurs. Ces conditions ne sont plus réunies. A quelques très rares exceptions près (Ménard, Zemmour) l’ensemble de la caste journalistique défend de manière militante le politiquement correct et frappe d’interdits certains sujets. Fait nouveau : des journalistes régulièrement invités sur les grands médias justifient la censure. Lors de l’émission « On refait le monde » du 29 novembre 2010, sur RTL, Anne-Sophie Mercier, journaliste à Charlie-Hebdo, fait part de son indignation sur le vote suisse sur le renvoi des étrangers criminels et déclare : « Je suis pour une société de tabous. Je ne suis pas pour une société de la parole libérée. Je ne suis par pour qu’on donne la parole au peuple ». De même Ariane Chemin du Nouvel Observateur a déclaré à l’émission « Mots croisés », sur France 2, le 11 avril 2011 : « Pourquoi as-tu (Robert Ménard) besoin de parler de la peine de mort ? C’est navrant que la première radio de France t’emploie à dire cela ». Dans le même ordre d’idée, il est choquant que Robert Ménard ait été sommé, le 18 avril 2011, sur Canal+, de dire qu’il ne votait pas Front national. Il y a là l’aveu de la part de la caste médiatique de l’existence d’un système d’interdit professionnel, peu différent de celui pratiqué par les régimes totalitaires.

Loin d’être anecdotiques, ces faits sont significatifs : ils révèlent la coupure croissante des élites dirigeantes vis-à-vis de la démocratie et de la souveraineté du peuple.

Andrea Massari
Polémia
21/04/2011

Image : Signé à Lisbonne le 13 décembre 2007 par les 27 chefs d'États de l'UE, le Traité de Lisbonne a été ratifié par voie parlementaire dans 25 des 27 États européens, après avoir été rejeté par les Français par voie référendaire en 2005.

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