Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE :: DEFENSE DE NOTRE FOI, DE LA SAINTE EGLISE ET DU SAINT PERE
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Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://www.civitas-institut.com - http://www.francejeunessecivitas.com
Appel à la Manifestation Nationale contre la Christianophobie !
Nous nous faisons l’écho de l’appel à la mobilisation générale des consciences catholiques contre la christianophobie, et pour cela nous reproduisons in extenso le message d’Alain Escada, le secrétaire général de l'Institut Civitas, afin de soutenir cette action légitime et justifiée, de sorte de protester contre les attaques scandaleuses et les ignobles blasphèmes perpétrés contre le Christ, lors de la grande manifestation organisée samedi 29 octobre à Paris à 18h place des Pyramides.
Pour la Gloirede Dieu, l’honneur de Jésus-Christ et le respect de la sainte religion chrétienne !
Tous présents le 29 octobre à Paris pour défendre le Christ outragé !
Chers amis,
Le samedi 29 octobre prochain, une grande manifestation nationale contre la christianophobie partira à 18h de la place des Pyramides à Paris.
Une manifestation de plus ? Et, qui plus est, un week-end de vacances pour beaucoup de Français ? Oui, mais les faits l'imposent. Quelle serait donc la réalité de notre foi si, sachant que le Christ se fait insulter, nous choisissions, imperturbables, de préférer prendre la direction de la campagne plutôt que de nous joindre à cette démonstration publique de notre attachement à Celui qui est mort sur la Croix pour notre rédemption ?
Et c'est bien de cela qu'il s'agit. Deux spectacles, "Golgota Picnic" et "Sur le concept du visage du fils de Dieu", insultent et humilient le Christ. Deux spectacles en tournée dans différentes villes de France, grâce à l'argent du contribuable, via des subventions publiques, ainsi qu'à l'aide de mécènes attirés par diverses fumisteries pseudo-artistiques aux relents sulfureux. Quelques mois à peine après l'affaire du "Piss Christ", cette photographie sordide d'un crucifix plongé dans un récipient d'urine de "l'artiste", pièce maîtresse d'une exposition d'art contemporain bénéficiant également de plantureuses subventions publiques.
Si ceux qui affirment aimer le Christ devaient rester impassibles devant cette succession de provocations antichrétiennes, à quoi devrons-nous nous attendre dans les mois qui suivent ? L'enjeu est évident : soit la mobilisation chrétienne est d'une telle ampleur qu'elle fait reculer, au moins pour quelques temps, les tenants de la christianophobie; soit la faiblesse des bons permet aux mauvais de s'imposer et nous condamne à subir une accélération de ce déferlement christianophobe.
Car oui, nous vivons un temps de christianophobie.
Lorsqu'une parcelle musulmane ou juive d'un cimetière est profanée, tous les médias et toutes les autorités politiques s'en émeuvent. Mais pas un mot pour rappeler que plus de 90% des profanations de cimetières commises en France concernent des tombes chrétiennes.
Qu'un graffiti insultant apparaisse sur les murs d'une synagogue ou d'une mosquée et toutes les télévisions mettent la France en émoi. Mais aucun journaliste ne signale que la majorité des lieux de culte profanés en France sont des lieux de culte chrétiens.
Imaginez un seul instant qu'en une seule semaine une dizaine de synagogues ou de mosquées soient vandalisées. Le tollé serait tel qu'à travers toute la France on ne compterait plus les cortèges de manifestants scandalisés tandis que les médias multiplieraient les dossiers spéciaux sur un ton unanimement outré. Mais qui s'inquiète que, durant la Semaine Sainte, en un temps particulièrement important pour les Chrétiens, près d'une dizaine d'églises et de chapelles de France furent vandalisées, profanées ?
Voyez aussi le monde de la publicité. On chercherait en vain au cours de ces dix dernières années une campagne publicitaire tournant en dérision un symbole religieux juif ou musulman. Mais les exemples abondent de publicités détournant de façon choquante des éléments propres à la foi catholique.
Des cantines scolaires aux rations militaires, des rayons des supermarchés jusqu'aux hamburgers des chaînes de fast-food, c'est la grande mode des menus halal. Mais combien de responsables de l'autorité publique se font un point d'honneur de servir de la viande le vendredi ou encore de supprimer les crèches de Noël ?
Qu'un humoriste choque la communauté juive et il connaîtra les foudres de la justice et le bannissement télévisuel. Qu'une caricature choque la communauté musulmane et c'est le monde qui s'enflamme. Et, dans les deux cas, cela s'accompagnera d'un consensus réprobateur de tout ce que l'on compte comme autorités morales, philosophes, journalistes, politiques, figures du show-biz et autres tenants de la bien-pensance. Mais que l'on se moque du Christ, que l'on insulte ce qu'il y a de plus sacré pour les chrétiens, que l'on offense les catholiques et voilà que l'on voudrait nous faire passer cela pour de l'art. Qu'un détraqué plonge un crucifix dans un vase qu'il a rempli de son urine, qu'il photographie le tout et voilà que des snobinards décadents décrètent que c'est de l'art ! Qu'un metteur en scène mêle le Christ à ses pensées obscènes et voilà qu'il bénéficie du tremplin de l'un ou l'autre festival de théâtre en vogue.
Mais trop c'est trop. Cette manifestation du 29 octobre prochain est l'occasion de faire entendre notre détermination à faire reculer la christianophobie !
Entretemps, chacun de vous peut et doit contribuer à cette riposte de grande ampleur organisée par Civitas.
Que pouvez-vous faire ?
. Signer la pétition et la faire signer par votre entourage. Pour plus d'informations,
allez sur le site défendonslechrist.org
· Ecrire et/ou téléphoner aux directions des théâtres concernés.
· Ecrire et/ou téléphoner aux institutions accordant des subventions publiques à ces spectacles ainsi qu'aux sociétés privées et fondations leur accordant du mécenat.
· Ecrire aux Evêques de France afin de leur demander de condamner publiquement ces spectacles.
· Écrire aux directions des associations chrétiennes afin de leur demander de soutenir cette mobilisation.
· Écrire aux médias, parce qu'il faut faire de cette mobilisation contre la christianophobie un débat de société.
· Écrire aux élus (sénateurs, députés, conseillers généraux et régionaux, maires, conseillers municipaux) pour dénoncer cet antichristianisme et les subventions publiques qui lui sont accordées.
· Relayer tout cela sur les sites et blogs, les forums de discussion et les réseaux sociaux.
· Coller affiches et autocollants que l'on peut commander au secrétariat de Civitas (liens 1 et 2)
· Distribuer les tracts que l'on peut commander au secrétariat de Civitas.
· Venir à la grande manifestation nationale contre la christianophobie le samedi 29 octobre (rdv : 18h à la place des Pyramides)
· Organiser des cars ou des co-voiturages pour venir de province à cette grande et importante manifestation nationale.
· Participer aux récitations du chapelet qui seront régulièrement organisées devant les théâtres concernés (les informations suivront).
· Participer aux manifestations régionales qui seront organisées (à Toulouse, Rennes et Villeneuve d'Ascq).
· Vous porter volontaire pour les services d'ordre qu'il nous faudra mettre en place lors des diverses manifestations.
· Proposer votre savoir-faire, vos compétences (en informatique, en graphisme, en vidéo, en photo, en sono,...).
· Aider financièrement Civitas à assumer le coût important de cette mobilisation à travers toute la
France jusqu'en décembre (dons en partie déductibles fiscalement).
· Organiser des veillées de prières à travers toute la France.
· Ajouter à vos intentions de prières le recul de la christianophobie, la déprogrammation de ces spectacles, la bonne marche de cette mobilisation et la bienveillante protection de Notre-Seigneur sur tous ceux qui y participent.
Nul ne peut dire qu'il ne peut rien faire. Chacun peut trouver dans cette liste différents moyens de contribuer à cet effort pour défendre l'honneur du Christ.
Je compte sur chacun de vous. Tous présents le 29 octobre à Paris ! Que Dieu nous vienne en aide.
Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas
Institut Civitas
17, rue des Chasseurs - 95100 Argenteuil
01.34.11.16.94 - secretariat@civitas-institut.com
http://www.civitas-institut.com - http://www.francejeunessecivitas.com
Appel à la Manifestation Nationale contre la Christianophobie !
Nous nous faisons l’écho de l’appel à la mobilisation générale des consciences catholiques contre la christianophobie, et pour cela nous reproduisons in extenso le message d’Alain Escada, le secrétaire général de l'Institut Civitas, afin de soutenir cette action légitime et justifiée, de sorte de protester contre les attaques scandaleuses et les ignobles blasphèmes perpétrés contre le Christ, lors de la grande manifestation organisée samedi 29 octobre à Paris à 18h place des Pyramides.
Pour la Gloirede Dieu, l’honneur de Jésus-Christ et le respect de la sainte religion chrétienne !
Tous présents le 29 octobre à Paris pour défendre le Christ outragé !
Chers amis,
Le samedi 29 octobre prochain, une grande manifestation nationale contre la christianophobie partira à 18h de la place des Pyramides à Paris.
Une manifestation de plus ? Et, qui plus est, un week-end de vacances pour beaucoup de Français ? Oui, mais les faits l'imposent. Quelle serait donc la réalité de notre foi si, sachant que le Christ se fait insulter, nous choisissions, imperturbables, de préférer prendre la direction de la campagne plutôt que de nous joindre à cette démonstration publique de notre attachement à Celui qui est mort sur la Croix pour notre rédemption ?
Et c'est bien de cela qu'il s'agit. Deux spectacles, "Golgota Picnic" et "Sur le concept du visage du fils de Dieu", insultent et humilient le Christ. Deux spectacles en tournée dans différentes villes de France, grâce à l'argent du contribuable, via des subventions publiques, ainsi qu'à l'aide de mécènes attirés par diverses fumisteries pseudo-artistiques aux relents sulfureux. Quelques mois à peine après l'affaire du "Piss Christ", cette photographie sordide d'un crucifix plongé dans un récipient d'urine de "l'artiste", pièce maîtresse d'une exposition d'art contemporain bénéficiant également de plantureuses subventions publiques.
Si ceux qui affirment aimer le Christ devaient rester impassibles devant cette succession de provocations antichrétiennes, à quoi devrons-nous nous attendre dans les mois qui suivent ? L'enjeu est évident : soit la mobilisation chrétienne est d'une telle ampleur qu'elle fait reculer, au moins pour quelques temps, les tenants de la christianophobie; soit la faiblesse des bons permet aux mauvais de s'imposer et nous condamne à subir une accélération de ce déferlement christianophobe.
Car oui, nous vivons un temps de christianophobie.
Lorsqu'une parcelle musulmane ou juive d'un cimetière est profanée, tous les médias et toutes les autorités politiques s'en émeuvent. Mais pas un mot pour rappeler que plus de 90% des profanations de cimetières commises en France concernent des tombes chrétiennes.
Qu'un graffiti insultant apparaisse sur les murs d'une synagogue ou d'une mosquée et toutes les télévisions mettent la France en émoi. Mais aucun journaliste ne signale que la majorité des lieux de culte profanés en France sont des lieux de culte chrétiens.
Imaginez un seul instant qu'en une seule semaine une dizaine de synagogues ou de mosquées soient vandalisées. Le tollé serait tel qu'à travers toute la France on ne compterait plus les cortèges de manifestants scandalisés tandis que les médias multiplieraient les dossiers spéciaux sur un ton unanimement outré. Mais qui s'inquiète que, durant la Semaine Sainte, en un temps particulièrement important pour les Chrétiens, près d'une dizaine d'églises et de chapelles de France furent vandalisées, profanées ?
Voyez aussi le monde de la publicité. On chercherait en vain au cours de ces dix dernières années une campagne publicitaire tournant en dérision un symbole religieux juif ou musulman. Mais les exemples abondent de publicités détournant de façon choquante des éléments propres à la foi catholique.
Des cantines scolaires aux rations militaires, des rayons des supermarchés jusqu'aux hamburgers des chaînes de fast-food, c'est la grande mode des menus halal. Mais combien de responsables de l'autorité publique se font un point d'honneur de servir de la viande le vendredi ou encore de supprimer les crèches de Noël ?
Qu'un humoriste choque la communauté juive et il connaîtra les foudres de la justice et le bannissement télévisuel. Qu'une caricature choque la communauté musulmane et c'est le monde qui s'enflamme. Et, dans les deux cas, cela s'accompagnera d'un consensus réprobateur de tout ce que l'on compte comme autorités morales, philosophes, journalistes, politiques, figures du show-biz et autres tenants de la bien-pensance. Mais que l'on se moque du Christ, que l'on insulte ce qu'il y a de plus sacré pour les chrétiens, que l'on offense les catholiques et voilà que l'on voudrait nous faire passer cela pour de l'art. Qu'un détraqué plonge un crucifix dans un vase qu'il a rempli de son urine, qu'il photographie le tout et voilà que des snobinards décadents décrètent que c'est de l'art ! Qu'un metteur en scène mêle le Christ à ses pensées obscènes et voilà qu'il bénéficie du tremplin de l'un ou l'autre festival de théâtre en vogue.
Mais trop c'est trop. Cette manifestation du 29 octobre prochain est l'occasion de faire entendre notre détermination à faire reculer la christianophobie !
Entretemps, chacun de vous peut et doit contribuer à cette riposte de grande ampleur organisée par Civitas.
Que pouvez-vous faire ?
. Signer la pétition et la faire signer par votre entourage. Pour plus d'informations,
allez sur le site défendonslechrist.org
· Ecrire et/ou téléphoner aux directions des théâtres concernés.
· Ecrire et/ou téléphoner aux institutions accordant des subventions publiques à ces spectacles ainsi qu'aux sociétés privées et fondations leur accordant du mécenat.
· Ecrire aux Evêques de France afin de leur demander de condamner publiquement ces spectacles.
· Écrire aux directions des associations chrétiennes afin de leur demander de soutenir cette mobilisation.
· Écrire aux médias, parce qu'il faut faire de cette mobilisation contre la christianophobie un débat de société.
· Écrire aux élus (sénateurs, députés, conseillers généraux et régionaux, maires, conseillers municipaux) pour dénoncer cet antichristianisme et les subventions publiques qui lui sont accordées.
· Relayer tout cela sur les sites et blogs, les forums de discussion et les réseaux sociaux.
· Coller affiches et autocollants que l'on peut commander au secrétariat de Civitas (liens 1 et 2)
· Distribuer les tracts que l'on peut commander au secrétariat de Civitas.
· Venir à la grande manifestation nationale contre la christianophobie le samedi 29 octobre (rdv : 18h à la place des Pyramides)
· Organiser des cars ou des co-voiturages pour venir de province à cette grande et importante manifestation nationale.
· Participer aux récitations du chapelet qui seront régulièrement organisées devant les théâtres concernés (les informations suivront).
· Participer aux manifestations régionales qui seront organisées (à Toulouse, Rennes et Villeneuve d'Ascq).
· Vous porter volontaire pour les services d'ordre qu'il nous faudra mettre en place lors des diverses manifestations.
· Proposer votre savoir-faire, vos compétences (en informatique, en graphisme, en vidéo, en photo, en sono,...).
· Aider financièrement Civitas à assumer le coût important de cette mobilisation à travers toute la
France jusqu'en décembre (dons en partie déductibles fiscalement).
· Organiser des veillées de prières à travers toute la France.
· Ajouter à vos intentions de prières le recul de la christianophobie, la déprogrammation de ces spectacles, la bonne marche de cette mobilisation et la bienveillante protection de Notre-Seigneur sur tous ceux qui y participent.
Nul ne peut dire qu'il ne peut rien faire. Chacun peut trouver dans cette liste différents moyens de contribuer à cet effort pour défendre l'honneur du Christ.
Je compte sur chacun de vous. Tous présents le 29 octobre à Paris ! Que Dieu nous vienne en aide.
Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas
Institut Civitas
17, rue des Chasseurs - 95100 Argenteuil
01.34.11.16.94 - secretariat@civitas-institut.com
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Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/la-croix-ment-sur-la-position-des-eveques-quant-aux-spectacles-blasphematoires
La Croix ment sur la position des évêques quant aux spectacles blasphématoires
28 octobre 2011 | Enregistrer sous: Communication P,Eglise en France,Perepiscopus | Publié par: Maximilien Bernard
Dans un article récent, le quotidien qui se veut catholique écrit :
L’Église de France a pris ses distances avec les débordements orchestrés autour de la pièce « Sur le concept du visage du Fils de Dieu » donnée à Paris
Je ne sais pas ce que signifie précisément l’expression « Eglise de France« , mais cette assertion est dénuée de fondement.
J’ai rappelé ici la petite dizaine de réactions épiscopales à cette pièce de théâtre. Mgr Aumonier, évêque de Versailles, a ainsi engagé les chrétiens à ne pas rester passifs :
Oui, je vous encourage et j’encourage les chrétiens à manifester leur réaction devant les spectacles provocants et insultants à l’égard de notre foi.
Cela a le mérite d’être clair, non ?
Et Mgr Aubertin, évêque de Tours :
Nous ne pouvons qu’encourager les chrétiens à faire part de leurs sentiments.
Ou Mgr Aillet, évêque de Bayonne :
en tout cas, il est du devoir de chaque catholique de défendre le Christ et la sainte Eglise.
Mgr Podvin, porte-parole des évêques de France, a apporté les précisions suivantes :
L’Eglise catholique en France condamne les violences perpétrées lors de récents spectacles.
Mgr Podvin a l’intelligence de ne pas désigner les auteurs des violences. De toute évidence, il s’agit de la police, qui a écrasé le pied d’un manifestant, et qui a raflé tous les manifestants dans des bus pour les emmener au poste. Quelle autre manifestation a fait l’objet d’autant d’interpellations ? Même pas ceux qui prient illégalement dans la rue Myrrha… A ceux qui pensent que l’interruption d’une pièce de théâtre est une violence, il faut rappeler que le théâtre, ce n’est pas du cinéma : dans la tradition théâtrale, les spectateurs peuvent intervenir à tout moment. Charge ensuite aux acteurs de saisir la réplique au bond et de montrer leur talent. Mais quand le talent se résume à faire pipi et caca sur scène…
Mgr Podvin ajoute :
[La CEF] appelle à une liberté d’expression respectueuse du sacré. Elle appelle à un échange avec les élus, concernant cet enjeu. L’Eglise catholique en France n’est, ni intégriste, ni obscurantiste. Les catholiques aspirent, comme citoyens, à être respectés dans ce qui est le cœur de leur foi.
Il est vrai que La Croix a tendance à substituer l’Eglise de France à l’Eglise (qui est) en France, façon de dire que l’Eglise (qui est) en France est à distinguer de l’Eglise (qui est) à Rome. Mais de là à considérer que la position de La Croix est la même que la position de l’Eglise (qui est) en France, il y a un pas que La Croix franchit un peu vite.
Si La Croix ne veut pas prendre ses distances avec les débordements de la fosse sceptique de Castellucci, c’est son problème, pas celui de l’Eglise (qui est) en France.
Addendum : Mgr Centène apporte un soutien très clair à Civitas, faisant mentir ainsi nos journalistes :
Je félicite et j’encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même.
La Croix ment sur la position des évêques quant aux spectacles blasphématoires
28 octobre 2011 | Enregistrer sous: Communication P,Eglise en France,Perepiscopus | Publié par: Maximilien Bernard
Dans un article récent, le quotidien qui se veut catholique écrit :
L’Église de France a pris ses distances avec les débordements orchestrés autour de la pièce « Sur le concept du visage du Fils de Dieu » donnée à Paris
Je ne sais pas ce que signifie précisément l’expression « Eglise de France« , mais cette assertion est dénuée de fondement.
J’ai rappelé ici la petite dizaine de réactions épiscopales à cette pièce de théâtre. Mgr Aumonier, évêque de Versailles, a ainsi engagé les chrétiens à ne pas rester passifs :
Oui, je vous encourage et j’encourage les chrétiens à manifester leur réaction devant les spectacles provocants et insultants à l’égard de notre foi.
Cela a le mérite d’être clair, non ?
Et Mgr Aubertin, évêque de Tours :
Nous ne pouvons qu’encourager les chrétiens à faire part de leurs sentiments.
Ou Mgr Aillet, évêque de Bayonne :
en tout cas, il est du devoir de chaque catholique de défendre le Christ et la sainte Eglise.
Mgr Podvin, porte-parole des évêques de France, a apporté les précisions suivantes :
L’Eglise catholique en France condamne les violences perpétrées lors de récents spectacles.
Mgr Podvin a l’intelligence de ne pas désigner les auteurs des violences. De toute évidence, il s’agit de la police, qui a écrasé le pied d’un manifestant, et qui a raflé tous les manifestants dans des bus pour les emmener au poste. Quelle autre manifestation a fait l’objet d’autant d’interpellations ? Même pas ceux qui prient illégalement dans la rue Myrrha… A ceux qui pensent que l’interruption d’une pièce de théâtre est une violence, il faut rappeler que le théâtre, ce n’est pas du cinéma : dans la tradition théâtrale, les spectateurs peuvent intervenir à tout moment. Charge ensuite aux acteurs de saisir la réplique au bond et de montrer leur talent. Mais quand le talent se résume à faire pipi et caca sur scène…
Mgr Podvin ajoute :
[La CEF] appelle à une liberté d’expression respectueuse du sacré. Elle appelle à un échange avec les élus, concernant cet enjeu. L’Eglise catholique en France n’est, ni intégriste, ni obscurantiste. Les catholiques aspirent, comme citoyens, à être respectés dans ce qui est le cœur de leur foi.
Il est vrai que La Croix a tendance à substituer l’Eglise de France à l’Eglise (qui est) en France, façon de dire que l’Eglise (qui est) en France est à distinguer de l’Eglise (qui est) à Rome. Mais de là à considérer que la position de La Croix est la même que la position de l’Eglise (qui est) en France, il y a un pas que La Croix franchit un peu vite.
Si La Croix ne veut pas prendre ses distances avec les débordements de la fosse sceptique de Castellucci, c’est son problème, pas celui de l’Eglise (qui est) en France.
Addendum : Mgr Centène apporte un soutien très clair à Civitas, faisant mentir ainsi nos journalistes :
Je félicite et j’encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même.
Her- Messages : 9481
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/enorme-succès-de-la-manifestation-ce-soir-au-théâtre-de-la-ville.html
26 octobre 2011
Enorme succès de la manifestation ce soir au Théâtre de la Ville
Lu sur le FC :
"Rentrant de la place du Chatelet où plus de 700 personnes priaient devant le théâtre du Chatelet, sur le terre-plein central de la place, je viens d'apprendre que la manifestation s'est bien terminée, les forces de l'ordre ne sont pas intervenues.
Je viens d'entendre le père Guy Gilbert, sur radio Notre Dame où il anime une émission tous les mercredis soir de 22h à minuit, parler de ces spectacles blasphématoires, soutenir l'action de ces jeunes qui prient, et appeler à venir nombreux à la manifestation du 29 octobre à Paris. Un beau soutien..."
Posté le 26 octobre 2011 à 23h41 par Michel Janva
26 octobre 2011
Enorme succès de la manifestation ce soir au Théâtre de la Ville
Lu sur le FC :
"Rentrant de la place du Chatelet où plus de 700 personnes priaient devant le théâtre du Chatelet, sur le terre-plein central de la place, je viens d'apprendre que la manifestation s'est bien terminée, les forces de l'ordre ne sont pas intervenues.
Je viens d'entendre le père Guy Gilbert, sur radio Notre Dame où il anime une émission tous les mercredis soir de 22h à minuit, parler de ces spectacles blasphématoires, soutenir l'action de ces jeunes qui prient, et appeler à venir nombreux à la manifestation du 29 octobre à Paris. Un beau soutien..."
Posté le 26 octobre 2011 à 23h41 par Michel Janva
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://bernard-antony.blogspot.com/2011/10/les-cafards-de-theatres-les-politiciens.html
LE BLOG DE BERNARD ANTONY
PRÉSIDENT DE CHRÉTIENTÉ SOLIDARITÉ ET DU MOUVEMENT DU PAYS LIBRE - DIRECTEUR DE LA REVUE RECONQUÊTE
26 OCTOBRE 2011
Les cafards de théâtres, les politiciens, les médias, les souteneurs et les profiteurs de l’excrémentation antichrétienne subventionnée : il faut en faire, à la française, des sujets de création artistique !
Le grand écrivain de Montevideo Sigismond Kelbrener, célèbre auteur des Myrtilles d’Acapulco, en vacances dans les Pyrénées avec Bernard Antony, reproduit ici quelques extraits qu’il a pris sur le vif de différents entretiens de ce dernier questionné par quelques spécimens de la faulculterie médiatique, vertueusement indignés de la réaction des cathos à l‘égard du scatologiquement et blasphématoirement correct christianophobe.
Il nous narre d’abord les circonstances de ces entretiens.
La providence a voulu que je puisse accompagner pendant deux jours mon vieil ami Bernard Antony en activité vacancière en son pays natal de sélection de jambons de porc noir de Bigorre et de crus de Jurançon, de Madiran et de Pacherene de Vic-Bilh.
Militantisme oblige, il n’avait pas renoncé à son téléphone portable, acceptant au gré de son humeur de répondre, aux heures qu’il fixait, en fonction des arrêts dégustation, à des demandes d’entretien.
De très bonne humeur le plus souvent, il ne m’en fit pas moins la confidence de sa tristesse face aux jugements très affligeants des tribunaux sur les plaintes de l’AGRIF contre les abominations antichrétiennes et antihumaines journalistiques ou théâtrales.
Nous étions précisément en une auberge du village d’Artagnan lorsqu’avec une indignation de mousquetaire gascon, il me confia ceci : « Face au déferlement de toute cette vomissure d’injures à Dieu et à sa création, certains appellent à des prières sur les lieux. Je ne les désapprouve pas mais elles suscitent surtout les quolibets de la faune des provocateurs satisfaits de la pub puisque leur but n’est pas seulement de déverser de l’immondice mais de faire parler d’eux.
D’autres avec courage manifestent.
Je les approuve mais hélas, pour le moment, les catholiques de conviction chez nous, en France, ne remuent pas, pour la protestation, le dixième de ce que mobilisent les frères musulmans.
Nous, nous menons avec des avocats courageux et talentueux les combats devant les tribunaux, mais c’est une drôle de justice qui nous est rendue, allant jusqu’à nous faire odieusement payer des milliers d’euros pour procédure abusive.
Alors, en attendant que la Providence et la justice nous entendent, on oublie par trop, sacrebleu, de traiter comme il convient les misérables escrocs-sados-masos de l’excrémentation christianophobe. C’est par le quolibet qu’il faut d’abord les traiter, avec le fouet de l’ironie, avec l’éclat de rire hussardier, avec la gauloiserie qu’impose tout de même leur abjection d’intellocrassie de recherche du blasphème badigeonné de vertueux prétexte.»
Et c’est ainsi que j’ai eu la joie d’entendre un Bernard Antony répondre, d’une manière qu’ils n’attendaient certainement pas, à trois journalistes, à ce que j’en percevais manifestement très adeptes de la scatologie sérieuse et même compassée et d’une doctrinaire dégueulasserie.
Voici les réponses que j’ai pu assez facilement glaner, Bernard Antony ayant l’habitude pédagogique de la reformulation de la question posée ou de son évacuation pour manque d’intérêt.
- « Vous m’interrogez sur des spectacles d’art, dites-vous ? Vous vous moquez ! Le grand Salvador Dali, qui traitait comme il convenait les « cocus du vieil art moderne », distinguait l’art « création » de l’art « récréation ». Ensuite venait l’art « décréation », celui par exemple de Picasso deuxième manière.
Mais aujourd’hui les spectacles sur lesquels vous m’interrogez sont évidemment des mises en scène d’exécration. Si on appelle cela de l’art, c’est pire que de l’art naque, c’est de l’excrémentation, un « art dit contemporain » subventionné par messieurs Lang, Douste-Blazy, Donnadieu de Vabre, Mitterrand, Delanoë et autres, semble-t-il fascinés fondamentalement par la mise en scène de l’urinaire et de la défécation.
- « Comment j’analyse cela ? Non, monsieur, je ne veux pas analyser leurs excréments !
- « Non, les spectacles d’aujourd’hui ne sont pas nouveaux. Mais ils sont dans une progression. On avait eu par exemple à Montpellier Santa Suzanna, ignominie blasphématoire et partouzarde, qui aurait plu sans doute à un grand économiste mondial très amateur.
- « Ensuite, entre autres, au Théâtre de la Ville, à Paris, subventionné avec les impôts des chrétiens et des gens de goût, le spectacle de dégoût et d’égout « The crying body » du misérable flamand Jan Fabre. On pouvait y voir, entre autres très artistiques créations, la scène immonde d’une confession avec un évêque se masturbant. Après quoi, le ministre Donnadieu de Vabres à l’évidence apprécia pour sa part particulièrement le lever de jupes « d’actrices », spécialistes de l’expression urinaire, qui déversèrent devant lui en un grand effet d’ouverture le liquide abondamment stocké dans leur vessie.
Alors, ayant ainsi créé les formes artistiques de leurs flaques, elles les projetèrent d’un coup de pied vigoureux non moins artistiquement sur le premier rang au centre duquel le ministre Donnadieu de Vabres. Ce superbe effet fut salué par un concert d’applaudissements. Quant au ministre, il en fut si énamouré qu’il revint voir le si beau spectacle au Festival d’Avignon.
Je proposais alors que lors d’un prochain spectacle le génial Ian Fabre puisse utiliser un camion de vidange pour l’asperger de merde.
- « J’ironise ? Ah, libre à vous, monsieur, de le penser !
- « Les « spectacles » actuels contre lesquels s’est portée l’AGRIF, oui, bien sûr, je vais vous en parler. Sur le fond, pas de grande innovation. L’important, toujours et encore, c’est de blasphémer, ça ne coûte rien et ça rapporte gros, c’est d’injurier les chrétiens que Caroline Fourest, dans Charlie-Hebdo de Philippe Val, le chouchou de Carla, aimerait tant voir livrer à nouveau aux lions.
- « Plaisanterie ? Après les cent millions de martyrisés des génocides arméniens et des autres, après les exterminations du communisme et alors que l’islamisme en viole, en assassine, en massacre tous les jours, au Pakistan, en Égypte, en Irak, au Soudan, mais la liste est longue…
- « Piss Christ » ? Mademoiselle, encore de l’obsession urinaire !
- « Analyser cela ? Non merci, l’urine de Serrano ne m’attire pas, je ne suis pas biologiste.
- « Ah, pardon ? Comment j’explique ? Je crois finalement que tout n’est peut-être pas à rejeter dans les thèses de ce semi-charlatan de Freud : la régression infantile, l’obsession du pipi-caca, avec le spectacle subventionné « Sur le concept du visage du Christ » et avec « Golgotha Picnic », oui, nous y voilà ! Et plus on vend de la merde aux bobos, plus ils en redemandent !
- Vous me dites qu’il y a du monde pour aimer cela ? Non, madame, vous dites n’importe quoi. Ce n’est qu’une faune de snobinards défoncés, de déglingués du sexe et du cerveau, amateurs frénétiques de pisse et de merde, provocateurs : tu parles !, pas plus conformistes qu’eux au dégoût du jour !
- Oh, chère madame, les crachats sur le visage du Christ, ça ne vous choque pas, ni la complaisance scatologique, ni qu’on épate les imbéciles avec de l’étalage diarrhéique, pour quoi faire, pour quoi prouver ? Mais vous vous offusquez de mon langage, oh, que vous êtes prude ! Ainsi, l’abjection blasphématoire, ça ne vous choque pas, mais, c’est fantastique, ce qui vous heurte, ce sont les mots qui la désignent. Cette pudibonderie dans la défense de l’excrémentiel me fascine, oui, vraiment, à moi Freud !
- « A Metz, l’exposition appelée « L’infamille », on voit l’allusion, non ? Cette exposition, c’était aussi de l’art contemporain bien sûr, avec une quarantaine de panneaux sur lesquels des phrases sorties des cerveaux de pervers criminels subventionnés, alors qu’en toute société un peu saine on les enfermerait au plus vite. Cela, ça ne vous choque pas, monsieur, ces promesses des sévices sexuels, y compris par l’emploi de chiens. Et tout le monde d’accepter !
Oui, monsieur, je n’invente rien, coudre le sexe de leurs enfants, les livrer aux chiens, les sodomiser, c’est un échantillon des inscriptions élucubrées par d’immondes tarés subventionnés suivies de « Car ceci est mon corps, ceci est mon sang ». Oui, l’évêque, le misérable évêque s’est tu, oui, le préfet de merde a approuvé, et les ministres de « l’éducation » et de la « culture » ont laissé faire. C’est une élue courageuse du FN, Françoise Grollet, qui a dénoncé cette impensable ignominie que l’AGRIF, au prix de l’acharnement d’une longue procédure, ne laisse pas passer.
Evêques silencieux, élus indifférents et un préfet radicalement indigne, ou lui-même pervers, pour oser nous écrire qu’il fallait bien sûr un « accompagnement pédagogique » pour cette exposition. Un « accompagnement pédagogique » pour faire comprendre aux enfants ce que des enfoirés de psychologues criminels imaginent habituellement être dans le cerveau des parents. Cela, il fallait oser le proposer !
- « Quoi, vous trouvez que je ne suis pas respectueux de ces coupables de non-assistance à enfants en danger ? Vous osez, monsieur, proférer grotesquement cette remarque à faire hennir les constellations. Non seulement je ne les respecte pas, mais je les avertis que leur sort est d’ores et déjà scellé pour l’éternité.
« Malheur à ceux qui scandalisent les petits enfants ! Mieux aurait valu qu’on les précipitât dans l’abîme avec une meule autour du cou… » Voyez-vous, on comprend pourquoi ces démoniaques subventionnés ont tant de haine pour le Christ.
- « Je vais répondre à votre question, jeune homme, sur ce que je pense des spectacles que vous osez qualifier du mot de créations. Ce sont des trucs de déglingués de la calebasse, de suceurs d’hémorroïdes, de coprophages, de pervers multiformes. Ah, ainsi mes propos vous choquent ! Mais l’excrémentation blasphématoire des spectacles christianophobes ne vous choque pas ?
- « Vous me dites fermé à la création artistique moderne, diable non, car il y a de très grands artistes aujourd’hui. Et je rêve même du surgissement d’artistes à la hauteur d’un Jérôme Bosch ou d’un Goya, pour peindre ou dessiner nos fantastiques politiciens en charge de la culture et de ses subventions.
Je vois ainsi par exemple de belles fresques avec l’enfilade de nos successifs ministres de la culture, parmi tout un grouillement de sorcières, de personnages hideux, de damnés. On y verrait, à vous d’identifier, une composition de faune avec une tête de gargouille grimaçante, à la figure piquée de petite vérole et coursant un pauvre berger andalou.
Il précèderait celui que l’on appelle « l’aspergé ». Allo, non je ne parle pas d’asperges, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, car je le sais, certains aiment engloutir les asperges par différents endroits, de leur « crying body » mais encore une fois, c’est de l’aspergé que je vous cause, pas des asperges !
Trop, c’est trop !, me dites-vous, c’est en effet ce que je pense aussi. Mais si vous voulez vraiment que je réponde à vos questions, vous n’avez pas le choix, il faut encore que je vous brosse la fresque jusqu’au bout.
Ensuite, voyez-vous, il y aurait le ministre du doux bla-bla à la Mamounia. Après ses galipettes gidiennes, on le peindrait un peu gêné sur son pieu dans sa piaule, devant une dévastatrice compagne, trop tôt de retour et moins complaisante quoique de même milieu professionnel que dame Sinclair.
Certes, il n’était plus alors à la Culture mais aux Affaires Étrangères, et donc partiellement en charge de la culture française dans le monde. Ah, les fantaisies à la Mamounia ne se terminent pas toujours par des fantasias !
Viendrait enfin, vous vous en doutez, celui que l’on appelle le cornaqué de Bangkok, ce triste blafard avide de féroces boxeurs thaïs mais, adultes, faut bien préciser.
Alors, votre question, elle arrive ? Vous avez oublié ? Cela vous reviendra ! Alors continuons. Dans l’enfilade on devra peindre aussi le maire de Paris, l’actif cyclophile subventionneur prosélyte du Théâtre de la Ville et de toutes les associations qui se retrouvent dans la Gay-Pride.
Selon le cinéaste Moati, Delanoë est, comme lui, bien atterré par l’évolution démocratique de la Tunisie. Franco-tunisiens, Delanoë et Moati ne sont pas de ces méchants colons qui faisaient suer le burnous. Eux ont plutôt profité non pas du « temps béni des colonies » mais de celui de Ben Ali dans la douceur de Sidi-Bou-Saïd.
Avec ces islamistes, c’est pas demain la veille qu’on pourra balader en Tunisie ces spectacles d’excrémentation, fussent-ils christianophobes. Car même si le Christ n’est pas le Isa du Coran, dans l’ordre islamique on n’apprécie pas trop et même pas du tout l’art coprophage.
- « Je vous entends mal, monsieur, vous me parlez de l’élasticité de leurs fondements, qu’entendez-vous diable par là ?
- Allo, allo, oui, ça y est, j’ai compris, vous me reprochez plutôt de ne pas accepter que le droit au blasphème soit un des fondements de la laïcité. J’ai déjà entendu cela en maints tribunaux. Et en effet j’ai de la laïcité une autre conception, celle du respect du sacré, celle du respect de la dignité humaine. Mais l’ahurissant, c’est que les crapules vicelardes se drapent dans une vertueuse dignité offensée lorsqu’on les traite de ce qu’ils sont : des charognards du blasphème subventionné, des impuissants en mal de stimulations malodorantes. Faut quand même le faire, non, de faire souffler de l’odeur de merde dans le théâtre pour authentifier l’épandage diarrhéique !
- « Mademoiselle, vous vous étonnez, me dites-vous, de mon indifférence aux positions de prêtres et évêques défendant les œuvres de ce que l’on appelle l’art contemporain.
Non, ce n’est pas de l’indifférence ! Ce sont les phénomènes habituels, plus ou moins importants selon les époques et dans leur diversité : époques d’avachissement, alignement sur les modes, conformisme et snobisme, collaboration avec les totalitarismes et même apostasie silencieuse et trahison. Cela dit, ce ne sont pas tant les prises de position des détraqués du ciboulot parmi les clercs qui m’inquiètent. C’est le silence de beaucoup trop, sous les prétextes de ne pas faire de vagues, qui me heurte.
A un moment où toute une couche de « dialogueux » mène calamiteusement le plus mauvais dialogue interreligieux possible, dans un à priori de complaisance totale pour leurs interlocuteurs juifs ou musulmans, ils se gardent pourtant bien de les imiter dans ce que l’on peut admirer chez eux. Musulmans et juifs ne laissent pas cracher sur leur religion, souvent n’admettant même pas la liberté de la critique ou du refus. Mais l’esprit de paix s’est hélas transformé en tiédeur indifférente, puis en complaisance pour le pire dans la gradation qui va de la torpeur à la lâcheté, et finalement à la trahison.
- « Je blasphème, dites-vous, monsieur, contre la laïcité, la liberté, les autorités. Cela, c’est vraiment magnifique !
Eh bien oui, je blasphème sans état d’âme contre les blasphémateurs de Dieu, de l’innocence des enfants, de la beauté, de la dignité humaine, de la liberté du bien. Et je ne crains pas d’outrager ceux qui outragent le Christ et l’humanité par leurs défécations et leurs injures subventionnées.
Ils sont des médiocres, confits dans leur conformiste confort, exhalant dans une continuité bien rémunérée leur haine fétide contre le Christ. Je leur préfère ces anarchistes espagnols qui, en pelotons d’exécution, fusillaient le Christ en croix.
C’était moins médiocre.
Mais quoi qu’il en soit, il faut bien que le Christ existe pour qu’on le haïsse autant. Dieu ne meurt pas. »
PUBLIÉ PAR RÉDACTEUR À L'ADRESSE 19:58
LE BLOG DE BERNARD ANTONY
PRÉSIDENT DE CHRÉTIENTÉ SOLIDARITÉ ET DU MOUVEMENT DU PAYS LIBRE - DIRECTEUR DE LA REVUE RECONQUÊTE
26 OCTOBRE 2011
Les cafards de théâtres, les politiciens, les médias, les souteneurs et les profiteurs de l’excrémentation antichrétienne subventionnée : il faut en faire, à la française, des sujets de création artistique !
Le grand écrivain de Montevideo Sigismond Kelbrener, célèbre auteur des Myrtilles d’Acapulco, en vacances dans les Pyrénées avec Bernard Antony, reproduit ici quelques extraits qu’il a pris sur le vif de différents entretiens de ce dernier questionné par quelques spécimens de la faulculterie médiatique, vertueusement indignés de la réaction des cathos à l‘égard du scatologiquement et blasphématoirement correct christianophobe.
Il nous narre d’abord les circonstances de ces entretiens.
La providence a voulu que je puisse accompagner pendant deux jours mon vieil ami Bernard Antony en activité vacancière en son pays natal de sélection de jambons de porc noir de Bigorre et de crus de Jurançon, de Madiran et de Pacherene de Vic-Bilh.
Militantisme oblige, il n’avait pas renoncé à son téléphone portable, acceptant au gré de son humeur de répondre, aux heures qu’il fixait, en fonction des arrêts dégustation, à des demandes d’entretien.
De très bonne humeur le plus souvent, il ne m’en fit pas moins la confidence de sa tristesse face aux jugements très affligeants des tribunaux sur les plaintes de l’AGRIF contre les abominations antichrétiennes et antihumaines journalistiques ou théâtrales.
Nous étions précisément en une auberge du village d’Artagnan lorsqu’avec une indignation de mousquetaire gascon, il me confia ceci : « Face au déferlement de toute cette vomissure d’injures à Dieu et à sa création, certains appellent à des prières sur les lieux. Je ne les désapprouve pas mais elles suscitent surtout les quolibets de la faune des provocateurs satisfaits de la pub puisque leur but n’est pas seulement de déverser de l’immondice mais de faire parler d’eux.
D’autres avec courage manifestent.
Je les approuve mais hélas, pour le moment, les catholiques de conviction chez nous, en France, ne remuent pas, pour la protestation, le dixième de ce que mobilisent les frères musulmans.
Nous, nous menons avec des avocats courageux et talentueux les combats devant les tribunaux, mais c’est une drôle de justice qui nous est rendue, allant jusqu’à nous faire odieusement payer des milliers d’euros pour procédure abusive.
Alors, en attendant que la Providence et la justice nous entendent, on oublie par trop, sacrebleu, de traiter comme il convient les misérables escrocs-sados-masos de l’excrémentation christianophobe. C’est par le quolibet qu’il faut d’abord les traiter, avec le fouet de l’ironie, avec l’éclat de rire hussardier, avec la gauloiserie qu’impose tout de même leur abjection d’intellocrassie de recherche du blasphème badigeonné de vertueux prétexte.»
Et c’est ainsi que j’ai eu la joie d’entendre un Bernard Antony répondre, d’une manière qu’ils n’attendaient certainement pas, à trois journalistes, à ce que j’en percevais manifestement très adeptes de la scatologie sérieuse et même compassée et d’une doctrinaire dégueulasserie.
Voici les réponses que j’ai pu assez facilement glaner, Bernard Antony ayant l’habitude pédagogique de la reformulation de la question posée ou de son évacuation pour manque d’intérêt.
- « Vous m’interrogez sur des spectacles d’art, dites-vous ? Vous vous moquez ! Le grand Salvador Dali, qui traitait comme il convenait les « cocus du vieil art moderne », distinguait l’art « création » de l’art « récréation ». Ensuite venait l’art « décréation », celui par exemple de Picasso deuxième manière.
Mais aujourd’hui les spectacles sur lesquels vous m’interrogez sont évidemment des mises en scène d’exécration. Si on appelle cela de l’art, c’est pire que de l’art naque, c’est de l’excrémentation, un « art dit contemporain » subventionné par messieurs Lang, Douste-Blazy, Donnadieu de Vabre, Mitterrand, Delanoë et autres, semble-t-il fascinés fondamentalement par la mise en scène de l’urinaire et de la défécation.
- « Comment j’analyse cela ? Non, monsieur, je ne veux pas analyser leurs excréments !
- « Non, les spectacles d’aujourd’hui ne sont pas nouveaux. Mais ils sont dans une progression. On avait eu par exemple à Montpellier Santa Suzanna, ignominie blasphématoire et partouzarde, qui aurait plu sans doute à un grand économiste mondial très amateur.
- « Ensuite, entre autres, au Théâtre de la Ville, à Paris, subventionné avec les impôts des chrétiens et des gens de goût, le spectacle de dégoût et d’égout « The crying body » du misérable flamand Jan Fabre. On pouvait y voir, entre autres très artistiques créations, la scène immonde d’une confession avec un évêque se masturbant. Après quoi, le ministre Donnadieu de Vabres à l’évidence apprécia pour sa part particulièrement le lever de jupes « d’actrices », spécialistes de l’expression urinaire, qui déversèrent devant lui en un grand effet d’ouverture le liquide abondamment stocké dans leur vessie.
Alors, ayant ainsi créé les formes artistiques de leurs flaques, elles les projetèrent d’un coup de pied vigoureux non moins artistiquement sur le premier rang au centre duquel le ministre Donnadieu de Vabres. Ce superbe effet fut salué par un concert d’applaudissements. Quant au ministre, il en fut si énamouré qu’il revint voir le si beau spectacle au Festival d’Avignon.
Je proposais alors que lors d’un prochain spectacle le génial Ian Fabre puisse utiliser un camion de vidange pour l’asperger de merde.
- « J’ironise ? Ah, libre à vous, monsieur, de le penser !
- « Les « spectacles » actuels contre lesquels s’est portée l’AGRIF, oui, bien sûr, je vais vous en parler. Sur le fond, pas de grande innovation. L’important, toujours et encore, c’est de blasphémer, ça ne coûte rien et ça rapporte gros, c’est d’injurier les chrétiens que Caroline Fourest, dans Charlie-Hebdo de Philippe Val, le chouchou de Carla, aimerait tant voir livrer à nouveau aux lions.
- « Plaisanterie ? Après les cent millions de martyrisés des génocides arméniens et des autres, après les exterminations du communisme et alors que l’islamisme en viole, en assassine, en massacre tous les jours, au Pakistan, en Égypte, en Irak, au Soudan, mais la liste est longue…
- « Piss Christ » ? Mademoiselle, encore de l’obsession urinaire !
- « Analyser cela ? Non merci, l’urine de Serrano ne m’attire pas, je ne suis pas biologiste.
- « Ah, pardon ? Comment j’explique ? Je crois finalement que tout n’est peut-être pas à rejeter dans les thèses de ce semi-charlatan de Freud : la régression infantile, l’obsession du pipi-caca, avec le spectacle subventionné « Sur le concept du visage du Christ » et avec « Golgotha Picnic », oui, nous y voilà ! Et plus on vend de la merde aux bobos, plus ils en redemandent !
- Vous me dites qu’il y a du monde pour aimer cela ? Non, madame, vous dites n’importe quoi. Ce n’est qu’une faune de snobinards défoncés, de déglingués du sexe et du cerveau, amateurs frénétiques de pisse et de merde, provocateurs : tu parles !, pas plus conformistes qu’eux au dégoût du jour !
- Oh, chère madame, les crachats sur le visage du Christ, ça ne vous choque pas, ni la complaisance scatologique, ni qu’on épate les imbéciles avec de l’étalage diarrhéique, pour quoi faire, pour quoi prouver ? Mais vous vous offusquez de mon langage, oh, que vous êtes prude ! Ainsi, l’abjection blasphématoire, ça ne vous choque pas, mais, c’est fantastique, ce qui vous heurte, ce sont les mots qui la désignent. Cette pudibonderie dans la défense de l’excrémentiel me fascine, oui, vraiment, à moi Freud !
- « A Metz, l’exposition appelée « L’infamille », on voit l’allusion, non ? Cette exposition, c’était aussi de l’art contemporain bien sûr, avec une quarantaine de panneaux sur lesquels des phrases sorties des cerveaux de pervers criminels subventionnés, alors qu’en toute société un peu saine on les enfermerait au plus vite. Cela, ça ne vous choque pas, monsieur, ces promesses des sévices sexuels, y compris par l’emploi de chiens. Et tout le monde d’accepter !
Oui, monsieur, je n’invente rien, coudre le sexe de leurs enfants, les livrer aux chiens, les sodomiser, c’est un échantillon des inscriptions élucubrées par d’immondes tarés subventionnés suivies de « Car ceci est mon corps, ceci est mon sang ». Oui, l’évêque, le misérable évêque s’est tu, oui, le préfet de merde a approuvé, et les ministres de « l’éducation » et de la « culture » ont laissé faire. C’est une élue courageuse du FN, Françoise Grollet, qui a dénoncé cette impensable ignominie que l’AGRIF, au prix de l’acharnement d’une longue procédure, ne laisse pas passer.
Evêques silencieux, élus indifférents et un préfet radicalement indigne, ou lui-même pervers, pour oser nous écrire qu’il fallait bien sûr un « accompagnement pédagogique » pour cette exposition. Un « accompagnement pédagogique » pour faire comprendre aux enfants ce que des enfoirés de psychologues criminels imaginent habituellement être dans le cerveau des parents. Cela, il fallait oser le proposer !
- « Quoi, vous trouvez que je ne suis pas respectueux de ces coupables de non-assistance à enfants en danger ? Vous osez, monsieur, proférer grotesquement cette remarque à faire hennir les constellations. Non seulement je ne les respecte pas, mais je les avertis que leur sort est d’ores et déjà scellé pour l’éternité.
« Malheur à ceux qui scandalisent les petits enfants ! Mieux aurait valu qu’on les précipitât dans l’abîme avec une meule autour du cou… » Voyez-vous, on comprend pourquoi ces démoniaques subventionnés ont tant de haine pour le Christ.
- « Je vais répondre à votre question, jeune homme, sur ce que je pense des spectacles que vous osez qualifier du mot de créations. Ce sont des trucs de déglingués de la calebasse, de suceurs d’hémorroïdes, de coprophages, de pervers multiformes. Ah, ainsi mes propos vous choquent ! Mais l’excrémentation blasphématoire des spectacles christianophobes ne vous choque pas ?
- « Vous me dites fermé à la création artistique moderne, diable non, car il y a de très grands artistes aujourd’hui. Et je rêve même du surgissement d’artistes à la hauteur d’un Jérôme Bosch ou d’un Goya, pour peindre ou dessiner nos fantastiques politiciens en charge de la culture et de ses subventions.
Je vois ainsi par exemple de belles fresques avec l’enfilade de nos successifs ministres de la culture, parmi tout un grouillement de sorcières, de personnages hideux, de damnés. On y verrait, à vous d’identifier, une composition de faune avec une tête de gargouille grimaçante, à la figure piquée de petite vérole et coursant un pauvre berger andalou.
Il précèderait celui que l’on appelle « l’aspergé ». Allo, non je ne parle pas d’asperges, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, car je le sais, certains aiment engloutir les asperges par différents endroits, de leur « crying body » mais encore une fois, c’est de l’aspergé que je vous cause, pas des asperges !
Trop, c’est trop !, me dites-vous, c’est en effet ce que je pense aussi. Mais si vous voulez vraiment que je réponde à vos questions, vous n’avez pas le choix, il faut encore que je vous brosse la fresque jusqu’au bout.
Ensuite, voyez-vous, il y aurait le ministre du doux bla-bla à la Mamounia. Après ses galipettes gidiennes, on le peindrait un peu gêné sur son pieu dans sa piaule, devant une dévastatrice compagne, trop tôt de retour et moins complaisante quoique de même milieu professionnel que dame Sinclair.
Certes, il n’était plus alors à la Culture mais aux Affaires Étrangères, et donc partiellement en charge de la culture française dans le monde. Ah, les fantaisies à la Mamounia ne se terminent pas toujours par des fantasias !
Viendrait enfin, vous vous en doutez, celui que l’on appelle le cornaqué de Bangkok, ce triste blafard avide de féroces boxeurs thaïs mais, adultes, faut bien préciser.
Alors, votre question, elle arrive ? Vous avez oublié ? Cela vous reviendra ! Alors continuons. Dans l’enfilade on devra peindre aussi le maire de Paris, l’actif cyclophile subventionneur prosélyte du Théâtre de la Ville et de toutes les associations qui se retrouvent dans la Gay-Pride.
Selon le cinéaste Moati, Delanoë est, comme lui, bien atterré par l’évolution démocratique de la Tunisie. Franco-tunisiens, Delanoë et Moati ne sont pas de ces méchants colons qui faisaient suer le burnous. Eux ont plutôt profité non pas du « temps béni des colonies » mais de celui de Ben Ali dans la douceur de Sidi-Bou-Saïd.
Avec ces islamistes, c’est pas demain la veille qu’on pourra balader en Tunisie ces spectacles d’excrémentation, fussent-ils christianophobes. Car même si le Christ n’est pas le Isa du Coran, dans l’ordre islamique on n’apprécie pas trop et même pas du tout l’art coprophage.
- « Je vous entends mal, monsieur, vous me parlez de l’élasticité de leurs fondements, qu’entendez-vous diable par là ?
- Allo, allo, oui, ça y est, j’ai compris, vous me reprochez plutôt de ne pas accepter que le droit au blasphème soit un des fondements de la laïcité. J’ai déjà entendu cela en maints tribunaux. Et en effet j’ai de la laïcité une autre conception, celle du respect du sacré, celle du respect de la dignité humaine. Mais l’ahurissant, c’est que les crapules vicelardes se drapent dans une vertueuse dignité offensée lorsqu’on les traite de ce qu’ils sont : des charognards du blasphème subventionné, des impuissants en mal de stimulations malodorantes. Faut quand même le faire, non, de faire souffler de l’odeur de merde dans le théâtre pour authentifier l’épandage diarrhéique !
- « Mademoiselle, vous vous étonnez, me dites-vous, de mon indifférence aux positions de prêtres et évêques défendant les œuvres de ce que l’on appelle l’art contemporain.
Non, ce n’est pas de l’indifférence ! Ce sont les phénomènes habituels, plus ou moins importants selon les époques et dans leur diversité : époques d’avachissement, alignement sur les modes, conformisme et snobisme, collaboration avec les totalitarismes et même apostasie silencieuse et trahison. Cela dit, ce ne sont pas tant les prises de position des détraqués du ciboulot parmi les clercs qui m’inquiètent. C’est le silence de beaucoup trop, sous les prétextes de ne pas faire de vagues, qui me heurte.
A un moment où toute une couche de « dialogueux » mène calamiteusement le plus mauvais dialogue interreligieux possible, dans un à priori de complaisance totale pour leurs interlocuteurs juifs ou musulmans, ils se gardent pourtant bien de les imiter dans ce que l’on peut admirer chez eux. Musulmans et juifs ne laissent pas cracher sur leur religion, souvent n’admettant même pas la liberté de la critique ou du refus. Mais l’esprit de paix s’est hélas transformé en tiédeur indifférente, puis en complaisance pour le pire dans la gradation qui va de la torpeur à la lâcheté, et finalement à la trahison.
- « Je blasphème, dites-vous, monsieur, contre la laïcité, la liberté, les autorités. Cela, c’est vraiment magnifique !
Eh bien oui, je blasphème sans état d’âme contre les blasphémateurs de Dieu, de l’innocence des enfants, de la beauté, de la dignité humaine, de la liberté du bien. Et je ne crains pas d’outrager ceux qui outragent le Christ et l’humanité par leurs défécations et leurs injures subventionnées.
Ils sont des médiocres, confits dans leur conformiste confort, exhalant dans une continuité bien rémunérée leur haine fétide contre le Christ. Je leur préfère ces anarchistes espagnols qui, en pelotons d’exécution, fusillaient le Christ en croix.
C’était moins médiocre.
Mais quoi qu’il en soit, il faut bien que le Christ existe pour qu’on le haïsse autant. Dieu ne meurt pas. »
PUBLIÉ PAR RÉDACTEUR À L'ADRESSE 19:58
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/des-députés-désapprouvent-la-pièce-de-roméo-castelluci.html
26 octobre 2011
Des députés désapprouvent la pièce de Roméo Castelluci
Lu ici ces réactions de députés :
Jacques Myard – UMP – Yvelines: « Je n’ai pas à me servir d’un portrait du Christ pour la liberté d’expression ! »
Axel Poniatowski – UMP – Val d’Oise: « Jeter des excréments sur un portrait du Christ ça me paraît être particulièrement de mauvais goût. Est-ce bien indispensable ? Je comprends très bien qu’on puisse manifester contre ça. »
Christian Vanneste – UMP – Nord: « Les artistes, les vrais, ne se livrent pas à ce genre de dérives. On doit avoir un minimum de respect pour cette tradition. Même si on n’est pas croyant, qu’on est complétement athée. Je souhaite que chacun se livre à une introspection sur ce qu’est véritablement la civilisation, sur ce qui est respectable et ce qui ne l’est pas. »
Lionnel Luca – UMP – Alpes-Maritimes: « Faut faire respecter la loi ! Non mais il y a une loi là-dessus, sur l’insulte. Ceux qui commentent les actes d’insulte sur le Christ, qui se risqueraient bien de le faire sur Yahvé ou Mahomet, sont priés de respecter les gens dans leur croyance. »
Posté le 26 octobre 2011 à 21h40 par Michel Janva
26 octobre 2011
Des députés désapprouvent la pièce de Roméo Castelluci
Lu ici ces réactions de députés :
Jacques Myard – UMP – Yvelines: « Je n’ai pas à me servir d’un portrait du Christ pour la liberté d’expression ! »
Axel Poniatowski – UMP – Val d’Oise: « Jeter des excréments sur un portrait du Christ ça me paraît être particulièrement de mauvais goût. Est-ce bien indispensable ? Je comprends très bien qu’on puisse manifester contre ça. »
Christian Vanneste – UMP – Nord: « Les artistes, les vrais, ne se livrent pas à ce genre de dérives. On doit avoir un minimum de respect pour cette tradition. Même si on n’est pas croyant, qu’on est complétement athée. Je souhaite que chacun se livre à une introspection sur ce qu’est véritablement la civilisation, sur ce qui est respectable et ce qui ne l’est pas. »
Lionnel Luca – UMP – Alpes-Maritimes: « Faut faire respecter la loi ! Non mais il y a une loi là-dessus, sur l’insulte. Ceux qui commentent les actes d’insulte sur le Christ, qui se risqueraient bien de le faire sur Yahvé ou Mahomet, sont priés de respecter les gens dans leur croyance. »
Posté le 26 octobre 2011 à 21h40 par Michel Janva
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/300-à-réciter-le-chapelet-devant-le-théâtre-de-lhôtel-de-ville.html
26 octobre 2011
300 à réciter le chapelet devant le théâtre de l'hôtel de Ville
à cet instant même.
A signaler ce site pour réagir aux blasphèmes par la prière.
Posté le 26 octobre 2011 à 21h12 par Lahire
////////////////////////////////////////////////////////////////////
http://levisageduchrist.net/
L'adoration, une réponse aux pièces blasphématrices
Hommes, nous ne pouvons tolérer qu'au nom d'une pseudo liberté d'expression il soit possible de tourner en dérision tous les symboles, tous les objets de foi.
Citoyens, nous ne pouvons accepter que l'argent public d'un Etat en banqueroute et laïc puisse financer l'expression d'une haine pure et simple envers le christianisme.
Pensez-vous qu'il faille interdire des pièces de théâtres comme le golgotha picnic ?
Choix
- Oui, absolument.
- Pas forcément, il faut au moins retirer le financement public et veiller à ce que les affiches ne choquent pas les consciences
- Non, ces divertissements rentrent dans le cadre de la liberté d'expression, il n'y a donc aucune raison de les interdire.
26 octobre 2011
300 à réciter le chapelet devant le théâtre de l'hôtel de Ville
à cet instant même.
A signaler ce site pour réagir aux blasphèmes par la prière.
Posté le 26 octobre 2011 à 21h12 par Lahire
////////////////////////////////////////////////////////////////////
http://levisageduchrist.net/
L'adoration, une réponse aux pièces blasphématrices
Hommes, nous ne pouvons tolérer qu'au nom d'une pseudo liberté d'expression il soit possible de tourner en dérision tous les symboles, tous les objets de foi.
Citoyens, nous ne pouvons accepter que l'argent public d'un Etat en banqueroute et laïc puisse financer l'expression d'une haine pure et simple envers le christianisme.
Pensez-vous qu'il faille interdire des pièces de théâtres comme le golgotha picnic ?
Choix
- Oui, absolument.
- Pas forcément, il faut au moins retirer le financement public et veiller à ce que les affiches ne choquent pas les consciences
- Non, ces divertissements rentrent dans le cadre de la liberté d'expression, il n'y a donc aucune raison de les interdire.
Her- Messages : 9481
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/la-nouvelle-génération-de-catholiques-na-pas-peur.html
26 octobre 2011
La nouvelle génération de catholiques n'a pas peur
Alors que dans Le Monde daté de demain, plusieurs articles sont consacrés aux manifestations contre la christianophobie (le quotidien prenant évidemment parti pour le spectacle scato-christianophobe, financé notamment par... le président du Monde, Pierre Bergé), Hélène Julien écrit sur Nouvelles de France :
"Entre les jeunes chrétiens d’Irak, les Coptes, nos jeunes de France, et ceux du monde entier, n’existe aucune différence : vivre en chrétien dans la Cité, requiert leur courage sans pareil, et les convictions inhérentes à leur Foi mettent en danger leur vie, leur âme, et leur liberté. Le Père Daniel Ange, dans un de ses enseignements, exhortait les jeunes à devenir des « héraults de la Foi », en s’engageant à témoigner pour le Christ, par une vie en cohérence avec les recommandations de l’Eglise.
Il s’agit d’une bataille entre l’individualisme, pur produit du pluralisme selon Bourdieu, et le Credo de l’Eglise universelle. L’un revendique la glorification du moi, la satisfaction de tous les penchants humains, l’épanouissement à tous prix, tandis que la vie chrétienne propose de s’oublier soi-même pour notre prochain, à tenir bon dans ses convictions, en dépit des lois mises en place par la société, qu’il s’agisse de l’avortement, ou des lois plus tacites, qui stigmatisent comme anormaux les choix de pureté, de famille nombreuse, du refus du péché…
Quand les jeunes se rendent en masse pour prier et témoigner devant le Théâtre de la Ville, il ne s’agit plus seulement de défendre l’Honneur du Christ. Son image, souillée, moquée, leur rappelle douloureusement les difficultés à témoigner, à cause de cette christianophobie, de plus en plus marquée par les différences de traitement, qui leur sont réservées. En effet, à l’école, à la fac, dans les écoles, les jeunes sont muselés, face aux enseignants et entre eux, n’osant pas toujours aller à contre-courant, de peur d’être taxés d’extrémistes, ce mot-barrage facile organisé par les politiques républicaines et médiatiques.
Certes, on ne guillotine plus de nos jours en France. Mais on charrie, on insulte, on persécute insidieusement : osera-t-on nous dire qu’on peut, par exemple, plaider contre l’avortement, en tant qu’étudiant en journalisme, en tant qu’élève d’une faculté, en tant que médecin, infirmier, en tant que professeur des écoles ? Les tabous sont mis en place, et ils s’articulent autour de la petite sœur, non moins mesquine, de l’ancienne déesse Raison : la Tolérance. [...]
26 octobre 2011
La nouvelle génération de catholiques n'a pas peur
Alors que dans Le Monde daté de demain, plusieurs articles sont consacrés aux manifestations contre la christianophobie (le quotidien prenant évidemment parti pour le spectacle scato-christianophobe, financé notamment par... le président du Monde, Pierre Bergé), Hélène Julien écrit sur Nouvelles de France :
"Entre les jeunes chrétiens d’Irak, les Coptes, nos jeunes de France, et ceux du monde entier, n’existe aucune différence : vivre en chrétien dans la Cité, requiert leur courage sans pareil, et les convictions inhérentes à leur Foi mettent en danger leur vie, leur âme, et leur liberté. Le Père Daniel Ange, dans un de ses enseignements, exhortait les jeunes à devenir des « héraults de la Foi », en s’engageant à témoigner pour le Christ, par une vie en cohérence avec les recommandations de l’Eglise.
Il s’agit d’une bataille entre l’individualisme, pur produit du pluralisme selon Bourdieu, et le Credo de l’Eglise universelle. L’un revendique la glorification du moi, la satisfaction de tous les penchants humains, l’épanouissement à tous prix, tandis que la vie chrétienne propose de s’oublier soi-même pour notre prochain, à tenir bon dans ses convictions, en dépit des lois mises en place par la société, qu’il s’agisse de l’avortement, ou des lois plus tacites, qui stigmatisent comme anormaux les choix de pureté, de famille nombreuse, du refus du péché…
Quand les jeunes se rendent en masse pour prier et témoigner devant le Théâtre de la Ville, il ne s’agit plus seulement de défendre l’Honneur du Christ. Son image, souillée, moquée, leur rappelle douloureusement les difficultés à témoigner, à cause de cette christianophobie, de plus en plus marquée par les différences de traitement, qui leur sont réservées. En effet, à l’école, à la fac, dans les écoles, les jeunes sont muselés, face aux enseignants et entre eux, n’osant pas toujours aller à contre-courant, de peur d’être taxés d’extrémistes, ce mot-barrage facile organisé par les politiques républicaines et médiatiques.
Certes, on ne guillotine plus de nos jours en France. Mais on charrie, on insulte, on persécute insidieusement : osera-t-on nous dire qu’on peut, par exemple, plaider contre l’avortement, en tant qu’étudiant en journalisme, en tant qu’élève d’une faculté, en tant que médecin, infirmier, en tant que professeur des écoles ? Les tabous sont mis en place, et ils s’articulent autour de la petite sœur, non moins mesquine, de l’ancienne déesse Raison : la Tolérance. [...]
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
29 Octobre 2011
Rassemblement aujourd’hui à Paris: objectif, défendre l’honneur de notre prophète Issa (Jésus) que la paix soit sur lui
ACTION FORSANE ALIZZA, TOUTE L'ACTUALITÉ - FORSANE ALIZZA
Samedi 29 octobre rassemblement à 19h30 Place du Châtelet à Paris
Nous vous en parlions dans un article intitulé: Edito numéro 20 : Blasphème contre Jésus (que la paix soit sur lui) et action du Renouveau français par conséquent nous avons décidé d’agir pour défendre nous aussi l’honneur de notre saint prophète Issa ( Jésus) 3alayhi salam.
C’est l’occasion pour nous de développer le sujet de Jésus (Issa), messager de Dieu, que la paix soit sur lui, à travers le prisme de l’Islam.
Que les gens sachent que nous aimons Issa (Jésus) (la paix d’ALLAH soit sur lui) fils de Maryam (Marie) (la paix d’ALLAH soit sur elle).
(Nous nous excusons pour l’annulation de l’émission webradio qui devait se dérouler ce soir 21H, nous avons rencontré un contretemps qui nous a empêché d’être présent. Nous remercions nos fidèles frères et soeurs lecteurs et auditeurs pour leur patience et leur compréhension, nous la reporterons dès que possible inchaalah. Hafidakoum ALLAH.)
n prophète
Les musulmans respectent et révèrent Jésus (que la paix soit sur lui). Ils le considèrent comme l’un des plus importants messagers qu’ ALLAH, subhran wa ta’ala, ait envoyé à l’humanité.
Le Coran confirme sa naissance miraculeuse (La Vierge Marie (Maryam, que la paix soit sur elle)), et un chapitre du Coran est intitulé « Maryam » (sourate 19). Le Coran décrit la naissance de Jésus comme suit :
« (Rappelle-toi) quand les Anges dirent: “Ô Marie, voilà que Dieu t’annonce une parole de Sa part : son nom sera le Messie issa ( Jésus ), fils de Marie, illustre ici-bas comme dans l’au-delà, et l’un des rapprochés d’ALLAH. Il parlera aux gens, dans le berceau et en son âge mûr, et il sera du nombre des gens de bien ». Elle dit : “Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu’aucun homme ne m’a touchée ? ». « C’est ainsi ! », dit-Il. ALLAH crée ce qu’Il veut. Quand il décide d’une chose, Il lui dit seulement « Sois », et elle est aussitôt. » (Coran, sourate 3: verset 45-47)
Jésus est né de façon miraculeuse sur l’ordre d’ALLAH Azza wa Jal, tout comme Adam ‘alayhi salam, à qui Allah ta’ala avait insufflé la vie sans qu’il n’ait eu de père. Allah Exaltée soit-Sa-Grandeur, a dit :
« Pour ALLAH, Issa ( Jésus ) est comme Adam qu’Il créa de poussière, puis Il lui dit : « Sois» ; et il fut. » (Coran, sourate 3:59)
Durant sa mission prophétique, Issa ’alayhi salam, (Jésus ) a accompli plusieurs miracles. Allah Subhan wa Ta3ala nous révèle que Jésus ( Issa ‘aleyhi salam) a dit :
« En vérité, je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur. Pour vous, je forme de la glaise comme la figure d’un oiseau, puis je souffle dedans ; et, par la permission d’ALLAH, cela devient un oiseau. Et je guéris l’aveugle-né et le lépreux, et je ressuscite les morts, par la permission d’ALLAH. Et je vous apprends ce que vous mangez et ce que vous amassez dans vos maisons… » (Coran, sourate 3: verset 49)
Les savants de l’islam en parlent
Vous trouverez dans “Fatawa al ’aqîda, question 334, page 589″ du Sheikh Mohammad Ibn Salih Al-’Uthaymine, rahimahu’Allah, un condensé important sur la croyance en Issa, (Jésus ) que la paix soit sur lui, d’après l’Islam :
Son éminence fut questionnée : « Quelle doit être la croyance des musulmans (ceux qui se soumettent à Allah) au sujet de ’Issa fils de Mariam (Jésus fils de Marie), ’alayhi salam ? »
Réponse : Font partie de cette croyance que doivent avoir tous les musulmans l’ensemble des points suivants :
1. Qu’il est un des nobles messagers d’Allah, Exalté soit-Il,
2. Qu’il fait même partie des cinq plus importants messagers que sont, Mohammad, صلى الله عليه وسلم, Ibrahim (Abraham), Nouh (Noé), Moussa (Moïse) et ’Issa (Jésus) 3alayhoum salat wa salam ; qu’Allah a évoqués à deux endroits dans son livre (le Coran), dans la sourate Al-Ahzab :
« Lorsque nous prîmes des prophètes leur engagement, de même que de toi, de Noh (Noé), d’Ibrahim (Abraham), de Moussa (Moïse) et de Issa (Jésus) fils de Maryam (Marie), et Nous avons pris d’eux un engagement solennel » (Sourate 33, Verset 7).
Et dans la sourate Ach-choura : « Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t’avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus :
« Etablissez la religion ; et n’en faîtes pas un sujet de divisons » ». (Sourate 42, Verset 13).
3. Qu’il est un être humain parmi les fils d’Adam, enfanté d’une mère qui n’a jamais été approchée par un homme, un serviteur d’Allah et Son messager. De ce fait, il ne doit pas être adoré et il est véridique. Il, ’alayhi salat wa salam, ne possède en aucun cas des spécificités propres à Allah. Il est, au contraire, comme Allah dit :
« Il (Jésus) n’était qu’un serviteur que Nous avions comblé de bienfaits et que Nous avons désigné en exemple aux enfants d’Israël » (Sourate 43, verset 59).
Il, ’alayhi salat wa salam, n’a pas ordonné son peuple de le considérer, ainsi que sa mère, comme une divinité en dehors d’Allah, au contraire, il dit à son peuple ce qu’Allah lui ordonna de dire :
« Adorez Allah, mon Seigneur et votre Seigneur » (Sourate 5, verset 117).
4. Qu’Allah, Exalté soit-il, l’a crée par Sa parole, comme le mentionne le verset :
« Pour Allah, Jésus est comme Adam qu’Il créa de poussière, puis Il lui dit : “Sois” : et il fut. »
(Sourate 3, verset 59).
5. Qu’il n’y aucun messager entre lui et Mohamad, صلى الله عليه وسلم, Allah dit à ce sujet :
« Et quand Jésus fils de Marie dit :” Ô enfants d’Israël, je suis vraiment le messager d’Allah (envoyé) à vous, confirmateur de ce qui, dans la Thora, est antérieur à moi, et annonciateur d’un messager à venir après moi, dont le nom sera Ahmad. Puis quand celui-ci vint à eux avec des preuves évidentes, ils dirent, “C’est là une magie manifeste” ». (Sourate 61, verset 6).
6. Que la foi de l’un d’entre nous ne sera jamais complète tant que nous ne croirons pas que ’Issa, alayhi salam, (Jésus) est un serviteur et un messager d’Allah Subhran wa ta’ala, tant que nous ne l’innocenterons pas, ni ne l’élèverons pas au dessus de la description que les juifs ont faite de lui en disant qu’il est le fils d’une prostituée et adultérin (fruit d’une relation d’adultère), qu’Allah Subhran wa ta’ala, nous en préserve, alors qu’Allah Subhran wa ta’ala l’a innocenté de cela.
Notre compréhension
Les musulmans se désolidarisent également de la voie empruntée par les chrétiens qui se sont égarés dans la compréhension de ce que devraient être vraiment ’Issa (Jésus) (que la paix soit sur lui) ainsi que sa mère Maryam (Marie) (que la paix soit sur elle) en les considérant comme des divinités en dehors d’Allah ta’ala.
Certains d’entre eux disent qu’il est le fils d’Allah Subhran wa ta’ala, d’autres, qu’il est un élément de la Trinité. Notre dogme est parfaitement clair sur ce point, nous pratiquons l’Unicité absolue de notre Créateur. L’Association étant la plus grande des injustices, comme le Coran nous le dit ainsi que le premier commandement de le premier commandementde l’Ancien testament :“Tu n’associeras point Dieu”. La représentation de son image et de celle des prophètes est parfaitement interdite ! Se prosterner devant une statue ou une représentation l’est également. Les Musulmans ne se prosternent que devant ALLAH Le Tout Puissant, Le Seul, l’Unique, qui n’engendre pas et qui n’a pas engendré.
Nous reconnaissons les Livres Saints:
- Les feuillets purifiés d’Abraham : Souhouf-i- Ibrahim ‘alayhi salam
- La Thora authentique : At Tawrat révélée au Prophète Mussa (Moïse) ‘alayhi salam
- Le Livre des Psaumes authentique : Az-Zabour révélés au Prophète Daoud (David) ‘alayhi salam
- L’Evangile authentique : Al Injil révélé au Prophète Issa (Jésus) ‘alayhi salam
- Le Coran : Al Qo’rane révélé au Prophète Muhammad salallahu alayhi wa salam
Al Tawrah (les cinq livres de Moussa 3alayhi salam (Moïse), les premiers de la Bible), Al Zabur (les psaumes de Dawud 3alayhi salam (David) ), Al-Injil (l’Evangile de Issa 3alayhi salam (Jésus) ), et le Saint Coran.
« Oui, Nous avons écrit dans az-Zabûr, après le Rappel (le Livre céleste) que la terre sera héritée par Mes bons serviteurs ». ( 48. Sourate al-Anbiyâ’, 21: 105.)
1- Le Zabûr désigne tous les Livres des Prophètes, et cette partie du verset signifie que ” Nous avons écrit dans les Livres que Nous avons révélés aux Prophètes, après l’avoir mentionné dans le Rappel ( Thikr )”, c’est-à-dire le Livre-mère qui se trouve au Ciel, ” al-Lawh al-Mahfûdh ” (la Planche Gardée). Tel est du moins l’avis de Sa’îd Ibn Jubayr et Mujâhid Ibn Zayd;
2- Le Zabûr désigne les Livres révélés après la Bible; et le Rappel, c’est la Bible. Ceci est l’opinion d’Ibn ‘Abbâs et d’al-Dhahhâk;
3- Le Zabûr est le Livre de David et le Rappel est la Bible.
Revenons à notre prophète Issa ( Jésus) 3alayhi salam:
Quant à ce qui a trait à son assassinat et sa crucifixion, Allah, Exalté soit-Il, a démenti le fait qu’il aurait pu être tué ou crucifié et ceci de façon claire et formelle lorsqu’Il, Exalté soit-il, dit :
« et à cause de leur parole : “Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le messager d’Allah” . Or, ils ne l’ont, ni tué, ni crucifié, mais ce n’était qu’ un faux semblant ! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l’incertitude : ils n’en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l’ont certainement pas tué, mais Allah l’a élevé vers Lui. Et Allah est Puissant et Sage. Il n’y aura personne, parmi les gens du Livre, qui n’aura pas foi en lui, avant sa mort. Et au Jour de la Résurrection, il sera témoin contre eux » (Sourate 4, verset 157 à 159)
Etudions la théologie
Donc, celui qui croit sciemment que “Issa (Jésus), fils de Mariam (Marie)”, ’alayhi salat wa salam, fut tué et crucifié, se met en contradiction avec le Coran et celui qui se met sciemment en contradiction avec le Coran devient mécréant. Nous croyons, donc, que ’Issa (Jésus), alayhi salat wa salam, ne fut, ni tué, ni crucifié.
Au contraire, nous disons : “les Juifs ont commis le péché de l’assassinat et de la crucifixion en ce sens qu’ils ont prétendu avoir tué le Christ, ’Issa (Jésus) fils de Mariam (Marie), le messager d’Allah 3alayhi salam alors qu’ils ne l’ont pas tué dans les faits. Ils tuèrent et crucifièrent, en fait, une personne d’entre eux (les Juifs) qui ressemblait à ’Issa (Jésus). Une personne qu’Allah ta’ala avait déterminé au peuple juif de par sa forte ressemblance à ’Issa (Jésus) et les juifs dirent : “certes, nous avons tué le Christ, ’Issa (Jésus) fils de Mariam (Marie), le messager d’Allah. Les juifs commirent , donc, le péché de l’assassinat et de la crucifixion en admettant eux-mêmes avoir fait cela. Allah ta’ala a innocenté et préservé ’Issa (Jésus) ‘alayhi salam de cela, l’a élevé, Exalté soit-Il, au ciel auprès de Lui. Et il redescendra à la fin des temps sur terre en appliquant la loi d’Allah ta’ala avec laquelle est venu le prophète Mohammad, صلى الله عليه وسلم, puis il mourra sur terre, y sera enterré puis sera ressuscité comme tous les descendants d’Adam ‘alayhi salam, comme il est mentionné dans la parole d’Allah ta’ala :
« C’est d’elle (la terre) que Nous vous avons crées, et en elle Nous vous retournerons, et d’elle, Nous vous ferons sortir une fois encore » / « Là, dit Allah, vous vivez, là vous mourrez, et de là, on vous fera sortir » Sourate 20, verset 55 / Sourate 7,verset 25.
Rappel bénéfique inchaallah :
Ahmed Deedat Islam Jesus et Mohammed par Mead93
Réponse à un chrétien:
Conclusion
Nous croyons donc fermement que le prophète Issa 3alayhi salam n’est pas mort et qu’il va revenir sur terre pour combattre le Dajjal ( Antéchrist ) borgne d’un oeil, auprès des musulmans inchaallah. Nous l’aimons et le défendons. Nous vous appelons donc à venir participer à un rassemblement ce soir à 18h place des Pyramides à Paris. Nous avons conscience que le délai est un peu court pour avoir un nombre de participants élevé et qu’il risque forcément d’y avoir d’avantage de Chrétiens que de Musulmans. Cependant , l’essentiel est que cette présence soit symbolique. Respectez bien les consignes du service d’ordre inchaalah. Le frère Abou Hamza ne sera pas présent pour faire un discours c’est donc Abdel Malik qui va s’en occuper inchaalah. Nous ne défilerons pas avec les Chrétiens pour ne pas qu’il y ait d’ amalgame ou que l’on nous accuse de “récupération”. Nous serons là uniquement pour défendre la parole d’ALLAH Le Très Haut et l’honneur de notre Saint Prophète Issa 3alayhi salam. On vous demande de ne pas communiquer avec les médias et de laisser les Chrétiens faire leur manifestation tranquillement, car tout dérapage de langage ou de comportement sera attribué à notre groupe. La discipline, la fierté, la noblesse, et le respect seront les maîtres-mots de ce rassemblement. Barakalahoufikoum. ( un pré-rassemblement est prévu cet après-midi vers 16h dans le 93, appelez pour plus de détails inchaalah).
Appelez dès 14H ( pas avant ) à ce numéro :
06.38.32.05.91
Hafidakoum ALLAH
“L’équipe Forsane Alizza”
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Commentaire d'Hercule : J'espère que les Musulmans ne vont pas lancer une fatwa sur sur les producteurs et sur l'équipe de cette pièce de théatre qui déshonore Jésus-Issa, un des prophètes de l'Islam...
Je rappelle aussi que Jésus et sa mère étaient Juifs, j'ose espérer aussi pour le Maire de Paris que la Licra dont l'objectif est de lutter contre les discriminations et de célébrer le respect et les valeurs positives transmises par le monde des Arts, ne va pas engager une campagne de lutte contre les discriminations et le racisme anti-sémite dans les théâtres.
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://ZENIT.org/
France: Pour « une liberté d'expression respectueuse du sacré »
L'Eglise condamne des violences survenues à Paris
ROME, vendredi 28 octobre 2011 (ZENIT.org) – "L'Eglise catholique en France condamne les violences perpétrées lors de récents spectacles » à Paris, déclare Mgr Bernard Podvin, porte-parole des évêques de France. Mais l’Eglise en même temps demande « une liberté d'expression respectueuse du sacré".
L'Eglise catholique , souligne Mgr Podvin, « n'est pas organisatrice de la manifestation du 29 octobre prochain ».
Le porte-parole des évêque rappelle que l’Eglise a choisi la voie du « dialogue entre la culture et la foi » et qu’elle « réagit quand c'est nécessaire, avec détermination, et toujours par moyens pacifiques. »
Ce que demandent les catholiques, c’est d’être « respectés » dans leur foi et une liberté d'expression qui se montre « respectueuse du sacré ».
Mgr Podvin ajoute en effet : « En l'occurrence, la Conférence des évêques de France a communiqué spécifiquement sur Golgota Picnic, après consultation de source sûre. Elle appelle à une liberté d'expression respectueuse du sacré. Elle appelle à un échange avec les élus, concernant cet enjeu. L'Eglise catholique en France n'est, ni intégriste, ni obscurantiste. Les catholiques aspirent, comme citoyens, à être respectés dans ce qui est le cœur de leur foi. »
Des tensions ont en effet eu lieu à Paris, autour d’une pièce de théâtre intitulée : "Sur le concept du visage du fils de Dieu", due à un Italien, Romeo Castellucci, et actuellement représentée au Théâtre de la Ville.
Des groupes intégristes chrétiens, qui jugent le spectacle blasphématoire, ont appelé à une « manifestation contre la christianophobie » demain, samedi 29 octobre à Paris.
Depuis la Première, le 20 octobre, des manifestants ont perturbé à plusieurs reprises la représentation, parfois violemment, provoquant l’arrivée de la police et des troupes télévisées.
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Commentaire d'Hercule : On ne peut se satisfaire de cette condamnation d'une Conférence des Evêques de France à l'encontre de ces jeunes catholiques courageux qui ont décidé de ne pas laisser salir et blasphémer le nom et le visage de Dieu, notre religion catholique et notre si belle et si grande foi. Il est parfois nécessaire de partir à la guerre pour obtenir la Paix lorsque que l'on est agressés dans nos convictions religieuses par de pseudos-artiste provocateurs et subversifs qui tentent d'établir leur renommée en faisant la promotion de la laideur et de l'anti-catholicisme exacerbés et financé dans l'ombre par une franc-maçonnerie qui ne rêve que de détruire l'Eglise. Trop souvent nos Evêques et nos Pasteurs sont restés silencieux, tels des chiens muets dont on parle dans l'Ancien Testament, face à toutes ces provocations outrancières et indignes de cette pauvre France, dite "pays de liberté et des droits de l'homme". Pour ce silence et cette passivité complice, beaucoup d'Evêques, de prêtres, de religieux et de baptisés auront à mourir martyrs de la foi, tel que les prophéties chrétiennes nous l'annoncent avec une précision étonnante. Il n'en sera pas différemment du passé, et après le temps des épreuves qui vient sur nous, l'Eglise martyrisée pourra se relever et se remettre en marche vers son triomphe, revivifiée dans le sang du Christ et par le sang des martyrs.
A une époque où la France était envahie par les Anglais, le Seigneur a su susciter Sainte Jeanne d'Arc pour la placer au coeur des combats, jusqu'à ce que l'Evêque Cauchon la trahissait et la livre à la mort horrible que l'on connait.
J'ai malheureusement encore vu sur les quinze dernières années passées des groupes catholiques plus ou moins marginalisés livrés par nos Evêques à la persécution de la franc-maçonnerie à travers par exemple la fumisterie de cette lutte anti-secte organisée par la secte du Grand Orient de France.
Que ces Evêques et ces responsables de l'Eglise de France pensent à leurs fins dernières et se souviennent qu'un jour prochain, ils auront à se présenter devant le Père Eternel. Le saint Curé d'Ars aimait à dire : "Beaucoup de prêtres au jour du jugement auraient aimé n'avoir jamais été prêtres mais simples laïcs". Pensez-y et soyez assurés de ma prière...
France: Pour « une liberté d'expression respectueuse du sacré »
L'Eglise condamne des violences survenues à Paris
ROME, vendredi 28 octobre 2011 (ZENIT.org) – "L'Eglise catholique en France condamne les violences perpétrées lors de récents spectacles » à Paris, déclare Mgr Bernard Podvin, porte-parole des évêques de France. Mais l’Eglise en même temps demande « une liberté d'expression respectueuse du sacré".
L'Eglise catholique , souligne Mgr Podvin, « n'est pas organisatrice de la manifestation du 29 octobre prochain ».
Le porte-parole des évêque rappelle que l’Eglise a choisi la voie du « dialogue entre la culture et la foi » et qu’elle « réagit quand c'est nécessaire, avec détermination, et toujours par moyens pacifiques. »
Ce que demandent les catholiques, c’est d’être « respectés » dans leur foi et une liberté d'expression qui se montre « respectueuse du sacré ».
Mgr Podvin ajoute en effet : « En l'occurrence, la Conférence des évêques de France a communiqué spécifiquement sur Golgota Picnic, après consultation de source sûre. Elle appelle à une liberté d'expression respectueuse du sacré. Elle appelle à un échange avec les élus, concernant cet enjeu. L'Eglise catholique en France n'est, ni intégriste, ni obscurantiste. Les catholiques aspirent, comme citoyens, à être respectés dans ce qui est le cœur de leur foi. »
Des tensions ont en effet eu lieu à Paris, autour d’une pièce de théâtre intitulée : "Sur le concept du visage du fils de Dieu", due à un Italien, Romeo Castellucci, et actuellement représentée au Théâtre de la Ville.
Des groupes intégristes chrétiens, qui jugent le spectacle blasphématoire, ont appelé à une « manifestation contre la christianophobie » demain, samedi 29 octobre à Paris.
Depuis la Première, le 20 octobre, des manifestants ont perturbé à plusieurs reprises la représentation, parfois violemment, provoquant l’arrivée de la police et des troupes télévisées.
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Commentaire d'Hercule : On ne peut se satisfaire de cette condamnation d'une Conférence des Evêques de France à l'encontre de ces jeunes catholiques courageux qui ont décidé de ne pas laisser salir et blasphémer le nom et le visage de Dieu, notre religion catholique et notre si belle et si grande foi. Il est parfois nécessaire de partir à la guerre pour obtenir la Paix lorsque que l'on est agressés dans nos convictions religieuses par de pseudos-artiste provocateurs et subversifs qui tentent d'établir leur renommée en faisant la promotion de la laideur et de l'anti-catholicisme exacerbés et financé dans l'ombre par une franc-maçonnerie qui ne rêve que de détruire l'Eglise. Trop souvent nos Evêques et nos Pasteurs sont restés silencieux, tels des chiens muets dont on parle dans l'Ancien Testament, face à toutes ces provocations outrancières et indignes de cette pauvre France, dite "pays de liberté et des droits de l'homme". Pour ce silence et cette passivité complice, beaucoup d'Evêques, de prêtres, de religieux et de baptisés auront à mourir martyrs de la foi, tel que les prophéties chrétiennes nous l'annoncent avec une précision étonnante. Il n'en sera pas différemment du passé, et après le temps des épreuves qui vient sur nous, l'Eglise martyrisée pourra se relever et se remettre en marche vers son triomphe, revivifiée dans le sang du Christ et par le sang des martyrs.
A une époque où la France était envahie par les Anglais, le Seigneur a su susciter Sainte Jeanne d'Arc pour la placer au coeur des combats, jusqu'à ce que l'Evêque Cauchon la trahissait et la livre à la mort horrible que l'on connait.
J'ai malheureusement encore vu sur les quinze dernières années passées des groupes catholiques plus ou moins marginalisés livrés par nos Evêques à la persécution de la franc-maçonnerie à travers par exemple la fumisterie de cette lutte anti-secte organisée par la secte du Grand Orient de France.
Que ces Evêques et ces responsables de l'Eglise de France pensent à leurs fins dernières et se souviennent qu'un jour prochain, ils auront à se présenter devant le Père Eternel. Le saint Curé d'Ars aimait à dire : "Beaucoup de prêtres au jour du jugement auraient aimé n'avoir jamais été prêtres mais simples laïcs". Pensez-y et soyez assurés de ma prière...
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://www.contre-info.com/compte-rendu-de-la-manifestation-de-samedi
C’était un 30 octobre
Compte-rendu de la manifestation de samedi.
La manifestation organisée par Civitas et soutenue par divers mouvements et associations a connu un beau succès, avec près de 5000 personnes, foulant le pavé parisien sous la pluie, derrière une première banderole indiquant « La France est chrétienne et doit le rester ».
Il s’agissait de dénoncer les attaques haineuses et méprisantes dont sont victimes le christianisme et la figure du Christ dans les milieux prétendus « culturels ».
Une longue marche, digne, où se succcédaient slogans, chants et prières.
La préfecture avait détourné le trajet de la manifestation, la faisant aboutir sur une place exigüe, loin des lieux où se déroulait le blasphème.
Après un discours énergique d’Alain Escada, secrétaire général de Civitas, et une allocution de l’abbé de Cacqueray, supérieur de la Fraternité Saint Pie X en France, la manifestation s’est dispersée.
A la suite de quoi, plusieurs centaines de manifestants se sont dirigés par groupes vers la place du Chatelet, voulant protester face au théâtre où la pièce se déroulait en présence de Frédéric Mitterrand, « ministre de la culture ».
Le premier groupe de jeunes catholiques arrive sur place et fait reculer (sans violence) une ligne de CRS sur cinquante mètres. Puis, ceux-ci paniquent et balancent du gaz lacrymogène sur la foule, n’épargnant pas les prêtres présents. Les coups de matraque tombent aussi.
Un prêtre brandit un crucifix aux CRS en leur criant « vous voulez le gazer lui aussi ?! »
Dans un face-à-face tendu, les catholiques s’agenouillent et commencent à réciter le chapelet, prêtres traditionalistes en première ligne.
Le reste des manifestants est arrivé (environ 400 personnes au total), et recommence ce qui a été fait les soirs précédents : prières, chants, slogans (dont un savoureux « Mitterrand en Thaïlande ! »), pendant 2 heures, avant une dispersion vers 23h.
Pour soutenir les catholiques qui vont avoir des frais de justice suite à ces quinze jours de protestations, c’est ici :
soutienauxmilitants.com
__________________________
Pour l’anecdote, signalons la présence, durant la marche, d’un groupe de musulmans du Centre Zahra (chiite), et sur la place du Chatelet, d’un petit groupe d’islamistes de « Forsane Alizza ».
C’était un 30 octobre
Compte-rendu de la manifestation de samedi.
La manifestation organisée par Civitas et soutenue par divers mouvements et associations a connu un beau succès, avec près de 5000 personnes, foulant le pavé parisien sous la pluie, derrière une première banderole indiquant « La France est chrétienne et doit le rester ».
Il s’agissait de dénoncer les attaques haineuses et méprisantes dont sont victimes le christianisme et la figure du Christ dans les milieux prétendus « culturels ».
Une longue marche, digne, où se succcédaient slogans, chants et prières.
La préfecture avait détourné le trajet de la manifestation, la faisant aboutir sur une place exigüe, loin des lieux où se déroulait le blasphème.
Après un discours énergique d’Alain Escada, secrétaire général de Civitas, et une allocution de l’abbé de Cacqueray, supérieur de la Fraternité Saint Pie X en France, la manifestation s’est dispersée.
A la suite de quoi, plusieurs centaines de manifestants se sont dirigés par groupes vers la place du Chatelet, voulant protester face au théâtre où la pièce se déroulait en présence de Frédéric Mitterrand, « ministre de la culture ».
Le premier groupe de jeunes catholiques arrive sur place et fait reculer (sans violence) une ligne de CRS sur cinquante mètres. Puis, ceux-ci paniquent et balancent du gaz lacrymogène sur la foule, n’épargnant pas les prêtres présents. Les coups de matraque tombent aussi.
Un prêtre brandit un crucifix aux CRS en leur criant « vous voulez le gazer lui aussi ?! »
Dans un face-à-face tendu, les catholiques s’agenouillent et commencent à réciter le chapelet, prêtres traditionalistes en première ligne.
Le reste des manifestants est arrivé (environ 400 personnes au total), et recommence ce qui a été fait les soirs précédents : prières, chants, slogans (dont un savoureux « Mitterrand en Thaïlande ! »), pendant 2 heures, avant une dispersion vers 23h.
Pour soutenir les catholiques qui vont avoir des frais de justice suite à ces quinze jours de protestations, c’est ici :
soutienauxmilitants.com
__________________________
Pour l’anecdote, signalons la présence, durant la marche, d’un groupe de musulmans du Centre Zahra (chiite), et sur la place du Chatelet, d’un petit groupe d’islamistes de « Forsane Alizza ».
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://www.libertepolitique.com/actualite/55-france/7145-blasphemes-publics-nouvelles-attaques-au-nom-de-la-culture
Blasphèmes publics : nouvelles attaques au nom de la culture
28 Octobre 2011
« Après le Piss Christ d’Andres Serrano (…) voici le Shit Christ de Romeo Castellucci » ! Le mot est de Patrick Sourd des Inrocks. Ce dernier prend la plume pour se faire la voix des spectateurs « victimes d’une attaque terroriste menée par des nervis opposés à la liberté d’expression et déterminés à censurer la culture ».
Ce jeudi 20 octobre, plusieurs manifestants se sont rassemblés devant le théâtre de la Ville de Paris à l’occasion de la première de Sur le concept du visage du fils de Dieu de Romeo Castellucci. Ces derniers répondaient à l’appel de l'Institut Civitas et on été accueillis par les CRS. Plusieurs débordements sont à déplorer ce qui fait dire à certains que des membres de L’Action Française s’en sont mêlés. Tandis qu’à l’extérieur, des manifestants tentaient de s’enchaîner aux grilles, d’autres ont occupé la scène du théâtre en chantant des cantiques sous une banderole contre la christianophobie. Le théâtre rapporte que, le lendemain, les fauteurs de troubles s’en sont de nouveau pris aux spectateurs à l'extérieur du théâtre avec de l'huile de vidange et des œufs.
La cause d’un tel déchaînement ? Cette pièce de théâtre qui met en scène un portrait géant du Christ qui se retrouve par moments « souillé » « en laissant penser que c'est de la matière fécale qui vient le salir et de blesser ainsi tant de croyants », explique Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas. Un nouveau blasphème public contre lequel l’AFSP mettait en garde il y a quelque temps sur le site libertepolitique.com.
Après le récent scandale du Piss Christ, cette affaire remet de l’huile sur le feu et donne l’impression aux chrétiens que l’avenir sera toujours pire s’ils ne réagissent pas ! La Ville de Paris et le théâtre portent conjointement plainte pour « actes de dégradation du domaine public » et « atteinte à la liberté de création et d'expression artistique ». L'Observatoire de la liberté de la création a dénoncé dans un communiqué « ces comportements violents qui tentent, comme tous les intégristes fondamentalistes, d'empêcher une représentation touchant à la religion non conforme à leurs dogmes étroits ». Enfin, le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, a déclaré « Ces perturbations portent atteinte à un principe fondamental de liberté d'expression protégé par le droit français ».
Personne ne semble se soucier des torts que la pièce fait aux chrétiens et à la représentation du Christ excepté… le groupe islamiste Forsane Alizza ! Contacté par Nouvelles de France, leur meneur Abou Hamza s’est déclaré « affligé que les musulmans n’aient pas agi les premiers » car « Issa (que la paix soit sur lui) est un grand prophète de l’islam ». « En voyant prier sur la scène ces jeunes du Renouveau français, j’ai été touché par l’amour que portent ces chrétiens à leur religion », a-t-il ajouté.
Pourtant, à y regarder de près, si le comportement de ces manifestants est condamnable au regard de la loi, la pièce du théâtre de la Ville de Paris semble, elle aussi, porter atteinte à une liberté fondementale garantie par notre constitution : la liberté de conscience qui intègre la liberté de religion et le respect du sacré. C’est pourquoi l’Eglise, en la personne du porte parole de la Conférence des évêques de France, Mgr Podvin, a condamné les « violences perpétrées lors de récents spectacles et promeut le dialogue et la foi » mais réclame également « une liberté d'expression respectueuse du sacré. Elle appelle à un échange avec les élus, concernant cet enjeu ».
Reste une question que pose Myriam Picard, journaliste et membre du Comité de rédaction de Riposte Laïque, « En quoi, donc, le fait de sauter sur une scène de théâtre avec une banderole, de filer un coup de pied puis de réciter un Ave Maria, en quoi le fait de balancer des œufs et de l’huile de vidange tout en récitant le chapelet montre-t-il la grandeur du sacrifice du Christ, de son amour pour nous, et la beauté de l’Eglise ? En quoi cela pousse-t-il les spectateurs, qui étaient présents ce jour-là, à lire l’Evangile, à écouter Benoît XVI, à s’interroger sur le sens de leur existence ? » Nouvelles de France
Source : Observatoire de la liberté de la création, Le Figaro, Les Inrocks, Nouvelles de France
Blasphèmes publics : nouvelles attaques au nom de la culture
28 Octobre 2011
« Après le Piss Christ d’Andres Serrano (…) voici le Shit Christ de Romeo Castellucci » ! Le mot est de Patrick Sourd des Inrocks. Ce dernier prend la plume pour se faire la voix des spectateurs « victimes d’une attaque terroriste menée par des nervis opposés à la liberté d’expression et déterminés à censurer la culture ».
Ce jeudi 20 octobre, plusieurs manifestants se sont rassemblés devant le théâtre de la Ville de Paris à l’occasion de la première de Sur le concept du visage du fils de Dieu de Romeo Castellucci. Ces derniers répondaient à l’appel de l'Institut Civitas et on été accueillis par les CRS. Plusieurs débordements sont à déplorer ce qui fait dire à certains que des membres de L’Action Française s’en sont mêlés. Tandis qu’à l’extérieur, des manifestants tentaient de s’enchaîner aux grilles, d’autres ont occupé la scène du théâtre en chantant des cantiques sous une banderole contre la christianophobie. Le théâtre rapporte que, le lendemain, les fauteurs de troubles s’en sont de nouveau pris aux spectateurs à l'extérieur du théâtre avec de l'huile de vidange et des œufs.
La cause d’un tel déchaînement ? Cette pièce de théâtre qui met en scène un portrait géant du Christ qui se retrouve par moments « souillé » « en laissant penser que c'est de la matière fécale qui vient le salir et de blesser ainsi tant de croyants », explique Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas. Un nouveau blasphème public contre lequel l’AFSP mettait en garde il y a quelque temps sur le site libertepolitique.com.
Après le récent scandale du Piss Christ, cette affaire remet de l’huile sur le feu et donne l’impression aux chrétiens que l’avenir sera toujours pire s’ils ne réagissent pas ! La Ville de Paris et le théâtre portent conjointement plainte pour « actes de dégradation du domaine public » et « atteinte à la liberté de création et d'expression artistique ». L'Observatoire de la liberté de la création a dénoncé dans un communiqué « ces comportements violents qui tentent, comme tous les intégristes fondamentalistes, d'empêcher une représentation touchant à la religion non conforme à leurs dogmes étroits ». Enfin, le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, a déclaré « Ces perturbations portent atteinte à un principe fondamental de liberté d'expression protégé par le droit français ».
Personne ne semble se soucier des torts que la pièce fait aux chrétiens et à la représentation du Christ excepté… le groupe islamiste Forsane Alizza ! Contacté par Nouvelles de France, leur meneur Abou Hamza s’est déclaré « affligé que les musulmans n’aient pas agi les premiers » car « Issa (que la paix soit sur lui) est un grand prophète de l’islam ». « En voyant prier sur la scène ces jeunes du Renouveau français, j’ai été touché par l’amour que portent ces chrétiens à leur religion », a-t-il ajouté.
Pourtant, à y regarder de près, si le comportement de ces manifestants est condamnable au regard de la loi, la pièce du théâtre de la Ville de Paris semble, elle aussi, porter atteinte à une liberté fondementale garantie par notre constitution : la liberté de conscience qui intègre la liberté de religion et le respect du sacré. C’est pourquoi l’Eglise, en la personne du porte parole de la Conférence des évêques de France, Mgr Podvin, a condamné les « violences perpétrées lors de récents spectacles et promeut le dialogue et la foi » mais réclame également « une liberté d'expression respectueuse du sacré. Elle appelle à un échange avec les élus, concernant cet enjeu ».
Reste une question que pose Myriam Picard, journaliste et membre du Comité de rédaction de Riposte Laïque, « En quoi, donc, le fait de sauter sur une scène de théâtre avec une banderole, de filer un coup de pied puis de réciter un Ave Maria, en quoi le fait de balancer des œufs et de l’huile de vidange tout en récitant le chapelet montre-t-il la grandeur du sacrifice du Christ, de son amour pour nous, et la beauté de l’Eglise ? En quoi cela pousse-t-il les spectateurs, qui étaient présents ce jour-là, à lire l’Evangile, à écouter Benoît XVI, à s’interroger sur le sens de leur existence ? » Nouvelles de France
Source : Observatoire de la liberté de la création, Le Figaro, Les Inrocks, Nouvelles de France
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/cela-pose-problème.html
27 octobre 2011
Cela pose problème
Intéressant aveu du sociologue Odon Vallet :
"il y a aujourd'hui une inégalité de traitement" entre religions, aux dépens du christianisme: "Il est évident que, si au lieu du portrait du Christ, il y avait eu celui de Mahomet ou de Moïse, la pièce ne serait pas passée, (par) crainte d'une islamophobie raciste ou d'un antisémitisme aux relents nauséeux".
"C'est vrai qu'on défend moins les convictions des croyants chrétiens en se disant qu'ils seront plus tolérants. Cela pose problème".
Posté le 27 octobre 2011 à 22h28 par Michel Janva
27 octobre 2011
Cela pose problème
Intéressant aveu du sociologue Odon Vallet :
"il y a aujourd'hui une inégalité de traitement" entre religions, aux dépens du christianisme: "Il est évident que, si au lieu du portrait du Christ, il y avait eu celui de Mahomet ou de Moïse, la pièce ne serait pas passée, (par) crainte d'une islamophobie raciste ou d'un antisémitisme aux relents nauséeux".
"C'est vrai qu'on défend moins les convictions des croyants chrétiens en se disant qu'ils seront plus tolérants. Cela pose problème".
Posté le 27 octobre 2011 à 22h28 par Michel Janva
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/encore-plus-de-250-personnes-devant-le-théâtre-de-la-ville-ce-soir.html
27 octobre 2011
Encore plus de 250 personnes devant le théâtre de la Ville ce soir
Sur Le Forum catholique, un liseur raconte :
"Il y avait depuis 18h15 au moins, plusieurs fourgons et deux bus de police prêts à embarquer les manifestants. Vers 19h00, la place centrale du Châtelet était cernée par les policiers mais on pouvait encore y accéder. Il y avait également de nombreux policiers en civil (peu discrets!): l'un d'eux m'a demandé d'ouvrir mon sac mais sinon rien.
19h45 (environ): une petite dizaine de camions de Gendarmerie [...] arrivent en renfort.
Les gendarmes, peu habitués à la chose, avaient gardé tout leur attirail (matraques, casques, protèges-tibia...) contrairement aux policiers qui commencent à nous connaître."
Sur Le Figaro, 95% des internautes approuvent les catholiques.
Sur Le Parisien, les réactions sont également positives, en général, vis-à-vis des catholiques. De même sur Le Point.
Interrogé par Nouvelles de France (lequel a vu ses images reprises par Arte), le père Guy Gilbert approuve également :
"Les artistes sont très violents contre l’Eglise. Il y a un fort anticléricalisme qui sévit actuellement."
Ce que confirme l'abbé de Tanouärn :
"Roméo Castellucci se croit drôle en disant des chrétiens courageux qui viennent prier à son spectacle : "Je leur pardonne. Ils ne savent pas ce qu'ils font". Il montre surtout, ce disant, que le Christ n'est pas pour lui un étranger, que ses blasphèmes sont des blasphèmes de luxe, soigneusement préparés en connaissance de cause. Ce sont assurément les plus graves."
Alain Escada, secrétaire général de Civitas, répondra en direct sur FECIT demain le 28 octobre 2011 à partir de 18h30.
Posté le 27 octobre 2011 à 21h44 par Michel Janva
27 octobre 2011
Encore plus de 250 personnes devant le théâtre de la Ville ce soir
Sur Le Forum catholique, un liseur raconte :
"Il y avait depuis 18h15 au moins, plusieurs fourgons et deux bus de police prêts à embarquer les manifestants. Vers 19h00, la place centrale du Châtelet était cernée par les policiers mais on pouvait encore y accéder. Il y avait également de nombreux policiers en civil (peu discrets!): l'un d'eux m'a demandé d'ouvrir mon sac mais sinon rien.
19h45 (environ): une petite dizaine de camions de Gendarmerie [...] arrivent en renfort.
Les gendarmes, peu habitués à la chose, avaient gardé tout leur attirail (matraques, casques, protèges-tibia...) contrairement aux policiers qui commencent à nous connaître."
Sur Le Figaro, 95% des internautes approuvent les catholiques.
Sur Le Parisien, les réactions sont également positives, en général, vis-à-vis des catholiques. De même sur Le Point.
Interrogé par Nouvelles de France (lequel a vu ses images reprises par Arte), le père Guy Gilbert approuve également :
"Les artistes sont très violents contre l’Eglise. Il y a un fort anticléricalisme qui sévit actuellement."
Ce que confirme l'abbé de Tanouärn :
"Roméo Castellucci se croit drôle en disant des chrétiens courageux qui viennent prier à son spectacle : "Je leur pardonne. Ils ne savent pas ce qu'ils font". Il montre surtout, ce disant, que le Christ n'est pas pour lui un étranger, que ses blasphèmes sont des blasphèmes de luxe, soigneusement préparés en connaissance de cause. Ce sont assurément les plus graves."
Alain Escada, secrétaire général de Civitas, répondra en direct sur FECIT demain le 28 octobre 2011 à partir de 18h30.
Posté le 27 octobre 2011 à 21h44 par Michel Janva
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/réaction-à-blois-contre-la-pièce-de-romeo-castelluci.html
27 octobre 2011
Réaction à Blois contre la pièce de Romeo Castelluci
Lu sur le FC :
"En réparation à Dieu, et en solidarité avec les jeunes qui ont protesté, et qui protestent encore à Paris devant le théâtre de la ville (Paris Châtelet), et qui ont été réprimés par la police, une soirée de prière et d’Adoration aura lieu à la Basilique Notre-Dame de la Trinité de Blois, le samedi 29 octobre 2011, à 18h30 :
18h30 à 19h : vêpres
19h à 20h : Adoration Eucharistique.
Les catholiques sont tous instamment invités à s’y associer, fidèles comme communautés sacerdotales ou religieuses".
Posté le 27 octobre 2011 à 17h12 par Michel Janva
27 octobre 2011
Réaction à Blois contre la pièce de Romeo Castelluci
Lu sur le FC :
"En réparation à Dieu, et en solidarité avec les jeunes qui ont protesté, et qui protestent encore à Paris devant le théâtre de la ville (Paris Châtelet), et qui ont été réprimés par la police, une soirée de prière et d’Adoration aura lieu à la Basilique Notre-Dame de la Trinité de Blois, le samedi 29 octobre 2011, à 18h30 :
18h30 à 19h : vêpres
19h à 20h : Adoration Eucharistique.
Les catholiques sont tous instamment invités à s’y associer, fidèles comme communautés sacerdotales ou religieuses".
Posté le 27 octobre 2011 à 17h12 par Michel Janva
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/y-aurait-il-deux-poids-deux-mesures-selon-les-religions-au-pays-de-la-laïcité-.html
27 octobre 2011
Y aurait-il deux poids, deux mesures, selon les religions, au pays de la laïcité ?
Extrait du reportage de Nouvelles de France, place du Châtelet hier :
"Sur place, les slogans (« Discriminations, on en a plus qu’assez ! », « Christ caillassé, chrétiens insultés ! ») alternent avec les chants religieux et les dizaines de « Je vous salue Marie » récités à genoux. Des pancartes « L’art doit aussi respecter les convictions d’autrui » ou encore « Dans ce théâtre, on insulte les chrétiens » sont brandies par certains manifestants. Les forces de l’ordre autorisent les individus présents sur la place à rejoindre le terre-plein mais ceux-ci ne peuvent ensuite plus le quitter. Deux rangées de fourgons cachent aux spectateurs la vue des manifestants.
« Mieux vaut croire en quelque chose qu’en rien » commente un policier à l’intention d’un collègue sceptique. Le rassemblement est l’occasion pour certains de se poser des questions existentielles et de débattre. Des catholiques font lire à des policiers leurs tracts. Le dialogue s’instaure. Des sourires se dessinent sur les visages, de chaque côté.
Angélique vient de la Place de la Concorde où elle a acclamé, comme 10 000 autres supporters, les joueurs du XV de France de retour au pays. Cette habituée de la messe en latin nous raconte qu’hier, un policier qui l’embarquait lui a montré la croix du blason de son uniforme en souriant. Carlos est étudiant Erasmus. Catholique espagnol, il accompagne un ami français venu prier place du Châtelet et commente, avec son accent : « dans votre République, la liberté, ce n’est pas pour tout le monde, on dirait ! ». Isabelle tracte pour la manifestation organisée samedi. Sa sensibilité religieuse ? « L’Emmanuel », mais « sans exclusive ». Plusieurs prêtres de la Fraternité Saint-Pie X sont également présents."
Dans un communiqué, Renaissance catholique écrit :
"Devant les réactions indignées des jeunes catholiques, les hypocrites hurlent à l’atteinte à la liberté d’expression alors qu’ils se scandaliseraient de toute mise en scène présentant une image négative du "prophète" Mahomet. Qui croit vraiment que les réactions à une représentation d’un imam couvert d’urine sur fond de face de Mahomet que des fillettes bombarderaient de tranches de jambon se limiteraient à des prières pacifiques dans la rue ? [...]
Renaissance Catholique –qui organise du 28 octobre au 1er novembre, à Riaumont (62), une Session de formation pour les 16-25 ans sur "2000 ans de christophobie" durant laquelle seront présentés, discutés et réfutés les arguments des tenants du droit au blasphème au nom de la liberté d’expression– appelle ses adhérents et sympathisants à participer nombreux à la manifestation contre la christianophobie organisée par l’Institut Civitas samedi 29 octobre à 18h, place des Pyramides à Paris. Alors que chaque soir les forces de police interpellent les manifestants en prière, il semble qu’aucune prière musulmane illégale, comme celle de la rue Myrha à Paris, ait jamais donné lieu à la moindre interpellation : y aurait-il deux poids, deux mesures, selon les religions, au pays de la laïcité ?"
Posté le 27 octobre 2011 à 15h22 par Michel Janva
27 octobre 2011
Y aurait-il deux poids, deux mesures, selon les religions, au pays de la laïcité ?
Extrait du reportage de Nouvelles de France, place du Châtelet hier :
"Sur place, les slogans (« Discriminations, on en a plus qu’assez ! », « Christ caillassé, chrétiens insultés ! ») alternent avec les chants religieux et les dizaines de « Je vous salue Marie » récités à genoux. Des pancartes « L’art doit aussi respecter les convictions d’autrui » ou encore « Dans ce théâtre, on insulte les chrétiens » sont brandies par certains manifestants. Les forces de l’ordre autorisent les individus présents sur la place à rejoindre le terre-plein mais ceux-ci ne peuvent ensuite plus le quitter. Deux rangées de fourgons cachent aux spectateurs la vue des manifestants.
« Mieux vaut croire en quelque chose qu’en rien » commente un policier à l’intention d’un collègue sceptique. Le rassemblement est l’occasion pour certains de se poser des questions existentielles et de débattre. Des catholiques font lire à des policiers leurs tracts. Le dialogue s’instaure. Des sourires se dessinent sur les visages, de chaque côté.
Angélique vient de la Place de la Concorde où elle a acclamé, comme 10 000 autres supporters, les joueurs du XV de France de retour au pays. Cette habituée de la messe en latin nous raconte qu’hier, un policier qui l’embarquait lui a montré la croix du blason de son uniforme en souriant. Carlos est étudiant Erasmus. Catholique espagnol, il accompagne un ami français venu prier place du Châtelet et commente, avec son accent : « dans votre République, la liberté, ce n’est pas pour tout le monde, on dirait ! ». Isabelle tracte pour la manifestation organisée samedi. Sa sensibilité religieuse ? « L’Emmanuel », mais « sans exclusive ». Plusieurs prêtres de la Fraternité Saint-Pie X sont également présents."
Dans un communiqué, Renaissance catholique écrit :
"Devant les réactions indignées des jeunes catholiques, les hypocrites hurlent à l’atteinte à la liberté d’expression alors qu’ils se scandaliseraient de toute mise en scène présentant une image négative du "prophète" Mahomet. Qui croit vraiment que les réactions à une représentation d’un imam couvert d’urine sur fond de face de Mahomet que des fillettes bombarderaient de tranches de jambon se limiteraient à des prières pacifiques dans la rue ? [...]
Renaissance Catholique –qui organise du 28 octobre au 1er novembre, à Riaumont (62), une Session de formation pour les 16-25 ans sur "2000 ans de christophobie" durant laquelle seront présentés, discutés et réfutés les arguments des tenants du droit au blasphème au nom de la liberté d’expression– appelle ses adhérents et sympathisants à participer nombreux à la manifestation contre la christianophobie organisée par l’Institut Civitas samedi 29 octobre à 18h, place des Pyramides à Paris. Alors que chaque soir les forces de police interpellent les manifestants en prière, il semble qu’aucune prière musulmane illégale, comme celle de la rue Myrha à Paris, ait jamais donné lieu à la moindre interpellation : y aurait-il deux poids, deux mesures, selon les religions, au pays de la laïcité ?"
Posté le 27 octobre 2011 à 15h22 par Michel Janva
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://www.laportelatine.org/archives/communic/2011/civitasSouchon111030/souchon111030.php
Communiqué de M° François Souchon, avocat des jeunes manifestants interpelés
Accès aux communiqués archivés en 2011
L'appel de l'abbé de Cacqueray : Défendons le Christ : signons la pétition !
Campagne contre la christianophobie : nul ne peut dire qu'il ne peut rien faire
Communiqué de M° François Souchon,
avocat des jeunes manifestants interpelés
Le 30 octobre 2011
Après l'Affaire d'OUTREAU, l'affaire d'outrés ?
"Mais surtout, j’ai pu constater que tout était mis en œuvre pour priver intégralement mes clients des droits de la défense les plus essentiels et les plus fondamentaux."
En ma qualité d’avocat, j’ai été appelé à assumer la défense de ces catholiques de toutes générations et de tous milieux, qui depuis quelques jours ont manifesté par un courage sans précédent leur indignation face à une des injures publiques la plus grave faite à l’image au combien sacrée et chère au cœur de tout chrétien.
En effet, depuis quelques jours, se joue au théâtre de la ville à Paris une pièce dont le thème est un vieillard déféquant sur scène pendant plus d’une heure, un second acteur jouant son fils venant lui essuyer les fesses à intervalles réguliers. Les excréments sont ensuite utilisés pour recouvrir et badigeonner un portrait géant du Christ.
Cette « œuvre » destinée à une caste bourgeoise d’initiés privilégiés est subventionnée par les fonds publics, en pleine période de crise, lorsque tant de gens, auxquels nos hommes politiques ventripotents imposent une politique d’austérité, peinent à joindre les deux bouts, y compris ces catholiques dont les impôts sont utilisés pour les injurier gravement dans ce qu’ils ont de plus cher, pour la seule et unique satisfaction des quelques amis du multimilliardaire Pierre BERGE, mécène du « festival d’automne » organisé conjointement par la mairie de Paris et le Ministère de l’inculture.
Pour avoir simplement et sans violence osé s’en indigner, ces catholiques ont fait l’objet d’une véritable rafle généralisée, par cars entiers de police, avant de subir un acharnement judiciaire particulièrement aberrant.
Dans les faits, si quelques jets d’œufs ou d’huile ont agrémenté les premières représentations, la très large majorité de mes clients n’a en réalité strictement rien fait d’autre que de se lever de leur siège dans le théâtre pour siffler ou manifester leur désapprobation par des mots simples, sans injures ni grossièretés. Certains autres se sont contentés d’une prière.
Un tarif de groupe leur a été appliqué à tous, sans distinguer les simples « siffleurs » des lanceurs d’oeufs : atteinte à la liberté d’expression, violence avec arme et dégradation de biens… !
Pire encore, de simples spectateurs non catholiques et sans aucun rapport avec cette action contestataire, des personnes qui venaient au théâtre pour se détendre ont été arrêtés pour avoir quitté leur fauteuil, souhaitant rentrer chez eux parce que la pièce les ennuyait.
Ainsi tous ceux qui ne partagent pas le goût de Monsieur le Maire de Paris et de Monsieur le Ministre pour les matières fécales sont passibles de poursuites pénales et de détention !!!
Mais surtout, j’ai pu constater que tout était mis en œuvre pour priver intégralement mes clients des droits de la défense les plus essentiels et les plus fondamentaux.
Le Code pénal et le Code de Procédure Pénale ont tout simplement fait l’objet d’une suppression spéciale pour ces catholiques.
Deux nuits de suite, je suis passé de commissariat en commissariat pour assister mes clients placés en garde à vue. Alors que je me présentais au poste du Vème arrondissement de Paris, muni de ma carte professionnelle, il m’a tout simplement été interdit de voir mes clients et de leur parler après que le policier de l’accueil ait passé un coup de téléphone… !
Il a été signifié à mes clients qu’ayant été arrêtés à Paris, ils n’avaient pas le droit de désigner pour leur défense un avocat du barreau de Chartres : premier mensonge.
Il leur a ensuite été signifié que le même avocat ne pouvait défendre à la fois plusieurs des personnes impliquées dans l’affaire : second mensonge.
L’on a tenté faire signer à mes clients un procès-verbal signifiant la fin de leur garde à vue de 24 H, alors qu’ils en étaient déjà à leur 32ème heure de garde à vue !
Et des telles manœuvres se sont répétées et multipliées durant toute la procédure.
Si dans les autres commissariats les entretiens se sont mieux passées, les officiers de police judiciaire, censés être maîtres de la décision de placer ou non un citoyen en garde à vue, m’ont confié que ce pouvoir leur avait été ôté dans cette affaire précise et qu’ils avaient subi eux-mêmes d’extraordinaires pressions venant « de très haut ».
D’autres policiers se sont dits révoltés que les maigres moyens dont ils disposent soient mobilisés dans une affaire aussi absurde et ont même déclaré ouvertement aux personnes placées en garde à vue leur sympathie à l’égard de leur cause.
Alors qu’on me laissait entendre que mes clients seraient libérés sous peu après leur arrestation, les policiers me confiaient qu’ils avaient finalement reçu de « nouvelles instructions » pour que la garde à vue soit prolongée au maximum !
Il semble donc que la mairie de Paris et le Ministère de l’ inculture aient donné leurs « instructions » et leurs ordres à tous les intervenants de la chaîne judiciaire, interférant ainsi pour leur propre compte dans l’enquête, ce qui est parfaitement illégal et constitue un remarquable abus de pouvoir.
Certains ont été placés en garde à vue au milieu d’individus retenus pour une agression au couteau. Ces individus étaient libérés quelques heures après leur arrestation, alors que l’on signifiait à mes clients une prolongation de leur détention, soit de nouveau 24 heures en cellule, à raison d’ « instructions spéciales »...
48 heures de garde à vue pour avoir sifflé dans un théâtre !!!
J’ai vu de jeunes filles à peine sorties de l’adolescence, menottées et le regard brisé…pour avoir dit une prière.
Ces catholiques ont ensuite été déférés devant « le Juge des Libertés et de la Détention ».
Je me suis présenté à l’audience pour 19 d’entre eux avec l’intention de plaider l’absence de mesures contraignantes.
Le juge a commencé l’audience en énonçant la décision…qu’il avait déjà prise sans même avoir jugé. Il m’a été purement et simplement interdit de plaider ! Le juge me signifiant que sa décision – déjà prise avant l’audience - ne saurait être contestée tant sur le principe que sur le fondement.
Avec le plus grand sérieux, ce magistrat invoquait « une conspiration contre la liberté d’expression », seul instant de cette tragique histoire où il m’a fallu retenir un fou rire.
Accusant mes clients d’entrée en force dans le théâtre (alors qu’ils avaient acheté leur place), ce juge les accusait d’atteinte à la liberté d’expression avant de leur expliquer, toujours avec le plus grand sérieux, que « la liberté ne doit pas nuire à autrui »… !
Sauf aux catholiques apparemment.
En une seule et même audience, ce juge a rendu une sentence générale applicable à toutes ces fournées de malheureux, sans se pencher à aucun moment sur les faits ni les actes, exerçant sa fonction de la manière des plus industrielles, visiblement très empressé de satisfaire un ministre ou un maire pour le bon avancement de sa carrière.
Mes clients ont donc tous été placés sous contrôle judiciaire, le magistrat leur expliquant que s’ils s’avisaient de rencontrer de nouveau leurs compagnons d’infortune ou de s’approcher du théâtre, ils seraient placés en détention jusqu’au procès… !
Enfin il leur rappelait que leur comportement – dont il ignorait tout – pouvait être sanctionné par trois ans de prison. Rien que ça. Heureusement le ridicule ne tue pas, sans quoi un magistrat nous aurait déjà quitté.
Après l’Affaire d’OUTREAU, l’affaire d’outrés ?
En résumé, pour avoir simplement sifflé ou prié dans un théâtre exposant des excréments sur le visage de leur Père, dans une mise en scène payée avec leurs impôts en période de crise, ces catholiques ont été arrêtés, maintenus en garde à vue durant 48 h, menottés, condamnés sans jugement, traités comme des chiens, des trafiquants de drogue ou des terroristes, privés de leur droit à une défense, isolés de leur avocat et placés sous contrôle judiciaire.
En toute humilité je dois avouer que je ne m’attendais pas à une telle ampleur dans la violation des droits de la défense les plus élémentaires, sans parler de la justice sur le fond.
La nausée m’est montée.
Malgré tout je garde l’espoir que devant le Tribunal Correctionnel devant lequel ces malheureux sont convoqués, la justice sera rendue par de véritables magistrats, droits, intègres, impartiaux et indépendants.
François SOUCHON
Avocat au barreau de CHARTRES
Pour plus de renseignements
Institut Civitas
17, rue des Chasseurs
95100 Argenteuil
01.34.11.16.94
www.civitas-institut.com
Communiqué de M° François Souchon, avocat des jeunes manifestants interpelés
Accès aux communiqués archivés en 2011
L'appel de l'abbé de Cacqueray : Défendons le Christ : signons la pétition !
Campagne contre la christianophobie : nul ne peut dire qu'il ne peut rien faire
Communiqué de M° François Souchon,
avocat des jeunes manifestants interpelés
Le 30 octobre 2011
Après l'Affaire d'OUTREAU, l'affaire d'outrés ?
"Mais surtout, j’ai pu constater que tout était mis en œuvre pour priver intégralement mes clients des droits de la défense les plus essentiels et les plus fondamentaux."
En ma qualité d’avocat, j’ai été appelé à assumer la défense de ces catholiques de toutes générations et de tous milieux, qui depuis quelques jours ont manifesté par un courage sans précédent leur indignation face à une des injures publiques la plus grave faite à l’image au combien sacrée et chère au cœur de tout chrétien.
En effet, depuis quelques jours, se joue au théâtre de la ville à Paris une pièce dont le thème est un vieillard déféquant sur scène pendant plus d’une heure, un second acteur jouant son fils venant lui essuyer les fesses à intervalles réguliers. Les excréments sont ensuite utilisés pour recouvrir et badigeonner un portrait géant du Christ.
Cette « œuvre » destinée à une caste bourgeoise d’initiés privilégiés est subventionnée par les fonds publics, en pleine période de crise, lorsque tant de gens, auxquels nos hommes politiques ventripotents imposent une politique d’austérité, peinent à joindre les deux bouts, y compris ces catholiques dont les impôts sont utilisés pour les injurier gravement dans ce qu’ils ont de plus cher, pour la seule et unique satisfaction des quelques amis du multimilliardaire Pierre BERGE, mécène du « festival d’automne » organisé conjointement par la mairie de Paris et le Ministère de l’inculture.
Pour avoir simplement et sans violence osé s’en indigner, ces catholiques ont fait l’objet d’une véritable rafle généralisée, par cars entiers de police, avant de subir un acharnement judiciaire particulièrement aberrant.
Dans les faits, si quelques jets d’œufs ou d’huile ont agrémenté les premières représentations, la très large majorité de mes clients n’a en réalité strictement rien fait d’autre que de se lever de leur siège dans le théâtre pour siffler ou manifester leur désapprobation par des mots simples, sans injures ni grossièretés. Certains autres se sont contentés d’une prière.
Un tarif de groupe leur a été appliqué à tous, sans distinguer les simples « siffleurs » des lanceurs d’oeufs : atteinte à la liberté d’expression, violence avec arme et dégradation de biens… !
Pire encore, de simples spectateurs non catholiques et sans aucun rapport avec cette action contestataire, des personnes qui venaient au théâtre pour se détendre ont été arrêtés pour avoir quitté leur fauteuil, souhaitant rentrer chez eux parce que la pièce les ennuyait.
Ainsi tous ceux qui ne partagent pas le goût de Monsieur le Maire de Paris et de Monsieur le Ministre pour les matières fécales sont passibles de poursuites pénales et de détention !!!
Mais surtout, j’ai pu constater que tout était mis en œuvre pour priver intégralement mes clients des droits de la défense les plus essentiels et les plus fondamentaux.
Le Code pénal et le Code de Procédure Pénale ont tout simplement fait l’objet d’une suppression spéciale pour ces catholiques.
Deux nuits de suite, je suis passé de commissariat en commissariat pour assister mes clients placés en garde à vue. Alors que je me présentais au poste du Vème arrondissement de Paris, muni de ma carte professionnelle, il m’a tout simplement été interdit de voir mes clients et de leur parler après que le policier de l’accueil ait passé un coup de téléphone… !
Il a été signifié à mes clients qu’ayant été arrêtés à Paris, ils n’avaient pas le droit de désigner pour leur défense un avocat du barreau de Chartres : premier mensonge.
Il leur a ensuite été signifié que le même avocat ne pouvait défendre à la fois plusieurs des personnes impliquées dans l’affaire : second mensonge.
L’on a tenté faire signer à mes clients un procès-verbal signifiant la fin de leur garde à vue de 24 H, alors qu’ils en étaient déjà à leur 32ème heure de garde à vue !
Et des telles manœuvres se sont répétées et multipliées durant toute la procédure.
Si dans les autres commissariats les entretiens se sont mieux passées, les officiers de police judiciaire, censés être maîtres de la décision de placer ou non un citoyen en garde à vue, m’ont confié que ce pouvoir leur avait été ôté dans cette affaire précise et qu’ils avaient subi eux-mêmes d’extraordinaires pressions venant « de très haut ».
D’autres policiers se sont dits révoltés que les maigres moyens dont ils disposent soient mobilisés dans une affaire aussi absurde et ont même déclaré ouvertement aux personnes placées en garde à vue leur sympathie à l’égard de leur cause.
Alors qu’on me laissait entendre que mes clients seraient libérés sous peu après leur arrestation, les policiers me confiaient qu’ils avaient finalement reçu de « nouvelles instructions » pour que la garde à vue soit prolongée au maximum !
Il semble donc que la mairie de Paris et le Ministère de l’ inculture aient donné leurs « instructions » et leurs ordres à tous les intervenants de la chaîne judiciaire, interférant ainsi pour leur propre compte dans l’enquête, ce qui est parfaitement illégal et constitue un remarquable abus de pouvoir.
Certains ont été placés en garde à vue au milieu d’individus retenus pour une agression au couteau. Ces individus étaient libérés quelques heures après leur arrestation, alors que l’on signifiait à mes clients une prolongation de leur détention, soit de nouveau 24 heures en cellule, à raison d’ « instructions spéciales »...
48 heures de garde à vue pour avoir sifflé dans un théâtre !!!
J’ai vu de jeunes filles à peine sorties de l’adolescence, menottées et le regard brisé…pour avoir dit une prière.
Ces catholiques ont ensuite été déférés devant « le Juge des Libertés et de la Détention ».
Je me suis présenté à l’audience pour 19 d’entre eux avec l’intention de plaider l’absence de mesures contraignantes.
Le juge a commencé l’audience en énonçant la décision…qu’il avait déjà prise sans même avoir jugé. Il m’a été purement et simplement interdit de plaider ! Le juge me signifiant que sa décision – déjà prise avant l’audience - ne saurait être contestée tant sur le principe que sur le fondement.
Avec le plus grand sérieux, ce magistrat invoquait « une conspiration contre la liberté d’expression », seul instant de cette tragique histoire où il m’a fallu retenir un fou rire.
Accusant mes clients d’entrée en force dans le théâtre (alors qu’ils avaient acheté leur place), ce juge les accusait d’atteinte à la liberté d’expression avant de leur expliquer, toujours avec le plus grand sérieux, que « la liberté ne doit pas nuire à autrui »… !
Sauf aux catholiques apparemment.
En une seule et même audience, ce juge a rendu une sentence générale applicable à toutes ces fournées de malheureux, sans se pencher à aucun moment sur les faits ni les actes, exerçant sa fonction de la manière des plus industrielles, visiblement très empressé de satisfaire un ministre ou un maire pour le bon avancement de sa carrière.
Mes clients ont donc tous été placés sous contrôle judiciaire, le magistrat leur expliquant que s’ils s’avisaient de rencontrer de nouveau leurs compagnons d’infortune ou de s’approcher du théâtre, ils seraient placés en détention jusqu’au procès… !
Enfin il leur rappelait que leur comportement – dont il ignorait tout – pouvait être sanctionné par trois ans de prison. Rien que ça. Heureusement le ridicule ne tue pas, sans quoi un magistrat nous aurait déjà quitté.
Après l’Affaire d’OUTREAU, l’affaire d’outrés ?
En résumé, pour avoir simplement sifflé ou prié dans un théâtre exposant des excréments sur le visage de leur Père, dans une mise en scène payée avec leurs impôts en période de crise, ces catholiques ont été arrêtés, maintenus en garde à vue durant 48 h, menottés, condamnés sans jugement, traités comme des chiens, des trafiquants de drogue ou des terroristes, privés de leur droit à une défense, isolés de leur avocat et placés sous contrôle judiciaire.
En toute humilité je dois avouer que je ne m’attendais pas à une telle ampleur dans la violation des droits de la défense les plus élémentaires, sans parler de la justice sur le fond.
La nausée m’est montée.
Malgré tout je garde l’espoir que devant le Tribunal Correctionnel devant lequel ces malheureux sont convoqués, la justice sera rendue par de véritables magistrats, droits, intègres, impartiaux et indépendants.
François SOUCHON
Avocat au barreau de CHARTRES
Pour plus de renseignements
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/christianophobie-une-dizaine-de-camions-de-police-pour-une-centaine-de-manifestants.html
28 octobre 2011
Christianophobie : une dizaine de camions de police pour une centaine de manifestants
... ce soir à Paris.
Les manifestants ont été encouragés par l'évêque de Vannes, qui a écrit aujourd'hui :
"je ne peux que soutenir toute action visant à défendre, avec charité et fermeté, l’honneur du Christ et de l’Eglise. Je félicite et j’encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même."
Posté le 28 octobre 2011 à 23h42 par Michel Janva
28 octobre 2011
Christianophobie : une dizaine de camions de police pour une centaine de manifestants
... ce soir à Paris.
Les manifestants ont été encouragés par l'évêque de Vannes, qui a écrit aujourd'hui :
"je ne peux que soutenir toute action visant à défendre, avec charité et fermeté, l’honneur du Christ et de l’Eglise. Je félicite et j’encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même."
Posté le 28 octobre 2011 à 23h42 par Michel Janva
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/bertrand-delanoë-encourage-les-moqueries-contre-les-chrétiens-et-défend-les-musulmans.html
28 octobre 2011
Bertrand Delanoë encourage les moqueries contre les chrétiens et défend les musulmans
Reaction du maire de Paris suite aux manifestations contre la pièce de théâtre de Castellucci :
"Depuis une semaine, chaque soir, des militants fanatisés tentent d’empêcher la tenue du spectacle de Romeo Castellucci, « Sur le concept du visage du fils de Dieu », au Théâtre de la Ville. Je tiens à exprimer ma consternation et mon inquiétude face à ces faits inacceptables qui se reproduisent chaque soir et devant la manifestation prévue demain par les groupements qui en sont à l’origine. Elle prendra de toute évidence fin par une nouvelle confrontation entre le public et les manifestants place du Châtelet, pouvant donner lieu, encore une fois, à des dérives, des dérapages, voire à des violences. Nous ne pouvons tolérer au coeur de Paris, ville qui promeut à travers le monde les valeurs humanistes de liberté et de démocratie, de telles expressions d’intégrisme et d’intolérance.[...] A Paris comme ailleurs, nous défendrons toujours, ensemble, la liberté de création et d’expression, valeurs suprêmes de notre République et condition de notre vivre ensemble."
Pour mémoire, voici la réaction du même maire, lors des fameuses caricatures de Mahomet :
"Dans une lettre à Dalil Boubakeur rendue publique jeudi, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, dit se sentir « proche » des musulmans qui ont ressenti la caricature du prophète Mahomet « comme une profanation ». « Aucun amalgame ne peut être toléré, ni même suggéré entre une grande religion porteuse d’une part de l’universel et les quelques fanatiques qui sèment la barbarie en son nom », écrit Bertrand Delanoë, en appelant « chacun des acteurs de cette affaire, les musulmans et les journalistes, à l’apaisement »."
Posté le 28 octobre 2011 à 23h09 par Michel Janva
28 octobre 2011
Bertrand Delanoë encourage les moqueries contre les chrétiens et défend les musulmans
Reaction du maire de Paris suite aux manifestations contre la pièce de théâtre de Castellucci :
"Depuis une semaine, chaque soir, des militants fanatisés tentent d’empêcher la tenue du spectacle de Romeo Castellucci, « Sur le concept du visage du fils de Dieu », au Théâtre de la Ville. Je tiens à exprimer ma consternation et mon inquiétude face à ces faits inacceptables qui se reproduisent chaque soir et devant la manifestation prévue demain par les groupements qui en sont à l’origine. Elle prendra de toute évidence fin par une nouvelle confrontation entre le public et les manifestants place du Châtelet, pouvant donner lieu, encore une fois, à des dérives, des dérapages, voire à des violences. Nous ne pouvons tolérer au coeur de Paris, ville qui promeut à travers le monde les valeurs humanistes de liberté et de démocratie, de telles expressions d’intégrisme et d’intolérance.[...] A Paris comme ailleurs, nous défendrons toujours, ensemble, la liberté de création et d’expression, valeurs suprêmes de notre République et condition de notre vivre ensemble."
Pour mémoire, voici la réaction du même maire, lors des fameuses caricatures de Mahomet :
"Dans une lettre à Dalil Boubakeur rendue publique jeudi, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, dit se sentir « proche » des musulmans qui ont ressenti la caricature du prophète Mahomet « comme une profanation ». « Aucun amalgame ne peut être toléré, ni même suggéré entre une grande religion porteuse d’une part de l’universel et les quelques fanatiques qui sèment la barbarie en son nom », écrit Bertrand Delanoë, en appelant « chacun des acteurs de cette affaire, les musulmans et les journalistes, à l’apaisement »."
Posté le 28 octobre 2011 à 23h09 par Michel Janva
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/mgr-centène-apporte-son-soutien-aux-manifestants-du-théâtre-de-la-ville.html
28 octobre 2011
Mgr Centène apporte son soutien aux manifestants du Théâtre de la Ville
Voici son courrier (original) :
"Monsieur, J’ai bien reçu votre courrier daté du 30 septembre courant concernant les spectacles blasphématoires «Golgota picnic» et «Sur le concept du visage du Fils de Dieu».
Comme vous le faites justement remarquer, les manifestations soi-disant culturelles et artistiques attaquant le Christ et son Eglise sont en hausse constante. A l’heure où, en de nombreux pays, les chrétiens subissent, au seul motif de leur foi, de multiples vexations quand leur vie n’est pas tout simplement mise en péril, il me semble effectivement nécessaire de réagir avec fermeté. C’est la raison pour laquelle nous avons organisé, le 19 février dernier, une marche silencieuse en hommage et soutien aux chrétiens du Proche et Moyen-Orient qui subissent, dans l’indifférence quasi-générale, la haine contre Notre Seigneur Jésus Christ et ceux qui cherchent, jour après jour, à mettre leurs pas dans les Siens. C’est aussi pour cela que s’est tenu, le 15 octobre dernier, un colloque mis en place avec l’aide de plusieurs associations présentes sur le diocèse, sur la persécution des chrétiens et le sens du martyre.
Alors que nos frères, en de nombreux endroits, font face avec courage et détermination pour maintenir le trésor de la foi malgré le danger, je ne peux que soutenir toute action visant à défendre, avec charité et fermeté, l’honneur du Christ et de l’Eglise.
Je félicite et j’encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même."
Alain Escada, secrétaire général de Civitas, répond en ce moment en direct aux questions des lecteurs de Fecit.
Posté le 28 octobre 2011 à 18h44 par Michel Janva
28 octobre 2011
Mgr Centène apporte son soutien aux manifestants du Théâtre de la Ville
Voici son courrier (original) :
"Monsieur, J’ai bien reçu votre courrier daté du 30 septembre courant concernant les spectacles blasphématoires «Golgota picnic» et «Sur le concept du visage du Fils de Dieu».
Comme vous le faites justement remarquer, les manifestations soi-disant culturelles et artistiques attaquant le Christ et son Eglise sont en hausse constante. A l’heure où, en de nombreux pays, les chrétiens subissent, au seul motif de leur foi, de multiples vexations quand leur vie n’est pas tout simplement mise en péril, il me semble effectivement nécessaire de réagir avec fermeté. C’est la raison pour laquelle nous avons organisé, le 19 février dernier, une marche silencieuse en hommage et soutien aux chrétiens du Proche et Moyen-Orient qui subissent, dans l’indifférence quasi-générale, la haine contre Notre Seigneur Jésus Christ et ceux qui cherchent, jour après jour, à mettre leurs pas dans les Siens. C’est aussi pour cela que s’est tenu, le 15 octobre dernier, un colloque mis en place avec l’aide de plusieurs associations présentes sur le diocèse, sur la persécution des chrétiens et le sens du martyre.
Alors que nos frères, en de nombreux endroits, font face avec courage et détermination pour maintenir le trésor de la foi malgré le danger, je ne peux que soutenir toute action visant à défendre, avec charité et fermeté, l’honneur du Christ et de l’Eglise.
Je félicite et j’encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même."
Alain Escada, secrétaire général de Civitas, répond en ce moment en direct aux questions des lecteurs de Fecit.
Posté le 28 octobre 2011 à 18h44 par Michel Janva
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://www.ndf.fr/identite/25-10-2011/sur-le-concept-du-visage-du-fils-de-dieu-forsane-alizza-soutient-les-protestataires
« Sur le concept du visage du fils de Dieu » : Forsane Alizza soutient les protestataires
Par Eric Martin le 25 octobre 2011 dans Carnets de justice, Identité, Nos brèves, Poing de vue, Religion avec 40
Le groupe islamiste Forsane Alizza s’en prend sur son site à la pièce « Sur le concept du visage du fils de Dieu » qu’il qualifie de « pièce ordurière et blasphématoire », « dans la logique d’une très longue série d’outrages islamophobes ». Il accuse en effet Romeo Castellucci de s’en prendre à « Issa » (Jésus). « Nous saluons l’action de protestation du Renouveau français, bien que notre engagement se situe à des années-lumières de ce mouvement et que nous avons conscience que parmi leur troupe se trouvent des islamophobes patentés », écrit Forsane Alizza qui regrette que « ce [soit] des Chrétiens, adeptes de la Trinité qui [aient] pris les devants pour marquer leur opposition, alors que cette tâche incombe aux Musulmans ». Contacté par Nouvelles de France, leur meneur Abou Hamza se déclare « affligé que les musulmans n’aient pas agi les premiers » car « Issa (que la paix soit sur lui) est un grand prophète de l’islam ». « En voyant prier sur la scène ces jeunes du Renouveau français, j’ai été touché par l’amour que portent ces chrétiens à leur religion », ajoute-t-il.
« Sur le concept du visage du fils de Dieu » : Forsane Alizza soutient les protestataires
Par Eric Martin le 25 octobre 2011 dans Carnets de justice, Identité, Nos brèves, Poing de vue, Religion avec 40
Le groupe islamiste Forsane Alizza s’en prend sur son site à la pièce « Sur le concept du visage du fils de Dieu » qu’il qualifie de « pièce ordurière et blasphématoire », « dans la logique d’une très longue série d’outrages islamophobes ». Il accuse en effet Romeo Castellucci de s’en prendre à « Issa » (Jésus). « Nous saluons l’action de protestation du Renouveau français, bien que notre engagement se situe à des années-lumières de ce mouvement et que nous avons conscience que parmi leur troupe se trouvent des islamophobes patentés », écrit Forsane Alizza qui regrette que « ce [soit] des Chrétiens, adeptes de la Trinité qui [aient] pris les devants pour marquer leur opposition, alors que cette tâche incombe aux Musulmans ». Contacté par Nouvelles de France, leur meneur Abou Hamza se déclare « affligé que les musulmans n’aient pas agi les premiers » car « Issa (que la paix soit sur lui) est un grand prophète de l’islam ». « En voyant prier sur la scène ces jeunes du Renouveau français, j’ai été touché par l’amour que portent ces chrétiens à leur religion », ajoute-t-il.
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://www.forsane-alizza.com/toute-lactualite/rassemblement-aujourdhui-a-paris-objectif-defendre-lhonneur-de-notre-prophete-issa-jesus-la-paix-sur-lui-19697
Rassemblement aujourd’hui à Paris: objectif, défendre l’honneur de notre prophète Issa (Jésus) que la paix soit sur lui
ACTION FORSANE ALIZZA, TOUTE L'ACTUALITÉ - FORSANE ALIZZA 240 COMMENTAIRES
Samedi 29 octobre rassemblement à 19h30 Place du Châtelet à Paris
Nous vous en parlions dans un article intitulé: Edito numéro 20 : Blasphème contre Jésus (que la paix soit sur lui) et action du Renouveau français
par conséquent nous avons décidé d’agir pour défendre nous aussi l’honneur de notre saint prophète Issa ( Jésus) 3alayhi salam.
C’est l’occasion pour nous de développer le sujet de Jésus (Issa), messager de Dieu, que la paix soit sur lui, à travers le prisme de l’Islam.
Que les gens sachent que nous aimons Issa (Jésus) (la paix d’ALLAH soit sur lui) fils de Maryam (Marie) (la paix d’ALLAH soit sur elle).
( Nous nous excusons pour l’annulation de l’émission webradio qui devait se dérouler ce soir 21H, nous avons rencontré un contretemps qui nous a empêché d’être présent. Nous remercions nos fidèles frères et soeurs lecteurs et auditeurs pour leur patience et leur compréhension, nous la reporterons dès que possible inchaalah. Hafidakoum ALLAH.)
Un prophète
Les musulmans respectent et révèrent Jésus (que la paix soit sur lui). Ils le considèrent comme l’un des plus importants messagers qu’ ALLAH, subhran wa ta’ala, ait envoyé à l’humanité.
Le Coran confirme sa naissance miraculeuse (La Vierge Marie (Maryam, que la paix soit sur elle)), et un chapitre du Coran est intitulé « Maryam » (sourate 19). Le Coran décrit la naissance de Jésus comme suit :
« (Rappelle-toi) quand les Anges dirent: “Ô Marie, voilà que Dieu t’annonce une parole de Sa part : son nom sera le Messie issa ( Jésus ), fils de Marie, illustre ici-bas comme dans l’au-delà, et l’un des rapprochés d’ALLAH. Il parlera aux gens, dans le berceau et en son âge mûr, et il sera du nombre des gens de bien ». Elle dit : “Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu’aucun homme ne m’a touchée ? ». « C’est ainsi ! », dit-Il. ALLAH crée ce qu’Il veut. Quand il décide d’une chose, Il lui dit seulement « Sois », et elle est aussitôt. » (Coran, sourate 3: verset 45-47)
Jésus est né de façon miraculeuse sur l’ordre d’ALLAH Azza wa Jal, tout comme Adam ‘alayhi salam, à qui Allah ta’ala avait insufflé la vie sans qu’il n’ait eu de père. Allah Exaltée soit-Sa-Grandeur, a dit :
« Pour ALLAH, Issa ( Jésus ) est comme Adam qu’Il créa de poussière, puis Il lui dit : « Sois» ; et il fut. » (Coran, sourate 3:59)
Durant sa mission prophétique, Issa ’alayhi salam, (Jésus ) a accompli plusieurs miracles. Allah Subhan wa Ta3ala nous révèle que Jésus ( Issa ‘aleyhi salam) a dit :
« En vérité, je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur. Pour vous, je forme de la glaise comme la figure d’un oiseau, puis je souffle dedans ; et, par la permission d’ALLAH, cela devient un oiseau. Et je guéris l’aveugle-né et le lépreux, et je ressuscite les morts, par la permission d’ALLAH. Et je vous apprends ce que vous mangez et ce que vous amassez dans vos maisons… » (Coran, sourate 3: verset 49)
Les savants de l’islam en parlent
Vous trouverez dans “Fatawa al ’aqîda, question 334, page 589″ du Sheikh Mohammad Ibn Salih Al-’Uthaymine, rahimahu’Allah, un condensé important sur la croyance en Issa, (Jésus ) que la paix soit sur lui, d’après l’Islam :
Son éminence fut questionnée : « Quelle doit être la croyance des musulmans (ceux qui se soumettent à Allah) au sujet de ’Issa fils de Mariam (Jésus fils de Marie), ’alayhi salam ? »
Réponse : Font partie de cette croyance que doivent avoir tous les musulmans l’ensemble des points suivants :
1. Qu’il est un des nobles messagers d’Allah, Exalté soit-Il,
2. Qu’il fait même partie des cinq plus importants messagers que sont, Mohammad, صلى الله عليه وسلم, Ibrahim (Abraham), Nouh (Noé), Moussa (Moïse) et ’Issa (Jésus) 3alayhoum salat wa salam ; qu’Allah a évoqués à deux endroits dans son livre (le Coran), dans la sourate Al-Ahzab :
« Lorsque nous prîmes des prophètes leur engagement, de même que de toi, de Noh (Noé), d’Ibrahim (Abraham), de Moussa (Moïse) et de Issa (Jésus) fils de Maryam (Marie), et Nous avons pris d’eux un engagement solennel » (Sourate 33, Verset 7).
Et dans la sourate Ach-choura : « Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t’avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus :
« Etablissez la religion ; et n’en faîtes pas un sujet de divisons » ». (Sourate 42, Verset 13).
3. Qu’il est un être humain parmi les fils d’Adam, enfanté d’une mère qui n’a jamais été approchée par un homme, un serviteur d’Allah et Son messager. De ce fait, il ne doit pas être adoré et il est véridique. Il, ’alayhi salat wa salam, ne possède en aucun cas des spécificités propres à Allah. Il est, au contraire, comme Allah dit :
« Il (Jésus) n’était qu’un serviteur que Nous avions comblé de bienfaits et que Nous avons désigné en exemple aux enfants d’Israël » (Sourate 43, verset 59).
Il, ’alayhi salat wa salam, n’a pas ordonné son peuple de le considérer, ainsi que sa mère, comme une divinité en dehors d’Allah, au contraire, il dit à son peuple ce qu’Allah lui ordonna de dire :
« Adorez Allah, mon Seigneur et votre Seigneur » (Sourate 5, verset 117).
4. Qu’Allah, Exalté soit-il, l’a crée par Sa parole, comme le mentionne le verset :
« Pour Allah, Jésus est comme Adam qu’Il créa de poussière, puis Il lui dit : “Sois” : et il fut. »
(Sourate 3, verset 59).
5. Qu’il n’y aucun messager entre lui et Mohamad, صلى الله عليه وسلم, Allah dit à ce sujet :
« Et quand Jésus fils de Marie dit :” Ô enfants d’Israël, je suis vraiment le messager d’Allah (envoyé) à vous, confirmateur de ce qui, dans la Thora, est antérieur à moi, et annonciateur d’un messager à venir après moi, dont le nom sera Ahmad. Puis quand celui-ci vint à eux avec des preuves évidentes, ils dirent, “C’est là une magie manifeste” ». (Sourate 61, verset 6).
6. Que la foi de l’un d’entre nous ne sera jamais complète tant que nous ne croirons pas que ’Issa, alayhi salam, (Jésus) est un serviteur et un messager d’Allah Subhran wa ta’ala, tant que nous ne l’innocenterons pas, ni ne l’élèverons pas au dessus de la description que les juifs ont faite de lui en disant qu’il est le fils d’une prostituée et adultérin (fruit d’une relation d’adultère), qu’Allah Subhran wa ta’ala, nous en préserve, alors qu’Allah Subhran wa ta’ala l’a innocenté de cela.
Notre compréhension
Les musulmans se désolidarisent également de la voie empruntée par les chrétiens qui se sont égarés dans la compréhension de ce que devraient être vraiment ’Issa (Jésus) (que la paix soit sur lui) ainsi que sa mère Maryam (Marie) (que la paix soit sur elle) en les considérant comme des divinités en dehors d’Allah ta’ala.
Certains d’entre eux disent qu’il est le fils d’Allah Subhran wa ta’ala, d’autres, qu’il est un élément de la Trinité. Notre dogme est parfaitement clair sur ce point, nous pratiquons l’Unicité absolue de notre Créateur. L’Association étant la plus grande des injustices, comme le Coran nous le dit ainsi que le premier commandement de le premier commandementde l’Ancien testament :“Tu n’associeras point Dieu”. La représentation de son image et de celle des prophètes est parfaitement interdite ! Se prosterner devant une statue ou une représentation l’est également. Les Musulmans ne se prosternent que devant ALLAH Le Tout Puissant, Le Seul, l’Unique, qui n’engendre pas et qui n’a pas engendré.
Nous reconnaissons les Livres Saints:
- Les feuillets purifiés d’Abraham : Souhouf-i- Ibrahim ‘alayhi salam
- La Thora authentique : At Tawrat révélée au Prophète Mussa (Moïse) ‘alayhi salam
- Le Livre des Psaumes authentique : Az-Zabour révélés au Prophète Daoud (David) ‘alayhi salam
- L’Evangile authentique : Al Injil révélé au Prophète Issa (Jésus) ‘alayhi salam
- Le Coran : Al Qo’rane révélé au Prophète Muhammad salallahu alayhi wa salam
Al Tawrah (les cinq livres de Moussa 3alayhi salam (Moïse), les premiers de la Bible), Al Zabur (les psaumes de Dawud 3alayhi salam (David) ), Al-Injil (l’Evangile de Issa 3alayhi salam (Jésus) ), et le Saint Coran.
« Oui, Nous avons écrit dans az-Zabûr, après le Rappel (le Livre céleste) que la terre sera héritée par Mes bons serviteurs ». ( 48. Sourate al-Anbiyâ’, 21: 105.)
1- Le Zabûr désigne tous les Livres des Prophètes, et cette partie du verset signifie que ” Nous avons écrit dans les Livres que Nous avons révélés aux Prophètes, après l’avoir mentionné dans le Rappel ( Thikr )”, c’est-à-dire le Livre-mère qui se trouve au Ciel, ” al-Lawh al-Mahfûdh ” (la Planche Gardée). Tel est du moins l’avis de Sa’îd Ibn Jubayr et Mujâhid Ibn Zayd;
2- Le Zabûr désigne les Livres révélés après la Bible; et le Rappel, c’est la Bible. Ceci est l’opinion d’Ibn ‘Abbâs et d’al-Dhahhâk;
3- Le Zabûr est le Livre de David et le Rappel est la Bible.
Revenons à notre prophète Issa ( Jésus) 3alayhi salam:
Quant à ce qui a trait à son assassinat et sa crucifixion, Allah, Exalté soit-Il, a démenti le fait qu’il aurait pu être tué ou crucifié et ceci de façon claire et formelle lorsqu’Il, Exalté soit-il, dit :
« et à cause de leur parole : “Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le messager d’Allah” . Or, ils ne l’ont, ni tué, ni crucifié, mais ce n’était qu’ un faux semblant ! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l’incertitude : ils n’en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l’ont certainement pas tué, mais Allah l’a élevé vers Lui. Et Allah est Puissant et Sage. Il n’y aura personne, parmi les gens du Livre, qui n’aura pas foi en lui, avant sa mort. Et au Jour de la Résurrection, il sera témoin contre eux » (Sourate 4, verset 157 à 159)
Etudions la théologie
Donc, celui qui croit sciemment que “Issa (Jésus), fils de Mariam (Marie)”, ’alayhi salat wa salam, fut tué et crucifié, se met en contradiction avec le Coran et celui qui se met sciemment en contradiction avec le Coran devient mécréant. Nous croyons, donc, que ’Issa (Jésus), alayhi salat wa salam, ne fut, ni tué, ni crucifié.
Au contraire, nous disons : “les Juifs ont commis le péché de l’assassinat et de la crucifixion en ce sens qu’ils ont prétendu avoir tué le Christ, ’Issa (Jésus) fils de Mariam (Marie), le messager d’Allah 3alayhi salam alors qu’ils ne l’ont pas tué dans les faits. Ils tuèrent et crucifièrent, en fait, une personne d’entre eux (les Juifs) qui ressemblait à ’Issa (Jésus). Une personne qu’Allah ta’ala avait déterminé au peuple juif de par sa forte ressemblance à ’Issa (Jésus) et les juifs dirent : “certes, nous avons tué le Christ, ’Issa (Jésus) fils de Mariam (Marie), le messager d’Allah. Les juifs commirent , donc, le péché de l’assassinat et de la crucifixion en admettant eux-mêmes avoir fait cela. Allah ta’ala a innocenté et préservé ’Issa (Jésus) ‘alayhi salam de cela, l’a élevé, Exalté soit-Il, au ciel auprès de Lui. Et il redescendra à la fin des temps sur terre en appliquant la loi d’Allah ta’ala avec laquelle est venu le prophète Mohammad, صلى الله عليه وسلم, puis il mourra sur terre, y sera enterré puis sera ressuscité comme tous les descendants d’Adam ‘alayhi salam, comme il est mentionné dans la parole d’Allah ta’ala :
« C’est d’elle (la terre) que Nous vous avons crées, et en elle Nous vous retournerons, et d’elle, Nous vous ferons sortir une fois encore » / « Là, dit Allah, vous vivez, là vous mourrez, et de là, on vous fera sortir » Sourate 20, verset 55 / Sourate 7,verset 25.
Conclusion
Nous croyons donc fermement que le prophète Issa 3alayhi salam n’est pas mort et qu’il va revenir sur terre pour combattre le Dajjal ( Antéchrist ) borgne d’un oeil, auprès des musulmans inchaallah. Nous l’aimons et le défendons. Nous vous appelons donc à venir participer à un rassemblement ce soir àPlace du Châtelet à Paris. Nous avons conscience que le délai est un peu court pour avoir un nombre de participants élevé et qu’il risque forcément d’y avoir d’avantage de Chrétiens que de Musulmans. Cependant , l’essentiel est que cette présence soit symbolique. Respectez bien les consignes du service d’ordre inchaalah. Le frère Abou Hamza ne sera pas présent pour faire un discours c’est donc Abdel Malik qui va s’en occuper inchaalah. Nous ne défilerons pas avec les Chrétiens pour ne pas qu’il y ait d’ amalgame ou que l’on nous accuse de “récupération”. Nous serons là uniquement pour défendre la parole d’ALLAH Le Très Haut et l’honneur de notre Saint Prophète Issa 3alayhi salam. On vous demande de ne pas communiquer avec les médias et de laisser les Chrétiens faire leur manifestation tranquillement, car tout dérapage de langage ou de comportement sera attribué à notre groupe. La discipline, la fierté, la noblesse, et le respect seront les maîtres-mots de ce rassemblement. Barakalahoufikoum. ( un pré-rassemblement est prévu cet après-midi vers 16h dans le 93, appelez pour plus de détails inchaalah).
Appelez dès 14H ( pas avant ) à ce numéro :
06.38.32.05.91
Hafidakoum ALLAH
“L’équipe Forsane Alizza”
/////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Commentaire d'Hercule : Cela va devenir vraiment très difficile à gérer pour les professionnels de cette pièce de théâtre et pour l'archevêque le Maire de Paris qui appelle à lutter contre les "intégristes-fondamentaliste" Chrétiens (comme disent les tenants de la pensée unique franc-maçonne, religieusement, laïcistement et politiquement correcte.
Rassemblement aujourd’hui à Paris: objectif, défendre l’honneur de notre prophète Issa (Jésus) que la paix soit sur lui
ACTION FORSANE ALIZZA, TOUTE L'ACTUALITÉ - FORSANE ALIZZA 240 COMMENTAIRES
Samedi 29 octobre rassemblement à 19h30 Place du Châtelet à Paris
Nous vous en parlions dans un article intitulé: Edito numéro 20 : Blasphème contre Jésus (que la paix soit sur lui) et action du Renouveau français
par conséquent nous avons décidé d’agir pour défendre nous aussi l’honneur de notre saint prophète Issa ( Jésus) 3alayhi salam.
C’est l’occasion pour nous de développer le sujet de Jésus (Issa), messager de Dieu, que la paix soit sur lui, à travers le prisme de l’Islam.
Que les gens sachent que nous aimons Issa (Jésus) (la paix d’ALLAH soit sur lui) fils de Maryam (Marie) (la paix d’ALLAH soit sur elle).
( Nous nous excusons pour l’annulation de l’émission webradio qui devait se dérouler ce soir 21H, nous avons rencontré un contretemps qui nous a empêché d’être présent. Nous remercions nos fidèles frères et soeurs lecteurs et auditeurs pour leur patience et leur compréhension, nous la reporterons dès que possible inchaalah. Hafidakoum ALLAH.)
Un prophète
Les musulmans respectent et révèrent Jésus (que la paix soit sur lui). Ils le considèrent comme l’un des plus importants messagers qu’ ALLAH, subhran wa ta’ala, ait envoyé à l’humanité.
Le Coran confirme sa naissance miraculeuse (La Vierge Marie (Maryam, que la paix soit sur elle)), et un chapitre du Coran est intitulé « Maryam » (sourate 19). Le Coran décrit la naissance de Jésus comme suit :
« (Rappelle-toi) quand les Anges dirent: “Ô Marie, voilà que Dieu t’annonce une parole de Sa part : son nom sera le Messie issa ( Jésus ), fils de Marie, illustre ici-bas comme dans l’au-delà, et l’un des rapprochés d’ALLAH. Il parlera aux gens, dans le berceau et en son âge mûr, et il sera du nombre des gens de bien ». Elle dit : “Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu’aucun homme ne m’a touchée ? ». « C’est ainsi ! », dit-Il. ALLAH crée ce qu’Il veut. Quand il décide d’une chose, Il lui dit seulement « Sois », et elle est aussitôt. » (Coran, sourate 3: verset 45-47)
Jésus est né de façon miraculeuse sur l’ordre d’ALLAH Azza wa Jal, tout comme Adam ‘alayhi salam, à qui Allah ta’ala avait insufflé la vie sans qu’il n’ait eu de père. Allah Exaltée soit-Sa-Grandeur, a dit :
« Pour ALLAH, Issa ( Jésus ) est comme Adam qu’Il créa de poussière, puis Il lui dit : « Sois» ; et il fut. » (Coran, sourate 3:59)
Durant sa mission prophétique, Issa ’alayhi salam, (Jésus ) a accompli plusieurs miracles. Allah Subhan wa Ta3ala nous révèle que Jésus ( Issa ‘aleyhi salam) a dit :
« En vérité, je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur. Pour vous, je forme de la glaise comme la figure d’un oiseau, puis je souffle dedans ; et, par la permission d’ALLAH, cela devient un oiseau. Et je guéris l’aveugle-né et le lépreux, et je ressuscite les morts, par la permission d’ALLAH. Et je vous apprends ce que vous mangez et ce que vous amassez dans vos maisons… » (Coran, sourate 3: verset 49)
Les savants de l’islam en parlent
Vous trouverez dans “Fatawa al ’aqîda, question 334, page 589″ du Sheikh Mohammad Ibn Salih Al-’Uthaymine, rahimahu’Allah, un condensé important sur la croyance en Issa, (Jésus ) que la paix soit sur lui, d’après l’Islam :
Son éminence fut questionnée : « Quelle doit être la croyance des musulmans (ceux qui se soumettent à Allah) au sujet de ’Issa fils de Mariam (Jésus fils de Marie), ’alayhi salam ? »
Réponse : Font partie de cette croyance que doivent avoir tous les musulmans l’ensemble des points suivants :
1. Qu’il est un des nobles messagers d’Allah, Exalté soit-Il,
2. Qu’il fait même partie des cinq plus importants messagers que sont, Mohammad, صلى الله عليه وسلم, Ibrahim (Abraham), Nouh (Noé), Moussa (Moïse) et ’Issa (Jésus) 3alayhoum salat wa salam ; qu’Allah a évoqués à deux endroits dans son livre (le Coran), dans la sourate Al-Ahzab :
« Lorsque nous prîmes des prophètes leur engagement, de même que de toi, de Noh (Noé), d’Ibrahim (Abraham), de Moussa (Moïse) et de Issa (Jésus) fils de Maryam (Marie), et Nous avons pris d’eux un engagement solennel » (Sourate 33, Verset 7).
Et dans la sourate Ach-choura : « Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t’avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus :
« Etablissez la religion ; et n’en faîtes pas un sujet de divisons » ». (Sourate 42, Verset 13).
3. Qu’il est un être humain parmi les fils d’Adam, enfanté d’une mère qui n’a jamais été approchée par un homme, un serviteur d’Allah et Son messager. De ce fait, il ne doit pas être adoré et il est véridique. Il, ’alayhi salat wa salam, ne possède en aucun cas des spécificités propres à Allah. Il est, au contraire, comme Allah dit :
« Il (Jésus) n’était qu’un serviteur que Nous avions comblé de bienfaits et que Nous avons désigné en exemple aux enfants d’Israël » (Sourate 43, verset 59).
Il, ’alayhi salat wa salam, n’a pas ordonné son peuple de le considérer, ainsi que sa mère, comme une divinité en dehors d’Allah, au contraire, il dit à son peuple ce qu’Allah lui ordonna de dire :
« Adorez Allah, mon Seigneur et votre Seigneur » (Sourate 5, verset 117).
4. Qu’Allah, Exalté soit-il, l’a crée par Sa parole, comme le mentionne le verset :
« Pour Allah, Jésus est comme Adam qu’Il créa de poussière, puis Il lui dit : “Sois” : et il fut. »
(Sourate 3, verset 59).
5. Qu’il n’y aucun messager entre lui et Mohamad, صلى الله عليه وسلم, Allah dit à ce sujet :
« Et quand Jésus fils de Marie dit :” Ô enfants d’Israël, je suis vraiment le messager d’Allah (envoyé) à vous, confirmateur de ce qui, dans la Thora, est antérieur à moi, et annonciateur d’un messager à venir après moi, dont le nom sera Ahmad. Puis quand celui-ci vint à eux avec des preuves évidentes, ils dirent, “C’est là une magie manifeste” ». (Sourate 61, verset 6).
6. Que la foi de l’un d’entre nous ne sera jamais complète tant que nous ne croirons pas que ’Issa, alayhi salam, (Jésus) est un serviteur et un messager d’Allah Subhran wa ta’ala, tant que nous ne l’innocenterons pas, ni ne l’élèverons pas au dessus de la description que les juifs ont faite de lui en disant qu’il est le fils d’une prostituée et adultérin (fruit d’une relation d’adultère), qu’Allah Subhran wa ta’ala, nous en préserve, alors qu’Allah Subhran wa ta’ala l’a innocenté de cela.
Notre compréhension
Les musulmans se désolidarisent également de la voie empruntée par les chrétiens qui se sont égarés dans la compréhension de ce que devraient être vraiment ’Issa (Jésus) (que la paix soit sur lui) ainsi que sa mère Maryam (Marie) (que la paix soit sur elle) en les considérant comme des divinités en dehors d’Allah ta’ala.
Certains d’entre eux disent qu’il est le fils d’Allah Subhran wa ta’ala, d’autres, qu’il est un élément de la Trinité. Notre dogme est parfaitement clair sur ce point, nous pratiquons l’Unicité absolue de notre Créateur. L’Association étant la plus grande des injustices, comme le Coran nous le dit ainsi que le premier commandement de le premier commandementde l’Ancien testament :“Tu n’associeras point Dieu”. La représentation de son image et de celle des prophètes est parfaitement interdite ! Se prosterner devant une statue ou une représentation l’est également. Les Musulmans ne se prosternent que devant ALLAH Le Tout Puissant, Le Seul, l’Unique, qui n’engendre pas et qui n’a pas engendré.
Nous reconnaissons les Livres Saints:
- Les feuillets purifiés d’Abraham : Souhouf-i- Ibrahim ‘alayhi salam
- La Thora authentique : At Tawrat révélée au Prophète Mussa (Moïse) ‘alayhi salam
- Le Livre des Psaumes authentique : Az-Zabour révélés au Prophète Daoud (David) ‘alayhi salam
- L’Evangile authentique : Al Injil révélé au Prophète Issa (Jésus) ‘alayhi salam
- Le Coran : Al Qo’rane révélé au Prophète Muhammad salallahu alayhi wa salam
Al Tawrah (les cinq livres de Moussa 3alayhi salam (Moïse), les premiers de la Bible), Al Zabur (les psaumes de Dawud 3alayhi salam (David) ), Al-Injil (l’Evangile de Issa 3alayhi salam (Jésus) ), et le Saint Coran.
« Oui, Nous avons écrit dans az-Zabûr, après le Rappel (le Livre céleste) que la terre sera héritée par Mes bons serviteurs ». ( 48. Sourate al-Anbiyâ’, 21: 105.)
1- Le Zabûr désigne tous les Livres des Prophètes, et cette partie du verset signifie que ” Nous avons écrit dans les Livres que Nous avons révélés aux Prophètes, après l’avoir mentionné dans le Rappel ( Thikr )”, c’est-à-dire le Livre-mère qui se trouve au Ciel, ” al-Lawh al-Mahfûdh ” (la Planche Gardée). Tel est du moins l’avis de Sa’îd Ibn Jubayr et Mujâhid Ibn Zayd;
2- Le Zabûr désigne les Livres révélés après la Bible; et le Rappel, c’est la Bible. Ceci est l’opinion d’Ibn ‘Abbâs et d’al-Dhahhâk;
3- Le Zabûr est le Livre de David et le Rappel est la Bible.
Revenons à notre prophète Issa ( Jésus) 3alayhi salam:
Quant à ce qui a trait à son assassinat et sa crucifixion, Allah, Exalté soit-Il, a démenti le fait qu’il aurait pu être tué ou crucifié et ceci de façon claire et formelle lorsqu’Il, Exalté soit-il, dit :
« et à cause de leur parole : “Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le messager d’Allah” . Or, ils ne l’ont, ni tué, ni crucifié, mais ce n’était qu’ un faux semblant ! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l’incertitude : ils n’en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l’ont certainement pas tué, mais Allah l’a élevé vers Lui. Et Allah est Puissant et Sage. Il n’y aura personne, parmi les gens du Livre, qui n’aura pas foi en lui, avant sa mort. Et au Jour de la Résurrection, il sera témoin contre eux » (Sourate 4, verset 157 à 159)
Etudions la théologie
Donc, celui qui croit sciemment que “Issa (Jésus), fils de Mariam (Marie)”, ’alayhi salat wa salam, fut tué et crucifié, se met en contradiction avec le Coran et celui qui se met sciemment en contradiction avec le Coran devient mécréant. Nous croyons, donc, que ’Issa (Jésus), alayhi salat wa salam, ne fut, ni tué, ni crucifié.
Au contraire, nous disons : “les Juifs ont commis le péché de l’assassinat et de la crucifixion en ce sens qu’ils ont prétendu avoir tué le Christ, ’Issa (Jésus) fils de Mariam (Marie), le messager d’Allah 3alayhi salam alors qu’ils ne l’ont pas tué dans les faits. Ils tuèrent et crucifièrent, en fait, une personne d’entre eux (les Juifs) qui ressemblait à ’Issa (Jésus). Une personne qu’Allah ta’ala avait déterminé au peuple juif de par sa forte ressemblance à ’Issa (Jésus) et les juifs dirent : “certes, nous avons tué le Christ, ’Issa (Jésus) fils de Mariam (Marie), le messager d’Allah. Les juifs commirent , donc, le péché de l’assassinat et de la crucifixion en admettant eux-mêmes avoir fait cela. Allah ta’ala a innocenté et préservé ’Issa (Jésus) ‘alayhi salam de cela, l’a élevé, Exalté soit-Il, au ciel auprès de Lui. Et il redescendra à la fin des temps sur terre en appliquant la loi d’Allah ta’ala avec laquelle est venu le prophète Mohammad, صلى الله عليه وسلم, puis il mourra sur terre, y sera enterré puis sera ressuscité comme tous les descendants d’Adam ‘alayhi salam, comme il est mentionné dans la parole d’Allah ta’ala :
« C’est d’elle (la terre) que Nous vous avons crées, et en elle Nous vous retournerons, et d’elle, Nous vous ferons sortir une fois encore » / « Là, dit Allah, vous vivez, là vous mourrez, et de là, on vous fera sortir » Sourate 20, verset 55 / Sourate 7,verset 25.
Conclusion
Nous croyons donc fermement que le prophète Issa 3alayhi salam n’est pas mort et qu’il va revenir sur terre pour combattre le Dajjal ( Antéchrist ) borgne d’un oeil, auprès des musulmans inchaallah. Nous l’aimons et le défendons. Nous vous appelons donc à venir participer à un rassemblement ce soir àPlace du Châtelet à Paris. Nous avons conscience que le délai est un peu court pour avoir un nombre de participants élevé et qu’il risque forcément d’y avoir d’avantage de Chrétiens que de Musulmans. Cependant , l’essentiel est que cette présence soit symbolique. Respectez bien les consignes du service d’ordre inchaalah. Le frère Abou Hamza ne sera pas présent pour faire un discours c’est donc Abdel Malik qui va s’en occuper inchaalah. Nous ne défilerons pas avec les Chrétiens pour ne pas qu’il y ait d’ amalgame ou que l’on nous accuse de “récupération”. Nous serons là uniquement pour défendre la parole d’ALLAH Le Très Haut et l’honneur de notre Saint Prophète Issa 3alayhi salam. On vous demande de ne pas communiquer avec les médias et de laisser les Chrétiens faire leur manifestation tranquillement, car tout dérapage de langage ou de comportement sera attribué à notre groupe. La discipline, la fierté, la noblesse, et le respect seront les maîtres-mots de ce rassemblement. Barakalahoufikoum. ( un pré-rassemblement est prévu cet après-midi vers 16h dans le 93, appelez pour plus de détails inchaalah).
Appelez dès 14H ( pas avant ) à ce numéro :
06.38.32.05.91
Hafidakoum ALLAH
“L’équipe Forsane Alizza”
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Commentaire d'Hercule : Cela va devenir vraiment très difficile à gérer pour les professionnels de cette pièce de théâtre et pour l'archevêque le Maire de Paris qui appelle à lutter contre les "intégristes-fondamentaliste" Chrétiens (comme disent les tenants de la pensée unique franc-maçonne, religieusement, laïcistement et politiquement correcte.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://catholique-rennes.cef.fr/?Sur-le-concept-du-visage-du-fils
« Sur le concept du visage du fils de Dieu » : pour prendre le temps de comprendre et de faire un pas en profondeur
Rennes, le jeudi 3 novembre 2011
+Pierre d’Ornellas
Archevêque de Rennes
La pièce de théâtre « sur le concept du visage du fils de Dieu » de Roméo Castelluci sera représentée à Rennes les 10, 11 et 12 novembre prochains. Elle suscite une polémique. Comment comprendre cette pièce ?
Dossier de presse de la pièce à télécharger ci-contre :
Deux interviews à lire
Se poser cette question, c’est d’abord interroger Roméo Castelluci lui-même. Je vous propose deux textes de lui.
Le 27 octobre dernier, il disait : « J’ai toujours été fasciné par l’image du Christ, par le mystère de cette beauté. » Cette phrase est extraite de son interview dans Le Monde de ce 27 octobre.
Romeo Castellucci, l’auteur de la pièce
Christophe Raynaud de Lage
Auparavant, fin juillet 2011, il disait : « Un jour en feuilletant un livre, je suis tombé sur ce portrait de Jésus. J’ai littéralement été saisi par ce regard qui plonge dans vos yeux : j’ai marqué une pause, très longue, qui n’avait rien de naturelle et j’ai compris qu’une rencontre s’opérait. Je n’étais pas seulement devant une page de l’histoire de l’art, mais devant autre chose. Il y avait un appel dans ce regard. C’était lui qui me regardait, tout simplement. Dans Sur le concept du visage du fils de Dieu, ce regard du Christ est central et rencontre chaque spectateur, individuellement. Le spectateur est sans cesse observé par le fils de Dieu. »
Il faudrait lire au moins ces deux interviews en entier pour écouter vraiment Roméo Castelluci. Je vous joins la seconde interview (voir PDF à télécharger) qui répondra à des questions que vous vous posez. Lisez-la à plusieurs et engagez le débat. Sur quoi porte-t-il ?
La débat
Tout d’abord, il est clair qu’il n’y a pas de christianophobie dans cette pièce de théâtre.
Mais alors qu’y a-t-il ? Une mise en scène qui est provocante. La provocation de l’artiste consiste à trouver les moyens de faire sortir le spectateur de ses habitudes pour qu’il entre dans le drame vu par l’auteur de la pièce et « réponde à l’énigme qui lui est posée », selon le propos de Castelluci.
Tel est le rôle des artistes : grâce à leur sens artistique, ils sont capables de faire voir ce que nous ne voyons habituellement pas. Benoît XVI le leur a rappelé le 21 novembre 2009. Il fait mémoire des propos que le Pape Paul VI leur a tenus : « Ma pensée va au 7 mai 1964, il y a quarante-cinq ans, lorsque, en ce même lieu, se déroula un événement historique, fortement voulu par le Pape Paul VI pour réaffirmer l’amitié entre l’Église et les arts. « Nous avons besoin de vous, dit-il. Notre ministère a besoin de votre collaboration. Car, comme vous le savez, notre ministère est celui de prêcher et de rendre accessible et compréhensible, et même émouvant, le monde de l’esprit, de l’invisible, de l’ineffable, de Dieu. Et dans cette opération... vous êtes des maîtres. C’est votre métier, votre mission ; et votre art est celui de saisir du ciel de l’esprit ses trésors et de les revêtir de mots, de couleurs, de formes, d’accessibilité. » »
Le père
Piero Tauro
Les mises en scènes choisies par Castelluci sont provocantes. Il est provocant en effet de nous montrer la souffrance ordinaire la plus triviale : la déchéance de l’homme dans sa vieillesse. Cela est trivial, mais cela est aussi très vrai et très réel, très quotidien. Alors surgit une question : comment la beauté du visage du Christ est-elle touchée, ou se laisse-t-elle toucher par cette déchéance qui appartient à la condition humaine ? De fait, la pièce place cette déchéance au milieu, entre le Christ avec son regard perçant et le spectateur qui est regardé. Que fera le spectateur ? Comment accordera-t-il la beauté de ce visage du Christ – auquel il croit de tout son cœur ou auquel il ne croit pas, ou encore qu’il cherche – avec la laideur triviale de ce vieillard incontinent ? Le spectateur est amené à comprendre que ce vieillard, c’est aussi lui-même, car il est un homme, lui aussi voué à la déchéance de la vieillesse. Mais là même, où serait la beauté du Fils de Dieu ? Regardé par le Christ, chacun, selon sa foi, ses doutes ou sa recherche, est invité à répondre.
Voir plus loin
Castelluci veut nous conduire plus loin. Dans ce vieillard qui se vide de lui-même, « de sa dignité », dit-il, il montre aussi le Christ qui s’est vidé de lui-même « jusqu‘à la mort et la mort de la Croix », comme le chante saint Paul (Philippiens 2, Ce Fils est aussi manifesté par l’amour du fils pour son père incontinent. Il s’agit d’une « profonde manifestation d’amour », dit encore Castelluci.
La pièce cherche à nous emmener encore plus loin. Le visage de Jésus peint par Messine est mis devant la pire souffrance : des enfants qui lui jettent des grenades apparentes. Cela rappelle la Passion. Castelluci le sait et il précise : « Il n’est pas dans mon intention de désacraliser le visage de Jésus, bien au contraire : pour moi, il s’agit d’une forme de prière qui se fait à travers l’innocence d’un geste d’enfant. » Au premier abord, ce geste est très (trop ?) provocant. Il exige un surcroît de réflexion pour que soit déchiffré ce qu’a voulu dire l’auteur. Castelluci en parle dans son texte joint. Ce geste m’a fait penser aux questions vives des chercheurs de Dieu qui, innocents dans leur absence de foi, souffrent de ne pas trouver la Vérité et crient vers ce visage comme s’ils lui disaient : vas-tu nous dire enfin quelque chose, une parole d’espérance ? Un peu comme Job qui a crié son angoisse à son Dieu qui s’était tu, ou comme le psalmiste : « pourquoi me cacher ton visage ? » (Ps 88, 15)
Le fils devant le portrait du Christ
Klaus Lefebvre
Dans la pièce, qui que nous soyons, « nous sommes en permanence regardés par le Christ ». Son visage est apparu au début. À la fin, un voile noir (fait d’encre de Chine) le recouvre peu à peu et son regard disparaît. Cela me fait penser aux paroles de Jésus : « C’est votre intérêt que je parte… Encore un peu et vous ne me verrez plus » (Jean 16, 7.19). Mais son regard est entré en nous. Il ne nous quitte plus jusqu’à ce que nous ayons répondu ou fait un pas en avant, chacun selon sa foi ou sa recherche.
Castelluci n’est-il pas un de ces « chercheurs de Dieu », dont a parlé Benoît XVI à Assise ? C’était le 27 octobre dernier, le jour où l’interview de Castelluci était publiée dans Le Monde, comme si s’établissait un dialogue entre l’Église et lui. À la fin de sa pièce, la phrase en anglais apparaît : « tu es mon berger ». Vient aussi, en clignotant, le « not » pour signifier le doute de Castelluci. Cela mérite le respect et l’écoute car ce doute est peut-être un appel : qui me fera comprendre ce visage du Christ qui me fascine ? Le Pape a évoqué la souffrance des chercheurs de Dieu qui ne rencontrent pas dans l’Église un témoin humble et lumineux qui laisserait suffisamment passer Dieu à travers leur vie pour les éclairer dans leur quête. Un tel témoin, à l’image de l’humble et pauvre saint François d’Assise, entre paisiblement dans le dialogue avec l’art, pourtant si différent de lui dans sa provocation contemporaine.
Que conclure ?
Tout d’abord, il est important de comprendre l’intention de l’auteur. Il est alors possible d’essayer de comprendre sa pièce. Sa pièce veut nous faire voir ce que nous ne voyons pas habituellement. La provocation de telle ou telle mise en scène, si elle est conforme à l’intention, n’est pas un blasphème mais une parole ou un geste incisif qui remue, bouleverse, oblige à réagir. Castelluci a-t-il réussi ? À chaque spectateur de se prononcer. Comme toute œuvre, il est évidemment possible de ne pas l’apprécier.
Mais le dialogue entre l’Église et l’art contemporain est une voie indispensable à l’évangélisation. Ce dialogue – difficile – appelle au préalable un dialogue entre chrétiens, fascinés eux aussi par le Christ et aimant l’Église, pour essayer de mieux comprendre la place de l’art dans nos sociétés contemporaines. Que ce dialogue renforce la foi de chacun, même s’il nous remet en question. Il nous fera avancer dans notre « amitié avec le Fils de Dieu.
Ne nous trompons donc pas de combat en luttant contre une christianophobie à laquelle on veut nous faire croire. Manifester contre Castelluci est une erreur de perspective. Nous, chrétiens, nous croyons au Christ, Fils de Dieu. Vivre selon notre foi est notre vrai combat quotidien, dans l’amour qui écoute vraiment le cri des chercheurs de Dieu, dans l’amour qui dialogue en vérité.
Rennes, le jeudi 3 novembre 2011
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Commentaire d'Hercule : Et en plus, il nous faut essayer de comprendre Roméo Castelluci, l'auteur de cette pièce de théatre... Un exorcisme ne serait-il pas plus adapté ?
« Sur le concept du visage du fils de Dieu » : pour prendre le temps de comprendre et de faire un pas en profondeur
Rennes, le jeudi 3 novembre 2011
+Pierre d’Ornellas
Archevêque de Rennes
La pièce de théâtre « sur le concept du visage du fils de Dieu » de Roméo Castelluci sera représentée à Rennes les 10, 11 et 12 novembre prochains. Elle suscite une polémique. Comment comprendre cette pièce ?
Dossier de presse de la pièce à télécharger ci-contre :
Deux interviews à lire
Se poser cette question, c’est d’abord interroger Roméo Castelluci lui-même. Je vous propose deux textes de lui.
Le 27 octobre dernier, il disait : « J’ai toujours été fasciné par l’image du Christ, par le mystère de cette beauté. » Cette phrase est extraite de son interview dans Le Monde de ce 27 octobre.
Romeo Castellucci, l’auteur de la pièce
Christophe Raynaud de Lage
Auparavant, fin juillet 2011, il disait : « Un jour en feuilletant un livre, je suis tombé sur ce portrait de Jésus. J’ai littéralement été saisi par ce regard qui plonge dans vos yeux : j’ai marqué une pause, très longue, qui n’avait rien de naturelle et j’ai compris qu’une rencontre s’opérait. Je n’étais pas seulement devant une page de l’histoire de l’art, mais devant autre chose. Il y avait un appel dans ce regard. C’était lui qui me regardait, tout simplement. Dans Sur le concept du visage du fils de Dieu, ce regard du Christ est central et rencontre chaque spectateur, individuellement. Le spectateur est sans cesse observé par le fils de Dieu. »
Il faudrait lire au moins ces deux interviews en entier pour écouter vraiment Roméo Castelluci. Je vous joins la seconde interview (voir PDF à télécharger) qui répondra à des questions que vous vous posez. Lisez-la à plusieurs et engagez le débat. Sur quoi porte-t-il ?
La débat
Tout d’abord, il est clair qu’il n’y a pas de christianophobie dans cette pièce de théâtre.
Mais alors qu’y a-t-il ? Une mise en scène qui est provocante. La provocation de l’artiste consiste à trouver les moyens de faire sortir le spectateur de ses habitudes pour qu’il entre dans le drame vu par l’auteur de la pièce et « réponde à l’énigme qui lui est posée », selon le propos de Castelluci.
Tel est le rôle des artistes : grâce à leur sens artistique, ils sont capables de faire voir ce que nous ne voyons habituellement pas. Benoît XVI le leur a rappelé le 21 novembre 2009. Il fait mémoire des propos que le Pape Paul VI leur a tenus : « Ma pensée va au 7 mai 1964, il y a quarante-cinq ans, lorsque, en ce même lieu, se déroula un événement historique, fortement voulu par le Pape Paul VI pour réaffirmer l’amitié entre l’Église et les arts. « Nous avons besoin de vous, dit-il. Notre ministère a besoin de votre collaboration. Car, comme vous le savez, notre ministère est celui de prêcher et de rendre accessible et compréhensible, et même émouvant, le monde de l’esprit, de l’invisible, de l’ineffable, de Dieu. Et dans cette opération... vous êtes des maîtres. C’est votre métier, votre mission ; et votre art est celui de saisir du ciel de l’esprit ses trésors et de les revêtir de mots, de couleurs, de formes, d’accessibilité. » »
Le père
Piero Tauro
Les mises en scènes choisies par Castelluci sont provocantes. Il est provocant en effet de nous montrer la souffrance ordinaire la plus triviale : la déchéance de l’homme dans sa vieillesse. Cela est trivial, mais cela est aussi très vrai et très réel, très quotidien. Alors surgit une question : comment la beauté du visage du Christ est-elle touchée, ou se laisse-t-elle toucher par cette déchéance qui appartient à la condition humaine ? De fait, la pièce place cette déchéance au milieu, entre le Christ avec son regard perçant et le spectateur qui est regardé. Que fera le spectateur ? Comment accordera-t-il la beauté de ce visage du Christ – auquel il croit de tout son cœur ou auquel il ne croit pas, ou encore qu’il cherche – avec la laideur triviale de ce vieillard incontinent ? Le spectateur est amené à comprendre que ce vieillard, c’est aussi lui-même, car il est un homme, lui aussi voué à la déchéance de la vieillesse. Mais là même, où serait la beauté du Fils de Dieu ? Regardé par le Christ, chacun, selon sa foi, ses doutes ou sa recherche, est invité à répondre.
Voir plus loin
Castelluci veut nous conduire plus loin. Dans ce vieillard qui se vide de lui-même, « de sa dignité », dit-il, il montre aussi le Christ qui s’est vidé de lui-même « jusqu‘à la mort et la mort de la Croix », comme le chante saint Paul (Philippiens 2, Ce Fils est aussi manifesté par l’amour du fils pour son père incontinent. Il s’agit d’une « profonde manifestation d’amour », dit encore Castelluci.
La pièce cherche à nous emmener encore plus loin. Le visage de Jésus peint par Messine est mis devant la pire souffrance : des enfants qui lui jettent des grenades apparentes. Cela rappelle la Passion. Castelluci le sait et il précise : « Il n’est pas dans mon intention de désacraliser le visage de Jésus, bien au contraire : pour moi, il s’agit d’une forme de prière qui se fait à travers l’innocence d’un geste d’enfant. » Au premier abord, ce geste est très (trop ?) provocant. Il exige un surcroît de réflexion pour que soit déchiffré ce qu’a voulu dire l’auteur. Castelluci en parle dans son texte joint. Ce geste m’a fait penser aux questions vives des chercheurs de Dieu qui, innocents dans leur absence de foi, souffrent de ne pas trouver la Vérité et crient vers ce visage comme s’ils lui disaient : vas-tu nous dire enfin quelque chose, une parole d’espérance ? Un peu comme Job qui a crié son angoisse à son Dieu qui s’était tu, ou comme le psalmiste : « pourquoi me cacher ton visage ? » (Ps 88, 15)
Le fils devant le portrait du Christ
Klaus Lefebvre
Dans la pièce, qui que nous soyons, « nous sommes en permanence regardés par le Christ ». Son visage est apparu au début. À la fin, un voile noir (fait d’encre de Chine) le recouvre peu à peu et son regard disparaît. Cela me fait penser aux paroles de Jésus : « C’est votre intérêt que je parte… Encore un peu et vous ne me verrez plus » (Jean 16, 7.19). Mais son regard est entré en nous. Il ne nous quitte plus jusqu’à ce que nous ayons répondu ou fait un pas en avant, chacun selon sa foi ou sa recherche.
Castelluci n’est-il pas un de ces « chercheurs de Dieu », dont a parlé Benoît XVI à Assise ? C’était le 27 octobre dernier, le jour où l’interview de Castelluci était publiée dans Le Monde, comme si s’établissait un dialogue entre l’Église et lui. À la fin de sa pièce, la phrase en anglais apparaît : « tu es mon berger ». Vient aussi, en clignotant, le « not » pour signifier le doute de Castelluci. Cela mérite le respect et l’écoute car ce doute est peut-être un appel : qui me fera comprendre ce visage du Christ qui me fascine ? Le Pape a évoqué la souffrance des chercheurs de Dieu qui ne rencontrent pas dans l’Église un témoin humble et lumineux qui laisserait suffisamment passer Dieu à travers leur vie pour les éclairer dans leur quête. Un tel témoin, à l’image de l’humble et pauvre saint François d’Assise, entre paisiblement dans le dialogue avec l’art, pourtant si différent de lui dans sa provocation contemporaine.
Que conclure ?
Tout d’abord, il est important de comprendre l’intention de l’auteur. Il est alors possible d’essayer de comprendre sa pièce. Sa pièce veut nous faire voir ce que nous ne voyons pas habituellement. La provocation de telle ou telle mise en scène, si elle est conforme à l’intention, n’est pas un blasphème mais une parole ou un geste incisif qui remue, bouleverse, oblige à réagir. Castelluci a-t-il réussi ? À chaque spectateur de se prononcer. Comme toute œuvre, il est évidemment possible de ne pas l’apprécier.
Mais le dialogue entre l’Église et l’art contemporain est une voie indispensable à l’évangélisation. Ce dialogue – difficile – appelle au préalable un dialogue entre chrétiens, fascinés eux aussi par le Christ et aimant l’Église, pour essayer de mieux comprendre la place de l’art dans nos sociétés contemporaines. Que ce dialogue renforce la foi de chacun, même s’il nous remet en question. Il nous fera avancer dans notre « amitié avec le Fils de Dieu.
Ne nous trompons donc pas de combat en luttant contre une christianophobie à laquelle on veut nous faire croire. Manifester contre Castelluci est une erreur de perspective. Nous, chrétiens, nous croyons au Christ, Fils de Dieu. Vivre selon notre foi est notre vrai combat quotidien, dans l’amour qui écoute vraiment le cri des chercheurs de Dieu, dans l’amour qui dialogue en vérité.
Rennes, le jeudi 3 novembre 2011
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Commentaire d'Hercule : Et en plus, il nous faut essayer de comprendre Roméo Castelluci, l'auteur de cette pièce de théatre... Un exorcisme ne serait-il pas plus adapté ?
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/11/pour-lhonneur-du-christ-et-la-verite.html
04 novembre, 2011
Pour l’honneur du Christ… et la vérité sur Castellucci
La mobilisation de jeunes catholiques contre la profanation subventionnée du visage du Christ dans la pièce de Romeo Castellucci, actuellement jouée au Théâtre 104 à Paris, se trouve dénoncée, contrée voire ridiculisée et même violemment par un certain nombre de catholiques – l’abbé Grosjean, Myriam Picard (rédactrice aussi à Riposte Laïque !), Jacques de Guillebon, Yves Daoudal – qui nous livrent leur interprétation de la pièce. Profondément chrétienne, disent-ils : à la gloire finalement de ce Dieu qui nous cherche, nous appelle et nous aime toujours malgré notre déchéance figurée par les excréments déversés par litres au long de chaque représentation.
Castellucci devient ainsi un homme travaillé, voire torturé par une profonde spiritualité, abusant de la m… certes mais inquiet de faire passer un message sur l’amour de Dieu et la Résurrection qui est notre espérance, quels qu’aient été les affres de la Passion.
Je veux bien. Ils sont libres de leur interprétation. Nos amis auraient pu dire tout cela sans moquer, mépriser, laisser passer pour des « fondamentalistes » les catholiques qui au nom du Christ ont supporté la bastonnade policière, des gardes à vue menées au mépris de leurs droits élémentaires, qui ont prié pacifiquement, qui ont mis le doigt sur le néant de la culture de mort qui ne vit que de l’atteinte au beau, au vrai et au bien.
Ils auraient pu mesurer que les actions judiciaires de l’AGRIF pour faire respecter l’honneur des chrétiens et faire cesser le scandale innommable de la représentation subventionnée de la Face du Christ couverte d’excréments allaient en être singulièrement compliquées. Le référé contre la décision de représenter la pièce au « 104 » a été balayé d’un revers de main par le juge qui a simplement dit qu’il n’y a là pas l’ombre d’une atteinte à l’ordre et à la loi. Allez-y, souillez les icônes, profanez ce que les chrétiens ont de plus cher, la chasse est ouverte !
D’autres « lectures » de la pièce, moins complaisantes, moins intellectualisantes voire moins snobs sont pourtant diffusées désormais. Les chrétiens ne se sont pas jetés dans la rue sans savoir, et ce que l’on voit sur scène confirme leur dégoût et leur douleur. Une remarquable analyse a été faite vendredi matin par un lecteur du Salon beige qui en a publié de larges extraits. Un journal comme MetroFrance confirme ce que Castellucci avait tenté de dissimuler dans ses entretiens publics : c’est au moment où le Christ d’Antonello da Messina se « voile de noir » comme il dit qu’est répandue dans la salle l’odeur d’excréments.
Il faudra lire et méditer l’analyse… psychanalytique de Sur le concept du Visage du Fils de Dieu qu’en fait « Avenir de la Culture » (un texte qui sera publié in extenso dans le prochain numéro de Reconquête). Elle permet de comprendre l’obsession freudienne de l’excrément qui est traduite sur scène par Castellucci.
Mais je voudrais aussi vous présenter « ma » lecture de la pièce, qui ne contredit en rien la précédente.
« Qui me voit, voit le Père », disait Notre-Seigneur, « en ce temps-là » et pour tous les temps. Sur la scène de Castellucci, c’est la même chose. Le tableau d’Antonello da Messina en fond de scène renvoie à cette relation entre Père et Fils qui se joue, d’une manière abjecte, devant lui, entre le père incontinent, ricanant méchamment de ce qu’il fait subir à sa progéniture, et ce fils qui se révèle incapable de nettoyer la m… répandue sur scène.
Image de la Création : d’un Dieu le Père qui répand le mal et la mort et assiste, impuissant et complice, à la déchéance finale de son œuvre. Entre eux – observait une auditrice de Radio Courtoisie – l’Esprit, symbolisé sur scène par les déjections du vieillard. Et de fait, Castellucci qui se vante de faire un théâtre « hors sens » a dit qu’au fond il voulait montrer « the spirit of the shit » (pas la peine de traduire).
Cette idée d’un Dieu-Père nuisible, impotent et malveillant est celle que véhicule l’anti-culture de notre temps – on le retrouve, tel quel, dans un roman pour la jeunesse à succès de Philip Pullman (A la croisée des mondes).
Elle est précisément celle de Castellucci dans sa pièce Gènesi, relecture de la Genèse où Dieu crée puis laisse son œuvre s’enfoncer dans le mal, le malheur, la mort. On retrouve sa fondamentale inversion dans sa trilogie sur la Divine Comédie, où le ciel est le lieu sans espoir où l’homme est confronté à l’ennui éternel de devoir louer Dieu, et l’enfer celui où, finalement, il lui est possible de conserver son identité et de s’exprimer.
Quant à ceux qui doutent de ses intentions blasphématoires, je les renvoie au Ministre au voile noir (prochainement programmé en Italie), qui lors d’une précédente mise en scène montrait le héros, ministre du culte protestant, s’enfiler des éclats de verre dans l’anus en disant trois fois le nom de Notre Seigneur.
Pardonnez-nous, Seigneur… Vous seul pouvez laver cette fange.
Article extrait du n° 7469 de Présent, du Samedi 5 novembre 2011
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Commentaire d'Hercule : Vouloir à tout prix trouver des circonstances atténuantes à cet auteur ne sont que des vanités mondaines sans fermeté dans la foi et qui trouble un peu plus les catholiques que nous sommes ! Il ne s'agit ni de Charité ni d'amour des ennemies, tout juste de compromission...
Il y a des choses tellement plus belles dans les trésors de l'histoire de l'église, de sa liturgie et de ses Saints...
04 novembre, 2011
Pour l’honneur du Christ… et la vérité sur Castellucci
La mobilisation de jeunes catholiques contre la profanation subventionnée du visage du Christ dans la pièce de Romeo Castellucci, actuellement jouée au Théâtre 104 à Paris, se trouve dénoncée, contrée voire ridiculisée et même violemment par un certain nombre de catholiques – l’abbé Grosjean, Myriam Picard (rédactrice aussi à Riposte Laïque !), Jacques de Guillebon, Yves Daoudal – qui nous livrent leur interprétation de la pièce. Profondément chrétienne, disent-ils : à la gloire finalement de ce Dieu qui nous cherche, nous appelle et nous aime toujours malgré notre déchéance figurée par les excréments déversés par litres au long de chaque représentation.
Castellucci devient ainsi un homme travaillé, voire torturé par une profonde spiritualité, abusant de la m… certes mais inquiet de faire passer un message sur l’amour de Dieu et la Résurrection qui est notre espérance, quels qu’aient été les affres de la Passion.
Je veux bien. Ils sont libres de leur interprétation. Nos amis auraient pu dire tout cela sans moquer, mépriser, laisser passer pour des « fondamentalistes » les catholiques qui au nom du Christ ont supporté la bastonnade policière, des gardes à vue menées au mépris de leurs droits élémentaires, qui ont prié pacifiquement, qui ont mis le doigt sur le néant de la culture de mort qui ne vit que de l’atteinte au beau, au vrai et au bien.
Ils auraient pu mesurer que les actions judiciaires de l’AGRIF pour faire respecter l’honneur des chrétiens et faire cesser le scandale innommable de la représentation subventionnée de la Face du Christ couverte d’excréments allaient en être singulièrement compliquées. Le référé contre la décision de représenter la pièce au « 104 » a été balayé d’un revers de main par le juge qui a simplement dit qu’il n’y a là pas l’ombre d’une atteinte à l’ordre et à la loi. Allez-y, souillez les icônes, profanez ce que les chrétiens ont de plus cher, la chasse est ouverte !
D’autres « lectures » de la pièce, moins complaisantes, moins intellectualisantes voire moins snobs sont pourtant diffusées désormais. Les chrétiens ne se sont pas jetés dans la rue sans savoir, et ce que l’on voit sur scène confirme leur dégoût et leur douleur. Une remarquable analyse a été faite vendredi matin par un lecteur du Salon beige qui en a publié de larges extraits. Un journal comme MetroFrance confirme ce que Castellucci avait tenté de dissimuler dans ses entretiens publics : c’est au moment où le Christ d’Antonello da Messina se « voile de noir » comme il dit qu’est répandue dans la salle l’odeur d’excréments.
Il faudra lire et méditer l’analyse… psychanalytique de Sur le concept du Visage du Fils de Dieu qu’en fait « Avenir de la Culture » (un texte qui sera publié in extenso dans le prochain numéro de Reconquête). Elle permet de comprendre l’obsession freudienne de l’excrément qui est traduite sur scène par Castellucci.
Mais je voudrais aussi vous présenter « ma » lecture de la pièce, qui ne contredit en rien la précédente.
« Qui me voit, voit le Père », disait Notre-Seigneur, « en ce temps-là » et pour tous les temps. Sur la scène de Castellucci, c’est la même chose. Le tableau d’Antonello da Messina en fond de scène renvoie à cette relation entre Père et Fils qui se joue, d’une manière abjecte, devant lui, entre le père incontinent, ricanant méchamment de ce qu’il fait subir à sa progéniture, et ce fils qui se révèle incapable de nettoyer la m… répandue sur scène.
Image de la Création : d’un Dieu le Père qui répand le mal et la mort et assiste, impuissant et complice, à la déchéance finale de son œuvre. Entre eux – observait une auditrice de Radio Courtoisie – l’Esprit, symbolisé sur scène par les déjections du vieillard. Et de fait, Castellucci qui se vante de faire un théâtre « hors sens » a dit qu’au fond il voulait montrer « the spirit of the shit » (pas la peine de traduire).
Cette idée d’un Dieu-Père nuisible, impotent et malveillant est celle que véhicule l’anti-culture de notre temps – on le retrouve, tel quel, dans un roman pour la jeunesse à succès de Philip Pullman (A la croisée des mondes).
Elle est précisément celle de Castellucci dans sa pièce Gènesi, relecture de la Genèse où Dieu crée puis laisse son œuvre s’enfoncer dans le mal, le malheur, la mort. On retrouve sa fondamentale inversion dans sa trilogie sur la Divine Comédie, où le ciel est le lieu sans espoir où l’homme est confronté à l’ennui éternel de devoir louer Dieu, et l’enfer celui où, finalement, il lui est possible de conserver son identité et de s’exprimer.
Quant à ceux qui doutent de ses intentions blasphématoires, je les renvoie au Ministre au voile noir (prochainement programmé en Italie), qui lors d’une précédente mise en scène montrait le héros, ministre du culte protestant, s’enfiler des éclats de verre dans l’anus en disant trois fois le nom de Notre Seigneur.
Pardonnez-nous, Seigneur… Vous seul pouvez laver cette fange.
Article extrait du n° 7469 de Présent, du Samedi 5 novembre 2011
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Commentaire d'Hercule : Vouloir à tout prix trouver des circonstances atténuantes à cet auteur ne sont que des vanités mondaines sans fermeté dans la foi et qui trouble un peu plus les catholiques que nous sommes ! Il ne s'agit ni de Charité ni d'amour des ennemies, tout juste de compromission...
Il y a des choses tellement plus belles dans les trésors de l'histoire de l'église, de sa liturgie et de ses Saints...
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://www.laportelatine.org/archives/communic/2011/civitasTranchet/tranchet111101.php
Communiqué de l'abbé Jean-Yves Tranchet, aumônier de Civitas : c'est l'heure de témoigner !
Accès aux communiqués archivés en 2011
L'appel de l'abbé de Cacqueray : Défendons le Christ : signons la pétition !
Campagne contre la christianophobie : nul ne peut dire qu'il ne peut rien faire
Défendons le Christ : signons la pétition ! - Abbé Régis de Cacqueray
Honneur, admiration et bénédiction pour ces jeunes catholiques qui refusent que le Christ soit insulté
Communiqué de M° François Souchon, avocat des jeunes manifestants interpelés
Mgr Centène apporte son soutien aux manifestants contre la christianophobie
Vidéo : L'abbé de La Morandais mis à mal face à François-Xavier Peron, représentant de Civitas
Communiqué de l'abbé Jean-Yves Tranchet, aumônier de Civitas
C'est l'heure de témoigner !
Abbé Jean-Yves Tranchet
Certains diront : pourquoi confesser le Christ maintenant ? Par son action contre "Golgota picnic" ou "Sur le concept du visage du fils de Dieu", l’Institut Civitas donne de l’importance à des spectacles dont personne n’aurait jamais parlé. Non seulement l’Institut Civitas n’est pas mandaté par l’Église, mais il fait de la récupération politique. Il incite les catholiques à user de violence, ce qui n’est pas évangélique et ce qui les rend odieux aux yeux des médias et de l’opinion publique ! Bref, diront comme toujours les timorés, il eût mieux valu se taire… Alors qu’en est-il ?
C’est maintenant l’heure de confesser le Christ et de défendre son honneur ! Pourquoi maintenant ? En raison du Golgotha et de ce que ce nom signifie. Le Golgotha, c’est le lieu du Calvaire, le lieu de la Rédemption. C’est là que Jésus-Christ a témoigné jusqu’à la mort de sa divinité et de sa royauté. Le Grand Prêtre Caïphe a condamné Jésus pour s’être dit « Fils de Dieu » ; et le motif de condamnation que le Gouverneur Ponce-Pilate a fait inscrire sur la Croix fut : « Roi des Juifs ».
Or ce témoignage, le Christ l’a fait par amour pour les hommes, afin de sauver les hommes.
Aujourd’hui, c’est de Dieu que l’on se moque, de son image et de l’acte essentiel pour lequel il est venu sur terre, son Sacrifice sur la Croix ! Certes le blasphème n’est pas nouveau et l’on ne peut réparer pour tous les blasphèmes, mais ces derniers revêtent pourtant un caractère nouveau ; ils ne sont pas anodins ; ils sont publics, soutenus, financés et défendus par les autorités publiques ! De même que sur le Calvaire, ce sont les Princes des prêtres et les Anciens qui ont poussé la foule à crier « à mort ; crucifie-le ! », de même ce n’est qu’une poignée d’hommes influents sur le pouvoir public qui veut pousser les foules à rejeter définitivement le Christ de notre société. Ils sont jaloux et haineux, comme les chefs des Juifs d’alors, et ils ont peur de cet Homme-Dieu qui attire les foules.
Comment un catholique pourrait-il ne pas réagir à ces affronts ? Et comment peut-on penser qu’un catholique puisse ne pas réagir ? Serons-nous comme les pauvres disciples, terrifiés, abandonnant le Christ durant sa Passion ? Serons-nous comme le malheureux Pierre, le chef de l’Église pourtant, qui le renia par trois fois ? Allons-nous nous taire ou pire minimiser ces crimes comme certains évêques de France ? Qui donc confessera le Christ ?
Ce sont les catholiques et tous ceux qui se disent catholiques qui doivent confesser le Christ-Roi ! C’est aux catholiques de témoigner désormais leur foi et leur amour pour le Christ, comme lui-même a témoigné sur la Croix par amour pour nous ! Elles sont terribles ces paroles de Notre-Seigneur : « Celui qui m’aura confessé devant les hommes, moi aussi je le confesserai devant mon Père qui est dans les Cieux ; et celui qui m’aura renié devant les hommes, moi aussi je le renierai devant mon Père qui est dans les Cieux » (Mt 10, 32-33).
Et si les catholiques réagissent avec autant de détermination, c’est aussi par amour du prochain, parce qu’ils sont conscients que Dieu a le blasphème en horreur et qu’il châtiera sévèrement notre pays s’ils ne font pas cesser ces blasphèmes publics.
Ce qui est certain, c’est que le chaos dans lequel vit notre société, qui pourrait sombrer dans la guerre civile, est une conséquence directe du laïcisme et de l’apostasie officielle de l’État. Cette agressivité à l’égard de Dieu, bien loin de nous faire peur, doit nous déterminer au contraire à revendiquer haut et fort les droits de Dieu et de Jésus-Christ qui seul apportera au monde la véritable paix.
Soyons donc des témoins (martyrs en grec), même s’il faut souffrir quelque chose pour lui. « Bienheureux serez-vous lorsqu’on vous maudira, qu’on vous persécutera, et qu’on dira faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. Réjouissez-vous alors, et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les Cieux » (Mt 5, 11-12).
Il y a 2 000 ans, les chefs des Juifs accusaient déjà Jésus d’être un séditieux bouleversant la nation et s’arrogeant le titre de Christ-Roi. On dit aujourd’hui des catholiques qui défendent leur Dieu qu’ils sont violents et sèment le trouble à l’ordre public ; qu’ils sont intégristes, voire fondamentalistes ! Mais qu’importe ? Qu’importe en effet ce que l’on dit et ce que l’on dira, puisque de fait, ces catholiques confessent le Christ !
Malgré ce qu’on dit, nous n’utilisons pas la violence pour défendre l’honneur de Dieu et faire cesser l’outrage et nous ne l’utiliserons pas car le Christ sur la Croix a vaincu sans violence ! Sur le Calvaire, ce sont de pauvres hommes excités et manipulés par le démon qui ont été violents, comme le sont aujourd’hui ces promoteurs de spectacles. Ils ont violenté le Fils de Dieu en le frappant à mort et ils ont violenté le Fils de Dieu en prononçant d’horribles blasphèmes. Mais le Christ, lui, a commandé à Pierre de remettre son épée au fourreau, il a guéri l’oreille du soldat Malchus et il a pardonné à ses bourreaux.
Comment alors les catholiques confesseront-ils le Christ ? Avec force, en imitant ces témoignages admirables que les saints nous ont laissé durant cette scène horrible de la crucifixion. Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa Croix en bravant les humiliations et les représailles. Sainte Véronique fend la foule et écarte les soldats avec un courage héroïque pour essuyer la face du Christ outragée et couverte de crachats. Le bon larron, malgré ses propres souffrances, défend l’honneur de Jésus et reprend son complice qui blasphème. Joseph d’Arimathie, surpassant la crainte des Juifs, se déclare disciple du Christ, réclame à Pilate le Corps de Jésus et l’ensevelit dans son propre tombeau. Il n’y a ni révolte, ni violence chez ces saints. C’est la foi et l’amour de Dieu qui commande leurs actes héroïques !
On objectera peut-être que ces actes sont insuffisants car ils n’ont pas empêché la mort de Jésus. Pourtant la Passion de Jésus, la prière de Marie et le témoignage des saints ont mérité non seulement la conversion du centurion présent au Calvaire, la conversion de saint Pierre et le retour des Apôtres qui mourront martyrs pour le Christ, mais aussi la conversion du monde, la sanctification des mœurs et la paix chrétienne qui a fait notre histoire. Qu’y aurait-il donc de plus efficace ?
Alors prenons garde de ne pas abandonner le Christ aux criminels, par lâcheté, en disant comme Pilate : « Je suis innocent du sang de ce Juste. » Prenons garde de ne pas le renier non plus par crainte de l’opinion publique, en niant notre appartenance au Christ, notre dignité de chrétien, par nos paroles, nos actes ou tout simplement notre inaction.
Professons ouvertement notre foi devant les autres, nous serons bénis de Dieu. L’Église nous y encourage et, contrairement à ce qu’affirme le Cardinal Vingt-Trois, Président de la Conférence des évêques de France, elle nous mandate même en accordant une indulgence à tout fidèle qui le fait de façon spontanée dans ces circonstances particulières [Enchiridion de 1999 - (1)]. Confessons le Christ dans notre vie de tous les jours, en famille, à l’université ou au travail. Confessons le Christ publiquement pour mériter que cessent ces blasphèmes et cette apostasie générale, pour mériter la conversion des pécheurs et des blasphémateurs, pour obtenir la force du témoignage aux hommes d’Église.
Et si nous n’avons pas l’occasion de témoigner publiquement notre foi, prions Notre-Dame Médiatrice de toutes grâces, d’accorder la force du témoignage à ceux qui devront le faire et prions-la aussi de bien vouloir retenir le bras vengeur de son Divin Fils qui a le blasphème en horreur.
Tel est l’esprit qui a présidé à nos actions et à nos manifestations. Et tout ce qui n’a pas cet esprit ne devra pas se faire et ne se fera pas.
Abbé Jean-Yves Tanchet, aumônier national de Civitas
(1) Enchiridion des indulgences : Enchiridion indulgentiarum. Manuel des indulgences accordées par l'Eglise. La dernière version a été donnée à Rome, au Siège de la Pénitencerie Apostolique, le 16 juillet 1999.
Pour plus de renseignements
Institut Civitas
17, rue des Chasseurs
95100 Argenteuil
01.34.11.16.94
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Communiqué de l'abbé Jean-Yves Tranchet, aumônier de Civitas : c'est l'heure de témoigner !
Accès aux communiqués archivés en 2011
L'appel de l'abbé de Cacqueray : Défendons le Christ : signons la pétition !
Campagne contre la christianophobie : nul ne peut dire qu'il ne peut rien faire
Défendons le Christ : signons la pétition ! - Abbé Régis de Cacqueray
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Communiqué de l'abbé Jean-Yves Tranchet, aumônier de Civitas
C'est l'heure de témoigner !
Abbé Jean-Yves Tranchet
Certains diront : pourquoi confesser le Christ maintenant ? Par son action contre "Golgota picnic" ou "Sur le concept du visage du fils de Dieu", l’Institut Civitas donne de l’importance à des spectacles dont personne n’aurait jamais parlé. Non seulement l’Institut Civitas n’est pas mandaté par l’Église, mais il fait de la récupération politique. Il incite les catholiques à user de violence, ce qui n’est pas évangélique et ce qui les rend odieux aux yeux des médias et de l’opinion publique ! Bref, diront comme toujours les timorés, il eût mieux valu se taire… Alors qu’en est-il ?
C’est maintenant l’heure de confesser le Christ et de défendre son honneur ! Pourquoi maintenant ? En raison du Golgotha et de ce que ce nom signifie. Le Golgotha, c’est le lieu du Calvaire, le lieu de la Rédemption. C’est là que Jésus-Christ a témoigné jusqu’à la mort de sa divinité et de sa royauté. Le Grand Prêtre Caïphe a condamné Jésus pour s’être dit « Fils de Dieu » ; et le motif de condamnation que le Gouverneur Ponce-Pilate a fait inscrire sur la Croix fut : « Roi des Juifs ».
Or ce témoignage, le Christ l’a fait par amour pour les hommes, afin de sauver les hommes.
Aujourd’hui, c’est de Dieu que l’on se moque, de son image et de l’acte essentiel pour lequel il est venu sur terre, son Sacrifice sur la Croix ! Certes le blasphème n’est pas nouveau et l’on ne peut réparer pour tous les blasphèmes, mais ces derniers revêtent pourtant un caractère nouveau ; ils ne sont pas anodins ; ils sont publics, soutenus, financés et défendus par les autorités publiques ! De même que sur le Calvaire, ce sont les Princes des prêtres et les Anciens qui ont poussé la foule à crier « à mort ; crucifie-le ! », de même ce n’est qu’une poignée d’hommes influents sur le pouvoir public qui veut pousser les foules à rejeter définitivement le Christ de notre société. Ils sont jaloux et haineux, comme les chefs des Juifs d’alors, et ils ont peur de cet Homme-Dieu qui attire les foules.
Comment un catholique pourrait-il ne pas réagir à ces affronts ? Et comment peut-on penser qu’un catholique puisse ne pas réagir ? Serons-nous comme les pauvres disciples, terrifiés, abandonnant le Christ durant sa Passion ? Serons-nous comme le malheureux Pierre, le chef de l’Église pourtant, qui le renia par trois fois ? Allons-nous nous taire ou pire minimiser ces crimes comme certains évêques de France ? Qui donc confessera le Christ ?
Ce sont les catholiques et tous ceux qui se disent catholiques qui doivent confesser le Christ-Roi ! C’est aux catholiques de témoigner désormais leur foi et leur amour pour le Christ, comme lui-même a témoigné sur la Croix par amour pour nous ! Elles sont terribles ces paroles de Notre-Seigneur : « Celui qui m’aura confessé devant les hommes, moi aussi je le confesserai devant mon Père qui est dans les Cieux ; et celui qui m’aura renié devant les hommes, moi aussi je le renierai devant mon Père qui est dans les Cieux » (Mt 10, 32-33).
Et si les catholiques réagissent avec autant de détermination, c’est aussi par amour du prochain, parce qu’ils sont conscients que Dieu a le blasphème en horreur et qu’il châtiera sévèrement notre pays s’ils ne font pas cesser ces blasphèmes publics.
Ce qui est certain, c’est que le chaos dans lequel vit notre société, qui pourrait sombrer dans la guerre civile, est une conséquence directe du laïcisme et de l’apostasie officielle de l’État. Cette agressivité à l’égard de Dieu, bien loin de nous faire peur, doit nous déterminer au contraire à revendiquer haut et fort les droits de Dieu et de Jésus-Christ qui seul apportera au monde la véritable paix.
Soyons donc des témoins (martyrs en grec), même s’il faut souffrir quelque chose pour lui. « Bienheureux serez-vous lorsqu’on vous maudira, qu’on vous persécutera, et qu’on dira faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. Réjouissez-vous alors, et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les Cieux » (Mt 5, 11-12).
Il y a 2 000 ans, les chefs des Juifs accusaient déjà Jésus d’être un séditieux bouleversant la nation et s’arrogeant le titre de Christ-Roi. On dit aujourd’hui des catholiques qui défendent leur Dieu qu’ils sont violents et sèment le trouble à l’ordre public ; qu’ils sont intégristes, voire fondamentalistes ! Mais qu’importe ? Qu’importe en effet ce que l’on dit et ce que l’on dira, puisque de fait, ces catholiques confessent le Christ !
Malgré ce qu’on dit, nous n’utilisons pas la violence pour défendre l’honneur de Dieu et faire cesser l’outrage et nous ne l’utiliserons pas car le Christ sur la Croix a vaincu sans violence ! Sur le Calvaire, ce sont de pauvres hommes excités et manipulés par le démon qui ont été violents, comme le sont aujourd’hui ces promoteurs de spectacles. Ils ont violenté le Fils de Dieu en le frappant à mort et ils ont violenté le Fils de Dieu en prononçant d’horribles blasphèmes. Mais le Christ, lui, a commandé à Pierre de remettre son épée au fourreau, il a guéri l’oreille du soldat Malchus et il a pardonné à ses bourreaux.
Comment alors les catholiques confesseront-ils le Christ ? Avec force, en imitant ces témoignages admirables que les saints nous ont laissé durant cette scène horrible de la crucifixion. Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa Croix en bravant les humiliations et les représailles. Sainte Véronique fend la foule et écarte les soldats avec un courage héroïque pour essuyer la face du Christ outragée et couverte de crachats. Le bon larron, malgré ses propres souffrances, défend l’honneur de Jésus et reprend son complice qui blasphème. Joseph d’Arimathie, surpassant la crainte des Juifs, se déclare disciple du Christ, réclame à Pilate le Corps de Jésus et l’ensevelit dans son propre tombeau. Il n’y a ni révolte, ni violence chez ces saints. C’est la foi et l’amour de Dieu qui commande leurs actes héroïques !
On objectera peut-être que ces actes sont insuffisants car ils n’ont pas empêché la mort de Jésus. Pourtant la Passion de Jésus, la prière de Marie et le témoignage des saints ont mérité non seulement la conversion du centurion présent au Calvaire, la conversion de saint Pierre et le retour des Apôtres qui mourront martyrs pour le Christ, mais aussi la conversion du monde, la sanctification des mœurs et la paix chrétienne qui a fait notre histoire. Qu’y aurait-il donc de plus efficace ?
Alors prenons garde de ne pas abandonner le Christ aux criminels, par lâcheté, en disant comme Pilate : « Je suis innocent du sang de ce Juste. » Prenons garde de ne pas le renier non plus par crainte de l’opinion publique, en niant notre appartenance au Christ, notre dignité de chrétien, par nos paroles, nos actes ou tout simplement notre inaction.
Professons ouvertement notre foi devant les autres, nous serons bénis de Dieu. L’Église nous y encourage et, contrairement à ce qu’affirme le Cardinal Vingt-Trois, Président de la Conférence des évêques de France, elle nous mandate même en accordant une indulgence à tout fidèle qui le fait de façon spontanée dans ces circonstances particulières [Enchiridion de 1999 - (1)]. Confessons le Christ dans notre vie de tous les jours, en famille, à l’université ou au travail. Confessons le Christ publiquement pour mériter que cessent ces blasphèmes et cette apostasie générale, pour mériter la conversion des pécheurs et des blasphémateurs, pour obtenir la force du témoignage aux hommes d’Église.
Et si nous n’avons pas l’occasion de témoigner publiquement notre foi, prions Notre-Dame Médiatrice de toutes grâces, d’accorder la force du témoignage à ceux qui devront le faire et prions-la aussi de bien vouloir retenir le bras vengeur de son Divin Fils qui a le blasphème en horreur.
Tel est l’esprit qui a présidé à nos actions et à nos manifestations. Et tout ce qui n’a pas cet esprit ne devra pas se faire et ne se fera pas.
Abbé Jean-Yves Tanchet, aumônier national de Civitas
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Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Sur le Concept du Visage du Fils de Dieu" à Paris et à Rennes
http://www.laportelatine.org/archives/communic/2011/civitas_charlie_hebdo111102/charlie_hebdo111102.php
Communiqué d'Alain Escada, Secrétaire général de Civitas
Alain Escada,
Secrétaire général de l'Institut Civitas
Halte à l'amalgame : la récitation du chapelet ne relève pas du terrorisme
Ce 2 novembre 2011, les locaux de Charlie Hebdo ont été incendiés par des terroristes, furieux que l'hebdomadaire satirique ait tourné en dérision leur prophète Mahomet.
Plusieurs éditorialistes, qui font honte à leur profession de journalistes, ont tenté d'amalgamer ces terroristes avec les catholiques qui prient depuis quelques jours devant le théâtre de la Ville en réparation de la profanation de l'image de Dieu qui a lieu chaque soir au cours de la pièce de Romeo Castellucci.
Civitas n'a jamais utilisé la violence et ne l'a jamais promue, contrairement aux "artistes" qui répandent des excéments sur le visage du Christ.
Il est regrettable que des autorités civiles et religieuses se soient ainsi abaissées à condamner gratuitement en généralisant sans discernement.
Comparer le recueillement de ces foules qui n'ont pour arme que leur chapelet avec des terroristes qui incendient et attentent à la vie d'autrui est injuste et injurieux.
Jamais Civitas ne se taira. Ni pour dénoncer la christianophobie, ni pour refuser l'étiquette sournoise de fondamentaliste, ni pour rejeter avec force la violence d'islamistes dangereux.
Alain Escada, Secrétaire général de l'Institut Civitas
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Halte à l'amalgame : la récitation du chapelet ne relève pas du terrorisme
Ce 2 novembre 2011, les locaux de Charlie Hebdo ont été incendiés par des terroristes, furieux que l'hebdomadaire satirique ait tourné en dérision leur prophète Mahomet.
Plusieurs éditorialistes, qui font honte à leur profession de journalistes, ont tenté d'amalgamer ces terroristes avec les catholiques qui prient depuis quelques jours devant le théâtre de la Ville en réparation de la profanation de l'image de Dieu qui a lieu chaque soir au cours de la pièce de Romeo Castellucci.
Civitas n'a jamais utilisé la violence et ne l'a jamais promue, contrairement aux "artistes" qui répandent des excéments sur le visage du Christ.
Il est regrettable que des autorités civiles et religieuses se soient ainsi abaissées à condamner gratuitement en généralisant sans discernement.
Comparer le recueillement de ces foules qui n'ont pour arme que leur chapelet avec des terroristes qui incendient et attentent à la vie d'autrui est injuste et injurieux.
Jamais Civitas ne se taira. Ni pour dénoncer la christianophobie, ni pour refuser l'étiquette sournoise de fondamentaliste, ni pour rejeter avec force la violence d'islamistes dangereux.
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