Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
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Prophéties se Rapportant au Saint Pontife

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Prophéties se Rapportant au Saint Pontife - Page 3 Empty Re: Prophéties se Rapportant au Saint Pontife

Message par Her Ven 29 Avr - 10:17

Madame de Meylian
(1848)

Cette prophétie, dite de Madame de Meylian, et dont on n’en connait pas l’auteur, aurait, selon la légende, été rédigé en latin sur un parchemin sans date, découvert dans le cercueil d’un saint religieux. Madame de Meylian est la fondatrice et la supérieure des Religieuses de l’Immaculée Conception à Rome.

Madame de Meylian possédait ce texte prophétique, depuis 1848. Nous sommes sûrs, par conséquent, qu’elle est au moins antérieure à 1848, et comme elle prend les faits à peu près à cette époque, elle n’a certainement pas été faite après coup.

Madame de Meylian fit connaître ces prophéties sans en indiquer l’origine. Il est possible que ce soit elle-même qui fut favorisée de ces révélations. Dans ces premiers versets, elle proclame la légitimité de Louis XVII et de ses descendants : il est du reste plus que probable qu’elle ait raison :

« La France sera toujours en révolution tant que son roi légitime ne la gouvernera pas.
Il portera une couronne et doit être sacré.
Grande erreur des légitimistes à regarder comme roi tout autre que Louis XVII et ses descendants !
Ils tomberont d’imposteurs à insensés et d’insensés en tyrans.
Le siècle de l’argent, de l’orgueil et de la volupté s’affermit sous le règne du roi du peuple.
Mais voilà qu’il tombe tout à coup et le coq gaulois rabat sa queue toute humiliées et toute confondue.
De la nouvelle république sort un nouvel empire.
Et le peuple vit et se nourrit d’orgueil et de corruption.
La bourgeoisie et le peuple se corrompent de plus en plus.
Pas de petit commerçant qui n’ait sa campagne et sa maison.
L’humilité a fui de la bourgeoisie et du peuple, elle se réfugie chez le noble et l’homme vertueux.
La plaie est immense parce qu’elle tombe sur la partie la plus nombreuse de la France, et qu’une société impie et sacrilège la gangrène jusqu’à la moelle, ô confusion !
Quand le besoin de bâtir sera venu à un point que chaque commerçant aura sa maison de campagne et chaque village son église neuve ; lorsque les femmes seront vêtues en hommes et que les hommes auront le caractère des femmes, une grande révolution se répandra dans le monde.
Je vois l’aigle de Satan porter sur ses triples ailes la corruption, la mort, la trahison de l’Eglise, du Pape et de la France.
Mais le voilà tombé et méprisé sur une terre étrangère, où il meurt d’une maladie honteuse.
Son digne ami le suit bientôt et meurt avec sa chaussure.
Satan multiplie ses formes et traîne par toute la France, la corruption, la dévastation et la confusion des esprits.
Quelles hydres horribles ! que de crimes et de malheurs ! que de démons sous toutes les formes !
Déjà plusieurs sont tombés, les autres tomberont à leur tour, mais Dieu châtiera son peuple !
Voilà que l’aiglon roule dans la poussière et disparaît au grand étonnement de tous et à la douleur d’un parti.
Les inondations, les orages et les maladies des animaux, les fruits et les productions de la terre, gâtés et corrompus, annonceront à l’homme que Dieu est le maître, bien que l’homme ne veuille plus le reconnaître.
Mais deux évènements sont passés : la chute du Traître et l’annonce des vrais descendants des Lys par des voix étouffées.
A ce moment le nombre de vrais légitimistes sera tellement petit, qu’il pourrait tenir dans une chambre de vingt-cinq pieds carrés.
Le troisième signe des évènements va paraître : l’Angleterre se remue !
De même qu’on reconnaît que l’été approche quand le figuier pousse, on verra à ce signe que la crise arrive. Quelle mêlée ! Quel feu ! Quel carnage ! Les éléments eux-mêmes prennent part à la perturbation générale.
O Paris ! l’hommage tardif que tu rendis au Sauveur suffira-t-il pour te sauver des vengeances célestes ?
La place du crime ne doit-elle pas être purgée par le feu ?
L’homme aimé, désiré de plusieurs disparaît.
Mais, au moment où on croyait tout perdu, tout est sauvé.
Le Grand Monarque mettra sa main dans la main du Grand Pontife.
Et le Grand Pontife oindra la tête du Grand Monarque de l’Huile Sainte.
Il marquera son étendard d’un signe sacré (Le Sacré-Cœur) et, le levant avec l’Eglise, il volera de conquête en conquête.
Les conversions s’étendront par tout l’univers et le Très-Haut sera connu par tous les peuples.
Qu’il sera beau ce triomphe car ce sera le dernier.
Le Grand Pape et le Grand Monarque deviennent les délices de l’humanité.
A d’autres de décrire le triomphe de Satan ».


Dernière édition par Hercule le Jeu 22 Sep - 4:43, édité 1 fois
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Message par Her Jeu 19 Mai - 11:12

Mère Marie Adalfune
(1849-05-13)


Marie Adalfune est née en 1814. Elle entra dans l’ordre de Saint Augustin et devint garde-malade. Elle s’offrit en victime à Dieu afin de souffrir pour les pécheurs. Le Seigneur lui demanda beaucoup de souffrances, mais la consola et la soutint par des paroles et des apparitions. Elle reçut, concernant l’Eglise et les nations, des révélations qui furent notés. Elle mourut en 1867.

« Dans la nuit du 13 mai 1849, elle vit en esprit les complots qui se tramaient contre l’Eglise, elle fut saisie et fit cette prière :
"Mon bon Jésus, ayez pitié de nous dans ces jours de malheur et ne permettez pas que les ennemis triomphent. Suscitez des hommes d’une foi vive, et donnez-leur le courage et la force de les combattre et de les vaincre".

Le sauveur lui répondit :
"Je ferai grâce et miséricorde à mon peuple, mais, je ne puis écarter le châtiment qui lui est réservé. Souviens-toi de ce que je t’ai déjà dit : tous étendront les bras vers moi pour implorer ma clémence. Ne crains rien, je n’abandonnerai pas mon Eglise en ces jours ; je viendrai pour la secourir ; les supplications de Marie, ma Mère, seront exaucées. Il est sans doute pénible de voir les couvents et les églises profanés, mais Dieu le permet pour abaisser l’orgueil, faire disparaître tout luxe mondain et ramener la simplicité en toute chose. Beaucoup de prêtres, remplis de l’esprit du siècle, ne prêtent plus aucune attention aux exemples et aux instructions du Pape. Il fait y mettre fin. Dans bien des couvents, on ne connaît plus l’esprit de simplicité et de prière. On n’y cherche que ses aises et on ne veut que satisfaire son amour-propre. Dieu ne peut faire autrement que d’imposer un remède, pour faire cesser ces abus et rétablir le véritable esprit religieux. Dans ces châtiments, Je manifesterai ma miséricorde. Il me faut agir de la sorte pour purifier l’Eglise et la détacher des biens de ce monde. Prie pour les pauvres pécheurs, qui ne me connaissent pas et qui me tournent en dérision".

Puis elle vit les atrocités qu’on commettra en ces jours, les persécutions contre les prêtres et le mépris de tout ce que l’Eglise tient pour sacré : "Les prêtres, dans leur enseignement, doivent se garder de faire appel aux exagérations de la science humaine, renoncer aux vanité et à la sagesse du monde et ne pas imiter les mondains dans leur conduite".

À l’occasion d’une communion, Mère Marie Adalfune vit et entendit beaucoup de nations étrangères et des peuples entiers se convertir et prier la Mère de Dieu de venir au secours de la Sainte Eglise : "Leurs yeux s’ouvriront, ils rentreront dans le bercail et viendront au secours de l’Eglise".

Puis, elle vit le triomphe et la glorification de Marie ; elle vit participer à ce triomphe, ceux-là même qui maintenant encore, se moquent de la dévotion à la Vierge.

Tandis qu’elle implorait la miséricorde du divin Maître pendant les troubles de 1849, en Allemagne, le 11 avril 1849, elle eut l’impression que Dieu voulait manifester sa miséricorde, au milieu des terribles évènements qu’il annonçait.

Le 29 avril, il lui fut répondu : "Ces catastrophes et ces émeutes éclateront d’une façon encore bien plus terribles ; mais, par suite de l’intercession de la Sainte Vierge Marie, les châtiments, non seulement, seront abrégés, mais ils seront changés en épreuves salutaires. Ces châtiments ouvriront les yeux de beaucoup, qui reviendront à Dieu et reprendront leurs pratiques religieuses. Ces épreuves ne dureront pas longtemps, les temps difficiles passeront vite, puis tout se calmera, la paix sera rétablie ; les prêtres sans doute perdront beaucoup de leurs biens, mais les nations reviendront aux pratiques religieuses. En ces jours de malheur, on appréciera la valeur de la foi et de la piété, quand on verra la paix régner là où l’on pratiquera encore ces vertus. La foi refleurira partout et produira des fruits : la charité et la concorde".

"Dieu nous assistera quand les choses seront arrivées au paroxysme de l’atrocité. Ne craignez rien ! Il faut qu’on en arrive à ces excès. Mais notre seul espoir est dans l’intercession de Marie. Prêtres et laïques doivent reconnaîtrent que l’ordre ne pourra être rétabli que par la Mère de Dieu, et non par les hommes. Ces émeutes et ces perturbations une fois passées, il en résultera un triomphe magnifique pour l’Eglise. Les cœurs chrétiens seront dans l’allégresse et des fêtes d’actions de grâce célèbreront partout le triomphe de l’Eglise et la paix universelle. Mais, nous devons prier aussi pour ceux qui sont à la tête des gouvernements, sans haine pour personne, pas même pour ceux qui maintenant encore font tant de mal et son la cause du désarroi général. Dieu se servira de plusieurs d’entre eux pour réparer le mal qu’ils auront fait eux-mêmes et pour aider au triomphe du bien" ».


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Message par Her Jeu 19 Mai - 11:15

Prophétie de Maria Stiefel, une stigmatisé tyrolienne vers 1850 :

« La Grèce en ce temps-là, sera mise dans une position très critique par les Turcs. Des hordes asiatiques et africaines sortiront de leur pays et marqueront leur passage par l’incendie et l’assassinat.

Il y aura en Italie de grands bouleversements politiques. Une tempête effroyable passera sur ce pays. Les différents états de l’Italie se réuniront pour former une seule république dont Rome sera la capitale.

Tous les peuples se lèveront contre le colosse du Nord ; des milles et mille guerriers seront armés contre lui et se rendront au lieu où il aura rassemblé ses hordes asiatiques pour inonder de nouveau l’Europe.

Les armées en viendront aux mains dans une plaine toute couverte de guerriers ; la bataille se poursuivra pendant huit jours après laquelle les peuples de l’Europe s’en retourneront victorieux dans leurs foyers. Ce sera la plus grande bataille qui aura été livrée et aussi la dernière, car alors le règne de Dieu commencera sur la terre ».

« Le pouvoir temporel des Papes sera rétabli, et les peuples seront heureux sous leur sceptre si doux ».

« L'Allemagne deviendra le théâtre des plus effrayants événements ; une guerre dévastatrice détruira ce pays d'un bout à l'autre ; ce qui n'empêchera pas que les peuples d'Allemagne grandement opprimés ne parviennent pas à constituer une patrie libre ».
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Message par Her Jeu 19 Mai - 11:18

Père Eugène Pegghi
(1855)

Le Révérend Père Eugène Pegghi, moine cistercien mort à Rome au monastère de Sainte-Croix en 1855. Le cardinal Antonelli remit une copie de cette prophétie à la duchesse de Clermont-Tonnerre :

« 1°) Tout finira par le triomphe de la religion et par un prodige.

2°) Les Français à la fin défendront le Pape.

3°) Le Nonce de Paris recouvrera sa pleine autorité.

4°) Dans un jour consacré à Marie, il arrivera un fait remarquable.

5°) La France tombera par elle-même et Dieu se servira pour cela de l’homme même.

6°) Il y aura une grande stupeur quand on apprendra qu’il y a dans Paris un roi reconnu, et qui demeure au milieu du peuple ;

7°) Et qu’on verra placé sur le trône un premier janvier, le dernier de cette époque.

8°) Le premier courrier qui viendra en Italie apprendra cette joyeuse nouvelle, et le roi sous nommé sera le défenseur du Saint-Siège.

9°) La guerre cessera au moment d’éclater, on n’en verra pas les massacres ;

10°) Elle finira par la victoire de l’Empereur.

11°) On connaîtra alors tout ce qu’il a fait pour le Saint-Siège.

12°) Un royaume entier viendra à la foi catholique, et le Saint-Siège, réintégré dans tous ses droits, chantera le "Nunc Dimittis" »
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Message par Her Jeu 19 Mai - 11:19

Prédictions Augustiniennes
(1859)

Nous les dénommons ainsi parce qu'elles sont extraites de la Bibliothèque de Saint-Augustin, à Rome. Elles y furent copiées en 1859, par un vicaire de Mataro, en Espagne, lequel les publia dans le "Diario de Barcelona" du 03 août 1860 :

« Vers le milieu du XIXe siècle des séditions éclateront de tous côtés en Europe, principalement dans le royaume de France, en Suisse et en Italie.

Surgiront des républiques ; des rois disparaîtront ; des personnages ecclésiastiques et des religieux quitteront leurs demeures.

La famine, la peste et des tremblements de terre dévasteront plusieurs cités.

Rome perdra le sceptre par suite de l'obsession des pseudo-philosophes.

Le Pape sera emmené en captivité par les siens, et l'Eglise de Dieu subira le joug révolutionnaire ; de plus elle sera spoliée dans ses biens temporels.

Après peu de temps, le Pape s'éteindra.

Un prince de l'Aquilon parcourra toute l'Europe avec une grande armée ; il renversera les républiques et exterminera les rebelles ; son glaive, mû par Dieu, défendra énergiquement l'Eglise du Christ. Ce souverain combattra pour la foi orthodoxe et conquerra l'empire mahométan.

Un nouveau pasteur de l'Eglise viendra d'un littoral, d'après un signe céleste ; il enseignera le peuple avec simplicité de coeur et selon la doctrine du Christ, et la paix sera rendue au siècle ».
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Message par Her Ven 20 Mai - 21:16

Une révélation anonyme
(1865)

Une révélation, vers 1865 :

« Le nouveau Pape sera Français… Il ne sera pas Cardinal ; ce sera un religieux qui aura été persécuté dans son ordre. Il aura la fermeté de Sixte Quint, moins la dureté ».
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Message par Her Mer 1 Juin - 14:16

Le frère Antoine d’Aix-la-Chapelle
(1871)

Le frère Antoine, ermite près d'Aix-la-Chapelle, spécifia en 1858 que les Allemands marcheront avec les Russes et qu’il y aura une bataille épouvantable aux environs de Siegbourg. Pour lui aussi, la grande bataille finale aura aussi lieu en Westphalie. Il annonce aussi la guerre entre la Russie et la Turquie et précise que les Russes s’empareront de Constantinople. Cette prophétie aboutit aux mêmes conclusions que les autres : il ne restera que peu d’hommes et la paix de Dieu sera proclamée sur la terre :

« Il ne restera que peu d'hommes et la paix de Dieu sera proclamée sur la terre. Je vis pour la seconde fois toute l'Allemagne et la France, un frisson me saisit à l'aspect du vide sans exemple qui s'était fait dans les populations de ces deux pays. A partir de là, l'union et la paix se trouvèrent profondément cimentées entre les deux nations. Les affaires reprirent partout. Des couvents de tout genre furent de nouveau fondés en grand nombre ».

En 1871, le frère Antoine annonçait :

« Un jour, la guerre éclatera de nouveau en Alsace. Je vis les Français avec Strasbourg sur leurs arrières, et je vis que les Italiens combattaient à leurs côtés. Soudain, de gros renforts arrivèrent du côté français. Une bataille de deux jours se termina par la défaite de l’armée prussienne. Les Français poursuivirent les Prussiens. Lors d’une seconde bataille à Francfort, les Prussiens furent encore vaincus, et ils se retirèrent jusqu’à Seigbourg où ils firent leur jonction avec une armée russe. Les Russes firent cause commune avec les Prussiens. Il m’a semblé que les Autrichiens étaient du côté des Français. La bataille de Seigbourg fut plus terrible que les précédentes. Au bout de quelques jours, les Prussiens et les Russes battirent en retraite et passèrent sur la rive gauche du Rhin au dessous de Bonn. Harcelés sans cesse par leurs adversaires, ils se retirèrent sur Cologne. Cologne avait subi un tel bombardement qu’il ne restait plus qu’un quart de la ville debout. Poursuivant leur retraite, les Prussiens arrivèrent en Westphalie, où se déroula la dernière bataille. La population se réjouissait grandement car elle était délivrée des Prussiens.

Alors, un nouvel Empereur, âgé d’environ 40 ans, fut élu pendant son séjour en Allemagne, et il y rencontra le Pape. Au même moment, une épidémie se déclara dans les campagnes ravagées par la guerre et beaucoup de gens périrent.

Après la bataille de Westphalie, les Français rentrèrent chez eux ; et, à partir de ce moment-là, une paix durable s’établit entre les Allemands et les Français. L’industrie et le commerce se développèrent. On fonda de nombreux couvents. Tous les exilés (déportés) rentrèrent chez eux. L’année suivante, les Russes se heurtèrent aux Turcs (Mahométans), les rejetèrent hors d’Europe et s’emparèrent de Constantinople. Peu de temps après la guerre Russo-turque, l’Angleterre fut aussi visitée par la guerre.

Lorsque plus tard, il me fut donné de contempler l’Allemagne et la France, je me mis à frissonner au spectacle des pertes que ces pays avaient subies ».
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Message par Her Mer 1 Juin - 14:59

L’Extatique de Tours
(1873)

Tout ce que nous savons de cette religieuse favorisée d’extases, c’est qu’elle était dirigée par un prêtre du Tiers-Ordre de Saint François, qui, sous le pseudonyme de Paul de Jésus et sous le titre : « La veille de la Victoire du Christ », sans aucun commentaire, publia en 1882, les révélations de sa pénitente.
Voici, mises en ordre, les principales prophéties de l’Extatique de Tours ; elles datent des années 1872 et 1873 :

« Les prédictions de La Salette ne sont accomplies qu'à moitié ; elles vont s'accomplir en entier...

Jésus m’a dit que si la France s’était convertie, si elle avait reconnu la main de Dieu qui la frappait en 1870-1871, Il lui aurait épargné de terribles châtiments qu’il a dessein de lui envoyer bientôt.

Dans quelques temps, ce ne sera pas le jugement dernier mais quelque chose qui lui ressemble bien. Ces châtiments seront si terribles qu’ils ressembleront au jugement dernier et que l’on se croira à la fin du monde.

A l'approche de ce grand événement, des phénomènes extraordinaires paraîtront dans le ciel ; un grand personnage se convertira à Paris ; on parlera de faire un camp dans la plaine de Saint-Fons, près de Lyon et Lyon dont les fortifications ne seront pas finies, sera entouré de grands appareils de guerre.

L'année qui précédera le grand événement sera très mauvaise. L'année au contraire où il aura lieu, offrira une récolte magnifique; mais il ne restera pas assez de monde pour en consommer l'abondance.

Vers ce temps, les méchants adopteront pour se reconnaître des casquettes à fond plat, rouges et retombant sur le côté.

Ces évènements dureront aussi longtemps que nos péchés. Ce seront, deux, trois années d’angoisse et d’affreuses douleurs qu’il faut pourtant subir.

Dieu veut nous rendre victorieux, mais il faut que le pécheur revienne à son Dieu. Jésus m’a dit qu’il veut bien pardonner à son peuple, mais les pécheurs ne lui demandent pas pardon.

Les pécheurs ne veulent pas se convertir. Dieu les forcera bien à observer ses Commandements. Que voulez-vous que Dieu fasse d’un peuple qui ne veut pas Le servir ?

Les pécheurs se convertiront, lorsqu'ils auront fait tout le mal possible et que Dieu, dans Sa justice, les jettera par terre.

Jésus veut prolonger nos malheurs. Il nous en délivrera quand nous serons convertis, quand les prêtres seront ce qu’ils doivent être, pleins d’amour de Dieu et de zèle pour le bien des âmes, quand les chrétiens seront de vrais chrétiens.

Jésus m’a dit que les péchés qui excitent le plus sa colère, ce sont les outrages qu’Il reçoit dans l’Eucharistie et la profanation du saint jour du dimanche.

Il m’a dit qu’Il souffrait aussi beaucoup de la part d’un grand nombre de ses prêtres. Il veut punir les religieux qui ne sont pas selon son cœur ; les religieux et les prêtres qui ne sont pas vraiment bons prêtres périront dans la catastrophe prochaine.

Il périra aussi des bons prêtres, parce qu’il veut des victimes pures pour apaiser sa justice.

Jésus m'a dit qu'Il épargnerait les bons comme pour former un monde nouveau. Néanmoins il périra un grand nombre. Mais le nombre des méchants qui périront sera si grand, qui Dieu seul pourra les compter.

Il n’y a pas que la France qui soit coupable ; elle ne sera pas la seule punie ; d’autres peuples vont se troubler en même temps. Mais, pour convertir tous les peuples, il faut que Dieu, dans sa miséricorde, nous envoie le fracas du tonnerre.

Le souffle de la colère de Dieu se fera sentir presque dans tout l’univers.

Il y aura des maladies sur les enfants qui mourront en grand nombre dans les villes et dans les campagnes. Même dans le moment des malheurs beaucoup seront malades. Là où la révolution n’aura pas fait grand ravage, les enfants mourront en plus grand nombre. C’est un fléau du Ciel !

En ce moment-là, les vieillards mourront de maladies causées par la frayeur des malheurs. Dieu semble ne rien vouloir épargner par la peste et la famine, ni le juste, ni le méchant. La récolte manquera, mais il mourra tant de monde qu’elle suffira pour ceux qui resteront.

Le peuple sera malheureux, si malheureux, que dans son malheur, il reconnaîtra que c’est la main de Dieu qui l’a frappé.

Avant que la guerre recommence, nous aurons à souffrir de la cherté et de la rareté des vivres. Les ouvriers n’auront presque pas de travail et les pères de famille entendront leurs enfants crier et pleurer, demandant le pain qui doit entretenir la vie, mais ils n’auront pas de quoi les entretenir.

Avant que ces évènements n’arrivent, il y aura des signes dans le soleil, puis des tremblements de terre. Il y aura aussi des ténèbres de la nuit vers la fin des événements.

Puis, lorsque nous croirons être en paix, au moment où nous y penserons le moins, viendront les grands évènements. La révolution éclatera en Italie, presque en même temps que chez nous. Nous serons quelque temps sans avoir de Pape. L’Angleterre sera, elle aussi, bien troublée.

La révolution s’étendra dans toutes les villes de France. C’est un carnage complet. Cette révolution ne durera que quelques mois ; néanmoins, elle sera effroyable ; le sang coulera partout, car la malice des méchants sera à son comble. Le nombre des victimes sera incalculable. Paris sera un vrai carnage.

La persécution contre l’Eglise sera encore plus grande. La révolution lui causera tant de mal ! Cela ne durera pas. Les églises seront fermées très peu de temps dans les villes où il y aura peu de mal. Les prêtres devront se cacher autant qu’ils le pourront. Les prêtres en cure seront plus épargnés que les autres. Les méchants voudront détruirent tout ce qui concerne le culte chrétien, mais ils n’en auront pas le temps.

Plusieurs évêques et un grand nombre de prêtres seront mis à mort. L’archevêque de Paris sera mit à mort. Un grand nombre de prêtres seront égorgés à Paris parce qu’ils n’auront pas eu le temps de se cacher.

La révolution fera beaucoup de mal à l’Eglise. A Paris surtout, le bouleversement sera terrible. Les méchants voudront incendier les églises, détruire nos institutions chrétiennes pour planter sur ces ruines, l’hérésie et le mensonge.

Là où Dieu aura été le plus offensé, là arriveront les plus grands maux. Les méchants seront les maîtres pendant un an et quelques mois. La France, dans ce moment-là, n’aura aucun secours humain. Elle se trouvera seule, sans protecteur. C’est à ce moment-là qu’elle se souviendra de Dieu, qu’elle aura recours au Cœur de Jésus et à Marie Immaculée.

Ils reconnaîtront enfin que c’est Lui qui pourra rétablir la paix et le bonheur.

C’est alors que les Français voudront le bon roi. Ils iront chercher celui qui est désigné pour être roi de France. C’est alors, à la fin de nos maux, qu’il viendra, ce sauveur que Dieu réserve à la France, ce Roi dont on ne veut pas maintenant, parce qu'il est selon le Cœur de Dieu. C'est lui qui montera sur le Trône, délivrera l'Église, et rétablira le Pape dans ses droits. C’est alors qu’on criera : " Vive le Roi blanc ! " La France sera sauvée par un miracle.

Le bon roi ne viendra qu’après les malheurs, car lorsque nous serons au pouvoir de l’ennemi, notre grande misère nous fera recourir au Dieu juste et plein de miséricorde pour les pécheurs, et ce n’est qu’après ces malheurs que le roi viendra pour nous sauver.

C’est lui qui remettra la France dans sa première grandeur. Il est selon le Cœur de Jésus. Le drapeau de la France sera le drapeau blanc avec le Sacré-Cœur de Jésus.

Le Concile recommencera après le triomphe. En ce temps-là, les hommes seront obligés d’obéir. Il n’y aura qu’un seul troupeau et un seul Pasteur. Les hommes reconnaîtront le pontife comme le Père universel, le roi des peuples. Ce sera la régénération du genre humain.

L’époque des évènements terribles a été retardée plusieurs fois à cause de la prière des bons ; car Dieu est si bon, que dans sa miséricorde, il nous avertit avant de nous frapper. Après ces grands malheurs, Dieu sera connu et aimé. Mais les malheurs seront grands. Aussi, on ne peut pas y croire ou plutôt, on n’ose pas y penser. Et pourtant, cela va arriver, nous y touchons ».
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Message par Her Dim 12 Juin - 16:33

Madame Marie Josseaume dite Berguille
(1875)

Madame Marie Josseaume habitait au Fontet, près de la Réole en Gironde. Elle fut surtout connue sous le nom de "Berguille". Ses révélations ne furent pas appréciées à leur juste valeur. Nous donnons ici quelques extraits des révélations de la voyante de Fontet, en 1875 :

« Ô France, quel abîme ! Que d’avertissements de toutes parts ! Quand l’étincelle éclatera, on sera convaincu. Quel sombre tableau se déploie à mes yeux ! Qu’il est effrayant ! Ne nous laissez pas succomber ô mon Jésus !

Tout n’est pas fini dans le siècle que nous traversons : on voudrait détruire la sainte Eglise et la France catholique.

Ils refuseront d’être éclairés. Ils veulent rester dans les ténèbres… Jamais aucun de vos ministres vous a-t-il demandé la lumière sans qu’il l’ait obtenu ? »

« Ô mon Jésus, donnez à vos ministres la force d’accepter la croix qui leur est préparée.

Les méchants croient leurs complots assurés. Mais quand ils penseront avoir tout gagné, tout sera perdu pour eux.

Les évènements arriveront comme un coup de foudre au moment où on se croira au calme ».

« Ayez confiance au Sacré Cœur de Jésus. La France est comme Lazare dans la nuit du tombeau. Mais d’un souffle, Seigneur, il vous appartient de lui dire d’en sortir ! " Venis foras " (viens dehors). Elle lui sera fidèle alors. Car sans la foi nous ne pouvons rien accomplir qui vous soit agréable ».

Berguille, comme tant d’autres mystiques, voit l’installation d’un roi et d’un pape :

« Il n’arrivera pas par la voie et les combinaisons des hommes. Les hommes ne le connaissent pas. Il sera conduit par la volonté de Dieu. Le Roi est promis de nouveau ainsi que le Pontife.

Oh ! Saint Michel, montre le chemin ! Quand le Roi pieux délivrera le Saint-Père, il combattra avec ses forces qui sont les saints Anges et Archanges, venant délivrer la Sainte Eglise ».
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Message par Her Mer 22 Juin - 19:15

La Prophétesse d’Avignon
(1880-09-01)

Il y avait à Avignon une femme qui se nommait Marianne passa sa vie à prophétiser et dont les paroles sont aujourd'hui colportées et commentées dans le Midi.

Cette femme annonçait une effroyable averse de malheurs sur la France, — la fin tragique d'un grand personnage, — la venue de la République, - tous les pays de la France ravagés (excepté le Vivarais et la ville d'Avignon), — une désolation immense, la famine… — puis la descente des armées ennemies sur les rives du Rhône, une grande bataille définitive près de Tarascon et de Beaucaire, et la paix conclue et signée sur un pont-Neuf...

Elle voyait encore le Pape, avec de grandes moustaches grises, entrant dans Avignon, à cheval et amenant avec lui des vaisseaux chargés de froment, d'argent et d'or.

Et le Pape arrivera, disait la prophétesse, lorsqu'on entendra dire qu'une armée navale a failli périr... Malheur aux enfants de Brutus !... ils seront tellement malheureux qu'ils crieront aux montagnes : " tombez sur nous ! ".

Enfin viendront la paix et le bonheur.
D'après le calcul de Marianne, la bouroulo, — le désastre, — doit durer vingt mois ».

Le nombre des gens qui ajoutent foi à cette prophétie est assez grand, et le Marseillais cite un exemple qui montre combien cette foi est robuste :

« Une société de spéculateurs de Toulouse achète toutes les maisons qui avoisinent le château des Papes, à Avignon.

Au premier achat de la société, un délégué se présenta chez un notaire :

" Vous achèterez, dit-il, toutes les maisons qui avoisinent le château, au fur et à mesure de leur mise en vente ; au besoin, vous provoquerez la vente en offrant bon prix ".

Le notaire ouvrait de grands yeux pour considérer cet acquéreur extraordinaire, et si peu ressemblant à ses clients ordinaires.

"Nous avons foi, dit-il, en certaines prophéties qui annoncent le retour des Papes à Avignon, etc." ».
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Message par Her Mer 22 Juin - 19:26

Saint Jean Bosco
(1888-01-31)

Jean Bosco est né, en 1815, aux Becchi, un petit hameau rural de Castelnuovo d’Asti (maintenant Castelnuovo Don Bosco), près de Turin dans le Piémont italien. Ses parents sont de pauvres paysans, et sa mère, Marguerite Occhienna, s’est retrouvée veuve avec trois enfants.

Saint Jean Bosco était favorisé de nombreux songes prophétiques :

« Du sud, vient la guerre ; du nord, la paix. Dieu punira la France par trois fois :
- La première fois, par la déroute, la mise à sac, la destruction des récoltes, animaux et hommes ;
- La deuxième fois, Paris souffrira de la faim et d’épouvante ; le Panthéon sera réduit en cendres ;
- La troisième fois, cette ville tombera entre des mains étrangères qui l’incendieront : Paris sera transformé en champ de ruines. Mais le Pape ira au-devant du guerrier du Nord, dont l’étendard noir deviendra blanc. Lui et les siens honoreront le Pape.

L’Italie sera soumise à la désolation, à la famine, la peste et la guerre.

Rome sera punie par quatre fois : la première, dans ses terres et ses habitants ; la seconde, par l’extermination, jusqu’à ses murailles.

La troisième, ses défenses et défenseurs seront abattus : ce sera le règne de la terreur et de la désolation.

La quatrième fois, par la guerre, la peste et la faim ; elle se remplira de décombres. Le démon sèmera la discorde parmi les conseillers du Pape ».

Voici les propos que Don Bosco entendait pendant ses songes :

« "Toi, dépêche-toi, si les difficultés ne se résolvent pas, tranche dans le vif. Si tu te sens angoissé, ne t’attarde pas ; au contraire, vas de l’avant, jusqu’à ce que soit coupée la tête de l’hydre de l’erreur. Ce coup fera trembler la terre et l’enfer, mais le monde retrouvera la sécurité et tous les bons se réjouiront. Conserve près de toi seulement deux conseillers et partout où tu iras, continue et termine l’œuvre qui t’a été confiée".

Pendant ces 200 jours, le Pape sera hors de Rome ; auparavant, il y a une lutte entre la lumière et les ténèbres, des morts et des blessés. Ceux qui accompagnent le Pape diminuent beaucoup. Ensuite les anges lui disent : "tes ennemis ont disparu". Le Pape revient, de nombreux habitants ont péri, la terre est dévastée : 400 jours ont passé depuis le début. L’obscurité cesse et luit un soleil splendide. "Ordonne la réforme des mœurs dans le monde entier" ».

Le 30 mai 1862, il raconta à sa communauté un songe en disant qu’on pouvait le considérer comme une parabole ou une comparaison :

« Imaginez, dit-il aux jeunes vous trouver avec moi sur un rocher au-dessus de la mer et voir, sur la vaste étendue marine, une flotte innombrable de bateaux rangés en bataille, la proue armée d’un éperon de fer. Voyez ces navires, munis de canons, gorgés de matières incendiaires, s’avancer pour livrer bataille à un grand et majestueux vaisseau-amiral, représentant l’Eglise, pour tenter de l’éperonner, de l’incendier et de le faire couler.

A ce majestueux navire, également bien armé, font escorte beaucoup d’autres bateaux, obéissant aux commandements du navire amiral et exécutant des manœuvres pour se préserver des manoeuvres de la flotte ennemie.

Soudain, apparaissent deux très hautes colonnes en granit, s’élevant alors de l’immensité marine, à peu de distance, l’une de l’autre. Sur l’une domine une très belle statue de la Vierge Immaculée, un chapelet dans les mains, avec sous ses pieds, l’inscription où sont gravés les mots latins : "Auxiliatrice des Chrétiens", tandis que sur l'autre colonne, beaucoup plus haute et importante, rayonne une lumineuse et blanche Hostie sous laquelle on peut lire l’inscription : "Salut des croyants".

Le commandant suprême qui veille sur le grand navire, est le pape. En constatant la fureur des ennemis et le péril auquel sont exposés ses fidèles, il convoque autour de lui les pilotes des bâtiments secondaires, afin de tenir conseil et de prendre une décision. Tous les pilotes montent donc sur le navire amiral pour se réunir autour du pape, mais, pendant que se tient cette assemblée, le vent devient de plus en plus furieux et la tempête rugit tellement, que les pilotes doivent retourner au plus tôt gouverner leur petit bateau.

Une accalmie permet au pape de les réunir de nouveau tandis que le navire amiral poursuit sa propre route. La bourrasque reprend hélas avec plus de vigueur et le pape se met à la barre pour guider son navire vers les deux colonnes, du haut desquelles pendent des ancres et de grosses amarres attachées à des chaînes.

Cependant, certains pilotes ennemis s'activent pour l'assaillir, l'arrêter et le couler, tandis que d'autres cherchent à jeter à bord de leurs adversaires toute une profusion de mauvais livres et de matières incendiaires. D'autres encore tirent au canon et au fusil, ou manoeuvrent de leur éperon, en sorte que le combat devient toujours plus acharné. Les proues ennemies jaillissent dans des heurts violents, mais leur effort et leur choc demeurent sans effet. C'est en vain qu'ils renouvellent leurs essais avec des munitions à foison : le navire amiral continue sa route en sûreté et sans dommage. Certaines fois, pourtant, frappé de coups formidables, il porte sur le flan de larges et profondes voies d'eau qui sont merveilleusement refermées au souffle du vent qui sort des deux colonnes.

Les canons des assaillants tonnent, les fusils claquent, les éperons jaillissent, mais de nombreux navires adverses s'enfoncent dans la mer. Alors les ennemis deviennent furieux et combattent à armes rapprochées en proférant des blasphèmes et des malédictions.

Tout à coup, le pape est frappé gravement et tombe avec honneur. Secouru avec sollicitude, il est frappé une seconde fois, tombe de nouveau et meurt. Un cri de victoire rompt alors les poitrines des adversaires, mais, tandis qu'ils exultent sur leurs navires, succède un autre pape qui prend la place du précédent à la barre du navire amiral. Les pilotes réunis en conseil, l'ont élu avec tant de diligence, que la nouvelle de la mort du pape défunt arrive en même temps que celle de l'élection de son successeur. Alors, les adversaires se découragent.

Le nouveau pape surmonte chaque obstacle et guide le navire jusqu'aux deux colonnes. Là, il l'attache par la proue à une ancre de la colonne sur laquelle brille l'Hostie, puis par la poupe à une ancre qui pend de la colonne de l'Immaculée.

Un grand bouleversement arrive alors. Tous les navires sur lesquels on avait combattu contre celui du pape, s'enfuient, se dispersent, se heurtent et se fracassent mutuellement. Ceux qui avaient vaillamment combattu aux côtés du pape avancent vers les colonnes pour s'y attacher. Et les pilotes de beaucoup d'autres petits bateaux, demeurés prudemment à distance pour éviter le naufrage, voyant les débris de tous les navires adverses parmi les remous de la mer, guident leur propre embarcation vers les deux colonnes pour s'y amarrer eux aussi auprès du navire amiral.

Sur la mer règne alors un grand calme ».

Et Don Bosco donna l’explication suivante à ce songe :

« Les navires ennemis sont les futures persécutions contre l’Eglise dont les ennemis sont figurés par les pilotes qui essayent de faire couler le navire papal. Il n ‘y a que deux moyens pour se sortir de cette mêlée : la fréquente communion et la dévotion à Notre Dame ».

Un tableau, exposé dans la Basilique Maria Auxiliatrice à Turin, rappelle ce célèbre songe des "Trois Blancheurs", reçu peu avant le début du 1er Concile du Vatican.
Don Bosco nous révèle aussi :

« Des jours très douloureux ne sont pas très éloignés, au terme desquels la Sainte Vierge Marie viendra sauver le Christianisme ».
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