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Rennes-le-Château - Chroniques et Actualités de la Haute Vallée de l'Aude et sur les Trésors du Monde

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Message par Her Sam 9 Juil - 10:30

http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/archeo-paleo/20110708.OBS6737/un-tresor-incroyable-decouvert-en-inde.html

Actualite > Archéo & paléo > Un trésor incroyable découvert en Inde
Un trésor incroyable découvert en Inde
08-07-11 à 16:12 Réagir

Un trésor a été découvert en Inde dans les chambres secrètes d'un temple... placé sous très haute protection.

Le temple Sree Padmanabhaswamy, qui date du 16ème siècle, a été construit dans la ville de Trivandrum, dans le Kerala (Inde). Phoot prise le 5 juillet 2011. (Aijaz Rahi/AP/SIPA )


Du jamais vu… sauf dans les rêves les plus fous ! Un trésor d’une incroyable valeur a été découvert par hasard, lors d’un inventaire, dans un temple hindou de la ville de Thiruvananthapuram, dans l’Etat du Kerala, en Inde, le 27 juin dernier.

Selon la presse indienne, son estimation atteindrait 14 milliards d’euros, soit le plus grand trésor jamais trouvé en Inde et sans doute dans le monde.

Des chambres souterraines scellées ont en effet été mises au jour dans le temple de Sree Padmanabhaswamy, révélant la présence de sacs entiers emplis de diamants, rubis, perles et autre amoncellement de pièces d’orfèvrerie et joyaux, parmi lesquels des émeraudes et une chaîne en or longue de 5 mètres…

Si l’on en croit les informations diffusées tant sur les chaînes télévisées indiennes que dans les quotidiens, ces richesses dormaient là depuis 1872. C’est suite à l’appel d’un avocat qui avait émis quelques doutes sur la gestion de ce temple dédié à Vishnou, que l’inventaire exigé par la Cour Suprême de l’Inde, plus haute juridiction du pays, a conduit à la mise au jour des cavités secrètes creusées dans du granit. Toujours selon cet avocat, l’administration du temple dirigée par les descendants de l’ancienne famille royale de Travancore n’avait plus les moyens d’assurer la sécurité de ce bâtiment.

Mercredi 6 juillet, la Cour Suprême a annoncé que l’extraction du trésor devait être filmée et photographiée. La Cour a également proposé que soit nommé un conservateur de musée pour veiller à la bonne marche de cette opération.

Pour l’heure, quelques-unes des pièces appartenant à la chapelle royale des anciens souverains de l’Etat princier de Travancore, pourraient être exposées dans un musée. Le reste demeurant pour l’instant sous bonne garde, dans les entrailles du temple. Une centaine de policiers ont été déployés autour de l’édifice religieux afin d’en assurer la protection.

Bernadette Arnaud
Sciences et Avenir.fr
08/07/11
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Message par Her Sam 9 Juil - 10:32

http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Actu/Un-tresor-de-14-milliards-d-euros-decouvert-dans-un-temple-indien-310651/

ACTU-MATCH | MARDI 5 JUILLET 2011
LE FABULEUX TRÉSOR DU TEMPLE HINDOU

Photo Reuters/Sivaram

Au moins 14 milliards d'euros. C'est probablement le plus grand trésor du monde qui a été trouvé dans les caves d'un temple du sud de l'Inde.

Clément Mathieu - Parismatch.com

Des sacs remplis de diamants scintillants, des tonnes de pièces, des montagnes de bijoux, surveillés depuis des siècles par des statues en or massif de plusieurs mètres de haut. Cette vision de rêve, digne d’un roman d’aventure aurait fait tressaillir Indiana Jones. En voyant ce trésor bien réel, les sept chercheurs au travail dans les sous-sols de Sre Padmanabhaswamy, ont probablement dû en avoir les genoux tremblants. Dans six des sept chambres souterraines et secrètes de ce temple hindou du XVIe siècle, situé dans le centre-ville de Thiruvananthapuram, au sud de l'Inde, l’équipe missionnée par les autorités de l’état pour faire l’inventaire des biens du lieu de culte, ont trouvé des richesses estimées à plusieurs milliards d'euros.

Au milieu des médailles d'argent et des pépites d'or, des bracelets, des couronnes et des émeraudes, l’équipe a trouvé un arc en or, des noix de coco du même métal précieux et un collier long de cinq mètres… Un fabuleux trésor enfermé dans des chambres qui n’avaient pas été ouvertes depuis au moins 150 ans. Il s'agirait de la chapelle royale des anciens souverains de l'Etat princier de Travancore, qui fait partie de celui du Kerala depuis l’indépendance de l’Inde en 1947. Si le temple est consacré à Vishnou, le docteur Rajan Gurukkal, interrogé par «India Today», pense qu’il ne s‘agit pas d’offrandes au dieu hindou, mais plutôt de la chambre forte de la famille. Selon cet historien de renom, la majeure partie de cette fortune est constitué d’impôts perçus, de don, et même de butins de guerre.

ESTIMÉ À 14 MILLIARDS D'EUROS,
LE TRÉSOR ATTISE LES CONVOITISES

De nos jours, ce sont les descendants de la famille royale qui contrôlent l’administration qui gère le temple. Et c’est d’ailleurs la gestion contestée du temple qui est à l’origine de la découverte. La Cour suprême d’Inde a ordonné la semaine dernière l'ouverture des chambres, pour évaluer les richesses du temple après qu’un militant local, T.P. Sundararajan, a déposé une plainte accusant ses administrateurs de mauvaise préservation, et de manquement, notamment dans la sécurité. A la demande du comité de sept chercheurs désignés par la Cour suprême, l’inventaire des chambres souterraines a donc commencé le 27 juin dernier. Et après une semaine de recherches, selon un responsable du temple, interrogé par Reuters, «la valeur marchande actuelle des objets trouvés représente à peu près 900 milliards de roupies». Soit 14 milliards d'euros, ou l’équivalent du PIB de Chypre par exemple.

La somme évidemment, est convoitée. Les autorités de l'Etat ont déployé une centaine de policiers autour du temple pour protéger le butin, et équipe actuellement la bâtisse en alarmes et en caméras de surveillance. «Nous prendrons les mesures adéquates pour assurer la sécurité permanente (du lieu) en accord avec la famille royale de Travancore, qui gère désormais le temple et avec le chef religieux du sanctuaire», a dit Oommen Chandy, chef du gouvernement de l'Etat du Kerala, afin que la protection du site et de ses biens soit en adéquation avec la pratique du culte.

Plus encore que par des pillards, le trésor de Padmanabhaswamy est convoité par des groupes aux convictions différentes. Les responsables de la communauté hindoue, qui estiment eux que les objets précieux sont des offrandes à Vishnou, souhaitent que cet argent soit réinvesti dans le temple. De nombreux intellectuels ainsi qu'un ancien juge de la Cour suprême préférant qu'il soit dépensé pour le bien public – d’autant que le problème survient dans un débat de plusieurs années sur la nationalisation du temple. Parmi eux, de nombreux historiens appellent à la fondation d’un musée, en soulignant que certains objets sont inestimables au regard de leur valeur historique. Pour le moment, Oommen Chandy assure que les richesses resteraient dans le temple, à qui elles appartiennent.

UNE DERNIÈRE CHAMBRE RENFERMERAIT LA PLUS
GRANDE PART DU TRÉSOR... OU UNE MALÉDICTION

La bataille juridique et intellectuelle qui devrait opposer descendants de la famille royale, autorités de l’Etat, historiens et politiques, ne devrait pas encore commencer. L’inventaire précis a été entamé ce lundi. D’autant plus que la somme déjà imposante pourrait grandir, puisque les chercheurs ne sont peut-être pas au bout de leur surprise. Il reste en effet une septième et dernière chambre à ouvrir, appelé la cave B. L’épaisse porte d’acier qui en interdit l’accès a jusqu’ici résister aux différentes tentatives d’ouverture. Le comité des sept chercheurs doit se réunir vendredi pour discuter des modalités pour parvenir à pénétrer dans cette chambre mystérieuse.

Au vu de la porte qui la protège, certains estiment qu’elle pourrait renfermer les objets les plus précieux de la collection. La famille héritière, elle, voit au contraire derrière le métal, la malédiction. «De nombreuses légendes sont attachées au temple. La cave B a un serpent dessiné sur la porte principale, ce qui est une indication claire qu'il ne devrait pas être ouvert car c’est un mauvais présage», a expliqué à la presse indienne une source proche des descendants de la famille royale. «Je ne pense pas que l'équipe pourra l'ouvrir, car il y a beaucoup de foi autour ce temple». La dernière chambre du Padmanabhaswamy pourrait ainsi converser son mystère pour l’éternité, à moins qu’un aventurier se risque, pour un trésor fabuleux, à la damnation.
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Message par Her Ven 29 Juil - 10:01

http://www.lasemainedelallier.fr/actualite/Insolite-:-un-tresor-trouve-dans-la-Sioule-2997.html

Article du 28/07/2011 à 21:53
Insolite : un "trésor" trouvé dans la Sioule

Le pêcheur a découvert ces trésors dans la Sioule près d'Ebreuil.
La pêche a été bonne à Ebreuil ce jeudi. Un pêcheur a découvert plus de 300 bijoux au fond de la Sioule.

Pas de brochet, pas de carpe, mais plus de 300 bijoux : bracelets, colliers, bagues et montres ont été pêchés par un homme au fond de la Sioule, vers Ebreuil.
Le pêcheur était intrigué par ces drôles de poissons scintillant dans la charmante rivière bourbonnaise et sur les rives de la Sioule. Les gendarmes pensent qu'il s'agit de bijoux provenant de cambriolages, particulièrement fréquents ces dernières semaines dans le département.
Cette pêche miraculeuse ne profitera pas au pêcheur chanceux : les gendarmes réalisent l'inventaire de ces bijoux et tentent d'identifier leur provenance. Des photos seront mises en ligne sur un site Internet de la gendarmerie pour les bijoux qui n'auront pas retrouvé leurs propriétaires, avec les modalités à remplir pour les récupérer. On ignore encore le montant total de cette pêche insolite.

Article rédigé par :
La Semaine de l'Allier
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Message par Her Ven 29 Juil - 10:05

http://www.leparisien.fr/societe/empoignades-autour-du-tresor-de-tous-les-fantasmes-29-07-2011-1548760.php

Actualité > Société

Empoignades autour du trésor de tous les fantasmes

Dans l’Aude, trois chercheurs se disputent la découverte de la cache d’un hypothétique trésor qui serait celui de Rennes-le-Château, village connu pour ses mystères. La gendarmerie a été envoyée sur place.
Éric Giacometti | Publié le 29.07.2011, 07h00

En plein cœur de l’été, voilà une croustillante histoire de trésor mystérieux, de fantasmes croquignolesques, de guerre sans merci entre apprentis Indiana Jones, avec un zeste de « Da Vinci Code ». Dans ce coin reculé du sud de la France, plus exactement à Sougraigne, modeste commune audoise, trois « écrivains chercheurs » affirment avoir localisé, au détour d’une colline escarpée, l’entrée d’une grotte au trésor.

SUR LE MÊME SUJET

Les hypothèses les plus folles : L’énigmatique curé de Rennes-le-Château

« C’est devenu la capitale mondiale des mystères »La grotte de la discorde Celui des Wisigoths, riche en or, pierres précieuses et objets mythiques. Hélas, les trois compères se sont disputés avant d’avoir mené à terme leurs fouilles et, en guise de vengeance, l’un d’entre eux a publié sur le Web l’emplacement exact de la grotte.

La quête du Graal

L’affaire a pris de l’ampleur avec la parution avant-hier d’un article dans « la Dépêche du Midi » sur la bisbille et la publication de la photo de la grotte d’Ali Baba, pour l’instant un banal trou creusé dans une paroi rocheuse.

Alertée dès dimanche, la gendarmerie a envoyé une patrouille pour surveiller les abords de la grotte et repérer les accros de la pelle et de la pioche. Les pandores ont raison de se méfier, ici les histoires de trésor font marcher le tourisme local depuis des décennies.

Nous sommes dans la région de Rennes-le-Château, village réputé dans le monde entier pour son curé, l’abbé Saunière, qui aurait trouvé en 1891 un trésor et un secret énigmatique.

Depuis la fin des années 1960, des générations de chercheurs de trésors creusent des trous dans cette magnifique région pour découvrir pêle-mêle, le butin des Wisigoths, celui des Templiers, la tombe de Marie-Madeleine ou encore le Graal. Sans rien trouver jusqu’à présent. Le seul qui a réussi à s’enrichir n’est autre qu’un certain… Dan Brown. Et oui, le « Da Vinci Code », son thriller sur la descendance de Jésus et de Marie-Madeleine, est inspiré en droite ligne d’un des hypothétiques secrets découverts par l’abbé Saunière. La modeste commune se frotte les mains, depuis la publication du best-seller mondial, en 2004, plus de 100000 visiteurs viennent arpenter les ruelles ombragées à la recherche du secret du mystérieux curé.

Le Parisien
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Message par Her Ven 29 Juil - 21:20

http://www.lindependant.fr/2011/07/22/campagne-sur-aude-5-000-ans-d-histoire,44271.php

Le vendredi 22 juillet 2011 à 06h00 par Nicolas Van Den Bussche Réagir
QuillanCampagne-sur-Aude : 5 000 ans d'histoire

L'association est actuellement aidée par trois stagiaires du centre de formation de Batipôle.
L'Histoire des villages a toujours passionné… Rennes-le-Château, Puivert, Alet-les- Bains... Or il en est un que l'on oublie souvent : Campagne-sur-Aude. Le village est pourtant riche d'une histoire capable de faire rêver bon nombre de touristes. Les dinosaures avaient élu domicile sur les collines, il y a cinquante millions d'années, avec un panorama extraordinaire sur le Bugarach, Rennes-le-Château et toute la Haute-Vallée de l'Aude. Ces animaux mythiques n'avaient donc pas si mauvais goût puisque, bien plus tard, l'homme bâtissait Campagne-sur-Aude. Il y a 5 000 ans, les Celtes s'installaient dans la région laissant de nombreuses traces de leur passage… Plus tard encore, les Templiers investissaient Campagne pour construire le fameux fort Templier.

Trésor cathare
Cette histoire, c'est une association, Trésor Cathare, qui a pris la responsabilité de la transmettre aux générations à venir. Yannick Laffont et Gérard Vidal, deux hommes du pays, sont les instigateurs de cette course au passé. Depuis un an, les deux compères proposent une exposition dans les jardins de l'Auberge Saint-Sébastien, 3, promenade du Château-Fort. L'exposition reprend les pièces de l'ancienne exposition Templière de Georges Kiess auxquelles s'ajoute une collection privée de pièces archéologiques. Ces dernières, issues de ramassages de surface, constituent un véritable sauvetage archéologique et retracent 5 000 ans d'histoire de l'homme dans la Haute-Vallée. L'association, par ailleurs, proposera tout au long de l'été des sorties sur les lieux saints celtiques et mégalithiques comme la visite de temples lunaires et solaires de la Haute-Vallée.


Parti pour durer
L'association cherche ainsi à se développer pour défendre l'histoire locale. Déjà 25 adhérents ont rejoint Yannick Laffont et Gérard Vidal qui n'en arrêtent plus de faire des projets. La mairie de Campagne-sur-Aude l'a bien compris puisqu'elle vient d'autoriser l'association à remonter une ruelle et un puits du fort Templier.

L'association devrait même bientôt trouver un nouveau local dans l'enceinte du vieux fort Templier. De quoi laisser rêveur et donner envie de lancer de telles initiatives dans d'autres villages. "Notre région est riche d'histoire qu'on se le dise et qu'on en profite !" concluront d'une même voix les deux responsables.

En attendant, ce qu'il ne faudra pas louper c'est d'aller à la rencontre, ce samedi, de ces deux conteurs d'histoires -bien hospitaliers- qui ne laisseront personne de marbre.
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Message par Her Mer 3 Aoû - 11:07

http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/29/1136775-villeneuve-minervois-la-chapelle-saint-mames-entre-dans-la-modernite.html

PUBLIÉ LE 29/07/2011 08:57 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Villeneuve-Minervois. La chapelle Saint-Mamès entre dans la modernité

Villeneuve-Minervois. La chapelle Saint-Mamès entre dans la modernité

Comme chaque année, le traditionnel pèlerinage à Saint-Mamès aura lieu le mercredi 17 août. Cette fête associe traditions religieuse et profane avec les différents stands de la kermesse paroissiale qui se déroule dans le parc. Mais cette année le sanctuaire entre dans la modernité avec l'éclairage de la nef et de la chapelle du saint qui met en valeur cet édifice cher aux Villeneuvois et Sallélois. C'est l'entreprise Jean-Luc Nonnat qui en a réalisé les travaux (notre photo). Cette famille est très attachée à la chapelle, le père Roger Nonnat, qui nous a quittés en octobre 2005, a écrit et mis en musique des cantiques en l'honneur de saint Mamès. Voici le programme de la journée : à 8 h 30, première messe dite « des cuisinières » ; à 10 h 30, messe solennelle dans le parc ; à 12 heures, apéritif convivial à la buvette ; à 12 h 30, repas champêtre servi dans le parc si la météo le permet. En cas de mauvais temps il aura lieu à la salle polyvalente. Le prix du repas est fixé à 13 € pour les adultes, et à 7 € pour les enfants. Apporter ses couverts. L'inscription au repas est indispensable, elle s'effectue à la boucherie Sallette (04 68 26 16 20). Dès 17 heures se tiendra la bénédiction des enfants. Les participants trouveront toute la journée des stands de pâtisseries, de vente d'objets religieux et divers. L'après-midi, des jeux seront organisés pour les enfants. Cette fête est ouverte à tous, jeunes et anciens pour maintenir la tradition et promouvoir le site de la chapelle.
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Message par Her Jeu 4 Aoû - 9:00

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/04/1140674-les-cepes-sont-en-avance.html#xtor=EPR-1

PUBLIÉ LE 04/08/2011 08:05 | RECUEILLI PAR S.B.
Les cèpes sont en avance
champignons

Cueillette miraculeuse en début de semaine, dans les Hautes-Pyrénées./photo DDM

Hautes-Pyrénées, Tarn, Ariège... depuis la semaine dernière, les cèpes sortent, en quantité exceptionnelle par endroits. Une pousse qui fait le bonheur des amateurs et... une bonne idée de sortie, aussi, pour les vacanciers séjournant en Midi Pyrénées.

Or donc, pour les intimes… dans les livres spécialisés, il s'appelle Boletus Edulis. Ou Boletus Aerus. Voire Boletus Aestivalis. Il porte un beau chapeau foncé et ferme sur un pied clair. Mais qu'il soit « de Bordeaux », « Tête de Nègre » ou « d'été », en langage vernaculaire de ramasseur de champignons, peu importe son nom de famille, sa spécificité, ses nuances. Au moment de le ramasser, lorsque tout ému on tombe sur un « nid » : il est LE cèpe. L'élu. Celui qui fait oublier la centaine d'autres bolets répertoriée.

Bref, celui qui fait courir tous les amateurs depuis une semaine, en Midi-Pyrénées. Ceux qui ont « leur » coin. Et qui évidemment, ne vous le donneront pas ou vous donneront son cap inverse. Comme ceux qui n'en ont pas. Lesquels n'en ont pas moins leur propre méthode pour trouver leur bonheur. Soit en regardant les arbres et leur orientation, sachant qu'en bon champignon noble, le cèpe préférera savourer la douceur des versants sud au pied des chênes. Soit en étant pragmatique : trois voitures garées devant un même bois, c'est déjà un bon indice.

Ceci dit, pour profiter encore mieux de cette pousse d'été, si vous êtes en vacances mais ne connaissez pas bien la région, rien n'interdit de savoir aussi qu'en ce moment, en Lot-et-Garonne… c'est du côté du Fumélois, et de la vallée de la Lémance qu'il faut chercher. Tandis qu'on ira vers Vaïssac et la forêt de Montech ou L'Honor de Cos dans le Tarn-et-Garonne voisin, voire… partout, dans le Tarn, c'est-à-dire tant dans les forêts de Grésigne et de Sivens que vers les monts de Lacaune et la Montagne Noire puisque la pousse de cet été 2011 commence à ressembler à celle de 2003, exceptionnelle.

Dans le Gers ? Personne ne donne ses coins, non plus… Mais en traînant dans les bois de Montpellier, au-dessus de Vic-Fezensac, ou en regardant bien vers Masseube, voire en Lomagne, autour de Lectoure et La Romieu, il doit y avoir moyen de ne pas trop rentrer bredouille. Idem si l'on va vers Gigouzac, dans le Lot ou au nord de Villefranche-deRouergue, dans l'Aveyron.

Plus au sud, vers les Hautes-Pyrénées et l'Ariège, à présent… eh bien, en Bigorre, c'est pratiquement partout aussi, des Coteaux de Tournay aux Baronnies et jusqu'à Payolle ou dans le Bergons, en montagne, tandis qu'en Ariège, c'est le Couserans qu'on visera. Voilà. Les paniers sont prêts, l'Opinel est à la poche, le bâton dans le coffre ? Alors il n'y a plus qu'à…

Le chiffre : 15
euros> le kilo. C'était le prix du cèpe, hier, au marché de Villefranche-de-Périgord, capitale du cèpe... comme à Foix, en Ariège. Malgré cette pousse exceptionnelle, le même kilo s'est négocié jusqu'à 32 euros à Toulouse.

«C'est une pousse exceptionnelle, du jamais vu, même pour fin juillet-début août».

Jean-Louis Carrier, maire adjoint de Villefranche-de-Périgord en Dordogne, chargé du traditionnel marché aux cèpes.

«On n'avait pas vu ça depuis 5 ans»
La première chose que l'on découvre lors d'une sortie aux champignons, ce sont les voitures en stationnement sur les bas-côtés. Hier après-midi, sur la petite route de Mézens, dans le Tarn, elles étaient des dizaines ainsi, plus ou moins bien garées. Car la grande affaire de ce début de semaine dans ce pays en lisière du Tarn et de la Haute-Garonne, c'est

la poussée des cèpes. « Cinq ans qu'on n'avait pas vu ça ! », affirme Gaston, 70 ans, reconnu dans le secteur pour être un « spécialiste ».

15 heures, dans la forêt de Mézens, la recherche commence. A intervalles plus ou moins réguliers, quelques bolets permettent de conserver l'espoir. C'est physique, la cueillette : ça monte, ça descend, il y a des ronces, il fait chaud, il pleut et le panier tapissé de fougères ne se remplit que difficilement.

« Il faut connaître les coins », affirme, péremptoire, Annette, la cinquantaine. Un peu de géométrie : quand on connaît les coins, on trouve les ronds, et les ronds, c'est l'assurance de revenir avec des kilos et des kilos de cèpes. A 17 h, hier, nous en étions à 4 kilos, mais, excusez du peu, des têtes noires. Le nec plus ultra !

« Il y en a qui mangent « les bleus » ou les « cèpes B », raconte, dédaigneux Jean, 17 ans.

On ne s'ennuie pas dans ces bois. Il y a deux sortes de chercheurs. Le vrai : panier en osier, couteau, silencieux, il marche seul et nettoie les champignons trouvés. Le faux : sac plastique, bermuda, souvent avec les gosses et très bavard. « C'est le style à confondre une coulemelle avec une amanite phalloïde », plaisante Jean, le local de l'étape puisqu'il habite Mézens. « De toute façon, je vais passer chez mon pharmacien qui fera le tri entre les bons et les mauvais », indique le Toulousain avec sa poche pleine à ras bord.

Sur les marchés, le prix varie du simple au double
Capitale du cèpe, Villefranche-de-Périgord (Dordogne) confirme « une pousse exceptionnelle ». « C'est même du jamais vu pour fin juillet, début août », précise Jean-Louis Carrier, maire adjoint de la commune chargé du traditionnel marché aux cèpes, qui a repris ce 1er août. De fait, quelques centaines de kilos ont été négociés lundi, puis 2,5 tonnes mardi pour arriver à 4 tonnes hier… Les chiffres parlent d'eux-mêmes.

Justement, s'agissant de chiffres, comment se fixe le prix des cèpes, actuellement à 15 € le kilo en moyenne, à Villefranche-de-Périgord ?

« Ce sont les producteurs, les vendeurs qui le décident et 15 €, c'est un prix médian traditionnel, chez nous. Et même un prix de référence très ancien, puisque dans les années soixante-dix, les cèpes se négociaient déjà autour de 100 francs le kilo. Vu l'augmentation du coût de la vie, on peut en déduire que le prix du cèpe a baissé depuis quarante ans. Ensuite, c'est comme partout : en fonction de la rareté du cèpe ou de son abondance, les prix montent ou baissent. A Villefranche-du-Périgord, la limite basse est de 10 € et 20 € pour la limite haute », ajoute ainsi Jean-Louis Carrier.

Qu'en est-il des prix (au kilo) glanés au gré des marchés de Midi-Pyrénées ? Voici quelques indications recueillies hier dans la région :

Saint-Sulpice (Tarn) > 10 € Cahors (Lot) > 12 à 15 € Agen (Lot-et-Garonne) > 15 € Foix (Ariège) > 15 € Montauban (Tarn-et-Garonne) > 20 € Tarbes (Hautes-Pyrénées) > 25 à 28 € Toulouse (Haute-Garonne) > 29 à 32 €

À noter qu'à Auch, un fin connaisseur soulignait que « le cèpe du Gers ne se vend pas ou alors sous le manteau, quand on connaît. Ce que l'on trouve ici, sur les marchés, c'est du cèpe de Charente, au prix du marché. » Enfin, on trouve même des cèpes sur la toile, deux internautes du Tarn en vendant hier sur leboncoin.fr à 15 € le kilo.

Comment les préférez-vous ?
En persillade. Séparez les têtes des queues des cèpes. Émincez les plus grosses têtes en lamelles épaisses et découpez en cubes les queues. Mettez les têtes dans de l'huile chaude faites cuire 15mn environ en remuant souvent, rajoutez ensuite les pieds et poursuivez la cuisson quelques minutes avant de rajouter l'ail coupé très fin et le persil. Faites cuire encore 5 mn et servez.

En omelette. Dans un saladier, battez les œufs, salez, poivrez, et ajoutez un peu d'ail et du persil si vous aimez. Faites revenir les cèpes dans une poêle beurrée ou huilée. Attention, la poêle doit être très chaude ! Une fois que le cèpe a réduit, ajoutez le mélange d'œufs en baissant le feu.

Laissez cuire quelques minutes le temps que les œufs se figent en omelette

Farcis. Hâchez les pieds de champignons avec du jambon, de l'ail, de l'oignon, du persil, salez et poivrez. Remplissez les têtes des champignons préalablement nettoyées et citronnées avec ce mélange, saupoudrez de chapelure, arrosez d'un filet d'huile d'olive. Faites cuire au four à 180 °C (th 6) pendant 25 minutes. Servez chaud.

interview
Alexis Pelissou, restaurant «Le Gindreau» à Saint-Médard-Catus (46).

«C'est un don de la nature»
Avez-vous des cèpes au menu ?

Bien sûr ! Les premiers sont arrivés il y a déjà une quinzaine de jours à la suite d'un orage providentiel et annonciateur tombé sur Boissières. Et dès qu'un petit cèpe sort, des personnes magnifiques qui connaissent chaque dessous de fougère nous l'amènent. Nous avons ainsi des champignons extraordinaires à notre table.

Les cèpes au mois d'août, c'est plutôt rare ?

Ce n'est pas vraiment exceptionnel. Les terroirs sont là. Il y a de l'humidité et de la chaleur. La pousse des champignons peut se jouer à peu de chose. Généralement, la pousse se produit dix jours après l'orage. Mais il y a aussi la lune qui joue un rôle.

Comment expliquer cet engouement pour le bolet ?

Ce don de la nature nous arrive en plein été. Bon, la météo nous perturbe un peu question terrasse. Mais elle nous amène en cuisine ce petit bolet qui parfume les plats… C'est très agréable de cuisiner les cèpes. Il y a quelques années, on les préparait en omelette, ou sautés. Mais on a évolué. On peut les servir en carpaccio, macérés, avec une petite huile de noix c'est fabuleux, un jus de citron, un vinaigre un peu adouci. Ce plat, le crémeux de risotto aux cèpes, avec des cèpes macérés, un K'viar de cèpes et une tempora de cèpes, est entré dans la carte très vite, et les clients en sont heureux. En cuisine, j'allie la tradition et la modernité.

Le temps des cèpes est-il aussi court que celui des cerises ?

Un peu oui… Un orage vient d'éclater. L'arrosage va continuer un peu. Disons que les champignons risquent de se trouver une toute petite semaine encore. Après, cela sera fini. Après tout, il faut le souhaiter, car la vigne a besoin de soleil, et ma terrasse aussi. Mais c'est de bon augure pour la truffe…. Ces orages d'août auront été bénéfiques pour la nature. Les bois étaient très secs, les arbres subissaient un stress hydrique. La nature a tout de suite absorbé cette eau.
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Message par Her Jeu 4 Aoû - 9:04

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/04/1140315-la-meteorite-intrigue-les-scientifiques.html#xtor=EPR-1

PUBLIÉ LE 04/08/2011 03:45 - MODIFIÉ LE 04/08/2011 À 10:11 | JEAN MARTINET
La "météorite" intrigue les scientifiques
insolite


Jack Leenders, témoin de l'explosion/ Photo DDM, J.M.
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Le très sérieux GEIPAN (Groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés), branche du Centre national d'études spatiales (CNES) s'intéresse de près au phénomène qui a été observé au cours de la nuit de lundi à mardi au camping de La Serre à Aigues-Vives (lire notre précédente édition). Rappelons les faits : les campeurs ont été réveillés vers 3 h 30 du matin par une explosion. Un témoin oculaire, un campeur néerlandais, a vu dans le ciel une boule de feu qui a explosé en plein vol au-dessus du camping, et s'est séparée en quatre ou cinq fragments. Lesquels ont continué sur la trajectoire de la boule de feu avant de disparaître à l'horizon, suivant une trajectoire ouest-est. Des jeunes gens des environs de Foix confirment ce témoignage ayant remarqué une boule de feu parcourant le ciel à vive allure, suivie par une traînée d'étincelles, avant de disparaître tout d'un coup. À Blagnac, à la même heure, un agent de sécurité a remarqué un objet lumineux, « un gros objet vert avec une lumière derrière. Trente secondes plus tard il y a eu une détonation, comme si quelque chose s'écrasait au sol. » Nous avons contacté l'observatoire du Pic du Midi, qui, a priori, n'a rien remarqué. Il est vrai que les observateurs des étoiles, dans leurs coupoles, étudient le ciel selon des angles très fermés. Le GEIPAN mène l'enquête et recherche des témoins Pour l'heure nous ne disposons pas des conclusions du GEIPAN. Il faut laisser le temps au temps. Alors peut-être saurons-nous si, une fois de plus,, un corps céleste naturel a franchi la barrière de l'atmosphère qui entoure la Terre en cocon protecteur. Car tous les éléments artificiels, créés de la main de l'homme (satellites par exemple) sont tous répertoriés. Leur comportement est prévu, ce qui n'est pas le cas des autres corps célestes.


ARIÈGE

Aigues-Vives. Une mystérieuse explosion en plein ciel
Que s'est il passé au cours de la nuit de lundi à mardi, dans le ciel d'Aigues-Vives vers 3 h 30 ? Une...

/////////////////////////////////////////////////////////////////////////

- LA SUITE -

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/05/1141349-on-a-perce-le-mystere-de-l-ovni-de-toulouse.html#xtor=EPR-1

On a percé le mystère de l'ovni de Toulouse
espace


Le Geipan continue à travailler sur la cartographie du bolide, qui fera l'objet d'une prochaine publication sur son site./Photo DR.

L'objet volant est identifié. C'était un « bolide », météorite de plus de 100 g rentrant dans l'atmosphère. Le phénomène observé par de nombreux témoins ce mardi autour de 3 h 30 dans le ciel a été décortiqué par le Geipan, le très sérieux groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (CNES-Toulouse).

« Le mardi 2 août 2011, entre 3 h 27 et 3 h 35 du matin, plusieurs dizaines de témoins ont observé un ciel subitement éclairé comme en plein jour, suivi d'un objet, souvent décrit de couleur vert/bleu faisant un passage de 4 à 5 secondes », note le Geipan. « Certains d'entre eux ont également entendu une ou deux explosions, quelques secondes après le passage du phénomène. Quelques-uns relatent une fragmentation ».

La cinquantaine de témoins localisés sur une grande région sud (Ariège, Aveyron, Aude, Gironde, Haute-Garonne, Tarn, Tarn-et- Garonne) qui ont contacté le Geipan ont fourni des indications précises sur cette observation : « Les données préliminaires ainsi recueillies indiquent une trajectoire orientée nord sud, avec un décalage léger d'est en ouest », précise le Geipan : « Le bolide semble avoir terminé sa course dans une zone triangulaire Andorre/Carcassonne/Perpignan ».

Un bolide est un « phénomène produit par la rentrée dans l'atmosphère d'une « grosse » météorite (de plus de 100 g, c'est-à-dire de quelques centimètres à 1 m) : ce qui produit une grosse traînée lumineuse, capable d'illuminer le paysage pendant plusieurs secondes, avec quelquefois un sifflement, voire un bang semblable aux bangs supersoniques. La couleur peut varier selon la composition de la météorite ; des débris peuvent arriver au sol », selon le Geipan, qui continue son étude du phénomène.

Précisions
Le phénomène aérospatial observé mardi 2 août autour de 3 h 30 dans le ciel toulousain et de tout le sud-ouest a continué de susciter hier de nombreuses réactions. Des commentaires qui nécessitent quelques précisions. La nuit de lundi à mardi, il n'y a eu aucun orage ni foudre dans notre région. À cette heure, il n'y avait pas d'avions. L'hypothèse d'une météorite, entrée de débris ou de caillou dans l'atmosphère, retenue par le Geipan, ne se traduit pas forcément par un impact au sol, nombre de ces projectiles terminant leur course dans la mer et certains se décomposant en l'air, avec des retombées minimes au sol. OVNI veut dire objet volant non (pas encore) identifié, pas soucoupe volante ou ET (extraterrestre).

INSOLITE
L'ovni vu de Foix à Montauban
Une vingtaine de témoignages ont été collectés, hier, par le groupe d'études et d'informations des phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEIPAN) du Cnes-Toulouse, suite à l'observation par divers témoins, mardi matin à 3 h 30 dans le ciel midi-pyrénéen, d'un objet volant non identifié. Un...

PUBLIÉ LE 04 AOÛT 2011


Dernière édition par Hercule le Ven 5 Aoû - 9:13, édité 1 fois
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Message par Her Jeu 4 Aoû - 9:50

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/04/1140176-labruguiere-une-chasse-au-tresor-en-ville.html

Labruguière et sa région
« Tarn
PUBLIÉ LE 04/08/2011 09:06 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Labruguière. Une chasse au trésor en ville


Ce jeu permettra au gagnant d'empocher un trésor d'une valeur de 1200€. /Photo DDM, R.G

Une grande chasse au trésor, Web-Trésor, a été lancée dans le département du Tarn. L'office de tourisme de Labruguière participe à l'opération, aux côtés de 24 autres partenaires. Afin de trouver le trésor, l'aventurier doit reconstituer une carte au trésor. Chaque partenaire soumet une énigme au joueur, et lui délivre en contrepartie un morceau du puzzle.

À Labruguière, les joueurs seront accueillis à l'office de tourisme où 5 questions seront posées pour découvrir la ville ronde médiévale.

Un parcours historique aidera les participants à résoudre l'énigme.Une fois cette étape franchie, l'aventurier sera en possession d'une partie de la carte, et d'un visa sur son passeport.

Il faudra faire la même opération dans les 24 autres sites, afin de reconstituer la carte complète. Ce jeu permet de découvrir la ville et notre patrimoine d'une façon ludique et insolite.

Une opération de communication originale, qui permettra au gagnant d'empocher un trésor d'une valeur de 1200 € en produits touristiques.

Infos complètes : Office de Tourisme de Labruguière : 05 63 50 17 21. Le jeu est gratuit, sans obligation d'achat.

http://web-tresor.com pour s'inscrire et télécharger son passeport.
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Message par Her Jeu 4 Aoû - 9:51

http://www.chasses-au-tresor.com/chasses/chasse-au-tresor-sur-google-earth.html

Chasse au trésor sur Google Earth
31 juillet 2011 | Auteur: ChAT (Chasses Au Trésor)

Nous vous annoncions il y a déjà quelques semaines le lancement prévu d’une chasse au trésor basée sur le logiciel Google Earth™ et conçue par Tim Dedopulous.

Cette chasse au trésor commence début septembre 2011.

En voici le principe :
Le livre des énigmes de la chasse au trésor présente une série de 14 énigmes mêlant textes et indices visuels.
Chaque énigme conduit à un emplacement à localiser sur Google Earth™. Les éléments trouvés dans Google Earth™ doivent être combinés avec chaque énigme pour trouver la solution.
Chaque énigme participe à la détermination de l’emplacement final qui, s’il est déterminé, vous permet de participer au tirage au sort pour un prix de 50000$. Dans une lettre adressée aux joueurs, Tim Dedopulous indique que la solution de l’énigme finale peut être un lieu, une personne, un objet ou un concept.
Tim Dedopulous, l’auteur de la chasse au trésor, annonce qu’il peut utiliser Twitter et Facebook pour donners des conseils ou des indices, mais il annonce également que, ayant mis quelques années pour concevoir les énigmes, il n’est pas pressé des les voir résolues…
La chasse au trésor se termine le 31 mars 2012.
Cette chasse au trésor est lancée simultanément dans douze pays : la Belgique, le Brésil, le Canada, l’Espagne, les Etats-Unis, la Finlande, la France, la Grande-Bretagne, l’Italie, les Pays Bas et le Portugal.
Vous trouverez une présentation (en anglais actuellement) sur le site support de la chasse au trésor, le règlement, ainsi qu’une lettre de Tim Dedopulous.
Le livre (édition française) est disponible en précommande :La chasse aux trésors autour du monde sur Google Earth :

Good luck, Treasure Seeker, and bon voyage (comme indiqué sur le site, avec ‘bon voyage’ en français dans le texte).
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Message par Her Jeu 4 Aoû - 9:52

http://www.chasses-au-tresor.com/actualites/un-tresor-de-1247-pieces-du-3e-siecle.html

Un trésor de 1247 pièces du 3e siècle
1 juin 2011 | Auteur: ChAT (Chasses Au Trésor)
Un trésor composé de 1247 pièces romaines, datant du 3e siècle a été découvert dans l’est de l’Angleterre par le Colchester Archaeological Trust.

Les pièces étaient déposées en piles dans un pot enterré dans le sol.
Elles font référence à 9 empereurs romains, de Gallus (251-3) à Victorinus (269-271).

Cela donne une idée de la période d’enfouissement, le dépôt ayant été fait en une fois, selon toute apparence, compte tenu de la manière dont les pièces sont rangées.

Les années 270 correspondent à une période de troubles dans l’est de l’Angleterre, en raison d’une guerre civile dans l’empire romain ainsi que de fréquents raids effectués le long des côtes. Les périodes de troubles sont souvent propices à l’enfouissement de magots.

Ce trésor n’est pas le premier découvert dans la région de Colchester.

Vous retrouverez l’information sur le site Info-Histoire.com, ainsi que sur le site du Colchester Archaeological Trust (en anglais).
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Message par Her Jeu 4 Aoû - 9:53

http://www.chasses-au-tresor.com/actualites/mon-tresor.html

Mon trésor
4 avril 2011 | Auteur: ChAT (Chasses Au Trésor)

Un documentaire très riche illustrant la passion des chasses aux trésors.

En style télégraphique (il faut visionner le reportage pour l’apprécier pleinement) :
Un premier chercheur de trésors introduit le reportage, en nous expliquant sa passion.
Il commentera l’émission en fil rouge
Nous suivons ensuite un autre chercheur, visitant la Grotte de la Madeleine, à Rennes-les-Bains (pas très loin de Rennes-le-Château).
Nous visionnons des recherches dans des grottes naturelles ou d’anciennes galeries minières.
Le Trésor des Templiers est abordé.
Nous partons ensuite à Marthille, en Moselle sur la trace du Comte de Savary, direction le bois des seigneurs, sur fond d’héritage du Duc d’Enghien.
Le reportage s’intéresse ensuite à la pratique des prospecteurs, à l’aide des détecteurs de métaux.
Les reporters se rendent dans la plus ancienne boutique de vente de détecteurs de métaux en France avec une présentation des différentes gammes de détecteurs.
Un point est fait au sujet de la législation en ce qui concerne l’utilisation des détecteurs de métaux.
L’émission nous conduit ensuite à Pierreville, en Meurthe-et-Moselle, pour un retour sur une trouvaille de 1993 : une pierre plate découverte, puis sous la pierre un chaudron contenant 5250 pièces gallo-romaines en bronze, pièces du 3e siècle.
Vous prendrez connaissance des soucis qui ont suivi, puis du classement sans suite de l’affaire.
En 1997, deux retraités trouvent 200 pièces d’or à Boucq. Une interview du commissaire-priseur ayant mis en vente le trésor met en lumière les déboires subits par ces prospecteurs. La suite du reportage fait état de la vente du trésor (153000 euros) et du ressentiment de l’un des deux inventeurs, qui n’ont pas tiré profit (au contraire) de la découverte.
L’émission donne la parole au Président de l’HAPPAH (Halte Au Pillage du Patrimoine Archéologique et Historique). Nous le suivons sur les fouilles de Saint Nizier d’Azergues (Rhône), grand site gallo romain du 2e au 4e siècle, fouillé partiellement (seulement un temple) et régulièrement sondé par les prospecteurs.

Un point est fait sur les peines encourues par les prospecteurs.

Le reportage s’intéresse alors aux approches choisies par l’Angleterre et le Grand-Duché du Luxembourg.
La législation appliquée en Angleterre est détaillée, puis celle du Luxembourg.
L’émission, pour conclure, revient sur la pratique de la détection, une approche pédagogique…
… puis sur la situation paradoxale vécue actuellement.
Un reportage magnifique et pédagogique à visionner sur France 3, très rapidement car le reportage n’est disponible que pour quelques jours.
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Message par Her Jeu 4 Aoû - 9:55

http://www.rue89.com/2011/08/03/lamertume-des-coreens-face-au-tresor-pille-prete-par-la-france-216473

L'amertume des Coréens face au trésor pillé « prêté » par la France
Par Global Voices Online | En français | 03/08/2011 | 12H12

Uigwe (의 궤 en coréen) est une collection de livres de la monarchie coréenne, pillés par les Français durant l'invasion française de l'ile coréenne de Kanghwa en 1866. Cette collection royale est finalement revenue chez elle, 145 ans plus tard, en mai 2011.

Le gouvernement sud-coréen a célébré ce retour en grande pompe le 11 juin, et expose actuellement les livres au Musée national d'histoire. Mais les controverses autour de cette restitution n'ont pas diminué pour autant, car le retour des ouvrages royaux a un lien profond avec l'histoire moderne tourmentée de la Corée.

Le retour de ces livres royaux, qui reposaient jusque là à la Bibliothèque nationale de France (BNF), n'a pu avoir lieu qu'après des années de négociations difficiles avec le gouvernement français : ce retour a donc été salué avec joie par beaucoup de Coréens. Ce qui a donné lieu aux différentes controverses a été le fait que ce retour est une restitution conditionnelle, sous forme de « prêt » de ce patrimoine assorti de conditions, et non un retour définitif.

Le gouvernement coréen devra renouveler son accord avec le gouvernement français, pour ce qui est du maintien en Corée de ces œuvres d'art, tous les cinq ans.

La plupart des Coréens sont néanmoins ravis. Le blogueur JooYoo a assisté à la cérémonie de bienvenue le 11 juin, et, exprime à quel point les Coréens sont heureux du retour de ce trésor national.

« Même si les livres royaux reviennent sous conditions, sous le terme de “location”, qui nécessitera un renouvellement répété de l'accord, ce qui est le plus important, c'est que nous avons réussi enfin à les ramener ici. »

Uigwe est un trésor historique très réputé pour sa beauté et d'une grande valeur historique pour comprendre la civilisation coréenne. Le blogueur Cookiedesiger illustre bien ce sentiment :

« Les objets hérités de la tradition sont précieux. L'esprit de la nation est en eux. Même le plus petit clou contient cet esprit. »

Fierté et humiliation nationales
La décision de « louer » ce trésor a été prise pour trouver une solution juridique respectant les lois nationales françaises. Dans le monde diplomatique, ceci est interprété comme équivalant à une restitution de fait par le gouvernement français. Mais cette explication ne pouvait satisfaire les Coréens. Binbini écrit que cette négociation était injuste, et de courte vue :

« Regardez ce que le directeur de l'administration et le Ministère des Affaires étrangères ont dit : “Il s'agit en fait d'une ‘location permanente’ tant que nous renouvellerons l'accord” et “Que ferait-on si non ? Une fois le trésor arrivé en Corée du Sud, ils ne pourraient pas nous le reprendre, c'est impossible.” […] Ils ont oublié qu'il a été pillé durant l'invasion française. »

Ce désaccord est un mélange paradoxal de fierté nationale et d'humiliation. Par exemple, le blogueur A Small World in the World exprime sa rancœur envers le gouvernement français et son prêt « temporaire » :

« Pour parler franchement, je suis reconnaissant au gouvernement français d'avoir préservé notre trésor national pendant de longues années.

[Cependant] Uigwe est notre trésor national à nous, pour commencer. Il a été volé et gardé dans la bibliothèque d'un pays étranger pendant de nombreuses années [De ce fait], d'un point de vue coréen, le récupérer de la France est notre dû, il nous appartient légitimement. »

Le blogueur poursuit :

« De plus, le gouvernement français nous a servi de purs mensonges par le passé, au sujet du retour des livres royaux. Quand nous étions dubitatifs sur le choix entre la France, l'Allemagne et le Japon pour le train à grande vitesse ici en Corée du Sud, le président français a déclaré solennellement que le livre royal serait rendu.

Cette promesse est l'une des raisons qui ont fait pencher la balance en faveur du TGV français, devant d'autres pays soumissionnaires.

A cette époque, certains disaient que la technologie ferroviaire japonaise était un meilleur choix pour l'avenir, mais nous avons quand même choisi le TGV, juste parce que nous voulions absolument récupérer le texte royal. »

Les Coréens contre un retour « temporaire » du trésor
Même si le blogueur ne le dit pas explicitement, il n'est pas difficile de lire entre les lignes et son billet reflète l'opinion des Sud-Coréens sur l'ère coloniale. Le titre de son billet est : « Le retour du livre royal : nous en voulons aux Japonais pour leur occupation, pourquoi sommes-nous si généreux avec les envahisseurs français ? »

Et il utilise le mot « mensonges » dès la première phrase, un mot décrivant une émotion, pour une « négociation » où seuls les coûts et de froides considérations sont la langue habituellement utilisée par les deux parties.

Croire que les Coréens accepteront un retour « temporaire » du trésor est illusoire. Ceci ne prend pas en compte l'opinion publique des Coréens, leurs sentiments envers leur histoire tragique et l'impact de leurs opinions sur la société coréenne actuelle.

Illustration : page extraite de la collection Uigwe représentant « La Danse de Cheoyong », réalisée en 1795 (Peintres du roi Joseon/Wikimedia Commons/CC).

Jae Yeon Kim. Traduit par Claire Ulrich

En partenariat avec Global Voices
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Message par Her Jeu 4 Aoû - 18:57

http://www.valeursactuelles.com/dossier-d039actualité/dossier-d039actualité/illuminés-de-l’-1220110804.html

Apocalypse.
Les illuminés de l’an 12
Amaury Brelet le jeudi, 04/08/2011

dans Dossier d'actualité

Toujours promise, jamais réalisée, la fin du monde renaît une nouvelle fois de ses cendres millénaires. Avec ses peurs contagieuses et ses théories délirantes.

« Et je vis, quand il eut ouvert le sixième sceau, qu’il se fit un grand tremblement de terre, et le Soleil devint noir comme un sac de crin, la Lune entière parut comme du sang, et les étoiles du ciel tombèrent vers la Terre, comme les figues vertes tombent d’un figuier secoué par un gros vent. » Dans l’Apocalypse, saint Jean l’évangéliste décrivait déjà la fin du monde, précédant le retour du Christ rédempteur. Une prophétie proclamée par les plus grandes civilisations depuis la nuit des temps et qui me nace à nouveau du pire l’humanité de notre siècle. Le “millésime 2012” sera le 183e du genre identifié depuis la chute de l’Empire romain.

Dans son ouvrage le Mythe de la fin du monde. De l’Antiquité à 2012 (Trajectoire), l’historien Luc Mary rappelle que « la fin du monde existe depuis que le monde existe. Cela fait partie de notre patrimoine […]. La recherche la plus angoissante pour l’homme concerne son destin et la destinée du monde dans lequel il évolue […]. La peur apocalyptique a une fonction sociale ; elle va permettre de relativiser nos tracas, nos soucis qui devraient ainsi s’estomper.[…] Depuis les invasions barbares jusqu’à l’agonie du IIIeReich, on ne compte plus le nombre de prévisions qui ont annoncé l’ultime année de l’humanité. À défaut d’être une réalité, la fin du monde est devenue un mythe incontournable de notre longue histoire. »

En 999, l’Europe chrétienne tout entière est agitée par une “fièvre apocalyptique”. Une “peur de l’an 1000”, cultivée sur les croyances mystiques de l’époque, fait redouter les pires cataclysmes : comètes, tremblements de terre, déluges, famines, épidémies foudroyantes. Relativisée depuis par les historiens, cette crainte du millénaire s’est pourtant reproduite à l’aube de l’an 2000, convoquant tour à tour Satan, le feu nucléaire, une pluie de météorites ou les extraterrestres. Au lieu de quoi, même le bug informatique tant redouté n’a pas eu lieu. En 1999, Paco Rabanne se faisait ainsi, dans un flagrant délire, le triste augure d’un Paris dévasté par la chute de la station orbitale Mir : le 11 août, jour de l’éclipse totale de Soleil, les Parisiens transformés en torches humaines se jetteront par milliers dans la Seine, professait alors le célèbre couturier.

Avant lui, le moine cistercien Joachim de Flore, Nos tradamus, les Témoins de Jéhovah et d’obscures sectes autoproclamées s’étaient piteusement illustrés dans le catastrophisme ésotérique. Plus récemment, la mise en route de l’accélérateur de particules du Cern, installé près de Genève en 2008, affolait la Toile. Certains redoutaient la formation d’un trou noir qui engloutirait le globe, hypothèse jugée pourtant farfelue par les scientifiques.

Longtemps réfugiés dans la religion, les prê cheurs de malheur ont progressivement modifié leur discours. De théologique, la peur de la fin du monde se fait technologique (armes nucléaires) au milieu du XXe siècle, pour devenir depuis peu furieusement écologique. « Après les guerres, les épidémies, les famines, les explosions atomiques, c’est de la nature même et de sa corruption par l’homme que devrait venir notre extinction : réchauffement de la planète, fonte de la calotte glaciaire, tsunamis, inversion des pôles terrestres, collision planétaire », précise Luc Mary. Un climat anxiogène, amplifié par les crises éco nomiques et financières à répétition et la profonde remise en question de nos modèles de société. Une résonance et une banalisation auxquelles participent aussi les nouvelles technologies de l’information et de la communication désormais mondialisées, comme Internet.

Une nuée de sites spécialisés y recensent les pires catastrophes passées et à venir : des textes ensablés depuis l’Antiquité sont exhumés, déchiffrés et torturés pour échafauder la prochaine théorie à la mode. Et si beaucoup résistent aux rumeurs, d’aucuns se préparent déjà au cataclysme final. À Bugarach, dans l’Aude, des illuminés du monde entier affluent en procession. Selon certains, le village devrait être épargné lors de l’apocalypse de 2012. Il faut dire que la montagne voisine abriterait une base militaire secrète, un trésor, des ovnis et un “vortex” permettant l’accès à une civilisation disparue.
Ailleurs, aux États-Unis surtout, des groupes isolés se forment et construisent leur propre abri de fortune, amassant provisions, médicaments et manuels de survie. On les appelle les “survivalistes”. Une société américaine propose même des bunkers tout équipés pour moins de 10 000 dollars. Succès garanti : depuis le séisme de mars dernier au Japon, ses réservations ont augmenté de 1 000 %. L’acteur et scientologue invétéré Tom Cruise posséderait déjà le sien sous sa pro priété du Colorado. Pour se protéger des aliens, dit-on.

Aujourd’hui, tous les oracles l’assurent : la prochaine fin du monde est prévue pour 2012. Le 21 décembre, selon les plus initiés. Une précision sidérale qui laisse présager les pires scénarios. Phénomène rare : la plupart des prophéties semblent converger vers la même date fatidique. Dans ce “millefeuille doctrinal apocalyptique”, les théories millénaristes anciennes y côtoient la pensée New Age des années 1960. « Dès les débuts de la propagation moderne de l’idée d’un Nouvel Âge, des croyances en une transformation du monde – parfois au travers d’événements apocalyptiques – étaient bien présentes. À travers la diffusion du thème de 2012, le Nouvel Âge comme aspiration à une transformation planétaire est remis au goût du jour », explique Jean-François Mayer, historien des religions et spécialiste des sectes. La fin du monde est alors perçue comme une « transformation mondiale radicale pour accéder à un âge de lumière et de sagesse ».

Une vision qui trouve son origine il y a plus de deux mille ans chez les Mayas, dont le calendrier arriverait à échéance le 21 décembre 2012, marquant la fin du 5e cycle solaire. Une série de cataclysmes devrait alors précéder la survenue d’un nouveau monde. Pour d’autres, ce jour maudit révélé par les “codes secrets” de la Bible et la numérologie, et qui coïncide avec le solstice d’hiver et un pseudo-alignement planétaire, nous promet une inversion des pôles magnétiques, voire un changement d’axe terrestre. Éruptions solaires, trous noirs, collision avec un astéroïde ou une météorite : tout y passe. Une mystérieuse planète X ou planète Nibiru, découverte par les Sumériens, est même censée frôler la Terre en 2012, déclenchant un tsunami géant. Des canulars, tous démontés par la Nasa. Tant pis. Pour les plus fanatiques, la vérité est ailleurs.

Du côté des Templiers de Jérusalem ; du Yi King, le livre chinois des mutations ; des hindous ; des bouddhistes tibétains ; de la pythie de Delphes ; de Merlin ; des illuminati ou des Amérindiens. Même le projet Web Bot, programme informatique créé en 1997 par deux conseillers financiers pour prédire les cours de Bourse, est formel : son analyse du langage Internet, qui permet d’établir un « aperçu du subconscient universel », pronostique le pire pour 2012.

Seule menace réelle à l’horizon : l’astéroïde Apophis, repéré en 2004. Ce caillou de 270 mètres de diamètre et d’une masse d’environ 27 millions de tonnes pourrait venir frapper la Terre en 2036. Avec une chance sur 250000… Amaury Brelet
Photo © Leemage

/////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Quel fumiste ce journaliste ! Il n'a pas quitté son bureau et son clavier d'ordinateur. Il a lancé une recherche Google avec le mot "prophétie". Il nous monté une mayonnaise impressionnante en mélangeant tous les genre, toutes les prophéties et toutes les religions sans aucun discernement et en prenant ses lecteurs pour des imbéciles...

En ce qui me concerne, je ne peux parler que du sujet qui m'intéresse, à savoir les prophéties chrétiennes. Ce scribouillard nous parle de la peur de l'an 1000 qui est une invention récente d'universitaires francs-maçons cherchant sans cesse à dénigrer l'Eglise. Il n'y a pas eu plus de peur pour l'an 1000 qu'il y a eu de peur pour l'an 2000, aucun suicide collectif, rien. Le seul qui ait fait parler de lui avant l'an 2000, mais il y a survécut au cataclysme annoncé, c'est Paco Rabanne. Il a même gagné un peu d'argent avec son livre à la noix. Il n'y a eu aucun phénomène anxiogène comme voudrait nous le faire croire le président franc-maçon de la Mivilude... RIEN !... Pas l'ombre d'une angoisse, pas la moindre insomnie...

Les nombreuses prophéties chrétienne n'ont jamais annoncé la fin du monde, mais la fin des temps avec un temps d'épreuves qui conduit le bon peuple de Dieu à la nouvelle Pentecôte, c'est-à-dire aux temps de l'Esprit-Saint qui renouvellera la surface de la terre et les cœurs qui peinent, après les temps du Père (l'ancien Testament) et les temps du Fils (le Nouveau Testament et le Christianisme). Les Chrétiens (le peuple de la Nouvelle Alliance auront prochainement une épreuve par la foi, comme les hébreux au désert avec l'épreuve du Veau d'Or.

Cette histoire de Mayas, c'est une vaste rigolade, une ruse du diable pour perturber les esprits faibles et les annonces constantes, concordantes et cohérentes des prophéties chrétiennes.

Actuellement, il n'y a même plus besoin de prophétie ou de charisme prophétique pour comprendre que la situation générale mondiale devient de plus en plus difficile et que les prophéties chrétiennes se réalisent là, sous nos yeux.

Allez interroger les Japonais pour savoir s'ils se sentent victimes d'un syndrome collectif anxiogène et si les survivants ont envie de se suicider. Je pense même qu'ils auraient aimé été informés par anticipation des épreuves douloureuses qui les ont si douloureusement frappés.

En travaux d'étude préparatoire à l'écriture un livre, j'ai justement passé quinze jours de vacance dans l'Aude avec pour programme de visiter la majeure partie des commanderies et propriétés templières de l'Aude, au nord et au sud de l'Alaric, pour savoir ce qu'était devenu ces lieux : Ce sont toujours des propriétés agricoles ou viticoles prospères, ou bien des lieux occupés par des Anglais ou Ecossais.

Je suis passé à Homps, Blomac, Brucafel, Douzens, Capendu, Floure, Barbaira, St. Jean-de-Carrière, au Mas-des-Cors, Fajac-en-Val, Roquenégade, Pomas, Roque-de-Fa, Soulatge, Camp/l'Agly, au Bézu, à Campagne/Aude, Espéraza, Pieusse, etc.

Entre Camp/l'Agly et le Bézu se trouve le Pic de Tauze, c'est-à-dire le Pech de Bugarach, avec le village du même nom à ses pieds. Au col, il y avait quelques voitures de randonneurs. Au village j'ai photographié le château en cours de rénovation. J'ai pu visiter l'église qui était ouverte (c'est rare aujourd’hui dans l'Aude et en France, et j'en remercie la Municipalité pour les photos que j’ai pu faire). Avec le Barnum médiatique que nous a concocté Georges Fenech, je m'attendais à trouver des foules en délire mystique, mais pour la période estivale, j'ai plutôt trouvé qu'il n'y avait personne pour un dimanche après-midi. Au pied du Bugarach, un beau troupeau de vaches qui regardaient passer les voiture de touristes sous l'œil dominateur d'un magnifique et énorme taureau... et c'est tout.
Pas l'ombre d'un OVNI ou d'un gourou quelconque.

Moralité ces journalistes ne valent pas cher et ils nous vendent chaque jour une daube indigeste.

Meilleures pensées
Hercule
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Message par Her Sam 13 Aoû - 11:26

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/13/1146016-les-wisigoths-habitaient-a-saint-pierre.html

Toulouse et sa région

« Toulouse
PUBLIÉ LE 13/08/2011 09:37 | JEAN-NOËL GROS

Les Wisigoths habitaient à Saint-Pierre
Archéologie

Les fondations d'un édifice wisigoth (sur la droite) mises au jour au pied de la cité universitaire de l'Arsenal, à Toulouse./Photo DDM Frédéric Charmeux

Les Wisigoths sont les lointains ancêtres des Toulousains. Au Ve siècle, ces « Goths sages » ou « vaillants », venus d'Europe centrale, ont apparemment trouvé du charme à la future Ville rose puisqu'ils en ont fait leur capitale. À cette époque, c'était même la seule ville capitale d'un empire.

Ce pan de l'histoire toulousaine est en train de resurgir grâce aux archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP). Sur l'ancien parking de la cité universitaire de l'Arsenal, là où pousseront l'an prochain les murs de l'école d'économie de l'université des sciences sociales, ils fouillent le sous-sol depuis trois semaines et jusqu'à la fin de l'année.

LE PALAIS DES GOTHS
Le site est stratégique. Jean Catalo, qui dirige le chantier pour l'INRAP, sait que ce secteur, de La Daurade au Bazacle était prisé des Wisigoths. Lors de précédentes fouilles en 1988-1989 sur le site de l'ancien hôpital Larrey, il avait retrouvé les vestiges du palais des Goths. Ici, sur l'ancien parking des étudiants, les fondations d'un bâtiment monumental ont déjà été mises au jour. « On peut imaginer ses dimensions : 40 mètres par 50. Mais on ignore tout de sa fonction », observe Jean Catalo. Mais que faisaient donc nos ancêtres vers Saint-Pierre ? Ce mystérieux édifice a en tout cas conditionné toute la physionomie du quartier jusqu'à aujourd'hui.

Sur le chantier, en lisière des fondations wisigothes, devrait bientôt apparaître le fossé du XIIe siècle. L'enceinte de ce qui est devenu ensuite le bourg médiéval existe toujours : c'est le mur de briques du boulevard Armand-Duportal, boulevard qui a d'abord été un fossé. Au XVIe et XVIIe siècle, le couvent des Chartreux occupe l'emplacement de l'actuelle université. L'Arsenal voit, lui, le jour à la Révolution. Ses fondations affleurent elles aussi depuis peu grâce aux fouilles. Quant à l'université, elle a vu le jour en 1967.

Les archéologues ont déjà prévu de dévoiler leurs découvertes lors de portes ouvertes le 17 septembre.

« Ce n'était pas des barbares »
Contrairement à l'image populaire, les Wisigoths n'étaient pas des barbares sanguinaires. Jean Catalo l'explique simplement : « Les Romains ont voulu remplacer leurs Légionnaires. Et ils ont eu l'idée de payer ceux qui les attaquaient pour qu'ils défendent leurs frontières. Rome les a fait venir puis ne les a peut-être plus payés ou ils ont décidé de se servir… » En tout cas, ces envahisseurs n'étaient pas des destructeurs : « Ils se sont coulés dans le moule à l'inverse des Francs », précise l'archéologue qui a dirigé, avec Quitterie Cazes, l'ouvrage « Toulouse au Moyen Âge. Mille ans d'histoire urbaine », paru fin 2010 aux éditions Loubatières.
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Message par Her Sam 13 Aoû - 11:40

http://www.sudouest.fr/2011/08/12/dinosaures-sur-l-estran-472976-1391.php

Vendredi 12 août 2011 à 06h00 | Mis à jour le 12 août 2011 à 09h48
Par THOMAS JARRION

Ile d'Oléron : des restes de dinosaures
Sept paléontologues fouillent l'estran oléronnais pour récupérer des fossiles datant de 145 millions d'années

Le travail physique n'est que la face immergée de l'iceberg : « Avant de pouvoir dire clairement la nature de ce que l'on a trouvé, on doit attendre les résultats des expertises. » PHOTO T. J.

Sur l'estran oléronnais, ils sont une dizaine à remuer les cailloux et tailler la roche lorsque la mer se retire. Pêcheurs à pied ? Chercheurs d'or ? Rien de tout cela, ils sont paléontologues amateurs. « On a quatre jours pour effectuer nos prélèvements », explique Dominique Abit, à l'initiative du projet.

Dans ces conditions, « tout est préparé à l'avance ». Les zones de fouilles, d'une dizaine de mètres carrés, sont délimitées précisément et correspondent à un « bone bed » - comprenez un lit d'os - qui date du jurassique supérieur. « Ce que l'on sort a environ 145 millions d'années. »

Ce niveau est apparu grâce à l'érosion il y a deux ans. Dans un souci de mesure conservatoire, il a été décidé de l'enlever complètement avec le soutien de la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) et de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (Dreal).

L'équipe de fouilles a bénéficié d'une autorisation exceptionnelle afin de retirer et ainsi sauvegarder des spécimens voués à la destruction. Autrement, il est strictement interdit de faire des prélèvements sur les estrans autour de l'île d'Oléron.

Un travail de bagnards

Armés de pioches, de pelles, de burins ou de marteaux de géologue, les sept passionnés réalisent un vrai « travail de bagnard ». Pourtant, l'entreprise est délicate et précise. Pas question d'abîmer un fragment. Chaque pièce est ensuite étiquetée et codée en fonction de ses caractéristiques et du lieu où elle a été trouvée. Du 1er au 4 août, ils ont sorti des centaines de morceaux du passé.

Que trouvent-ils ? « Il y a les microrestes, presque invisibles, et les macrorestes, plus volumineux », commence Dominique Abit. Dans les faits, on trouve de tout. Des dents de dinosaures, des vertèbres, des morceaux d'os, du crocodile, de la tortue, du requin et même des restes de ptérosaure, ces anciens reptiles volants. Sans oublier les ammonites, « utiles pour dater une zone de recherche ».

Le travail physique n'est que la face immergée de l'iceberg. « Avant de pouvoir dire clairement la nature de ce que l'on a trouvé, on doit attendre les résultats des expertises. » Une fois identifiés, les fossiles seront donnés au musée de l'île d'Oléron, qui soutient l'équipe. Les sédiments contenants des microrestes seront traités à Angeac afin de récupérer tous les résidus exploitables. « Cela peut être du lézard ou des coquilles d'œuf », estime Dominique. Il faudra attendre la fin de l'année pour les premières publications scientifiques.

Un projet inédit

Il y a amateurs et amateurs. Les sept paléontologues ne sont pas rémunérés pour ce travail et c'est peut-être le seul argument qui leur refuse le statut de professionnels. Tous sont d'abord habitués aux chantiers de recherche, sur lesquels ils travaillent régulièrement.

Ensuite, plusieurs chercheurs du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) suivent l'avancée des fouilles de près et ne sont pas avares en conseils. « C'est à eux que reviendra l'analyse finale et la publication des résultats. Comme ils ne peuvent être partout, on leur dégrossit le travail », affirme le responsable du projet, avant d'ajouter : « On ne peut pas se permettre de travailler comme des amateurs face à l'exigence d'un chantier comme celui-ci. » D'autant qu'il est situé dans une zone de galets roulants. « Tout ce qu'on laisse lorsque la mer monte est détruit. » Il ne faut pas perdre son sang-froid lors de cette course contre-la-montre, surtout lorsque la plus belle pièce est découverte quelques minutes avant d'être recouverte par l'Océan.

Côté finances, une municipalité de l'île et la Communauté de communes offrent un support technique et logistique. Pour le matériel spécifique, colles spéciales et sacs de conservation, « c'est de l'autofinancement ». Mais le jeu en vaut la chandelle. Dominique Abit en est sûr : « On a trouvé là des restes que l'on ne trouve nulle part ailleurs en France. »

Charente-Maritime · La Rochelle · Le Château-d'Oléron
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Message par Her Dim 14 Aoû - 12:36

PUBLIÉ LE 11/08/2011 10:44 | F.P.
Rennes:un village au trésor sans un rond
tourisme
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/11/1144643-rennes-un-village-au-tresor-sans-un-rond.html

Alexandre Painco fait une revue de détail au sous-préfet.
/ Photo DDM, D.D.

C'est avec son cahier de doléances ouvert, qu'Alexandre Painco le maire de Rennes le Château a reçu hier le sous-préfet Olivier Tainturier. « À Rennes les visiteurs arrivent à flot constant mais le budget de la commune lui ne bouge pas, 230 000 € annuels. » grogne le maire. Selon lui il faudrait investir davantage sur ce petit village de 23 habitants qui reçoit en saison plus de 1 000 visiteurs par jour. « Rennes le Château devrait devenir le poumon économique du Pays de la Haute Vallée si on l'exploitait. » Oui mais voilà il fait des dossiers et encore des dossiers, demande des subventions à l'État, au conseil général, à la communauté de communes et tous restent lettres mortes.Premier point névralgique, le parking. L'actuel, de fortune aménagé dans un champ entre quatre piquets, tendu d'un ruban blanc et rouge, reçoit entre 500 à 700 voitures jour.Ils est impraticable par temps de pluie. « Quand il pleut les voitures s'alignent sur la petite route, les unes derrières les autres on ne peut plus passer, et difficile de repartir. C'est le grand bazar, nous avons fait faire un devis c'est la moitié du budget de la commune 127 000€, pour faire un parking. » affirme le maire, lancé comme le petit train qui fait un va-et-vient incessant entre le village et les touristes bloqués à l'entrée. « Il nous faut aussi une station d'épuration, le coût 180 000 €, à l'heure actuelle nous fonctionnons avec une fosse ou presque. Et le dernier problème c'est l'entretien de la route de la Valdieu qui devrait être prise en charge par le Pays de Couiza et enfin la reconnaître d'intérêt touristique. Le pire, je réclame un grand panneau à l'entrée de Couiza pour indiquer Rennes le Château, j'attends toujours. Parfois je me demande si je suis pas puni. Je n'ai soutenu personne aux dernières élections cantonales, et j'ai l'impression que le village le paye aujourd'hui, on donne une fessée aux habitants, mais aussi au canton, c'est une richesse tous ses touristes. » Le sous-préfet a rappelé à Alexandre Painco les investissements de l'État, au niveau de la mise en sécurité des sites touristiques dans le village. Et a dit qu'il rencontrait le conseiller général Jacques Horthala aujourd'hui. Et dans un sourire le sous préfet lui a demandé:«Visiblement monsieur Painco , la commune n'a pas trouvé le trésor de l'abbé Saunière?»

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http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/14/1146109-j-horthala-repond-au-maire-de-rennes.html

PUBLIÉ LE 14/08/2011 03:47 | F.P.
J.Horthala répond au maire de Rennes
polèmique

Le conseiller général répond au maire de Rennes le Château après sa mise en cause lors de la visite du sous- préfet.
/ Photo DDM, Didier Donnat

On le sait le conseiller général Jacques Horthala n'est pas homme à s'en laisser conter et après les accusations du maire de Rennes le Château sur le manque d'aides des institutionnels (lire notre édition du jeudi 11 août), la réponse du conseiller général du canton de Couiza est cinglante, il n'est pas vraiment content des invectives et plaintes du maire Alexandre Painco, lors de la visite du sous-préfet Olivier Tainturier. L'élu du canton vient d'envoyer au maire une longue lettre. Réponse du berger à la bergère. Pour se qui est des subventions le conseiller général rappelle au premier magistrat du village : « J'ai toujours travailler avec les maires successifs toutes tendances et opinions confondus. Et monsieur le maire si le domaine de l'abbé Saunière, dont vous tirez des revenus non négligeables, est aujourd'hui communal, c'est grâce à l'action de vos prédécesseurs et à l'appui moral du conseiller général et surtout financier du conseil général. Mais au delà il semblerait que votre mémoire ait quelques absences puisque vous venez de recevoir la notification de subvention pour l'année 2011, pour la mise en sécurité du domaine de l'abbé Saunière, qui suivent deux autres tranches déjà versées. La prise en compte également du poste basse tension de Pailhères pour un montant 120 000 €. Non seulement Rennes le Château n'est pas oublié mais c'est la commune du canton qui reçoit la plus grosse enveloppe de subventions pour 2011. J'espère que ce n'est pas la mauvaise foi qui vous guide en évoquant le chemin de Lavaldieu, avec votre prédécesseur nous avions élaboré un programme de rénovation, que vous avez rejeté le lendemain de votre élection. Il pouvait à l'époque bénéficier des subventions du conseil général. » À la fin du courrier le maire de Couiza, conseiller général, assure les Rennois de toute son affection et son attachement à leur commune et en s'adressant au maire lui-même dit qu'il ne doute pas de sa compétence et de son attachement à sa commune mais qu'il pourrait s'exprimer encore plus librement sur les problèmes quotidiens que rencontre sa commune lors de sa présence, trop rare aux assemblées générales de la communauté de communes du Pays de Couiza.
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Message par Her Mer 17 Aoû - 11:42

http://www.sudouest.fr/2011/08/17/inestimable-tuc-des-anglais-476328-3564.php

06h00
Par JULIEN GROUSSET
Soustons
Inestimable tuc des Anglais

Lorsque le diable pactise avec des mercenaires en fuite, c'est un véritable trésor qui se retrouve enfoui dans les hauteurs de la commune. Aujourd'hui encore, il serait possible de l'observer.

Le tuc des Anglais, plus connu sous le nom de la motte de Barre, passerait presque inaperçu dans le paysage soustonnais.

Toutes les collines ne sont pas de simples monticules de terre et de roche. Pas dans les Landes en tout cas. Certaines cachent des trésors. D'autres abritent des monstres (lire ci-contre). Dans tous les cas, mieux vaut y réfléchir à deux fois avant de fouler ce genre de propriétés « privées ». Créateurs ou habitants des lieux pourraient vous le faire payer.

Bien des curieux, par exemple, ont cru pouvoir s'approcher de l'or caché dans le tuc (1) des Anglais de Soustons. Jamais aucun, jusqu'à preuve du contraire, n'a en revanche pu s'en saisir. L'apercevoir est déjà un exploit en soi. Comme dans de nombreuses légendes, il faut se trouver au bon endroit lorsque frappent les douze coups de minuit, le jour de la Passion. Un court instant, on peut alors admirer l'inaccessible… Avant que la grotte ne se referme. Pour un an.


Autre tuc, autre légende. Plus effrayante celle-ci. Si un jour, vous traversez le petit village d'Hastingues, à côté de Peyrehorade, conseil vous est fait d'éviter le gave et ses alentours. C'est le terrain de chasse de l'immense Carcolh, un escargot de plusieurs mètres qui se nourrit des imprudents qui passeraient par là. Préférentiellement, des jeunes vierges, bien entendu. Et nul ne sait d'ailleurs combien le monstre a fait de victimes. Mais étant donné que cette histoire perdure depuis plusieurs siècles, il est probable que cela se compte en milliers. Le repère du monstre ? Une des multiples grottes entre les souterrains du promontoire sur lequel Hastingues est construit.

Contrairement à la légende du tuc des Anglais, dont la renommée commence à s'effriter, y compris chez les habitants de Soustons, celle du Carcolh est encore très présente en Pays d'Orthe. Au point même que « si vous demandez à un Peyrehoradais comment on nomme un habitant d'Hastingues, il vous répondra "Lous Carcolh », raconte le docteur Jean Peyresblanques, ancien président de la Société de Borda et féru d'histoires gasconnes.

Dans le petit village d'environ 500 âmes, une association, Les Amis de Carcoilh (le « i » a ici été rajouté par rapport à l'orthographe d'origine, où il se prononce pourtant phonétiquement), réalise depuis treize ans la Parade des cinq sens. Le 14 juillet dernier, ce sont encore 115 artistes qui ont enflammé Hastingues, pour le plus grand bonheur des petits et des grands. Comme quoi, même les monstres, imaginaires qui plus est, peuvent se lier d'amitié.

L'histoire de ce trésor inestimable débute à une époque où nul ne sait encore qui de la France ou de l'Angleterre emportera le golfe de Gascogne. La Guerre de Cent Ans fait rage et les frontières des territoires entre les deux nations sont régulièrement modifiées. Notamment dans les Landes. À l'ouest du département, alors que les armées de Charles VII parviennent à reprendre l'Aquitaine petit à petit, une bande de mercenaires anglais en déroute - ce qui ne les empêche pas de tout dévaster sur leur passage - se retrouve acculée le long du lac de Soustons.

Mais alors que les Français conquièrent, une à une, les villes de Dax, Saint-Sever et Tartas, leur seule issue est de repartir par l'océan. Un bateau doit d'ailleurs normalement venir les chercher, eux et le fabuleux butin amassé au cours de leurs extorsions. Méthodiques et prudents, ils ont pris soin d'enfouir l'or dans l'argile qui compose le tuc de Soustons. Eux sont réfugiés au sommet de la colline, dans une petite forteresse. Mais lorsque leurs adversaires reprennent Port-d'Albret, interdisant ainsi tout départ de quelque embarcation que ce soit, leurs rêves d'Angleterre prennent fin instantanément.

Cernés dans leur minuscule place forte, sentant la fin se rapprocher à grands pas alors que les lignes de défense résistent tant bien que mal aux premiers assauts, les mercenaires ne savent plus que faire. Pétrifiés de terreur, il ne leur reste plus qu'une seule solution pour s'en sortir : invoquer le diable. Pour cela, ils allument un feu immense dans le donjon. Satan leur apparaît alors et propose un marché : leurs âmes contre un navire. Quant à l'or, aux pierres précieuses et autres bijoux amassés, ils resteront à jamais là où ils sont. Dans le tuc.

Aucune alternative

Ne disposant d'aucune autre alternative, le capitaine anglais accepte l'arrangement. Lorsque le diable disparaît dans un éclair aveuglant, un navire aux voiles noires surgit. À peine les brigands ont-ils embarqué qu'ils se retrouvent aussitôt à quelques milles des côtes de Grande-Bretagne. Les Français prennent le fort dans la foulée. À l'intérieur, ils ne trouveront rien. Ni ennemis, ni trésor. Simplement quelques cendres encore tièdes dans la plus haute tour.

Si le traité de paix entre Louis XI et Édouard VII ne sera signé qu'en 1475, plus aucune bataille n'eut lieu à partir de 1453… Mais durant les 116 années qu'a duré la guerre, nul ne sait combien de fois Satan est intervenu pour passer ce genre de terribles marchés. Qu'advint-il des malheureux ayant traité avec le malin ? La question demeure sans réponse.

Dans l'oubli

Aujourd'hui, le trésor ne fait plus recette à Soustons et la légende du tuc des Anglais passe petit à petit dans l'oubli. Des maisons y sont d'ailleurs construites, mais aucun des habitants des lieux ne semble complètement conscient de la valeur de cet emplacement… Il faut dire que cette colline, située sur la route d'Azur, plus connue des locaux sous le nom de la motte de Barre, passerait presque inaperçue dans le paysage local. Et pourtant. De quoi donner l'idée à certains de creuser quelques trous dans leurs jardins ? Les probabilités sont minces, certes, mais toujours plus grandes que de trouver le pied d'un arc-en-ciel.

(1) Hauteur ou colline en gascon.

DANS LA LÉGENDE (6/7)
Sorcières, diables, fontaines miraculeuses, ogres, dragons et chevaliers… Inspiré par les « Chroniques mystérieuses des Landes » de Jean Harambat, « Sud Ouest » vous invite à découvrir, ou redécouvrir, quelques-unes des plus fameuses légendes des Landes.
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Message par Her Jeu 18 Aoû - 22:54

http://www.lyonne.fr/editions_locales/tonnerrois/a_chassignelles_les_peintures_murales_de_l_eglise_envoutent@CARGNjFdJSsBHx0EBRo-.html

JEUDI 18 AOÛT 2011 - 06:31
À Chassignelles, les peintures murales de l'église envoûtent

Il faut pousser les portes de l'église pour découvrir le trésor du petit village de 300 âmes. Des peintures murales du XIVe siècle sont à découvrir.

Discrètement située à la sortie du village, la petite église Saint-Jean-Baptiste-de-Chassignelles ne dévoile pleinement ses trésors que depuis 2008. D'importants travaux de rénovation permettent aujourd'hui de contempler de riches motifs, cachés pendant longtemps sous de nombreuses couches de badigeon.

« Je me souviens très bien de l'église avant les travaux. Tout était blanc, même la voûte », souligne Lucien Carré, bénévole des Amis de l'église. L'association a la bonne idée d'ouvrir tout l'été les portes de l'édifice pour une visite incontournable.

Une explosion de formes et de tonalités

Il faut parfois être attentif. Trois cavaliers, un chien La fresque des Trois morts et les trois vifs peut encore être aperçue sur le porche. Mais à l'intérieur, la beauté des peintures murales s'offre naturellement aux yeux des visiteurs. Impressionnant. La nef est décorée de motifs différents à chaque travée : décors géométriques, entrelacs d'ocres jaunes et rouges, aigles et lions peints au XIVe siècle Une explosion de formes et de tonalités.

Dans la chapelle nord, la scène de l'Annonciation est en très bon état de conservation malgré ses cinq siècles. « C'est la pièce maîtresse de l'église », estime Lucien Carré. Il faudra quelques indications d'un des guides de l'association, présidée par Michèle Borne-Brossard, pour trouver quelques traces d'une peinture représentant la flagellation du Christ ou la procession des apôtres.

Comble de l'histoire, ces peintures sont encore visibles aujourd'hui grâce au badigeon à la chaux apposé vers le XVIIe. Les décorations à cette époque n'étaient pas au goût du jour.

Marc Charasson
marc.charasson@centrefrance.com

Pratique. Visite jusqu'au 31 août, tous les jours entre 15 et 18 heures. Une exposition des peintures de France Wagner est également à découvrir.
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Message par Her Ven 19 Aoû - 19:46

http://www.sudouest.fr/2011/08/19/un-veritable-tresor-477514-1731.php

« Un véritable trésor »
Une fresque médiévale représentant les neuf preux, unique en Aquitaine, vient de réapparaître au château

François Dequesne, le propriétaire du château, devant Josué, l'un des preux les mieux conservés. PHOTO B. M.

Quand François Duquesne a acheté le château de Belvès, en 2008, la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) l'avait informé de la présence de peintures un peu dégradées par les travaux réalisés par le propriétaire précédent. Qu'à cela ne tienne, il a immédiatement entrepris d'importants travaux de restauration. Bien lui en a pris ! Il s'agit d'une représentation unique en Aquitaine des neuf preux : les païens Alexandre, César et Hector ; les héros bibliques Josué, Judas et David et les héros chrétiens Charlemagne, le roi Arthur et Godefroi de Bouillon. Alexandre le Grand et le roi Arthur n'ont pas été formellement identifiés dans ces peintures situées en ornement d'une cheminée monumentale, comme c'est le cas au château de Coucy dans l'Oise. Les yeux de nombreux personnages ont été effacés, il semblerait, lors des guerres de religion.

Jusqu'ici, un tel motif avait été découvert à Arras et à Nuremberg, en Allemagne.

Énigmes à résoudre
Pour rénover les fresques, François Dequesne avait fait appel à Cornélia Cione, qui a restauré des peintures au château de Biron et à l'église de Belvès. La restauratrice a travaillé pendant quatre mois à la mise en valeur des fresques du château, autrefois appelé hôtel de Commarque et classé à l'inventaire des Bâtiments historiques en 1948. Il s'agit d'un imposant immeuble situé à l'une des entrées de la rue commerçante, au cœur de Belvès et à deux pas du couvent des frères prêcheurs, aujourd'hui utilisé comme mairie.

Ces fresques posent de nombreuses questions aux historiens. Il s'agirait de l'arrivée de dignitaires de l'Église, accueillis par des seigneurs. Serait-ce une visite de l'archevêque de Bordeaux, coseigneur de la cité ? Une visite du pape Clément V ? L'étude des vêtements comme celle des armoiries devraient apporter des éclaircissements.

« Devant ces peintures, j'ai eu la même émotion que lors de ma première visite dans la grotte de Lascaux ; c'est un véritable trésor pour Belvès et toute l'Aquitaine », a reconnu Alain Rieu, conservateur régional des antiquités historiques, venu immédiatement après cette découverte. Pour son expertise, il était accompagné de Pascal Ricarère, doctorant de l'université de Poitiers, spécialiste de peintures médiévales.

Le château de Belvès n'a sans doute pas fini de livrer ses secrets. De quel personnage important était-il la demeure ? C'est sans doute là la prochaine énigme à résoudre.

Après cette découverte, et celle il y a quelques mois à l'église, Belvès s'inscrit comme un pôle de la peinture médiévale.

Bernard Malhache

(1) Le château pourra se visiter à partir de demain et jusqu'au 30 septembre, de 10 à 13 heures et de 15 à 18 heures, sur rendez-vous à l'office de tourisme. Lors des Journées du patrimoine, les 17 et 18 septembre, la visite gratuite du château pourra être complétée de celle, payante, de ses peintures médiévales.
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Message par Her Sam 20 Aoû - 17:53

http://www.lindependant.fr/2011/08/17/a-montquiers-40-000-ouvrages-dans-de-bonnes-mains,52185.php

Le mercredi 17 août 2011 à 06h00 par Fabien Arnaud | Mis à jour à 08h45 Réagir
CarcassonneBibliothèque : la benne aux livres fait des heureux et un scandale

Une aubaine pour les Carcassonnais, mais certains bibliophiles ont été choqués par la scène. © Photo Tiphiane Audiobert
De vieux exemplaires reliés de la Revue de Paris. Des chroniques archéologiques, d'autres ouvrages scientifiques des années 30 à 50 et quelques romans. C'est le fonds dans lequel les passants pouvaient librement puiser, hier, devant la porte de la bibliothèque d'agglomération, rue de Verdun.

Dans le cadre du déménagement des collections entamé début août, ces ouvrages, mis au rebut, étaient livrés au public, dès le matin, dans une benne à chantier. Une idée qui a été diversement appréciée...

"Contenu obsolète"

"Il s'agit de livres au contenu obsolète, qui ne répondent plus à notre mission de service public de fournir de la connaissance et de l'information", indiquait Emmanuel Pidoux, directeur du réseau des médiathèques de l'agglomération, en présence du président de la communauté d'agglomération, Alain Tarlier.

"Ces ouvrages sont issus des fonds patrimonial, régional et adulte. Leur évacuation a été également décidée sur des critères concrets, du fait de leur usure ou des champignons qui s'y sont développés", poursuivait le responsable de la bibliothèque, précisant bien : "Cela représente une toute petite partie de notre fonds. Les livres les plus précieux ont été conservés et feront l'objet d'un dépoussiérage et d'une décontamination".

Les Carcassonnais bibliophiles, eux, en ont profité pour faire leur marché. Comme Corinne, à l'affût de belles reliures pour décorer sa maison : "Elles iront dans mon salon !". Ou Sylvie, professeur de lettres au collège Varsovie, plus intéressée par le contenu : "J'ai trouvé des analyses sur les relations France-Afrique en 1936".

"Il y a de quoi être révolté"

Mais hier, d'autres étaient au contraire scandalisés par cette initiative. Des livres amoncelés dans une benne : Gérard Jean, président de l'Académie des arts et sciences de Carcassonne, voilà un véritable "autodafé". "Ces livres n'avaient peut-être plus d'intérêt scientifique, mais ils en avaient un pour les sociétés savantes locales ! Si nous avions été informés, nous aurions pris nos dispositions, d'autant que c'est notre académie qui a fondé la bibliothèque municipale de Carcassonne il y a 140 ans. Il y a de quoi être révolté !".

Et l'académie ne compte pas en rester là : "Nous allons alerter par écrit Alain Tarlier, demander la démission de la personne qui a pris cette décision, et prévenir le ministère de la Culture".

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http://lebibliothecaire.blogspot.com/

MERCREDI 17 AOÛT 2011
UN BEAU SCANDALE A CARCASSONNE


mercredi
17 août 2011

Le mercredi 17 août 2011 à 06h00 par Fabien Arnaud

Carcassonne : les livres de la bibliothèque... à la benne
POLÉMIQUE

Carcassonne : les livres de la bibliothèque... à la benne

De vieux exemplaires de la Revue de Paris. Des chroniques scientifiques des années 30 à 50, des romans. C'est le fonds dans lequel les passants pouvaient librement puiser, hier, devant la porte de la bibliothèque, à Carcassonne. Dans le cadre du déménagement des collections entamé début août, ces ouvrages, mis au rebut, étaient livrés au public dans une benne à chantier. "Leur évacuation a été décidée sur des critères concrets, du fait de leur usure ou des champignons qui s'y sont développés", a indiqué un responsable, selon lequel il ne s'agit que d'une petite partie du fonds. Certains ont été scandalisés, le président de l'Académie des arts et sciences évoquant un véritable "autodafé".
Carcassonne. Des livres de la bibliothèque jetés à la benne provoquent un petit scandale !
17/08/2011 à 15h51


Carcassonne, dans l'Aude.

Hier, dans la rue de Verdun, devant la bibliothèque d'agglomération, on avait placé une benne remplie de vieux livres (revue de Paris. Des chroniques archéologiques, d'autres ouvrages scientifiques des années 30 à 50 et quelques romans). Les passants pouvaient donc se servir, rapporte L'Indépendant.

C'est dans le cadre d'un déménagement des collections, commencé au mois d'août que ces livres ont été mis au rebus. Mais c'est une idée qui n'est pas appréciée par tout le monde, toujours selon ce journal.

Selon le Directeur du « réseau des médiathèques de l'agglomération », le contenu de ces ouvrages serait obsolète et ne correspondrait donc plus « à la mission de service public qui consiste à fournir de la connaissance et de l'information »... Il ajoure que les livres jetés sont usés ou touchés par des champignons... Il précise encore : « cela représente une toute petite partie de notre fonds. Les livres les plus précieux ont été conservés et feront l'objet d'un dépoussiérage et d'une décontamination ».

Quelques bibliophiles carcassonnais ont ét bien contents de récupérer des livres, soit pour la décoration de la reliure, soit pour le contenu en ce qui concerne une professeur de lettres.

D'autres personnes ont été scandalisées, comme le Président de l'Académie des arts et sciences de Carcassonne qui considère que « c'est un autodafé » ! Même si ces livres n'avaient pas un intérêt scientifique, il considère qu'ils en avaient un pour des sociétés savantes ! En colère, il va prévenir le Ministère de la culture et écrire au Président de la communauté d'agglomération pour que la personne responsable soit démissionnée...

Le Président de la communauté d'agglomération a reconnu ce matin que « c'était une maladresse » et il a justifié l'affaire ainsi « cette initiative aurait été prise par les personnes assurant l'interim du conservateur pendant ses congés ».


Carcassonne et sa région
Publié le 17/08/2011 08:24 | Quentin Bouttier

Carcassonne. Bibliothèque : conflit autour des revues jetées
BIBLIOTHÈQUE

La plupart des 40000 ouvrages de la bibliothèque ont été transférés dans 1200 m2 de locaux, chemin de Montquiers, pour être remis en état. Ils rejoindront ensuite la nouvelle médiathèque qui ouvrira ses portes dans quelques années. /Photo DDM, Archives

Depuis vendredi, la bibliothèque de l'agglo a terminé le déménagement de son fonds vers le chemin de Montquiers. Hier,il ne restait plus qu'à jeter des revues jugées obsolètes, mais l'opération a été pour le moins mouvementée.

Hier matin, quelques passants intrigués piochaient au hasard dans la benne remplie de livres située rue de Verdun, devant le musée. En prime, certains bibliophiles ont pu assister à une scène digne de Molière…

Les employés de la bibliothèque terminaient de vider les locaux (voir notre édition du 10/08) en jetant dans la benne divers ouvrages destinés au recyclage - des revues scientifiques pour la plupart.

« Une opération normale et courante dans les bibliothèques », assure le conservateur Emmanuel Pidoux. Gérard Jean n'était visiblement pas du même avis. Le président de l'Académie des arts et des sciences de Carcassonne est intervenu, furieux. « Il m'a abordé d'une manière très agressive, affirmant que c'était le plus grand scandale qu'ait connu le département depuis un demi-siècle », relate le conservateur.

Gérard Jean estime que « 10 000 livres, d'une valeur historique indéniable » ont été jetés. Pour Emmanuel Pidoux, il n'y a pas lieu de faire polémique. Selon lui, « il y avait environ deux cents documents, des revues scientifiques obsolètes et souvent délabrées pour la plupart. » Il est d'autant plus étonné que le déménagement vise justement à mettre en valeur la collection de la bibliothèque. « Cela ne représente même pas 1 % des 40 000 documents déménagés et conservés. De plus, certaines revues étaient attaquées par des champignons qui risquaient de contaminer le reste de la bibliothèque. Le tri était urgent car il n'avait pas été fait depuis longtemps. C'est notre devoir de présenter des collections actualisées et propres. »

Très remonté, Gérard Jean a contacté La Dépêche pour s'exprimer, allant jusqu'à qualifier l'événement d'« autodafé ». « C'est le fait du prince ! Cette destruction de bien public a été décidée sans préavis ni concertation. » L'homme regrette notamment qu'on n'ait pas proposé à des sociétés « plus que centenaires » comme celle dont il est président ou encore la Société des études scientifiques de l'Aude (Sesa) de récupérer les ouvrages. Il aurait même retrouvé dans la benne des ouvrages dont l'Académie des arts et des sciences avait fait don à la bibliothèque.


REACTION DE GERARD JEAN, PRESIDENT DE L'ACADEMIE DE CARCASSONNE

Recommandé A.R. Carcassonne, le 17 août 2011

Lettre ouverte de protestation solennelle.

Monsieur le Président

La bibliothèque municipale et ses riches collections, se trouvent désormais sous la gouvernance de la Communauté d’agglomération du Carcassonnais dont vous êtes le président.

Vous occupez la fonction d’adjoint, chargé de la Culture, auprès de M. Jean-Claude Pérez, député-maire de Carcassonne ; et vous êtes d’autre part vice-président du Conseil général de l’Aude, plus particulièrement chargé des Affaires culturelles.

Vous ne pouvez donc pas ignorer qu’il existe dans notre département, comme sur l’ensemble du territoire français, un réseau de sociétés savantes, à vocation littéraire, artistique, historique et scientifique, fondées pour certaines en 1833 et 1836, dont la mission de service public est essentielle, renforcée même par la défense environnementale et patrimoniale.

Il serait surprenant que vous ne sachiez pas que la Société des arts et des sciences de Carcassonne, appelée aujourd’hui Académie, a créé il y a près de cent cinquante ans, le musée des beaux-arts, ainsi que la bibliothèque municipale de cette ville. Elle a permis de façon décisive la sauvegarde des ruines de la Cité, et plus récemment, en grande partie, son classement parmi les monuments les plus prestigieux inscrits au Patrimoine mondial de l’Humanité.
Pendant plus d’un siècle, nos prédécesseurs ont inlassablement enrichi par leurs nombreux achats personnels et leurs donations de grande valeur successives, le fond alors embryonnaire de la bibliothèque municipale de Carcassonne.

Plus récemment, la Société des arts et des sciences de Carcassonne, a déposé un certain nombre d’ouvrages parmi les plus rares et les plus précieux, au sein de l’institution territoriale que vous représentez maintenant, avec la certitude de les protéger ainsi à perpétuité.

Nous avons vécu ensemble dans la matinée d’hier un « bibliocauste » à ma connaissance sans précédent, qui a dépassé de par son importance les scandales culturels des cinquante dernières années dont le département a souffert.

Le jeune conservateur Emmanuel Pidoux, que vous m’avez présenté comme directeur du centre de lecture publique, chef de projet du réseau des médiathèques de l’agglomération du Carcassonnais, a provoqué la destruction de 7 à 8.000 ouvrages d’une valeur documentaire considérable.

Il s’agit là d’un acte barbare, constitué par la destruction de milliers de livres d’une haute portée intellectuelle, qu’il nous appartient de dénoncer de la façon la plus violente qui soit… qu’il vous appartient de sanctionner sans aucun état d’âme.

Nous vous demandons solennellement, Monsieur le Président, d’engager immédiatement une procédure de licenciement à l’encontre de M. Emmanuel Pidoux, s’il s’avère responsable de l’état de fait ; sinon, nous envisagerons des poursuites pénales visant toute personne concernée pour destruction volontaire du bien public et d’objets mobiliers historiques.

D’après les renseignements qui ont été portés à ma connaissance, il semblerait que

M. Pidoux ait agi sans aucun discernement, avec un manque de réflexion manifeste,

aggravé par une absence totale de concertation, qui peut être justifiée mais non amoindrie, en raison de sa méconnaissance des réseaux associatifs culturels départementaux.

Pour défendre son geste inqualifiable devant les médias, M. Pidoux a menti sur la portée de sa décision inculte, sur son envergure, ce qui laisse présumer la dangerosité de votre collaborateur, qui n’a même pas daigné présenter ses excuses à l’Académie des arts et des sciences de Carcassonne.

Afin d’éviter toute polémique stérile qui pourrait s’instaurer, je me permets de vous rappeler les faits objectifs que nous avons ensemble constatés puisque vous étiez personnellement présent. Mes collègues et moi-même avons recueilli un échantillonnage des livres les plus importants voués à la destruction et pris des photographies in situ.

Le mardi 16 août 2011, au milieu de la matinée, j’ai été prévenu téléphoniquement par un nombre conséquent de personnes ouvertement scandalisées par ce qui se passait « rue de Verdun ».

Je me suis donc rendu à l’emplacement de l’ancienne bibliothèque municipale. À l’entrée, sur le trottoir, se trouvait une grande benne à ordures, du type de celles qui sont utilisées pour l’évacuation des matériaux de construction.

À mon arrivée, ce container était quasiment plein à ras bords ; il contenait donc un minimum de 7 à 8.000 ouvrages selon l’estimation susdite et non pas « 200 revues » comme il m’a été donné de le lire sur une certaine presse locale.

Ce chargement destiné de prime abord à la décharge publique a été très vite accaparé

par des personnes bien intentionnées, qui ont tenté de sauver ce qui pouvait l’être, mais également par des bouquinistes et autres brocanteurs très au fait de la valeur marchande du dépôt.

Qu’avons-nous trouvé : des documents sans importance bien entendu ; mais également des livres en parfait état, bien reliés, ayant appartenu aux précieuses bibliothèques de feux Coste-Reboult, de René Nelli, du médiéviste Jean Duvernoy, du philosophe Ferdinand Alquié, de la Société des arts et des sciences de Carcassonne entre autres et à titre d’exemples ; des ouvrages portant les dédicaces à Mahul, à Chénier, à Marcou, à Blum, député de l’Aude. Il y avait également des collections complètes et reliées du Bulletin monumental de la Société française d’archéologie ; les Annales climatologiques de l’Aude ; les Actes des congrès nationaux des sociétés savantes ; les prestigieux et très recherchés ouvrages des Congrès archéologiques de France ; Les Annales, littéraires, historiques, scientifiques ; La Revue des deux Mondes, recueils immémoriaux des célébrités intellectuelles de notre Pays ; des documents originaux du XIXe siècle, voire du XVIIIe siècle.

Broutilles nous a-t-on dit ! Circulez, il n’y a rien à voir ; il n’y a plus rien à faire, le fait du prince est accompli !

Nous citoyens, écrivains, éditeurs, enseignants, chercheurs, membres des sociétés savantes, littéraires et scientifiques, politiciens et autres acteurs de la société civile, voulons témoigner notre indignation face à cet acte de barbarie d’un autre siècle

que constitue la destruction de milliers de livres.

En effet, si nous concevons à l’extrême limite qu’une institution comme la Bibliothèque, future médiathèque de la Communauté d’agglomération de Carcassonne, ne puisse conserver pour des raisons de place ou d’aléas budgétaires les donations de l’État, où celles des plus prestigieux de nos compatriotes, nous ne pouvons accepter que les livres finissent leur existence à la poubelle, ni tolérer les dires de ceux qui affirment que « Balzac » n’a plus sa place sur les rayonnages, parce qu’il ne fait plus partie du cursus scolaire.

Monsieur le Président, votre collaborateur a détruit une partie du patrimoine cher aux Carcassonnais et aux Audois. Nous en sommes tous révoltés. C’est pourquoi, au nom de la sphère culturelle départementale émotionnée par ce problème, je vous demande d’engager immédiatement une procédure de licenciement visant la personne qui s’est rendue coupable devant nous, de faits dramatiquement irréversibles.

Et parallèlement à cette lettre de protestation solennelle que je rends publique, j’avise Madame le préfet de l’Aude et Monsieur le ministre de la Culture, afin qu’il fasse diligenter une enquête déterminant en particulier qu’elles sont les compétences universitaires et professionnelles de Monsieur Emmanuel Pidoux et partant, les conditions de son embauche.

Je conserve l’espoir de ne plus avoir à gérer pareille situation, que je n’avais jamais connue alors que je milite bénévolement depuis cinquante ans en faveur de la Culture et du Livre en particulier.

Au nom de l’ensemble de mes collègues, je vous exprime l’expression de ma consternation et de mon profond regret.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments distingués.

Gérard JEAN

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Commentaire d'Hercule : Il n'y a que des francs-maçons pour commettre de telles inepties. Il avait déjà fait pareil à la Révolution en détruisant tout et n'importe quoi, y compris des archives qui remontaient à plus de dix siècles et des trésors d'architecture de l'art roman et gothique.

J'avais moi-même à la société des Arts et Sciences de Carcassonne, lorsque j'avais appris que pour Urbain Gibert, un érudit, historien et ethnologue audois, décédé le 5 septembre 1989 à Lauraguel près de Limoux, que toute sa bibliothèque était partie à la décharge publique à cause d'une cousine héritière ignare et trop pressée.

Et aujourd'hui, j'aurais bien envie d'écrire à Gérard Jean pour qu'il se scandalise aussi avec autant de fermeté au sujet de la dalle de la marquise de Blanchefort Dame d'Haupoul, volée en 1906 au cimetière de Rennes-le-Château et pas encore restituée à ce jour à la municipalité de Rennes-le-Château.

Il s'agit d'un vol et de rien d'autre, et les érudits locaux tel René Descadeillas, l'ancien responsable de la bibliothèque de Carcassonne et ce Monsieur Gérard Jean, l'actuel Président de l'Académie des Arts et Sciences de Carcassonne qui savaient et qui savent où cette dalle se trouve encore aujourd'hui, sont complices du receleur de Carcassonne.

Si j'étais le Maire de Rennes-le-Château, je déposerais une plainte contre ces voyous, et j'exigerais de Monsieur Gérard Jean qu'il démissionne de sa charge de Président de l'Académie car il s'en est montré indigne.
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Message par Her Dim 21 Aoû - 14:38

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/un-tresor-romain-remis-a-l-eau-21-08-2011-1405605.php

FRANCE
Un trésor romain remis à l'eau
21 août 2011 - Réagir à cet article

Opération rarissime, des dizaines d'amphores romaines, remontées dans les années 50 par le commandant Cousteau et son équipe de la Calypso, viennent d'être réimmergées au large de Marseille, pour le bonheur des plongeurs. Cette idée de Richard Rech, président du Neptune Club, aura nécessité plus de deux ans de démarches. 250 amphores au total - «elles n'avaient plus d'intérêt scientifique», a expliqué Richard rech - reposent désormais par 14m de fond, selon une disposition en forme de bateau. Le site a été choisi près de l'archipel du Frioul à une profondeur permettant un accès à des plongeurs de tous niveaux. (Photo AFP)
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Message par Her Dim 21 Aoû - 14:42

Pensée du Jour

Pensée 3B_09: Mon tout-petit, Ma toute-petite, certains petits événements sont là pour signaler ta vulnérabilité. Autant tu es faible et vulnérable, autant tu n'as rien à craindre, car tu es sous la protection du Manteau de Ma Sainte Mère, et Je suis toujours avec toi. Ensemble, nous avançons vers la plénitude de l'Amour.

La Pensée du Jour d'aujourd'hui est extraite du livre Pour le bonheur des Miens, Mes choisis - Jésus, de Léandre Lachance, volume 3, numéro 22.
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Message par Her Lun 22 Aoû - 10:06

http://www.nicematin.com/article/beaute/rentree-les-dix-parfums-feminins-incontournables

Rentrée : les dix parfums féminins incontournables

Publié le lundi 22 août 2011 à 09H00

La gamme ck one s'enrichit d'une nouvelle fragrance féminine
Calvin Klein

(Relaxnews) - Trésor Midnight Rose de Lancôme
La rentrée sera haute en fraîcheur et gourmandise chez Lancôme. La marque propose le parfum "Trésor Midnight Rose", essentiellement conçu autour de la rose, signature olfactive de l'ensemble des nectars "Trésor". Le nouveau parfum gourmand de Lancôme offre des arômes d'absolu de rose, de framboise, de jasmin et de pivoine, relevés par des accords d'absolu de bourgeon, de cassis, de baies de roses, de cèdre de Virginie, de vanille et de musc. La fragrance sera disponible à compter du 1er septembre prochain.
Prix : 47€ le flacon en vaporisateur de 30ml.
Site : www.lancome.fr

Eau de toilette Angel de Thierry Mugler
Vingt ans après le lancement de sa fragrance phare, Thierry Mugler a choisi d'offrir une nouvelle version de l'eau de parfum "Angel". Cette dernière devient une eau de toilette, enrichie de nouvelles sensations olfactives orientales et gourmandes. Le parfum délivre des notes de bergamote, de baie de rose, agrémentées d'extraits de praline et de fruits rouges. La fragrance est relevée par des accords patchouli-vanille, tempérés par le cèdre et le musc blanc. Elle sera mise en vente dès le 5 septembre prochain.
Prix : 61€ l'eau de toilette en flacon ressourçable de 40ml.
Site : www.mugler.com

Violet Blonde de Tom Ford
La marque américaine Tom Ford profite de la rentrée pour lancer "Violet Blonde", une nouvelle fragrance censée réinventer la violette classique en lui offrant une variation inédite. Les parfumeurs de Tom Ford Beauty ont enveloppé l'absolu de feuille de violette de notes d'orris, la racine de la fleur d'iris, infusant le tout avec du jasmin de sambac. Ce mariage est agrémenté d'accords de mandarine italienne, de baie rose, de bois crémeux de benjoin, de bois de cèdre ORPUR, d'absolu de vétiver d'Haïti, de musc et de cuir-daim. Le parfum sera disponible dès le 1er septembre prochain.
Prix : 59€ le flacon en vaporisateur de 30ml.
Site : www.tomford.com

Love, Chloé eau intense des Parfums Chloé
A l'occasion de la rentrée, les Parfums Chloé ont choisi de décliner leur essence phare, "Love, Chloé", en une nouvelle facette orientale et poudrée. Nommée "Love, Chloé eau intense", cette nouvelle eau de parfum reprend les codes de la fragrance originelle pour les enrichir de notes sucrées, cuivrées et poudrées. Elle mêle le baume du Pérou et l'absolu de vanille. Une association qui vient s'ajouter aux notes d'iris, de lilas, de jacinthe, de poudre de riz ou encore d'héliotropine du parfum originel. "Love, Chloé eau intense" sera mise en vente à compter du 1er septembre prochain.
Prix : 58€ le flacon en vaporisateur de 30ml.
Site : www.chloe.com

Valentina de la Maison Valentino
La beauté sensuelle et insolente de la femme italienne est au coeur de la nouvelle essence féminine de la Maison Valentino. Baptisé "Valentina", ce nouveau jus offre des notes de bergamote de Calabre, agrémentées d'accords frais de truffe blanche d'Albe, de jasmin, de fleur d'oranger d'Amalfi, de tubéreuse et de fraise des bois. Le tout relevé par des extraits de cèdre et d'ambre. Ce parfum floral oriental sera disponible dès le 23 septembre prochain.
Prix : 53€ le flacon en vaporisateur de 30ml.
Site : www.valentino.com

Acqua di Gioia Essenza de Giorgio Armani
La marque italienne Giorgio Armani revisite sa célèbre fragrance féminine "Acqua di Gioia" pour la rentrée prochaine. Intitulée "Acqua di Gioia Essenza", la nouvelle version se veut plus concentrée et plus audacieuse que le parfum originel. Le jus s'ouvre sur des notes de feuilles de menthe froissées et de zestes de lemone primo fiore, accentuées par une pincée de poivre rose. Ce mariage est relevé par des extraits d'absolu jasmin et de jasmin d'eau, ainsi que par une touche de bois de cachemire, de bois de cèdre et de sucre roux. Il sera disponible à compter du 30 septembre prochain.
Prix : 67€ l'eau de parfum en vaporisateur de 50ml.
Site : www.giorgioarmanibeauty.fr

L'Essence de la Maison Balenciaga
Balenciaga enrichit son offre d'une nouvelle eau de parfum florale, sensuelle et impulsive. L'originalité et la fragilité de "L'Essence" réside dans l'introduction de notes de feuilles de violettes, renforcées par des notes corsées de vétiver. Pour ce parfum, la marque a choisi le même flacon à facettes que pour le jus "Balenciaga Paris". Il sera mis en vente dès le 1er septembre prochain.
Prix : 58€ le flacon en vaporisateur de 30ml.
Site : www.balenciaga.fr

N°19 Poudré de Chanel
La maison de haute couture française Chanel présente une nouvelle facette de sa fragrance "N°19". Simplement baptisée "N°19 Poudré", cette nouvelle essence délivre des extraits de Néroli de Grasse et de mandarine, agrémentés de notes d'absolu de jasmin et d'iris Pallida. Cette association zestée comporte des accents de muscs blancs, de vétiver d'Haïti et de fève Tonka. Le "N°19 Poudré" de Chanel est sorti le 19 août dernier, jour de l'anniversaire de Gabrielle Chanel.
Prix : 80€ l'eau de parfum en vaporisateur de 50ml.
Site : www.chanel.com

Honour d'Amouage
La parfumerie de luxe Amouage proposera un nouveau parfum féminin dès fin septembre prochain. Nommée "Honour", cette fragrance a été conçue pour symboliser les émotions et les sentiments les plus intenses comme la tragédie, l'amour ou encore le désespoir. Créée par Christopher Chong, l'essence dévoile des extraits de tubéreuse, de jasmin, de gardénia, de muguet et d'oeillet, agrémentés de notes de poivre, de rhubarbe et de cardamone. Le tout est associé à des accords de vétiver, d'ambre et de cuir. "Honour" sera disponible à compter de fin septembre.
Prix : 215€ le flacon en vaporisateur de 100ml.
Site : www.amouage.com

Ck one Shock pour elle de Calvin Klein
La marque Calvin Klein enrichit son offre d'un nouveau jus féminin nommé "Ck one Shock pour elle". Imaginée par le nez Laurent Le Guernec, la fragrance s'ouvre sur des notes de fleur de passion, de fleur de pavot et de pivoine rose, mêlées à des accords de mûre, de jasmin, de narcisse et de chocolat. Le parfum se referme sur des extraits d'ambre, de vanille, de patchouli et de musc. Il est disponible depuis le 15 août dernier.
Prix : 42€ le flacon en vaporisateur de 50ml.
Site : www.calvinkleininc.com

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Commentaire d'Hercule : La femme est un trésor pour l'homme, sachons les bichonner avec une infinie patience.

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Message par Her Mar 23 Aoû - 12:29

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Bienvenue en pays cathare
Catégorie : Humeur
Posté par : Philippe Maxence le 19-08-2008

Les vacances, c'est bien connu, réservent toujours des surprises. Les hasards d'un voyage en famille m'ont entraîné cette année du côté de Toulouse et de Carcassonne. La région est superbe et les trésors architecturaux ne manquent pas. Pas plus d'ailleurs que le bon accueil des gens de la région. Cependant, j'ai pu faire là une découverte étonnante. Mes souvenirs ne sont pas assez précis pour indiquer à partir de quel endroit exactement s'est manifestée la chose. Grossièrement, je dirais donc entre Toulouse et Carcassonne.

Une surprise, mais quelle surprise, me direz-vous, surtout si vous êtes un habitué de la région ? J'y ai tout simplement découvert que la fameuse « laïcité » républicaine s'arrêtait là. Si les autres lois de la République semblent bien y être en vigueur, la séparation des Églises et de l'État, et tout son cortège d'implications concrètes, n'y ont visiblement pas droit de cité. À mon grand étonnement, en effet, des panneaux m'ont annoncé, de manière ostentatoire, que nous étions entrés en « pays cathare ».

Au premier abord, l'affirmation ne surprend pas. On pense à une revendication régionale. Et, personnellement, si je me sens Français, c'est aussi par la médiation d'un attachement à ma petite patrie provinciale. Mais s'agit-il de cela ici ? Est-ce la même chose de saluer le touriste arrivant en Bretagne, en Bourgogne et en « pays cathare » ?

Voici la définition que donne Wikipédia du « catharisme ». C'est une définition commune, qui n'entre pas dans les détails de l'histoire. Elle a pour elle d'exposer l'essentiel : « On appelle “Cathares” (du grec ancien καθαρός / katharós, « pur ») les adeptes d'un mouvement religieux dualiste chrétien médiéval. Le nom a été donné par les ennemis de ce mouvement, jugé hérétique par l'Église catholique et adopté tardivement par les historiens. “Communauté à deux niveaux”, les adeptes de ce mouvement se nommaient eux-mêmes “Bons Hommes”, “Bonnes Dames” ou “Bons Chrétiens”. »

Dans toute la région visitée, ce n'était qu'une succession de panneaux manifestant la soi-disante appartenance de cette région à ce mouvement religieux. Dans la superbe cité médiévale de Carcassonne, lors de la visite, le catholicisme était mis en cause directement parce qu'il avait osé combattre cette hérésie, oubliant au passage l'aspect politique du problème. Sans intervention du pouvoir temporel, c'est la société elle-même qui disparaissait.

C'est alors que je me suis demandé si, ici, notre fameuse et très prégnante République laïque n'avait pas abdiqué les prétentions et la philosophie religieuse (soi-disant « neutre ») qu'elle impose dans le reste du pays ? Et c'est ici que je me suis demandé également ce que faisait la Halde, ce service de l'inquisition laïcard. Car, après tout, n'ai-je pas été agressé pendant ce séjour dans mon honneur de catholique et de Français ?

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Commentaire d'Hercule : Je partage l'analyse de Philippe Maxence au sujet de cet excès de publicité moderne à la gloire de l'hérésie cathare en terre d'Aude, avec autant de châteaux dits cathares (où les cathares n'ont pour la majeure partie jamais mis les pieds, hormis à Montségur avec son drame du 16 mars 1244. Les « faidits » de l’Eglise cathare y avaient trouvés refuge. La forteresse tomba aux mains des assiégeants et les cathares furent condamnés à renoncer à leur foi ou à mourir dans les flammes d’un bûcher. 205 Cathares résolus choisiront de périr brûlés vifs dans les flammes d’un bûcher.), autant de villages, de vignobles cathares, etc.

Cet engouement pour le catharisme est le fruit d'un romantisme tardif lié à un indépendantisme d'opérette vis-à-vis de la capitale et en opposition à l'Eglise Romaine, mais les initiateurs de cet engouement pour la secte hérétique seraient bien ennuyés si on leur demandaient aujourd'hui de suivre chaque jour dans leur vie cette doctrine hérétique telle que les purs et les parfaits cathares la vivaient au Moyen-âge. Il faudrait déjà qu'ils commencent par croire en Dieu et ce serait certainement là l'aspect le plus compliqué et difficile de leur éventuel engagement sectaire. Croire en Dieu jusqu'à choisir de mourir sur un bûcher : qui en serait capable aujourd'hui ? Il m'arrive à moi aussi de me poser cette vraie question.

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CATHARISME :

D’origine grecque, le vocable « cathare » ( pur) désigne les hérétiques dualistes qui se manifestèrent en Occident dans la seconde moitié du XII siècle. Le plus ancien document où il apparaît est un acte de Nicolas, évêque de Cambrai (1164-1167), qui enregistre la condamnation portée par les évêques de Cologne, Trèves, Liège, entre 1151-1152 et 1156, contre un clerc, Jonas, « convaincu de l’hérésie des cathares ».

Dans ses sermons visant les hérétiques rhénans (1136), Eckbert, abbé de Schönau, leur reproche d’avoir « eux-mêmes assumé cette appellation de purs » . A l ‘inverse, le théologien Alain de Lille ironise sur l’étymologie latine du nom (catus, chat) « parce qu’ils baisent le postérieur d’un chat en qui leur apparaît Lucifer ». Ce sont les « sectateurs du chat », les « chatistes, dirons-nous », commente de nos jours avec conviction un ingénieux polémiste. L’Eglise médiévale les traite d’ariens, de manichéens, sans pouvoir, à l’origine, définir leur doctrine.

Pour les cathares, le problème crucial est celui du mal, qu’on trouve dans l’univers rempli de créatures vaines et corruptibles, et qu’ils ne peuvent imputer à Dieu. Leur foi repose sur la conviction commune que ce monde visible et tout ce qu’il renferme est l’œuvre du diable. Selon le traité de Bartholomé de Carcassonne, « il y a un autre monde formé de créatures incorruptibles et éternelles ». L’existence des deux royaumes leur fait présumer l’existence de deux principes. Les uns, modérés, proches du monothéisme, croient en un seul Dieu, bon, tout-puissant, éternel, créateur des anges et des quatre éléments qu’il a permis à Satan, ange rebelle, d’organiser. Les autres, d’opinion radicale, croient en deux principes absolus, rivaux, le bon et le mauvais, également créateurs et éternels. Cette opposition de croyance, foncière à l’origine, détermine dans le monde cathare trois ordres distincts : modéré de Bulgarie, absolu de Dragovitza et nuancé de Slavonie.

Texte extrait de L'encyclopaedia Universalis - chapitre :"Cathares" édition: 1996

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