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Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui

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Message par Her Dim 15 Mai - 5:45

Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Edmundston, N.B.,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2003-04-15

La Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je suis en présence de la voix qui me parle en moi; pas pour moi, pour vous.

Jésus : Mon prêtre, mon fils choisi vous a parlé ce soir; il a sorti de lui des paroles d’amour.
Il a foi en ce qu’il est : membre actif de mon Église.
Je n’ai pas à choisir entre mes fils de prédilection et une enfant qui se donne; mon fils est en moi, en le Christ-Prêtre : il a ce pouvoir par son sacerdoce; il est en moi, tout comme je suis en cette enfant, tout comme je suis en chacun de vous :
je suis la Présence, je suis la Vie.
Vous avez reçu, par les mains consacrées de mon fils : mon Corps, mon Sang; je suis en vous, je vis en vous, mes enfants :
je parle en vous, mes enfants.
Ce monde a besoin d’entendre qu’il est en ma Présence; il a perdu la foi en moi qui suis Jésus-Hostie; il se demande pourquoi vouloir aller recevoir un pain, alors qu’il ne voit rien, qu’il ne ressent rien;
ces enfants ont besoin de moi, ils ont besoin de savoir que je suis la Vie, leur vie en eux.
S’ils sont vivants, c’est que moi, je suis la Vie; c’est moi qui nourris chaque vie.
Ce monde se perd à cause de leur matériel, ce monde se perd à cause qu’il se suffit à lui-même.
Ils ne veulent pas se reconnaître comme étant enfants de Dieu.
Ils ont reçu le baptême, mais ils ont perdu le sens de ce sacrement; ils sont venus par leurs parents recevoir ce sacrement de vie qui leur enlève la tache originelle :
les introduisant dans la famille de Dieu, la famille de mon Père.
Cette enfant qui vous parle n’est qu’un instrument, elle n’a pas la valeur de mes fils consacrés : elle est membre de mon Église, tout comme vous, vous êtes membres de mon Église.
Je suis le Corps mystique : je suis la Tête de mon Église, mes membres actifs sont mes prêtres et vous, vous êtes mes membres : vous devez vous reconnaître comme des enfants de Dieu.
Vous portez en vous la Vie et la Vie se donne à chacun de vous pour vous nourrir, pour vous alimenter afin de vous démontrer votre présence en moi, la Vie.
Ce n’est pas moi, mes enfants, qui ignore que je suis Vie,
c’est vous qui ignorez que vous êtes des enfants en moi, en la Vie.
Je parle à chacun de vous parce que vous portez mes enfants, vous portez en vous vos frères et vos sœurs : par ma Présence en vous, vous portez la vie et la vie est chacun des enfants de mon Père.
Je parle en votre intérieur, je parle pour mes enfants.
Ce que vous recevez, aujourd’hui, eux aussi le reçoivent, car je me suis donné sur la Croix pour chacun de vous, et je nourris la vie :
la vie, mes enfants, est ma Vie et vous êtes en ma Vie.
Je ne puis me taire, car ce monde oublie qu’il est en moi, qu’il vit en moi.
J’ai donné mes enseignements, mais les enfants de ce monde se sont laissé manipuler par des enfants qui ont écouté l’orgueil, la vanité; ils ne veulent pas se reconnaître comme des enfants de Dieu; alors Satan est venu troubler mes enfants, et aujourd’hui ils confondent ma vérité avec leurs propres paroles sorties de ce monde rempli d’orgueil qui se prend pour moi; ils ne veulent plus se reconnaître comme des enfants de mon Église; ils veulent se reconnaître comme des enfants libres dans un monde évolué.
Ils connaissent la modernisation.
Tout cela a commencé avec la télévision, la radio.
On a entré dans vos maisons un appareil qui émet des images et des sons : c’est la télévision, mes enfants, et avec le temps : elle vous a fait oublier vos prières, elle vous a fait oublier vos moments d’intimité entre vous et moi, elle vous montre un monde rempli de lui-même.
Toutes ces images sont fausses, mes enfants, pour la plupart; regardez toutes ces heures que vous passez devant des émissions inventées de toute part pour vous séduire, montrant un homme et une femme qui vivent dans un quotidien rempli d’amertume, de jalousie : aujourd’hui, on montre des divorces comme étant normal; on montre de la violence comme étant des scènes inoffensives, qui d’entre vous n’a pas vu ces scènes en disant : Oh! il l’a mérité! Oh! regarde ce qu’il a fait! Ah! s’il peut se faire prendre! et quelquefois vous versez des larmes lorsque vous voyez un enfant qui a perdu ses parents; vous voyez son tourment, mais vous êtes rendus indifférents!
Vous ne voyez pas que Satan vous a démontré un monde de péché :
vous le voyez devant vous et vous ne le reconnaissez plus.
Comment, vous mes enfants, pouvez-vous vous dire : je suis en état de péché; vous ne le pouvez plus, car vous ne savez même plus reconnaître le vrai du faux; vous vivez votre vie en excusant telle et telle conduite en disant : ce n’est pas notre faute, les autres nous ont montré que ce n’était pas si mal : alors, vous développez sans vous en rendre compte de la déculpabilisation devant ce que vous avez fait.
Vous agissez, mes enfants, comme des enfants indifférents à votre propre intérieur.
Oh! mes enfants d’amour, je suis un Dieu plein d’amour pour vous.
Croyez-vous que je vais me taire devant vos attitudes? Non, mes amours, car je connais votre souffrance, je connais vos prières; je sais que vous me dites : oh! Jésus, vois, je souffre, j’ai perdu mon mari, il m’a quitté; oh! Jésus d’amour, j’ai une enfant, elle souffre parce que son mari n’est plus, il a choisi de vivre sa vie; oh! Jésus vois notre souffrance, j’ai de la difficulté à supporter cette douleur, viens, viens m’aider.
Voyez-vous, mes enfants, je suis vivant en chacun de vous : j’entends vos prières, mais vous êtes incapables par vous-mêmes d’analyser votre souffrance, car tout en vous est un oubli de ce que vous êtes.
Vous êtes des enfants de Dieu, des enfants d’amour.
J’ai enseigné à mes apôtres des enseignements, leur montrant l’amour de mon Père pour eux; ils ont découvert qu’en suivant les lois de Moïse, ils pouvaient aimer : aimer qui ils étaient, aimer leurs frères et leurs sœurs; je leur ai montré combien mon Père est miséricordieux, plein d’amour, de douceur! et, par mon sacrifice, ils ont reconnu le Fils de Dieu qui s’est donné par amour pour eux et pour vous.
Mes enfants, ce monde moderne a faussé votre vie
et aujourd’hui vous avez de la difficulté à reconnaître vos erreurs.
Aujourd’hui, on ne prononce pas “péché”, on dit “des petites fautes” et encore là, vous ne cherchez pas à aller plus loin par peur de trop découvrir ce que vous faites; vous ne voulez plus écouter les paroles de mes prêtres qui se donnent.
Oui, mes enfants, chaque fois qu’un prêtre parle de mon évangile : il y a des grâces qui sont pour vous, et lorsque le prêtre prononce son homélie : il y a pour vous des grâces, des lumières.
Par son sacerdoce, je passe.
Et si parfois, mes enfants, ce monde qui s’est laissé engourdir vous fait découvrir la faiblesse d’un de mes prêtres, alors, mes enfants, je vous demande, au nom de l’Amour, de prier pour lui afin qu’il soit protégé contre les attaques de Satan.
Ma Mère vous demande de prier : elle vous demande de prier pour ses fils de prédilection car, voyez-vous, sans mes prêtres qui vous nourriraient?
Je suis la Nourriture.
Seul un prêtre a le pouvoir de changer le (pain), de changer le vin, en mon Corps et en mon Sang, aucun de vous n’a ce pouvoir; il est donné à lui, par nous la Trinité :
c’est notre puissance et, par lui, Dieu vous accorde des grâces.
Mais les enfants de ce monde ont renié mes enseignements, prônant leurs propres idées, leurs façons de voir; ils ont oublié jusqu’à mes saints sacrements; ils ne savent plus ou volontairement ils refusent de retourner en eux pour découvrir ce qui a été déposé : ma Présence d’amour.
Mais vous, mes enfants, qui acceptez de vivre en la présence de Dieu, vous voyez la lumière, vous portez mes enfants :
il vous est demandé de me les donner sans les juger.
C’est vous, mes enfants, mes enfants de la Lumière, qui allez me présenter mes enfants au moment de l’offertoire afin que mon prêtre, qui est en le Christ-Prêtre, présente à mon Père vos frères et vos sœurs afin qu’ils reçoivent des grâces.
À qui demanderais-je cela si ce n’est à vous qui fréquentez mon Église, qui venez vers mes prêtres recevoir mes sacrements? Vous êtes le sel de la terre, vous devez partager ce que Dieu vous donne.
Ma Mère a prévenu les enfants de ce monde à la Salette.
Lisez ses messages, ils sont vérité et vous allez, mes enfants, reconnaître ce message que ma Mère a donné pour votre temps.
Je suis l’Amour, je ne puis vous laisser enliser dans vos erreurs : vous faites souffrir mon Église.
Vous êtes membres de mon Église et ceux qui se perdent, je les porte, je me suis donné sur la Croix pour eux.
Vais-je donc faire de mon geste, un geste qui n’est pas vivant?
Je crie en chacun de vous : Aimez-vous, aimez ceux que vous portez, donnez-les moi, offrez-les-moi : je suis la Toute-Puissance, tout en moi est l’amour.
Je suis le Verbe du Père, je fais sa Volonté; vous agissez en moi par mes grâces.
Vous, vous ne pouvez, mes enfants, faire cela, c’est seulement moi en vous.
Tout ce qui vous appartient est votre oui : votre consentement; là est le seul choix que vous devez donner à Dieu mais, voyez-vous, il y a aussi en vous un autre choix, celui de refuser.
Dieu est un Dieu libre, il respecte chacun de vous, il ne peut vous forcer : Dieu est amour.
Par le choix d’Adam et Ève, vous avez en vous le bien et le mal : à vous de dire oui à Dieu et c’est par mes sacrements que vous allez avoir la force de dire : non, nous refusons de continuer à nous laisser manipuler par un monde qui a perdu la foi, un monde qui prône le vice, la violence, je ne veux pas vivre dans ce monde; mais toi, Jésus d’amour, tu peux nous aider; aide-nous, Jésus d’amour, nous voulons sauver aussi nos frères et nos sœurs en mourant en toi, car tu es le Sauveur : c’est seulement que par toi que moi j’arriverai à faire de ma vie une vie d’amour, car l’amour c’est toi : tu t’es donné par amour, je veux me donner comme toi, tu t’es donné; mais Jésus, j’ai peur, tu sais, car lorsqu’on apprend à se donner comme toi, tu t’es donné, je vois qu’il faut aussi que je souffre et cela me fait peur.
Mes enfants d’amour, je connais chacun de vous, je connais votre intérieur, c’est par mes grâces que vous allez vous abandonner.
La souffrance, en vous, vous est connue à cause du péché; ce n’est pas moi qui ai apporté en votre monde la souffrance, elle est venue par le non au bien, et c’est ce non qui vous a fait connaître le péché, et, à cause du péché : vous souffrez.
Moi, Jésus, j’ai porté tous vos péchés à la mort.
Regardez mon Corps, j’ai enduré toutes vos souffrances! Au moment de mon agonie, j’ai connu toutes ces souffrances causées par tous vos péchés; pas un seul ne m’était inconnu :
j’ai tout pris en moi, je vous ai tous portés.
Mes enfants d’amour, lorsque vous acceptez vos souffrances et que vous me les donnez, moi, je déverse en vous des grâces : des grâces d’amour, des grâces d’abandon, des grâces de lumière, des grâces de force; vous découvrez votre vie en Dieu; là, vos souffrances deviennent moins pénibles : vous acceptez de porter votre croix :
votre croix a été dans ma Croix.
Mes amours, vous connaissez aussi les souffrances de vos enfants; vous connaissez aussi les souffrances de vos proches; vous connaissez aussi les souffrances des enfants de ce monde; vous connaissez les souffrances de mon Église :
donnez-moi vos souffrances!
Je les ai toutes portées, votre croix sera moins lourde; vous aurez le courage d’avancer dans votre vie en découvrant en vous de la joie, car lorsqu’on découvre que Dieu nous aime malgré qu’on a fait des péchés : la souffrance devient pour vous purificatrice, elle ne devient plus un fardeau, vous êtes même, mes enfants, capables de supporter la souffrance de vos frères et de vos sœurs, car ces souffrances sont grâces :
là est la vraie valeur de votre vie en enfants de Dieu.
Dieu donne, il ne peut retenir en lui son amour et son amour est grâce pour vous.
Découvrez qui vous êtes en chacun de vous, découvrez vos frères et vos sœurs; vous verrez, mes enfants, que votre vie va devenir une vie d’amour.
J’ai annoncé un temps de préparation à ma Nouvelle Terre.
Mes enfants, vous les enfants de la Lumière, vous vivez votre purification; vous vivez ce temps, il est commencé! Vous vous laissez transformer comme cette enfant qui s’est laissé transformer pour renoncer à sa volonté humaine,
afin de mourir en Jésus :
vivre sa vie dans la Volonté de l’Amour.
Mes enfants, Adam et Ève vivaient en Dieu : ils vivaient dans la Volonté de Dieu, mais, par leur désobéissance, ils ont renoncé à vivre en Dieu pour vivre dans leur volonté humaine : ce fut leur choix.
Ils ont été tentés par Satan; ils ne sont pas venus vers moi, vers Dieu, afin de recevoir des grâces de force pour résister à la tentation : alors, ils ont vécu retirés du paradis dans leur volonté humaine, et vous, mes enfants, vous êtes les descendants d’Adam et Ève :
vous vivez dans votre volonté humaine et la volonté humaine vit dans le bien et dans le mal.
Je vous annonce un temps d’amour où vous devrez renoncer à votre volonté humaine pour vivre dans la Volonté de Dieu, dans l’amour, vous aimant les uns les autres.
Le Notre Père vous montre votre conduite, votre choix afin que la Volonté de mon Père règne sur la terre comme au Ciel.
Par votre propre choix, vous acceptez de vous laisser transformer en enfants de Dieu dans la Volonté de Dieu.
Priez, mes enfants, pour que vos frères et vos sœurs acceptent de vivre dans la Divine Volonté, renonçant au mal.
C’est vous, mes enfants, qui êtes les enfants de la Lumière.
Vous devez dire à vos frères et à vos sœurs combien je les aime! Lorsque viendra le temps où mes enfants verront en eux Jésus glorifié, ils devront répondre par un oui ou un non, et ceux qui diront oui iront vers mes prêtres recevoir ma Nourriture.
Je les remplirai de grâces d’amour qui les transformeront en enfants de la Divine Volonté, et ils seront sur la terre dans l’amour.
Mes amours, je suis en vous, je suis la Vérité en vous; tout a été dit.
Ce temps est un temps de grâces, profitez de mes grâces : allez, mes enfants, recevoir mes sacrements; venez vers moi dans l’Eucharistie : je suis Source de vie, je suis la Nourriture céleste afin que je puisse vous nourrir de mon amour.
Par la présence de mon prêtre, de mon fils choisi, recevez des grâces, car ses mains sont mes Mains.
Amen.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur me demande de témoigner de son agir : il est en moi, en voix.
Vous savez, je ne l’ai pas choisi, tout cela était nouveau pour moi.
Je ne croyais pas que Jésus pouvait parler à l’intérieur de nous.
Je priais, j’allais à la messe, j’avais un grand respect pour les prêtres, très grand! C’est ce que maman et papa nous avaient montré à la maison, mais, de là à penser que Jésus pouvait parler dans les cœurs : ah! Ça! Ça pour moi, c’était vraiment quelque chose de nouveau, puisque je n’avais même pas pensé que Jésus pouvait parler dans les prêtres.
Mais je savais que les prêtres étaient tout ce que Jésus représentait sur terre.
C’est pour ça que je ne parlais pas aux prêtres, c’était trop important! J’étais vraiment gênée et je crois que c’est encore ce qui se passe à l’intérieur de moi.
Parce que, quand un prêtre est près de moi, Jésus, il ne me parle plus, il ne parle plus, alors qu’il parle toujours, il parle tout le temps : des «je t’aime, écoute, sois obéissante», il me donne des enseignements, mais quand c’est un prêtre, il dit : «Tais-toi et écoute».
Là, il me fait découvrir la grandeur des prêtres :
c’est si important, mais je crois qu’on ne le réalise pas.
Lorsque je peux m’abandonner, je dis que je peux, ce n’est pas moi qui le peux, c’est le Seigneur qui m’envahit, mais lorsque ça se passe, c’est à l’Eucharistie; mais ça commence par le sacrement de la pénitence, puis à la communion je reçois Jésus : là, tout se passe en moi.
Il me parle, là il dit qu’il est la Présence et il me fait voir quelque chose de beau à l’intérieur de moi.
Il dit : «Viens avec moi », alors je me vois pour la plupart du temps de dos : là j’avance, je le suis; puis une grande lumière, mais cette lumière je ne peux pas la décrire parce que : c’est lumineux, c’est transparent, c’est opaque et, en même temps, c’est tout un espace : il n’y a pas de plafond, de côtés, il n’y a pas de plancher : c’est une lumière, et je rentre à l’intérieur de ça, et là : je vois.
La première fois, j’ai vu Jésus : mais Jésus, il est debout, il a une tunique, elle est blanche, mais je n’arrive pas à voir son visage comme je le voudrais, mais je sais qu’il a les cheveux ici là, (aux épaules), vous savez, on peut le voir peut être comme on veut le voir, je ne sais pas…je ne peux pas vous le décrire, mais je sais comment, moi, je le vois : il est lumineux, Jésus, mais en même temps qu’il y a la lumière qui est tout autour : je peux voir Jésus mais sa lumière à Jésus, elle est toute lumineuse, c’est comme si son linge était comme blanc, blanc, blanc et lui là, son visage…mais savez-vous ce qu’il y a de plus beau? Je crois que c’est ce que je ressens quand je le regarde : c’est la pureté : c’est tellement beau! Et quand c’est le Père…ah! là, ça c’est tout autre! C’est comme si j’étais toute petite, toute petite, et c’est plein de tendresse en moi : il est un Père d’amour! Il y a aussi le Saint Esprit! C’est trois personnes.
Mais, vous savez, pour moi en tout cas, le Père n’est pas plus vieux que le Fils : ce n’est pas un vieillard, le Père, il est comme son Fils et le Saint-Esprit est comme le Père aussi, mais, il y a quelque chose de différent : c’est que le Père est toujours plus haut que le Fils et le Saint-Esprit : C’est ce qui se passe en moi, et quand je les vois, c’est pour m’abandonner.
Il dit : «Tu n’es rien, regarde», alors, il me fait voir comme si j’étais toute petite et il me fait disparaître.
Aujourd’hui, ça été différent; il m’a fait disparaître dans une croix, et j’ai vu une croix, il a dit : tu vois, tu n’es plus!
Alors, c’est comme ça, je peux me présenter devant vous et il dit que ce n’est pas moi qui suis là.
C’est moi ici, mais je veux dire que je n’ai pas à parler, je n’ai seulement qu’à écouter et ça, c’est des mots qu’il dit,
mais il respecte qui je suis, parce que Dieu est plein d’amour pour chacun de nous : chaque personne.
Alors, il me prend telle comme je suis, moi. Mais, chaque mot que j’entends, je n’arrive pas à savoir le suivant; ce n’est pas des phrases qu’il dit, c’est des mots; alors je répète les mots et, bien souvent à la fin de la soirée, je dis : «Comment ça été?»
Parce que, vous savez quand on répète un mot à la fois, ce n’est pas des phrases, alors je n’arrive pas à savoir si ça été bien, si cela a fait, quand même, quelque chose d’intéressant à écouter, parce que pour moi c’est seulement qu’un mot à la fois! Une fois, ça ne fait pas longtemps, ça fait à peu près quinze jours, on descendait d’une journée comme ça, puis j’écoutais la cassette : Ah! comme c’est beau ce qu’il disait! et là, c’est venu très fort en moi, alors, j’ai dit : ferme la cassette.
Bien, écoute : Alors, j’ai dit : Ce qui se passe en moi quand j’ai les yeux fermés, c’est comme quand on conduit une auto : tu tiens ton volant, tu l’as ton volant dans les mains, tu sais que tu as quelque chose en dessous de toi, de ton auto, mais il n’y a pas de route en avant, c’est un vide total; alors là, Dieu dit les mots, les mots font avancer l’auto : un mot se dit, l’auto avance; Alors imaginez-vous que, quand je dis un mot, je ne sais pas, moi, le mot qui va venir après et je ne peux même pas savoir s’il est long, ce que ça peut représenter le mot au complet; il faut que j’attende qu’il le dise. Au commencement, quand il a commencé, bien il y a une personne qui m’a dit : tu fais souvent des arrêts; alors elle a dit : pourquoi tu arrêtes? Mais, c’est parce que je n’ai pas entendu au complet, il faut que j’attende.
Puis, quelquefois, le Seigneur, lui, il attend; quand j’arrête, c’est parce qu’il ne dit rien; alors, je suis obligée ’arrêter; alors, quand il continue à parler : là, je parle.
Mais il me transforme, on dirait, parce que là, c’est plus vite! C’est comme si moi, avec les mots, on ne faisait qu’un : là alors ça déboule, quelquefois! Mais quelquefois, il a pitié de moi : il arrête! Il me connaît, il connaît ma faiblesse, et je sais une chose aussi, je ne sais jamais ce que je vais dire, pas du tout! Il ne me prépare jamais, parce qu’il dit : ce n’est pas à toi à savoir, ce n’est pas ta soirée, c’est ma soirée! Mais aussi, quand on ne sait pas ce qu’on va dire, on n’a pas peur, on ne s’inquiète pas.
Vous savez, je n’ai pas une grosse instruction; j’ai fait ma neuvième année commerciale, alors, je n’ai pas l’habitude du public et ça, il le sait.
C’est pour ça qu’il me tient dans l’ignorance; je n’ai pas besoin de m’en faire, je suis en arrière de lui : alors, je me laisse aller dans ce que j’entends, et si parfois, il y a quelque chose qu’il dit : que je ne sais pas, que je ne comprends pas bien : je laisse aller le Seigneur, parce que ce qu’il dit, il sait que des personnes qui vont l’entendre : c’est ce qu’ils voulaient entendre.
Chaque personne qui est ici : Dieu est en union avec votre intérieur. Alors je me disais tout le temps – bien ça arrive souvent – : Seigneur, tu as tout dit; qu’est-ce que tu vas dire? Mais il sait toujours! parce que c’est un mouvement qui se fait, entre votre présence et sa Présence, en lui; parce que lorsqu’il parle, il parle dans les cœurs : il vient nourrir l’intérieur, il ne vient pas nourrir l’extérieur.
S’il nourrit l’intérieur, c’est parce qu’il sait que c’est notre vie : elle est là, elle doit se nourrir de sa Présence, de ses grâces, et c’est seulement là que notre extérieur va en profiter. On se demande souvent : Seigneur, tu veux me guérir? Mais le Seigneur va guérir l’intérieur avant parce qu’on va trop…Premièrement, on comprendra pas son geste : C’est comme quelqu’un qui marche dans la rue; il avance, il voit un enfant, il veut lui dire bonjour, mais l’enfant le regarde, il ne lui dit pas bonjour; même, il lui fait la grimace. Pourquoi? Parce que l’enfant ne connaît pas cette personne là, elle est étrangère; Alors, c’est ce qu’on risque de faire à Jésus lorsqu’on demande une guérison.
Si on ne se connaît pas soi-même, on est comme étranger; je veux dire que, quand on ne se connaît pas soi-même, on ne connaît pas les grâces que Dieu nous donne, on ne connaît pas qui on est par rapport à Jésus.
Alors quand Jésus fait un miracle, comment voulez-vous l’apprécier?
On est comme étranger à la grâce de Dieu; alors, on ne pourra même pas apprécier ce qu’il nous donne.
Il faut apprendre à savoir qui on est, toujours en rapport avec Jésus : ça c’est notre vraie vie, c’est là qu’on a vraiment une valeur. Aujourd’hui, – et même moi, hein! – on a trop tendance à vouloir se plaire, toujours pour l’extérieur, mais on a oublié le plus essentiel : c’est notre intérieur.
Puis, Jésus nous a écoutés, puis, il a eu pitié de nous! Vous savez, lorsque vous avez dit votre homélie, (La Fille du oui à Jésus s’adresse au prêtre qui est dans la salle) que de vérité, que de lumière! Alors, Jésus, il m’a dit : «Regarde mon fils, il est comme un pilier, il n’a pas peur de me défendre.»
Alors, je me suis sentie bien petite! Est-ce que moi, je serais capable de faire la même chose comme il a fait devant mes amis? Il faut oser, il faut défendre Jésus. C’est sûr que si on commence, nous, à vouloir évangéliser : eh bien! on va se faire virer, mais le prêtre lui il peut.
Vous savez, ces paroles viennent en moi par le Saint-Esprit, parce qu’il ne veut même pas que je témoigne avec ma volonté humaine, parce que ces mots n’auraient aucune valeur, et c’est ce qu’on a tendance à faire quand on est devant quelqu’un : on perd tous ses moyens, on bafouille, on veut tellement mettre notre volonté humaine, on veut l’amener dans le droit chemin, mais là, c’est notre erreur.
Il faut laisser couler Dieu en nous, il faut parler d’amour, il faut savoir de quoi on parle, il faut vraiment se laisser transformer, et le seul moyen, que moi, j’ai trouvé : eh bien! c’est d’aller vers les sacrements, là, on peut piger, et après, quand on lit, là on comprend. Il a commencé comme ça pour moi; toute petite, j’ai vécu dans une famille de treize enfants, maman en a eu quatorze, mais il y en a un qui est mort; alors, on a appris le catéchisme à l’école, on a eu des belles valeurs; on a fait notre rosaire avec le cardinal Léger : alors, le Seigneur a pris soin de moi.
À l’école, j’ai appris aussi avec des religieuses, et après mon travail, j’ai rencontré un jeune homme et la première chose que je lui ai demandé : "Es-tu catholique?" Ça, ça été la première chose que j’ai demandée; alors, quelquefois on se disait : "Si j’avais dit non, qu’est-ce que tu aurais fait?" J’ai dit : "Je n’aurais pas sorti avec toi."
Voyez-vous, Dieu a pris soin de moi; ce sont des grâces qu’il me donnait.
Et j’ai élevé mes enfants en leur montrant comment aussi aimer Jésus.
À la maison, il y avait des cours, des petits cours de catéchisme; j’en voulais encore plus : ah! j’étais rigide! même mon mari disait : "Ah! on sait bien toi, tu es extravagante! quand tu commences quelque chose, il faut que tu en mettes toujours trop!"
Eh bien! c’est vrai que je suis comme ça! Eh bien, c’est parce que Dieu m’a fait comme ça, pour lui! Et si j’ai pu être comme ça, c’est parce que j’allais à la messe : sans le savoir, Dieu me guidait tout le temps. Aujourd’hui, on voit nos enfants, ils ne pratiquent plus, pratiquement; c’est parce qu’ils se sont éloignés des sacrements, de l’Église; il faut revenir, mais on ne peut pas nous, tout seuls le faire, c’est Jésus qui va le faire : il nous apprend tranquillement à les abandonner.
Quand il nous dit : «Donnez-moi vos enfants » il faut les lui donner.
Alors, quand on va à la messe, eh bien! on les donne : on les lui donne au moment de l’offertoire. Vous savez au moment de l’offertoire qu’est-ce qui se passe en moi? Quand arrive le moment du Sanctus, là je sens une grande joie en moi; je me laisse aller dans cette joie et je sais que le Père est là, que le Saint Esprit est là et que Jésus est là; avant ce moment-là Jésus s’offre : là, il me dit : «Ferme tes yeux et approche.»
En premier il faisait avancer mon ange et je voyais des anges qui avançaient dans une allée, et puis qui déposaient sur l’autel les offrandes, maintenant, il dit : «Tu peux avancer;» alors, j’avance et quelquefois, mon ange me couvre,
puis là je peux mettre sur l’autel mes enfants, mais je mets aussi tous les enfants : mes frères et mes sœurs du monde entier : ça, il me l’a montré, c’est ce qu’on doit faire aussi : on doit mettre nos enfants, nos frères, nos sœurs et les enfants du monde entier sur l’autel afin que le prêtre puisse, en Jésus, les présenter au Père, et c’est comme ça qu’on va s’entraider parce que Dieu nous veut tous en lui, et c’est en nous, en enfants d’amour qu’on doit le faire. C’est sûr que je parle maintenant, parce qu’il m’a parlé de tout ça.
J’ai eu des enseignements la nuit comme le jour; même quand je dormais je voyais des choses et quand il me réveillait : il m’expliquait ces choses.
Au commencement, je me suis laissée aller dans tout ça, maintenant, je peux les comprendre et c’est dans le Saint-Esprit que je peux témoigner de l’amour de Jésus pour chacun de nous, et c’est ce qu’il fait lorsqu’on donne notre oui, lorsqu’on vient porter nos offrandes sur l’autel : il nous transforme comme lui veut, à son rythme à lui, parce qu’il nous connaît tous. Je vous remercie beaucoup, vous savez.
C’est la première fois que je sors de ma province pour parler et je l’ai fait dans le calme parce que c’est lui qui a passé en avant de moi : c’était facile, mais je crois qu’il y a quelque chose qui m’a beaucoup touchée : j’ai été accueillie par madame Yanne dans sa maison; elle ne me connaissait pas, et j’ai eu un accueil formidable! Et avant, quand je suis arrivée ici, il y a des gens que je ne connaissais pas, mais de nom seulement, ils sont venus m’accueillir, je vous remercie beaucoup, et quels chants formidables! Vous savez, vos chants sont merveilleux; avec la guitare, c’est beau! Un jour, Jésus m’a dit : «Vous êtes tous mes enfants». Alors, j’ai vu une montagne et au sommet de la montagne, il y avait une croix, il a dit : «Tu vois, tous mes enfants doivent monter vers la Croix, et je ne regarderai pas s’il est blanc, s’il a la peau noire, s’il parle d’une langue différente : vous êtes tous mes enfants, et c’est comme ça que vous devez tous venir vers moi.»
Ça, c’est merveilleux, on est tous frères et on est tous sœurs! Quand il m’a parlé de la guerre en Israël en premier – parce que c’est son peuple, son peuple choisi – j’ai senti tellement d’amour en Jésus; parce qu’il me fait sentir des choses, hein! On ne peut pas…c’est comme quand on reçoit la communion, hein! on ressent une chaleur en nous, là, mais ça c’est la présence de Jésus. Alors quand il me parle, aussi, je ressens des choses. Alors, Jésus d’amour, quand il m’a parlé de son peuple, j’ai senti qu’il est tellement amoureux de lui, malgré qu’on ne l’a pas reconnu comme le Fils de Dieu. Mais c’est son peuple, et il l’aime! Alors comment voulez-vous que je ne l’aime pas? On tombe en amour et c’est la même chose pour l’Irak et l’Iran.
Une fois, j’étais dans une soirée puis il y avait des gens en arrière de moi, ils parlaient contre – on ne dira pas les mots ni les noms, par respect pour nos frères et nos sœurs – alors ils disaient : "Lui, il est contre lui. Puis… " alors, je me tourne parce qu’on avait tapé sur mon épaule, je me tourne; là, ils continuent à parler : alors le Seigneur, il leur dit comme ça : «C’est comme un enfant qui se trouve dans un champ, il s’en est approprié comme si c’était à lui, mais il se promène, et il a de l’herbe à poux, il a toutes sortes d’herbes mauvaises à l’intérieur de ce champ, il y a aussi de la bonne herbe.
Mais pour lui, il est à lui ce champ! C’est un tout petit enfant, il invite d’autres enfants à venir avec lui, alors qu’il y a des mauvaises herbes qui vont les blesser,» alors il a dit : «Tu vois, c’est un enfant et c’est mon enfant, je l’aime!» Alors, ils ont compris.
On est tous enfants, même s’il y en a qui se bataillent, on est tous des enfants de Dieu : il ne faut pas les juger, il faut prier pour eux : ça, c’est l’amour de Dieu.
Il faut dans tout ça garder sa paix; c’est là, quand on est en paix, qu’on aime nos frères et nos sœurs, puis, qu’on peut les aider; si on a la peur, l’inquiétude, on ne pensera pas à prier pour eux : on va se garder dans un état de questionnement, de peur, alors on ne priera pas.
C’est pour ça que notre saint Père le Pape nous a demandé de garder la paix, de prier : c’est l’amour de Dieu.
Il aime, Dieu, hein! pour nous donner quelqu’un de formidable comme le saint Père : nous sommes la famille de Dieu, la grande famille de Dieu.
Il n’y en a pas deux, il n’y en a qu’une seule, puis elle est sur toute la surface de la terre : il n’y a pas de barrière, il n’y a pas de frontière, il n’y a pas de province, il n’y a pas de pays : il y a une famille, c’est celle de Dieu.
Je vous remercie d’écouter quelqu’un comme vous témoigner. Vous savez pourquoi, moi, je suis ici? Je le sais pas plus que vous.
Pourquoi il a choisi moi? Ah! mon Dieu! Je n’en sais rien.
Pouvez-vous vous imaginer? Ah! je suis sûre que je ne suis pas la seule! Mais quand on entend le Seigneur, on a l’impression : "Mais mon doux, ça ne se peut pas, pas moi, parmi des milliards! Hein! on est des milliards de personnes sur la terre là, quand même, là! Mais pourquoi?" Vous savez, c’est impensable tout ça! Mais si je m’arrête à penser à tout ça, je vais me faire du tort, et je ne crois pas que Jésus veut ça : alors, j’ai tout simplement dit : "Oui, Seigneur"; alors, si la Voix me dit : «Va là» : "Oui Seigneur!" alors je n’ai rien à me reprocher, j’écoute la voix : alors, j’y vais, et quand je me présenterai devant Jésus Amour, alors je lui dirai : "J’ai écouté la voix en moi, Seigneur" : là, sera ma défense!
Merci.
Her
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Message par Her Dim 15 Mai - 5:45

Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Amqui, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2003-04-16

Jésus : Je suis avec chacun de vous, je suis la Présence en vous.
Mes enfants d’amour, entrez-en vous, faites présence en vous, laissez couler en vous l’amour : l’amour de Dieu, l’amour pour vous.
Lorsqu’on se donne un moment où on veut recevoir, il faut ouvrir votre intérieur, car lorsque quelqu’un s’approche de vous pour vous parler, si vous n’écoutez qu’avec vos oreilles : vous ne recevrez que ce que vous voulez avoir,
mais si vous ouvrez votre cœur : vous allez recevoir ce qu’il y a en lui.
Toute parole venant de l’humain ne porte pas de grâces; toute parole
venant de la voix de Dieu porte des grâces.
Ce soir, Dieu fait présence en vous, il enveloppe cette enfant afin qu’elle puisse se donner.
Elle n’est plus dans sa volonté, elle écoute en moi, Jésus, ce qu’elle entend; elle répète ces mots qui viennent de son intérieur :
à vous, mes bien-aimés, de vous nourrir de mes paroles de vie, de mes paroles d’amour; elles sont pour votre intérieur, en vous.
Je prépare mes enfants pour ma Venue dans les cœurs et c’est
en chacun de vous que vous recevez ces grâces.
Il faut entrer en vous, il faut vous abandonner dans l’amour de Dieu pour accueillir sa Présence, pas seulement pour vous, mais pour ceux que vous portez, pour tous mes enfants.
Je suis la Présence, je suis la Vie : la Vie est en vous; c’est la Vie, mes enfants, qui vous fait avancer en recherchant le bonheur : le bonheur est de découvrir votre présence en Dieu, là est votre place, là est l’amour.
Je suis l’Amour, je suis Essence d’amour, vous, mes enfants, vous êtes amour par moi.
Je me suis donné par amour à mon Père en prenant vos péchés : j’ai tout pris en moi; je me suis offert en holocauste afin que vous, vous soyez des enfants d’amour, purifiés par mon Précieux Sang.
Mon Sang ne cesse de couler, je déverse mon Sang à chaque messe.
Chaque seconde de votre temps, un prêtre, mon fils consacré, m’offre à mon Père : je renouvelle mon sacrifice pour vous, pour ceux que vous portez en vous.
Mon Sang purifie vos péchés.
Ce mouvement ne s’arrêtera pas tant qu’il y aura un seul péché qui ne sera pas regretté.
Il faut, mes enfants, que vous vous reconnaissiez dans vos actions pour analyser si ce que vous faites est bon pour votre âme ou si ce que vous faites nuit à votre âme.
Lorsque vous prenez conscience de vos actions, c’est à vous de choisir si vous voulez accepter mon sacrifice.
J’ai tout pris en moi, je n’ai pas oublié un seul péché, mes amours, c’est à chacun de vous de prendre la décision si vous voulez les abandonner dans mon Être.
Lorsque vous vous présentez à mon fils, vous vous présentez à moi, Jésus : je suis en le prêtre.
Vous venez me donner votre confession en m’avouant vos péchés que j’ai déjà purifiés par mon Sang; mais si vous ne faites pas l’effort de venir à mon prêtre, moi, je demeure en vous dans le silence de votre intérieur, et j’attends :
j’attends que, vous, vous entriez en vous pour venir vers moi.
Lorsque vous demeurez en silence : vous ouvrez une porte en vous, vous vous mettez en présence de Dieu, vous faites savoir à votre intérieur votre acceptation à vouloir être en présence de Dieu : cela est grâce pour vous.
Je ne puis refuser mes grâces à ceux qui veulent venir à moi dans leur silence!
Même si vous, vous ne voyez pas votre péché, moi, par votre présence, je déverse en vous des grâces de repentir,
afin que vous vous voyiez dans votre action qui a nui à votre âme.
Je suis un mouvement d’amour : je connais chacun de vous, je connais votre intérieur, je connais votre passé, votre présent, votre futur : ce que vous avez fait, faites et ferez est en moi.
Je suis la Présence, c’est à chacun de vous de prendre conscience que vous êtes avec moi en vous.
Vous devez vous sentir vivant : je suis la Vie!
Combien d’enfants en ce monde se croient vivants! Il parle avec son prochain, il mange avec son prochain, il rit avec son prochain, il partage avec son prochain; tout de lui n’est qu’extérieur; il se croit maître de ce qu’il voit, de ce qu’il fait; il ne s’aperçoit pas qu’il prend de sa vie intérieure pour exister dans un monde froid, sans amour, sans présence de Dieu.
C’est seulement lorsque les enfants de ce monde vont entrer en eux qu’ils vont se savoir vivants.
Lorsqu’un enfant s’arrête pour venir en lui : il réalise que la vraie vie est en lui, que tout ce qui est extérieur n’est fait que : de ce que lui veut, de ce que lui perçoit, de ce que lui espère : tout n’est que de sa volonté humaine,
alors que Dieu est en lui : Dieu est la vie, Dieu est sa vie.
Mes amours, j’ai créé tout ce que vous voyez.
J’ai donné vie à ma création, j’ai donné vie à tout ce qui est vivant, et vous, vous êtes mes créatures : je vous ai formées.
Lorsque j’ai formé Adam, j’ai insufflé en lui mon souffle de vie, et ce souffle de vie est en vous; vous êtes tous mes créatures; vous venez de moi; vous êtes la vie en vous : elle est en vous la vie.
Et lorsque vous regardez avec vos yeux, c’est que vous voyez; vous vous servez de ma Vie que je vous ai donnée pour voir ma création; lorsque vos mains s’agitent, c’est votre vie en vous qui fait activer vos actions, et vous produisez ce que moi je vous donne, en vous donnant ma Présence de Vie en votre vie.
Tout vient de moi, il n’y a rien qui vient de vous.
Vous êtes mes enfants : vous êtes mes créatures.
La vie est en vous parce que c’est moi le Maître de la vie qui l’a choisie : je vous ai tous choisis.
Pas un seul d’entre vous : pas un seul qui est vous n’a été choisi que si moi ne l’aie voulu.
Je suis le Créateur, tout en moi est puissance.
Tout ce que vous avez fait depuis votre naissance, c’est moi qui l’ai nourri de ma Vie.
Voyez-vous, ce qui vous appartient est votre volonté humaine.
Votre volonté humaine a un choix : dire oui à la Vie ou refuser de croire que je suis la Vie en vous.
C’est seulement votre oui, votre non, qui vous appartiennent.
Vous, vous appartenez à Dieu.
Dieu ne vous veut pas de force en lui, en sa Vie : il vous veut libres.
Vous êtes dans son Être avec votre oui.
C’est à vous seuls d’entrer en vous pour prononcer votre oui.
Enfants de Dieu, je vous ai faits amour : je suis l’Amour et l’Amour vous veut dans l’amour.
Un oui, mes amours, dit à Dieu : se fait en vous, il ne peut être extérieur, car je suis en vous.
Les enfants de ce monde ne vivent que de leur extérieur.
Ils veulent se donner un bonheur en se donnant du matériel, en se donnant des plaisirs extérieurs qui parfois les font tant souffrir! Ils leur démontrent, ces plaisirs, des moments de noirceur, des moments où ils sont seuls avec eux-mêmes, et cela les amène si loin qu’ils tombent dans le désespoir où tout leur semble impossible d’être
heureux :
ils sont des enfants perdus dans leur volonté humaine.
Je suis avec eux, pas un instant je ne les quitte, bien qu’ils me refusent, bien qu’ils me rejettent.
Ils ne veulent pas de l’amour de Dieu, car cela empêcherait leurs manies de se donner à ces plaisirs défendus.
Mes amours, je suis avec vous pour vous apporter la lumière.
Il faut porter en vous ces enfants : vos frères, vos sœurs; ils ont besoin de vous.
Lorsque vous prononcez votre oui en vous et que vous le donnez à Jésus Amour, je déverse en vous des grâces d’amour, d’abandon, de lumière, et cela fait présence en eux, car vous êtes membres de mon Église, je suis la Tête de l’Église : eux profitent de ce que je vous donne.
Mes enfants d’amour, il y a tant à donner, tant à offrir! Il n’en tient qu’à vous, de vous donner à Dieu.
C’est moi en vous qui accomplis l’œuvre de mon Père, je suis le Verbe, c’est moi l’Agir.
J’ai besoin de votre consentement, de votre oui à l’Amour, et moi, je déverse en vous des grâces qui vous transforment en enfants de Dieu, en enfants de la Lumière.
En ce moment même, vous acceptez votre purification.
Ce temps est un temps d’amour, un temps de grâces pour vous : il vous prépare à entrer dans ma Terre Nouvelle.
Je suscite parmi vous des enfants qui se donnent, qui s’abandonnent, qui s’offrent, qui s’oublient totalement.
Ils oublient leur vie, tout leur être est axé vers leur intérieur, ils renoncent à ce monde.
Telle cette enfant, elle a renoncé à sa vie dans un abandon total; elle n’est plus l’enfant dans sa volonté humaine; elle ne vit que pour Dieu.
Elle a tout donné, elle a abandonné sa vie dans une totalité.
Tout plaisir, elle me l’a donné; tout ce qu’elle a connu avec ses enfants, elle me l’a donné.
Renonçant à tout, chaque jour de sa vie est pour moi.
Je la conduis au plus profond de son intérieur en renonçant à ce qu’elle est pour donner.
Lorsque je lui demande : «Donne-toi, offre-toi, abandonne-toi»: elle ne retient rien, elle ne cherche pas à savoir, elle s’accomplit; elle ne demande pas, elle offre sa vie.
Je suis en elle et elle, elle est en moi.
Chaque enfant dans ma Nouvelle Terre sera dans un abandon total dans la Divine Volonté, renonçant à sa volonté humaine, renonçant au choix qui est le non.
Vous serez des enfants du oui qui auront renoncé à leur volonté humaine
pour ne vivre que dans la Divine Volonté.
Dieu est amour, Dieu veut vous combler : il veut vous donner tout ce qu’il y a en lui.
Dieu, mon Père, m’a donné toutes ses complaisances, j’ai tant à vous donner! Il n’y aura que de la joie, plus jamais vous souffrirez.
Tout ce que j’ai annoncé à mes apôtres sera pour vous, dans ma Nouvelle Terre,
pour tous les enfants qui auront dit oui à l’Amour.
Vous connaîtrez des joies, mes enfants, que vous ne connaissez pas; vous verrez avec les yeux de l’amour, car votre volonté humaine ne sera plus : j’ouvrirai les yeux à l’amour; vous entendrez des sons que la volonté humaine ne peut percevoir; vous sentirez des odeurs dont votre odorat humain ne peut sentir lorsque vous agirez, tout se fera dans la Divine Volonté : tous vos mouvements seront parfaits.
Votre volonté humaine, en ce moment, met une entrave à mon agir, à ce que vous pouvez faire dans la Divine Volonté; le péché, commis par Adam et Ève, a interrompu ces mouvements d’amour.
Je vous annonce un temps d’amour, un temps de joie, un temps de lumière, un temps de contemplation où tout ne sera que bonheur éternel :
tout sera dans mon agir.
Ô amours de ma Vie, j’ai donné ma Vie pour vous, afin que vous connaissiez ce bonheur : il est à votre porte, à vous de dire oui, à vous d’avancer; ne craignez pas, n’ayez pas peur, demeurez en paix.
Lorsque vous ressentez de la joie, lorsque vous ressentez une paix en vous, est-ce que Satan peut vous donner cela? est-ce qu’il peut vous dire : "Aime ton prochain, offre-toi, donne-toi à Dieu, fais la paix en toi"? Non, mes enfants, il ne peut vous parler ainsi, car il est le mal, il est le menteur, il est le séducteur.
Vous, mes enfants de la Lumière, venez puiser en vous des grâces de lumière
qui vous feront voir l’agir de Dieu.
Mes amours, je suis venu parmi vous enseigner les commandements que mon Père a donnés à Moïse.
J’ai donné des enseignements à mes apôtres, et le Saint-Esprit les a couverts, leur montrant la lumière, et tous mes enseignements sont devenus pour eux, lumière.
Soyez, vous aussi, dans ce mouvement d’amour; laissez-vous envelopper par la puissance du Saint-Esprit : là, vous verrez l’agir de Dieu, là vous verrez les tromperies de Satan, car il trompe mes enfants.
Beaucoup d’enfants se laissent prendre dans des erreurs, ils veulent avancer en mettant leur volonté humaine en premier, après ils pensent à Dieu.
Mes amours, lorsqu’on met le moi avant Dieu, Dieu respecte votre volonté d’avancer avant lui, et Dieu attend.
Dieu ne force pas, il vous laisse libres.
Mes amours, il a été écrit : «Tu adoreras ton Dieu de toute ton âme, de tout ton cœur, de toutes tes forces, de tout ton esprit».
Lorsque mes enfants passent leur moi avant moi, ils s’aiment si fort qu’ils se prennent pour des dieux : là est une erreur, et ce monde connaît cette erreur.
Ils ont inventé des méthodes qui les font paraître comme étant des enfants qui veulent aimer Dieu, mais ils se donnent des pouvoirs; ils se font eux-mêmes maîtres de leur intérieur, en se donnant des moments de méditation, de relaxation, en faisant descendre sur eux une énergie : cela est pouvoir.
Seul Dieu veut vous combler, seul Dieu veut vous couvrir.
Je me suis donné à vous par amour, j’ai versé mon Sang sur vous pour vous couvrir, en laissant déverser mon Sang, j’ai purifié votre être.
Lorsque ces enfants s’adonnent à ces méthodes : ils n’acceptent pas que je les couvre entièrement de ma Présence d’amour, ils laissent Satan les séduire : ils ont été trompés.
Satan leur montre à être des dieux, et eux le font dans l’ignorance.
Ces enfants vont se voir tels comme ils sont; ils vont voir leurs actions
qu’ils se sont eux-mêmes données.
Quand on refuse à Dieu de tout prendre, de tout faire, de tout accomplir : Dieu est mis en retrait; il attend,
et ces enfants se laissent couvrir par la noirceur; ils deviennent impatients, la discorde pénètre en eux, car ils développent un moi, se disant : "Je suis libre, je n’ai pas besoin de demander la permission, j’aime faire ce qui me plaît, je n’ai pas besoin qu’on me dise quoi faire"; ils disent : "Je ne veux pas me faire manipuler" et ces enfants développent une indépendance; ces enfants, à la moindre contrariété, ne se reconnaissent plus car ils deviennent des inconnus de leur intérieur; alors, lorsque quelqu’un qui les aime leur dit quoi faire : eux se fâchent, ils n’acceptent pas de se laisser manipuler, car ils croient que l’autre veut les dominer.
Aujourd’hui, vous vivez dans un monde où les couples sont en discorde; ils n’acceptent plus que l’autre vienne brimer ‘son moi’, car ‘son moi’ a pris toute la place; ils sont devenus des petits dieux sur leur trône que Satan a érigé.
Et lui, du haut de son pouvoir, vous regarde avec des yeux de froideur, des yeux de haine, des yeux de destruction, prêt à arracher votre âme pour l’amener dans l’abîme de la douleur éternelle.
Ô, mes enfants d’amour, je crie en vous :
«Soyez vigilants, entrez en vous dans la lumière.»
J’éclaire votre intérieur pour vous dire : «Tu es à moi. Je t’ai donné ma Vie, elle est à toi.
Donne-moi ta vie, donne-moi ton oui dans un abandon total; je vais te protéger contre les ruses de Satan, du Trompeur, et ceux que tu aimes autour de toi, donne-les-moi, et parce que tu acceptes de t’abandonner,
je vais passer par toi pour les aider afin qu’ils sachent que je les aime, que je les veux, même s’ils ont refusé de se voir en enfants de Dieu, tout petits».
Je suis l’Amour, ce temps est un temps d’amour, un temps de lumière pour vous.
Je parle dans vos cœurs, je parle à votre âme, elle sait qu’elle est mon épouse; elle vous supplie, votre âme, d’écouter la voix en vous.
C’est à vous de prendre la décision de vous abandonner.
C’est à vous de me donner tous ceux que vous portez en vous.
Je vous prépare pour que vous soyez des enfants de la Lumière.
Votre temps est votre temps de purification.
Accepter que Dieu vous dise que vous avez en vous un ‘moi’ qui vous a fait souffrir, c’est accepter votre purification; accepter que vos amis, que vous connaissez, sont dans le Nouvel Âge : c’est votre purification;
dire à un enfant que Dieu l’aime tel comme il est, c’est lui dire que vous l’aimez tel comme il est.
Voyez-vous, ce temps vous amène à vous connaître en vous : vous avez tant commis d’erreurs! Votre volonté humaine a accepté de vivre dans le mal, votre volonté humaine a aussi accepté de vivre en Dieu, car, voyez-vous, vous ne seriez pas ici en ma Présence de voix.
Vous avez dit oui et c’est moi qui vous ai amenés ici : ce n’est pas vous, c’est l’Amour.
Accepter que l’Amour vous fasse faire des pas, c’est accepter de vous connaître tels comme vous êtes.
Dieu ne parle pas pour vous punir.
Lorsque quelqu’un vous parle et vous dit : "Tu sais, lorsque tu as pris ton repas et que tu as continué à manger alors que tu n’avais plus faim, tu t’es rendu malade!" Cette personne vous parle ainsi parce qu’elle vous aime! Elle ne vous punit pas, elle vous fait savoir que votre douleur vient de votre nourriture en trop.
Dieu est ainsi, Dieu est amour, Dieu aime reprendre ses enfants afin qu’ils viennent vers lui parce que Dieu est amour.
Il veut combler son enfant, il veut lui donner ce qu’il y a de meilleur pour lui : la vie éternelle.
J’ai traité mes enfants de cette façon avant votre venue en ce monde et mon Père a traité ainsi ses enfants avant ma Venue en ce monde : vous êtes tous les enfants de Dieu.
Depuis Adam et Ève, Dieu a fait voir à ses enfants qu’il y aurait un bonheur éternel, et ce bonheur est en vous : je suis, moi, votre bonheur; je suis la Vie.
Tout est vivant en moi et lorsque vous acceptez de venir en moi, vous acceptez votre bonheur.
Soyez amour pour vous, soyez amour pour ceux que vous portez.
Ce temps vous fait découvrir qui vous êtes.
Amours, je vous aime et je vous veux pour l’éternité.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit :
Dieu nous demande de nous signer parce qu’il nous bénit en nous.
Dieu nous envoie sa présence, sa présence dans son fils consacré.
Merci, Dieu d’amour.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Avec humilité, Dieu me demande de partager avec vous son agir.
Je suis avec lui à chaque instant. Oh! il m’a fait savoir que c’était depuis même avant ma naissance.
Mais, il y a des moments dans notre vie où on en prend conscience, c’est dans des moments comme ce soir : d’avoir ici présent un prêtre est une joie pour nous.
Jésus est tellement présent en son prêtre, car le prêtre est en lui : il est en le Christ; alors, nous avons la présence de Jésus en le prêtre : ‘merci mon père’.
Il est en nous; il me le dit, mais c’est différent : nous, on est en lui comme des petits enfants qui avons besoin de se laisser prendre par lui, de se laisser nourrir constamment par lui, et c’est pour ça qu’il nous apprend.
Et il m’apprend à aller toujours vers le prêtre pour aller chercher ses grâces que j’ai besoin dans les sacrements.
Ce temps est un temps de découvertes, pas parce qu’on ne le savait pas, on sait depuis qu’on est tout jeune qu’on doit aller vers les prêtres pour recevoir les sacrements, mais là c’est plus profond.
Quand on entend Jésus nous dire ces choses, là à l’intérieur de nous :
on découvre la vraie valeur de ce qu’il nous a donné sur la terre.
Quand il nous a donné le Saint-Esprit : il a laissé couvrir ses apôtres, à ce moment-là, il nous a donné sa Présence en les prêtres.
Ce sont les évêques, les apôtres, mais les prêtres, eux, sont les dérivés des évêques : ils doivent obéissance aux évêques et nous, nous devons obéissance aux prêtres, et c’est seulement par le prêtre qu’on peut recevoir cette nourriture si chère à notre âme : les grâces; c’est sûr, qu’on aimerait bien ça passer par les évêques, mais chacun doit être à sa place : on est bien gâté! Mais, il faut prendre conscience que nos âmes sont en souffrance : oui, nos âmes souffrent parce qu’aujourd’hui, en l’an 2003, on ne croit plus aux valeurs de l’Église, aux valeurs des sacrements et même certaines personnes, qu’on porte en nous, parlent contre les trésors que Dieu a mis autour de nous, et ça, notre âme en souffre.
Parce qu’on porte Jésus, il m’a dit qu’on porte tous nos frères et nos sœurs à l’intérieur de nous; alors, quand des frères et des sœurs parlent contre l’Église, il dit : «Parler contre l’Église, bien, c’est parler contre les prêtres.»
Voyez-vous l’importance des prêtres? Quand on parle contre l’Église, automatiquement, on parle contre les prêtres;
alors là, ça veut dire qu’il faut prendre conscience :
comment c’est important des prêtres!
Et ça, c’est l’œuvre de Satan! Et c’est lui qui nous trompe, alors, il trompe nos frères et nos sœurs : et nous, on les porte! Et lorsqu’on parle contre nos frères et nos sœurs, nous qui nous disons très pratiquants, eh bien! encore là, on pèche contre l’Amour, on pèche contre l’Église! Voyez-vous, Satan est tellement subtil, tellement trompeur, qu’il se sert de tous les moyens pour nous tromper, même de celui-là!
Il faut découvrir vraiment qui est Jésus.
C’est pour ça qu’il a tant de mots ‘amour’ dans son livre un : il y en a de l’amour, il y en a à toutes les lignes; et dans une ligne, quelquefois, on peut en trouver beaucoup plus que trois, quatre quelquefois, mais ce n’est pas de la répétition; chaque mot amour a une signification.
Il faut rentrer ça dans la profondeur de notre être pour essayer de le comprendre.
En premier, ce n’était pas évident pour moi de tout comprendre ces mots qu’il écrivait : j’entendais, mais que j’écrivais alors que je n’arrivais pas à comprendre tous les messages du Seigneur, c’est seulement entre ses écrits qu’il me donnait des enseignements : là, j’ai entré tranquillement; il m’a comme laissé couler dans son amour sans me forcer.
Puis, c’est devenu beaucoup, beaucoup plus clair!
Alors, c’est ce qu’il faut découvrir, il faut se laisser couler en Jésus
pour découvrir qui il est : l’Amour.
Parce qu’un autre prêtre me disait cet après-midi; il a dit : "L’amour de Jésus n’est pas le nôtre; il n’a pas la même saveur; il n’a pas la même signification que nous, les humains : que nous!"
C’est vrai, nous, on pense avec notre volonté humaine, mais Jésus, lui, il est divin.
Alors, c’est ce qu’il veut nous faire comprendre avec des mots bien bien simples.
Il l’a expliqué dans son Évangile, mais, moi, je n’arrivais pas à comprendre l’Évangile comme je l’aurais voulu.
J’ai lu l’Ancien Testament! Ça me fascinait parce que je trouvais que c’était beau : c’était comme un roman, tu sais, des belles histoires : là, c’était tellement beau! Je le faisais quand mon mari écoutait son hockey; alors, je me mettais des bouchons (dans les oreilles) puis, là je pouvais lire mon Testament : l’Ancien.
Mais ce qui est de la Bible elle-même, mais là, j’allais à la messe à tous les dimanches, j’écoutais; on écoute l’évangile, et c’est les paroles de Jésus; mais je n’arrivais pas à les comprendre! Non, parce qu’aujourd’hui, quand j’entends Jésus me parler : Ah! Seigneur, je n’avais vraiment pas compris, hein? Parce que je n’ai pas l’instruction que certains prêtres ont; moi, je ne l’ai pas! Mais j’ai été en neuvième année, ça été très simple! Puis mon père et puis maman, c’était des québécois; maman a fait – ah! je le dis, ah! là, elle sera pas contente : (elle dit à Dieu ce qui monte en elle) – elle a fait sa quatrième année; c’est pas beaucoup! Puis papa, c’est pareil, je pense; je ne sais même pas s’il l’a fait sa quatrième, je ne pense pas! Puis quelques filles, bien, il nous a fait retirer de l’école assez de bonne heure pour aider maman; treize enfants à la maison : alors les filles, rendues à un tel âge, demeuraient à la maison pour faire du ménage.
Puis mon père, il disait – ‘ah! Papa d’amour’ (elle entend Dieu lui dire de dire ce qui est venu en elle par le
Saint-Esprit) – il disait : "Une femme, c’est bon à la maison!" Alors, quand j’ai voulu poursuivre des études, comme ça ne faisait pas l’affaire à papa, maman a tenu bon, alors, j’ai pu aller faire ma neuvième, mais commerciale, pour faire une coiffeuse.
Puis même au milieu de l’année, en huitième, oui, il fallait que je reste après la classe pour pouvoir comprendre ce qu’il disait, parce que je n’aurais pas passé mon année : alors, de quatre heures à cinq heures, je demeurais à l’école pour pouvoir comprendre ce qu’il me disait parce que le lendemain je n’aurais rien compris! Mais, là alors, j’ai été dans mon commercial de justesse! Alors, voyez-vous que lorsqu’on écoute l’évangile, c’est quelque chose hein!
Je ne sais pas si vous, vous avez pu la comprendre, mais moi, je n’y arrivais pas; je savais que mon âme se nourrissait : ça c’est important! Ma présence à l’église est très, très importante : ça, je l’ai compris, et c’était pour mon âme.
Et, aujourd’hui, Jésus est venu parler à l’intérieur de moi, mais avec des mots simples.
C’est vrai qu’en premier : «Moi en toi, toi en moi», après, il a commencé à parler : «Moi en le Père, le Père en moi», alors je faisais des petits dessins.
Imaginez-vous! Il parlait de la Présence, alors je faisais un bonhomme : un dessin, là je lui faisais un cœur et là quand il disait : «Moi», là je faisais un petit, petit cœur; puis là il disait : «Tu es en moi», là j’en faisais un autre petit;
puis là pour comprendre que tous les enfants étaient en moi, ah! mais là, il fallait que je les fasse; mais ça pris une couple de fois afin que je puisse bien comprendre ce qu’il voulait dire, parce que c’était l’Église mystique! Ah! c’était pas aussi facile que ça à essayer d’assimiler toutes ces choses.
L’entendre : c’était de beaux enseignements, mais il y a des moments où il a fallu que j’aille faire mes petits dessins parce que lorsqu’il y avait des correcteurs – Monique, il y avait Germain – ils posaient des questions, eux autres! Ah! mon Dieu! Mais là je le savais, le Seigneur me l’avait expliqué! Alors, avec mon dessin, je leur disais : Regardez ça, j’ai fait mon dessin; là c’est comme ça que le Seigneur veut, c’est comme ça… c’est cela que ça veut dire la Présence en la Présence.
C’est comme ça que j’arrivais à l’expliquer.
Et là, ça a commencé à avancer et c’est plus facile pour moi aujourd’hui à comprendre ce qu’il veut dire, et c’est tranquillement qu’il nous fait avancer, comme ça.
Le deuxième, pour moi, m’a semblé plus facile : on a entré dans notre volonté.
Ça veut dire qu’il nous explique notre volonté humaine, puis il veut nous expliquer aussi comment s’abandonner et renoncer à tout ce qui nous a nui dans notre vie humaine, et c’est ce qu’il fait dans le deuxième.
Pourquoi on se met en colère? Pourquoi on s’obstine? Et tout ça, il y a des raisons et ça, il explique que c’est depuis Adam et Ève et ça part de loin là, depuis le péché! Alors, chaque personne a comme accumulé en elle des défauts, des manies qu’elle a développées, sa perception de voir les choses; alors elle a comme gardé en elle des ombres, des ombrages; on va dire des ombrages; alors, à chaque année, chaque année, on a avancé et on s’est rendu à l’an 2003.
Est-ce que vous pouvez calculer le nombre de petits ombrages qui n’ont pas été éclaircis? Je crois que chacun de nous, on a beaucoup à apprendre de Jésus.
Il vient nous éplucher, il vient éplucher notre volonté humaine.
Comment on peut dire un oui à l’Amour, si on n’arrive pas à analyser notre volonté humaine? On va se dire : "Pourquoi est-ce que moi je renoncerais à telle chose, pourquoi je le ferais?" Si je n’arrive pas à savoir pourquoi, c’est parce que je ne suis pas capable de voir la lumière : ce pourquoi là, va toujours rester sans réponse, alors je vais le mettre en moi et je vais avancer.
C’est ce qu’on a fait depuis plusieurs années, c’est ce que nos grands-parents ont fait, nos arrières grands-parents ont fait et tous.
Pourquoi on agit d’une telle façon? On ne le sait pas.
Alors, à l’intérieur de nous, on cache des mouvements qui nous ont fait mal, qui vont faire mal à d’autres et qu’eux vont rapporter à d’autres parce qu’on élève nos enfants : alors, on élève nos enfants avec ce qu’on est et même avec ce qu’on a de caché à l’intérieur de nous qui est ignoré; alors, on le donne sans s’en rendre compte : c’est de cette façon là qu’on élève nos enfants, et on les aime, nos enfants, on ne veut pas leur faire du mal! Mais involontairement, il y a des choses cachées en nous qui nous ont fait agir d’une telle façon, sans nous en rendre compte et on les a données, comme nous on les a reçues, et c’est ce que Dieu explique.
Un monsieur me disait : Un ami est venu, il a dit : "Ce livre est – parce qu’il va y avoir plusieurs volumes – est une bombe! Et c’est en train de nous faire découvrir des choses inconnues et : oh! ça fait mal ça! On n’est pas prêt à écouter tout ça et à l’accueillir aussi facilement que ça! On ouvre, oups, on ferme ça!" Il a vu de ses amis faire ça. Il a dit : "On laisse ça."
Renoncer à des biens matériels, on n’est pas prêt à faire ça.
Renoncer à s’obstiner avec notre mari quand lui nous dit quelque chose alors que nous, on sait la vérité – on se dit savoir la vérité – est-ce qu’on est prêt à se taire? Ce n’est pas évident ça! Renoncer à élever nos enfants d’une telle façon, c’est quelque chose hein? Alors que Dieu nous dit : donnez-les-moi; faites-moi confiance. Comment je peux faire confiance moi, alors que j’ai souffert toute ma vie? Ce n’est pas aussi facile, hein?
Alors, c’est ce qu’on découvre lentement dans ces livres, et ce n’est pas aussi évident que ça, et c’est lentement, vous savez!
Quand on découvre quelque chose, puis qu’on le ferme parce que ça ne nous plaît pas à l’intérieur de nous, il y a quelque chose qui s’est passé : on a découvert quelque chose de différent que l’on ne connaissait pas.
Sur le coup, on n’a pas accepté parce qu’on a peur, mais lentement, Jésus va venir nous chercher, il va nous dire : «N’aie pas peur, viens», et c’est lentement qu’on va aller, tranquillement, découvrir ses trésors qu’il veut nous faire apprendre.
Il veut qu’on renonce à notre volonté humaine. S’il m’aurait dit ça, il y a dix ans, je n’aurais pas compris; mais, tranquillement, on m’a fait découvrir la Divine Volonté.
Ça, c’est Maman Marie, j’ai été à un pèlerinage.
Après avoir reçu beaucoup de grâces, après la mort de ma sœur Rita, pendant un an de temps, j’avais un besoin de prier, mais pas seulement dire la prière du soir, aller à la messe le dimanche, plus que ça, c’était à tous les jours!
C’était le chapelet à tous les jours, puis c’était des prières à tous les jours. J’avais découvert des prières, je les disais : alors je priais Saint Michel, alors ça augmentait.
Tout ça, jusqu’au moment où j’ai découvert aussi, en allant à un pèlerinage, des livres sur la Divine Volonté, des petits pamphlets.
Oh! Ce n’était pas grand chose, c’était peut-être, je crois que c’était des prières de la Divine Volonté de Luisa Piccarreta, là c’était tout petit, un fascicule, mais ça m’a tellement touchée! Alors, il disait de tout donner à Jésus, de tout faire en Jésus.
Alors là, je dis : "Ah! c’est tout nouveau pour moi tout ça"! alors je faisais ma vaisselle – moi qui n’aimais pas faire ma vaisselle – je faisais ma vaisselle, puis je disais : "C’est toi, Jésus, qui fais la vaisselle".
Eh bien, savez-vous que j’ai dit : – c’est quelque chose ça! – "Jésus fait la vaisselle"; alors, j’ai commencé à aimer ce mouvement-là, parce que je disais : "Hé! c’est Jésus qui l’a fait!"; alors, j’ai commencé à aimer faire la vaisselle.
Quand je passais le balai à la maison : "Jésus, tu passes le balai?"; eh bien, c’était prière! Alors je disais : "Ça, c’est toi qui le fais, Jésus?" Je passais le balai, c’était en Jésus que je le faisais.
Alors, c’était donner tout ce que je faisais : je le donnais à Jésus.
Quand je disais ça à mes filles : "Maman, c’est effronté ce que tu dis-là à Jésus; là, tu lui dis de passer le balai. Ce n’est pas correct! Puis là, tu dis de brosser les dents : Jésus, tu brosses les dents. Tu donnes tout!"
Alors là, ma fille a refusé pendant une couple de mois, pas de semaines, de mois! Elle découvrait tout ça, puis elle refusait : "Ah! maman est excessive, c’est trop!" Alors, tranquillement, je me suis laissée abandonner, et là, Maman Marie est venue me chercher : j’ai appris l’abandon total.
J’ai eu de belles odeurs de roses, des visions, et là, j’ai appris aussi que tout venait de Dieu, que je venais de Dieu.
Je me suis donnée, et c’est dans ce mouvement d’amour que mes enfants aussi ont découvert une nouvelle maman qui était plus calme, plus en paix avec elle-même.
Ils ont commencé à avoir moins peur : peur de ce qu’ils voyaient.
Quand ils voient maman, là, à genoux dans la cuisine devant une croix d’amour dire un chapelet, en dire un deuxième, aller jusqu’à un troisième : ça fait peur, hein? Parce qu’ils disent : "On ne veut pas faire comme toi, maman!" Alors, ils ont appris que Jésus demande selon ce qu’ils sont capables de donner.
Un jour, dans le Saint-Esprit, je leur ai dit : "C’est comme une grande table, il y a un grand repas; alors, il invite tous les enfants à venir manger; mais si, toi, tu veux pas manger un tel plat, puis tu veux goûter à un autre, tu es libre de le prendre! Alors, c’est comme ça que Jésus est, il te donne des grâces selon ton appétit à toi et, un jour, quand tu auras plus faim, il t’en donnera; mais il va respecter ce que toi, tu es. Tu n’as pas à avoir peur."
Alors, tranquillement, ils ont commencé à s’approcher; tranquillement et c’est avec la douceur! Et Jésus veut faire la même chose avec chacun de nous, c’est avec des oui qu’il nous veut, en respectant notre volonté humaine.
Et lorsque notre volonté humaine va être enveloppée de son amour, là, il va nous demander : «Donne-moi ta volonté humaine, je la veux pour moi.»
C’est là qu’il va nous transformer en enfant de la Divine Volonté.
Ce n’est pas parce qu’il ne l‘aurait pas fait avant, hein? C’est que c’est nous qui vont le réaliser; là, on va être prêt à dire : "Jésus, je ne veux plus vivre dans ma volonté humaine, mais je veux vivre dans ta Divine Volonté."
Et on va le faire sans avoir peur, tranquillement, dans son amour.
C’est ce qu’il fait avec chacun de nous, lorsqu’il nous fait avancer à chaque jour et qu’il nous montre son amour :
il nous fait avancer vers sa Nouvelle Terre.
Vous savez, quand il parle de sa Venue en nos cœurs, c’est en nous : on va le voir en nous, Jésus; il est présent en nous, hein? Et c’est là, on va vivre un temps d’amour où il n’y aura plus de haine en nous.
Quand? On n’a pas à le savoir! Parce que, essayer de découvrir le moment, c’est perdre son temps : le temps qu’on pense à ça, on oublie de se laisser abandonner en Jésus pour se laisser transformer par ses grâces.
Laissons à Dieu de choisir ce moment d’amour pour nous, parce que lui nous connaît et chacune des personnes qui sont en nous; là, nous, on les connaît pas ces personnes, on les porte en nous : lui, les connaît.
Alors, on doit dire un gros oui à Jésus d’amour pour qu’il nous enveloppe de son amour en nous amenant avec lui et aussi en amenant tous ceux qui sont en nous, vers son amour, dans son amour, pour l’amour de son Père.
J’ai donné à Dieu tout ce que j’ai.
Ah! je ne l’ai pas fait sans pleurer, vous savez! Je l’ai fait avec de la souffrance : cette souffrance, c’est ma volonté humaine qui en était la cause.
Alors, voyez-vous, chacun de nous, on va le faire avec sa volonté humaine : alors, il faut accepter de souffrir, mais quand c’est accompagné de ses grâces, c’est plus facile : c’est un renoncement à tout ce qu’on est, à tout ce qu’on a fait.
Quand on se détache de quelque chose qu’on a traîné toute une vie, eh bien, il faut délaisser : il faut le jeter derrière nous.
Ah! oui, Seigneur, c’est comme une vieille paire de souliers, c’est quand ils sont usés qu’on les aime : on est bien dans nos vieux souliers, mais ça ne veut pas dire qu’ils sont appropriés à tout notre corps parce que, quand on porte de vieux souliers, bien souvent ils sont tout croches, déformés; sans s’en rendre compte, notre colonne vertébrale en subit des conséquences, nos muscles, eux autres, forcent, et nos souliers, eux autres : on s’y attache et c’est une fausseté! C’est ce qu’on fait avec notre volonté humaine, on doit apprendre à y renoncer, à la laisser de côté pour se recouvrir d’une peau neuve qui est faite d’amour de Dieu, de sa Divine Volonté.
Jésus d’amour, je te remercie parce que tu mets en moi ces paroles et ces paroles sont en chacun de mes frères et de mes sœurs.
Il met tellement d’amour en moi parce que, quand on découvre l’amour de Jésus, on découvre l’amour du prochain et ça ne peut plus s’arrêter : ça continue toujours. Et c’est merveilleux tout ça! C’est comme ça qu’on va vivre dans la Nouvelle Terre : dans l’amour.
Ce n’est qu’un commencement.
Une fois, je me suis vue avancer avec des personnes que je ne connaissais pas : je les aimais tous comme des frères et des sœurs.
Je n’ai pas compris ce que j’avais vu; maintenant, je le comprends parce qu’on est tous frères et sœurs.
Tu sais, toi, (quelqu’un dans la salle) lorsque j’ai entré, je t’ai vu : je peux sentir en moi ton amour, Dieu me le fait sentir : et c’est comme ça! et c’est comme ça pour beaucoup! Dieu est un mouvement, c’est un mouvement en nous.
Il nous aime tellement qu’il laisse sortir son amour pour vous en nous et là on aime, on s’aime tel que l’on est.
Avant que je découvre ça, quand je regardais quelqu’un, je baissais les yeux : j’étais gênée ou bien je ne voulais pas la déranger.
Je disais à mes filles : "Dans le temps de Noël, ah! c’est le fun! on se dit tous bonjour."
Maintenant, on n’a pas besoin d’attendre Noël pour se dire bonjour, pour dire dans la rue quand on rencontre
quelqu’un : “Bonjour”.
C’est comme ça qu’on doit être.
C’est triste, vous savez! On se promène dans les rues, puis on voit nos frères et nos sœurs : on ne leur dit même pas bonjour! Pouvez-vous réaliser ce que la volonté humaine a fait de nous? Des êtres indépendants.
Voyons, on est tous pareils! Que ce soit une autre langue, que ce soit une autre couleur de la peau, est-ce qu’on n’a pas le même Jésus en nous? Est-ce qu’on a pas la même Maman en nous? On est tous de Dieu! Il faut s’aimer, vous savez! Ça fait mal de se promener dans la rue en regardant quelqu’un : on le regarde et là, lui s’en va bien droit.
Puis, toi, tu as le goût de lui dire : ‘Mon Dieu! mais tu l’aimes, toi!’ Petit Jésus, il me dit : «Regarde, c’est mon enfant; regarde comme je l’aime!» Là, j’ai ressenti ça en moi et à mon tour : mais je l’aime moi aussi.
Je ne peux pas m’en empêcher, c’est lui qui fait ça en moi; il fait ça tout le temps quand je vais… Une fois, j’étais au métro, on attendait quelqu’un.
Imaginez-vous tout le monde qui montait les marches; hé! là, j’attendais mon ami, il s’appelait Jean Claude, puis là on disait : "Ah là! c’est lui"; là, là, là ça doit être lui, puis on voyait le monde monter.
Hé! c’était beaucoup, puis là, là et là je bénissais tout le monde. Tout le monde avait des bénédictions : tout le monde; je les donnais au Cœur de Jésus, puis au Cœur de Marie.
Eh bien, hein! il a aimé ça Jésus, hein? Parce qu’il est arrivé deux heures en retard.
Jésus, il est amour.
Monique et moi, le soir, quand elle est à la maison, il nous fait prier dans la Divine Volonté et ces prières ne sont jamais pour moi, c’est toujours dans les “nous” : c’est toujours ensemble; alors, on prie tous ensemble : ça, c’est Jésus d’amour.
Papa d’amour est aussi d’une tendresse! Quand je prie Papa d’amour, c’est en son Fils, parce que je ne pourrais pas sans son Fils; il faut être en Jésus pour prier Papa d’amour : il se laisse découvrir et quelquefois pour me récompenser, savez-vous qu’est-ce qu’il dit? Il dit : «Viens dans ma main, je vais te bercer» puis, il me berce. C’est merveilleux! Ça m’étonne des fois d’entendre des enfants dire qu’ils ont peur de Papa parce qu’ils ont eu un père sévère : ils associent leur père au Père Éternel.
Eh bien! Papa d’amour, il est maternel aussi : il est paternel et maternel! Alors, si quelqu’un vous dit ça, vous lui direz : "Va voir son côté maternel, puis laisse-toi bercer par lui parce qu’il est plein de tendresse, il est plein d’amour pour nous!"

Merci.

Il a dit : «Voilà, ça suffit, ma fille.» Merci.
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Message par Her Mar 17 Mai - 9:31

Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Iberville, Québec,
par son instrument la Fille du Oui à Jésus

2003-04-25

Jésus : Je suis avec chacun de vous : j’appartiens à mon Père, je suis en mon Père du Ciel, chacun de vous devez être en moi, Jésus. Cette enfant du oui appartient à Jésus : nous, la Divine Volonté, l’avons choisie afin qu’elle soit totalement abandon d’elle-même pour donner à Dieu tout d’elle, afin d’apporter à tous ceux qu’elle aime la
Présence : je suis la Présence.
Par son consentement, elle s’est donnée totalement : mes enfants d’amour, la voix n’est que l’instrument.
Ce qu’elle entend en elle est la Présence, je lui parle : elle entend dans son être ces mots en elle; par la puissance du Saint-Esprit, elle peut entendre ma Voix.
Mes enfants d’amour, chacun de vous avez en vous la Présence.
Vous êtes tous en présence de Dieu, en la présence du Fils et de Dieu le Père qui est en moi.
C’est que Dieu parle, Dieu agit, Dieu est l’Amour.
Ce monde, mes enfants, doit savoir qui il est.
Mes enfants, il y a autour de vous des enfants qui ne se reconnaissent pas amour; ils vivent leur vie en voulant ignorer la présence même de Dieu en eux : ils veulent vivre pour connaître des plaisirs; ils ne veulent pas s’empêcher de faire leur volonté comme ils l’entendent; s’ils venaient écouter la Parole de Dieu, cela pourrait entraver leurs agissements, et pour ne pas interrompre ce qu’ils connaissent, ils ne viennent pas à moi; ils ne veulent pas écouter mes enfants de la Lumière, ils font des objections : ils disent que cela n’est pas vrai; ils ne veulent pas s’abandonner, car qui s’abandonne reçoit des grâces; ils ne veulent rien comprendre :
comme cela, ils n’ont pas à se donner une conscience.
Mes enfants, bien que ces enfants ne veulent pas s’arrêter : je suis en eux, je vis en eux; ils sont en chacun de vous, vous qui êtes en présence de voix.
Vous qui êtes des enfants qui vous vous abandonnez pour faire la Volonté de Dieu, vous voulez apporter à ce monde l’espérance, la lumière, la joie; vous voulez leur dire : "Viens, on parle de Dieu. Viens, cela te fera découvrir que Dieu t’aime."
Mais ces enfants ne sont pas prêts : ils n’ont pas encore découvert leur intérieur; ils ne vivent que de leur extérieur; ils ne veulent pas s’arrêter, et vous, mes bien-aimés, vous voulez les guider vers le droit chemin qui les amènerait à connaître Dieu vivant en eux.
Mes enfants, ce temps que vous vivez a été préparé pour vous,
afin que vous soyez des enfants de la Lumière.
Je veux vous transformer en enfants d’amour.
Je veux que vous soyez soumis à l’Amour.
Tous ceux qui se donnent se laissent envelopper du Saint-Esprit,
et Dieu leur fait découvrir sa tendresse, sa miséricorde.
Je suis un Dieu qui pardonne à tout enfant qui veut se reconnaître pécheur.
Je donne à celui qui vient vers moi demander pardon et pour ceux qui demeurent éloignés de moi, je donne à mes enfants de la Lumière des grâces, pour qu’ils s’abandonnent, pour qu’ils prient pour ces enfants qui sont loin.
Vous êtes avec moi, vous êtes mes bien-aimés; eux aussi sont mes choisis, mais ils retardent à venir à moi.
Et mon retour dans les cœurs est très près, mes enfants;
il va bientôt se laisser voir en chacun des enfants de la terre.
Il faut vous laisser transformer par Dieu.
Je veux faire de vous des enfants prêts à aider ceux qui retardent, car eux auront à se laisser enseigner, car je parlerai en vous.
Je vous dirai les mots qu’ils veulent entendre : ces mots seront une nourriture pour eux, car lorsque viendra le moment où ces enfants verront l’agir de Dieu, ils voudront savoir qui est l’Amour :
Dieu de miséricorde, Dieu qui pardonne, Dieu de tendresse, Dieu de douceur.
Mes amours, laissez-vous prendre par le mouvement de Dieu qui veut vous faire connaître votre intérieur.
N’ayez crainte, je connais tout de vous.
Chaque jour est un moment de découverte où vous laissez Dieu vous faire connaître votre vie.
Je suis l’amour en vous, vous êtes mes bien-aimés :
chacun est en union avec ses frères et ses sœurs du monde entier.
Lorsque vous voyez à la télévision des enfants dans la souffrance, mes amours, offrez-les-moi, donnez-les-moi.
Je sais que vous priez, vous, mes enfants choisis, mes enfants de la Lumière : alors donnez-vous pour eux qui souffrent, qui ont peur, qui ont perdu toute espérance dans le bonheur, dans la joie, dans une vie éternelle.
Eux ne croient plus à un Dieu, ils ne se voient que dans un monde où tout est pour chacun.
Le monde n’est plus amour, il ne vit que pour lui-même; il ne peut percevoir
en lui l’amour, car il a mis sur lui une armure de froideur.
Ô amour, ne sais-tu pas que je t’aime ? Ne sais-tu pas que je te veux en moi ? Je me suis donné pour toi.
Ô monde indigne de mon amour! Regarde-moi sur la Croix, les bras étendus, te suppliant de pénétrer en mon Être.
Viens puiser les grâces qui te feront voir qui tu es; ne te laisse pas mourir, viens en toi : là où est la Vie, là où je suis.
Ne laisse pas ceux qui ont répandu des faussetés t’induire en erreur, ne te laisse pas prendre dans le jeu de Satan : il existe, il est vrai.
Ô toi, qui ne cesses de te regarder, tu te vois dans ton intérieur rempli de déchets; réveille-toi, car je suis là parmi tout ce que tu as idolâtré.
Ton matériel ne t’apportera pas la vie éternelle, car lorsque tes jours s’achèveront, tu ne pourras pas te protéger avec ce que tu as accumulé, car seul, toi, tu te présenteras.
Je te demande, ô monde, de t’aimer.
Mes enfants d’amour, je vous supplie, offrez-vous pour eux, les enfants de ce monde.
Donnez-vous, offrez-vous, ne calculez pas vos agissements.
Si un enfant agit d’une telle façon, pas comme vous, vous le voulez : ne le jugez pas, offrez-le-moi, demeurez des enfants d’amour, des enfants de la Lumière : un enfant de la Lumière ne voit que l’amour de Dieu; il n’a pas à regarder ce que moi j’ai purifié par mon Précieux Sang : il doit me l’offrir sur l’autel.
Je parle à chacun de vous et je parle à tous ceux que vous portez en vous.
Oh! enfants choisis, donnez-vous dans l’amour, aimez-vous, portez-en vous
tous ceux qui vous font souffrir, tous ceux qui font souffrir mon Église.
Mes prêtres sont calomniés, mes religieuses sont pointées du doigt, mes religieux sont bafoués.
Vous, mes enfants de la Lumière, vous n’avez pas à juger mon Église, même si elle a commis des erreurs, même si sa conduite n’est pas à la hauteur de mon Évangile.
Je suis Dieu de miséricorde, je suis l’Amour : je me suis donné pour chaque enfant de la terre; qu’il soit dans mon Église, qu’il soit dans une secte, qu’il soit athée, qu’il soit incrédule : il est mon enfant; je me suis donné par amour pour lui pour prendre tous ses péchés.
Chaque enfant est un choisi, je le porte en moi, il est mon amour.
Vous, soyez amour pour vous; soyez amour pour tous ceux que vous portez; soyez donation tout comme ma Mère.
Elle s’est donnée, elle a connu mon Sacrifice dès ma naissance, elle a tout gardé dans son Cœur : elle a souffert et elle a donné.
Soyez comme le Cœur de ma Mère, il a été dans la souffrance : elle a vu ses enfants.
Par moi, elle a connu la douleur du péché : elle a souffert avec son Fils pour tous les péchés du monde.
Je vous demande, mes enfants, d’aller puiser dans le Cœur de ma Mère
les forces qui vous aideront à ne pas tomber dans le péché.
Ces temps sont des temps d’amour, des temps de grâces, mais aussi des temps de douleurs, de souffrances, car lorsque vous voyez autour de vous vos enfants, vos frères, vos sœurs : vous souffrez, car vous voulez qu’ils soient sauvés; vous voulez qu’ils prient, et lorsque vous voyez vos églises vides : votre cœur souffre, car il est en union avec le Cœur de ma Mère, avec mon Cœur : mon Cœur divin.
Vous êtes en moi, vous vivez tous unis en le Christ, vous êtes en union d’amour.
C’est parce que vous êtes en moi, avec vos frères et vos sœurs, c’est pour cette raison que vous souffrez; mais votre souffrance, lorsqu’elle m’est donnée, est accompagnée de grâces.
Vous pouvez, mes enfants, donner à Dieu beaucoup.
Cela se fait par amour, dans l’amour, avec l’Amour : sans moi, vous ne pourrez rien.
Aucun d’entre vous ne pourrait donner de l’amour à vos frères et à vos sœurs que vous portez, sans moi, sans mes grâces, sans ma Présence.
Mes amours, je suis Dieu de miséricorde, je vous demande de faire en vous un examen de conscience.
Regardez en vous, s’il y a un pardon qui n’a pas été prononcé, aussi petit soit-il, il faut le donner à Dieu.
Lorsque vous allez faire cet examen de conscience, je vous demande de prendre tous vos frères et vos sœurs du monde entier et de porter en vous leurs manques de pardons.
Oui, mes enfants, je veux, par votre oui, prendre en vous tous les pardons qui n’ont pas été donnés; je les veux en moi afin que je puisse présenter à mon Père tous ces pardons qui n’ont pas été donnés.
Vous, mes amours, vous pouvez faire ce mouvement dans la Divine Volonté : me le présenter; il sera grâce pour vous et il sera grâce pour tous vos frères et vos sœurs que vous portez en vous.
Je suis la Miséricorde.
Je veux toutes vos demandes en moi afin de vous accorder ma miséricorde : la grâce du pardon.
Voyez-vous, combien de frères et de sœurs en vous ne savent pas dire : pardon, Jésus, nous t’avons offensé; pardon Marie, nous t’avons causé de la peine; pardon à toi qui m’as fait de la peine, toi, mon frère, toi, ma sœur, toi, mon enfant.
Vous portez, chacun de vous, ces pardons en vous; donnez-les-moi et lorsqu’ils seront en face de l’Amour, ces grâces seront en eux : ils auront la force de demander pardon à leur tour.
Voyez-vous, mes amours, vous pouvez donner à Dieu les pardons
que vous portez par votre oui à l’Amour.
Tout est offrande : lorsque vous assistez à la messe, au moment de l’offertoire, donnez-moi cette offrande qui est en vous : Dieu fera pleuvoir des grâces de miséricorde sur tous les enfants de la terre.
Oh! mes enfants, je suis si amoureux de vous! Il n’y a pas de plus grand amour que de se donner : donnez-vous comme je me suis donné, donnez-vous comme ma Mère s’est donnée : soyez donation.
Je suis la Présence qui vous le demande : tout ne sera que bonheur pour vous.
À vous seuls de choisir, à vous seuls de savoir si ce que vous venez d’entendre est pour vous; vous êtes les seuls, mes enfants, qui avez ce oui en vous; vous êtes les seuls, mes enfants, qui portez en vous aussi des non.
La grâce passe et c’est à vous de savoir si vous la voulez, si vous voulez la partager.
Ce monde est très froid, il est calculateur, il ne veut pas partager, il empêche même certains de mes enfants de donner.
Par des lois, il interdit le partage disant que cela ferait une entrave à l’économie.
Oh! mes enfants d’amour, voyez ce monde dans lequel vous vivez : il empêche mes enfants, qui veulent donner, de donner.
Peut-on concevoir un geste qui interdit le partage? Il n’y a que l’ennemi de l’Amour qui peut faire ce geste.
Priez, mes enfants, pour les dirigeants, priez pour eux afin qu’ils voient la lumière en eux,
afin qu’ils sentent que leur geste n’est pas amour.
Ce qu’ils sont devenus, c'est à cause du mal : le mal dirige, car lorsqu’on empêche des enfants de nourrir des enfants, cela n’est pas amour, et lorsqu’on se met en arrière des lois, ne voulant pas nuire à l’économie du pays au détriment des pauvres, cela, mes enfants, n’est pas amour.
C’est dans la prière que vous allez leur donner ce que vous recevez : des grâces d’amour, des grâces de partage.
Et vous, mes enfants, qui priez, vous qui vous dites des enfants de prière, de lumière, d’abandon, lorsque Dieu vous demande de ne point juger vos frères et vos sœurs, soyez aussi dans le mouvement de l’Amour, car lorsqu’on parle contre un ou contre un autre : cela empêche les grâces de se répandre, empêche l’âme de se nourrir;
l’âme a besoin de grâces, a besoin de nourriture, c’est Jésus qui la nourrit.
L’âme est l’épouse de Jésus, et c’est votre oui qui fait en sorte que l’âme peut recevoir des grâces : des grâces d’amour, des grâces de partage pour vos frères et vos sœurs que vous portez en vous.
Si vous venez prier en ayant en vous des non, Dieu attend que vous redeveniez des enfants de donation, car, voyez-vous, je connais votre intérieur : vous ne pouvez rien cacher à Dieu.
Dieu vous aime, si vous gardez en vous des non, moi, par vos prières, je vais vous donner des mouvements d’amour afin que vous vous reconnaissiez tels que vous êtes.
Il faut vous donner comme moi je me suis donné : dans un abandon total.
Soyez à l’exemple de ma Mère, soyez amour.
Ne croyez pas que je ne sois pas au courant de vos objections lorsque vous dites que cela est faux, que cela n’est pas de Dieu : laissez-moi être le seul juge de mes enfants.
Portez en vous tous vos frères et vos sœurs et, si cela est souffrance pour vous, donnez-moi tout : je suis l’Amour, je veux vous combler, je veux vous donner des grâces d’abandon en la Divine Volonté.
Tout est amour en vous; à vous de vous reconnaître dans ce mouvement en faisant tout ce que Dieu attend de vous.
Ne portez pas en vous des mouvements qui pourraient empêcher mes grâces de nourrir votre âme : elle est amoureuse de son Époux; votre âme a besoin de moi, elle a soif de moi.
Soyez mouvement dans mon mouvement.
Venez en vous avec votre oui : comme un enfant, sans plus; ne compliquez pas votre vie : soyez des enfants simples; j’accorde tant de grâces à mes tout petits enfants! Beaucoup d’enfants reçoivent de l’amour, ils sont en Dieu dans l’amour.
Soyez dans ce mouvement, vous aussi : tout est en Dieu.
Enfants d’amour, Dieu est la Miséricorde; par les mains consacrées de mon saint fils,
je veux faire pleuvoir sur vous et sur les enfants que vous portez des grâces de lumière.
Amen.
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Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui - Page 2 Empty Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui

Message par Her Mar 17 Mai - 9:32

Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Chertsey, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

2003-05-03

Jésus : Amours, vous êtes en moi, je suis en votre présence : tout est dans la Volonté de Dieu.
L’Amour s’est donné à vous, il habite votre intérieur : il se fait agissant pour vous et pour ceux que vous portez en vous.
Par la puissance de l’Amour, Dieu vous fait savoir que vous êtes des enfants de Dieu.
Dieu veut se donner, il veut se faire connaître parce que les enfants de ce monde sont ignorants de ma Présence en eux.
Ils se croient maîtres de leur vie, ils se laissent prendre par le mouvement d’un monde sans foi.
Ils ont laissé de côté l’amour de Dieu, car lorsqu’on ne suit pas les commandements : on ne peut percevoir l’amour qui est en chacun des enfants de ce monde.
Ils auront beau s’acheminer dans leur vie extérieure : ils n’y trouveront que vide, car tout est en eux.
Tout est vie en eux, je suis là, moi : je suis la Vie, c’est moi qui les tiens en vie.
Je suis l’Amour même de l’Amour : je me suis donné à eux afin qu’eux soient vivants.
J’ai porté en moi tout ce qui n’était pas amour et je l’ai amené à la mort : j’ai donné ma Vie par amour.
Il faut que ces enfants se reconnaissent en moi.
C’est pourquoi, mes enfants, je vous demande, à vous, de vous donner, de faire de vous des instruments d’amour en ne cherchant pas à faire de vous des enfants qui veulent faire connaître votre volonté auprès d’eux.
Mes enfants, combien d’enfants qui prient veulent convertir leurs frères et leurs sœurs avec leur volonté humaine?
Cela ne peut se faire car, voyez-vous, ces enfants vous regardent : ils voient en vous des êtres comme eux avec les mêmes défauts; ils ne peuvent voir en vous votre donation en Dieu, car tout est en vous.
Lorsqu’ils vous regardent, ils perçoivent des gestes comme eux, des paroles comme eux disent; ils ne sont pas prêts à écouter vos recommandations.
Mes enfants d’amour, moi, Dieu, je dépose en vous des grâces d’amour, des grâces d’abandon afin que vous vous donniez à moi, Dieu, et moi, mes amours, je vous prends, je me sers de vous pour aller à mes enfants qui ont oublié que je vis en eux, que je suis vivant en eux.
Par moi, vous êtes vivants et, par moi, je veux leur montrer qu’ils sont eux aussi vivants.
Vous, vous avez fait votre cheminement en découvrant que vous êtes des choisis.
Vous avez dans votre passé commis des impuretés.
J’ai été en vous; j’ai attendu que vous acceptiez mes grâces d’amour; j’ai usé de patience parce que je vous connaissais; je connaissais vos faiblesses et je connaissais votre amour pour moi; je connais aussi en ces enfants l’amour caché en eux : c’est parce que je suis en eux, parce que je vis en eux, tout comme je suis en vous et que je suis vivant en vous.
Je vous ai nourris de ma Vie, tout comme je les tiens en vie, par ma Vie.
Mes enfants, ce temps que vous vivez est un temps de lumière pour vous qui avez accepté la Lumière.
J’ai fait aussi ce même mouvement en eux, mais eux ont entré profondément dans leurs habitudes de tout faire pour eux, de tout accomplir par eux-mêmes : alors, ils ne voient plus maintenant que leurs gestes.
Ils ont beau voir que vous, vous priez, cela ne fait que les déranger : ils ne peuvent plus comprendre vos moments d’amour avec votre Dieu; ils ne peuvent plus saisir pourquoi tant de prières, car, pour eux, c’est un temps de perte : ils ont autre chose à faire que de prier, car tout autour d’eux montre un monde de plaisirs extérieurs : ils se préparent à des festivités, ils commencent à mettre de côté leurs habits d’hiver, ils regardent leurs vêtements plus légers qu’ils se préparent à mettre pour s’amuser à l’extérieur de leur maison.
Oh! mes enfants d’amour, moi, je vous demande, à vous, mes enfants de lumière,
de ne pas vous dévêtir de ma Présence.
Je vous couvre de mon amour, je vous réchauffe de ma tendresse, car je vous prépare à entrer dans ma Nouvelle Terre : là où tout ne sera que beauté, où tout resplendira d’amour.
Eux, mes enfants, sont encore dans la noirceur : ils ne vivent que de leur extérieur, ils n’ont pas vu en eux la lumière; ils ne peuvent se réchauffer de ma Présence puisqu’ils ne sont qu’extérieurs d’eux-mêmes; ils ont si peur de s’ennuyer : ils ne peuvent pas concevoir une vie en présence de Dieu.
Et vous, mes enfants de la Lumière, qu’importe l’hiver, qu’importe la chaleur de l’été :
tout ce qui compte pour vous, c’est la présence de Dieu.
Vous voulez vivre en Dieu, car vous savez que chaque saison vous rapproche de l’événement auquel je vous prépare.
Voilà la raison pour laquelle vous aimez que le temps avance.
Vous avez en vous ce désir, ce besoin de vous donner à Dieu.
Il est là le temps de l’amour pour vous, car lorsque l'on découvre que donner à Dieu sa vie est une joie, est une
paix :
tout de vous devient amour.
Vous portez en vous les enfants qui n’ont pas en eux la lumière, car ils la refusent; ils se croient remplis que d’eux-mêmes, sans moi.
Vous, vous savez que je vous habite, vous êtes conscients de ma Présence : portez-les, aimez-les, donnez-vous à eux, ces enfants, en passant par moi, que par moi; vous ne pouvez plus les atteindre, car ils ont fermé la porte à votre présence qui leur rappelle que vous, vous êtes en présence de Dieu.
Ils se donnent eux-mêmes leurs propres souffrances, car lorsqu’on refuse la compagnie d’enfants qui sont joie,
paix : c’est eux qui en souffrent.
Vous, vous savez que vous les portez; vous savez que vous êtes des enfants de Dieu, qu’en vous il y a l’Amour et que la paix est en vous.
Eux cherchent à l’extérieur ce que vous, vous avez trouvé en vous.
Mes doux amours, je vous parle ainsi pour vous faire comprendre que vous vous laissez transformer par ma Présence en vous, que je vous prends, que je vous fais enfants d’amour.
Voyez, combien d’entre vous ressentent ma Présence? Combien d’entre vous perçoivent Dieu Amour? Je me laisse prendre par vos désirs : oui, mes enfants, vous voulez de moi, vous avez ce besoin de vous sentir en ma Présence; vous êtes des enfants qui découvrent que Dieu est présent, que Dieu agit en ce moment d’amour, car vous avancez vers ma Nouvelle Terre :
je vous rassemble dans mon Cœur et vous ne faites qu’un.
Bien que j’utilise cette enfant pour vous parler, vous, mes doux amours, je suis en vous comme je suis en elle.
Je suis agissant en vous comme je suis en cet instrument qui vous parle; je n’ai pas de distinction entre mes enfants de la Lumière :
vous êtes tous égaux.
Ce temps est un temps d’amour, un temps de grâces : ma Mère vous a préparés.
Depuis plusieurs années, elle vous demande des prières; elle demande aussi des sacrifices, des jeûnes; elle vous demande d’assister à la messe, de pratiquer les sacrements, de porter sur vous des objets bénis.
Et combien d’entre vous l’ont fait?
Malgré votre difficulté à prier avec le cœur, elle vous tient dans son Cœur.
Je vous prends en moi, vous êtes mes enfants : je vous prends avec vos défauts, vos difficultés, parce que je vous aime tels que vous êtes.
Regardez-vous, vous avancez vers ma Nouvelle Terre à votre rythme, car je respecte votre liberté;
je vous prends tels que vous êtes et, lentement, je vous transforme en enfants de la Lumière.
Mes amours, dans votre acheminement vers moi : vous prenez en vous les enfants incrédules; vous prenez en vous les enfants ignorants de mon amour; vous prenez en vous les récalcitrants; vous prenez en vous ceux qui se refusent, car lorsqu’on refuse Dieu : on se refuse à l’Amour;
et parce que vous les avez en vous, eux aussi avancent vers ma Nouvelle Terre.
Combien d’entre vous en ce moment même souffrez? Parce que vous portez vos frères et vos sœurs, parce que vous les aimez, et cela ne peut venir de vous, que de moi, de la Présence, je déverse en vous des grâces : des grâces de lumière, des grâces d’amour, des grâces d’abandon en ma Divine Volonté; vous n’êtes pratiquement plus dans votre volonté humaine, mais dans ma Volonté, malgré que je per(çoive) encore en vous des jugements envers mes enfants choisis, malgré que je per(çoive) encore en vous des doutes sur votre mission.
Mes amours, je connais chacun de vous, je ne puis arrêter mes grâces,
même si certains de mes enfants choisis sont des calculateurs.
Vous savez, vous avez vécu avec votre volonté humaine depuis votre naissance et vous avez en vous vos parents, vos arrière-grands-parents; vous portez en vous vos frères et vos sœurs qui eux aussi portent leurs parents, leurs grands-parents : c’est la volonté humaine qui est en eux.
Si vous, mes enfants de la Lumière, vous portez encore des défauts : c’est que vous traînez ce poids qui est la volonté humaine.
Je vous en supplie, ne vous jugez pas entre vous.
Si vous percevez un défaut chez votre frère ou chez votre sœur : donnez-le-moi, je l’ai porté ce défaut.
Aimez-vous : moi, je vous aime, je connais ce défaut puisque je l’ai porté, puisque j’ai souffert, puisque je l’ai purifié de mon Précieux Sang; si vous avez de la difficulté à pardonner ou à oublier, ou de la difficulté à me le donner : n’oubliez pas que je suis en cet enfant; n’oubliez pas que je vous soutiens dans votre faiblesse et je le soutiens dans sa faiblesse; je suis le seul qui ait porté tous les péchés : je suis le Fils bien-aimé du Père, en moi, il a mis toutes ses complaisances.
Aucun de vous n’aurait pu donner à mon Père ces enfants;
seul le Fils le pouvait, car il a porté tous les péchés.
Voyez-vous pourquoi il faut tout me donner? Lorsque vous me donnez tout, vous gardez votre paix.
Vous savez qu’un jour vous allez vous juger, et lorsque vous avez en vous votre paix : vous savez aussi que votre jugement sera comparable à l’amour que vous avez gardé en vous.
Mes doux amours, aimez-vous les uns les autres comme je vous aime.
Ne jugez pas mes enfants, car ce que vous percevez n’est qu’extérieur.
Lorsque vous avez ce doute : donnez-le-moi et allez à la confesse : allez puiser des grâces de force.
Mes prêtres, mes choisis, sont en moi : ils ne sont plus eux, ils sont moi par le sacerdoce.
Ils vous préviennent du danger et, aussi, ils vous donnent la lumière afin que vous, vous vous reconnaissiez petits devant la miséricorde de Dieu.
Seuls mes prêtres peuvent vous demander de vous abandonner en Dieu lorsqu’ils perçoivent qu’il y a en votre prochain des défauts; parce qu’ils sont en moi, ils peuvent vous demander l’obéissance pour ne pas voir en cet enfant l’absence à l’obéissance à Dieu; ce que j’essaie de dire, mes enfants, il y a autour de vous des enfants qui se font du mal à cause de leur volonté humaine et si un prêtre vous dit de faire attention : vous devez obéir au prêtre en Dieu, vous devez reconnaître en lui la lumière.
Demeurez en paix et priez comme lui prie pour cet enfant envers qui il vous a demandé d’être prudent.
L’Église, mes enfants, est à mon écoute : elle est pour vous un moyen de vous découvrir enfants de Dieu.
Lorsque vous savez qu’un prêtre vous recommande la prudence : obéissez à ce prêtre, priez pour que vous soyez dans l’obéissance et priez aussi pour que ce prêtre soit toujours dans la Lumière.
Mes enfants d’amour, en ce moment même, on veut faire du tort à mon Église.
Satan veut vous tromper et cela est vérité : il se sert de mes enfants choisis, de mes bien-aimés, pour vous troubler.
Souvenez-vous de Pierre : Pierre, mon choisi, a été dans sa faiblesse humaine, Satan l’a tenté : mon fils bien-aimé a pleuré sa faute.
Croyez-vous que vous, mes enfants d’amour, êtes à l’abri de Satan? Vous, mes enfants de la Lumière, vous n’êtes pas supérieurs à mon choisi : Pierre, mon premier Vicaire; soyez vigilants, soyez dans la prière.
Je vous demande et je vous supplie : ne vous jugez pas les uns les autres, car il (Satan) connaît votre faiblesse.
L’orgueil humain a pris une ampleur en votre monde : ce monde est rempli d’enfants qui s’écoutent, qui sont remplis de leur moi; cela s’est répandu sur toute la surface de la terre, mes enfants, et Satan en est l’auteur : il a empoisonné vos cœurs.
Cette maladie est si grave!
Aujourd’hui, on dit de faire attention; on a peur d’un virus : on sème en vous la peur et le seul auteur est Satan.
Il prend tous les moyens pour vous faire trébucher, car lorsqu’on est dans la surveillance à cause de votre prochain qui pourrait vous nuire : cela met en vous un doute envers l’amour du prochain.
Vous ne faites plus confiance en l’un ou en l’autre, car vous avez peur d’attraper son virus : on vous met en garde par les médias.
Voyez-vous ce qui se passe à l’extérieur de vous? Cela est son œuvre.
Moi, je vous dis que le danger le plus grand est en vous : celui de juger son prochain.
À quoi sert de sauver une vie extérieure alors que la vraie vie en vous est en danger? Gardez-vous prudents, gardez-vous dans l’amour, soyez humbles, allez puiser dans mes sacrements des grâces :
ils vous donneront des forces : vous verrez la lumière, vous la nourrirez.
Oh! mes enfants d’amour, ce n’est pas seulement à l’occasion qu’il faut vous reconnaître fragiles, c’est à chaque instant; à ce moment même vous entendez ma voix, mais c’est lorsque vous êtes avec vous-mêmes que vous devez faire attention : je vous couvre de ma Présence, vous savez que je vous parle; lorsque vous êtes seuls avec vous-mêmes, sachez que je suis en vous, que je vous parle, que je ne vous laisse pas un seul instant : comme je n’ai pas laissé un seul instant Pierre; je ne l’ai pas quitté, j’ai porté sa faiblesse en moi :
tout comme je porte en ce moment même vos faiblesses.
Mes amours, je vous donne mes grâces d’amour pour vos frères et vos sœurs : aimez-les, aimez ceux qui sont dans la prière car, vous savez, on est porté à juger ceux qui sont semblables à soi.
Voyez-vous, lorsque deux politiciens sont côte à côte pour avancer vers le succès : ils ne cessent de se piquer, ils veulent avoir la place; et lorsque des groupes de prière prient : ils veulent avoir pour eux une place choisie et, souvent, ils regardent au côté et jugent qu’un tel fait telle chose, qu’un autre oublie de faire une autre chose.
Oui, mes enfants, mes enfants de la Lumière se font du mal! Parce qu’ils m’aiment : ils veulent tellement être à la hauteur, que lorsqu’ils perçoivent un enfant qui n’est pas comme eux : ils le jugent parce que cet enfant n’a pas le droit de tomber, étant donné qu’il est dans la lumière, étant donné qu’il est priant, étant donné que Dieu l’a comblé.
Voyez-vous combien ils peuvent se juger entre eux!
Quelquefois, lorsqu’on aime trop avec sa volonté humaine : on fait du mal
à soi-même et à ceux qui sont autour de soi.
Mes amours, mes apôtres ont aussi connu cette faiblesse.
Lorsque je m’éloignais pour prier mon Père, ils étaient laissés à eux-mêmes; alors, quelquefois, ils se jugeaient sévèrement vous savez, en disant : Pourquoi n’as-tu pas pu faire cela? Pourquoi, toi, as-tu dit ça? Pourquoi l’autre s’est-il comporté comme ça devant notre Maître? Voyez-vous, ce n’était pas parce qu’ils ne m’aimaient pas, c’est parce qu’ils m’aimaient : ils voulaient que chacun soit parfait comme eux étaient parfaits : c’est ce qu’ils croyaient!
Moi qui connaissais chacun d’eux, je les aimais tel comme ils étaient.
J’ai connu la faiblesse de chacun, je connais aussi votre faiblesse.
Je les ai amenés avec moi afin qu’ils soient modèles d’amour, et vous, mes enfants de la Lumière, je fais la même chose avec vous : je vous guide, je vous amène avec moi afin que vous soyez modèles pour les enfants qui ne sont pas encore dans la lumière :
eux vous regardent, ils vous entendent parler, ils sont témoins de ce que vous dites.
Je vous aime, mes tendres amours; soyez abandon, ce n’est pas vous qui pouvez vous transformer, c’est moi.
J’ai besoin de votre oui : un oui d’abandon, un oui d’amour.
Je suis le Fils de Dieu, le Bien-aimé du Père : à moi seul de faire de vous les élus de mon Père dans l’amour, avec l’Amour, pour la gloire de mon Père.
Dieu fait descendre des grâces d’amour :
recevez ces grâces par celui qui s’est donné totalement en renonçant à sa vie d’homme,
en faisant de lui un fils consacré dans mon Église.
Amen.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : À chaque fois que je fais un témoignage lorsqu'il me le demande, je ne sais jamais comment commencer.
Je ne sais pas ce que je vais dire parce que le Seigneur, quand il parle, c’est spécial, et comment, moi, je peux arriver à parler après lui? "Oui, Seigneur." Il dit : «C’est parce que c’est moi qui suis encore là.»
Oui, Dieu est toujours en notre présence.
Il nous fait savoir qu’il est présent, qu’il nous prépare pour quelque chose de très important.
On est plusieurs et, aujourd’hui, il a dit qu'on est tous des enfants qui vont avoir à aider les autres.
On a une mission : celle de se donner.
On ne peut rien faire d’autre que ça : ce n’est pas à nous à savoir ce qu’on va faire, ce qu’on va dire, quand cela se fera aussi : c’est à lui.
On doit se donner totalement sans rien analyser, parce que lorsqu’on donne tout à Dieu, c’est là qu’il en fait le plus.
Dieu est tellement parfait, comment, nous, on peut savoir quoi faire?
C’est sa mission à lui, ce n’est pas la nôtre.
Nous, on est venu au monde parce qu’il l’a voulu : alors, c’est comme si on faisait tous partie de sa mission.
Quelquefois, je me sens indigne de dire une mission.
Ah! mon doux, la seule mission, c’est celle de Dieu; c’est la sienne, ce n’est pas la nôtre! Qui on est, nous, pour dire que nous avons une mission?
On doit tout simplement s'abandonner dans le Seigneur, faire ce qu’il nous dit de faire.
Depuis plusieurs années, on a vécu avec notre volonté humaine : il nous apprend à renoncer à notre volonté humaine.
C’est sûr, qu’en premier, ça fait peur quand on entend une autre personne dire : "Renonce à ta volonté humaine", mais c’est parce qu’on pense avec sa volonté humaine! Quand on entend ça, on la saisit avec sa volonté humaine; si on prend ça, puis on le garde pour soi, on ne pourra jamais s’abandonner, mais si on prend ce mouvement qu’on entend : "Bon, bien Seigneur, je ne sais pas ce que ça veut dire, mais je te le donne" :
là, Dieu commence à agir.
C’est lui qui commence à faire le mouvement de tout ça, seulement Dieu : nous, on n’y peut rien! "Oui". Dieu me dit de continuer à vous parler.
Dieu a tellement à nous dire, mais nous, quelquefois on se demande : "Qu’est-ce qu’on peut faire avec ce qu’on entend"? C’est beau venir ici entendre, mais quand on s’en retourne à la maison, il faut savoir quand même quoi faire avec tout ce qu’on a entendu.
Comment le mettre en pratique? Eh bien, je vous dis : "Faites comme moi : faites rien!" C’est ce qu’il m’a montré : je ne fais rien, je suis avec le Seigneur, ça, c’est ce que je fais, je suis avec lui, c’est tout ce qu’il me demande
toujours : «Donne-toi, garde ta paix».
Mais je ne sais pas comment avoir la paix moi, c’est lui qui la donne!
Alors, quelquefois, quand je suis à la maison et je trouve ça un petit peu compliqué, même beaucoup, des fois, tout ce qu’il me fait faire, alors je lui redonne.
"Tu le sais, Seigneur, que je ne peux rien faire, tu le sais que je ne suis pas capable de le faire : bien je te donne tout"; c’est tout! Mais c’est là qu’il me fait faire des choses de plus.
Si j’avais pensé à tout ce que je vous dis présentement il y a trois ans, quatre ans, ça n'aurait eu aucun sens pour moi, parce que je ne le vivais pas; c’est vraiment vivre : c’est vraiment le vivre! Si on dit : "Abandonne-toi", ce n’est que des paroles, mais il faut le faire, et encore là, c’est difficile, il faut le demander à Dieu : "Aide-moi, dis-moi comment m’abandonner, comment rien faire", et là, savez-vous ce qu’il va faire? Il va vous envoyer vers un père spirituel (confesseur).
Vous savez, je crois que si on veut s’acheminer dans l’abandon en Dieu, il faut avoir un prêtre avec nous; on ne peut pas le faire tout seul, il faut aller vers un prêtre : c’est lui qui nous donne des conseils, et si on vient à comme bifurquer, il sait, lui, nous remettre à notre place parce qu’il l’a fait depuis des années.
Quarante-quatre ans bientôt, il s’est donné! Quand on se donne comme ça, il y a de l’expérience; mais cette expérience-là ne vient pas de lui, elle vient de Dieu : c’est son sacerdoce, mais c’est ça qu’il faut aller puiser :
il faut aller vers un prêtre.
Dieu a (bien) fait les choses! C’est merveilleux quand on analyse tout ce qu’il a fait! La première chose qu’il a faite, c’était de former son Église avec des apôtres : ses apôtres.
Alors comment, nous, on peut se laisser former sans aller vers ses ministres? C’est impossible parce qu’on est l’Église : on est membre de l’Église! Mais si on veut être membre de l’Église, il faut aller vers les principaux
membres : ce sont les prêtres, c’est eux qui nourrissent les membres.
C’est ce que Jésus me dit.
Il n’y a pas d’autres moyens. Dieu nous demande de nous abandonner.
Vous savez, quand on s’achemine en Dieu, si on ne va pas vers un prêtre, il va y avoir de l’orgueil : on risque de prendre les décisions par soi-même, puis quand on prend trop de décisions par soi-même, qu’on ne va pas piger dans les grâces du sacrement : eh bien, là, on risque de devenir orgueilleux par nous-mêmes.
Il faut aller vers les sacrements pour s’humilier : là, c’est l'accepter, mais c’est une bonne humiliation; ce n’est pas comme quand on se fait humilier, par exemple, je ne sais pas moi : par notre famille, par un groupe, par des amis; vous savez, des fois, ils disent : "Tu joues mal au bowling, tu tapes du 200 d’habitude puis, là, tu es rendu dans le 100."
C’est humiliant vous savez de se faire humilier devant tout le monde, mais ce n’est pas la même chose quand c’est en Dieu; c’est une bonne humiliation.
Maman Marie est le modèle de l’humilité et, aujourd’hui :
Maman Marie, c’est la Reine du Ciel, la Reine de la terre.
Alors, voyez-vous que l’humilité fait grandir? C’est ce qu’on doit apprendre, mais il ne faut pas oublier que nous avons avec nous : nos frères et nos sœurs.
Jésus nous apprend à nous aimer les uns les autres, il nous apprend à nous abandonner.
Vous savez, quand on est dans la prière, eh bien, qui vous pensez qu’on fréquente le plus? Des gens de prière, c’est rendu que ce sont mes amis.
Ma famille, je la fréquente quasiment plus, non; ils ont un petit peu peur de moi! Alors, je fréquente des personnes de prière et quand on fréquente des personnes de prière : on entend parler de un, on entend parler d’un autre, je les connais même pas, là : c’est un groupe d’une telle ville, c’est un groupe de l’autre, je les ai jamais vus! Eh bien, on ne se connaît même pas et, pourtant, on entend parler contre un et parler contre un autre : comment peut-on se permettre ça? Alors Jésus, lui, il dit : «Tu m’as, moi, alors garde-toi en moi et donne-les-moi» parce que, vous savez, Satan veut nous diviser.
On forme une même famille, une famille de prière : il va tout faire pour arrêter notre amour entre nous.
Maman Marie m’a donné un message et elle m’a dit qu’il était en train de faire un plan pour nous diviser, pour arrêter les écrits.
Mais Jésus a mis dans nos cœurs de l’amour et comme il nous a donné sa Mère, pourquoi on s’inquiéterait? il nous a tout donné, il nous a donné sa Vie; alors on n’a qu’à nous donner, à donner notre vie à Jésus d’amour et lui va tout faire, il va nous protéger contre ce qui s’en vient.
Et à chaque fois que j’ai des messages comme ça, – ça, ce sont des messages à moi, hein! Là, il permet que je vous le dise parce que c’est dans le Saint-Esprit – ça se produit toujours autour de moi.
Et Jésus nous dit que les journées qui ont précédé aujourd’hui, il y en a beaucoup qui ont subi des attaques, et ce n’est pas seulement moi, c’est dans les groupes de prière.
Dieu respecte notre liberté et c’est à nous de dire non à ce qui monte en nous quand ce n’est pas amour : c’est ça qu’il faut faire.
Il faut prier les uns les autres; il ne faut pas avoir peur parce que Jésus nous dit : «On n’a pas à s’inquiéter quand on est dans la vérité», parce que Dieu est là, parce que Dieu est présent, parce que Dieu nous nourrit : alors de quoi on a à se défendre? On n’a pas à se défendre, lui nous défend.
On n'a qu’à se laisser aller, mais, en tant que priante, je dois prendre en moi ceux qui parlent contre l’amour parce qu’on est tout amour, et les donner à Dieu : et c’est là que Dieu agit le plus et c’est là qu’il écrase Satan.
Souvent, on se demande comment ça se fait que Dieu peut permettre
qu’on ait des attaques : on est en Dieu!
Comment ça se fait-il qu’il nous vient des idées dans notre tête : "Ah! on est comme ci", ou bien "un tel est comme ça"; et "est-ce que ça entre en nous, ça? Comment Dieu peut-il laisser faire ça? Le mal, comment ça se fait-il qu'il soit en nous"? Mais Dieu dit qu'on vit avec le bien puis on vit avec le mal : ça ne veut pas dire que Satan nous habite, il faut vraiment se donner à Satan; mais comme, à cause du péché d’Adam et Ève, on vit avec le bien et avec le mal : le mal est en nous, alors, des fois, il resurgit.
Mais Satan, lui, suscite des événements : Oh! quelqu’un a dit quelque chose : oups! ça vient dans notre tête tout ça, là; mais ça, c’est suscité par Satan et ça vit en nous : ça peut être tout simplement une émission qu’on a vue à la télévision, puis, sans s’en rendre compte, il y a une parole qui a entré en nous : oups! ça nous rappelle qu’il y a quelqu’un qui a parlé contre quelqu'un.
Mais c’est le mal qui vit en nous, là, il vient de se réveiller : par ce qu’on a vu, par ce qu’on a entendu, par des objets, des choses; alors là, c'est entré en nous, mais c’est là qu’il faut dire non et quand on dit non : Jésus, lui, dit : «Quand on dit non : on refuse le mal.»
Mais si on dit à Jésus : "Jésus, je te donne ce mal, mais je te donne aussi ceux qui pensent comme moi, ceux qui sont, à cause de Satan, tentés" : eh bien, Jésus se sert des enfants de la Lumière pour écraser Satan! Alors ça veut dire qu’on vient de recevoir des belles grâces, mais on n'est pas tout seul à en recevoir : ceux qui pensent au mal viennent d’avoir des grâces de force au-dedans d’eux parce que Dieu le permet : ça, c’est le talon de Marie!
Voyez-vous, il se sert des enfants de la Lumière parce que Dieu connaît notre force.
Il sait que nous pouvons aider nos frères et nos sœurs parce qu’on s’est donné à Dieu.
Ne croyez pas, parce qu’on est en Jésus, qu’on n’a pas des attaques, hein? Des fois, quand on prie, ça ne vous arrive pas, vous autres, d’avoir des choses dans votre tête puis des choses vraiment graves, là? Mais Dieu, il pourrait bien, lui, empêcher ça! Dieu n’empêche pas :
Dieu connaît, Dieu renforcit.
Il nous a envoyé à confesse : on a eu des grâces de force; il nous a envoyé communier : on a reçu des belles grâces :
il nous nourrit.
Mais on doit aussi s’en servir pour nos frères et nos sœurs : on ne peut pas garder cela pour soi; garder ça pour soi tout seul, c’est de l’égoïsme.
Quand on sait tout cela : on ne peut pas ne pas entrer nos frères et nos sœurs en dedans de nous, parce que plus Dieu nous donne et plus qu’il en veut, et il nous le fait savoir : ça vient tout le temps dans notre tête, et c’est très court.
Quand je suis à l’offertoire et qu’il me demande : «Donne-moi ta vie, donne-moi la vie de mes enfants», et quand il me donne la communion, il dit : «Je te prends», instantanément : "Mes frères et mes sœurs!" ca vient en moi, ça vient comme l’air qui veut entrer en moi, aussi fort! Alors, Dieu dit : «Merci.»
Ah! c’est sa nourriture!
Ça, ce n’est pas moi qui ai pu faire ce mouvement de penser, c’est de Dieu, par les grâces des sacrements, c’est tellement fort en nous que ça vient tout seul; on ne peut plus se retenir; on est comme un mouvement dans le mouvement de Dieu et ça se fait tout seul et on vit ça.
Voyez-vous comment Dieu nous transforme? Ça, c’est Dieu.
On est vivant et ça ne s’arrêtera pas là.
Vous savez, il m’a dit : «Beaucoup d'enfants vont entendre, beaucoup d’enfants vont voir en eux, à l’extérieur d’eux; et ça, ce n’est qu’un commencement, ma fille. Je vous amène vers ma Terre Promise.»
Dieu l'a dit à l’Évangile; vous vous souvenez, il a parlé à ses apôtres comme si c’était présent; c’est ce que mon père Clément m’a dit.
C’était dès le commencement qu’il a parlé du Royaume de son Père et, ça, c’était une présence, tout de suite.
Il (le père Clément) a dit comme ça : "Quand un enfant meurt, eh bien, pour lui, c’est commencé le Royaume de son Père : c’est ça qu’il vit." Mais Dieu, il m’a dit aussi : «Quand il y a un commencement, il y a une fin : vous êtes dans la fin.»
Nous vivons la fin de ce qu’il nous a annoncé.
Quand il y a une fin, ça veut dire que ça arrive.
Quand? Ce n’est pas à nous à savoir : ça me soulage! Parce que quand j’ai commencé en (l'année) quatre-vingt-dix-neuf à aller à Marmora, ils ont commencé à parler : "Eh! le retour du Seigneur!" Et là, moi, j’étais tout excitée : Ah! mon Dieu! là, je voyais des choses! J'avais des odeurs (de roses) de Maman Marie, je voyais le soleil qui avait comme une hostie en avant, c'était comme gris argenté : puis ça commence : "Ah! mon Dieu, mais le Seigneur s’en vient!" et puis, là, je mettais une date : "Ah! bien là, ça va être pour les Fêtes sûrement de l’an 2000, et je te le dis"; le rosaire! on avait dit de réciter un chapelet à Marmora, j’en ai dit trois : alors vraiment, c’était le temps! puis, oups! il n’est pas arrivé! : "Ca va être à Pâques!" on se donnait des dates! puis là, je me voyais avec mon mari : "Ah! mon Dieu, ça s’en vient!" Eh bien! maintenant, je ne me pose plus de questions : "Seigneur, je te donne tout; tu m’apprends tellement à m’abandonner : là, que je ne mets plus de date, plus de temps, ça n'a pas d’importance!"
Ce qui est important, c’est tout de suite, là : ce qu’on fait
à l’intérieur de nous pour nos frères et nos sœurs.
Mais je remercie le Bon Dieu de ne pas être venu avant, savez-vous pourquoi? Parce que je connais des personnes autour de moi qui n'auraient pas été prêtes, et, aujourd’hui, il a mis dans mon cœur des personnes que je ne connais pas, dans les autres pays, dans les autres provinces, qui ne sont pas prêtes; alors, imaginez-vous, si c'était arrivé, comment ils auraient souffert! Il y en a qui auraient pu dire non! Parce qu’il a dit, une fois : – ça, c’est dans le troisième livre, c’est à propos des homosexuels; vous savez, il les veut à lui, hein? – il a dit : «Certains vont tellement souffrir qu’ils vont cracher sur moi parce qu’ils vont trop souffrir : leur souffrance va être tellement grande! Ils vont ressentir l’amour de Dieu et ils vont se juger d’après l’amour qu’ils ressentent : là, ils vont tellement être en présence de l’amour que la souffrance va être si grande qu’ils ne pourront pas la supporter; parce que ça va être trop fort, trop douloureux : ils vont vouloir que ça s’efface d’eux».
C’est pour ça qu’il faut prier pour qu’ils aient cette force-là... sans les grâces, sans nos oui, oh, là!... Dieu, lui, ce qu’il fait : il nous donne des grâces en nous; comme on porte tous nos frères et nos sœurs du monde entier en nous, eux autres aussi en reçoivent des grâces; alors, au moment où ils vont voir l’Amour devant eux, ils vont se juger, mais avec les grâces.
Tout ça va être ainsi emmagasiné en eux : ces grâces de force; ils vont se reconnaître dans la souffrance, mais quand on se reconnaît dans la souffrance avec des grâces, ça fait moins mal! C’est ce qu’il m’a dit : alors, c’est pour ça qu’il faut qu’il nous prépare, nous.
En ce moment, il prépare tous les groupes de prière un peu partout.
Ce n’est pas seulement moi, là, il envoie beaucoup de personnes et vous autres, vous faites la même chose : quand vous parlez avec vos enfants à la maison, tout bonnement là, eh bien, vous sortez la lumière en vous pour leur donner de la lumière; puis eux autres aussi vont tous devenir des enfants de la Lumière.
Comment il fait? Quand il va le faire? Ce n’est pas à nous de savoir.
Ce que l'on fait, c’est tout simplement s’accomplir, s’abandonner.
Lui, il sait! Ce n’est pas à nous d’analyser.
C’est pour ça que c’est important! Le temps : lui, il le connaît, alors on n’a pas à chercher à savoir.
Il fait tellement bien les choses, Dieu, qu’on ne peut pas analyser son mouvement :
c’est trop parfait, il est trop intelligent!
Un jour, je ne sais pas si on va être capable de tout comprendre : seulement au Ciel, je crois, on va tout comprendre ça, mais de là à comprendre son intelligence, on ne pourra pas! Savez-vous, c’est qu’on va être en mouvement.
Il dit qu’on va se perfectionner avec son amour, on va être parfait, mais ça ne s’arrêtera pas là; la perfection, l’amour de Dieu : c’est un mouvement; alors Dieu est amour et plus que le mouvement se fait, et plus que le mouvement est en action : on ne peut pas arrêter quelque chose; alors Dieu est si parfait que sa perfection est Lui-même; nous, on va être dans son mouvement à lui, étant donné qu’on va être dans le mouvement du Seigneur : on va bouger en lui.
Comment voulez-vous atteindre un mouvement quand il tourne tout le temps? On ne peut pas, c’est la vie, c’est la vie éternelle.
Alors Dieu est si amour qu’il va nous nourrir de l’amour; voyez-vous pourquoi on va être éternel? C’est l’amour de l’Amour.
C’est tout ce que je comprends de tout ça et c’est suffisant, parce que ce qu’il me fait apprendre : c’est ce que je dois apprendre.
Merci beaucoup d’être avec moi et merci beaucoup parce que vous êtes en moi aussi et je suis avec vous.
Dieu ne fait pas ces rencontres pour rien, il ne fait pas écrire pour rien, même s’il y en a beaucoup : c’est comme le mouvement de tantôt que je vous parlais : il est toujours en train de bouger.
Eh bien, c’est ce qu’il fait! Il fait la même chose entre vous et moi, entre certains écrits avec d’autres écrits : c’est son œuvre et ce n'est pas la nôtre et on fait partie de son œuvre.
Alors, c’est pour ça que lorsque vous avez entre les mains un écrit d’un tel ou un écrit d’un autre : aimez-le parce que ça vient de lui et demandez au Saint-Esprit de vous faire goûter à ça : ça vient du Ciel!
Vous savez, moi, je le sais, je l’entends, et je vous souhaite aussi d’être aussi en confiance en Dieu, parce que quand on entend parler de l’amour, quand on lit l’amour : eh bien, dites-vous bien que ça ne peut pas venir des humains parce que l’amour vient de Dieu.
Si un seul enfant qui se dit entendre et ce n’est pas vrai et qu’(il) écrit de l’amour, eh bien, dites : "Merci, Jésus",
dites-lui merci : ça, c’est comme votre récompense d’avoir lu l’amour.
En ce qui concerne la personne qui a écrit, elle-même se présentera devant Dieu.
C’est ça qu’il faut comprendre, c’est ça l’amour.
Parce que quand on lit l’amour et si on ferme ça : "Je ne suis pas sûr d'elle", eh bien, il y a quelque chose qu’on n'a pas compris : l’amour! Parce que l’amour ça ne juge pas; l’amour ça se donne; ça s’offre : il faut tout donner à Dieu et aller vers votre prêtre : parlez-lui-en, lui saura vous conseiller.
Je vous remercie.

Marie : Et avec tendresse, avec amour, avec le Cœur de Marie, je voudrais vous dire : «Amours, vous êtes en ma fille; cette enfant s’est donnée à mon Fils parce qu’elle a vu la Présence même de l’Amour.
Nul enfant ne pourrait comprendre l’amour que si Dieu le Père le dépose.
Soyez unis dans l’Amour; moi, la Mère de l’Amour, je dépose en vous un baiser d’amour.
Il m’a été donné de vivre dans l’Amour même en mon sein afin de vous porter tous, mes enfants.
Soyez amour pour vos frères et vos sœurs, reconnaissez-vous tout petits enfants, je suis votre Maman.
Le Cœur de l’Amour bat en vous : unissez-vous à ses battements de Cœur et sachez, mes enfants, qu’en vous bat le Cœur de mon Fils.
Je vous aime, mes enfants d’amour.
Soyez tous unis les uns aux autres pour ne faire qu’un, en mon Fils.»

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci.
Her
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Message par Her Mar 17 Mai - 9:33

Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Alma, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

2003-05-12

Présentatrice : Je suis heureuse de vous présenter cet instrument choisi par Jésus.
J’ai connu la Fille du Oui à Jésus par le livre "Amour pour tous les miens" écrit par elle, mais dont Jésus lui-même est l’auteur.
J’ai vécu une expérience assez particulière avec la Fille du Oui à Jésus, en septembre dernier, lorsqu’elle est venue au Lac Saint-Jean.
Je voulais aller la voir, mais ma fille de six ans a dû être hospitalisée et je n’ai pas pu y aller.
J’ai donc téléphoné à l’organisatrice Colette Bédard pour qu’elle lui donne mon nom, au cas où Jésus aurait un petit message personnel à me donner : je n’en espérais pas autant! J’ai reçu une cassette dont Jésus me parle de ma famille, de mon mari, de mes enfants, de mon cheminement, de mon passé et de mes secrets les plus intimes avec lui.
D’après le contenu, j’ai vite réalisé que c’était vraiment Jésus qui me parlait, parce que la petite Fille du Oui ne me connaissait absolument pas : c’était impossible que ça soit d’autre chose, ça été un cadeau extraordinaire. J’ai beaucoup pleuré.
Qui est la Fille du Oui à Jésus? Tout d’abord, c’est une femme, une mère de trois enfants; elle est veuve et grand-mère, coiffeuse de formation. C’est une petite femme toute simple et qui a toujours aimé le Seigneur; elle donne sa vie entière pour Jésus.
La Fille du Oui à Jésus a commencé à entendre la voix de Jésus le 13 septembre 1985.
Jésus lui a dit : «Je crie ma douleur au-dessus des toits, mais personne ne la comprend tant elle est immense.»
Il dit encore : «Je suis en toi, ma bien-aimée; ce cri que tu as entendu était de moi, ton amoureux Jésus; j’ai crié en toi ma détresse si fort; ces mots ont été gravés dans ton cœur, ma bien-aimée.»
Un peu plus tard, la Fille du Oui à Jésus criait de tous ses poumons : "Père, je t’en prie, envoie ton Fils, notre Jésus sur la terre; nous voulons sa venue tout de suite, nous avons trop mal; nous n’en pouvons plus que ça se passe comme ça; je t’aime Papa, entends ta petite fille qui crie vers toi."
Et voici qu’elle entendit : «Nous, la Trinité, nous avons exulté de joie à ce cri prononcé avec tellement d’abandon.» Mes enfants, moi, Jésus, je n’ai pu résister à ce cri déchirant de détresse. Ma Fille du Oui vous portait tous en elle car, ce cri, elle l’a fait dans la Divine Volonté et ainsi au nom de tous. Et moi, Jésus, j’ai crié à mon Père : «Père, regarde tes enfants, ils me supplient d’aller vers eux.» Et je suis venu vers vous à travers ces messages, ces révélations, ces mots que je dicte à ma Fille du Oui, pour vous. C’est dans sa petitesse et l’obéissance qu’elle accomplit tout. C’est moi, l’auteur de ces volumes, non, elle. Chaque mot est une grâce d’amour pour tous mes enfants de la terre.
Et Jésus lui demanda d’écrire; elle ne savait pas où cela l’amènerait. Elle a obéi et son obéissance l’a conduite ici, ce soir.
Aujourd’hui, Jésus, ou Dieu le Père, ou peut-être Marie, nous parlera à travers son instrument d’amour. Ouvrons grand notre cœur et écoutons la voix du Seigneur. Je vous présente la Fille du Oui à Jésus.

Jésus : Je suis pour vous, en cette enfant du oui; elle a prononcé un oui d’amour et je suis venu vous parler par elle.
La Divine Volonté l’a choisie afin que, chacun de vous, vous sachiez que je suis en vous, que je vis en vous.
La présence de Dieu est amour, la voix qui vous parle est dans la Divine Volonté.
Tout amour (enfant) qui s’abandonne, au moment de ma Présence Eucharistique, est en lui : cela se fait parce que nous, la Sainte Trinité, le voulons.
Chacun de vous est en présence de la Sainte Trinité au moment où vous recevez Jésus Hostie.
Vous êtes en présence de l’Amour, il vous parle en chacun de vous : il est la Présence.
Je suis Jésus, je me suis donné par amour pour chacun de vous.
Au moment où je m’offre à mon Père, je prends en moi chacun de vous;
je prends tout de vous et je m’offre à mon Père
et, par mon sacrifice de la croix, je renouvelle ce mouvement d’amour.
Moi qui suis la Présence, je suis en présence même de mon Père et vous, mes enfants, vous êtes aussi présents par moi.
Nous, la Sainte Trinité, sommes la Puissance, vous êtes en notre Présence.
Amours de ma Vie, je vous ai pris en moi afin que vous sachiez l’importance : l’importance de votre présence en la Vie.
La Vie est moi, vous êtes en vie par moi.
Si, moi, je me donne sur tous les autels du monde à chaque fraction de seconde : voyez-vous l’importance de votre présence? Vous devez réaliser, mes enfants d’amour, que votre vie a une valeur, elle est pour moi de l’amour, et si votre vie est amour : c’est parce que moi, Jésus crucifié, j’ai laissé couler mon Précieux Sang sur chacun de vous.
Prenez conscience de votre vie au présent, là, en ce moment même.
Chacun de vous avez votre importance, vous êtes unique.
Chaque mouvement que vous faites doit être pour vous une action digne de votre vie.
Mes enfants, lorsque vous faites une action, dites-vous que cela fait partie de votre vie qui sera éternelle.
Comme elle est importante votre vie, comme ce que vous faites est important, comme ce que vous dites est important, comme ce que vous entendez est important, car tout cela fait partie de votre vie, de votre vie quotidienne!
Une vie de chaque jour est une vie en Dieu.
Vous accumulez à chaque jour des actions qui vous seront présentées : ces actions vous apporteront des grâces.
Oui, mes amours, si vos actions sont bonnes : il y a en vous des grâces qui vous montrent que vous êtes amour.
Si, mes enfants, vous faites des actions qui ne sont pas de bonnes actions : moi, l’Amour, je vous donne, par mes enfants de la Lumière, des grâces, afin que vous réalisiez que vos actions sont contre votre vie, contre l’Amour; vous devez apprendre à reconnaître vos actions : si elles sont bonnes, cela est grâce; si elles ne sont pas bonnes, cela demande un renoncement de vous.
Ce que je veux vous apprendre, c’est que vous devez vous reconnaître tels que vous êtes.
Je vous aime, moi, tels que vous êtes, mais je ne puis vous reconnaître que comme mon Père le veut.
Lorsque vous faites des actions contre vous, je déverse en vous des grâces de lumière : des grâces qui vous feront réaliser que vos actions ne vous apporteront pas le bonheur.
Une action est un mouvement : il est une partie de vous-mêmes;
il est dans votre vie et votre vie est en présence de Dieu.
Si votre action n’est pas une bonne action, moi qui suis en votre présence, je me sens rejeté de vous, car lorsque vous faites une mauvaise action, c’est que vous n’acceptez pas de vous reconnaître amoureux de moi.
Être amoureux de moi : c’est savoir que vous voulez vous conduire en enfants dignes de ce que moi, j’attends de vous.
J’ai versé mon Sang sur chacun de vous : il a purifié toutes vos mauvaises actions; il a fait de vous des enfants qui doivent se reconnaître enfants de Dieu.
Mais lorsque vous faites une mauvaise action : mon agir en vous attend que vous vous repreniez, que vous vous reconnaissiez en faute.
Mes amours, je suis le seul qui peut vous parler ainsi.
Je suis le seul qui peut vous dire : «Mais que fais-tu de ta vie?» Lorsque tu te conduis mal, tu fais de la peine à mon Père! Il m’a donné à toi pour que, toi, tu puisses être auprès de lui pour l’éternité, ne sais-tu pas qu’il t’aime? Ne sais-tu pas que tu vaux plus que ce que tu veux faire, ce que tu veux avoir? Tes actions, qui ne sont pas bonnes, ne peuvent t’apporter de la joie! Lorsque tu te mets en colère, ta colère est contre toi, est contre ceux que tu aimes.
Lorsque tu voles ton prochain, tu te voles : tu voles en toi des grâces qui te sont nécessaires pour vivre ta vie.
Lorsque tu parles contre ton prochain : tu parles contre toi, tu parles contre l’amour de Dieu.
Dieu t’a donné de l’amour pour que, toi, tu te reconnaisses amour.
Parler contre l’amour : c’est parler contre ce que Dieu t’a donné. Et lorsque tu fais du mal à ton prochain :
tu te causes un malheur et ce malheur est en toi, il fait partie de ta vie.
Moi, je suis trop amour pour te laisser dans l’ignorance de tes actions.
Il faut que tu saches, mon amour, que tu es à moi : je t’ai gagné la vie.
C’est moi qui ai pris en moi ta vie : je l’ai purifiée par mon Sang Précieux.
N’ai-je donc pas le droit de te parler ainsi? Je te veux en moi.
Je connais tout ce que tu as fait, je connais tout ce que tu fais, et je connais tout ce que tu feras : et c’est par amour que je te parle en toi.
Nous sommes seuls, toi et moi car, en ce moment même, c’est en toi que je parle, en ton être.
Je passe par les enfants de la Lumière qui acceptent d’écouter la voix, qui acceptent de s’abandonner, pour te prendre.
Toi qui es seul avec toi-même, moi, je suis là et tu veux m’ignorer! Tu ne veux pas te reconnaître avec moi en toi, mais vois-tu, je t’aime tellement que je suscite des situations pour te donner de l’amour! Je fais des rencontres avec des enfants de la Lumière pour te parler, pour dire à mes enfants de la Lumière que je t’aime :
eux sont témoins de mon amour pour toi.
Ils témoigneront de toi auprès de mon Père car, lorsque ces enfants seront seuls ce soir avec moi, ils se souviendront de toi et ils diront : "Jésus, tu es venu nous parler de nos frères et de nos sœurs qui n’acceptent pas ta Présence : Jésus d’amour, je te donne mon oui.
Je ne comprends pas toujours tes agirs, ils sont trop grands, ils sont trop amour et, moi, je suis un enfant trop petit. Je veux m’abandonner dans la Divine Volonté. Je veux que tu prennes tout de moi parce que, toi, tu sais mieux que moi mon besoin d’amour."
Enfants de ma Présence, vous êtes avec moi, je vous parle d’amour.
Ce temps est un temps de grâces pour tous ceux que vous portez en vous; c’est un temps d’amour pour vous qui écoutez ma voix.
Je suis en vous, je parle en vous.
Ce n’est pas parce que vous entendez cette enfant qui parle en moi, – elle ne parle pas en elle, mais elle parle en moi, – que moi, Jésus, je prends seulement ce temps pour vous parler : je parle toujours en vous.
À chaque instant de votre vie, je suis présent : je suis la Présence.
Réalisez tous les bienfaits qui se passent en vous : votre transformation est commencée, elle ne cessera qu’au moment où vous me verrez en vous.
Vous êtes des enfants de l’Amour. Vous êtes en présence même de Dieu.
Le monde extérieur est un monde qui doit se reconnaître tel qu’il est afin qu’il sache que Dieu l'aime.
Je ne viens pas en chaque enfant me présenter pour le condamner, je viens témoigner de mon amour.
Et lorsque je vais témoigner de mon amour en eux, vous, les enfants de la Lumière, vous serez témoins : que Jésus a parlé, que Jésus a annoncé qu’il est présent, qu’il est agissant.
J’envoie, parmi le monde, des enfants abandonnés dans la Divine Volonté
afin que les enfants de la Lumière soient des témoins de l’agir de Dieu.
Vous n’êtes pas seulement des spectateurs, des écouteurs, non, mes amours, vous êtes en la présence même de l’agir de Dieu, et lorsque Jésus amour fait voir sa Présence, c’est pour ceux qui n’acceptent pas la présence de Dieu.
Croyez-vous, mes enfants, que j’aurais besoin de me présenter aux enfants qui prient, qui assistent à la messe régulièrement, qui ont la foi sans voir? Oh! mes enfants, c’est pour ceux qui ne prient pas, pour ceux qui ne vont pas à la messe, pour ceux qui ont perdu la foi.
Vous êtes mes enfants de la Lumière, vous êtes les enfants choisis de Dieu.
Vous allez donner à mes enfants ce que je vais vous donner; vous ne pourrez donner ce qui va sortir de votre volonté humaine car, moi, Jésus amour, je suis en votre présence pour vous transformer en enfants de la Divine Volonté.
Vous allez être dans ma Volonté, non dans votre volonté, car un enfant qui parle dans sa volonté ne peut aider son frère, sa sœur, car ce qu’il a en lui n’est que de lui, alors qu’un enfant dans la Divine Volonté sort de lui ce que la Divine Volonté dépose en lui.
C’est la Divine Volonté qui dicte les paroles, c’est la Divine Volonté
qui lui fait faire des mouvements en Jésus.
Je n’ai pas à dire à mes prêtres qui sont en moi, qui écoutent leur intérieur, les paroles, car ils sont moi.
Par leur sacerdoce, mes prêtres parlent en Jésus, par Jésus, avec Jésus : ils sont couverts par la puissance du Saint-Esprit, ils sont dans le mouvement de l’Amour : chacun d’eux est moi, Jésus, le Christ Prêtre divin.
Par leur sacerdoce, ils vous parlent d’amour; ils vous parlent des enseignements que j’ai déposés en mes apôtres : ils ont en eux les paroles de l’Amour; ils sont agissants en moi, le Christ.
Et par mes prêtres, mes enfants d’amour, vous recevez des grâces qui purifient vos actions qui ne sont pas bonnes : mes prêtres ont ce pouvoir.
Enfants de la Lumière, ce sont mes grâces qui vont vous transformer, qui vous transforment.
Lorsque vous allez à mes prêtres, je vous donne, par leurs mains consacrées : ma Présence.
Je suis la Vie, je suis Nourriture de votre vie.
Sans moi votre vie, mes enfants, ne pourrait être mouvement d’amour.
Soyez présents en moi, en Jésus.
Allez, avec votre petitesse, avec humilité, vers mes prêtres recevoir mes sacrements.
Tout enfant, qui se reconnaît tout petit, est apte à tout recevoir.
Il faut que vous appreniez à tout me donner, à vous oublier, à accepter que Jésus vous transforme : je suis la Douceur, je suis la Tendresse; je ne veux pas tout prendre de vous et vous rendre esclaves : je vous veux libres dans votre vie, en ma Vie.
Tout ce que mon Père m’a donné, je veux vous le donner parce que je suis amour.
Lorsque, vous, vous mettez au monde un enfant, vous le regardez, vos yeux voient une partie de vous: vous tombez amoureux de cet enfant; c’est la grâce en vous qui fait que vous tombiez amoureux de cet enfant : je vous ai donné ma Vie.
Et, vous, lorsque vous mettez au monde un enfant, vous acceptez de donner votre vie pour cet enfant : toutes ces heures à le nourrir, toutes ces heures à prendre soin de lui, à l’éduquer, à lui montrer ses bonnes actions et les mauvaises à éviter : mes enfants, c’est un don d’amour et ce don d’amour ne peut venir de vous, mais de moi qui me suis donné.
Tout vient de moi, tout doit passer par moi.
Vous devez apprendre que le don de vie vient de moi : je me suis donné par amour pour vous.
Ce mouvement a été fait par le Fils de Dieu : aucun être humain n’aurait pu se donner, si le Fils de Dieu ne se serait pas donné.
Par moi, vous pouvez donner : il n’y a que le Fils de Dieu qui a mis en vous ce mouvement.
Ce mouvement est amour et toute action faite en moi, Jésus, cela vous démontre mon don d’amour.
Et lorsque vous faites une mauvaise action, vous devez vous reconnaître dans cette action; elle est faite par votre volonté humaine, elle est produite par le mal qui habite les enfants.
À cause de vos premiers parents, le mal habite en vous; le mal est venu de la désobéissance à Dieu, mon Père; et le Fils de Dieu est venu racheter toutes vos mauvaises actions en les prenant en lui et en les amenant à la mort.
Oh! amours, j’ai tout pris en moi pour vous, par amour.
Lorsque vous vous reconnaissez impurs, par mon prêtre, je vous donne des grâces qui vont vous purifier.
Vous devez aller vers mon prêtre vous confesser.
Moi, Jésus amour, je donne des grâces pour que vous vous reconnaissiez tout petits, pour vous reconnaître enfant qui veut donner ce qui n’est pas bon en lui afin que, moi, Jésus, je puisse prendre votre mauvaise action.
Ne savez-vous pas que j’ai fait ce mouvement? Vos mauvaises actions, mes enfants, je les ai apportées à la mort.
Combien d’entre vous ont honte, ont peur, hésitent ou ne voient pas l’importance d’aller se confesser?
Si vous connaissiez le désir de votre âme!
Elle veut recevoir des grâces sanctifiantes, elle veut être belle pour son Amoureux.
Oh! mes amours, je parle pour vous, je parle pour ceux que vous portez: vos frères et vos sœurs.
Je ne cesse de vous dire que je vous veux en moi avec ce que vous êtes parce que je vous aime.
À moi seul de vous aider : à moi seul de faire de vous des enfants d’amour, les enfants de la Divine Volonté.
Je suis la Puissance; accordez-moi tout de vous.
Que Dieu soit tout pour chacun de vous; que Dieu soit l’air que vous respirez.
Mes amours, un Vent d’amour va souffler; il vous fera entrer en vous et vous verrez toutes vos actions, et moi, Jésus amour, je vous déclarerai mon amour.
Vous serez en présence de vue de votre Jésus.
Amours, amours, je vous aime, portez cela en vous et donnez à votre intérieur un mouvement d’amour en disant :
"Oui, je suis à toi, qu’à toi, Jésus; fais ce que tu veux de moi."
Par la présence de mon fils consacré, recevez des grâces d’amour. Amen.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il me fait savoir qu’il est en moi et qu’il parle parce qu’il nous aime.
Lorsque je me présente, je ne sais jamais de quoi il va parler : cela dépend de votre présence.
C’est comme une communication entre Jésus et toute l’assistance : c’est comme si on battrait dans le Cœur même de Jésus.
Jésus nous connaît tous : il veut laisser parler l’amour, l’amour qu’il a pour chacun de nous.
Il me fait connaître ces mots en ce moment même, par le Saint-Esprit.
Moi aussi, vous savez, je ne sais jamais ce que je dois dire; mais, ce soir, avant qu’on me présente, j’ai ressenti une grande, une grande joie.
Tu sais, toi, (la personne qui l'a présentée) quand tu m’as présentée, Jésus, il m’a dit quelque chose, il a dit : «Voilà la surprise que je te préparais»; parce que, vous savez, la semaine passée, Jésus, il m’a dit : «Va et tu vas avoir une surprise.» Et je l’ai eue!
Vous savez, j’ai même découvert quelque chose; quand elle a dit: "en 1985 : elle entendait", je ne l’ai pas réalisé sur le coup que c’était vrai que la voix que j’avais entendue en moi c’était la voix de Jésus; c’est vrai que je l’ai entendue mais, en 1985! Pour moi, ça été une surprise ce soir parce que je pensais que c’était seulement en 2001.
Mais là, c’est vrai : c’était oups! On dirait qu’il ne veut pas que je pense à des choses comme ça.
Il me les fait révéler : il me les révèle, mais quand il veut, là, au moment qu’il veut.
Il aurait bien pu me le démontrer autrement.
Et c’est comme ça! C’est comme si je n’y avais pas pensé avant! Et pourtant, c’est vrai! Merci beaucoup! Merci Jésus.
C’est avec tellement d’amour qu’il nous montre son amour.
Il le fait à chaque jour, il le fait pour chacun de nous.
Voyez-vous, je ne l’avais même pas réalisé, moi, en 1985, ce mouvement d’amour-là : je l’avais écrit; pas moi, c’était tellement beau que j’avais demandé à ma fille; c’est ma fille Caroline, elle avait 14 ans, elle l’a écrit.
Puis elle a dit : "Maman, c’est tellement beau!" Alors je l’ai mis dans ma Bible, et je n’aurais pas pensé qu’un jour, c’était pour me servir ce mot-là avec les écrits! Alors quand il me l'a fait écrire, – c’est toujours en rapport avec les
écrits – j’ai été voir, je l’avais dans ma Bible.
Mais, même là, je n’avais même pas pensé (réalisé) que Jésus me parlait! Alors, pouvez-vous penser combien de fois dans notre vie, Dieu s’est manifesté, puis on ne le sait pas? Un jour, on va le savoir : quand on va être en face de lui, on va savoir nos actions à nous, mais on va savoir aussi ses actions.
Quelle joie ça va être pour nous de voir l’agir de Jésus! Ça ne sera pas seulement de cette façon; ça va être avec les personnes qu’il nous a données parce que dans notre vie on rencontre des gens, des gens formidables qui nous donnent des mots.
Sans s’en rendre compte, ils nous disent des mots qui nous font plaisir : on est surpris! Combien de fois on entend des personnes dire: "Ah! tu as fait ma journée!"
Eh bien, c’est Jésus qui nous l’envoie cette personne-là : ce sont les mouvements de Dieu; puis, c’est présent autour de nous.
On a perdu la foi!
À la télévision, on nous montre des images qui nous ont fait oublier que Dieu est agissant.
Quand on passe des heures devant la télévision, on n’arrive pas à analyser notre vie.
Je ne crois pas qu’on aurait pu dire : "Ah! ça fait ma journée."
Non, c’est quand une personne qu’on rencontre qu’elle nous dit quelque chose qu’on veut entendre.
Ce n'est pas à la télévision qu’on peut entendre ces choses-là.
Ah! ils nous instruisent! C’est ça qu’ils nous disent! Par des documentaires : c’est vrai qu’il y a des bonnes choses qu’ils nous montrent.
Eh bien! si j’aurais à choisir entre ça et une personne que je rencontre et qu’elle me dise ce que j’aimerais entendre pour que j’aie une belle journée : bien je vais choisir la personne, pas le documentaire; ça, ça va instruire mon orgueil, je vais avoir de quoi à dire parce que j’aurai appris quelque chose.
À quoi ça sert de donner quelque chose qui nourrit que l’orgueil?
Il faut apprendre à se donner avec le cœur.
Ça fait trop d’années, je pense, qu’on parle avec notre tête.
Quand on rencontre des personnes, on se demande : "Bon, qu’est-ce que je vais lui dire? Comment je vais meubler le silence?" Eh bien, si ça ne vous est pas arrivé, moi, ça m’a arrivé souvent! J’avais de la visite à la maison, ma belle-sœur : eh bien, s’il y avait un silence, je me sentais mal : "Ah! mon Dieu, elle va trouver que je suis plate."
Puis, comment remplir ce silence-là! Eh bien! c’était avec ma tête que je pensais, ce n’était pas avec mon cœur.
Aujourd’hui, la même belle-sœur vient à la maison, puis, elle a dit l’autre fois: "Ah! il n'y a pas de bruit chez toi, hein?" J’ai dit : "Non, je n’écoute pas la télévision, je n’écoute pas la radio." Mais, savez-vous, je n’ai pas peur de lui dire : "Je t’aime."
Je ne le faisais pas avant; puis je l’embrasse aujourd’hui.
Je n’aurais pas pu faire ça, il y a quelques années : ça ne fait pas longtemps, en l’an 2000, je ne l’aurais pas fait.
Aujourd’hui, je lui dis que je l’aime : imaginez-vous, je dis ça à ma belle-sœur : "je t’aime" et, puis, je l’embrasse avant de partir.
Je remercie le bon Dieu pour ce qu’il m’apprend.
Ah! ce sont des gestes bien simples, mais ça remplit ma vie! Puis, aujourd’hui, le Seigneur, il veut que vous l’entendiez.
Ces mots que je suis en train de vous dire, ce sont des mots qui montent tout seul en moi : ça vient de lui, c’est le Saint-Esprit.
Alors, il veut qu’on témoigne de sa Présence en nous.
Il me transforme beaucoup, Jésus d’amour, à chaque jour.
Voyez-vous, je suis venue, hein? en septembre passé, ça ne fait pas un an : je n’aurais pas parlé comme j'ai parlé;
c’était lui, que lui et, aujourd’hui, c’est encore lui, que lui.
Mais c’est différent, je lui ai donné toute la place, je n’ai plus à m’inquiéter, je n’ai plus de peur en moi, j’ai la paix.
Je laisse couler ce qu'il veut que je vous dise, c’est tout! C’est lui le mouvement de ma vie : je n’ai pas à rien retenir en moi, et si je vous dis "je vous aime", je le dis avec tout mon cœur, avec ce qu’il a mis en moi, parce que je sais, aujourd’hui, que partout où il m’envoie : eh bien! c’est là qu'il veut que je sois, avec vous autres, avec un partage d’amour.
Ce que je vous dis, vous le recevez et ce que vous faites lorsque vous me regardez, bien, moi, je le reçois.
Ça c’est un mouvement d’amour! On va apprendre à s’aimer!
Il y a eu la guerre; il m’a parlé d’amour dans ces jours-là, il m’a parlé de paix et j’ai gardé ma paix.
Je n’ai pas cherché à écouter la radio, ni la télévision; j’ai resté avec lui, puis il me parlait de ses enfants.
Ah! il m’a parlé de sa souffrance; il m’a parlé de la souffrance de ses enfants.
Même, il me disait qu’il y en a qui étaient torturés; il me disait qu’il y avait des enfants qui se mouraient, même au moment qu'il me parlait, puis, il me disait : «Reste avec moi, garde ta paix. Lorsque tu te donnes comme ça, moi, je te déverse des grâces pour eux : ils reçoivent des grâces de force.»
Nous étions aussi en prière; on disait le rosaire avec des amis et, au moment de la méditation du rosaire, – vous savez les petites méditations – il donnait des petits enseignements d’amour; puis il disait ce qui se passait; puis notre abandon aidait nos frères et nos sœurs dans ces moments-là.
Voyez-vous, Jésus attend beaucoup de nous : il attend qu’on lui dise oui, qu’on s’abandonne en lui; il veut qu’on s’aide les uns les autres, il veut qu’on se donne parce que lorsqu’on se donne : les autres reçoivent.
C’est un grand mouvement d’amour, Jésus, et c’est lui seul qui peut faire ça.
Il nous prend tous : on est la grande famille de Jésus qui est la famille de l’Église : l’Église qu’il a fondée.
J’ai un merci à dire pour son prêtre: "Merci beaucoup de votre présence."
Vous savez, j’écris en Jésus, mais quand je fais ça à la maison, toute seule, c’est comme un mouvement que je fais pour Jésus : comme une prière; comme on fait chacun de nous : on prie à la maison, mais c’est ce que je fais, moi aussi, quand j’écoute Jésus : je prie; parce que je le laisse me parler, je fais ce que lui me dit : alors c’est prière.
Mais lorsqu’un prêtre se déplace parce qu’il croit que Jésus agit en moi : cela me montre l’agir de Dieu.
Moi-même et vous autres aussi, on ne pourrait pas faire ça : on ne pourrait pas faire un mouvement comme ça, c’est impossible!
Il y a seulement Jésus qui peut faire ça : eh bien! ça augmente notre foi à nous aussi,
on voit l’agir de Jésus autour de nous!
"Merci, Jésus d’amour, je te donne toute la place.
Amour, Amour, merci, tu as mis en moi tes paroles et je prends ces paroles et je te les offre.
Je suis en présence de l’Amour et l’Amour témoigne que je vis en lui.
Jésus Amour, prends ma voix et fais de moi ce que toi, tu veux; mais, Jésus d’amour, prends la voix de tous mes frères et sœurs du monde entier et fais-la tienne; ainsi lorsque je parlerai, je parlerai avec tous mes frères et mes sœurs dans la Divine Volonté. Oui ".
Dieu dit : «Donne, ma fille, donne.»
Guy d’amour, tu travailles en Jésus dans la Divine Volonté, tu fais présence parce que Dieu t’a choisi, ainsi que toi, Colette, ainsi que toi, Marlène, ainsi que chacun de vous.
Comme mon fils l’a dit, si je donnais tous les noms qui sont en moi, vous y passeriez la semaine et plus encore.
Je vous aime. Amen.
Her
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