Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE :: MESSAGES, PROPHETIES, REVELATION ET PAROUSIE
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Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
http://www.lafilleajesus.org/fille.htm
La Fille du Oui à Jésus
Jésus : Tous les mots écrits l’ont été dans l'Esprit Saint. Pas un seul, je dis bien, pas un seul mot n'est venu d'elle.
Dans un abandon total, cette enfant du oui s'est donnée pour ses frères et sœurs et c'est par amour qu'elle a prononcé son oui à l'Amour. Cette enfant est dans la Divine Volonté. Tous les mots qui ont été écrits par sa main ne sont pas sortis d'elle. Ils sont sous la mouvance de l'Amour. Elle vit en nous, la Divine Volonté.
Pas un je, pas un nous, pas un oui n'ont été écrits par elle dans ces textes sans que moi je l'aie voulu. Elle n'est qu'enveloppe. Elle n'est pas elle, elle est moi par moi. Moi, l'Amour, je suis l'auteur de ces écrits. Rien, absolument rien, mes enfants, n'est sorti d'elle; même ses questionnements ne pouvaient venir d'elle.
Les je t’aime qu’elle me donne viennent de moi en elle, car elle n'est plus elle, elle s'est donnée à l'Amour. Mes enfants, comprenez mes messages. Dans la Divine Volonté de mon Père, je suis elle, elle est moi, elle vit dans la Lumière. Je vous aime, mes enfants de l’Amour. Tout vient de moi. Comme est belle la paix intérieure quand tout se fait en moi!
Mes enfants, laissez-vous couler dans l'Amour et l'Amour vous prendra, l'Amour vous fera vivre en l'Amour. Amen.
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PRÉSENTATION DE LA FILLE DU OUI À JÉSUS
Dieu parle par son instrument d'amour. Il l'appelle sa Fille du Oui à Jésus.
Dieu lui-même a dicté ces mots : Elle est issue d’une famille catholique. Ses parents lui ont montré mes lois d’amour, ce qui l'a rendue respectueuse pour son prochain. Elle s’est mariée, a eu trois enfants qu’elle éleva dans l’amour. Dieu Amour lui donnait des grâces qui lui faisaient sentir sa Présence lors de la communion; elle ressentait une chaleur intérieure. Elle eut des rêves qui la réveillaient tout en pleurs. C'est plus tard qu'elle reçut de Dieu lui-même les explications, au moment où lui le voulait. Cela l'introduisait dans son cheminement: celui de s'abandonner totalement dans la Volonté Divine. Tout était préparé pour elle, cela avant même qu'elle en soit consciente.
En 1998, Marie, votre Mère, la couvre de sa maternelle présence en le lui manifestant par des odeurs de rose et de fleurs du jardin de son Cœur et cela, à plusieurs reprises. Une soif de connaître Jésus Amour lui fait découvrir l’Amour de Dieu le Père et de Dieu le Saint-Esprit. Elle se laisse envahir par leur Présence car, quand elle prie, elle a des extases d’amour. Son état se trouve dans une telle joie qu'elle ne peut l'expliquer tant c'est merveilleux : tout son être est en joie et, en même temps, elle ressent une peine joyeuse qui lui donne une soif d’amour d’aider Jésus crucifié. Elle s’abandonne dans la Volonté de Dieu. Elle apprend à vivre dans la Divine Volonté pour que tout son être puisse offrir des fruits d’amour à Dieu Trinitaire. Elle vit en Jésus, elle agit en Jésus, elle apprend à s’abandonner dans son Être.
En janvier 2001, elle entend avec discernement la voix de Jésus et celle de sa Maman Marie à l'intérieur d'elle, et son ange à l'extérieur d'elle, qui lui parlent. C'est l’Esprit Saint qui la couvre de sa Présence. Elle reçoit des leçons d’amour de Marie qui lui montre à obéir à la Volonté de Dieu. Jésus lui demande d’écrire; elle obéit sans savoir où cela l’amènera. Tout est abandon dans la Divine Volonté. Tout en elle est habité du Dieu Trinitaire.
Dieu Trinitaire lui montre qu’elle est en eux et eux en elle, et que tous ceux que Dieu Trinitaire porte sont en elle. Elle est en communication avec ceux que Dieu le Père consent à ce que leurs voix soient entendues en elle. Tout d‘elle n’est qu’obéissance à sa Volonté. En 2002, à la communion, Dieu amour vient lui montrer son intérieur. Elle perçoit la Trinité et Marie avec les yeux de l'âme. C'est plus tard que Dieu lui dit qu'elle perçoit le Ciel en elle et que tous les anges, les saints et ses frères et sœurs sont en elle, parce qu'elle est un membre du Corps Mystique.
Dans un premier temps, les écrits s'accumulent. Vers la fin de juillet 2001, il lui dit de sortir ses écrits prisonniers dans la machine (ordinateur). Dans une vision, il lui montre des enfants du Tiers-Monde qui se meurent par manque de nourriture. Il lui dit: "Vois ces enfants qui se meurent, ma bien-aimée fille, eux savent qu'ils meurent par manque de nourriture, mais pas mes pauvres petits enfants du monde. Ils se meurent car leurs âmes n'ont pas de nourriture. Sors vite ces écrits, c'est une nourriture pour eux. Vois-tu, ils sont dans un si triste état. Ils sont pires que ces enfants du Tiers-Monde. Combien meurent à chaque jour et perdent la vie éternelle."
C'est dans l'obéissance qu'elle le fait. Cela lui prend un certain temps car elle n'a pas de connaissances dans cette matière. Dieu lui fait savoir qu'il va lui mettre sur sa route des personnes qui vont l'aider. Il lui dit de ne pas s'inquiéter : tout est de lui. Elle reçoit de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit des grâces qui la transforment en être de leur Volonté. Elle garde sa paix en elle, elle s'abandonne à leur Volonté, car elle vit avec eux en leur Présence de voix.
Vers août 2001, dans un second temps, ils lui font part de leur Volonté. Ils lui demandent de faire des petits livrets mais de ne rien changer, sauf la correction de l'orthographe; ce qu'elle fit. Même si les correcteurs s'aperçoivent que les phrases sont parfois dans un langage non conforme à un bon français, ils s'inclinent devant la Volonté de Dieu. Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que la Divine Volonté les formait à l'écoute de sa Volonté, non à celle des hommes. Quelques mois plus tard, Dieu lui dit de faire un livre en plusieurs volumes. C'est dans un abandon total qu'elle le fait, car elle sait que c'est l'œuvre de Dieu, non la sienne.
Dieu lui signale qu'il fera lui-même tout, car c'est lui l'Auteur de ces volumes, non elle. Elle se sent très indigne d'écrire pour Dieu; elle qui, à l'école, n'avait pas de très bonnes notes en français, juste assez pour avoir la moyenne. Son amour pour Dieu, ses frères et sœurs, va jusqu'à s'oublier car tout est pour Dieu.
Tout cela ne se fera pas sans la souffrance, et même ceux qui vont l'aider. Dieu leur dit que tout cela est nécessaire pour leur formation d'amour, qu'il est nécessaire qu'elle souffre et même ceux qui l'aideront à la correction, car Dieu purifie ceux qui s'abandonnent à lui afin de sauver des âmes. Dieu leur dit que tous ceux qui veulent suivre Jésus doivent suivre le même chemin que lui.
Dieu lui fait savoir que chaque mot dans ces volumes sera des grâces d'amour pour les enfants de la terre. Sa joie fut très grande. Tout est dans la Divine Volonté.
La Fille du Oui à Jésus dans la Divine Volonté : Paix à vous mes frères et sœurs. Je suis à l'écoute de la Divine Volonté. Tous nous nous devons d'être à son écoute.
Le chemin qui mène à la vie éternelle est court. Soyons tous en Jésus pour faire de notre vie une vie qui sera à la hauteur de notre espérance. Ne voulons-nous pas tous le bonheur? Allons, mon cher prochain, suivons les pas de Dieu, même s'ils sont difficiles à suivre. La montée vers notre salut est escarpée. Nous devons renoncer à amener avec nous un fardeau trop lourd pour nous : notre volonté humaine. Laissons là, derrière nous, ce fardeau et montons le pas ferme vers le sommet de notre victoire sur nos péchés, là est notre but. Soyons à l'écoute du Vent d'amour qui nous appelle à venir planter, au sommet, notre drapeau dont l'emblème représente deux Cœurs qui brûlent d'amour pour nous : Jésus et Marie nous y attendent.
La Fille du Oui à Jésus
Jésus : Tous les mots écrits l’ont été dans l'Esprit Saint. Pas un seul, je dis bien, pas un seul mot n'est venu d'elle.
Dans un abandon total, cette enfant du oui s'est donnée pour ses frères et sœurs et c'est par amour qu'elle a prononcé son oui à l'Amour. Cette enfant est dans la Divine Volonté. Tous les mots qui ont été écrits par sa main ne sont pas sortis d'elle. Ils sont sous la mouvance de l'Amour. Elle vit en nous, la Divine Volonté.
Pas un je, pas un nous, pas un oui n'ont été écrits par elle dans ces textes sans que moi je l'aie voulu. Elle n'est qu'enveloppe. Elle n'est pas elle, elle est moi par moi. Moi, l'Amour, je suis l'auteur de ces écrits. Rien, absolument rien, mes enfants, n'est sorti d'elle; même ses questionnements ne pouvaient venir d'elle.
Les je t’aime qu’elle me donne viennent de moi en elle, car elle n'est plus elle, elle s'est donnée à l'Amour. Mes enfants, comprenez mes messages. Dans la Divine Volonté de mon Père, je suis elle, elle est moi, elle vit dans la Lumière. Je vous aime, mes enfants de l’Amour. Tout vient de moi. Comme est belle la paix intérieure quand tout se fait en moi!
Mes enfants, laissez-vous couler dans l'Amour et l'Amour vous prendra, l'Amour vous fera vivre en l'Amour. Amen.
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PRÉSENTATION DE LA FILLE DU OUI À JÉSUS
Dieu parle par son instrument d'amour. Il l'appelle sa Fille du Oui à Jésus.
Dieu lui-même a dicté ces mots : Elle est issue d’une famille catholique. Ses parents lui ont montré mes lois d’amour, ce qui l'a rendue respectueuse pour son prochain. Elle s’est mariée, a eu trois enfants qu’elle éleva dans l’amour. Dieu Amour lui donnait des grâces qui lui faisaient sentir sa Présence lors de la communion; elle ressentait une chaleur intérieure. Elle eut des rêves qui la réveillaient tout en pleurs. C'est plus tard qu'elle reçut de Dieu lui-même les explications, au moment où lui le voulait. Cela l'introduisait dans son cheminement: celui de s'abandonner totalement dans la Volonté Divine. Tout était préparé pour elle, cela avant même qu'elle en soit consciente.
En 1998, Marie, votre Mère, la couvre de sa maternelle présence en le lui manifestant par des odeurs de rose et de fleurs du jardin de son Cœur et cela, à plusieurs reprises. Une soif de connaître Jésus Amour lui fait découvrir l’Amour de Dieu le Père et de Dieu le Saint-Esprit. Elle se laisse envahir par leur Présence car, quand elle prie, elle a des extases d’amour. Son état se trouve dans une telle joie qu'elle ne peut l'expliquer tant c'est merveilleux : tout son être est en joie et, en même temps, elle ressent une peine joyeuse qui lui donne une soif d’amour d’aider Jésus crucifié. Elle s’abandonne dans la Volonté de Dieu. Elle apprend à vivre dans la Divine Volonté pour que tout son être puisse offrir des fruits d’amour à Dieu Trinitaire. Elle vit en Jésus, elle agit en Jésus, elle apprend à s’abandonner dans son Être.
En janvier 2001, elle entend avec discernement la voix de Jésus et celle de sa Maman Marie à l'intérieur d'elle, et son ange à l'extérieur d'elle, qui lui parlent. C'est l’Esprit Saint qui la couvre de sa Présence. Elle reçoit des leçons d’amour de Marie qui lui montre à obéir à la Volonté de Dieu. Jésus lui demande d’écrire; elle obéit sans savoir où cela l’amènera. Tout est abandon dans la Divine Volonté. Tout en elle est habité du Dieu Trinitaire.
Dieu Trinitaire lui montre qu’elle est en eux et eux en elle, et que tous ceux que Dieu Trinitaire porte sont en elle. Elle est en communication avec ceux que Dieu le Père consent à ce que leurs voix soient entendues en elle. Tout d‘elle n’est qu’obéissance à sa Volonté. En 2002, à la communion, Dieu amour vient lui montrer son intérieur. Elle perçoit la Trinité et Marie avec les yeux de l'âme. C'est plus tard que Dieu lui dit qu'elle perçoit le Ciel en elle et que tous les anges, les saints et ses frères et sœurs sont en elle, parce qu'elle est un membre du Corps Mystique.
Dans un premier temps, les écrits s'accumulent. Vers la fin de juillet 2001, il lui dit de sortir ses écrits prisonniers dans la machine (ordinateur). Dans une vision, il lui montre des enfants du Tiers-Monde qui se meurent par manque de nourriture. Il lui dit: "Vois ces enfants qui se meurent, ma bien-aimée fille, eux savent qu'ils meurent par manque de nourriture, mais pas mes pauvres petits enfants du monde. Ils se meurent car leurs âmes n'ont pas de nourriture. Sors vite ces écrits, c'est une nourriture pour eux. Vois-tu, ils sont dans un si triste état. Ils sont pires que ces enfants du Tiers-Monde. Combien meurent à chaque jour et perdent la vie éternelle."
C'est dans l'obéissance qu'elle le fait. Cela lui prend un certain temps car elle n'a pas de connaissances dans cette matière. Dieu lui fait savoir qu'il va lui mettre sur sa route des personnes qui vont l'aider. Il lui dit de ne pas s'inquiéter : tout est de lui. Elle reçoit de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit des grâces qui la transforment en être de leur Volonté. Elle garde sa paix en elle, elle s'abandonne à leur Volonté, car elle vit avec eux en leur Présence de voix.
Vers août 2001, dans un second temps, ils lui font part de leur Volonté. Ils lui demandent de faire des petits livrets mais de ne rien changer, sauf la correction de l'orthographe; ce qu'elle fit. Même si les correcteurs s'aperçoivent que les phrases sont parfois dans un langage non conforme à un bon français, ils s'inclinent devant la Volonté de Dieu. Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que la Divine Volonté les formait à l'écoute de sa Volonté, non à celle des hommes. Quelques mois plus tard, Dieu lui dit de faire un livre en plusieurs volumes. C'est dans un abandon total qu'elle le fait, car elle sait que c'est l'œuvre de Dieu, non la sienne.
Dieu lui signale qu'il fera lui-même tout, car c'est lui l'Auteur de ces volumes, non elle. Elle se sent très indigne d'écrire pour Dieu; elle qui, à l'école, n'avait pas de très bonnes notes en français, juste assez pour avoir la moyenne. Son amour pour Dieu, ses frères et sœurs, va jusqu'à s'oublier car tout est pour Dieu.
Tout cela ne se fera pas sans la souffrance, et même ceux qui vont l'aider. Dieu leur dit que tout cela est nécessaire pour leur formation d'amour, qu'il est nécessaire qu'elle souffre et même ceux qui l'aideront à la correction, car Dieu purifie ceux qui s'abandonnent à lui afin de sauver des âmes. Dieu leur dit que tous ceux qui veulent suivre Jésus doivent suivre le même chemin que lui.
Dieu lui fait savoir que chaque mot dans ces volumes sera des grâces d'amour pour les enfants de la terre. Sa joie fut très grande. Tout est dans la Divine Volonté.
La Fille du Oui à Jésus dans la Divine Volonté : Paix à vous mes frères et sœurs. Je suis à l'écoute de la Divine Volonté. Tous nous nous devons d'être à son écoute.
Le chemin qui mène à la vie éternelle est court. Soyons tous en Jésus pour faire de notre vie une vie qui sera à la hauteur de notre espérance. Ne voulons-nous pas tous le bonheur? Allons, mon cher prochain, suivons les pas de Dieu, même s'ils sont difficiles à suivre. La montée vers notre salut est escarpée. Nous devons renoncer à amener avec nous un fardeau trop lourd pour nous : notre volonté humaine. Laissons là, derrière nous, ce fardeau et montons le pas ferme vers le sommet de notre victoire sur nos péchés, là est notre but. Soyons à l'écoute du Vent d'amour qui nous appelle à venir planter, au sommet, notre drapeau dont l'emblème représente deux Cœurs qui brûlent d'amour pour nous : Jésus et Marie nous y attendent.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Neuvaine prise sur internet et quelque peu modifiée par l'Esprit de Dieu qui habite en nous.
Neuvaine au Divin Enfant Jésus
Il règnera très bientôt dans les cœurs de tous les enfants du oui à l'Amour.
Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Divin Enfant Jésus, notre Roi d'Amour, notre Dieu tout-puissant, tu possèdes toute chose en tes mains. Tu désires ton règne: «Viens régner en nos cœurs, nous ne voulons que toi». Pardonne nos mauvais choix, personne ne peut résister à ton amour miséricordieux. Tu as créé le ciel et la terre et tout ce qui s'y trouve. Dieu de nos pères, qui donc peut faire face à ta Majesté? Tu es le Maître de toute chose. Divine Majesté, prends pitié de nous, car les esprits impurs veulent notre perte, et nombreuses sont leurs tentations qui nous assaillent. Toi qui as dit: «Demandez et vous recevrez, car celui qui demande peu recevra peu.» Et aussi: «Tout ce que vous demanderez à mon Père, en mon Nom, vous sera accordé. Demandez avec foi, car mon Père écoute vos prières. Il pardonne vos péchés et éloigne de vous les châtiments: conséquences de vos choix». Fais, Seigneur, que nos larmes soient changées en joie, pour qu'en vivant sur cette terre nous louions sans cesse ton Saint Nom et, après cette vie, nous continuions de te louer éternellement au Ciel. Amen.
Notre Père, Je vous salue Marie, Gloire au Père.
Seigneur Jésus, tu as dit: «Tout ce que vous voudrez me demander, demandez-le par les mérites de mon enfance, car tout sera accordé à ceux qui m'invoquent ainsi.» Par les mérites et les vertus de ton enfance, je viens t'invoquer et te prier avec foi, Divin Enfant Jésus, Roi d'Amour, pour tous tes enfants. Je t'aime tant, tu le sais, mais je voudrais t'aimer encore plus, jusqu'à en mourir. Viens à moi, Enfant Jésus, viens en mon cœur, permets-moi de t'adorer. Doux Pasteur de mon âme, avec toi, je ne manque de rien, car tu me conduis aux sources paisibles où je refais mes forces. Sers-toi de mes forces que tu régénères sans cesse. Dans la Divine Volonté, chasse loin de tous tes enfants les tentations, car mes refus aux tentations seront leurs refus, c'est toi qui le feras. Nous t'en supplions, petit Enfant Jésus, fais tout pour nous. Tout le long de ton enfance, tu as gardé dans ton cœur l'amour de ton Père du Ciel et de ta tendre Maman Marie. Tu n'as jamais oublié de prier pour Joseph, ton père putatif, et ta future Église. Toujours, tu nous conduis sur le droit chemin, et quand nous marchons sur les sentiers obscurs, tu es près de nous; par ta houlette, nous sommes protégés, et toujours ta bonté et ta miséricorde accompagnent notre vie. Doux Enfant Jésus, Enfant chéri de notre âme, nous sommes tout à toi, notre âme est tienne. Puisque tu nous as rachetés sur la croix du prix de ton Sang, nous te reconnaissons comme notre unique Sauveur, notre Rédempteur, notre Ami, notre Frère, notre Roi et notre Créateur. Guéris notre amour blessé et, un jour, nous te le montrerons intact de toute imperfection. Donne-nous ta sainte bénédiction, au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Jésus, Marie, Joseph, bénissez nos foyers.
Jésus, Marie, Joseph, sauvez-nous.
Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Première réflexion: Jésus change l'eau en vin à Cana (Saint Jean 2)
Deuxième réflexion: Jésus guérit un sourd et muet (Saint Marc 7: 31-37)
Troisième réflexion: Jésus désire la conversion des pécheurs (Saint Luc 15: 1-10)
Quatrième réflexion: Jésus est notre berger (Saint Jean 10: 11-16)
Cinquième réflexion: Jésus soigne un aveugle (Saint Luc 18: 31-43)
Sixième réflexion: Jésus est transfiguré dans la gloire (Saint Matthieu 17: 1-13)
Septième réflexion: Jésus multiplie les pains (Saint Jean 6: 1-15)
Huitième réflexion: Jésus nous donne un exemple d'humilité et de charité lors de la Dernière Cène
(Saint Jean 13: 1-17)
Neuvième réflexion: Jésus ressuscité se manifeste à ses disciples (Saint Jean 20: 19-29)
Neuvaine au Divin Enfant Jésus
Il règnera très bientôt dans les cœurs de tous les enfants du oui à l'Amour.
Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Divin Enfant Jésus, notre Roi d'Amour, notre Dieu tout-puissant, tu possèdes toute chose en tes mains. Tu désires ton règne: «Viens régner en nos cœurs, nous ne voulons que toi». Pardonne nos mauvais choix, personne ne peut résister à ton amour miséricordieux. Tu as créé le ciel et la terre et tout ce qui s'y trouve. Dieu de nos pères, qui donc peut faire face à ta Majesté? Tu es le Maître de toute chose. Divine Majesté, prends pitié de nous, car les esprits impurs veulent notre perte, et nombreuses sont leurs tentations qui nous assaillent. Toi qui as dit: «Demandez et vous recevrez, car celui qui demande peu recevra peu.» Et aussi: «Tout ce que vous demanderez à mon Père, en mon Nom, vous sera accordé. Demandez avec foi, car mon Père écoute vos prières. Il pardonne vos péchés et éloigne de vous les châtiments: conséquences de vos choix». Fais, Seigneur, que nos larmes soient changées en joie, pour qu'en vivant sur cette terre nous louions sans cesse ton Saint Nom et, après cette vie, nous continuions de te louer éternellement au Ciel. Amen.
Notre Père, Je vous salue Marie, Gloire au Père.
Seigneur Jésus, tu as dit: «Tout ce que vous voudrez me demander, demandez-le par les mérites de mon enfance, car tout sera accordé à ceux qui m'invoquent ainsi.» Par les mérites et les vertus de ton enfance, je viens t'invoquer et te prier avec foi, Divin Enfant Jésus, Roi d'Amour, pour tous tes enfants. Je t'aime tant, tu le sais, mais je voudrais t'aimer encore plus, jusqu'à en mourir. Viens à moi, Enfant Jésus, viens en mon cœur, permets-moi de t'adorer. Doux Pasteur de mon âme, avec toi, je ne manque de rien, car tu me conduis aux sources paisibles où je refais mes forces. Sers-toi de mes forces que tu régénères sans cesse. Dans la Divine Volonté, chasse loin de tous tes enfants les tentations, car mes refus aux tentations seront leurs refus, c'est toi qui le feras. Nous t'en supplions, petit Enfant Jésus, fais tout pour nous. Tout le long de ton enfance, tu as gardé dans ton cœur l'amour de ton Père du Ciel et de ta tendre Maman Marie. Tu n'as jamais oublié de prier pour Joseph, ton père putatif, et ta future Église. Toujours, tu nous conduis sur le droit chemin, et quand nous marchons sur les sentiers obscurs, tu es près de nous; par ta houlette, nous sommes protégés, et toujours ta bonté et ta miséricorde accompagnent notre vie. Doux Enfant Jésus, Enfant chéri de notre âme, nous sommes tout à toi, notre âme est tienne. Puisque tu nous as rachetés sur la croix du prix de ton Sang, nous te reconnaissons comme notre unique Sauveur, notre Rédempteur, notre Ami, notre Frère, notre Roi et notre Créateur. Guéris notre amour blessé et, un jour, nous te le montrerons intact de toute imperfection. Donne-nous ta sainte bénédiction, au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Jésus, Marie, Joseph, bénissez nos foyers.
Jésus, Marie, Joseph, sauvez-nous.
Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Première réflexion: Jésus change l'eau en vin à Cana (Saint Jean 2)
Deuxième réflexion: Jésus guérit un sourd et muet (Saint Marc 7: 31-37)
Troisième réflexion: Jésus désire la conversion des pécheurs (Saint Luc 15: 1-10)
Quatrième réflexion: Jésus est notre berger (Saint Jean 10: 11-16)
Cinquième réflexion: Jésus soigne un aveugle (Saint Luc 18: 31-43)
Sixième réflexion: Jésus est transfiguré dans la gloire (Saint Matthieu 17: 1-13)
Septième réflexion: Jésus multiplie les pains (Saint Jean 6: 1-15)
Huitième réflexion: Jésus nous donne un exemple d'humilité et de charité lors de la Dernière Cène
(Saint Jean 13: 1-17)
Neuvième réflexion: Jésus ressuscité se manifeste à ses disciples (Saint Jean 20: 19-29)
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Montréal, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2001-12-10
Dieu Trinitaire : Mes enfants, moi, Dieu tout-puissant vous a réunis ce soir, vous tous, mes enfants; vous vivez en Dieu par votre propre oui à l’Amour; vous venez ici en vue de vous aimer.
Mes enfants, par cette Voix, je fais résonance en la Fille du Oui à Jésus que j’ai moi-même choisie de toute éternité pour que vous sachiez que je vous aime.
Cette enfant a prononcé son oui à l’Amour pour que vous, mes enfants, soyez en présence de vue de Jésus; elle a crié très fort la venue de Jésus pour ce monde entier; elle a pleuré sur ses manquements et sur vos manquements envers nous, la Trinité, et Marie : ma tendre Enfant, ma Fille, mon Épouse; j’ai entendu son cri qui venait de son oui à l’Amour.
Mes enfants, j’ai préparé cette enfant, pour ce moment, avant même qu’elle soit dans le sein de sa mère terrestre; tout d’elle est notre œuvre; mes doux enfants, elle va faire présence ce soir pour que vous sachiez que j’ai fait en vous mon œuvre : celle de faire de vous des êtres qui se donnent à vos frères et à vos sœurs, votre prochain; mes enfants, oui, tout en elle est habité de nous, la Trinité.
Vous, petits enfants, vous qui êtes ici ce soir en la présence de mon action d’amour dans cette enfant, je fais action en vous : vous êtes habités vous aussi de moi, Dieu Trinitaire; nous sommes la Trinité : moi Père, moi Jésus Crucifié, moi la Sainte Trinité en l’Esprit d’amour.
Tout de vous, mes enfants, est nous, nous, qui vous habitons; nous venons vous démontrer que notre puissance peut faire de vous, mes enfants, des êtres d’amour, en vous démontrant que vous venez de nous.
Nous, l’Amour, nous avons conçu ce monde afin qu’il soit heureux, en harmonie dans l’amour.
Jésus : Vous, petits enfants, vous vous découvrez malheureux, seuls avec vous-mêmes, sans espoir. Vous regardez en face de vous, et que voyez-vous? Un être qui a déambulé dans un monde où il ne s’est pas reconnu.
Il ne sait pas, cet enfant, qui il est, d’où il vient et pourquoi il est ici, pourquoi ce monde qui est sec, qui ne lui donne rien, qui n’a rien à lui apporter?
Alors, cet enfant se retire en lui-même, en ne sachant pas qu’il est aimé, non par ce monde, car voyez-vous, ce monde est composé d’enfants comme lui, d’enfants qui ne savent pas qui ils sont; cet enfant, qui est malheureux, est en lui dans une très grande tristesse.
Un jour, là tout au fond de lui, il se met à chercher, à crier : "J’en ai assez, j’ai mal, j’ai mal d’amour. Qui va m’aimer, qui va prendre soin de moi? Si je ne trouve pas l’amour, je vais disparaître pour ne plus être."
En chacun de vous, mes doux enfants d’amour, cet enfant, c’est moi qui déambule en vous; c’est moi, l’Amour, qui cherche l’amour, qui ne trouve rien de l’amour, parce que l’être dans lequel je vis est vide : il n’est pas rempli d’amour; alors, moi, je vais vous montrer qu’il peut être heureux.
En chacun des enfants de cette terre, je vais venir en lui; oh! pas en voulant violer sa vie, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas violent, je suis l’Amour; je vais faire descendre en lui des réalités; je vais laisser souffler l’amour : cet amour qu’il ne veut pas, cet amour qu’il refuse.
Il viendra une lumière, par mon amour; cette lumière, c’est mon Esprit d’amour qui a toute puissance.
Je mettrai en cet enfant, aux enfants de toute la terre, une petite chaleur; cette chaleur le portera à venir en lui et, là, il sera bien obligé de venir, car dehors il va faire trop froid.
Il ne pourra plus bouger, il voudra se réchauffer; j’illuminerai son intérieur pour qu’il voit clair, car dehors il fera noir : aucune lumière ne pourra l’éclairer et là, il viendra en lui : il sera dans cette lumière au chaud.
Une plus grande lumière scintillera et cette lumière commencera à prendre forme; il sera pétrifié parce qu’il ne saura pas ce qui se passe et, là, tranquillement, avec douceur, je me montrerai à lui, je lui dirai que je suis Jésus Amour, je lui dirai que je l’aime et que je veux qu’il m’aime; là, il prendra conscience de tout ce qu’il a manqué en ne venant pas à moi, Jésus.
Je verrai, moi, son intérieur; je ne l’effaroucherai pas, mes enfants, je ferai attention à lui en lui donnant des grâces de repentir, pour qu’il ne tombe pas dans le désespoir; il recevra, dans son repentir, des grâces de force; il saura que je l’aime, il prendra conscience de mon amour pour lui; mes enfants, cet enfant, c’est peut-être vous qui êtes ici ce soir.
Ah! mes amours, il y a tant à m’offrir, n’attendez pas ce moment, donnez-moi, là, à l’instant, de l’amour.
Venez à moi, vous, petits enfants, qui avez mal, parce que personne ne vous a dit que moi, Jésus Amour, je vous aime tels comme vous êtes; laissez-moi vous montrer, par mon amour, que vous pouvez vous aimer vous aussi: vous deviendrez amour.
Celui qui a peur, moi, je ferai découvrir à son être que je suis douceur et que, lui, il est douceur, qu'il n’est pas un enfant violent; ce qui a été violent à l’extérieur de lui, c’est qu’il ne savait pas que je l’aimais; alors, en ne sachant pas qu’il était aimé, il était porté à se servir de ses poings et de ses paroles, c’est ce qui le rendait en état de défense contre ce qu’il ne comprenait pas.
Vous, mes enfants, combien avez-vous fait de cet usage contre vous, contre votre prochain, afin de vous démontrer que vous étiez un être qui avait besoin de respect, un être qui voulait que les autres écoutent? Moi, à l’intérieur de vous, je vais vous montrer que vous êtes un enfant d’amour.
Je suis en vous et je vous aime tels que vous êtes, c’est moi qui vais vous aider à prendre conscience que vous pouvez vous aider en venant vers moi, en me laissant agir, en laissant de côté tout ce qui n’est pas pour vous.
Il sera difficile pour chacun de vous de renoncer globalement en un clin d’œil; n’essayez même pas, mes enfants, car vous allez vous retrouver dans un échec, tout comme vous l’avez toujours été sans moi.
Moi par votre présence en mon Être, moi Jésus, moi l’Amour, je vais déposer en vous des grâces; ces grâces, mes enfants, c’est de la nourriture, de la nourriture pour votre âme, celle qui vous apprend à absorber de la nourriture pour distribuer à tout votre être : le bonheur, la paix, le calme; c’est moi cette Nourriture, c’est moi la Vie, votre vie.
Laissez-moi agir, je suis l’Amour, je suis l’Être d’amour qui est en vous; n’usez plus, mes enfants, de votre propre agir.
La volonté de l’homme est bien défaillante, elle cause tant d’erreurs; elle vous a fait souffrir depuis des milliers d’années, mes enfants.
En avez-vous assez de vivre de votre propre volonté, cela, mes enfants, n’est pas bon pour vous. Je ne veux pas, moi, vous enlever ce qui est à vous, je veux tout simplement que vous preniez ma Vie; moi, mes enfants, je veux prendre votre vie et je la changerai en amour en prenant soin de respecter qui vous êtes, en ne voulant pas changer vos tempéraments.
Mes enfants, c’est nous, la Trinité, qui vous avons donné des dons; certains s’en sont servi pour aider leur prochain dans la médecine, dans l’instruction, dans la formation (pour le) matériel; tous ces dons, mes enfants, font partie de vous; moi, je vais tout simplement vous démontrer que vous êtes des enfants qui pouvez vous servir de vos dons dans l’amour, pour l’amour, pour vous, mes enfants.
Voyez-vous, ma Vie en échange de votre vie est beaucoup mieux; moi, je suis un Être d’amour, plein de joie, plein d’espoir dans le bonheur, car je suis le Bonheur, je suis la Vie éternelle.
Je vais améliorer, mes enfants, votre vie sur cette terre; je vais la rendre d’une telle joie que, vous, mes enfants, vous ne pouvez même pas vous imaginer la profondeur de cette proposition.
Mes enfants, je ne suis pas venu ici en magicien; détrompez vous, je suis Fils de Dieu Vivant : je suis Jésus Crucifié; j’ai peiné sur cette terre tout comme vous; j’ai souffert et je souffre de vos manquements; je vais vous donner, mes enfants, la force dans le Vouloir de mon Père, pour que vous fassiez tout pour la Gloire de mon Père, dans la Volonté de mon Père.
Cela, mes enfants, est un monde nouveau; il n’y aura plus de domination sur l’un ou sur l’autre, vous serez en formation d’amour pour devenir des êtres d’amour : avec vos efforts dans les miens, c’est moi qui vais agir.
Si vous ne venez pas en moi, si vous ne vous abandonnez pas en moi, comment voulez-vous que je puisse agir?
J’ai besoin de votre oui à l’Amour, j’ai besoin de votre consentement de vouloir vivre dans la Volonté de mon Père en renonçant à votre volonté humaine; en cela, mes enfants, vous avez des efforts à faire en me remettant tout, en voulant tout me donner avec confiance, avec amour, pour votre Dieu, pour vous, mes enfants : à vous de réaliser l’ampleur de cette demande.
Si, ce soir, vous ne prenez pas cette décision, moi, Jésus amour, je vais attendre en vous encore et encore en me laissant dans cet enfant qui marche en cherchant l’amour.
Si, vous, vous décidez d’être comme cet enfant, alors viendra le jour où cette lumière viendra en vous et, là, vous devrez prendre cette décision que je vous demande ce soir.
C’est à vous, mes enfants, et à vous seuls, de savoir si vous voulez dès cet instant devenir amour, afin que vous puissiez aider mes enfants qui, eux, sont dans la noirceur, dans cette froideur de ce monde.
Moi, Jésus Amour, je vous aime; je suis votre Dieu, je suis Celui qui est mort sur la Croix pour que vous soyez heureux malgré vous, mes enfants : voici le poids que je porte depuis tant d’années.
JE VOUS AIME, AIMEZ-VOUS.
Amen.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2001-12-10
Dieu Trinitaire : Mes enfants, moi, Dieu tout-puissant vous a réunis ce soir, vous tous, mes enfants; vous vivez en Dieu par votre propre oui à l’Amour; vous venez ici en vue de vous aimer.
Mes enfants, par cette Voix, je fais résonance en la Fille du Oui à Jésus que j’ai moi-même choisie de toute éternité pour que vous sachiez que je vous aime.
Cette enfant a prononcé son oui à l’Amour pour que vous, mes enfants, soyez en présence de vue de Jésus; elle a crié très fort la venue de Jésus pour ce monde entier; elle a pleuré sur ses manquements et sur vos manquements envers nous, la Trinité, et Marie : ma tendre Enfant, ma Fille, mon Épouse; j’ai entendu son cri qui venait de son oui à l’Amour.
Mes enfants, j’ai préparé cette enfant, pour ce moment, avant même qu’elle soit dans le sein de sa mère terrestre; tout d’elle est notre œuvre; mes doux enfants, elle va faire présence ce soir pour que vous sachiez que j’ai fait en vous mon œuvre : celle de faire de vous des êtres qui se donnent à vos frères et à vos sœurs, votre prochain; mes enfants, oui, tout en elle est habité de nous, la Trinité.
Vous, petits enfants, vous qui êtes ici ce soir en la présence de mon action d’amour dans cette enfant, je fais action en vous : vous êtes habités vous aussi de moi, Dieu Trinitaire; nous sommes la Trinité : moi Père, moi Jésus Crucifié, moi la Sainte Trinité en l’Esprit d’amour.
Tout de vous, mes enfants, est nous, nous, qui vous habitons; nous venons vous démontrer que notre puissance peut faire de vous, mes enfants, des êtres d’amour, en vous démontrant que vous venez de nous.
Nous, l’Amour, nous avons conçu ce monde afin qu’il soit heureux, en harmonie dans l’amour.
Jésus : Vous, petits enfants, vous vous découvrez malheureux, seuls avec vous-mêmes, sans espoir. Vous regardez en face de vous, et que voyez-vous? Un être qui a déambulé dans un monde où il ne s’est pas reconnu.
Il ne sait pas, cet enfant, qui il est, d’où il vient et pourquoi il est ici, pourquoi ce monde qui est sec, qui ne lui donne rien, qui n’a rien à lui apporter?
Alors, cet enfant se retire en lui-même, en ne sachant pas qu’il est aimé, non par ce monde, car voyez-vous, ce monde est composé d’enfants comme lui, d’enfants qui ne savent pas qui ils sont; cet enfant, qui est malheureux, est en lui dans une très grande tristesse.
Un jour, là tout au fond de lui, il se met à chercher, à crier : "J’en ai assez, j’ai mal, j’ai mal d’amour. Qui va m’aimer, qui va prendre soin de moi? Si je ne trouve pas l’amour, je vais disparaître pour ne plus être."
En chacun de vous, mes doux enfants d’amour, cet enfant, c’est moi qui déambule en vous; c’est moi, l’Amour, qui cherche l’amour, qui ne trouve rien de l’amour, parce que l’être dans lequel je vis est vide : il n’est pas rempli d’amour; alors, moi, je vais vous montrer qu’il peut être heureux.
En chacun des enfants de cette terre, je vais venir en lui; oh! pas en voulant violer sa vie, je ne suis pas un voleur, je ne suis pas violent, je suis l’Amour; je vais faire descendre en lui des réalités; je vais laisser souffler l’amour : cet amour qu’il ne veut pas, cet amour qu’il refuse.
Il viendra une lumière, par mon amour; cette lumière, c’est mon Esprit d’amour qui a toute puissance.
Je mettrai en cet enfant, aux enfants de toute la terre, une petite chaleur; cette chaleur le portera à venir en lui et, là, il sera bien obligé de venir, car dehors il va faire trop froid.
Il ne pourra plus bouger, il voudra se réchauffer; j’illuminerai son intérieur pour qu’il voit clair, car dehors il fera noir : aucune lumière ne pourra l’éclairer et là, il viendra en lui : il sera dans cette lumière au chaud.
Une plus grande lumière scintillera et cette lumière commencera à prendre forme; il sera pétrifié parce qu’il ne saura pas ce qui se passe et, là, tranquillement, avec douceur, je me montrerai à lui, je lui dirai que je suis Jésus Amour, je lui dirai que je l’aime et que je veux qu’il m’aime; là, il prendra conscience de tout ce qu’il a manqué en ne venant pas à moi, Jésus.
Je verrai, moi, son intérieur; je ne l’effaroucherai pas, mes enfants, je ferai attention à lui en lui donnant des grâces de repentir, pour qu’il ne tombe pas dans le désespoir; il recevra, dans son repentir, des grâces de force; il saura que je l’aime, il prendra conscience de mon amour pour lui; mes enfants, cet enfant, c’est peut-être vous qui êtes ici ce soir.
Ah! mes amours, il y a tant à m’offrir, n’attendez pas ce moment, donnez-moi, là, à l’instant, de l’amour.
Venez à moi, vous, petits enfants, qui avez mal, parce que personne ne vous a dit que moi, Jésus Amour, je vous aime tels comme vous êtes; laissez-moi vous montrer, par mon amour, que vous pouvez vous aimer vous aussi: vous deviendrez amour.
Celui qui a peur, moi, je ferai découvrir à son être que je suis douceur et que, lui, il est douceur, qu'il n’est pas un enfant violent; ce qui a été violent à l’extérieur de lui, c’est qu’il ne savait pas que je l’aimais; alors, en ne sachant pas qu’il était aimé, il était porté à se servir de ses poings et de ses paroles, c’est ce qui le rendait en état de défense contre ce qu’il ne comprenait pas.
Vous, mes enfants, combien avez-vous fait de cet usage contre vous, contre votre prochain, afin de vous démontrer que vous étiez un être qui avait besoin de respect, un être qui voulait que les autres écoutent? Moi, à l’intérieur de vous, je vais vous montrer que vous êtes un enfant d’amour.
Je suis en vous et je vous aime tels que vous êtes, c’est moi qui vais vous aider à prendre conscience que vous pouvez vous aider en venant vers moi, en me laissant agir, en laissant de côté tout ce qui n’est pas pour vous.
Il sera difficile pour chacun de vous de renoncer globalement en un clin d’œil; n’essayez même pas, mes enfants, car vous allez vous retrouver dans un échec, tout comme vous l’avez toujours été sans moi.
Moi par votre présence en mon Être, moi Jésus, moi l’Amour, je vais déposer en vous des grâces; ces grâces, mes enfants, c’est de la nourriture, de la nourriture pour votre âme, celle qui vous apprend à absorber de la nourriture pour distribuer à tout votre être : le bonheur, la paix, le calme; c’est moi cette Nourriture, c’est moi la Vie, votre vie.
Laissez-moi agir, je suis l’Amour, je suis l’Être d’amour qui est en vous; n’usez plus, mes enfants, de votre propre agir.
La volonté de l’homme est bien défaillante, elle cause tant d’erreurs; elle vous a fait souffrir depuis des milliers d’années, mes enfants.
En avez-vous assez de vivre de votre propre volonté, cela, mes enfants, n’est pas bon pour vous. Je ne veux pas, moi, vous enlever ce qui est à vous, je veux tout simplement que vous preniez ma Vie; moi, mes enfants, je veux prendre votre vie et je la changerai en amour en prenant soin de respecter qui vous êtes, en ne voulant pas changer vos tempéraments.
Mes enfants, c’est nous, la Trinité, qui vous avons donné des dons; certains s’en sont servi pour aider leur prochain dans la médecine, dans l’instruction, dans la formation (pour le) matériel; tous ces dons, mes enfants, font partie de vous; moi, je vais tout simplement vous démontrer que vous êtes des enfants qui pouvez vous servir de vos dons dans l’amour, pour l’amour, pour vous, mes enfants.
Voyez-vous, ma Vie en échange de votre vie est beaucoup mieux; moi, je suis un Être d’amour, plein de joie, plein d’espoir dans le bonheur, car je suis le Bonheur, je suis la Vie éternelle.
Je vais améliorer, mes enfants, votre vie sur cette terre; je vais la rendre d’une telle joie que, vous, mes enfants, vous ne pouvez même pas vous imaginer la profondeur de cette proposition.
Mes enfants, je ne suis pas venu ici en magicien; détrompez vous, je suis Fils de Dieu Vivant : je suis Jésus Crucifié; j’ai peiné sur cette terre tout comme vous; j’ai souffert et je souffre de vos manquements; je vais vous donner, mes enfants, la force dans le Vouloir de mon Père, pour que vous fassiez tout pour la Gloire de mon Père, dans la Volonté de mon Père.
Cela, mes enfants, est un monde nouveau; il n’y aura plus de domination sur l’un ou sur l’autre, vous serez en formation d’amour pour devenir des êtres d’amour : avec vos efforts dans les miens, c’est moi qui vais agir.
Si vous ne venez pas en moi, si vous ne vous abandonnez pas en moi, comment voulez-vous que je puisse agir?
J’ai besoin de votre oui à l’Amour, j’ai besoin de votre consentement de vouloir vivre dans la Volonté de mon Père en renonçant à votre volonté humaine; en cela, mes enfants, vous avez des efforts à faire en me remettant tout, en voulant tout me donner avec confiance, avec amour, pour votre Dieu, pour vous, mes enfants : à vous de réaliser l’ampleur de cette demande.
Si, ce soir, vous ne prenez pas cette décision, moi, Jésus amour, je vais attendre en vous encore et encore en me laissant dans cet enfant qui marche en cherchant l’amour.
Si, vous, vous décidez d’être comme cet enfant, alors viendra le jour où cette lumière viendra en vous et, là, vous devrez prendre cette décision que je vous demande ce soir.
C’est à vous, mes enfants, et à vous seuls, de savoir si vous voulez dès cet instant devenir amour, afin que vous puissiez aider mes enfants qui, eux, sont dans la noirceur, dans cette froideur de ce monde.
Moi, Jésus Amour, je vous aime; je suis votre Dieu, je suis Celui qui est mort sur la Croix pour que vous soyez heureux malgré vous, mes enfants : voici le poids que je porte depuis tant d’années.
JE VOUS AIME, AIMEZ-VOUS.
Amen.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Lancement du Volume 1
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Sherbrooke, Québec,
par son instrument la Fille du Oui à Jésus
2002-08-02
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je suis en présence de Dieu, je répète ce qu’il me dit.
Dieu le Père : Je suis avec vous, mes enfants, je suis la Toute-Puissance. J’ai fait naître en chacun de vous ma Présence. Vous devez vous reconnaître miens; vous êtes à moi, tout comme cette enfant, qui parle, est à moi; elle m’appartient : par son oui, elle s’est donnée. Vous, mes bien-aimés, je vous veux en moi : je veux que vous mouriez en moi.
Ce temps, mes enfants, est un temps de reconnaissance : vous avez oublié qui vous êtes, de qui vous venez. Vous venez de moi, Dieu le Père, vous appartenez à mon Être. Mes enfants d’amour, beaucoup d’entre vous, vous avez oublié que je vis en vous, que je suis la Présence.
Ces enfants qui sont venus avant vous dans une terre aride, dans des lieux inconnus d’eux, se sont acheminés vers ma Terre Promise.
Eux savaient que je les guidais malgré leur entêtement, malgré les manies qu’ils avaient.
Vous, mes enfants, vous tous ici et tous ceux que vous portez en vous, vous avez oublié votre Dieu.
Il est venu, par le oui à Marie, à vous; il s’est présenté à vous; il vous a donné sa richesse; il vous a procuré son bien, et vous avez, vous, mes enfants, préféré le matériel.
Vous avez délaissé mes propres lois pour former vos propres désirs : cela vous convenait.
Jésus : Oh! mes bien-aimés, oh! mes douceurs, je ne suis pas ici, ce soir, pour vous réprimander, oh non!
Je me présente à vous pour vous supplier d’écouter ma voix, celle qui crie à l’intérieur de vous :
Réveillez-vous, ne vous laissez plus prendre par mon ennemi. Il veut votre perte, il veut vous arracher de moi, car il sait, lui, que vous m’appartenez. Il m’a vu, lui, sur la Croix, et il s’est juré, mes enfants, de vous avoir. Il ne peut supporter les grâces que je dépose en vous; alors, il a fait en sorte de bloquer mes élans d’amour.
Il est venu effrontément en vous, en vous faisant connaître l’indifférence.
Vous vous laissez engourdir par de belles paroles dites par mes propres enfants.
Qui de vous, mes enfants, regardent des émissions de télévision parlant contre vos frères, contre vos sœurs?
Oh! mes bien-aimés, vous vous êtes laissé prendre à son jeu!
Oh! mes doux agneaux, ne reconnaissez-vous pas la voix de votre bon Pasteur?
Il crie en vous, il vous appelle à venir à lui.
Mes enfants, j'use, moi aussi, d’instruments, je me sers aussi de vous, mais moi, je le fais avec votre consentement : je ne vous prends rien.
Je connais tout de vous, je sais qui a ouvert son cœur pour me laisser utiliser son être.
Mes enfants, êtes-vous prêts à vous laisser utiliser pour ceux qui se sont laissés engourdir par Satan?
Je vous appelle à l’amour et c’est un cri d’alarme, mes enfants.
J’ai préparé moi-même votre formation.
Votre bon Pasteur vous appelle à l’amour : à l’amour du prochain.
Je veux, mes enfants, vous redonner ce que j’avais donné à mes saints apôtres : mes enseignements d’amour. Ils sont en vous. Vous les connaissez mes enseignements, mes enfants. Il faut maintenant que vous, vous soyez à l’école de l’Amour pour vivre ces enseignements. Oui, mon saint fils (l’abbé Martel), ce soir, tu as proclamé ma Volonté :
Je veux, mes enfants, que vous viviez l’amour, qu’il s’imprègne en vous.
Je suis un Dieu d’amour, je suis un Dieu plein d’espérance.
Je veux vous apporter le bonheur, ce bonheur éternel, celui qui vous est destiné.
Au premier temps, il y eut Adam. Il a reçu de moi un souffle d’amour. Ce souffle, mes enfants, ne s’est jamais interrompu : il est en vous, il vit en vous; il fait partie de vous, car moi, je vous habite.
Je suis votre joie, je suis votre tendresse, je suis votre patience; je suis, mes enfants, tout ce que vous êtes de bon!
Vous utilisez mon amour, mais vous êtes ignorants que c’est moi qui vis en vous.
Vous ne pourriez, mes enfants, être bons, être aimables, être gentils, si moi, je ne serais pas en vous.
Vous me cherchez et pourtant, mes enfants, vous m’utilisez.
Reconnaissez-vous être de mon Être.
Le souffle qui vous fait vivre, mes enfants, c’est le mien.
Est-ce que je peux, mes enfants, vous donner un souffle et me retirer de vous?
Ce souffle ne serait pas vivant; c’est moi qui vous fais vivre.
Je suis, vous, mes enfants : il faut vous reconnaître en êtres d’amour.
Vous déambulez sans savoir qui vous êtes, qui vous fait vivre.
Vous êtes devenus des enfants indépendants de ce que vous êtes.
Vous regardez un miroir, vous ne voyez qu’un reflet.
Moi, mes enfants, quand je regarde votre reflet : je me vois, parce que je vous aime, parce que j’aime tout de vous; votre faiblesse, mes enfants, je l’ai prise, je l’ai apportée à la mort.
Vous avez, mes enfants, fait vous-mêmes votre propre croix en vivant avec vos faiblesses.
Moi, mes amours, je me suis étendu sur cette Croix, je me suis laissé attacher à vos faiblesses pour mieux vous aider à mieux me les donner.
Mes enfants, n’ai-je pas, moi, mérité de vous avoir en moi?
C’est vous qui refusez de me donner ce qui m’appartient : votre faiblesse, vos péchés, mes enfants.
Vous ne pourriez, mes enfants, vivre sans ma force, car un seul péché, et je dis bien, mes enfants, un seul péché vous ferait écrouler.
En apportant dans ma mort vos péchés, je vous ai légué ma force.
À vous de savoir si vous voulez de ma Présence en vous : ma présence de miséricorde; cette présence est pour chacun de vous.
Vous devez garder en vous la certitude que je vous ai sauvés.
Une faiblesse, mes enfants, avouée est une faiblesse présentée.
Une faiblesse, mes enfants, regrettée est une faiblesse d’amour.
Je vous ai donné, par mes saints fils, le moyen de l’amour dans le sacrement de la Pénitence.
Je connais en vous vos regrets; je connais votre élan d’amour.
Maintenant, mes enfants, je vous appelle à venir déposer en moi votre faiblesse, car tous ceux qui retiennent en eux des faiblesses non avouées à un prêtre, traînent en eux un fardeau qui les empêche de devenir amour.
Devenir amour, mes enfants, c’est de se donner à ses frères et ses sœurs.
Quand vous gardez en vous un péché, même si celui-ci est dans le regret, vous vous créez des peurs.
La peur, mes enfants, engendre le mal, car vous êtes portés à vous défendre avec votre propre faiblesse.
Comment pouvez-vous donner de l’amour à votre prochain, si vous avez en vous des faiblesses qui vous empêchent de vous voir tels que vous êtes?
Vous êtes des êtres d’amour, vous êtes des êtres qui viennent de moi : vous venez de mon Être.
Je suis l’Amour et l’Amour veut que vous donniez de l’amour à votre frère, à votre sœur.
Celui qui se tient dans le regret, sans aller chercher des grâces par le sacrement de la Pénitence, met en lui un empêchement : il se garde sur la défense, il ne perçoit pas qu’un autre le regarde avec mes yeux.
Oui, mes enfants, beaucoup d’enfants vont bientôt devenir amour dans une totalité et ceux qui seront dans la faiblesse seront dans des interrogations.
Ils se demanderont : "Pourquoi lui est amour et moi, j’ai mal? Pourquoi tant de faiblesses en moi? Qu'est ce qui m’empêche d’être amour, alors que je ne cesse de donner mon oui?"
Mes enfants, c’est que seul moi, je vous rends amour par mes grâces d’amour.
Allez, mes enfants, n’ayez pas peur!
Je me suis présenté à mon Père en état de péché : j’ai porté tous vos péchés; aucun de vous ne m’êtes inconnu.
J’ai accepté de prendre en moi tout ce qui n’était pas amour en vous, parce que, mes enfants, mon Père du Ciel a de l’amour pour chacun de vous.
Il vous a tous choisis pour que vous soyez tous enfants d’amour.
Ne laissez pas vos jugements empêcher votre intérieur de recevoir ces grâces d’amour.
C’est vous seuls, mes enfants, qui avez en vous cette liberté.
Personne ne peut prendre votre vie : le oui, mes enfants, est la vie.
C’est de votre vie, mes enfants, que vous avez à répondre.
Laissez-vous transformer par l’Amour; laissez-vous prendre par ses élans.
Vous êtes tous appelés à vivre éternellement dans un bonheur sans fin.
Mes enfants d’amour, vous êtes vivants par moi, vous avez la vie en vous : cette vie est éternelle.
Elle ne vient pas, mes enfants, après votre mort terrestre, elle est déjà commencée en moi, car je suis la Vie éternelle.
Je vous ai portés avant votre mère terrestre.
Mais voyez-vous, il y a une épreuve à passer et cette épreuve : c’est l’amour.
Et dans cet amour, vous devez prendre position en vous demandant : "Est-ce que je veux de Jésus? Est-ce que je veux de l’amour?"
Vivre, mes enfants, dans l’amour, c’est se donner de l’amour.
Acceptez-vous de vous reconnaître vivants en moi?
Je suis la Vie.
Moi, la Vie, je sais qui je suis. Vous, mes bien-aimés, savez-vous qui vous êtes? Combien de vous avez la certitude que je suis en vous, que je prends soin de vous malgré vos souffrances, vos maladies, vos faiblesses, malgré vos péchés?
Mes bien-aimés, donnez à votre être cette preuve d’amour en vous déclarant vivants.
Si, mes enfants, vous êtes vivants, c’est que vous avez en vous la preuve d’amour.
L’Amour parcourt le monde en ce moment parce que, mes enfants, il va se présenter à vous afin de vous demander, si tu veux toi, toi et toi : «Veux-tu du bonheur? Veux-tu la Vie? Je suis, moi, celui qui peut te donner ce que tu veux.»
Ceux qui ne se seront pas préparés à cette déclaration d’amour vont avoir besoin de vous.
Vous qui entendez ma voix, vous savez que la Vie veut tous ses enfants.
Je vous demande, mes enfants, de vous donner parce que ces enfants vont souffrir, et c’est par votre consentement que, moi, je vais prendre ce que je vous donne, et je vais le distribuer à ces enfants afin qu’ils aient le courage, eux aussi, de passer à travers de cette épreuve d’amour.
Je vais vous remplir d’amour, mes enfants.
Vous allez devenir des êtres d’amour, car vous serez en moi, vous vivrez en moi et par moi.
Vous êtes amour, vous venez de mon souffle d’amour.
Mes saints fils d’amour, je vous ai réunis ce soir parce que, moi, Dieu tout-puissant, je vous ai choisis.
Ce n’est pas vous qui avez décidé, par votre propre chef, de venir ici : c’est moi.
Vous tenez entre vos mains ma puissance.
Les prêtres ont devoir de nourrir de grâces mes enfants.
Vous êtes moi, je suis le Bon Pasteur.
Mes brebis sont assoiffées de mes grâces : sans elles, elles vont se perdre.
J'ai besoin d'elles pour rassembler les autres qui se sont éloignées.
Par le sacrement de la pénitence, je leur donne la force de combattre le mal qui veut leur enlever la paix.
Mes enfants ont besoin de ces forces pour aller là où je les veux.
Ces temps sont des temps de grâces alors que le mal est partout.
Et vous, mes saints fils, servez-vous de ma force pour combattre ce monde qui veut vous contrôler.
Vous êtes moi, vous avez ma puissance en vous : celle de redonner à mes enfants choisis la paix, l’amour; par votre puissance, remettez tout péché à ceux que je vous envoie.
Vous êtes les lumières de ce monde qui est en train de mourir.
Il est si aveugle qu’il n’a pas vu ma lumière que j’ai mise à la tête de mon Église.
Ce qu’il a perçu : ce monde, c'est un homme malade, un vieillard, un incompétent.
J’ai déposé en mon saint vénérable enfant : ma sagesse, mon amour, afin qu’il guide mon peuple vers ma Nouvelle Terre.
Vous, mes saints fils, vous êtes de cette lumière.
Vous, vous devez, mes enfants, accomplir ma Volonté : celle de faire propager mon Évangile.
Il ne peut y avoir deux paroles : je suis la Parole vivante.
J’ai annoncé ma Venue.
On doute de mon pouvoir, on veut délibérément ignorer mes lois d’amour.
Mon bras, mes enfants, est sur le point de tomber sur la tête de mes enfants qui me renient, qui me rejettent, qui ridiculisent : vous, mes enfants, mon Église.
On veut interrompre ce que, moi, j’ai bâti en y mettant des pierres impures.
Mes saints fils, mes bien-aimés, soyez à l’écoute de votre cœur, celui qui est uni au mien.
J’ai ouvert mon Cœur par amour afin de laisser pénétrer tous ceux qui veulent se donner à mon Père : vous êtes les guides.
Mes enfants, soyez mon étendard d’amour, n’ayez pas peur, car c’est moi qui le tiens entre mes mains.
Vous êtes mes mains d’amour.
Cette puissance que vous tenez entre vos mains, mes fils, c’est moi!
Mes fils, étendez vos mains sur tous mes enfants ici présents afin de leur donner ma paix, mon amour.
Bénédiction des prêtres.
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Sherbrooke, Québec,
par son instrument la Fille du Oui à Jésus
2002-08-02
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je suis en présence de Dieu, je répète ce qu’il me dit.
Dieu le Père : Je suis avec vous, mes enfants, je suis la Toute-Puissance. J’ai fait naître en chacun de vous ma Présence. Vous devez vous reconnaître miens; vous êtes à moi, tout comme cette enfant, qui parle, est à moi; elle m’appartient : par son oui, elle s’est donnée. Vous, mes bien-aimés, je vous veux en moi : je veux que vous mouriez en moi.
Ce temps, mes enfants, est un temps de reconnaissance : vous avez oublié qui vous êtes, de qui vous venez. Vous venez de moi, Dieu le Père, vous appartenez à mon Être. Mes enfants d’amour, beaucoup d’entre vous, vous avez oublié que je vis en vous, que je suis la Présence.
Ces enfants qui sont venus avant vous dans une terre aride, dans des lieux inconnus d’eux, se sont acheminés vers ma Terre Promise.
Eux savaient que je les guidais malgré leur entêtement, malgré les manies qu’ils avaient.
Vous, mes enfants, vous tous ici et tous ceux que vous portez en vous, vous avez oublié votre Dieu.
Il est venu, par le oui à Marie, à vous; il s’est présenté à vous; il vous a donné sa richesse; il vous a procuré son bien, et vous avez, vous, mes enfants, préféré le matériel.
Vous avez délaissé mes propres lois pour former vos propres désirs : cela vous convenait.
Jésus : Oh! mes bien-aimés, oh! mes douceurs, je ne suis pas ici, ce soir, pour vous réprimander, oh non!
Je me présente à vous pour vous supplier d’écouter ma voix, celle qui crie à l’intérieur de vous :
Réveillez-vous, ne vous laissez plus prendre par mon ennemi. Il veut votre perte, il veut vous arracher de moi, car il sait, lui, que vous m’appartenez. Il m’a vu, lui, sur la Croix, et il s’est juré, mes enfants, de vous avoir. Il ne peut supporter les grâces que je dépose en vous; alors, il a fait en sorte de bloquer mes élans d’amour.
Il est venu effrontément en vous, en vous faisant connaître l’indifférence.
Vous vous laissez engourdir par de belles paroles dites par mes propres enfants.
Qui de vous, mes enfants, regardent des émissions de télévision parlant contre vos frères, contre vos sœurs?
Oh! mes bien-aimés, vous vous êtes laissé prendre à son jeu!
Oh! mes doux agneaux, ne reconnaissez-vous pas la voix de votre bon Pasteur?
Il crie en vous, il vous appelle à venir à lui.
Mes enfants, j'use, moi aussi, d’instruments, je me sers aussi de vous, mais moi, je le fais avec votre consentement : je ne vous prends rien.
Je connais tout de vous, je sais qui a ouvert son cœur pour me laisser utiliser son être.
Mes enfants, êtes-vous prêts à vous laisser utiliser pour ceux qui se sont laissés engourdir par Satan?
Je vous appelle à l’amour et c’est un cri d’alarme, mes enfants.
J’ai préparé moi-même votre formation.
Votre bon Pasteur vous appelle à l’amour : à l’amour du prochain.
Je veux, mes enfants, vous redonner ce que j’avais donné à mes saints apôtres : mes enseignements d’amour. Ils sont en vous. Vous les connaissez mes enseignements, mes enfants. Il faut maintenant que vous, vous soyez à l’école de l’Amour pour vivre ces enseignements. Oui, mon saint fils (l’abbé Martel), ce soir, tu as proclamé ma Volonté :
Je veux, mes enfants, que vous viviez l’amour, qu’il s’imprègne en vous.
Je suis un Dieu d’amour, je suis un Dieu plein d’espérance.
Je veux vous apporter le bonheur, ce bonheur éternel, celui qui vous est destiné.
Au premier temps, il y eut Adam. Il a reçu de moi un souffle d’amour. Ce souffle, mes enfants, ne s’est jamais interrompu : il est en vous, il vit en vous; il fait partie de vous, car moi, je vous habite.
Je suis votre joie, je suis votre tendresse, je suis votre patience; je suis, mes enfants, tout ce que vous êtes de bon!
Vous utilisez mon amour, mais vous êtes ignorants que c’est moi qui vis en vous.
Vous ne pourriez, mes enfants, être bons, être aimables, être gentils, si moi, je ne serais pas en vous.
Vous me cherchez et pourtant, mes enfants, vous m’utilisez.
Reconnaissez-vous être de mon Être.
Le souffle qui vous fait vivre, mes enfants, c’est le mien.
Est-ce que je peux, mes enfants, vous donner un souffle et me retirer de vous?
Ce souffle ne serait pas vivant; c’est moi qui vous fais vivre.
Je suis, vous, mes enfants : il faut vous reconnaître en êtres d’amour.
Vous déambulez sans savoir qui vous êtes, qui vous fait vivre.
Vous êtes devenus des enfants indépendants de ce que vous êtes.
Vous regardez un miroir, vous ne voyez qu’un reflet.
Moi, mes enfants, quand je regarde votre reflet : je me vois, parce que je vous aime, parce que j’aime tout de vous; votre faiblesse, mes enfants, je l’ai prise, je l’ai apportée à la mort.
Vous avez, mes enfants, fait vous-mêmes votre propre croix en vivant avec vos faiblesses.
Moi, mes amours, je me suis étendu sur cette Croix, je me suis laissé attacher à vos faiblesses pour mieux vous aider à mieux me les donner.
Mes enfants, n’ai-je pas, moi, mérité de vous avoir en moi?
C’est vous qui refusez de me donner ce qui m’appartient : votre faiblesse, vos péchés, mes enfants.
Vous ne pourriez, mes enfants, vivre sans ma force, car un seul péché, et je dis bien, mes enfants, un seul péché vous ferait écrouler.
En apportant dans ma mort vos péchés, je vous ai légué ma force.
À vous de savoir si vous voulez de ma Présence en vous : ma présence de miséricorde; cette présence est pour chacun de vous.
Vous devez garder en vous la certitude que je vous ai sauvés.
Une faiblesse, mes enfants, avouée est une faiblesse présentée.
Une faiblesse, mes enfants, regrettée est une faiblesse d’amour.
Je vous ai donné, par mes saints fils, le moyen de l’amour dans le sacrement de la Pénitence.
Je connais en vous vos regrets; je connais votre élan d’amour.
Maintenant, mes enfants, je vous appelle à venir déposer en moi votre faiblesse, car tous ceux qui retiennent en eux des faiblesses non avouées à un prêtre, traînent en eux un fardeau qui les empêche de devenir amour.
Devenir amour, mes enfants, c’est de se donner à ses frères et ses sœurs.
Quand vous gardez en vous un péché, même si celui-ci est dans le regret, vous vous créez des peurs.
La peur, mes enfants, engendre le mal, car vous êtes portés à vous défendre avec votre propre faiblesse.
Comment pouvez-vous donner de l’amour à votre prochain, si vous avez en vous des faiblesses qui vous empêchent de vous voir tels que vous êtes?
Vous êtes des êtres d’amour, vous êtes des êtres qui viennent de moi : vous venez de mon Être.
Je suis l’Amour et l’Amour veut que vous donniez de l’amour à votre frère, à votre sœur.
Celui qui se tient dans le regret, sans aller chercher des grâces par le sacrement de la Pénitence, met en lui un empêchement : il se garde sur la défense, il ne perçoit pas qu’un autre le regarde avec mes yeux.
Oui, mes enfants, beaucoup d’enfants vont bientôt devenir amour dans une totalité et ceux qui seront dans la faiblesse seront dans des interrogations.
Ils se demanderont : "Pourquoi lui est amour et moi, j’ai mal? Pourquoi tant de faiblesses en moi? Qu'est ce qui m’empêche d’être amour, alors que je ne cesse de donner mon oui?"
Mes enfants, c’est que seul moi, je vous rends amour par mes grâces d’amour.
Allez, mes enfants, n’ayez pas peur!
Je me suis présenté à mon Père en état de péché : j’ai porté tous vos péchés; aucun de vous ne m’êtes inconnu.
J’ai accepté de prendre en moi tout ce qui n’était pas amour en vous, parce que, mes enfants, mon Père du Ciel a de l’amour pour chacun de vous.
Il vous a tous choisis pour que vous soyez tous enfants d’amour.
Ne laissez pas vos jugements empêcher votre intérieur de recevoir ces grâces d’amour.
C’est vous seuls, mes enfants, qui avez en vous cette liberté.
Personne ne peut prendre votre vie : le oui, mes enfants, est la vie.
C’est de votre vie, mes enfants, que vous avez à répondre.
Laissez-vous transformer par l’Amour; laissez-vous prendre par ses élans.
Vous êtes tous appelés à vivre éternellement dans un bonheur sans fin.
Mes enfants d’amour, vous êtes vivants par moi, vous avez la vie en vous : cette vie est éternelle.
Elle ne vient pas, mes enfants, après votre mort terrestre, elle est déjà commencée en moi, car je suis la Vie éternelle.
Je vous ai portés avant votre mère terrestre.
Mais voyez-vous, il y a une épreuve à passer et cette épreuve : c’est l’amour.
Et dans cet amour, vous devez prendre position en vous demandant : "Est-ce que je veux de Jésus? Est-ce que je veux de l’amour?"
Vivre, mes enfants, dans l’amour, c’est se donner de l’amour.
Acceptez-vous de vous reconnaître vivants en moi?
Je suis la Vie.
Moi, la Vie, je sais qui je suis. Vous, mes bien-aimés, savez-vous qui vous êtes? Combien de vous avez la certitude que je suis en vous, que je prends soin de vous malgré vos souffrances, vos maladies, vos faiblesses, malgré vos péchés?
Mes bien-aimés, donnez à votre être cette preuve d’amour en vous déclarant vivants.
Si, mes enfants, vous êtes vivants, c’est que vous avez en vous la preuve d’amour.
L’Amour parcourt le monde en ce moment parce que, mes enfants, il va se présenter à vous afin de vous demander, si tu veux toi, toi et toi : «Veux-tu du bonheur? Veux-tu la Vie? Je suis, moi, celui qui peut te donner ce que tu veux.»
Ceux qui ne se seront pas préparés à cette déclaration d’amour vont avoir besoin de vous.
Vous qui entendez ma voix, vous savez que la Vie veut tous ses enfants.
Je vous demande, mes enfants, de vous donner parce que ces enfants vont souffrir, et c’est par votre consentement que, moi, je vais prendre ce que je vous donne, et je vais le distribuer à ces enfants afin qu’ils aient le courage, eux aussi, de passer à travers de cette épreuve d’amour.
Je vais vous remplir d’amour, mes enfants.
Vous allez devenir des êtres d’amour, car vous serez en moi, vous vivrez en moi et par moi.
Vous êtes amour, vous venez de mon souffle d’amour.
Mes saints fils d’amour, je vous ai réunis ce soir parce que, moi, Dieu tout-puissant, je vous ai choisis.
Ce n’est pas vous qui avez décidé, par votre propre chef, de venir ici : c’est moi.
Vous tenez entre vos mains ma puissance.
Les prêtres ont devoir de nourrir de grâces mes enfants.
Vous êtes moi, je suis le Bon Pasteur.
Mes brebis sont assoiffées de mes grâces : sans elles, elles vont se perdre.
J'ai besoin d'elles pour rassembler les autres qui se sont éloignées.
Par le sacrement de la pénitence, je leur donne la force de combattre le mal qui veut leur enlever la paix.
Mes enfants ont besoin de ces forces pour aller là où je les veux.
Ces temps sont des temps de grâces alors que le mal est partout.
Et vous, mes saints fils, servez-vous de ma force pour combattre ce monde qui veut vous contrôler.
Vous êtes moi, vous avez ma puissance en vous : celle de redonner à mes enfants choisis la paix, l’amour; par votre puissance, remettez tout péché à ceux que je vous envoie.
Vous êtes les lumières de ce monde qui est en train de mourir.
Il est si aveugle qu’il n’a pas vu ma lumière que j’ai mise à la tête de mon Église.
Ce qu’il a perçu : ce monde, c'est un homme malade, un vieillard, un incompétent.
J’ai déposé en mon saint vénérable enfant : ma sagesse, mon amour, afin qu’il guide mon peuple vers ma Nouvelle Terre.
Vous, mes saints fils, vous êtes de cette lumière.
Vous, vous devez, mes enfants, accomplir ma Volonté : celle de faire propager mon Évangile.
Il ne peut y avoir deux paroles : je suis la Parole vivante.
J’ai annoncé ma Venue.
On doute de mon pouvoir, on veut délibérément ignorer mes lois d’amour.
Mon bras, mes enfants, est sur le point de tomber sur la tête de mes enfants qui me renient, qui me rejettent, qui ridiculisent : vous, mes enfants, mon Église.
On veut interrompre ce que, moi, j’ai bâti en y mettant des pierres impures.
Mes saints fils, mes bien-aimés, soyez à l’écoute de votre cœur, celui qui est uni au mien.
J’ai ouvert mon Cœur par amour afin de laisser pénétrer tous ceux qui veulent se donner à mon Père : vous êtes les guides.
Mes enfants, soyez mon étendard d’amour, n’ayez pas peur, car c’est moi qui le tiens entre mes mains.
Vous êtes mes mains d’amour.
Cette puissance que vous tenez entre vos mains, mes fils, c’est moi!
Mes fils, étendez vos mains sur tous mes enfants ici présents afin de leur donner ma paix, mon amour.
Bénédiction des prêtres.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Lancement du volume 1
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Longueuil, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-08-16
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je suis en présence de mon Dieu d’amour. Il me dit que je suis à lui et que vous êtes à lui.
Dieu le Père : Mes enfants d’amour, c’est moi votre Dieu qui parle par cette enfant, pour vous parler, pour vous adresser la parole, afin que vous sachiez que je suis en vous, que je vis en chacun de vous.
Je ne suis pas un fantôme, je ne suis pas un Dieu de papier : je suis vivant, je suis en vous, mes enfants. Regardez-vous, vous vous levez chaque matin, après avoir fait un sommeil agité, et vous vous rendez compte qu’à chaque matin il y a devant votre miroir : vous, mes enfants.
Je suis en vous; si vous êtes là, présents en face de ce reflet, c’est que moi, je l’ai voulu.
C’est moi qui vous ai choisis pour être ici sur cette terre.
Ce n’est pas vous, mes enfants, qui en êtes l’auteur par votre relation d’amour : c’est moi, l’Amour, par la relation de deux êtres d’amour, qui fais que vous soyez, vous, deux enfants qui s’aiment et mettent au monde un être d’amour; c’est par moi, c’est par ma puissance de mon Vouloir que cet enfant prend vie.
Je suis le Dieu de l’Amour, je suis la Vie.
Toute vie est pour vous un gage de ma présence en vous.
Réalisez qui vous êtes, d’où vous venez!
Vous avez beau, mes enfants, fonctionner dans ce monde qui vous apprend comment vous comporter;
quand vous êtes en désaccord avec vous-mêmes ou avec votre prochain, il n’en reste pas moins que vous êtes de moi, non sortis d’un monde de science.
Ce modernisme dans lequel vous vivez vous fait oublier l’essentiel de votre existence.
Vous êtes venus au monde, mes enfants, pour venir à votre Père :
celui qui vous a créés, celui qui vous a aimés, jusqu'à donner son propre Enfant :
son Fils d’amour.
Oui, mes enfants, je suis Dieu le Père, je suis présent ici avec vous, je suis en train de vous faire écouter ma Volonté : celle de vous faire réaliser que vous venez de moi.
Prenez, mes enfants, ce gage d’amour qui vous fait savoir que vous êtes de moi et que c’est vers moi qu’un jour vous viendrez.
Je vous montrerai mon amour pour chacun de vous.
Je vous dirai à chacun : «Toi à qui j’ai donné mon souffle, viens vers moi, approche-toi, ta place est ici avec moi.» Bien que plusieurs dans ce monde renient ma présence en eux, ils sont mes enfants; c’est moi qui les ai choisis.
Je les veux tous en moi, je veux leur donner mon amour éternel, je veux qu’ils soient en moi éternellement heureux comme vous auriez dû être.
Dès l’instant que j’ai formé Adam, mon fils de ma création, mon saint amour, je lui ai donné une partie de moi, je lui ai donné mon souffle d’amour, afin qu’il ait la vie en lui.
Et vous, mes enfants, qui êtes des enfants du souffle de mon amour, vous êtes, pour moi, les mêmes enfants qui sont sortis de mon saint enfant d’amour.
Vous êtes sortis d’une génération d’amour, et vous refusez de reconnaître de qui vous venez, pourquoi vous êtes ici.
À quoi servent vos connaissances, mes enfants, si vous ne savez même pas que vous venez de moi?
Et c’est à cause de vos manies de vouloir vous prendre pour des petits dieux que vous ne vous rendez pas compte que vous vivez indépendamment de l’Être d’amour qui vous a créés, qui vous a tout donné, qui vous a tout offert afin que vous soyez dans l’amour. Vous voulez vivre de votre liberté; vous voulez atteindre un but : celui de réussir votre vie, afin de vous dire un jour : "Me voilà arrivé au sommet de ma vie, avec tout ce que j’ai accumulé".
Je veux vous montrer, mes enfants, que votre bien matériel, que votre portefeuille, n’est pas le sommet de votre vie.
Il y a vous!
C’est vous, mes enfants, qui devez prendre en considération votre vie, celle qui va être éternelle, elle ne s’achèvera pas le jour où votre cœur cessera de battre : votre vie, mes enfants, ne meurt pas! Mais, il y a en vous un acte d’amour que vous devez prendre en considération : celui de choisir la vie que vous voulez pour l’éternité.
C’est votre oui à l’Amour qui fera que vous allez connaître un bonheur éternel ou, mes enfants, un malheur qui fera de vous des êtres conditionnels à l’Amour. Oui, mes enfants d’amour, vous aurez beau penser que votre monde est trop évolué, trop performant dans tout ce qu’il a inventé pour se montrer meilleur que moi, l’Amour : il en est que l’enfer existe.
Vous avez peur pour certains d’entre vous de parler de cette réalité.
Vous pouvez ne pas le prononcer, mais il existe.
Il n’est pas sur cette terre, il a son lieu, là où tout n’est que souffrance. Mes enfants, moi, votre Père, je vous parle en tant que Papa d’amour.
Est-ce qu’un père peut laisser son enfant dans l’ignorance en le laissant vivre sa vie, sans lui montrer le danger qu’il court s’il se conduit mal?
Un papa n’est pas ainsi.
Je suis votre Papa d’amour, je vous aime.
Je veux prendre soin de chacun de vous.
Vivre dans l’ignorance, c’est marcher sur un fil de fer au-dessus d’un précipice.
Oui, mes enfants, je vous aime trop! Je veux vous prendre dans mes bras, je veux vous dire : «Je t’aime. Viens, viens apprendre que Papa t’aime, qu’il veut t’avoir avec lui pour l’éternité.» Mais vous, petits enfants d’amour, êtes-vous prêts à écouter en vous ces paroles d’amour que je dépose à chaque jour?
Pas un seul instant, je ne vous quitte; pas un seul instant, je vous laisse sans prendre soin de chacun de vous.
C’est vous qui m’ignorez, c’est vous qui ne voulez pas écouter ma voix qui crie en vous.
Vous vous engourdissez avec votre quotidien.
Il est normal de travailler; il est normal aussi de prendre du plaisir avec vos amis; il est normal de consommer de la nourriture, de vous reposer après une journée de labeur.
Est-ce normal, mes enfants, d’ignorer que moi, votre Père, j’ai fait en sorte de vous donner des yeux pour regarder la beauté, des oreilles pour entendre mes chants d’amour, des mains pour subvenir à votre quotidien et des jambes, mes enfants, pour vous mener vers ceux que vous aimez? Vous ignorez que tout vient de moi. C’est moi qui vous procure ce que vous mangez, c’est moi qui vous donne de la nourriture pour rassasier votre faim.
Je prends soin de chacun de vous, c’est vous qui ne prenez pas soin de vous.
Vous ne m’accordez même pas un seul instant de votre journée pour me dire : "Merci, Papa d’amour, parce que, toi, tu sais ce qui me convient. Je n’ai pas toujours été à la hauteur de ce que tu attends de moi".
Tu m’oublies parce que tu es trop épris de toi-même; moi, ton Papa d’amour, je t’aime comme tu es; je connais tous tes défauts; je connais aussi ta tendresse cachée, tes élans d’amour retenus, tes mots qui ne sortent pas parce que tu ne sais pas s'ils seront acceptés de ton prochain; je sais que tu as peur de l’avenir; je sais que tu veux réussir à tout prix, même au détriment de ta vie intérieure.
Mais moi, je fais en sorte de déposer en toi mes élans d’amour pour que tu te reconnaisses comme mon enfant.
Même si tu m’oublies durant ta journée, je suis toujours là, près de toi : je ne t’ai jamais quitté.
C’est pour vous, mes enfants ce langage d’amour et c’est pour tous ceux que vous portez, en ce moment, à l’intérieur de vous.
Je suis la Vie, je suis Vivant; la vie est en vous, et chacun de vous portez tous mes enfants; ce sont vos frères et ce sont vos sœurs, et je passe, en ce moment, par vous pour leur parler.
Même, mes enfants, si vous ne réalisez pas que vous faites un acte d’amour en ce moment, vous êtes dans ce mouvement d’amour; il sort de vous mon amour pour aller vers mes enfants, car je suis en vous, je vis en vous; je suis le Semeur qui sème l’amour.
Il est vrai, mes enfants, qu’à l’intérieur de vous : il y en aura qui prendront cette semence et la donneront aux oiseaux; il y en a aussi qui la prendront pour acquis, et l’oublieront; il y en a qui accepteront cette semence, ils la prendront pour eux en négligeant de la faire fructifier, ils continueront leur vie en ne prenant pas garde de ceux qui leur diront : "Qu’est-ce que tu fais, tu pries? Pourquoi? À quoi cela te sert? Tu parles dans le vide, ça n’existe même pas, ce sont de racontars, on a inventé ça pour nous manipuler. Regarde autour de toi, il y a la vie, ça bouge. Viens, oublie tout ça, viens t’amuser avec nous. C’est trop ennuyant la prière, c’est trop plate et c’est bon pour les vieux, pas pour nous et même les vieux n’en veulent même plus, alors perds pas ton temps à prier."
Voilà, mes enfants, et je ne vous dis pas combien de ces enfants font le mal et, pourtant, ils savent que l’amour est en Dieu, même s’ils croient que Dieu est sévère, ils sont conscients qu’il a donné son Fils parce qu’il aime!
Alors, ces enfants qui entendent ces propos perdent la foi : ils ne croient plus que Dieu veut les sauver; ils se prennent pour des enfants qui sont libres de faire ce qu’ils veulent; la sexualité est pour eux un dogme; l’argent est rendu l’essentiel de leur bonheur; ils ont en eux tant de connaissances qu’ils n’ont pas besoin de venir à leur Dieu Amour pour obtenir des faveurs :
ils ont perdu la foi.
Mes enfants, c’est votre monde, je parle de ceux qui vivent dans ce siècle. Il n’y a plus d’amour en ceux que vous portez et certains de vous ne savez même pas que vous avez cette force d’amour qui peut rendre votre vie plus agréable. Mes enfants, il faut, pour l'éveiller, prendre conscience que vous avez l’amour en vous.
L’amour est pour vous, pour tous ceux que vous portez, car voici le Semeur qui vient semer dans sa terre.
Cette semence sera comme un épi de blé qui se dressera vers le Ciel.
Il y aura une brise qui fera qu’elle ne sèchera pas.
Il y aura l’eau qui l’alimentera, elle sera l’eau de la Source d’amour qui vient de mon Fils.
Ces racines, mes enfants, seront fortes, profondes, car je les nourrirai de mon amour.
Cet épi de blé fera la joie de ceux qui le regardera.
Il y aura l’amour qui apportera la force dans sa tige.
Elle sera de moi, Dieu d’amour.
Mes enfants, je parle de vous, de chacun de vous : cette semence, c’est vous! Vous serez dans ma Terre Nouvelle : belle comme une jeune mariée, toute resplendissante pour son Époux, et ses jours seront éternels.
Mes enfants d’amour, ce temps est pour chacun de vous. Réalisez que vous êtes mes choisis, les enfants de Dieu, les enfants de l’Amour. J’ai annoncé par la voix de l’Amour, mon Fils, qui est venu vous dire : «Quand viendra le temps où tout ne sera qu’amour, je ferai en chacun des enfants choisis des merveilles. Il y aura le bonheur en eux, car ces enfants seront les élus de Dieu.» Mon Fils d’amour vous a fait connaître ma Volonté; maintenant, mes enfants, c’est à vous que revient le choix : si vous voulez vous laisser nourrir par l’Amour.
Si vous, mes enfants, vous n’êtes pas prêts à renoncer à vos péchés, moi, Dieu de miséricorde, je vous supplie, demandez-moi les grâces nécessaires pour vous venir en aide; c’est moi l’Amour qui va vous aider.
Je ne veux pas vous condamner : vous êtes si ignorants de qui vous venez, je veux vous donner des grâces qui vous aideront à vous reconnaître amour. Pour tous ceux qui ont prononcé leur oui d’amour, je veux, mes enfants, que vous me demandiez de vous remplir de grâces d’amour pour tous ceux que vous portez en vous : pour ces petits enfants, il y aura de l’amour.
Vous avez ce devoir d’amour envers ceux que vous avez en vous!
Ne soyez pas avares de vos demandes; demandez-moi, mes enfants, demandez-moi des grâces pour eux.
Vous, petits enfants de l’Amour, que j’aime combler.
Soyez soumis à ma Volonté en ne négligeant pas de vous donner des grâces d’amour en abondance : en me demandant à chaque jour : "Papa d’amour, je sais que ma journée va être remplie de mon quotidien, mais je prends cet instant pour te demander de me remplir de grâces d’amour et fais que je puisse bien les utiliser; tu sais comment je suis petit, comment je suis incapable par moi-même, mais toi, toi qui es le Créateur, toi qui m’as fait, tu me connais, tu connais tout ce qui me convient : alors je m’abandonne entre tes mains. Merci, Papa d’amour."
Vous, mes saints fils d’amour, mes saints prêtres : mon Moi, je vous demande, par ma puissance, par la Volonté de mon Être, de vous accomplir dans votre mission d’amour.
Vous avez entre les mains ma Semence d'amour.
Quand vous consacrez le pain de la vie, quand vous consacrez le vin de la vie, vous faites venir mon Fils entre vos mains pour le donner en nourriture à mes enfants; cette Nourriture est celle qui fera de mes enfants : un épi d’amour qui sera planté dans ma Nouvelle Terre. Mes fils, mes saints fils, vous avez ce pouvoir entre les mains.
Rendez à mes enfants l’amour que moi, votre Père, la Puissance, l’Éternel, je vous accorde.
C’est moi qui vous donne mon Fils, donnez à mes enfants l’Amour.
Mes saints fils, par la Toute-Puissance, au nom de l’Amour, je mets entre vos mains cette assistance, (les enfants de Dieu) afin qu’ils reçoivent des grâces d’amour en abondance pour qu’ils sachent que je les aime. Amen.
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Longueuil, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-08-16
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je suis en présence de mon Dieu d’amour. Il me dit que je suis à lui et que vous êtes à lui.
Dieu le Père : Mes enfants d’amour, c’est moi votre Dieu qui parle par cette enfant, pour vous parler, pour vous adresser la parole, afin que vous sachiez que je suis en vous, que je vis en chacun de vous.
Je ne suis pas un fantôme, je ne suis pas un Dieu de papier : je suis vivant, je suis en vous, mes enfants. Regardez-vous, vous vous levez chaque matin, après avoir fait un sommeil agité, et vous vous rendez compte qu’à chaque matin il y a devant votre miroir : vous, mes enfants.
Je suis en vous; si vous êtes là, présents en face de ce reflet, c’est que moi, je l’ai voulu.
C’est moi qui vous ai choisis pour être ici sur cette terre.
Ce n’est pas vous, mes enfants, qui en êtes l’auteur par votre relation d’amour : c’est moi, l’Amour, par la relation de deux êtres d’amour, qui fais que vous soyez, vous, deux enfants qui s’aiment et mettent au monde un être d’amour; c’est par moi, c’est par ma puissance de mon Vouloir que cet enfant prend vie.
Je suis le Dieu de l’Amour, je suis la Vie.
Toute vie est pour vous un gage de ma présence en vous.
Réalisez qui vous êtes, d’où vous venez!
Vous avez beau, mes enfants, fonctionner dans ce monde qui vous apprend comment vous comporter;
quand vous êtes en désaccord avec vous-mêmes ou avec votre prochain, il n’en reste pas moins que vous êtes de moi, non sortis d’un monde de science.
Ce modernisme dans lequel vous vivez vous fait oublier l’essentiel de votre existence.
Vous êtes venus au monde, mes enfants, pour venir à votre Père :
celui qui vous a créés, celui qui vous a aimés, jusqu'à donner son propre Enfant :
son Fils d’amour.
Oui, mes enfants, je suis Dieu le Père, je suis présent ici avec vous, je suis en train de vous faire écouter ma Volonté : celle de vous faire réaliser que vous venez de moi.
Prenez, mes enfants, ce gage d’amour qui vous fait savoir que vous êtes de moi et que c’est vers moi qu’un jour vous viendrez.
Je vous montrerai mon amour pour chacun de vous.
Je vous dirai à chacun : «Toi à qui j’ai donné mon souffle, viens vers moi, approche-toi, ta place est ici avec moi.» Bien que plusieurs dans ce monde renient ma présence en eux, ils sont mes enfants; c’est moi qui les ai choisis.
Je les veux tous en moi, je veux leur donner mon amour éternel, je veux qu’ils soient en moi éternellement heureux comme vous auriez dû être.
Dès l’instant que j’ai formé Adam, mon fils de ma création, mon saint amour, je lui ai donné une partie de moi, je lui ai donné mon souffle d’amour, afin qu’il ait la vie en lui.
Et vous, mes enfants, qui êtes des enfants du souffle de mon amour, vous êtes, pour moi, les mêmes enfants qui sont sortis de mon saint enfant d’amour.
Vous êtes sortis d’une génération d’amour, et vous refusez de reconnaître de qui vous venez, pourquoi vous êtes ici.
À quoi servent vos connaissances, mes enfants, si vous ne savez même pas que vous venez de moi?
Et c’est à cause de vos manies de vouloir vous prendre pour des petits dieux que vous ne vous rendez pas compte que vous vivez indépendamment de l’Être d’amour qui vous a créés, qui vous a tout donné, qui vous a tout offert afin que vous soyez dans l’amour. Vous voulez vivre de votre liberté; vous voulez atteindre un but : celui de réussir votre vie, afin de vous dire un jour : "Me voilà arrivé au sommet de ma vie, avec tout ce que j’ai accumulé".
Je veux vous montrer, mes enfants, que votre bien matériel, que votre portefeuille, n’est pas le sommet de votre vie.
Il y a vous!
C’est vous, mes enfants, qui devez prendre en considération votre vie, celle qui va être éternelle, elle ne s’achèvera pas le jour où votre cœur cessera de battre : votre vie, mes enfants, ne meurt pas! Mais, il y a en vous un acte d’amour que vous devez prendre en considération : celui de choisir la vie que vous voulez pour l’éternité.
C’est votre oui à l’Amour qui fera que vous allez connaître un bonheur éternel ou, mes enfants, un malheur qui fera de vous des êtres conditionnels à l’Amour. Oui, mes enfants d’amour, vous aurez beau penser que votre monde est trop évolué, trop performant dans tout ce qu’il a inventé pour se montrer meilleur que moi, l’Amour : il en est que l’enfer existe.
Vous avez peur pour certains d’entre vous de parler de cette réalité.
Vous pouvez ne pas le prononcer, mais il existe.
Il n’est pas sur cette terre, il a son lieu, là où tout n’est que souffrance. Mes enfants, moi, votre Père, je vous parle en tant que Papa d’amour.
Est-ce qu’un père peut laisser son enfant dans l’ignorance en le laissant vivre sa vie, sans lui montrer le danger qu’il court s’il se conduit mal?
Un papa n’est pas ainsi.
Je suis votre Papa d’amour, je vous aime.
Je veux prendre soin de chacun de vous.
Vivre dans l’ignorance, c’est marcher sur un fil de fer au-dessus d’un précipice.
Oui, mes enfants, je vous aime trop! Je veux vous prendre dans mes bras, je veux vous dire : «Je t’aime. Viens, viens apprendre que Papa t’aime, qu’il veut t’avoir avec lui pour l’éternité.» Mais vous, petits enfants d’amour, êtes-vous prêts à écouter en vous ces paroles d’amour que je dépose à chaque jour?
Pas un seul instant, je ne vous quitte; pas un seul instant, je vous laisse sans prendre soin de chacun de vous.
C’est vous qui m’ignorez, c’est vous qui ne voulez pas écouter ma voix qui crie en vous.
Vous vous engourdissez avec votre quotidien.
Il est normal de travailler; il est normal aussi de prendre du plaisir avec vos amis; il est normal de consommer de la nourriture, de vous reposer après une journée de labeur.
Est-ce normal, mes enfants, d’ignorer que moi, votre Père, j’ai fait en sorte de vous donner des yeux pour regarder la beauté, des oreilles pour entendre mes chants d’amour, des mains pour subvenir à votre quotidien et des jambes, mes enfants, pour vous mener vers ceux que vous aimez? Vous ignorez que tout vient de moi. C’est moi qui vous procure ce que vous mangez, c’est moi qui vous donne de la nourriture pour rassasier votre faim.
Je prends soin de chacun de vous, c’est vous qui ne prenez pas soin de vous.
Vous ne m’accordez même pas un seul instant de votre journée pour me dire : "Merci, Papa d’amour, parce que, toi, tu sais ce qui me convient. Je n’ai pas toujours été à la hauteur de ce que tu attends de moi".
Tu m’oublies parce que tu es trop épris de toi-même; moi, ton Papa d’amour, je t’aime comme tu es; je connais tous tes défauts; je connais aussi ta tendresse cachée, tes élans d’amour retenus, tes mots qui ne sortent pas parce que tu ne sais pas s'ils seront acceptés de ton prochain; je sais que tu as peur de l’avenir; je sais que tu veux réussir à tout prix, même au détriment de ta vie intérieure.
Mais moi, je fais en sorte de déposer en toi mes élans d’amour pour que tu te reconnaisses comme mon enfant.
Même si tu m’oublies durant ta journée, je suis toujours là, près de toi : je ne t’ai jamais quitté.
C’est pour vous, mes enfants ce langage d’amour et c’est pour tous ceux que vous portez, en ce moment, à l’intérieur de vous.
Je suis la Vie, je suis Vivant; la vie est en vous, et chacun de vous portez tous mes enfants; ce sont vos frères et ce sont vos sœurs, et je passe, en ce moment, par vous pour leur parler.
Même, mes enfants, si vous ne réalisez pas que vous faites un acte d’amour en ce moment, vous êtes dans ce mouvement d’amour; il sort de vous mon amour pour aller vers mes enfants, car je suis en vous, je vis en vous; je suis le Semeur qui sème l’amour.
Il est vrai, mes enfants, qu’à l’intérieur de vous : il y en aura qui prendront cette semence et la donneront aux oiseaux; il y en a aussi qui la prendront pour acquis, et l’oublieront; il y en a qui accepteront cette semence, ils la prendront pour eux en négligeant de la faire fructifier, ils continueront leur vie en ne prenant pas garde de ceux qui leur diront : "Qu’est-ce que tu fais, tu pries? Pourquoi? À quoi cela te sert? Tu parles dans le vide, ça n’existe même pas, ce sont de racontars, on a inventé ça pour nous manipuler. Regarde autour de toi, il y a la vie, ça bouge. Viens, oublie tout ça, viens t’amuser avec nous. C’est trop ennuyant la prière, c’est trop plate et c’est bon pour les vieux, pas pour nous et même les vieux n’en veulent même plus, alors perds pas ton temps à prier."
Voilà, mes enfants, et je ne vous dis pas combien de ces enfants font le mal et, pourtant, ils savent que l’amour est en Dieu, même s’ils croient que Dieu est sévère, ils sont conscients qu’il a donné son Fils parce qu’il aime!
Alors, ces enfants qui entendent ces propos perdent la foi : ils ne croient plus que Dieu veut les sauver; ils se prennent pour des enfants qui sont libres de faire ce qu’ils veulent; la sexualité est pour eux un dogme; l’argent est rendu l’essentiel de leur bonheur; ils ont en eux tant de connaissances qu’ils n’ont pas besoin de venir à leur Dieu Amour pour obtenir des faveurs :
ils ont perdu la foi.
Mes enfants, c’est votre monde, je parle de ceux qui vivent dans ce siècle. Il n’y a plus d’amour en ceux que vous portez et certains de vous ne savez même pas que vous avez cette force d’amour qui peut rendre votre vie plus agréable. Mes enfants, il faut, pour l'éveiller, prendre conscience que vous avez l’amour en vous.
L’amour est pour vous, pour tous ceux que vous portez, car voici le Semeur qui vient semer dans sa terre.
Cette semence sera comme un épi de blé qui se dressera vers le Ciel.
Il y aura une brise qui fera qu’elle ne sèchera pas.
Il y aura l’eau qui l’alimentera, elle sera l’eau de la Source d’amour qui vient de mon Fils.
Ces racines, mes enfants, seront fortes, profondes, car je les nourrirai de mon amour.
Cet épi de blé fera la joie de ceux qui le regardera.
Il y aura l’amour qui apportera la force dans sa tige.
Elle sera de moi, Dieu d’amour.
Mes enfants, je parle de vous, de chacun de vous : cette semence, c’est vous! Vous serez dans ma Terre Nouvelle : belle comme une jeune mariée, toute resplendissante pour son Époux, et ses jours seront éternels.
Mes enfants d’amour, ce temps est pour chacun de vous. Réalisez que vous êtes mes choisis, les enfants de Dieu, les enfants de l’Amour. J’ai annoncé par la voix de l’Amour, mon Fils, qui est venu vous dire : «Quand viendra le temps où tout ne sera qu’amour, je ferai en chacun des enfants choisis des merveilles. Il y aura le bonheur en eux, car ces enfants seront les élus de Dieu.» Mon Fils d’amour vous a fait connaître ma Volonté; maintenant, mes enfants, c’est à vous que revient le choix : si vous voulez vous laisser nourrir par l’Amour.
Si vous, mes enfants, vous n’êtes pas prêts à renoncer à vos péchés, moi, Dieu de miséricorde, je vous supplie, demandez-moi les grâces nécessaires pour vous venir en aide; c’est moi l’Amour qui va vous aider.
Je ne veux pas vous condamner : vous êtes si ignorants de qui vous venez, je veux vous donner des grâces qui vous aideront à vous reconnaître amour. Pour tous ceux qui ont prononcé leur oui d’amour, je veux, mes enfants, que vous me demandiez de vous remplir de grâces d’amour pour tous ceux que vous portez en vous : pour ces petits enfants, il y aura de l’amour.
Vous avez ce devoir d’amour envers ceux que vous avez en vous!
Ne soyez pas avares de vos demandes; demandez-moi, mes enfants, demandez-moi des grâces pour eux.
Vous, petits enfants de l’Amour, que j’aime combler.
Soyez soumis à ma Volonté en ne négligeant pas de vous donner des grâces d’amour en abondance : en me demandant à chaque jour : "Papa d’amour, je sais que ma journée va être remplie de mon quotidien, mais je prends cet instant pour te demander de me remplir de grâces d’amour et fais que je puisse bien les utiliser; tu sais comment je suis petit, comment je suis incapable par moi-même, mais toi, toi qui es le Créateur, toi qui m’as fait, tu me connais, tu connais tout ce qui me convient : alors je m’abandonne entre tes mains. Merci, Papa d’amour."
Vous, mes saints fils d’amour, mes saints prêtres : mon Moi, je vous demande, par ma puissance, par la Volonté de mon Être, de vous accomplir dans votre mission d’amour.
Vous avez entre les mains ma Semence d'amour.
Quand vous consacrez le pain de la vie, quand vous consacrez le vin de la vie, vous faites venir mon Fils entre vos mains pour le donner en nourriture à mes enfants; cette Nourriture est celle qui fera de mes enfants : un épi d’amour qui sera planté dans ma Nouvelle Terre. Mes fils, mes saints fils, vous avez ce pouvoir entre les mains.
Rendez à mes enfants l’amour que moi, votre Père, la Puissance, l’Éternel, je vous accorde.
C’est moi qui vous donne mon Fils, donnez à mes enfants l’Amour.
Mes saints fils, par la Toute-Puissance, au nom de l’Amour, je mets entre vos mains cette assistance, (les enfants de Dieu) afin qu’ils reçoivent des grâces d’amour en abondance pour qu’ils sachent que je les aime. Amen.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Montréal, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-08-31
Jésus : Mes enfants d’amour, je m’adresse à chacun de vous. Je suis l’Amour qui vit en vous. Je suis la Puissance de votre être. Je me donne à chacun de vous pour que vous deveniez moi, pour que vous deveniez enfants de Dieu.
Je veux, mes enfants, vous parler en chacun de vous en particulier. Vous êtes pour votre Dieu des enfants uniques. Vous avez été conçus par amour pour l’Amour afin d’être unifiés à l’Amour : unité d’amour. L’amour, mes enfants, c’est se donner. L’amour est tout en tout. Quand chacun de vous apprend à savoir qui il est, ce qu’il peut offrir : tout son intérieur devient joie.
Il y a de la joie en ceux qui se donnent, en ceux qui s’offrent.
Si vous gardez pour vous ce qu’il y a de plus important à donner, vous n’êtes pas heureux.
Garder pour soi un trésor, ce n’est pas consentir à montrer aux autres ce qu’il y a de plus beau en vous.
Donner à son prochain un regard, un sourire, un mot de consolation, un service, c’est montrer son trésor : ne pas juger son prochain, ne pas montrer qu’il n'est pas comme, vous, vous le souhaiteriez.
Ne pas consentir à l’aimer avec ses défauts, mes enfants,
ce n’est pas développer en vous ce trésor.
Vivre sur la terre, en n’aimant pas son prochain, n’est pas souhaité, cela, à personne.
Et pourtant, combien d’entre vous sont dans cet état?
Vos conversations, mes enfants, pour la plupart, sont des mots dans lesquels vous introduisez votre prochain.
Vous êtes des enfants qui ont de la difficulté à garder le silence devant un autre qui, lui, vient de parler contre l’un de vos frères ou l’une de vos sœurs.
Oh! dans un premier temps, vous voulez vous retenir, car vous êtes conscients que ce qu’il dit n’est pas toujours beau, et vous rentrez, sans vous en rendre compte, dans son jeu, et vous faites tous les deux du tort à vous-mêmes.
Ce n’est pas à la personne de qui vous parlez que vous faites du mal : c’est à vous-mêmes car, à l’intérieur de vous, vous portez cette personne, elle est en vous : alors, c’est contre vous que vous parlez.
Oh! mes enfants d’amour, sachez vous aimer,
sachez vous reconnaître enfants de Dieu.
Moi qui vis en chacun de vous, je suis l’Amour : je suis le Père, je suis le Fils, je suis le Saint-Esprit.
L’Amour vit en vous, je suis votre contenu, et l’Amour vous contient tous, car vous êtes tous une partie de mon Être. J’ai donné à chacun de vous mon souffle d’amour, il vous donne vie : il est en vous.
Mes enfants, ces temps sont si importants! Il faut que vous preniez connaissance que chaque geste que vous posez, chaque parole que vous dites, c’est pour vous un mouvement d’amour qui augmente votre trésor en chacun de vous, car, mes enfants, quand je serai en face de vous, je vais vous demander de me montrer votre trésor, et tous ceux qui n’auront pas accumulé de mouvements d’amour ne pourront pas me montrer un trésor.
Vous aurez à vous justifier devant votre geste et c’est vous-mêmes, mes enfants, qui allez vous justifier, et non moi!
Moi, je déposerai en vous l’amour : mon amour, et c’est avec mon amour, mes enfants, que vous allez vous-mêmes vous justifier.
Et c’est pour ça que je suis ici, dans cet instrument d’amour, pour vous prévenir de vous préparer à ma sainte venue en vous : moi, l’Amour, vous me verrez.
Mes enfants, il vous reste si peu de temps! Aimez-vous, aimez votre prochain,
faites du bien autour de vous.
Marie, votre Mère, parcourt la terre entière vous demandant de vous aimer les uns les autres;
elle vous demande des prières.
Les prières, mes enfants, c’est un don de soi : c’est de parler avec l’Amour.
Quand vous priez et que vous lui demandez "Mère, priez pour nous, pauvres pécheurs", cette prière, mes enfants, est une prière pour vous, pour vos frères, pour vos sœurs; vous lui demandez des grâces qui vous aident à devenir enfants d’amour.
Marie, votre douce Maman, connaît vos cœurs, elle connaît chacun de vous; elle déverse en vous des grâces d’abandon, des grâces d’amour afin que vous soyez dans ma Volonté, que vous deveniez enfants d’amour.
Vivre en enfant de Dieu, c’est vivre en moi, c’est tout faire en moi; c’est prendre un geste et me l’offrir, et ce geste devient pour vous un geste d’amour qui porte des fruits.
Mes enfants, je ne vous demande pas d’aller convertir des enfants qui refusent catégoriquement de vous écouter.
Je connais votre monde et je sais que ces enfants ne sont pas prêts à vous entendre : ils vous rejetteraient.
Ce que je vous demande, mes enfants : c’est de prier pour eux, de m’offrir ce geste, ce geste d’amour afin qu’eux aussi apprennent à s’aimer, apprennent à aimer leur prochain; car lorsque je me présenterai en eux, eux aussi, mes enfants, se jugeront, se jugeront avec mon amour, et s’ils n’ont rien reçu, ils vont tomber dans une douleur atroce, et ces enfants, qui n’ont pas reçu une force d’amour, une force d’abandon, sortiront de cette purification en ayant refusé l’amour, car ils n’auront pas reçu les grâces de se savoir aimés de Dieu.
Voyez-vous, mes enfants, aller dans un supermarché, aller vers les étagères pour prendre un objet attrayant, très joli, vous aurez beau le regarder, si vous ne savez pas à quoi il sert, vous allez le remettre sur l’étagère et vous en retourner. Cet objet, mes enfants, aurait pu remplir ces journées d’ennui lorsqu’il pleut à l’extérieur, mais lui n’a rien vu, n’a rien su de l’utilité de cet objet : alors il s’en retourne.
C’est ainsi, mes enfants, on a beau présenter de l’amour à quelqu’un, si celui-ci ne sait pas qu’à l’intérieur de lui il est amour, que la vie en lui est éternelle : il ne peut prendre sa décision, car il ne sait pas comment aimer; il n’a connu que le matériel, que les plaisirs terrestres; il ne sait pas se donner, il ne sait pas s’offrir : on ne lui a pas montré.
Vous, mes enfants, qui apprenez à vous donner, qui apprenez à vous offrir, c’est par mes grâces que vous apprenez cela, ce n’est pas par vous-mêmes!
L’amour vient de moi, l’Amour est moi.
Vous ne pourriez, mes enfants, être ici ce soir, si moi, votre Dieu, je ne vous avais pas donné ma Vie, mon amour.
Je vous comble de mes biens : c’est moi, l’Esprit d’amour, qui fais que vous soyez des enfants qui savent apprécier ce qui est bon, ce qui est juste; c’est moi, l’Esprit d’amour, qui mets en vous le goût d’aller vers votre prochain, de vous donner à chacun de vous du bien-être.
Sans moi, mes enfants, vous ne seriez que des êtres ignorants de vous-mêmes.
Par mes grâces, je vous comble, je vous couvre pour vous laisser découvrir, à votre rythme, en respectant qui vous êtes, en ne vous forçant pas, mes enfants.
Je vous aime trop, je ne veux pas vous bousculer car, voyez-vous, quand on prend quelqu’un et qu’on l’oblige à poursuivre un parcours inconnu de lui, il risque, en chemin, de trouver cela trop difficile : car votre chemin, mes enfants, est rempli d’obstacles, d’embûches.
Vous vivez dans un monde où tout est axé vers le moi extérieur.
Voyez-vous, moi qui connais chacun de vous, si vous avez le besoin de vous reposer : soit parce que vous avez eu un événement qui vous empêche d’avancer, soit par votre ouvrage, soit par quelqu’un qui vous a annoncé une mauvaise nouvelle, soit par maladie, soit par une mortalité, moi, je vous couvre de mon amour : je dépose en vous des grâces pour vous donner la force de comprendre que cet événement-là n’est pas contre vous.
Il est un obstacle dans votre vie parce que, vous, mes enfants, vous êtes dans un monde où on a refusé de vivre dans la Divine Volonté.
Vous vivez que de votre volonté humaine qui est faible.
La volonté humaine, mes enfants, a tendance à vouloir écouter mon ennemi qui vous incite à vous juger : vous.
Quand un enfant n’accepte pas les obstacles qu’il rencontre, c’est qu’il ne se sait pas dans ma puissance d’amour; alors il compte que sur ses forces à lui et ses forces, mes enfants, ne peuvent passer à travers ces obstacles.
Il devient aigri, fatigué, épuisé : il veut que cela s’arrête; alors, il cherche tous les moyens pour trouver un bien-être qui n’est plus en lui : par lui-même, il ne peut pas; c’est moi qui suis avec lui, moi, l’Esprit d’amour : je déverse en lui ma force d’amour; je lui donne ma puissance afin qu’il se reprenne, afin qu’il sache que je l’aime; alors, cet enfant reprend son chemin et continue.
Voyez-vous, mes enfants, je suis avec vous depuis votre naissance.
Je suis avec vous sur la terre pour vous montrer que vous êtes enfants de Dieu : que vous êtes les choisis de l’Amour.
Vous devez, mes enfants, vous laisser découvrir enfants de Dieu : enfants de mon Être.
Tout en vous est amour. Vous avez en vous, mes enfants, nous, la Puissance.
Venez puiser à l’intérieur de vous cette force.
Mes enfants d’amour, je n’ai pas de recette magique à vous donner, c’est tout simplement dire : "Ô Dieu d’amour, tu es en moi, je sais que tu es là. Je te donne tout de moi. Je te donne ma vie, tout ce que j’ai. Je veux m’abandonner. Fais ce que tu veux, car tu m’aimes et j’ai confiance en toi."
Voilà, mes enfants, ce que vous devez faire et cela, mes enfants, n’est pas qu’une fois semaine : à chaque fois qui se présente en vous des doutes sur ce que vous êtes, des doutes face à votre prochain et que vous voyez que cela vous trouble, venez en vous, rentrez en vous, je suis là, moi!
Vous avez cette puissance en vous, ne demeurez pas sur votre chemin sans venir puiser des forces.
Je vous comble de mon amour.
Ah! mes enfants, ce temps est si important pour vous et pour ceux que vous portez à l’intérieur de vous!
Il est pour vous ce temps d’amour.
Vous devez réaliser qu’autour de vous, il y a tant de misère, de haine, de violence!
La violence, mes enfants, règne; elle n’est pas seulement dans la guerre; elle n’est pas seulement, mes enfants, dans des gestes qui enlèvent la vie ou qui blessent le corps.
La violence, mes enfants, c’est quand on empêche la Vie de vous nourrir.
Quand vous empêchez l’amour de se déverser en vous, vous empêchez votre âme, mes enfants, de se nourrir.
Cette nourriture nourrit votre intérieur afin que vous soyez amour.
Et si vous n’êtes pas amour, mes enfants, vous êtes portés à commettre des gestes de violence contre vous, en vous refusant de l’amour! Oui, mes enfants, quand vous émettez un seul jugement contre votre prochain :
vous venez de vous refuser de l’amour et, c’est contre vous ce geste.
Je vous ai dit que le plus grand commandement est «D’aimer son Dieu de toute son âme, de tout son cœur, de toutes ses forces, de tout son esprit» et je vous ai dit, mes enfants : «Aimez votre prochain comme moi je vous ai aimés.»
Mes enfants, moi, c’est vous! Je vous porte, mes enfants; vous êtes en moi et moi je suis en vous :
vous ne pouvez me séparer de vous.
Moi, votre Dieu, je me suis donné à vous par amour, dans l’amour, et c’est cet amour qui vous demande ce soir de prendre conscience que vous êtes présents en chacun de vous avec tous vos frères et vos sœurs, et qu'à chaque fois, mes enfants, que vous portez un geste contre votre prochain, c’est contre vous que vous le portez; vous faites donc un acte de violence contre vous.
Je suis tout amour, mes enfants, je vous parle parce que je vous veux avec moi pour l’éternité.
Je veux que vous soyez heureux dans un bonheur sans fin.
Aimez l’Amour; soyez bons envers vous; ainsi votre prochain recevra à son tour de l’amour qui sortira de vous et qui ira vers lui, et quand je me présenterai à lui, comme il a reçu des grâces de vous, c’est avec ces grâces qu’il me regardera et que moi, je le regarderai,
et je lui demanderai : «M’aimes-tu, toi qui es amour?» et lui, mes enfants, qui se verra dans son amour que, vous, vous avez consenti à lui donner, il ne pourra pas refuser à l’Amour de l’amour.
Voyez-vous, mes enfants, l’amour appelle l’amour, il ne peut pas se refuser de l’amour : c’est ce que vous êtes.
Je suis la Toute-Puissance de votre être et je laisse en chacun de vous un message pour ceux que vous portez : «Toi qui vis dans l’être de mes enfants, toi en particulier qui ne te sais pas amour, je viens bientôt te demander si tu m’aimes? Je vais déposer en toi, par ces êtres qui s’abandonnent, des grâces pour que tu saches que tu es
toi : amour.»
Chaque enfant, ici, ce soir, porte ce message et quand je me présenterai à cet enfant qui ne se sait pas amour, ce message se développera en lui, il sera accompagné de votre don d’amour : votre oui à l’Amour.
Moi, l’Amour, je vous aime. Moi, l’Amour, je vous veux.
J’ai soif de mes enfants, je ne veux pas en perdre aucun.
Vous, mes fils d’amour, vous, mes saints fils, vous avez distribué l’Amour en mes enfants; vous m’avez donné à chacun d’eux afin que leur être reçoive mon Être. Je vous demande, mes saints fils d’amour, de faire don de vous-mêmes, d’être des êtres de lumière qui éclairent ce temps de ténèbres. Soyez vigilants, car le Maître des ténèbres veut empêcher mes enfants de me recevoir. Par vos mains consacrées, par la puissance de mon Tout, je vous demande, mes saints prêtres, de bénir chacun de mes enfants, ici ce soir, et par la puissance de l’Amour, je vous demande de bénir tous les enfants qu’ils portent. Amen, mes enfants d’amour.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-08-31
Jésus : Mes enfants d’amour, je m’adresse à chacun de vous. Je suis l’Amour qui vit en vous. Je suis la Puissance de votre être. Je me donne à chacun de vous pour que vous deveniez moi, pour que vous deveniez enfants de Dieu.
Je veux, mes enfants, vous parler en chacun de vous en particulier. Vous êtes pour votre Dieu des enfants uniques. Vous avez été conçus par amour pour l’Amour afin d’être unifiés à l’Amour : unité d’amour. L’amour, mes enfants, c’est se donner. L’amour est tout en tout. Quand chacun de vous apprend à savoir qui il est, ce qu’il peut offrir : tout son intérieur devient joie.
Il y a de la joie en ceux qui se donnent, en ceux qui s’offrent.
Si vous gardez pour vous ce qu’il y a de plus important à donner, vous n’êtes pas heureux.
Garder pour soi un trésor, ce n’est pas consentir à montrer aux autres ce qu’il y a de plus beau en vous.
Donner à son prochain un regard, un sourire, un mot de consolation, un service, c’est montrer son trésor : ne pas juger son prochain, ne pas montrer qu’il n'est pas comme, vous, vous le souhaiteriez.
Ne pas consentir à l’aimer avec ses défauts, mes enfants,
ce n’est pas développer en vous ce trésor.
Vivre sur la terre, en n’aimant pas son prochain, n’est pas souhaité, cela, à personne.
Et pourtant, combien d’entre vous sont dans cet état?
Vos conversations, mes enfants, pour la plupart, sont des mots dans lesquels vous introduisez votre prochain.
Vous êtes des enfants qui ont de la difficulté à garder le silence devant un autre qui, lui, vient de parler contre l’un de vos frères ou l’une de vos sœurs.
Oh! dans un premier temps, vous voulez vous retenir, car vous êtes conscients que ce qu’il dit n’est pas toujours beau, et vous rentrez, sans vous en rendre compte, dans son jeu, et vous faites tous les deux du tort à vous-mêmes.
Ce n’est pas à la personne de qui vous parlez que vous faites du mal : c’est à vous-mêmes car, à l’intérieur de vous, vous portez cette personne, elle est en vous : alors, c’est contre vous que vous parlez.
Oh! mes enfants d’amour, sachez vous aimer,
sachez vous reconnaître enfants de Dieu.
Moi qui vis en chacun de vous, je suis l’Amour : je suis le Père, je suis le Fils, je suis le Saint-Esprit.
L’Amour vit en vous, je suis votre contenu, et l’Amour vous contient tous, car vous êtes tous une partie de mon Être. J’ai donné à chacun de vous mon souffle d’amour, il vous donne vie : il est en vous.
Mes enfants, ces temps sont si importants! Il faut que vous preniez connaissance que chaque geste que vous posez, chaque parole que vous dites, c’est pour vous un mouvement d’amour qui augmente votre trésor en chacun de vous, car, mes enfants, quand je serai en face de vous, je vais vous demander de me montrer votre trésor, et tous ceux qui n’auront pas accumulé de mouvements d’amour ne pourront pas me montrer un trésor.
Vous aurez à vous justifier devant votre geste et c’est vous-mêmes, mes enfants, qui allez vous justifier, et non moi!
Moi, je déposerai en vous l’amour : mon amour, et c’est avec mon amour, mes enfants, que vous allez vous-mêmes vous justifier.
Et c’est pour ça que je suis ici, dans cet instrument d’amour, pour vous prévenir de vous préparer à ma sainte venue en vous : moi, l’Amour, vous me verrez.
Mes enfants, il vous reste si peu de temps! Aimez-vous, aimez votre prochain,
faites du bien autour de vous.
Marie, votre Mère, parcourt la terre entière vous demandant de vous aimer les uns les autres;
elle vous demande des prières.
Les prières, mes enfants, c’est un don de soi : c’est de parler avec l’Amour.
Quand vous priez et que vous lui demandez "Mère, priez pour nous, pauvres pécheurs", cette prière, mes enfants, est une prière pour vous, pour vos frères, pour vos sœurs; vous lui demandez des grâces qui vous aident à devenir enfants d’amour.
Marie, votre douce Maman, connaît vos cœurs, elle connaît chacun de vous; elle déverse en vous des grâces d’abandon, des grâces d’amour afin que vous soyez dans ma Volonté, que vous deveniez enfants d’amour.
Vivre en enfant de Dieu, c’est vivre en moi, c’est tout faire en moi; c’est prendre un geste et me l’offrir, et ce geste devient pour vous un geste d’amour qui porte des fruits.
Mes enfants, je ne vous demande pas d’aller convertir des enfants qui refusent catégoriquement de vous écouter.
Je connais votre monde et je sais que ces enfants ne sont pas prêts à vous entendre : ils vous rejetteraient.
Ce que je vous demande, mes enfants : c’est de prier pour eux, de m’offrir ce geste, ce geste d’amour afin qu’eux aussi apprennent à s’aimer, apprennent à aimer leur prochain; car lorsque je me présenterai en eux, eux aussi, mes enfants, se jugeront, se jugeront avec mon amour, et s’ils n’ont rien reçu, ils vont tomber dans une douleur atroce, et ces enfants, qui n’ont pas reçu une force d’amour, une force d’abandon, sortiront de cette purification en ayant refusé l’amour, car ils n’auront pas reçu les grâces de se savoir aimés de Dieu.
Voyez-vous, mes enfants, aller dans un supermarché, aller vers les étagères pour prendre un objet attrayant, très joli, vous aurez beau le regarder, si vous ne savez pas à quoi il sert, vous allez le remettre sur l’étagère et vous en retourner. Cet objet, mes enfants, aurait pu remplir ces journées d’ennui lorsqu’il pleut à l’extérieur, mais lui n’a rien vu, n’a rien su de l’utilité de cet objet : alors il s’en retourne.
C’est ainsi, mes enfants, on a beau présenter de l’amour à quelqu’un, si celui-ci ne sait pas qu’à l’intérieur de lui il est amour, que la vie en lui est éternelle : il ne peut prendre sa décision, car il ne sait pas comment aimer; il n’a connu que le matériel, que les plaisirs terrestres; il ne sait pas se donner, il ne sait pas s’offrir : on ne lui a pas montré.
Vous, mes enfants, qui apprenez à vous donner, qui apprenez à vous offrir, c’est par mes grâces que vous apprenez cela, ce n’est pas par vous-mêmes!
L’amour vient de moi, l’Amour est moi.
Vous ne pourriez, mes enfants, être ici ce soir, si moi, votre Dieu, je ne vous avais pas donné ma Vie, mon amour.
Je vous comble de mes biens : c’est moi, l’Esprit d’amour, qui fais que vous soyez des enfants qui savent apprécier ce qui est bon, ce qui est juste; c’est moi, l’Esprit d’amour, qui mets en vous le goût d’aller vers votre prochain, de vous donner à chacun de vous du bien-être.
Sans moi, mes enfants, vous ne seriez que des êtres ignorants de vous-mêmes.
Par mes grâces, je vous comble, je vous couvre pour vous laisser découvrir, à votre rythme, en respectant qui vous êtes, en ne vous forçant pas, mes enfants.
Je vous aime trop, je ne veux pas vous bousculer car, voyez-vous, quand on prend quelqu’un et qu’on l’oblige à poursuivre un parcours inconnu de lui, il risque, en chemin, de trouver cela trop difficile : car votre chemin, mes enfants, est rempli d’obstacles, d’embûches.
Vous vivez dans un monde où tout est axé vers le moi extérieur.
Voyez-vous, moi qui connais chacun de vous, si vous avez le besoin de vous reposer : soit parce que vous avez eu un événement qui vous empêche d’avancer, soit par votre ouvrage, soit par quelqu’un qui vous a annoncé une mauvaise nouvelle, soit par maladie, soit par une mortalité, moi, je vous couvre de mon amour : je dépose en vous des grâces pour vous donner la force de comprendre que cet événement-là n’est pas contre vous.
Il est un obstacle dans votre vie parce que, vous, mes enfants, vous êtes dans un monde où on a refusé de vivre dans la Divine Volonté.
Vous vivez que de votre volonté humaine qui est faible.
La volonté humaine, mes enfants, a tendance à vouloir écouter mon ennemi qui vous incite à vous juger : vous.
Quand un enfant n’accepte pas les obstacles qu’il rencontre, c’est qu’il ne se sait pas dans ma puissance d’amour; alors il compte que sur ses forces à lui et ses forces, mes enfants, ne peuvent passer à travers ces obstacles.
Il devient aigri, fatigué, épuisé : il veut que cela s’arrête; alors, il cherche tous les moyens pour trouver un bien-être qui n’est plus en lui : par lui-même, il ne peut pas; c’est moi qui suis avec lui, moi, l’Esprit d’amour : je déverse en lui ma force d’amour; je lui donne ma puissance afin qu’il se reprenne, afin qu’il sache que je l’aime; alors, cet enfant reprend son chemin et continue.
Voyez-vous, mes enfants, je suis avec vous depuis votre naissance.
Je suis avec vous sur la terre pour vous montrer que vous êtes enfants de Dieu : que vous êtes les choisis de l’Amour.
Vous devez, mes enfants, vous laisser découvrir enfants de Dieu : enfants de mon Être.
Tout en vous est amour. Vous avez en vous, mes enfants, nous, la Puissance.
Venez puiser à l’intérieur de vous cette force.
Mes enfants d’amour, je n’ai pas de recette magique à vous donner, c’est tout simplement dire : "Ô Dieu d’amour, tu es en moi, je sais que tu es là. Je te donne tout de moi. Je te donne ma vie, tout ce que j’ai. Je veux m’abandonner. Fais ce que tu veux, car tu m’aimes et j’ai confiance en toi."
Voilà, mes enfants, ce que vous devez faire et cela, mes enfants, n’est pas qu’une fois semaine : à chaque fois qui se présente en vous des doutes sur ce que vous êtes, des doutes face à votre prochain et que vous voyez que cela vous trouble, venez en vous, rentrez en vous, je suis là, moi!
Vous avez cette puissance en vous, ne demeurez pas sur votre chemin sans venir puiser des forces.
Je vous comble de mon amour.
Ah! mes enfants, ce temps est si important pour vous et pour ceux que vous portez à l’intérieur de vous!
Il est pour vous ce temps d’amour.
Vous devez réaliser qu’autour de vous, il y a tant de misère, de haine, de violence!
La violence, mes enfants, règne; elle n’est pas seulement dans la guerre; elle n’est pas seulement, mes enfants, dans des gestes qui enlèvent la vie ou qui blessent le corps.
La violence, mes enfants, c’est quand on empêche la Vie de vous nourrir.
Quand vous empêchez l’amour de se déverser en vous, vous empêchez votre âme, mes enfants, de se nourrir.
Cette nourriture nourrit votre intérieur afin que vous soyez amour.
Et si vous n’êtes pas amour, mes enfants, vous êtes portés à commettre des gestes de violence contre vous, en vous refusant de l’amour! Oui, mes enfants, quand vous émettez un seul jugement contre votre prochain :
vous venez de vous refuser de l’amour et, c’est contre vous ce geste.
Je vous ai dit que le plus grand commandement est «D’aimer son Dieu de toute son âme, de tout son cœur, de toutes ses forces, de tout son esprit» et je vous ai dit, mes enfants : «Aimez votre prochain comme moi je vous ai aimés.»
Mes enfants, moi, c’est vous! Je vous porte, mes enfants; vous êtes en moi et moi je suis en vous :
vous ne pouvez me séparer de vous.
Moi, votre Dieu, je me suis donné à vous par amour, dans l’amour, et c’est cet amour qui vous demande ce soir de prendre conscience que vous êtes présents en chacun de vous avec tous vos frères et vos sœurs, et qu'à chaque fois, mes enfants, que vous portez un geste contre votre prochain, c’est contre vous que vous le portez; vous faites donc un acte de violence contre vous.
Je suis tout amour, mes enfants, je vous parle parce que je vous veux avec moi pour l’éternité.
Je veux que vous soyez heureux dans un bonheur sans fin.
Aimez l’Amour; soyez bons envers vous; ainsi votre prochain recevra à son tour de l’amour qui sortira de vous et qui ira vers lui, et quand je me présenterai à lui, comme il a reçu des grâces de vous, c’est avec ces grâces qu’il me regardera et que moi, je le regarderai,
et je lui demanderai : «M’aimes-tu, toi qui es amour?» et lui, mes enfants, qui se verra dans son amour que, vous, vous avez consenti à lui donner, il ne pourra pas refuser à l’Amour de l’amour.
Voyez-vous, mes enfants, l’amour appelle l’amour, il ne peut pas se refuser de l’amour : c’est ce que vous êtes.
Je suis la Toute-Puissance de votre être et je laisse en chacun de vous un message pour ceux que vous portez : «Toi qui vis dans l’être de mes enfants, toi en particulier qui ne te sais pas amour, je viens bientôt te demander si tu m’aimes? Je vais déposer en toi, par ces êtres qui s’abandonnent, des grâces pour que tu saches que tu es
toi : amour.»
Chaque enfant, ici, ce soir, porte ce message et quand je me présenterai à cet enfant qui ne se sait pas amour, ce message se développera en lui, il sera accompagné de votre don d’amour : votre oui à l’Amour.
Moi, l’Amour, je vous aime. Moi, l’Amour, je vous veux.
J’ai soif de mes enfants, je ne veux pas en perdre aucun.
Vous, mes fils d’amour, vous, mes saints fils, vous avez distribué l’Amour en mes enfants; vous m’avez donné à chacun d’eux afin que leur être reçoive mon Être. Je vous demande, mes saints fils d’amour, de faire don de vous-mêmes, d’être des êtres de lumière qui éclairent ce temps de ténèbres. Soyez vigilants, car le Maître des ténèbres veut empêcher mes enfants de me recevoir. Par vos mains consacrées, par la puissance de mon Tout, je vous demande, mes saints prêtres, de bénir chacun de mes enfants, ici ce soir, et par la puissance de l’Amour, je vous demande de bénir tous les enfants qu’ils portent. Amen, mes enfants d’amour.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Crabtree, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-09-06
Jésus : Mes enfants, ce soir, c’est moi votre Dieu qui va vous parler pour vous montrer que vous êtes tous réunis dans mon intérieur. Mes enfants, je suis la Vie, je suis la Vie de votre être. Je suis Celui qui vous a donné le souffle, Celui qui vous donne la joie : un bonheur que vous devez, vous, savoir si vous voulez le vivre.
Bien que vous viviez sur cette terre, il faut que, vous, vous preniez le choix de venir à moi.
Je vis en vous; vous, mes enfants, vous êtes en moi.
Cela ne veut pas dire, mes enfants, que vous allez venir au Royaume de Dieu : il faut que, vous, vous preniez conscience de votre propre choix à vous.
Je ne suis pas un Dieu qui vous a choisis et qui vous oblige à venir vers moi sans que, vous, vous le vouliez.
Vous avez tous été créés libres, vous avez votre propre vie en vous.
C’est moi qui la nourris, cette vie; c’est moi qui vous donne ce que vous avez besoin, pour que vous voyez que vous êtes à moi.
Bien que vous soyez à moi, mes enfants, cela ne veut pas dire que vous êtes obligés à l’Amour :
vous êtes libres de choisir.
J’ai créé, moi, vos premiers parents.
Ils sont venus par mon choix, à moi, dans le paradis terrestre.
J’ai formé l’homme à mon image, j’ai insufflé en lui ma propre Vie, mes enfants, et j’ai sorti de cet être d’amour ma féminité, car je suis l’amour dans son complément, et vous, mes enfants, vous venez d’eux : vous venez de ces deux êtres d’amour qui sont de moi.
Vous devez vous compléter, mes enfants; vous devez vivre de votre Être qui est en vous.
Je suis, moi, votre Dieu d’amour. Je suis l'Être qui vit en vous : je suis vivant!
Je suis un Dieu qui pense, qui agit, qui fait pour vous ce qui va vous conduire vers moi.
Beaucoup d’entre vous, mes enfants, vous croyez que votre vie est celle que moi, je vous oblige à vivre :
il est faux de croire ainsi!
C’est vous, mes enfants qui avez le choix de vivre comme vous, vous l’entendez.
Je vous ai donné des lois d’amour par mon saint prophète Moïse.
Il faut, mes enfants, que vous les mettiez en pratique!
Si vous ne vivez pas en pratiquant mes lois d’amour : c’est vous qui vous vous blessez.
Vous vous faites du tort, et vous êtes les premiers à vous demander : " Seigneur, mon Dieu, pourquoi est-ce que je suis malade? Pourquoi est-ce que mon voisin m’accable de ses reproches? Pourquoi est-ce que je ne suis pas heureux avec mon épouse ou mon époux? Pourquoi est-ce que mes enfants ne suivent pas la religion, celle que je leur ai montrée?"
Et combien d’autres, mes enfants! C’est qu’à l’intérieur de vous, vous n’avez pas appris à vivre dans mon Être. Vous êtes libres, mes enfants, de vivre dans votre propre volonté à vous, mais, voyez-vous, elle est très déficiente votre volonté : elle est portée à bifurquer. Sur le chemin que moi je vous ai tracé : ce sont mes lois d’amour; vous voulez bien venir vers moi, mais vous êtes incapables, mes enfants.
Vous vous trouvez des excuses pour ne pas suivre mes commandements.
Je sais, mes enfants, que vous avez beaucoup de difficultés.
Votre monde a voulu vivre sa liberté en ignorant mes commandements.
Et vous, mes enfants, vous, mes êtres de lumière; vous voulez bien les suivre, mais autour de vous, tout chamboule. Il y en a qui vous disent que cela n’est plus la mode : "Voyons, nous sommes rendus au 21e siècle, pourquoi se priver? Pourquoi vouloir suivre des lois qui nous ont montré que la vie est rigide?"
Alors, vous, mes enfants d’amour, mes êtres de lumière, vous voulez défendre ce qui vous tient à cœur!
Alors, vous prenez les moyens : vous parlez en mon Nom.
Vous voulez leur montrer qu’ils ont tort, et vous, mes enfants, vous ne voyez pas que vous faites le jeu du Diviseur.
Vous vous divisez : vous, vous êtes d'un côté de la clôture et eux sont de l’autre côté.
Mais, mes enfants, qui est du bon côté? Moi seul le sais!
Si vous croyez, mes enfants, avoir raison, si vous croyez que ce que vous dites est plein de vérité, c’est que vous avez trouvé en vous la lumière, celle qui éclaire vos paroles, celle qui montre aux autres que vous avez en vous la vérité.
Vous qui croyez tenir en vous la loi d’amour, vous voulez leur montrer votre propre conception de voir la vie avec ce qu’on vous a appris.
Mes enfants d’amour, voyez-vous, quand vous portez des commentaires sur ce que les autres devaient faire pour suivre mes lois d’amour, parfois, il y a votre volonté humaine qui passe, et eux, qui vous écoutent, sont portés à voir votre volonté humaine!
Pourquoi vous écouteraient-ils?
Pourquoi feraient-ils ce que vous, vous avez de la difficulté à suivre?
Quand, mes enfants, il faut que vous alliez à la messe, regardez-vous : vous allez vers ce lieu comme si vous seriez obligés d’y aller, parce que c’est la loi.
Mes enfants d’amour, la messe est un acte d’amour, il est fait pour vous nourrir, pour vous alimenter dans mon amour.
Si vous allez, mes enfants, voir une pièce de théâtre, vous y allez avec un désir de vous amuser, d’avoir du plaisir, et les autres qui vous regardent sont aussi dans ce plaisir car, voyez-vous, ils sont contents pour vous que vous alliez vous distraire.
Mais, quand vous venez me voir, mes enfants, vous mettez des rigidités; vous ne faites pas des actes d’amour, de désir.
Vous allez très pressés à cette heure, car vous avez calculé ce moment, et vous avez aussi calculé les endroits où vous devez aller après; si, mes enfants, le temps où vous avez prévu une sortie est en rapport avec mon temps à moi : vous vous pressez, vous bousculez, bien souvent, la maisonnée.
Parce que ce n'est pas fait avec amour, vous avez même, parfois, hâte que cela se termine. Regardez-vous, ce soir, mes enfants, vous êtes venus ici dans la joie entendre mes paroles.
Vous avez festoyé, vous avez fait des chants d’amour, vous avez eu dans votre cœur ce désir de venir voir Jésus.
Mes enfants, le dimanche, c’est aussi la fête!
Si vous démontrez aux autres combien vous êtes heureux dans ce moment d’intimité avec moi, cela se fera voir!
Il y a en vous, mes enfants, des restrictions à vous donner : vous voulez vous donner, mais pas si cela est contre votre temps.
Mes enfants d’amour, je suis votre Dieu, je suis Celui qui vit en vous.
Quand vous vous donnez avec amour, moi, je le sais.
Avant même que vous arriviez à l’église, je vous ai vus!
Je sais ce qu’il y a en vous, je sais votre désir de venir me voir, de venir contempler ma Présence dans la sainte Hostie.
Je sais aussi ceux qui veulent m’avoir en eux avec un grand désir d’amour!
Alors, moi qui sais, avant que vous veniez à la messe, combien vous me désirez, je me gonfle d’amour pour vous combler.
Tel un futur époux qui attend sa future épouse, il veut lui montrer tout son amour en déversant en elle tout ce qu’il y a en lui.
Voyez-vous, mes amours, c’est ainsi que je veux que vous veniez le dimanche à la messe : en me désirant, afin que moi je déverse tout mon Être en vous.
Si vous me recevez en pensant à votre sortie ou en pensant que vous avez fait votre devoir : "voilà, je suis venu à la messe, mon devoir est fait", mes enfants d’amour, je le sais moi!
Je vous aime tellement, je vous désire tellement!
Je me languis, mes enfants, de vous avoir en moi.
Donnez-vous à l'Amour, l’Amour vous veut dans un abandon total. La messe, mes enfants, savez-vous qu’elle continue?
Elle ne cesse pas au moment où vous avez le pied à l’extérieur : elle continue.
Elle est nourriture la messe, elle est une alimentation pour votre vie spirituelle.
À chaque jour, mes enfants, moi qui suis en vous, je vous nourris;
je vous donne ce que vous avez besoin pour votre journée.
Je suis vivant, mes enfants, je ne m’éteins pas à la sortie de la messe : je continue à vous nourrir.
Votre corps, mes enfants, a été en ma Présence : vous êtes, vous, en moi;
je ne me détache pas de vous, je vis avec vous.
Et c’est pour ça, mes enfants, que je veux vous faire comprendre, ce soir, combien il est important de vivre votre vie dans ma Vie pour faire de vous des témoins d’amour, des témoins de mes lois d’amour, car si je vous nourris ainsi, c’est pour que vous ayez la force, la lumière, le discernement de voir que la vie n’est pas une corvée, n’est pas une obligation : elle est libre la vie : elle est en moi.
Quand vous vivez en moi, mes enfants, quand vous venez en moi : je déverse en vous tant de grâces, et ces grâces vous aident à vivre en enfants de Dieu dans ce monde où il a oublié qu’il est à moi, qu’il a mon souffle en lui. Vous, mes enfants, que je nourris de mon Corps, de mon Sang, vous êtes en moi; vous venez me prendre le dimanche pour que vous soyez nourriture vivante pour ceux qui ne se savent pas vivants en moi.
Je vous aime, mes enfants d’amour; je veux que vous soyez des êtres remplis de mon Être.
Vous allez voir que tout sera plus facile pour vous :
mes commandements seront plus simples, plus légers.
Vous ne voyez pas, mes enfants, combien ma Présence en vous est une joie, est un bonheur pour vous!
Quand vous allez vers les autres et que vous parlez en êtres simples, en êtres remplis de respect pour ce qu’ils sont, et non ce que vous, vous voulez qu’ils soient : eux reçoivent de moi des grâces qui sortent de vous, et cela les aide à regarder mes lois d’amour comme des lois simples, des lois qui sont faites pour les aider à supporter une vie quotidienne remplie de labeur.
Il faut du respect, mes enfants, pour pouvoir aider son prochain.
Il faut de la patience, mes enfants, pour leur montrer qu’eux aussi sont des enfants de Dieu.
Il faut, mes enfants, que vous soyez des êtres respectueux de ce qu’ils sont devenus en ne venant pas les dimanches me recevoir dans la sainte Eucharistie.
Mes enfants, comme il sera bon de vous regarder toute la semaine, en sachant que vous avez hâte de venir me prendre en vous, de venir puiser cette force qui vous aidera à vivre dans ce monde qui a oublié que je vis en eux!
Je vous aime, mes enfants d’amour!
Voyez-vous, c’est simple l’amour!
Il n’y a rien de compliqué, c’est moi qui vous donne votre besoin, votre force pour que vous viviez en êtres simples, en êtres d’amour.
Les jugements, mes enfants, ne seront plus en vous.
La tricherie, mes enfants, ne fera pas partie de votre quotidien.
Le non-respect du mariage prendra une autre dimension.
Vous allez voir que, dans le mariage, il y a des forces, et ces forces, mes enfants, ce sont mes grâces, mes grâces d’amour qui vous feront faire des actes d’amour pour vous; oui, pour vous, mes enfants, afin que l’autre sache que vous êtes amour et ainsi, l’autre aussi profitera de ces grâces qui sortiront de vous.
Voyez-vous, mes enfants, c’est ainsi l’amour! L’amour ça commence par vous, à l’intérieur de vous, et ça sort pour aller vers les autres. Il n’y aura plus d’envie : vous n’aurez plus besoin d’envier votre prochain, de prendre ce qui ne vous appartient pas pour avoir du bonheur ou du bien matériel car, en vous, il y aura l’amour et cela va vous rendre tellement en joie!
Vous n’aurez plus besoin, mes enfants, d’aller puiser en l’autre ce qui vous manque ou dans le bien matériel car, en vous, vous aurez le bonheur.
Mes enfants, quand je parle du bien matériel, je ne veux pas vous dire d'aller vendre tout ce que vous avez. Je sais que vous vivez dans un pays où il fait froid, où vous avez besoin de chaleur, où vous avez besoin de linge, où vous avez besoin d’une nourriture, mais savez-vous, mes enfants, ce que l’Amour va faire en vous? Il va mettre de la tempérance : alors, vous n’aurez pas besoin de biens excessifs, de surplus qui vous oblige à faire un ouvrage au-dessus de vos capacités.
Mes enfants, vous allez partager, vous allez pouvoir donner le surplus que vous avez à ceux qui, eux, n’ont pas eu la chance que vous, vous avez eue.
Il y aura l’Amour en vous qui vous dira : «Donne, donne-moi. Moi, ton Dieu, je te comblerai», car vous saurez qu’en vous, je vous habite.
Vous saurez que vous êtes amour par moi et que moi, je prends soin de chacun de vous. Mes enfants d’amour, mes lois d’amour sont pour vous un bonheur.
Le bonheur régnera dans votre vie; il y aura en vous ce qu’il y a de plus précieux, ce qu’il y a de plus merveilleux : l’amour qui donne, l’amour qui veut s’offrir pour que tous soient dans la joie, dans le bonheur que vous, vous ressentez.
Mes enfants, voyez-vous pourquoi je vous demande, ce soir, de ne pas regarder de quel côté de la clôture vous êtes? Voyez-vous, si l’un d’entre vous est enfant de la Divine Volonté, alors vous savez que la clôture a été posée par votre volonté humaine.
Qui se juge sait qu’il ne peut pas voir ce qu’il y a en son prochain.
Chaque enfant doit lui-même voir la lumière en lui, afin de porter lui-même son propre jugement envers lui-même. On ne peut voir, mes enfants, la lumière que si le Saint-Esprit, le Dieu de vérité, le Dieu d’amour, vous la fait voir. Mes enfants, ce soir, vous avez entendu la voix de l’Amour qui parle en chacun de vous, qui vous dit : «Regardez votre intérieur, il est rempli de mon amour qui va vous montrer que je veux vous avoir en moi, par votre propre choix à vous, dans mon amour.» Soyez bons, mes enfants, envers ceux qui n’ont pas la lumière en eux.
Soyez bons envers vous.
Soyez la lumière de votre être en demandant à Dieu les grâces d’amour.
Venez, mes enfants, le dimanche, dans la joie, dans le désir de recevoir ces grâces d’amour; elles vous nourriront chaque jour de votre vie.
Mes enfants, je veux que votre vie soit éternelle, car je suis l’Éternel.
Ma Nourriture, mes enfants, est céleste, je suis la Divinité!
Vous êtes tous appelés, mes enfants, à devenir à mon Image : des petits enfants de la Divine Volonté.
L’Amour est en vous, l’Amour est vous.
À vous, mes enfants, de choisir si vous, vous voulez devenir à mon Image.
Mes enfants d’amour, l’Amour, ce soir, vous a montré combien il vous aime! Et par mes prêtres, ici, ce soir, vous avez reçu mon Être, mon Être d’amour. Les grâces, mes enfants, que vous avez reçues sont en train de vous transformer en êtres d’amour. Et je voudrais, mes enfants, par la puissance de mon Être, passer à travers les mains que j’ai moi-même consacrées afin que vous receviez une bénédiction, et cette bénédiction, mes enfants, vous montrera que vous êtes tous mes choisis. Amen.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-09-06
Jésus : Mes enfants, ce soir, c’est moi votre Dieu qui va vous parler pour vous montrer que vous êtes tous réunis dans mon intérieur. Mes enfants, je suis la Vie, je suis la Vie de votre être. Je suis Celui qui vous a donné le souffle, Celui qui vous donne la joie : un bonheur que vous devez, vous, savoir si vous voulez le vivre.
Bien que vous viviez sur cette terre, il faut que, vous, vous preniez le choix de venir à moi.
Je vis en vous; vous, mes enfants, vous êtes en moi.
Cela ne veut pas dire, mes enfants, que vous allez venir au Royaume de Dieu : il faut que, vous, vous preniez conscience de votre propre choix à vous.
Je ne suis pas un Dieu qui vous a choisis et qui vous oblige à venir vers moi sans que, vous, vous le vouliez.
Vous avez tous été créés libres, vous avez votre propre vie en vous.
C’est moi qui la nourris, cette vie; c’est moi qui vous donne ce que vous avez besoin, pour que vous voyez que vous êtes à moi.
Bien que vous soyez à moi, mes enfants, cela ne veut pas dire que vous êtes obligés à l’Amour :
vous êtes libres de choisir.
J’ai créé, moi, vos premiers parents.
Ils sont venus par mon choix, à moi, dans le paradis terrestre.
J’ai formé l’homme à mon image, j’ai insufflé en lui ma propre Vie, mes enfants, et j’ai sorti de cet être d’amour ma féminité, car je suis l’amour dans son complément, et vous, mes enfants, vous venez d’eux : vous venez de ces deux êtres d’amour qui sont de moi.
Vous devez vous compléter, mes enfants; vous devez vivre de votre Être qui est en vous.
Je suis, moi, votre Dieu d’amour. Je suis l'Être qui vit en vous : je suis vivant!
Je suis un Dieu qui pense, qui agit, qui fait pour vous ce qui va vous conduire vers moi.
Beaucoup d’entre vous, mes enfants, vous croyez que votre vie est celle que moi, je vous oblige à vivre :
il est faux de croire ainsi!
C’est vous, mes enfants qui avez le choix de vivre comme vous, vous l’entendez.
Je vous ai donné des lois d’amour par mon saint prophète Moïse.
Il faut, mes enfants, que vous les mettiez en pratique!
Si vous ne vivez pas en pratiquant mes lois d’amour : c’est vous qui vous vous blessez.
Vous vous faites du tort, et vous êtes les premiers à vous demander : " Seigneur, mon Dieu, pourquoi est-ce que je suis malade? Pourquoi est-ce que mon voisin m’accable de ses reproches? Pourquoi est-ce que je ne suis pas heureux avec mon épouse ou mon époux? Pourquoi est-ce que mes enfants ne suivent pas la religion, celle que je leur ai montrée?"
Et combien d’autres, mes enfants! C’est qu’à l’intérieur de vous, vous n’avez pas appris à vivre dans mon Être. Vous êtes libres, mes enfants, de vivre dans votre propre volonté à vous, mais, voyez-vous, elle est très déficiente votre volonté : elle est portée à bifurquer. Sur le chemin que moi je vous ai tracé : ce sont mes lois d’amour; vous voulez bien venir vers moi, mais vous êtes incapables, mes enfants.
Vous vous trouvez des excuses pour ne pas suivre mes commandements.
Je sais, mes enfants, que vous avez beaucoup de difficultés.
Votre monde a voulu vivre sa liberté en ignorant mes commandements.
Et vous, mes enfants, vous, mes êtres de lumière; vous voulez bien les suivre, mais autour de vous, tout chamboule. Il y en a qui vous disent que cela n’est plus la mode : "Voyons, nous sommes rendus au 21e siècle, pourquoi se priver? Pourquoi vouloir suivre des lois qui nous ont montré que la vie est rigide?"
Alors, vous, mes enfants d’amour, mes êtres de lumière, vous voulez défendre ce qui vous tient à cœur!
Alors, vous prenez les moyens : vous parlez en mon Nom.
Vous voulez leur montrer qu’ils ont tort, et vous, mes enfants, vous ne voyez pas que vous faites le jeu du Diviseur.
Vous vous divisez : vous, vous êtes d'un côté de la clôture et eux sont de l’autre côté.
Mais, mes enfants, qui est du bon côté? Moi seul le sais!
Si vous croyez, mes enfants, avoir raison, si vous croyez que ce que vous dites est plein de vérité, c’est que vous avez trouvé en vous la lumière, celle qui éclaire vos paroles, celle qui montre aux autres que vous avez en vous la vérité.
Vous qui croyez tenir en vous la loi d’amour, vous voulez leur montrer votre propre conception de voir la vie avec ce qu’on vous a appris.
Mes enfants d’amour, voyez-vous, quand vous portez des commentaires sur ce que les autres devaient faire pour suivre mes lois d’amour, parfois, il y a votre volonté humaine qui passe, et eux, qui vous écoutent, sont portés à voir votre volonté humaine!
Pourquoi vous écouteraient-ils?
Pourquoi feraient-ils ce que vous, vous avez de la difficulté à suivre?
Quand, mes enfants, il faut que vous alliez à la messe, regardez-vous : vous allez vers ce lieu comme si vous seriez obligés d’y aller, parce que c’est la loi.
Mes enfants d’amour, la messe est un acte d’amour, il est fait pour vous nourrir, pour vous alimenter dans mon amour.
Si vous allez, mes enfants, voir une pièce de théâtre, vous y allez avec un désir de vous amuser, d’avoir du plaisir, et les autres qui vous regardent sont aussi dans ce plaisir car, voyez-vous, ils sont contents pour vous que vous alliez vous distraire.
Mais, quand vous venez me voir, mes enfants, vous mettez des rigidités; vous ne faites pas des actes d’amour, de désir.
Vous allez très pressés à cette heure, car vous avez calculé ce moment, et vous avez aussi calculé les endroits où vous devez aller après; si, mes enfants, le temps où vous avez prévu une sortie est en rapport avec mon temps à moi : vous vous pressez, vous bousculez, bien souvent, la maisonnée.
Parce que ce n'est pas fait avec amour, vous avez même, parfois, hâte que cela se termine. Regardez-vous, ce soir, mes enfants, vous êtes venus ici dans la joie entendre mes paroles.
Vous avez festoyé, vous avez fait des chants d’amour, vous avez eu dans votre cœur ce désir de venir voir Jésus.
Mes enfants, le dimanche, c’est aussi la fête!
Si vous démontrez aux autres combien vous êtes heureux dans ce moment d’intimité avec moi, cela se fera voir!
Il y a en vous, mes enfants, des restrictions à vous donner : vous voulez vous donner, mais pas si cela est contre votre temps.
Mes enfants d’amour, je suis votre Dieu, je suis Celui qui vit en vous.
Quand vous vous donnez avec amour, moi, je le sais.
Avant même que vous arriviez à l’église, je vous ai vus!
Je sais ce qu’il y a en vous, je sais votre désir de venir me voir, de venir contempler ma Présence dans la sainte Hostie.
Je sais aussi ceux qui veulent m’avoir en eux avec un grand désir d’amour!
Alors, moi qui sais, avant que vous veniez à la messe, combien vous me désirez, je me gonfle d’amour pour vous combler.
Tel un futur époux qui attend sa future épouse, il veut lui montrer tout son amour en déversant en elle tout ce qu’il y a en lui.
Voyez-vous, mes amours, c’est ainsi que je veux que vous veniez le dimanche à la messe : en me désirant, afin que moi je déverse tout mon Être en vous.
Si vous me recevez en pensant à votre sortie ou en pensant que vous avez fait votre devoir : "voilà, je suis venu à la messe, mon devoir est fait", mes enfants d’amour, je le sais moi!
Je vous aime tellement, je vous désire tellement!
Je me languis, mes enfants, de vous avoir en moi.
Donnez-vous à l'Amour, l’Amour vous veut dans un abandon total. La messe, mes enfants, savez-vous qu’elle continue?
Elle ne cesse pas au moment où vous avez le pied à l’extérieur : elle continue.
Elle est nourriture la messe, elle est une alimentation pour votre vie spirituelle.
À chaque jour, mes enfants, moi qui suis en vous, je vous nourris;
je vous donne ce que vous avez besoin pour votre journée.
Je suis vivant, mes enfants, je ne m’éteins pas à la sortie de la messe : je continue à vous nourrir.
Votre corps, mes enfants, a été en ma Présence : vous êtes, vous, en moi;
je ne me détache pas de vous, je vis avec vous.
Et c’est pour ça, mes enfants, que je veux vous faire comprendre, ce soir, combien il est important de vivre votre vie dans ma Vie pour faire de vous des témoins d’amour, des témoins de mes lois d’amour, car si je vous nourris ainsi, c’est pour que vous ayez la force, la lumière, le discernement de voir que la vie n’est pas une corvée, n’est pas une obligation : elle est libre la vie : elle est en moi.
Quand vous vivez en moi, mes enfants, quand vous venez en moi : je déverse en vous tant de grâces, et ces grâces vous aident à vivre en enfants de Dieu dans ce monde où il a oublié qu’il est à moi, qu’il a mon souffle en lui. Vous, mes enfants, que je nourris de mon Corps, de mon Sang, vous êtes en moi; vous venez me prendre le dimanche pour que vous soyez nourriture vivante pour ceux qui ne se savent pas vivants en moi.
Je vous aime, mes enfants d’amour; je veux que vous soyez des êtres remplis de mon Être.
Vous allez voir que tout sera plus facile pour vous :
mes commandements seront plus simples, plus légers.
Vous ne voyez pas, mes enfants, combien ma Présence en vous est une joie, est un bonheur pour vous!
Quand vous allez vers les autres et que vous parlez en êtres simples, en êtres remplis de respect pour ce qu’ils sont, et non ce que vous, vous voulez qu’ils soient : eux reçoivent de moi des grâces qui sortent de vous, et cela les aide à regarder mes lois d’amour comme des lois simples, des lois qui sont faites pour les aider à supporter une vie quotidienne remplie de labeur.
Il faut du respect, mes enfants, pour pouvoir aider son prochain.
Il faut de la patience, mes enfants, pour leur montrer qu’eux aussi sont des enfants de Dieu.
Il faut, mes enfants, que vous soyez des êtres respectueux de ce qu’ils sont devenus en ne venant pas les dimanches me recevoir dans la sainte Eucharistie.
Mes enfants, comme il sera bon de vous regarder toute la semaine, en sachant que vous avez hâte de venir me prendre en vous, de venir puiser cette force qui vous aidera à vivre dans ce monde qui a oublié que je vis en eux!
Je vous aime, mes enfants d’amour!
Voyez-vous, c’est simple l’amour!
Il n’y a rien de compliqué, c’est moi qui vous donne votre besoin, votre force pour que vous viviez en êtres simples, en êtres d’amour.
Les jugements, mes enfants, ne seront plus en vous.
La tricherie, mes enfants, ne fera pas partie de votre quotidien.
Le non-respect du mariage prendra une autre dimension.
Vous allez voir que, dans le mariage, il y a des forces, et ces forces, mes enfants, ce sont mes grâces, mes grâces d’amour qui vous feront faire des actes d’amour pour vous; oui, pour vous, mes enfants, afin que l’autre sache que vous êtes amour et ainsi, l’autre aussi profitera de ces grâces qui sortiront de vous.
Voyez-vous, mes enfants, c’est ainsi l’amour! L’amour ça commence par vous, à l’intérieur de vous, et ça sort pour aller vers les autres. Il n’y aura plus d’envie : vous n’aurez plus besoin d’envier votre prochain, de prendre ce qui ne vous appartient pas pour avoir du bonheur ou du bien matériel car, en vous, il y aura l’amour et cela va vous rendre tellement en joie!
Vous n’aurez plus besoin, mes enfants, d’aller puiser en l’autre ce qui vous manque ou dans le bien matériel car, en vous, vous aurez le bonheur.
Mes enfants, quand je parle du bien matériel, je ne veux pas vous dire d'aller vendre tout ce que vous avez. Je sais que vous vivez dans un pays où il fait froid, où vous avez besoin de chaleur, où vous avez besoin de linge, où vous avez besoin d’une nourriture, mais savez-vous, mes enfants, ce que l’Amour va faire en vous? Il va mettre de la tempérance : alors, vous n’aurez pas besoin de biens excessifs, de surplus qui vous oblige à faire un ouvrage au-dessus de vos capacités.
Mes enfants, vous allez partager, vous allez pouvoir donner le surplus que vous avez à ceux qui, eux, n’ont pas eu la chance que vous, vous avez eue.
Il y aura l’Amour en vous qui vous dira : «Donne, donne-moi. Moi, ton Dieu, je te comblerai», car vous saurez qu’en vous, je vous habite.
Vous saurez que vous êtes amour par moi et que moi, je prends soin de chacun de vous. Mes enfants d’amour, mes lois d’amour sont pour vous un bonheur.
Le bonheur régnera dans votre vie; il y aura en vous ce qu’il y a de plus précieux, ce qu’il y a de plus merveilleux : l’amour qui donne, l’amour qui veut s’offrir pour que tous soient dans la joie, dans le bonheur que vous, vous ressentez.
Mes enfants, voyez-vous pourquoi je vous demande, ce soir, de ne pas regarder de quel côté de la clôture vous êtes? Voyez-vous, si l’un d’entre vous est enfant de la Divine Volonté, alors vous savez que la clôture a été posée par votre volonté humaine.
Qui se juge sait qu’il ne peut pas voir ce qu’il y a en son prochain.
Chaque enfant doit lui-même voir la lumière en lui, afin de porter lui-même son propre jugement envers lui-même. On ne peut voir, mes enfants, la lumière que si le Saint-Esprit, le Dieu de vérité, le Dieu d’amour, vous la fait voir. Mes enfants, ce soir, vous avez entendu la voix de l’Amour qui parle en chacun de vous, qui vous dit : «Regardez votre intérieur, il est rempli de mon amour qui va vous montrer que je veux vous avoir en moi, par votre propre choix à vous, dans mon amour.» Soyez bons, mes enfants, envers ceux qui n’ont pas la lumière en eux.
Soyez bons envers vous.
Soyez la lumière de votre être en demandant à Dieu les grâces d’amour.
Venez, mes enfants, le dimanche, dans la joie, dans le désir de recevoir ces grâces d’amour; elles vous nourriront chaque jour de votre vie.
Mes enfants, je veux que votre vie soit éternelle, car je suis l’Éternel.
Ma Nourriture, mes enfants, est céleste, je suis la Divinité!
Vous êtes tous appelés, mes enfants, à devenir à mon Image : des petits enfants de la Divine Volonté.
L’Amour est en vous, l’Amour est vous.
À vous, mes enfants, de choisir si vous, vous voulez devenir à mon Image.
Mes enfants d’amour, l’Amour, ce soir, vous a montré combien il vous aime! Et par mes prêtres, ici, ce soir, vous avez reçu mon Être, mon Être d’amour. Les grâces, mes enfants, que vous avez reçues sont en train de vous transformer en êtres d’amour. Et je voudrais, mes enfants, par la puissance de mon Être, passer à travers les mains que j’ai moi-même consacrées afin que vous receviez une bénédiction, et cette bénédiction, mes enfants, vous montrera que vous êtes tous mes choisis. Amen.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Chicoutimi, Québec,
par son instrument la Fille du Oui à Jésus
2002-09-16
Jésus : Je suis votre Dieu. Je me sers de cet instrument pour vous, par amour pour vous. Vous êtes mes bien-aimés.
Vous êtes le sel de la terre.
Tout ce qui est en vous, mes enfants, provient de l’Amour : je suis rempli d’amour, je suis Essence d’amour.
Vous, mes enfants, vous venez de moi; vous êtes, pour chacun de vous, des êtres d’amour.
Avant d’être amour pour votre prochain, mes enfants, il faut que vous, vous soyez amour.
Comment peut-on donner de l’amour à son prochain en ne sachant pas qui vous êtes, pourquoi vous êtes amour?
Mes enfants de l’Amour, je suis un Dieu rempli de votre être, je vous porte : vous êtes tous en moi; vous êtes, mes enfants de l’Amour, venus sur la terre par le choix de mon Père pour vous reconnaître enfants de Dieu le Père : je suis en vous tous.
Vous qui vivez sur cette terre afin que vous vous découvriez ce pourquoi vous êtes ici : vous n’êtes pas venus sur la terre, mes enfants, pour vous acheminer aveuglément en ne sachant pas où vous allez!
Vous qui cherchez à vous reconnaître, à vous identifier dans un monde où il n’y a plus d’amour, vous vous retrouvez malheureux en vous; vous voulez atteindre un niveau de vie qui vous procurera un bonheur : un bonheur bâti par vos propres moyens.
Mes enfants, le seul bonheur : il est en vous.
Ne cherchez pas à l’extérieur de vous ce qui est pour vous.
Ce bonheur, mes enfants, est moi, Jésus Amour.
Je suis la Vie de votre vie, je suis l’Éternel, le Fils de Dieu, votre Père : vous êtes enfants de mon Être.
Vous ne pouvez, mes enfants, appeler Dieu le Père, votre Père, si vous ne venez pas en moi, mourir en moi.
C’est moi, mes enfants, l’Amour qui s’est laissé mourir sur la Croix en apportant tous vos péchés tout ce que vous avez commis dans ce monde, dans ce monde où il n’y a que des désirs pour vous plaire, pour remplir une vie qui ne se sait pas en moi.
Celui qui apprend à chercher son bonheur en dehors de moi ne peut appeler mon Père, son Père,
car il refuse de se reconnaître enfant de Dieu.
Je suis Jésus Amour, je me suis donné pour chacun de vous afin que vous soyez dignes d’être appelés enfants de Dieu.
Il ne faut pas rejeter, mes enfants, mon offrande.
Je me suis offert à mon Père pour chacun de vous afin que vous trouviez en vous l’Amour, l’Amour qui vous habite, l’Amour qui est en vous.
Je vous contiens.
Mes enfants, tout en vous, il y a un Être rempli d’amour qui veut vous attirer à lui, qui veut vous dire :
«Pourquoi chercher en dehors de toi le bonheur? Il n’est pas dans les choses futiles, il n’est pas dans un quotidien rempli de toi-même où tu vaques à tes occupations sans savoir que tu es, toi, vivant.
Quand tu t’apportes un soi-disant bonheur avec de l’argent, cela ne remplit pas ton intérieur, il comble ta vie extérieure : celle que tu vois, celle que tu veux : toi, dans le confort, dans l’abondance, sans te soucier de toi-même.
Regarde-toi, chaque jour tu peines en prenant pas soin de toi-même : tu te fatigues.
Après ces heures interminables, tu rentres chez toi : trop épuisé, tu ne peux donner du bien-être à ceux qui sont autour de toi, car tu es vidé de toi-même.
Tu ne peux donner ce que tu n’as pas en toi.
Eux, qui te regardent, ne peuvent obtenir de toi ce qu’ils n’ont pas eu : l’amour.»
Voyez-vous, mes enfants d’amour, vous êtes dans un monde où vous recherchez l’amour.
Seul l’amour peut vous donner de la joie, peut vous apprendre que vous êtes épuisés.
Vous vous donnez des heures de travail pour atteindre un but financier, et vous oubliez de vous aimer, de vous donner ce qu’il y a de plus beau en vous : de l’amour.
Moi, Jésus qui vous habite, je vous dis ces choses, mes enfants, pour que vous preniez conscience que vous ne vous connaissez pas.
Vous êtes ignorants du vrai bonheur, celui qui est en vous.
Mes enfants, regardez autour de vous : regardez la joie, regardez ces cris d’enfants; est-ce que vous les entendez ou avez-vous étouffé, par votre quotidien, ces cris de joie?
Pour vous, le son des enfants : c’est du tintamarre, c’est dérangeant, c’est fatigant.
Ils vous impatientent, car vous ne les voyez plus avec votre cœur.
Vous les regardez, ce sont vos enfants, vous voulez bien vous attendrir sur une syllabe, sur un regard qu’ils vous donnent, sur une caresse qu’ils veulent pour vous : vous ne pouvez plus les percevoir, vous êtes trop fatigués, vous êtes trop épuisés.
Alors, eux ces enfants d’amour, ces tout petits bébés, ils ne comprennent pas pourquoi maman, papa, ne les regardent pas comme eux les regardent : "Pourquoi maman, papa ne me donnent-ils pas la caresse que, moi, je viens de leur donner. Est-ce que je suis, moi, en erreur? Est-ce que je suis trop tannant? Est-ce que je suis un petit qui est un poids?"
Oh! mes enfants d’amour, c'est qu’ils cherchent l’amour : l’amour qui est en vous, l’amour qui vous habite!
Eux ont encore les yeux de l’amour.
Mais, vous, vous, mes enfants, où sont vos yeux?
Votre regard se porte vers autrui afin qu’ils puissent répondre à vos besoins, vos besoins extérieurs, car vous ne pouvez pas, mes enfants, savoir que vous recherchez à travers ces besoins : l’amour;
vous demandez à votre prochain de vous donner ce que vous recherchez dans l’ignorance; alors, lui répond à votre besoin en vous donnant ce qu’il a : une idée sur un projet.
Il vous apporte du bien matériel pour combler ce que, vous, vous lui avez demandé.
Il ne peut pas vous donner de l’amour, car vous ne lui avez pas demandé de l’amour, et lui ne peut pas vous donner ce qu’il a en lui, parce qu’il ne le sait même pas;
alors, mes enfants, vous vous échangez du matériel.
Cela vous porte à être des enfants non satisfaits de ce qu’on vous donne, et malheureux parce que ce que vous donnez à votre prochain, lui ne l’apprécie pas; alors, vous devenez des enfants irritables, des enfants qui portent des jugements contre leur prochain, parce que vous n’êtes pas heureux, parce que le bonheur en vous n’est pas connu de vous.
Comment voulez-vous, mes enfants, être heureux dans un monde qui ne vous apporte rien, qui vous fait découvrir un monde sans joie, un monde égoïste, un monde qui ne vit que pour le matériel?
C’est ce que vous apprenez, mes enfants, à donner : à vous-mêmes, à votre prochain et à ce tout petit enfant qui vient vers vous; vous voulez l’aimer, alors vous le comblez, vous le comblez de matériel pour vous consoler.
Cet enfant n’est pas dans la connaissance de votre intérieur, il ne sait pas, lui, qu’en vous il y a du trouble qui s’est formé.
Vous avez des remords parce que vous ne pouvez pas le combler dans ce qu’il vous demande.
Ce qu’il veut, mes enfants : c’est vous, ce n’est pas ce que vous pouvez lui apporter : c’est votre amour, c’est ce que vous représentez.
Vous représentez l’amour, mes enfants, car vous êtes amour pour lui.
Lui le sait, il est un être d’amour tout comme vous, mes enfants, qui êtes des êtres d’amour.
Lui n’a pas eu le temps d’étouffer son amour par le matériel; il crie : "Je veux de l’amour, donnez-moi de l’amour. Comment voulez-vous que moi, je sois, dans votre monde, heureux, si vous ne me donnez pas ce que je vous demande? Je vais découvrir un monde qui ne m’apporte que déceptions."
Alors, ce tout petit enfant apprend à vieillir en voulant combler un amour qu’on ne lui donne pas; alors, avec les années, il oublie qu'en lui, il y a de l’amour.
Il est devenu à votre modèle : un enfant ignorant de l’amour qui vit en lui.
Mes enfants d’amour, je suis Jésus, je ne viens pas vous parler pour vous dire de renoncer à tout ce que vous avez.
Pourquoi ne pas vous donner un équilibre?
Accordez-vous un temps, un temps pour vous découvrir en tant qu’enfants de Dieu.
Donnez-moi de votre temps, moi, je vais déposer en vous des grâces d’amour qui vous feront découvrir l’importance de votre présence ici sur la terre.
Vous êtes tous, à mes yeux, mes enfants, des êtres d’amour.
Vous êtes les enfants de mon Père.
Laissez-moi vous combler.
Laissez-moi vous dire que vous êtes des enfants faits pour aimer, faits pour être aimés.
Vous avez en vous tant d’amour! Il est inconnu de vous.
Moi seul, Jésus, je peux vous aider à faire de votre vie, une vie qui est faite pour être donnée, une vie qui est faite pour s’offrir, une vie qui est faite pour respecter ceux que vous aimez, une vie qui est faite pour reconnaître votre liberté.
Mes enfants, vous êtes nés d’un Dieu libre, vous n’êtes pas nés pour être prisonniers du matériel.
Vous voulez combler vos sens! Avec quoi, mes enfants?
Avec ce qui n’est pas de moi.
Moi, c’est votre intérieur que je veux combler : Je veux déverser en vous, mes enfants, des grâces d’amour, des grâces d’abandon afin que vous vous découvriez, parce que si vous ne vous découvrez pas, mes enfants, qui va le faire pour vous?
Est-ce que c’est l’autre côté qui ne sait pas qu’il est amour?
Votre intérieur vous appartient.
Vous êtes les seuls, mes enfants, qui pouvez prononcer votre oui à Jésus.
Vous êtes tous, mes enfants, des filles du oui et des fils du oui;
c’est à vous, mes enfants, de savoir si vous voulez vivre en Jésus, par Jésus, avec Jésus, pour l’Amour.
L’Amour, c’est mon Père : je suis en mon Père. Nous sommes amour, et notre amour, mes enfants,
est d’une telle pureté, d’une telle puissance, qu’à lui seul, il a fait l'Amour : le Saint-Esprit.
En prononçant votre oui, vous vous donnez la chance de découvrir votre vraie vie : celle qui est en vous, celle qui a une soif de vous, mes enfants.
Oui, votre intérieur vous veut.
L’âme, mes enfants, elle vit, elle est votre vie.
Sans l’âme, il n’y a pas de vie en vous, il n’y a qu’une existence.
L’âme est divine, elle vient de Dieu.
Tout ce qui n’est pas de Dieu, dans sa divinité, vient de sa création pour ses êtres d’amour.
Dieu a créé la terre, avec son contenu, pour ses êtres d’amour.
Si vous ne vous reconnaissez pas être de son Être, alors vous n’êtes pas enfants de mon Père :
vous vous refusez de vous identifier à moi, son Fils, son Bien-Aimé, en qui il a mis toutes ses complaisances.
Mes enfants, venez puiser en vous ma Source de vie.
Je veux vous nourrir de ma Vie.
Je veux nourrir votre âme.
Elle a besoin de moi.
Elle a besoin de son Dieu.
C’est votre âme, mes enfants, qui nourrit votre corps.
Si vous n’apprenez pas à nourrir votre âme, votre corps est dans une telle faiblesse!
Voyez-vous, beaucoup d’enfants connaissent des maladies.
Beaucoup d’enfants connaissent des imperfections, car l’âme a manqué de nourriture.
L’âme a tant besoin d’amour, de moi, de son Jésus Amour!
Mes enfants d’amour, vous qui, ce soir, avez été nourris de mon Être par mon saint fils d’amour, vous avez reçu une Nourriture : cette Nourriture, mes enfants, a fortifié votre âme.
Vous avez en vous la Vie : qui porte Jésus se reconnaît en moi.
Tout cela, mes enfants, n’est pas venu de vous, il est venu de moi, de l’Amour.
C’est moi qui ai déposé en vous la lumière : cette lumière, mes enfants, est voulue de mon Père.
La lumière est en vous, elle a été déposée en vous, par le Saint- Esprit.
Vous êtes enfants de Dieu.
Je vous nourris, mes enfants, à chaque instant par mes grâces.
Et quand vous prononcez votre acceptation à ce que moi je vous nourrisse, alors vous apprenez, à votre rythme, à découvrir que vous êtes amour : vous devenez des enfants de Dieu.
Mes enfants, il est important de toujours vous nourrir : par le sacrement de la pénitence, vous vous laissez guider par mes grâces sanctifiantes pour nourrir votre âme, en venant communier à la sainte Présence : tout vient de moi.
Ce que vous êtes, mes enfants, vous l'êtes par moi, car moi seul, je peux vous donner ces grâces d’amour.
Mes enfants de l’Amour, accordez-vous des actes d’amour pour vous, pour votre intérieur, pour vous laisser découvrir dans une totalité en moi.
Moi, Jésus Amour, par votre abandon en moi, je dépose en vous des grâces d’amour pour votre prochain.
Il ne peut y avoir de l’amour, mes enfants, sans donner : je me suis donné pour vous.
Par vos oui, par votre acceptation de vous abandonner totalement en moi, dans l’amour : donnez-vous à vos frères, à vos sœurs; ils ont tant besoin de se savoir être habités par l’Amour!
Vous les portez tous, mes enfants; chacun de vous avez vos frères et vos sœurs du monde entier, car je porte tous mes enfants.
Vous êtes en moi : vous êtes avec vos frères et vos sœurs.
L’Amour vous appelle à l’amour : abandonnez-vous; donnez-vous; offrez-vous; soyez comme moi je suis.
Je me suis donné pour vous, je me suis offert à mon Père par amour pour vous.
Je vous demande, mes enfants, de vous donner parce que l’Amour va bientôt rassembler tous ses enfants afin qu’ils se sachent enfants de Dieu et, par vos offrandes, mes enfants, ils auront en eux des grâces qui les aideront à prononcer leur oui afin qu’eux aussi soient des filles du oui et des fils du oui.
Tout est en moi, je suis la Puissance du monde.
Mes enfants, je ne peux forcer aucun enfant à prononcer son oui, si lui ne le veut pas.
Voyez-vous, mes enfants, pourquoi je me sers d’instruments d’amour?
Je fais appel à vous pour que vous vous donniez par amour, pour l’Amour.
Soyez des êtres de la donation.
Soyez des êtres faits pour aimer, pour être aimés, car qui donne reçoit des grâces pour reconnaître que tout ce qui vient du prochain, vient de moi.
Je veux vous combler, mes enfants.
Je veux que vous connaissiez le bonheur sur la terre.
«Ô Père d’amour, que ta Volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Il y a en toi, Père, tant d’amour! Je te rends grâce pour toutes ces merveilles. Sois adoré, Père. En moi et par moi, ton Fils, je prends chaque enfant de la terre et je m’incline devant ta Majesté, car tout est de toi, pour ta Gloire.»
Mes enfants de l’Amour, soyez en tout dans son amour. Je suis son Amour, son Fils bien-aimé. Je vous aime, mes enfants. Gardez-vous pour l’Amour, dans l’amour. Amen.
par son instrument la Fille du Oui à Jésus
2002-09-16
Jésus : Je suis votre Dieu. Je me sers de cet instrument pour vous, par amour pour vous. Vous êtes mes bien-aimés.
Vous êtes le sel de la terre.
Tout ce qui est en vous, mes enfants, provient de l’Amour : je suis rempli d’amour, je suis Essence d’amour.
Vous, mes enfants, vous venez de moi; vous êtes, pour chacun de vous, des êtres d’amour.
Avant d’être amour pour votre prochain, mes enfants, il faut que vous, vous soyez amour.
Comment peut-on donner de l’amour à son prochain en ne sachant pas qui vous êtes, pourquoi vous êtes amour?
Mes enfants de l’Amour, je suis un Dieu rempli de votre être, je vous porte : vous êtes tous en moi; vous êtes, mes enfants de l’Amour, venus sur la terre par le choix de mon Père pour vous reconnaître enfants de Dieu le Père : je suis en vous tous.
Vous qui vivez sur cette terre afin que vous vous découvriez ce pourquoi vous êtes ici : vous n’êtes pas venus sur la terre, mes enfants, pour vous acheminer aveuglément en ne sachant pas où vous allez!
Vous qui cherchez à vous reconnaître, à vous identifier dans un monde où il n’y a plus d’amour, vous vous retrouvez malheureux en vous; vous voulez atteindre un niveau de vie qui vous procurera un bonheur : un bonheur bâti par vos propres moyens.
Mes enfants, le seul bonheur : il est en vous.
Ne cherchez pas à l’extérieur de vous ce qui est pour vous.
Ce bonheur, mes enfants, est moi, Jésus Amour.
Je suis la Vie de votre vie, je suis l’Éternel, le Fils de Dieu, votre Père : vous êtes enfants de mon Être.
Vous ne pouvez, mes enfants, appeler Dieu le Père, votre Père, si vous ne venez pas en moi, mourir en moi.
C’est moi, mes enfants, l’Amour qui s’est laissé mourir sur la Croix en apportant tous vos péchés tout ce que vous avez commis dans ce monde, dans ce monde où il n’y a que des désirs pour vous plaire, pour remplir une vie qui ne se sait pas en moi.
Celui qui apprend à chercher son bonheur en dehors de moi ne peut appeler mon Père, son Père,
car il refuse de se reconnaître enfant de Dieu.
Je suis Jésus Amour, je me suis donné pour chacun de vous afin que vous soyez dignes d’être appelés enfants de Dieu.
Il ne faut pas rejeter, mes enfants, mon offrande.
Je me suis offert à mon Père pour chacun de vous afin que vous trouviez en vous l’Amour, l’Amour qui vous habite, l’Amour qui est en vous.
Je vous contiens.
Mes enfants, tout en vous, il y a un Être rempli d’amour qui veut vous attirer à lui, qui veut vous dire :
«Pourquoi chercher en dehors de toi le bonheur? Il n’est pas dans les choses futiles, il n’est pas dans un quotidien rempli de toi-même où tu vaques à tes occupations sans savoir que tu es, toi, vivant.
Quand tu t’apportes un soi-disant bonheur avec de l’argent, cela ne remplit pas ton intérieur, il comble ta vie extérieure : celle que tu vois, celle que tu veux : toi, dans le confort, dans l’abondance, sans te soucier de toi-même.
Regarde-toi, chaque jour tu peines en prenant pas soin de toi-même : tu te fatigues.
Après ces heures interminables, tu rentres chez toi : trop épuisé, tu ne peux donner du bien-être à ceux qui sont autour de toi, car tu es vidé de toi-même.
Tu ne peux donner ce que tu n’as pas en toi.
Eux, qui te regardent, ne peuvent obtenir de toi ce qu’ils n’ont pas eu : l’amour.»
Voyez-vous, mes enfants d’amour, vous êtes dans un monde où vous recherchez l’amour.
Seul l’amour peut vous donner de la joie, peut vous apprendre que vous êtes épuisés.
Vous vous donnez des heures de travail pour atteindre un but financier, et vous oubliez de vous aimer, de vous donner ce qu’il y a de plus beau en vous : de l’amour.
Moi, Jésus qui vous habite, je vous dis ces choses, mes enfants, pour que vous preniez conscience que vous ne vous connaissez pas.
Vous êtes ignorants du vrai bonheur, celui qui est en vous.
Mes enfants, regardez autour de vous : regardez la joie, regardez ces cris d’enfants; est-ce que vous les entendez ou avez-vous étouffé, par votre quotidien, ces cris de joie?
Pour vous, le son des enfants : c’est du tintamarre, c’est dérangeant, c’est fatigant.
Ils vous impatientent, car vous ne les voyez plus avec votre cœur.
Vous les regardez, ce sont vos enfants, vous voulez bien vous attendrir sur une syllabe, sur un regard qu’ils vous donnent, sur une caresse qu’ils veulent pour vous : vous ne pouvez plus les percevoir, vous êtes trop fatigués, vous êtes trop épuisés.
Alors, eux ces enfants d’amour, ces tout petits bébés, ils ne comprennent pas pourquoi maman, papa, ne les regardent pas comme eux les regardent : "Pourquoi maman, papa ne me donnent-ils pas la caresse que, moi, je viens de leur donner. Est-ce que je suis, moi, en erreur? Est-ce que je suis trop tannant? Est-ce que je suis un petit qui est un poids?"
Oh! mes enfants d’amour, c'est qu’ils cherchent l’amour : l’amour qui est en vous, l’amour qui vous habite!
Eux ont encore les yeux de l’amour.
Mais, vous, vous, mes enfants, où sont vos yeux?
Votre regard se porte vers autrui afin qu’ils puissent répondre à vos besoins, vos besoins extérieurs, car vous ne pouvez pas, mes enfants, savoir que vous recherchez à travers ces besoins : l’amour;
vous demandez à votre prochain de vous donner ce que vous recherchez dans l’ignorance; alors, lui répond à votre besoin en vous donnant ce qu’il a : une idée sur un projet.
Il vous apporte du bien matériel pour combler ce que, vous, vous lui avez demandé.
Il ne peut pas vous donner de l’amour, car vous ne lui avez pas demandé de l’amour, et lui ne peut pas vous donner ce qu’il a en lui, parce qu’il ne le sait même pas;
alors, mes enfants, vous vous échangez du matériel.
Cela vous porte à être des enfants non satisfaits de ce qu’on vous donne, et malheureux parce que ce que vous donnez à votre prochain, lui ne l’apprécie pas; alors, vous devenez des enfants irritables, des enfants qui portent des jugements contre leur prochain, parce que vous n’êtes pas heureux, parce que le bonheur en vous n’est pas connu de vous.
Comment voulez-vous, mes enfants, être heureux dans un monde qui ne vous apporte rien, qui vous fait découvrir un monde sans joie, un monde égoïste, un monde qui ne vit que pour le matériel?
C’est ce que vous apprenez, mes enfants, à donner : à vous-mêmes, à votre prochain et à ce tout petit enfant qui vient vers vous; vous voulez l’aimer, alors vous le comblez, vous le comblez de matériel pour vous consoler.
Cet enfant n’est pas dans la connaissance de votre intérieur, il ne sait pas, lui, qu’en vous il y a du trouble qui s’est formé.
Vous avez des remords parce que vous ne pouvez pas le combler dans ce qu’il vous demande.
Ce qu’il veut, mes enfants : c’est vous, ce n’est pas ce que vous pouvez lui apporter : c’est votre amour, c’est ce que vous représentez.
Vous représentez l’amour, mes enfants, car vous êtes amour pour lui.
Lui le sait, il est un être d’amour tout comme vous, mes enfants, qui êtes des êtres d’amour.
Lui n’a pas eu le temps d’étouffer son amour par le matériel; il crie : "Je veux de l’amour, donnez-moi de l’amour. Comment voulez-vous que moi, je sois, dans votre monde, heureux, si vous ne me donnez pas ce que je vous demande? Je vais découvrir un monde qui ne m’apporte que déceptions."
Alors, ce tout petit enfant apprend à vieillir en voulant combler un amour qu’on ne lui donne pas; alors, avec les années, il oublie qu'en lui, il y a de l’amour.
Il est devenu à votre modèle : un enfant ignorant de l’amour qui vit en lui.
Mes enfants d’amour, je suis Jésus, je ne viens pas vous parler pour vous dire de renoncer à tout ce que vous avez.
Pourquoi ne pas vous donner un équilibre?
Accordez-vous un temps, un temps pour vous découvrir en tant qu’enfants de Dieu.
Donnez-moi de votre temps, moi, je vais déposer en vous des grâces d’amour qui vous feront découvrir l’importance de votre présence ici sur la terre.
Vous êtes tous, à mes yeux, mes enfants, des êtres d’amour.
Vous êtes les enfants de mon Père.
Laissez-moi vous combler.
Laissez-moi vous dire que vous êtes des enfants faits pour aimer, faits pour être aimés.
Vous avez en vous tant d’amour! Il est inconnu de vous.
Moi seul, Jésus, je peux vous aider à faire de votre vie, une vie qui est faite pour être donnée, une vie qui est faite pour s’offrir, une vie qui est faite pour respecter ceux que vous aimez, une vie qui est faite pour reconnaître votre liberté.
Mes enfants, vous êtes nés d’un Dieu libre, vous n’êtes pas nés pour être prisonniers du matériel.
Vous voulez combler vos sens! Avec quoi, mes enfants?
Avec ce qui n’est pas de moi.
Moi, c’est votre intérieur que je veux combler : Je veux déverser en vous, mes enfants, des grâces d’amour, des grâces d’abandon afin que vous vous découvriez, parce que si vous ne vous découvrez pas, mes enfants, qui va le faire pour vous?
Est-ce que c’est l’autre côté qui ne sait pas qu’il est amour?
Votre intérieur vous appartient.
Vous êtes les seuls, mes enfants, qui pouvez prononcer votre oui à Jésus.
Vous êtes tous, mes enfants, des filles du oui et des fils du oui;
c’est à vous, mes enfants, de savoir si vous voulez vivre en Jésus, par Jésus, avec Jésus, pour l’Amour.
L’Amour, c’est mon Père : je suis en mon Père. Nous sommes amour, et notre amour, mes enfants,
est d’une telle pureté, d’une telle puissance, qu’à lui seul, il a fait l'Amour : le Saint-Esprit.
En prononçant votre oui, vous vous donnez la chance de découvrir votre vraie vie : celle qui est en vous, celle qui a une soif de vous, mes enfants.
Oui, votre intérieur vous veut.
L’âme, mes enfants, elle vit, elle est votre vie.
Sans l’âme, il n’y a pas de vie en vous, il n’y a qu’une existence.
L’âme est divine, elle vient de Dieu.
Tout ce qui n’est pas de Dieu, dans sa divinité, vient de sa création pour ses êtres d’amour.
Dieu a créé la terre, avec son contenu, pour ses êtres d’amour.
Si vous ne vous reconnaissez pas être de son Être, alors vous n’êtes pas enfants de mon Père :
vous vous refusez de vous identifier à moi, son Fils, son Bien-Aimé, en qui il a mis toutes ses complaisances.
Mes enfants, venez puiser en vous ma Source de vie.
Je veux vous nourrir de ma Vie.
Je veux nourrir votre âme.
Elle a besoin de moi.
Elle a besoin de son Dieu.
C’est votre âme, mes enfants, qui nourrit votre corps.
Si vous n’apprenez pas à nourrir votre âme, votre corps est dans une telle faiblesse!
Voyez-vous, beaucoup d’enfants connaissent des maladies.
Beaucoup d’enfants connaissent des imperfections, car l’âme a manqué de nourriture.
L’âme a tant besoin d’amour, de moi, de son Jésus Amour!
Mes enfants d’amour, vous qui, ce soir, avez été nourris de mon Être par mon saint fils d’amour, vous avez reçu une Nourriture : cette Nourriture, mes enfants, a fortifié votre âme.
Vous avez en vous la Vie : qui porte Jésus se reconnaît en moi.
Tout cela, mes enfants, n’est pas venu de vous, il est venu de moi, de l’Amour.
C’est moi qui ai déposé en vous la lumière : cette lumière, mes enfants, est voulue de mon Père.
La lumière est en vous, elle a été déposée en vous, par le Saint- Esprit.
Vous êtes enfants de Dieu.
Je vous nourris, mes enfants, à chaque instant par mes grâces.
Et quand vous prononcez votre acceptation à ce que moi je vous nourrisse, alors vous apprenez, à votre rythme, à découvrir que vous êtes amour : vous devenez des enfants de Dieu.
Mes enfants, il est important de toujours vous nourrir : par le sacrement de la pénitence, vous vous laissez guider par mes grâces sanctifiantes pour nourrir votre âme, en venant communier à la sainte Présence : tout vient de moi.
Ce que vous êtes, mes enfants, vous l'êtes par moi, car moi seul, je peux vous donner ces grâces d’amour.
Mes enfants de l’Amour, accordez-vous des actes d’amour pour vous, pour votre intérieur, pour vous laisser découvrir dans une totalité en moi.
Moi, Jésus Amour, par votre abandon en moi, je dépose en vous des grâces d’amour pour votre prochain.
Il ne peut y avoir de l’amour, mes enfants, sans donner : je me suis donné pour vous.
Par vos oui, par votre acceptation de vous abandonner totalement en moi, dans l’amour : donnez-vous à vos frères, à vos sœurs; ils ont tant besoin de se savoir être habités par l’Amour!
Vous les portez tous, mes enfants; chacun de vous avez vos frères et vos sœurs du monde entier, car je porte tous mes enfants.
Vous êtes en moi : vous êtes avec vos frères et vos sœurs.
L’Amour vous appelle à l’amour : abandonnez-vous; donnez-vous; offrez-vous; soyez comme moi je suis.
Je me suis donné pour vous, je me suis offert à mon Père par amour pour vous.
Je vous demande, mes enfants, de vous donner parce que l’Amour va bientôt rassembler tous ses enfants afin qu’ils se sachent enfants de Dieu et, par vos offrandes, mes enfants, ils auront en eux des grâces qui les aideront à prononcer leur oui afin qu’eux aussi soient des filles du oui et des fils du oui.
Tout est en moi, je suis la Puissance du monde.
Mes enfants, je ne peux forcer aucun enfant à prononcer son oui, si lui ne le veut pas.
Voyez-vous, mes enfants, pourquoi je me sers d’instruments d’amour?
Je fais appel à vous pour que vous vous donniez par amour, pour l’Amour.
Soyez des êtres de la donation.
Soyez des êtres faits pour aimer, pour être aimés, car qui donne reçoit des grâces pour reconnaître que tout ce qui vient du prochain, vient de moi.
Je veux vous combler, mes enfants.
Je veux que vous connaissiez le bonheur sur la terre.
«Ô Père d’amour, que ta Volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Il y a en toi, Père, tant d’amour! Je te rends grâce pour toutes ces merveilles. Sois adoré, Père. En moi et par moi, ton Fils, je prends chaque enfant de la terre et je m’incline devant ta Majesté, car tout est de toi, pour ta Gloire.»
Mes enfants de l’Amour, soyez en tout dans son amour. Je suis son Amour, son Fils bien-aimé. Je vous aime, mes enfants. Gardez-vous pour l’Amour, dans l’amour. Amen.
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Hébertville, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.
2002-09-17
Dieu le Père : Mes enfants d’amour, Dieu a choisi, lui-même, chacun de vous; il vous a donné, en vous, la voix de l’Amour : c’est cette voix qui, ici ce soir, vous parle.
Je suis l’Amour, je suis vivant.
Non, mes amours, je ne me répète pas, car à chaque fois que vous entendez l’Amour parler de l’amour, il y a en vous un changement qui se produit : vous devenez, par la puissance de Dieu, par la puissance de l’Amour, des êtres d’amour. Il y a dans l’amour, mes enfants, un mouvement, et ce mouvement est vivant : c’est la Vie de Dieu.
La Vie en Dieu est immuable : elle ne peut changer, elle est l’amour indéfinissable, car qui d’entre vous pourrait saisir qui est Dieu?
Il n’y a pas de mot, que vous connaissez, qui pourrait décrire qui est Dieu : l’Être Suprême, l’Être d’amour qui vous aime jusqu’à donner sa propre Vie pour vous.
Qui d’entre vous, mes enfants, pourrait concevoir un tel amour?
Qui d’entre vous, mes enfants, pourrait se donner, s’offrir : jusqu'à la Vie de la Vie de lui-même qui est son Fils.
Il est, lui, l’Amour.
L’Amour s'est détaché pour aller vers vous, pour vous offrir son Être : mon Fils est moi.
Qui peut comprendre ce mouvement d’amour? Il n’y a que l’Amour qui peut saisir toute l’ampleur de ce geste unique.
Mes enfants, aucun être ne peut faire ce mouvement tant il est parfait, tant il est sublime, tant il est donation de lui-même!
L’Amour s’est offert pour vous, petits êtres de Dieu. Il veut vous avoir en lui, il veut que vous fassiez partie de l’amour, de l’amour inconditionnel, là où tout n’est que perfection.
Jésus : Vous, les imparfaits de la terre, par votre volonté humaine, vous avez fait, à mon œuvre, connaître des erreurs. Vous avez, mes enfants, oublié que Dieu le Père a donné sa propre Vie pour chacun de vous. Il est lui-même la Vie de sa Vie : vous êtes, mes enfants, une partie de lui.
C’est Dieu le Père, dans un mouvement d’amour, qui donna vie au premier enfant de la terre et cette partie, mes enfants, est la vie.
La vie ne peut s’arrêter, elle est perpétuelle : en chaque enfant, elle est présente : c’est la vie de Dieu; cette vie, mes enfants, est en chacun de vous, est en chacun des enfants de la terre, et cela, depuis le premier enfant de Dieu.
Il vous aime, mes enfants : il vous rappelle ce mouvement d’amour.
Il veut vous faire savoir qu’il vous aime malgré toutes vos erreurs humaines.
Mes enfants d’amour, écoutez la voix qui crie dans vos vies : il veut vous rassembler dans sa Vie pour vous rendre comme vous auriez dû être : des enfants à son image, des enfants de l’Amour parfaits en tout, ne connaissant que le bien, ne faisant connaître que l’amour à vos enfants.
L’amour est un mouvement, mes enfants, il est en tout donation de lui-même.
L’amour ne peut se garder pour soi, car l’amour est vivant.
Il se donne continuellement; il s’offre pour rendre les autres heureux, car son bonheur : c’est de donner l’amour qui est lui.
Quand il voit un enfant qui est de lui et qui ne partage pas l’amour qu'il lui a donné : tout son Être se brise.
Il est donation d’amour, il veut que son mouvement soit dans cet enfant.
Si cet enfant refuse de donner ce qu’il a reçu de Dieu, il arrête le mouvement, et Dieu qui est Amour attend.
Il ne peut forcer l’enfant à donner de l’amour, car Dieu est Amour : l’Amour ne force pas.
L’Amour est trop amour, alors il envoie l’Amour lui-même : son Être, pour montrer comment Dieu aime son enfant, comment Dieu veut qu’il soit l’être de son Être!
Il est lui-même dans cet enfant, il ne peut donc faire en sorte que cet enfant ne donne plus, il a besoin de son amour; non qu’il ne peut par lui-même se complaire : il est Essence d'amour de l’Amour, mon Père est moi, moi je suis en mon Père.
L’Amour se complaît par lui-même, mais son amour est tellement pur, tellement parfait, qu’il veut donner.
Alors, Jésus Amour est venu sur la terre pour montrer à cet enfant de qui il venait.
Mais cet enfant n’a pas compris : il s’est refusé à Jésus; alors Jésus d’amour s’est offert à son Père pour montrer combien il l’aimait!
Son Enfant a offert sa Vie à son Père, tout comme le Père a offert sa Vie de la Vie, qui est son Fils, pour l’amour.
Il y a, dans ce mouvement, un don d’amour indéfinissable, mes enfants : un Père qui donne sa Vie par amour, et un Fils qui donne sa Vie à son Père par amour, pour sauver cet enfant.
Qui peut comprendre ce mouvement, mes enfants? Aucun d’entre vous, il est trop parfait!
Dieu est ce mouvement d’amour, il a tout donné.
Il veut, mes enfants, vous avoir à lui : alors, son Fils d’amour a porté toutes les erreurs qui ont interrompu ce mouvement pour l’ (les) apporter à la mort, afin qu’il n’y ait plus aucun péché qui interrompe ce mouvement d’amour. Mes enfants, Jésus a accompli l’œuvre de son Père.
Il a fait, par sa mort, un acte d’abandon à l’Amour, et Dieu le Père, dans son amour infini, a donné lui-même son acceptation à cet abandon.
Il a été avec son Fils dans ce mouvement, et l’Amour a triomphé de la mort.
L’Amour a fait jaillir, dans une explosion, un mouvement d’amour :
l’Être sublime de la Vie, son Fils, a connu la Gloire de s’être donné
par amour pour tous ceux qu’il aime.
«Ô toi, petit être d’amour, c’est à toi que je parle, à toi qui te reconnais comme pécheur, comme un être imparfait de cet amour, si tu acceptes de te laisser prendre dans ce mouvement d’amour, c’est que tu acceptes que j’éradique en toi tout ce qui n’est pas amour.
Pour venir en moi, il faut venir en être d’amour en ne vivant que pour plaire à Dieu, non à toi-même, non à ce qui est extérieur à l’amour, mais seulement que pour l’amour.
Pour devenir, toi aussi, complément de ce mouvement d’amour, quand tu acceptes de te laisser purifier : c’est que tu acceptes aussi de te reconnaître tout petit, faible, et, en ce que tu es, tu fais naître en toi des besoins de te sentir, toi aussi, amour; mais c'est pour ça, mon fils/ ma fille, que tu vas demander pardon : pardon pour toutes ces erreurs que tu as causées envers l’Amour, et quand, par l’intermédiaire de mon saint fils, le prêtre, tu reçois de nous le pardon, tu te laisses prendre dans ce mouvement et tu apprends, tranquillement, à devenir l’enfant que Dieu attend de toi.
Toi qui as connu la faiblesse, tu as tant à apprendre!
Je vais, moi, t’aider, et c’est avec patience, avec amour, que je vais te soutenir afin que tu deviennes à ma ressemblance : un être parfait d’amour, un être plein de bonté qui veut se donner sans rien retenir en lui.»
Chaque enfant qui connaît ce mouvement d’amour ne peut plus s’arrêter de donner, car il découvre que donner le rend joyeux.
Il y a en lui une telle joie que cela fait mouvoir en lui l’amour et cet amour ne cesse de se mouvoir.
Il ne peut plus s’arrêter, il est mouvement d’amour comme son Dieu, parce que son Dieu le nourrit de son amour.
Dieu veut pour chacun de vous, mes enfants, que vous connaissiez ce mouvement d’amour, éternellement.
Il y a tant d’amour inconnu dans ce monde! Tant d’êtres qui ont interrompu ce mouvement!
Par votre présence, mes enfants, ici, vous voulez faire pour votre Dieu une donation de vous-mêmes, en acceptant qu’il prenne en vous ce qu’il a lui-même déposé : son amour, et, avec son amour, il va faire de vous des êtres de son Être.
Par vous-mêmes, mes enfants, vous ne le pouvez pas, il faut que vous soyez totalement abandon.
Votre imperfection vous empêche de vous donner totalement, et c’est Dieu, Dieu seul qui peut vous aider. Par votre présence, ici, dans ce lieu saint, dans la demeure même de Dieu, vous venez puiser la nourriture de Dieu : l’amour.
Mes enfants, quand le prêtre consacre le pain, quand il consacre le vin, c’est l’Amour qui consacre.
Il vous présente le Corps, le Sang de l’Amour.
Il se donne à vous, par les mains consacrées du prêtre, et, par ce mouvement d’amour, il s’offre pour que vous vous offriez mes enfants, et tout votre être devient dans ce mouvement d’amour.
Vous ne le pouvez pas, mes enfants, par vous-mêmes, c’est seulement Jésus qui le peut en vous.
Cette Nourriture céleste, c’est l’amour : c’est l’amour de mon Père, c’est l’amour du Fils,
c’est l’amour de l’Esprit Saint, qui est ce mouvement d’amour.
Dieu a été dans ce mouvement d’amour, car il est l’Amour, et vous, mes enfants, quand vous vous laissez prendre par l’Amour, vous vous laissez transformer dans ce mouvement.
Il n’y a donc, mes enfants, pas à se poser mille questions : "comment peut-on devenir des êtres d'amour?" Il n’y a qu’à se laisser aimer par Dieu.
Il faut, mes enfants, avoir le désir de vouloir venir puiser cette Nourriture en vous pour que Dieu fasse cet acte d’amour, et ce désir, au point de départ, vient de mon Père, vient de moi, vient de l’Esprit Saint.
Il dépose en vous des grâces pour que vous puissiez venir vers l’Amour.
Tout est donation de mon Père pour vous : tout est mouvement d’amour.
La vie, mes enfants, est amour! Personne, oui je dis bien, mes enfants, personne ne peut interrompre ce mouvement d’amour, car l’amour est vivant. C'est vous, mes enfants, par votre refus à ne pas bouger, c’est vous qui faites cette interruption pour vous-mêmes.
Dieu Amour porte chacun de vous : il vous veut tous à lui, il ne veut pas qu’un seul se perde.
Soyez bons pour vous, aimez qui vous êtes, apprenez à connaître votre intérieur.
Dieu est dans ce mouvement d’amour; il veut vous apprendre à vous reconnaître tels comme vous êtes : des êtres faits pour donner, des êtres faits pour partager, des êtres faits pour offrir tout de vous à Dieu, à vous-mêmes, à votre prochain.
Soyez, mes enfants, des êtres qui voulez vivre pour l’éternité dans un mouvement qui ne peut s’interrompre, car l’amour se nourrit de l’amour, et l’amour produit de l’amour, et l’amour se donne toujours afin qu’il puisse redonner à nouveau.
Vous qui ne savez pas vous reconnaître dans ce mouvement, abandonnez-vous à Dieu, Dieu lui-même vous aidera.
Mes enfants, je suis Celui qui veut chacun de vous, je suis Mouvement d’amour, et c’est ce mouvement qui vous parle ce soir en cet instrument.
Vous êtes, vous aussi, dans ce mouvement; vous êtes unis à tous ceux qui ont répondu à l’appel de Dieu.
Il y a en vous cette soif de connaître l’éternité, je suis l’Éternel.
Il n’y a pas, mes enfants, à se donner dans la crainte, car l’amour est ce qu’il y a de plus beau, de plus merveilleux, de plus parfait pour chacun de vous, il y a Nourriture d’amour éternel. Amen.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.
2002-09-17
Dieu le Père : Mes enfants d’amour, Dieu a choisi, lui-même, chacun de vous; il vous a donné, en vous, la voix de l’Amour : c’est cette voix qui, ici ce soir, vous parle.
Je suis l’Amour, je suis vivant.
Non, mes amours, je ne me répète pas, car à chaque fois que vous entendez l’Amour parler de l’amour, il y a en vous un changement qui se produit : vous devenez, par la puissance de Dieu, par la puissance de l’Amour, des êtres d’amour. Il y a dans l’amour, mes enfants, un mouvement, et ce mouvement est vivant : c’est la Vie de Dieu.
La Vie en Dieu est immuable : elle ne peut changer, elle est l’amour indéfinissable, car qui d’entre vous pourrait saisir qui est Dieu?
Il n’y a pas de mot, que vous connaissez, qui pourrait décrire qui est Dieu : l’Être Suprême, l’Être d’amour qui vous aime jusqu’à donner sa propre Vie pour vous.
Qui d’entre vous, mes enfants, pourrait concevoir un tel amour?
Qui d’entre vous, mes enfants, pourrait se donner, s’offrir : jusqu'à la Vie de la Vie de lui-même qui est son Fils.
Il est, lui, l’Amour.
L’Amour s'est détaché pour aller vers vous, pour vous offrir son Être : mon Fils est moi.
Qui peut comprendre ce mouvement d’amour? Il n’y a que l’Amour qui peut saisir toute l’ampleur de ce geste unique.
Mes enfants, aucun être ne peut faire ce mouvement tant il est parfait, tant il est sublime, tant il est donation de lui-même!
L’Amour s’est offert pour vous, petits êtres de Dieu. Il veut vous avoir en lui, il veut que vous fassiez partie de l’amour, de l’amour inconditionnel, là où tout n’est que perfection.
Jésus : Vous, les imparfaits de la terre, par votre volonté humaine, vous avez fait, à mon œuvre, connaître des erreurs. Vous avez, mes enfants, oublié que Dieu le Père a donné sa propre Vie pour chacun de vous. Il est lui-même la Vie de sa Vie : vous êtes, mes enfants, une partie de lui.
C’est Dieu le Père, dans un mouvement d’amour, qui donna vie au premier enfant de la terre et cette partie, mes enfants, est la vie.
La vie ne peut s’arrêter, elle est perpétuelle : en chaque enfant, elle est présente : c’est la vie de Dieu; cette vie, mes enfants, est en chacun de vous, est en chacun des enfants de la terre, et cela, depuis le premier enfant de Dieu.
Il vous aime, mes enfants : il vous rappelle ce mouvement d’amour.
Il veut vous faire savoir qu’il vous aime malgré toutes vos erreurs humaines.
Mes enfants d’amour, écoutez la voix qui crie dans vos vies : il veut vous rassembler dans sa Vie pour vous rendre comme vous auriez dû être : des enfants à son image, des enfants de l’Amour parfaits en tout, ne connaissant que le bien, ne faisant connaître que l’amour à vos enfants.
L’amour est un mouvement, mes enfants, il est en tout donation de lui-même.
L’amour ne peut se garder pour soi, car l’amour est vivant.
Il se donne continuellement; il s’offre pour rendre les autres heureux, car son bonheur : c’est de donner l’amour qui est lui.
Quand il voit un enfant qui est de lui et qui ne partage pas l’amour qu'il lui a donné : tout son Être se brise.
Il est donation d’amour, il veut que son mouvement soit dans cet enfant.
Si cet enfant refuse de donner ce qu’il a reçu de Dieu, il arrête le mouvement, et Dieu qui est Amour attend.
Il ne peut forcer l’enfant à donner de l’amour, car Dieu est Amour : l’Amour ne force pas.
L’Amour est trop amour, alors il envoie l’Amour lui-même : son Être, pour montrer comment Dieu aime son enfant, comment Dieu veut qu’il soit l’être de son Être!
Il est lui-même dans cet enfant, il ne peut donc faire en sorte que cet enfant ne donne plus, il a besoin de son amour; non qu’il ne peut par lui-même se complaire : il est Essence d'amour de l’Amour, mon Père est moi, moi je suis en mon Père.
L’Amour se complaît par lui-même, mais son amour est tellement pur, tellement parfait, qu’il veut donner.
Alors, Jésus Amour est venu sur la terre pour montrer à cet enfant de qui il venait.
Mais cet enfant n’a pas compris : il s’est refusé à Jésus; alors Jésus d’amour s’est offert à son Père pour montrer combien il l’aimait!
Son Enfant a offert sa Vie à son Père, tout comme le Père a offert sa Vie de la Vie, qui est son Fils, pour l’amour.
Il y a, dans ce mouvement, un don d’amour indéfinissable, mes enfants : un Père qui donne sa Vie par amour, et un Fils qui donne sa Vie à son Père par amour, pour sauver cet enfant.
Qui peut comprendre ce mouvement, mes enfants? Aucun d’entre vous, il est trop parfait!
Dieu est ce mouvement d’amour, il a tout donné.
Il veut, mes enfants, vous avoir à lui : alors, son Fils d’amour a porté toutes les erreurs qui ont interrompu ce mouvement pour l’ (les) apporter à la mort, afin qu’il n’y ait plus aucun péché qui interrompe ce mouvement d’amour. Mes enfants, Jésus a accompli l’œuvre de son Père.
Il a fait, par sa mort, un acte d’abandon à l’Amour, et Dieu le Père, dans son amour infini, a donné lui-même son acceptation à cet abandon.
Il a été avec son Fils dans ce mouvement, et l’Amour a triomphé de la mort.
L’Amour a fait jaillir, dans une explosion, un mouvement d’amour :
l’Être sublime de la Vie, son Fils, a connu la Gloire de s’être donné
par amour pour tous ceux qu’il aime.
«Ô toi, petit être d’amour, c’est à toi que je parle, à toi qui te reconnais comme pécheur, comme un être imparfait de cet amour, si tu acceptes de te laisser prendre dans ce mouvement d’amour, c’est que tu acceptes que j’éradique en toi tout ce qui n’est pas amour.
Pour venir en moi, il faut venir en être d’amour en ne vivant que pour plaire à Dieu, non à toi-même, non à ce qui est extérieur à l’amour, mais seulement que pour l’amour.
Pour devenir, toi aussi, complément de ce mouvement d’amour, quand tu acceptes de te laisser purifier : c’est que tu acceptes aussi de te reconnaître tout petit, faible, et, en ce que tu es, tu fais naître en toi des besoins de te sentir, toi aussi, amour; mais c'est pour ça, mon fils/ ma fille, que tu vas demander pardon : pardon pour toutes ces erreurs que tu as causées envers l’Amour, et quand, par l’intermédiaire de mon saint fils, le prêtre, tu reçois de nous le pardon, tu te laisses prendre dans ce mouvement et tu apprends, tranquillement, à devenir l’enfant que Dieu attend de toi.
Toi qui as connu la faiblesse, tu as tant à apprendre!
Je vais, moi, t’aider, et c’est avec patience, avec amour, que je vais te soutenir afin que tu deviennes à ma ressemblance : un être parfait d’amour, un être plein de bonté qui veut se donner sans rien retenir en lui.»
Chaque enfant qui connaît ce mouvement d’amour ne peut plus s’arrêter de donner, car il découvre que donner le rend joyeux.
Il y a en lui une telle joie que cela fait mouvoir en lui l’amour et cet amour ne cesse de se mouvoir.
Il ne peut plus s’arrêter, il est mouvement d’amour comme son Dieu, parce que son Dieu le nourrit de son amour.
Dieu veut pour chacun de vous, mes enfants, que vous connaissiez ce mouvement d’amour, éternellement.
Il y a tant d’amour inconnu dans ce monde! Tant d’êtres qui ont interrompu ce mouvement!
Par votre présence, mes enfants, ici, vous voulez faire pour votre Dieu une donation de vous-mêmes, en acceptant qu’il prenne en vous ce qu’il a lui-même déposé : son amour, et, avec son amour, il va faire de vous des êtres de son Être.
Par vous-mêmes, mes enfants, vous ne le pouvez pas, il faut que vous soyez totalement abandon.
Votre imperfection vous empêche de vous donner totalement, et c’est Dieu, Dieu seul qui peut vous aider. Par votre présence, ici, dans ce lieu saint, dans la demeure même de Dieu, vous venez puiser la nourriture de Dieu : l’amour.
Mes enfants, quand le prêtre consacre le pain, quand il consacre le vin, c’est l’Amour qui consacre.
Il vous présente le Corps, le Sang de l’Amour.
Il se donne à vous, par les mains consacrées du prêtre, et, par ce mouvement d’amour, il s’offre pour que vous vous offriez mes enfants, et tout votre être devient dans ce mouvement d’amour.
Vous ne le pouvez pas, mes enfants, par vous-mêmes, c’est seulement Jésus qui le peut en vous.
Cette Nourriture céleste, c’est l’amour : c’est l’amour de mon Père, c’est l’amour du Fils,
c’est l’amour de l’Esprit Saint, qui est ce mouvement d’amour.
Dieu a été dans ce mouvement d’amour, car il est l’Amour, et vous, mes enfants, quand vous vous laissez prendre par l’Amour, vous vous laissez transformer dans ce mouvement.
Il n’y a donc, mes enfants, pas à se poser mille questions : "comment peut-on devenir des êtres d'amour?" Il n’y a qu’à se laisser aimer par Dieu.
Il faut, mes enfants, avoir le désir de vouloir venir puiser cette Nourriture en vous pour que Dieu fasse cet acte d’amour, et ce désir, au point de départ, vient de mon Père, vient de moi, vient de l’Esprit Saint.
Il dépose en vous des grâces pour que vous puissiez venir vers l’Amour.
Tout est donation de mon Père pour vous : tout est mouvement d’amour.
La vie, mes enfants, est amour! Personne, oui je dis bien, mes enfants, personne ne peut interrompre ce mouvement d’amour, car l’amour est vivant. C'est vous, mes enfants, par votre refus à ne pas bouger, c’est vous qui faites cette interruption pour vous-mêmes.
Dieu Amour porte chacun de vous : il vous veut tous à lui, il ne veut pas qu’un seul se perde.
Soyez bons pour vous, aimez qui vous êtes, apprenez à connaître votre intérieur.
Dieu est dans ce mouvement d’amour; il veut vous apprendre à vous reconnaître tels comme vous êtes : des êtres faits pour donner, des êtres faits pour partager, des êtres faits pour offrir tout de vous à Dieu, à vous-mêmes, à votre prochain.
Soyez, mes enfants, des êtres qui voulez vivre pour l’éternité dans un mouvement qui ne peut s’interrompre, car l’amour se nourrit de l’amour, et l’amour produit de l’amour, et l’amour se donne toujours afin qu’il puisse redonner à nouveau.
Vous qui ne savez pas vous reconnaître dans ce mouvement, abandonnez-vous à Dieu, Dieu lui-même vous aidera.
Mes enfants, je suis Celui qui veut chacun de vous, je suis Mouvement d’amour, et c’est ce mouvement qui vous parle ce soir en cet instrument.
Vous êtes, vous aussi, dans ce mouvement; vous êtes unis à tous ceux qui ont répondu à l’appel de Dieu.
Il y a en vous cette soif de connaître l’éternité, je suis l’Éternel.
Il n’y a pas, mes enfants, à se donner dans la crainte, car l’amour est ce qu’il y a de plus beau, de plus merveilleux, de plus parfait pour chacun de vous, il y a Nourriture d’amour éternel. Amen.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Alma, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-09-18
Jésus : L’Amour est en présence de chacun de vous. L’Amour habite vos êtres. Je suis, moi, l’Amour. Je me sers d’instruments qui s’abandonnent en ma Volonté. Ce monde, mes enfants, a besoin de se savoir aimé, ce monde a soif d’amour, ce monde se meurt par faute de connaissance de ce qu’il est : il ne s’aperçoit pas tout le tort qu’il se cause en se refusant de se reconnaître.
Mes enfants, Dieu veut pour vous l’amour.
Il veut votre bonheur.
Il veut accomplir son œuvre.
Mes enfants, vous venez de Dieu, vous venez de l’Amour.
L’amour est en vous, mais vous ignorez ce qui est en vous.
Vous faites savoir à ceux que vous aimez que vous voulez leur accorder votre amour; avant, mes enfants, de donner, il faut reconnaître que vous-mêmes avez ce besoin d’amour.
Si, mes enfants, vous accordez aux autres une promesse : celle de les aimer, alors que, vous-mêmes, vous ne respectez pas cette promesse : vous êtes infidèles à vous-mêmes;
vous ne vous prouvez pas que vous êtes enfants de l’Amour.
Vous qui, ce soir, vous vous êtes rassemblés pour venir entendre Dieu vous parler, Dieu vous dire : «Je vous aime. Je veux vous attirer à moi dans mon cœur, celui qui s’est ouvert, celui qui s’est donné par amour pour chacun de vous», il faut, mes enfants, avant tout, que vous soyez au courant de ce que vous êtes : À votre baptême, vous avez demandé à Dieu, par vos parents, d’être enfants d’amour.
L’Esprit Saint est venu vous éclairer, il a mis en vous une flamme : une flamme d’amour; elle est en vous, elle ne s’est jamais éteinte, et elle vous a fait enfants de foi, enfants d’espérance, enfants voulant vivre d’amour : de l’amour de son Dieu, car, mes enfants, avant vous étiez amour, vous étiez purs, vous étiez les choisis de Dieu,
mais le péché originel vous avait rendus impurs.
Et Dieu veut à lui ses enfants dans la pureté de son Être, parce qu’il veut vous avoir à lui.
Il vous a donné, mes enfants, l’Amour, l’Être de son Être : son Fils.
Il est venu en ce monde par le oui de la Vierge, de la pure Marie d’amour.
Elle a mis en ce monde, par la puissance de l’Amour, par la Volonté de Dieu : l’Amour.
Et l'Amour est venu habiter parmi vous, parmi les impurs.
Il a voulu donner à ce monde la pureté, car il était, lui, la Pureté.
Il venait d’un Être parfait.
Sans condition d’amour, il a donné sa Vie pour vous.
Il a quitté la Pureté, l’amour inconditionnel : il a quitté l’Être de son Être, la Perfection même de l’Amour où tout n’est que beauté, où tout n’est que douceur, que tendresse, l’amour même du Cœur de l’Amour : son Père, pour venir parmi les impurs.
Il s’est offert pour chacun de vous, pour que vous vous reconnaissiez enfants de Dieu.
Cet Enfant d’amour, il fallait qu’il vienne prendre tous vos péchés : passés, présents, futurs; il les a offerts à son Père, il les a tous sentis en son Corps.
On a fait de lui une plaie d’impuretés, à cause de vous.
Il s’est donné sans compter, sans jamais un mot de regret, une pensée contre vous.
Il a été d’une telle miséricorde qu’il n’a pas voulu que, vous, vous soyez dans ce mouvement impur.
Il a tout pris pour que vous vous reconnaissiez enfants d’amour.
Il a laissé à chacun de vous un acte, un acte qui vous rendait purs, qui vous faisait enfants de Dieu : votre baptême; mes enfants, il est si beau cet acte d’amour, il est si pur! Il vous couvre, il vous prend, il vous présente à votre Père, afin d’effacer la tache originelle qui a fait de vous des esclaves du péché.
Et lui, dans sa bonté, il vous prend, il vous purifie
pour que vous soyez des enfants dignes de son Père.
Et vous, mes enfants, qu’avez-vous fait de votre promesse?
Qu’avez-vous fait de cet acte de pureté?
Vous ne l’avez même pas analysé.
Vous n’avez pas, mes enfants, compris la profondeur de cet acte d’amour.
Il vous a purifiés par l’eau, l’eau de la Vie.
L’eau, mes enfants, c’est un liquide de pureté, liquide qui jaillit de son Être : il fait partie de Dieu;
Dieu est le Rocher que Moïse frappa pour laisser sortir l’eau,
l’eau qui alimente la vie.
Mes enfants, vous étiez des enfants impurs, non conformes à ce que Dieu vous avait fait.
Vous étiez pour l’amour, vous deviez vivre dans la pureté de votre être sans jamais connaître le péché.
La désobéissance d’Adam et d'Ève a fait de vous des enfants impurs.
Dieu vous a tant aimés! Il n’a pas retenu l’Être aimé de son Être, son Fils, pour ouvrir son Cœur qui vous lavait de la tache originelle.
Il a versé jusqu’à la dernière goutte son liquide d’amour.
Mes enfants, son Être s’était vidé, il n’avait plus rien en lui; il avait tout offert à son Père pour chacun de vous, et, à la toute fin, de l’eau est sortie, et,
cette eau vous a rendus purs.
Et vous, vous passez votre vie à vous demander : Pourquoi connaissons-nous la maladie? Pourquoi connaissons-nous les guerres, les révoltes?
Les enfants se meurent de faim!
Quelle est donc cette justice de Dieu? Pourquoi faut-il naître dans un monde où il faut souffrir? Quel est donc ce besoin pour aller au Ciel? Si Dieu m’a créé! Il me fait souffrir pour aller dans son Royaume.
Il dit qu’il est la Lumière!
Il fait connaître au monde ses lois, ses commandements, et, moi, je dois, pour aller au Ciel, me plier à ses lois d’amour.
Je dois souffrir pour gagner mon Ciel.
Mes enfants, ne savez-vous pas que l’Amour déverse en vous son Être pour vous aider à comprendre que tout ce qui vous arrive est la conséquence de votre ignorance, de votre oubli envers ce que vous êtes?
Vous êtes des enfants de Dieu, il vous a tout donné, il vous a tout enseigné; il a suscité autour de vous : tant de prophètes, tant de messagers; vous avez des modèles, mes enfants : des saints qui se sont laissés eux-mêmes fait souffrir par amour pour vous : et vous ne reconnaissez pas l’œuvre de Dieu!
Vous ne pouvez analyser, mes enfants, ce qui est en vous; vous ne pouvez, non plus, analyser ce qu’il a fait pour vous : Vous avez mis un bandeau devant vos yeux, vous avez bouché vos oreilles, vous avez fermé votre cœur pour un monde moderne, un monde d’évolution, un monde où l’amour n’existe pas, pas à l’intérieur de vous car, pour vous, l’amour, s'il existe, est extérieur.
Il est joyeux l’amour, il danse l’amour, il s’amuse l’amour; il fait connaître au monde qu’il est jeune; qu’il est tout plein de connaissances; il est instruit l’amour; l’amour ça se voit, l’amour ça se touche; l’amour, c’est vous : avec ce que vous voyez, avec ce qui est palpable, avec ce que vous avez.
Mais vous êtes des êtres faux, vous êtes des êtres calculateurs; vous êtes des êtres qui ne pouvez comprendre la vraie valeur de ce que vous êtes.
Vous êtes : mes enfants!
L’Amour, c’est moi! C’est moi, Jésus d’amour.
C’est moi qui vis en vous, c’est moi qui fais que vous soyez vivants à chaque instant.
Je suis agissant en vous. Je me suis offert pour que vous soyez purs, pour que vous ayez la vie éternelle. Ne savez-vous pas, mes doux amours, que sans mon sacrifice vous n’auriez pu être appelés enfants de Dieu! C’est moi qui ai fait de vous des êtres rachetés. Je vous ai tout donné.
Je vous supplie : laissez de côté le matériel, vos jeux infidèles face à votre être.
Je ne peux, mes enfants, continuer à vous regarder vous détruire.
Je crie en vous; je vous supplie : «Venez en moi, je veux tout pour vous.»
La vie de votre être est ma Vie : donnez un sens à votre vie, donnez un but à votre vie.
Ne la laissez pas éteindre, elle est tout amour.
Cette flamme qui est en vous, elle vous donne la lumière.
Rentrez en vous, regardez, elle est douce, elle est chaude, elle est vivante : c’est l’amour, l’amour de Dieu.
Dieu le Père est en vous, Dieu le Fils vit en vous, Dieu le Saint-Esprit fait tout en vous,
parce qu’ils sont amoureux de chacun de vous.
Mes enfants d’amour, ne soyez pas trop inquiets de ce que vous venez de vous apercevoir : l’Amour vous parle parce qu’il vous aime.
Ce sont des mouvements continuels de sa supplication d’amour pour chacun de vous.
Par votre oui à l’Amour, je vais donner encore, encore, et encore ma Vie pour vous.
Je veux tous mes enfants, je ne veux en perdre aucun.
Je suis l’Amour, et l’Amour vous rappelle que vous devez vous conduire en enfants baptisés, baptisés dans l’amour, parce que vous êtes des enfants de l’Amour; vous avez été adoptés par mon Père, et ce que mon Père a fait, il n’y a pas d’erreur.
Vous n’êtes pas des erreurs, vous êtes tout simplement mes petits enfants qui vous êtes laissés séduire par ce qu’il y a d’extérieur à vous.
Je vais, par votre oui, vous attirer en vous, je vais déposer en vous un goût d’amour, un goût de vouloir vivre d’amour, de ne connaître que l’amour et je vais vous faire découvrir l’amour du prochain, celui qui partage votre être d’amour.
Vous allez, mes enfants, reconnaître que ce que Dieu veut : il l’obtient; non sans votre consentement, c’est seulement après que, vous, vous répondiez à ce cri d’alarme.
L’Amour vous supplie, mes enfants, de vous laisser aimer, de vous faire aimer par l’amour du prochain.
Je suis Jésus qui, ce soir, mes enfants, vous a parlé parce qu’il vous aime.
Mes enfants, Dieu est avec vous, il vit en vous. Venez vivre dans votre vie en vous.
Mon saint fils d’amour, ton Dieu d’amour t’a donné tant d’amour! Il a mis en toi sa puissance. Ces mains qui ont été consacrées ont ce pouvoir de bénir tous mes choisis. C’est ton Dieu d’amour, par cet instrument, qui te demande d’étendre tes mains et de faire descendre sur chacun d’eux ma bénédiction. Amen.
Bénédiction du prêtre : Je pense que Dieu me demande de vous bénir.
Jésus vient de dire que, par le prêtre, il a déposé dans les mains du prêtre la puissance de sa bénédiction. Lorsque le prêtre bénit, c’est Dieu qui bénit. Prenons conscience du pouvoir extraordinaire que Dieu a donné aux prêtres de faire descendre du Ciel les dons extraordinaires. Et chaque fois qu’un prêtre bénit, chaque âme est comblée; elle devient pleine de grâces, elle devient comblée de grâces comme Marie. Lorsque nous disons le "Je vous salue Marie", que toutes ces grâces puissent déborder : plus une âme en reçoit, plus elle peut en donner.
«Que la bénédiction du Dieu tout-puissant, Père, Fils et Saint-Esprit descende sur chacun de vous, sur toutes vos familles, sur toute la ville, sur tous les diocèses et sur toute la terre, parce que c’est Dieu qui bénit. Et le prêtre peut lui demander d’étendre sa bénédiction partout, au Ciel, sur terre et aussi au purgatoire, par Jésus-Christ le Fils, notre Seigneur.»
Tous : «Amen.»
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-09-18
Jésus : L’Amour est en présence de chacun de vous. L’Amour habite vos êtres. Je suis, moi, l’Amour. Je me sers d’instruments qui s’abandonnent en ma Volonté. Ce monde, mes enfants, a besoin de se savoir aimé, ce monde a soif d’amour, ce monde se meurt par faute de connaissance de ce qu’il est : il ne s’aperçoit pas tout le tort qu’il se cause en se refusant de se reconnaître.
Mes enfants, Dieu veut pour vous l’amour.
Il veut votre bonheur.
Il veut accomplir son œuvre.
Mes enfants, vous venez de Dieu, vous venez de l’Amour.
L’amour est en vous, mais vous ignorez ce qui est en vous.
Vous faites savoir à ceux que vous aimez que vous voulez leur accorder votre amour; avant, mes enfants, de donner, il faut reconnaître que vous-mêmes avez ce besoin d’amour.
Si, mes enfants, vous accordez aux autres une promesse : celle de les aimer, alors que, vous-mêmes, vous ne respectez pas cette promesse : vous êtes infidèles à vous-mêmes;
vous ne vous prouvez pas que vous êtes enfants de l’Amour.
Vous qui, ce soir, vous vous êtes rassemblés pour venir entendre Dieu vous parler, Dieu vous dire : «Je vous aime. Je veux vous attirer à moi dans mon cœur, celui qui s’est ouvert, celui qui s’est donné par amour pour chacun de vous», il faut, mes enfants, avant tout, que vous soyez au courant de ce que vous êtes : À votre baptême, vous avez demandé à Dieu, par vos parents, d’être enfants d’amour.
L’Esprit Saint est venu vous éclairer, il a mis en vous une flamme : une flamme d’amour; elle est en vous, elle ne s’est jamais éteinte, et elle vous a fait enfants de foi, enfants d’espérance, enfants voulant vivre d’amour : de l’amour de son Dieu, car, mes enfants, avant vous étiez amour, vous étiez purs, vous étiez les choisis de Dieu,
mais le péché originel vous avait rendus impurs.
Et Dieu veut à lui ses enfants dans la pureté de son Être, parce qu’il veut vous avoir à lui.
Il vous a donné, mes enfants, l’Amour, l’Être de son Être : son Fils.
Il est venu en ce monde par le oui de la Vierge, de la pure Marie d’amour.
Elle a mis en ce monde, par la puissance de l’Amour, par la Volonté de Dieu : l’Amour.
Et l'Amour est venu habiter parmi vous, parmi les impurs.
Il a voulu donner à ce monde la pureté, car il était, lui, la Pureté.
Il venait d’un Être parfait.
Sans condition d’amour, il a donné sa Vie pour vous.
Il a quitté la Pureté, l’amour inconditionnel : il a quitté l’Être de son Être, la Perfection même de l’Amour où tout n’est que beauté, où tout n’est que douceur, que tendresse, l’amour même du Cœur de l’Amour : son Père, pour venir parmi les impurs.
Il s’est offert pour chacun de vous, pour que vous vous reconnaissiez enfants de Dieu.
Cet Enfant d’amour, il fallait qu’il vienne prendre tous vos péchés : passés, présents, futurs; il les a offerts à son Père, il les a tous sentis en son Corps.
On a fait de lui une plaie d’impuretés, à cause de vous.
Il s’est donné sans compter, sans jamais un mot de regret, une pensée contre vous.
Il a été d’une telle miséricorde qu’il n’a pas voulu que, vous, vous soyez dans ce mouvement impur.
Il a tout pris pour que vous vous reconnaissiez enfants d’amour.
Il a laissé à chacun de vous un acte, un acte qui vous rendait purs, qui vous faisait enfants de Dieu : votre baptême; mes enfants, il est si beau cet acte d’amour, il est si pur! Il vous couvre, il vous prend, il vous présente à votre Père, afin d’effacer la tache originelle qui a fait de vous des esclaves du péché.
Et lui, dans sa bonté, il vous prend, il vous purifie
pour que vous soyez des enfants dignes de son Père.
Et vous, mes enfants, qu’avez-vous fait de votre promesse?
Qu’avez-vous fait de cet acte de pureté?
Vous ne l’avez même pas analysé.
Vous n’avez pas, mes enfants, compris la profondeur de cet acte d’amour.
Il vous a purifiés par l’eau, l’eau de la Vie.
L’eau, mes enfants, c’est un liquide de pureté, liquide qui jaillit de son Être : il fait partie de Dieu;
Dieu est le Rocher que Moïse frappa pour laisser sortir l’eau,
l’eau qui alimente la vie.
Mes enfants, vous étiez des enfants impurs, non conformes à ce que Dieu vous avait fait.
Vous étiez pour l’amour, vous deviez vivre dans la pureté de votre être sans jamais connaître le péché.
La désobéissance d’Adam et d'Ève a fait de vous des enfants impurs.
Dieu vous a tant aimés! Il n’a pas retenu l’Être aimé de son Être, son Fils, pour ouvrir son Cœur qui vous lavait de la tache originelle.
Il a versé jusqu’à la dernière goutte son liquide d’amour.
Mes enfants, son Être s’était vidé, il n’avait plus rien en lui; il avait tout offert à son Père pour chacun de vous, et, à la toute fin, de l’eau est sortie, et,
cette eau vous a rendus purs.
Et vous, vous passez votre vie à vous demander : Pourquoi connaissons-nous la maladie? Pourquoi connaissons-nous les guerres, les révoltes?
Les enfants se meurent de faim!
Quelle est donc cette justice de Dieu? Pourquoi faut-il naître dans un monde où il faut souffrir? Quel est donc ce besoin pour aller au Ciel? Si Dieu m’a créé! Il me fait souffrir pour aller dans son Royaume.
Il dit qu’il est la Lumière!
Il fait connaître au monde ses lois, ses commandements, et, moi, je dois, pour aller au Ciel, me plier à ses lois d’amour.
Je dois souffrir pour gagner mon Ciel.
Mes enfants, ne savez-vous pas que l’Amour déverse en vous son Être pour vous aider à comprendre que tout ce qui vous arrive est la conséquence de votre ignorance, de votre oubli envers ce que vous êtes?
Vous êtes des enfants de Dieu, il vous a tout donné, il vous a tout enseigné; il a suscité autour de vous : tant de prophètes, tant de messagers; vous avez des modèles, mes enfants : des saints qui se sont laissés eux-mêmes fait souffrir par amour pour vous : et vous ne reconnaissez pas l’œuvre de Dieu!
Vous ne pouvez analyser, mes enfants, ce qui est en vous; vous ne pouvez, non plus, analyser ce qu’il a fait pour vous : Vous avez mis un bandeau devant vos yeux, vous avez bouché vos oreilles, vous avez fermé votre cœur pour un monde moderne, un monde d’évolution, un monde où l’amour n’existe pas, pas à l’intérieur de vous car, pour vous, l’amour, s'il existe, est extérieur.
Il est joyeux l’amour, il danse l’amour, il s’amuse l’amour; il fait connaître au monde qu’il est jeune; qu’il est tout plein de connaissances; il est instruit l’amour; l’amour ça se voit, l’amour ça se touche; l’amour, c’est vous : avec ce que vous voyez, avec ce qui est palpable, avec ce que vous avez.
Mais vous êtes des êtres faux, vous êtes des êtres calculateurs; vous êtes des êtres qui ne pouvez comprendre la vraie valeur de ce que vous êtes.
Vous êtes : mes enfants!
L’Amour, c’est moi! C’est moi, Jésus d’amour.
C’est moi qui vis en vous, c’est moi qui fais que vous soyez vivants à chaque instant.
Je suis agissant en vous. Je me suis offert pour que vous soyez purs, pour que vous ayez la vie éternelle. Ne savez-vous pas, mes doux amours, que sans mon sacrifice vous n’auriez pu être appelés enfants de Dieu! C’est moi qui ai fait de vous des êtres rachetés. Je vous ai tout donné.
Je vous supplie : laissez de côté le matériel, vos jeux infidèles face à votre être.
Je ne peux, mes enfants, continuer à vous regarder vous détruire.
Je crie en vous; je vous supplie : «Venez en moi, je veux tout pour vous.»
La vie de votre être est ma Vie : donnez un sens à votre vie, donnez un but à votre vie.
Ne la laissez pas éteindre, elle est tout amour.
Cette flamme qui est en vous, elle vous donne la lumière.
Rentrez en vous, regardez, elle est douce, elle est chaude, elle est vivante : c’est l’amour, l’amour de Dieu.
Dieu le Père est en vous, Dieu le Fils vit en vous, Dieu le Saint-Esprit fait tout en vous,
parce qu’ils sont amoureux de chacun de vous.
Mes enfants d’amour, ne soyez pas trop inquiets de ce que vous venez de vous apercevoir : l’Amour vous parle parce qu’il vous aime.
Ce sont des mouvements continuels de sa supplication d’amour pour chacun de vous.
Par votre oui à l’Amour, je vais donner encore, encore, et encore ma Vie pour vous.
Je veux tous mes enfants, je ne veux en perdre aucun.
Je suis l’Amour, et l’Amour vous rappelle que vous devez vous conduire en enfants baptisés, baptisés dans l’amour, parce que vous êtes des enfants de l’Amour; vous avez été adoptés par mon Père, et ce que mon Père a fait, il n’y a pas d’erreur.
Vous n’êtes pas des erreurs, vous êtes tout simplement mes petits enfants qui vous êtes laissés séduire par ce qu’il y a d’extérieur à vous.
Je vais, par votre oui, vous attirer en vous, je vais déposer en vous un goût d’amour, un goût de vouloir vivre d’amour, de ne connaître que l’amour et je vais vous faire découvrir l’amour du prochain, celui qui partage votre être d’amour.
Vous allez, mes enfants, reconnaître que ce que Dieu veut : il l’obtient; non sans votre consentement, c’est seulement après que, vous, vous répondiez à ce cri d’alarme.
L’Amour vous supplie, mes enfants, de vous laisser aimer, de vous faire aimer par l’amour du prochain.
Je suis Jésus qui, ce soir, mes enfants, vous a parlé parce qu’il vous aime.
Mes enfants, Dieu est avec vous, il vit en vous. Venez vivre dans votre vie en vous.
Mon saint fils d’amour, ton Dieu d’amour t’a donné tant d’amour! Il a mis en toi sa puissance. Ces mains qui ont été consacrées ont ce pouvoir de bénir tous mes choisis. C’est ton Dieu d’amour, par cet instrument, qui te demande d’étendre tes mains et de faire descendre sur chacun d’eux ma bénédiction. Amen.
Bénédiction du prêtre : Je pense que Dieu me demande de vous bénir.
Jésus vient de dire que, par le prêtre, il a déposé dans les mains du prêtre la puissance de sa bénédiction. Lorsque le prêtre bénit, c’est Dieu qui bénit. Prenons conscience du pouvoir extraordinaire que Dieu a donné aux prêtres de faire descendre du Ciel les dons extraordinaires. Et chaque fois qu’un prêtre bénit, chaque âme est comblée; elle devient pleine de grâces, elle devient comblée de grâces comme Marie. Lorsque nous disons le "Je vous salue Marie", que toutes ces grâces puissent déborder : plus une âme en reçoit, plus elle peut en donner.
«Que la bénédiction du Dieu tout-puissant, Père, Fils et Saint-Esprit descende sur chacun de vous, sur toutes vos familles, sur toute la ville, sur tous les diocèses et sur toute la terre, parce que c’est Dieu qui bénit. Et le prêtre peut lui demander d’étendre sa bénédiction partout, au Ciel, sur terre et aussi au purgatoire, par Jésus-Christ le Fils, notre Seigneur.»
Tous : «Amen.»
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Dolbeau, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-09-19
Dieu le Père : Mes enfants d’amour, Dieu le Père s’adresse à vous ce soir, en voulant vous faire connaître l’étendue de son amour pour chacun de vous. Je suis l’Éternel, mes enfants. Je suis l’Être Suprême. Je suis le Créateur de tout : tout l’univers, avec tout ce qui est son contenu; toute la terre, ma création; et de vous, mes enfants. Je vous appelle mes enfants parce que vous êtes de moi.
Chacun de vous avez été choisi par moi.
C’est moi, mes enfants d’amour, qui vous ai conduits où vous êtes.
C’est moi qui ai fait de vous des êtres faits pour aimer.
Vous devez vous accomplir dans ce que vous êtes mais, par l’erreur commise par vos premiers parents, vous, mes enfants, vous êtes des enfants contre l’Amour, contre vous-mêmes, contre ce que vous êtes.
Je viens moi-même vous parler, à vous, mes enfants.
Pouvez-vous, mes êtres d’amour, comprendre ce geste?
Un Créateur, un Être Suprême, se servir d’un être inférieur pour parler à vous!
C’est que, mes enfants, je suis votre Père : je suis votre Papa d’amour.
Cet être inférieur a été purifié par mon amour. C’est moi, mes enfants, qui vous ai tous permis que vous soyez appelés : enfants de Dieu.
J’ai prononcé, mes enfants, le oui sublime à l’Amour.
Qui pouvait faire de vous ses enfants, sinon, votre Père?
Mon Fils, mon unique Enfant, a racheté l’offense que mes premiers enfants avaient causée : il a tout pris vos offenses.
Il a lui-même été dans le oui de mon oui : il s’est donné à l’Amour pour chacun de vous.
Il a donc, mes enfants, fait de votre oui, un oui agissant.
Mes enfants d’amour, aucun d’entre vous, vous ne pourriez être sauvés sans le oui dans le oui de mon Fils.
Il fallait purifier votre oui; il fallait donc que mon Fils porte chacun de vos oui pour donner à son Père le oui à l’Amour.
Mes enfants d’amour, moi, votre Père, j’ai pris ce oui d’amour avec tout son contenu et je l’ai associé à mon oui.
Vous avez donc, mes enfants, été avant même que vous soyez en ce monde dans le oui de mon Fils, dans mon oui.
Mais, pour que votre oui soit dans mon oui, il y a un oui de douceur, un oui de soumission, un oui parfait, fait par un Être d’amour : ce oui, mes enfants, a été d’une telle douceur, une telle caresse : c’est le oui de ma fille Marie qui a permis à mon Enfant de prendre vos oui et de le mettre dans son oui.
Elle est pour vous la Mère de vos oui.
Mes enfants d’amour, il faut prendre conscience de la valeur de se donner à Dieu, de comprendre ce don de soi pour se laisser prendre par l’Amour.
Il est facile, mes enfants, de prononcer des oui, mais si, mes enfants, vous demeurez dans votre apathie en attendant d’être présents devant la face de l’Amour qui sera bientôt en chacun de vous, vous aurez beau avoir prononcé votre oui, mais il n’aura pas produit en vous ce don de soi-même.
Comme ma fille Marie l’a fait, elle s’est donnée, elle s’est offerte avec humilité, avec toute sa personne, en ne cherchant pas à se donner de la valeur.
Ce oui a été un oui dénudé d’elle-même sans rien vouloir pour elle, mais pour chacun de vous.
Ma fille Marie, elle a tout donné de sa vie, par amour pour vous.
Elle nous a suppliés, elle a prié afin que le Messie vienne sur la terre pour vous sauver.
Son oui, mes enfants, était un oui d’amour. Toute sa personne était le oui.
Elle a été préparée par nous; tout son être était prêt pour recevoir l’Amour en elle.
Quand on lui présenta la demande, elle était dans son intérieur, toute petite, humble, ne voulant pas se donner de l’importance.
Quand l’ange Gabriel lui annonça qu’elle devait être la Mère de mon Fils, elle, l’humble, la toute petite Marie, se donna en ne voulant faire que ma Volonté.
Elle s’assura que tout était pour moi, pour l’Amour, et elle donna son oui.
Et l’Amour, l’Amour pénétra son intérieur, il entra dans le Nid même de l’Amour, et l’Amour entra chez lui.
Tout était si parfait dans Marie!
Tout avait été préparé pour recevoir l’Amour, et l’Amour l’accueillit en elle.
Elle devint la Mère de l’Amour.
Mes enfants d’amour, quand l’un d’entre vous veut avoir l’amour en lui, il se donne, il désire, il veut, il réclame de l’amour.
Mes enfants d’amour, seul l’Amour peut venir en vous, c’est l’amour qui se développe en vous.
Vous auriez beau, mes enfants, crier : oui, nous voulons, viens!
L’Amour prépare votre intérieur à devenir un être parfait pour que vous soyez l’amour.
Voyez-vous, mes enfants, Adam et Ève ont été créés par l’Amour.
Ils devaient donc se donner à l’Amour.
Ils devaient accepter d’être des enfants d’amour, dans l’obéissance, en demeurant des enfants comme Dieu voulait qu’ils soient : des enfants humbles, non des orgueilleux; des enfants qui ne voulaient que plaire à leur Père, non comme des enfants qui exigent, qui veulent, parce que cela est voulu d’eux-mêmes.
Moi, leur Père, leur Dieu, leur Créateur, je préparais mes deux enfants.
Je leur ai demandé de l’obéissance; je leur ai tout donné.
Ils devaient, comme mon fils (le prêtre à la messe) ce soir l’a dit : passer l’épreuve de l’amour; mais ils se sont laissé tenter par l’Orgueilleux, par le Trompeur; ils ne sont pas venus me voir, moi qui leur avais tout donné; ils ne m’ont même pas demandé de l’aide : ils se sont laissés séduire; alors, mes enfants d’amour, ils n’ont pas passé l’épreuve.
Ils ont été des enfants indignes de l’Amour.
Ils ont voulu devenir des petits dieux, voulant décider par eux autres mêmes de tout connaître. Il va arriver un temps où vous devrez vous préparer à prononcer un oui, un oui total d’abandon : un oui fait par des enfants humbles, des enfants voulant vivre de l’amour de Dieu en ne faisant confiance qu’en Dieu, en voulant tout pour l’amour de Dieu le Père.
Vous avez, mes enfants, depuis tant et tant d’années, vécu avec votre volonté humaine, décidant, calculant, voulant tout pour vous.
Il faut, mes enfants, que vous réalisiez votre petitesse. Vouloir faire de vous des enfants de Dieu, c’est vous reconnaître, comme ma fille Marie : tout petits, humbles, sans rien attendre pour vous, en donnant tout à Dieu
car moi, votre Père, mes enfants, je sais ce qui est bon pour vous!
Je vous connais mieux que vous vous connaissez.
Je connais vos défauts, mes enfants; je connais vos faiblesses, je connais votre cheminement, car en vous, vous portez tous mes enfants depuis Adam et Ève.
Mes enfants d’amour, vous n’êtes pas seuls en vous, vous vivez avec vos frères et avec vos sœurs.
Vous êtes des enfants de Dieu, mes enfants.
Dieu est en vous, mon Fils est en vous, le Saint-Esprit est en vous.
Vous vivez tous en mon Fils, alors qu’il y a en vous tant de faiblesses!
Dans votre petitesse, en vous reconnaissant comme des êtres impurs : oui, mon fils, tu as dit que tout être humain doit se reconnaître pécheur; celui qui se croit pur, celui qui se croit exempt de tout défaut, risque d’être séduit par le Trompeur; il faut être, comme Marie, tout petit ayant besoin continuellement de son Créateur, de l’Amour : en venant puiser en chacun de vous des forces, des forces de grâces, en demandant à Dieu des grâces d’abandon à sa Volonté à lui.
Oui, mes enfants, venez toujours vers votre Père.
Si Adam et Ève, mes enfants, seraient venus vers moi, je leur aurais donné la force de ne pas succomber.
Ne fonctionnez pas, dans vos journées, sans demander à Dieu de l’aide.
Demandez-moi des grâces pour vous, afin que vous soyez toujours mes petits enfants.
Vous qui avez besoin de Papa, vous ne pouvez pas avancer sans mes grâces.
Et ma douce Marie le savait!
À chaque instant, mes enfants, elle était dans la communication avec son intérieur; elle me suppliait de ne jamais la laisser : elle, la pure, elle, l’humble Marie :
elle priait son Dieu d’amour de venir l’aider : elle, le Vermisseau.
Et vous, mes enfants, est-ce que vous me demandez cette aide à tous les jours?
Je vous aime tellement! Je me tiens en vous et j’attends!
Et j’attends que vous veniez me demander de l’aide, moi, votre Père.
Moi, le Créateur de l’univers et de la terre, j’attends, mes enfants, pour vous donner la force d’être tout petits, humbles, afin que vous prononciez ce oui dans un abandon total.
Mes enfants, si vous croyez que vous pouvez prononcer un oui par vous-mêmes, ce oui, mes enfants, ne pénétrera pas le oui de mon Fils : il ne pourra pas venir vers moi.
Il faut tout abandonner; votre volonté humaine, mes enfants, porte trop d’erreurs. Quand je vais me présenter, moi, en mon Fils, je vais vous demander votre oui; je vais déposer en vous de l’amour, mon amour, et vous verrez combien, mes enfants, vous êtes petits devant tant de grandeur!
Et c’est en étant petits, mes enfants, que vous allez trouver la force de répondre à l’appel de l’Amour : l’être qui se croit grand, il se défend, il veut se déculpabiliser devant ses erreurs : il cherche des échappatoires; mais le petit enfant, lui, ne cherche pas à se défendre : s’il se trouve en erreur, il demande pardon à Papa parce qu’il connaît son amour, et il sait qu’il lui a fait de la peine; alors, moi qui connais mon petit enfant, je le console et il se laisse consoler; mais s’il y a de l’orgueil, si le oui vient trop de vous-mêmes, il y aura trop de souffrance : alors il y aura de la révolte! Mes enfants d’amour, je vous aime, soyez mes tout petits bébés; demandez-moi à chaque instant de l’aide, et vous allez développer en vous cette humilité qui est une grâce, mes enfants.
Combien d’enfants aujourd’hui, si on parle d’humilité, se redressent; ils ne comprennent pas que celui qui accepte d’être humble, d’être petit, découvre la sécurité entre les bras du Père.
Il n’y a pas de honte à venir se réfugier dans les bras de l’Amour.
Celui qui a peur de s’humilier, c’est celui qui se croit trop grand pour accepter l’amour de son Père.
Vous, mes enfants, êtes-vous capables de dire à votre père terrestre : "Papa, j’t’aime; prends-moi dans tes bras et berce-moi?"
Voyez-vous, mes enfants, cela semble difficile parce qu’il y a en vous votre volonté humaine qui est blessée,
et cette blessure, mes enfants, vous empêche de redevenir le petit enfant que vous êtes.
C’est seulement l’amour du Père qui vous aidera.
Ma douce enfant Marie, elle vous est donnée par moi, son Père, par son Fils, Jésus, par son Époux, le Saint-Esprit, afin que vous lui demandiez cette grâce d’humilité : elle vous aidera.
C’est ainsi, mes enfants, que vous découvrirez votre petitesse.
Demander de l’aide, mes enfants, c’est se découvrir faible.
Voilà un pas vers l’abandon.
Abandonnez-vous, mes enfants, dans les bras de l’Amour : elle est la Mère de l’Amour, elle est votre Maman.
Soyez, mes enfants, dociles à l’appel de votre Père, il vous aime tant!
Il vous veut, mes enfants, obéissants à l’appel du Cœur; le Cœur même de l’Amour.
Voyez-vous, mes enfants, j’envoie en ce monde des signes, car il faut vous préparer.
Laissez tomber votre vieille carcasse et redevenez le petit enfant que vous êtes. Mon fils, toi qui es présent ici, toi qui prononces ton oui, bénis mes saints enfants afin qu’ils se reconnaissent sous la tutelle de l’Amour. La puissance de Dieu t’a été accordée pour venir en aide à mes petits enfants. Amen.
Bénédiction par le prêtre : Jésus vient de demander aux prêtres, par son instrument, de daigner faire descendre sur vous sa bénédiction. Oui, par le sacerdoce, le pouvoir reçu de Dieu, le prêtre a en ses mains toute la richesse de la Rédemption qu’il peut appliquer à toutes les âmes, et c’est pourquoi, ce soir, que Jésus tout-puissant daigne faire descendre sur vous la largesse de ses bénédictions pour que vos cœurs soient comblés de grâces, comme Marie a été comblée de grâces, que vous partiez ce soir avec des cœurs non pas remplis, mais comblés, que ça déborde sur vos familles, sur la ville, sur les diocèses et toute la terre.
«Que la bénédiction de Dieu tout-puissant, Père, Fils et Saint-Esprit descende sur vous et sur toute la terre, sur le ciel, sur le purgatoire et que tout être tombe à genoux au Ciel, sur terre et dans les enfers par la puissance de Dieu, par Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen.»
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-09-19
Dieu le Père : Mes enfants d’amour, Dieu le Père s’adresse à vous ce soir, en voulant vous faire connaître l’étendue de son amour pour chacun de vous. Je suis l’Éternel, mes enfants. Je suis l’Être Suprême. Je suis le Créateur de tout : tout l’univers, avec tout ce qui est son contenu; toute la terre, ma création; et de vous, mes enfants. Je vous appelle mes enfants parce que vous êtes de moi.
Chacun de vous avez été choisi par moi.
C’est moi, mes enfants d’amour, qui vous ai conduits où vous êtes.
C’est moi qui ai fait de vous des êtres faits pour aimer.
Vous devez vous accomplir dans ce que vous êtes mais, par l’erreur commise par vos premiers parents, vous, mes enfants, vous êtes des enfants contre l’Amour, contre vous-mêmes, contre ce que vous êtes.
Je viens moi-même vous parler, à vous, mes enfants.
Pouvez-vous, mes êtres d’amour, comprendre ce geste?
Un Créateur, un Être Suprême, se servir d’un être inférieur pour parler à vous!
C’est que, mes enfants, je suis votre Père : je suis votre Papa d’amour.
Cet être inférieur a été purifié par mon amour. C’est moi, mes enfants, qui vous ai tous permis que vous soyez appelés : enfants de Dieu.
J’ai prononcé, mes enfants, le oui sublime à l’Amour.
Qui pouvait faire de vous ses enfants, sinon, votre Père?
Mon Fils, mon unique Enfant, a racheté l’offense que mes premiers enfants avaient causée : il a tout pris vos offenses.
Il a lui-même été dans le oui de mon oui : il s’est donné à l’Amour pour chacun de vous.
Il a donc, mes enfants, fait de votre oui, un oui agissant.
Mes enfants d’amour, aucun d’entre vous, vous ne pourriez être sauvés sans le oui dans le oui de mon Fils.
Il fallait purifier votre oui; il fallait donc que mon Fils porte chacun de vos oui pour donner à son Père le oui à l’Amour.
Mes enfants d’amour, moi, votre Père, j’ai pris ce oui d’amour avec tout son contenu et je l’ai associé à mon oui.
Vous avez donc, mes enfants, été avant même que vous soyez en ce monde dans le oui de mon Fils, dans mon oui.
Mais, pour que votre oui soit dans mon oui, il y a un oui de douceur, un oui de soumission, un oui parfait, fait par un Être d’amour : ce oui, mes enfants, a été d’une telle douceur, une telle caresse : c’est le oui de ma fille Marie qui a permis à mon Enfant de prendre vos oui et de le mettre dans son oui.
Elle est pour vous la Mère de vos oui.
Mes enfants d’amour, il faut prendre conscience de la valeur de se donner à Dieu, de comprendre ce don de soi pour se laisser prendre par l’Amour.
Il est facile, mes enfants, de prononcer des oui, mais si, mes enfants, vous demeurez dans votre apathie en attendant d’être présents devant la face de l’Amour qui sera bientôt en chacun de vous, vous aurez beau avoir prononcé votre oui, mais il n’aura pas produit en vous ce don de soi-même.
Comme ma fille Marie l’a fait, elle s’est donnée, elle s’est offerte avec humilité, avec toute sa personne, en ne cherchant pas à se donner de la valeur.
Ce oui a été un oui dénudé d’elle-même sans rien vouloir pour elle, mais pour chacun de vous.
Ma fille Marie, elle a tout donné de sa vie, par amour pour vous.
Elle nous a suppliés, elle a prié afin que le Messie vienne sur la terre pour vous sauver.
Son oui, mes enfants, était un oui d’amour. Toute sa personne était le oui.
Elle a été préparée par nous; tout son être était prêt pour recevoir l’Amour en elle.
Quand on lui présenta la demande, elle était dans son intérieur, toute petite, humble, ne voulant pas se donner de l’importance.
Quand l’ange Gabriel lui annonça qu’elle devait être la Mère de mon Fils, elle, l’humble, la toute petite Marie, se donna en ne voulant faire que ma Volonté.
Elle s’assura que tout était pour moi, pour l’Amour, et elle donna son oui.
Et l’Amour, l’Amour pénétra son intérieur, il entra dans le Nid même de l’Amour, et l’Amour entra chez lui.
Tout était si parfait dans Marie!
Tout avait été préparé pour recevoir l’Amour, et l’Amour l’accueillit en elle.
Elle devint la Mère de l’Amour.
Mes enfants d’amour, quand l’un d’entre vous veut avoir l’amour en lui, il se donne, il désire, il veut, il réclame de l’amour.
Mes enfants d’amour, seul l’Amour peut venir en vous, c’est l’amour qui se développe en vous.
Vous auriez beau, mes enfants, crier : oui, nous voulons, viens!
L’Amour prépare votre intérieur à devenir un être parfait pour que vous soyez l’amour.
Voyez-vous, mes enfants, Adam et Ève ont été créés par l’Amour.
Ils devaient donc se donner à l’Amour.
Ils devaient accepter d’être des enfants d’amour, dans l’obéissance, en demeurant des enfants comme Dieu voulait qu’ils soient : des enfants humbles, non des orgueilleux; des enfants qui ne voulaient que plaire à leur Père, non comme des enfants qui exigent, qui veulent, parce que cela est voulu d’eux-mêmes.
Moi, leur Père, leur Dieu, leur Créateur, je préparais mes deux enfants.
Je leur ai demandé de l’obéissance; je leur ai tout donné.
Ils devaient, comme mon fils (le prêtre à la messe) ce soir l’a dit : passer l’épreuve de l’amour; mais ils se sont laissé tenter par l’Orgueilleux, par le Trompeur; ils ne sont pas venus me voir, moi qui leur avais tout donné; ils ne m’ont même pas demandé de l’aide : ils se sont laissés séduire; alors, mes enfants d’amour, ils n’ont pas passé l’épreuve.
Ils ont été des enfants indignes de l’Amour.
Ils ont voulu devenir des petits dieux, voulant décider par eux autres mêmes de tout connaître. Il va arriver un temps où vous devrez vous préparer à prononcer un oui, un oui total d’abandon : un oui fait par des enfants humbles, des enfants voulant vivre de l’amour de Dieu en ne faisant confiance qu’en Dieu, en voulant tout pour l’amour de Dieu le Père.
Vous avez, mes enfants, depuis tant et tant d’années, vécu avec votre volonté humaine, décidant, calculant, voulant tout pour vous.
Il faut, mes enfants, que vous réalisiez votre petitesse. Vouloir faire de vous des enfants de Dieu, c’est vous reconnaître, comme ma fille Marie : tout petits, humbles, sans rien attendre pour vous, en donnant tout à Dieu
car moi, votre Père, mes enfants, je sais ce qui est bon pour vous!
Je vous connais mieux que vous vous connaissez.
Je connais vos défauts, mes enfants; je connais vos faiblesses, je connais votre cheminement, car en vous, vous portez tous mes enfants depuis Adam et Ève.
Mes enfants d’amour, vous n’êtes pas seuls en vous, vous vivez avec vos frères et avec vos sœurs.
Vous êtes des enfants de Dieu, mes enfants.
Dieu est en vous, mon Fils est en vous, le Saint-Esprit est en vous.
Vous vivez tous en mon Fils, alors qu’il y a en vous tant de faiblesses!
Dans votre petitesse, en vous reconnaissant comme des êtres impurs : oui, mon fils, tu as dit que tout être humain doit se reconnaître pécheur; celui qui se croit pur, celui qui se croit exempt de tout défaut, risque d’être séduit par le Trompeur; il faut être, comme Marie, tout petit ayant besoin continuellement de son Créateur, de l’Amour : en venant puiser en chacun de vous des forces, des forces de grâces, en demandant à Dieu des grâces d’abandon à sa Volonté à lui.
Oui, mes enfants, venez toujours vers votre Père.
Si Adam et Ève, mes enfants, seraient venus vers moi, je leur aurais donné la force de ne pas succomber.
Ne fonctionnez pas, dans vos journées, sans demander à Dieu de l’aide.
Demandez-moi des grâces pour vous, afin que vous soyez toujours mes petits enfants.
Vous qui avez besoin de Papa, vous ne pouvez pas avancer sans mes grâces.
Et ma douce Marie le savait!
À chaque instant, mes enfants, elle était dans la communication avec son intérieur; elle me suppliait de ne jamais la laisser : elle, la pure, elle, l’humble Marie :
elle priait son Dieu d’amour de venir l’aider : elle, le Vermisseau.
Et vous, mes enfants, est-ce que vous me demandez cette aide à tous les jours?
Je vous aime tellement! Je me tiens en vous et j’attends!
Et j’attends que vous veniez me demander de l’aide, moi, votre Père.
Moi, le Créateur de l’univers et de la terre, j’attends, mes enfants, pour vous donner la force d’être tout petits, humbles, afin que vous prononciez ce oui dans un abandon total.
Mes enfants, si vous croyez que vous pouvez prononcer un oui par vous-mêmes, ce oui, mes enfants, ne pénétrera pas le oui de mon Fils : il ne pourra pas venir vers moi.
Il faut tout abandonner; votre volonté humaine, mes enfants, porte trop d’erreurs. Quand je vais me présenter, moi, en mon Fils, je vais vous demander votre oui; je vais déposer en vous de l’amour, mon amour, et vous verrez combien, mes enfants, vous êtes petits devant tant de grandeur!
Et c’est en étant petits, mes enfants, que vous allez trouver la force de répondre à l’appel de l’Amour : l’être qui se croit grand, il se défend, il veut se déculpabiliser devant ses erreurs : il cherche des échappatoires; mais le petit enfant, lui, ne cherche pas à se défendre : s’il se trouve en erreur, il demande pardon à Papa parce qu’il connaît son amour, et il sait qu’il lui a fait de la peine; alors, moi qui connais mon petit enfant, je le console et il se laisse consoler; mais s’il y a de l’orgueil, si le oui vient trop de vous-mêmes, il y aura trop de souffrance : alors il y aura de la révolte! Mes enfants d’amour, je vous aime, soyez mes tout petits bébés; demandez-moi à chaque instant de l’aide, et vous allez développer en vous cette humilité qui est une grâce, mes enfants.
Combien d’enfants aujourd’hui, si on parle d’humilité, se redressent; ils ne comprennent pas que celui qui accepte d’être humble, d’être petit, découvre la sécurité entre les bras du Père.
Il n’y a pas de honte à venir se réfugier dans les bras de l’Amour.
Celui qui a peur de s’humilier, c’est celui qui se croit trop grand pour accepter l’amour de son Père.
Vous, mes enfants, êtes-vous capables de dire à votre père terrestre : "Papa, j’t’aime; prends-moi dans tes bras et berce-moi?"
Voyez-vous, mes enfants, cela semble difficile parce qu’il y a en vous votre volonté humaine qui est blessée,
et cette blessure, mes enfants, vous empêche de redevenir le petit enfant que vous êtes.
C’est seulement l’amour du Père qui vous aidera.
Ma douce enfant Marie, elle vous est donnée par moi, son Père, par son Fils, Jésus, par son Époux, le Saint-Esprit, afin que vous lui demandiez cette grâce d’humilité : elle vous aidera.
C’est ainsi, mes enfants, que vous découvrirez votre petitesse.
Demander de l’aide, mes enfants, c’est se découvrir faible.
Voilà un pas vers l’abandon.
Abandonnez-vous, mes enfants, dans les bras de l’Amour : elle est la Mère de l’Amour, elle est votre Maman.
Soyez, mes enfants, dociles à l’appel de votre Père, il vous aime tant!
Il vous veut, mes enfants, obéissants à l’appel du Cœur; le Cœur même de l’Amour.
Voyez-vous, mes enfants, j’envoie en ce monde des signes, car il faut vous préparer.
Laissez tomber votre vieille carcasse et redevenez le petit enfant que vous êtes. Mon fils, toi qui es présent ici, toi qui prononces ton oui, bénis mes saints enfants afin qu’ils se reconnaissent sous la tutelle de l’Amour. La puissance de Dieu t’a été accordée pour venir en aide à mes petits enfants. Amen.
Bénédiction par le prêtre : Jésus vient de demander aux prêtres, par son instrument, de daigner faire descendre sur vous sa bénédiction. Oui, par le sacerdoce, le pouvoir reçu de Dieu, le prêtre a en ses mains toute la richesse de la Rédemption qu’il peut appliquer à toutes les âmes, et c’est pourquoi, ce soir, que Jésus tout-puissant daigne faire descendre sur vous la largesse de ses bénédictions pour que vos cœurs soient comblés de grâces, comme Marie a été comblée de grâces, que vous partiez ce soir avec des cœurs non pas remplis, mais comblés, que ça déborde sur vos familles, sur la ville, sur les diocèses et toute la terre.
«Que la bénédiction de Dieu tout-puissant, Père, Fils et Saint-Esprit descende sur vous et sur toute la terre, sur le ciel, sur le purgatoire et que tout être tombe à genoux au Ciel, sur terre et dans les enfers par la puissance de Dieu, par Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen.»
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Métabetchouan, Québec,
par son instrument la Fille du Oui à Jésus
2002-09-20
Jésus : Mes enfants, ces mots que vous allez entendre vont se graver dans vos cœurs. Ces mots, mes enfants, seront pour vous des grâces : ils vous rendront réceptifs à l’amour de votre être. Vous allez, mes enfants, devenir des canaux qui vont aller vers mes autres enfants. C’est moi, Dieu d’amour, qui mets en vous ces paroles. Je suis le Dieu de la puissance, je suis en vous, c’est moi qui vous fais vivre.
J’ai tout pouvoir, mes enfants, sur la vie et la mort.
Mes enfants d’amour, je suis Jésus d’amour, je suis la Vie éternelle : elle est en vous cette Vie, elle est la Présence de l’Amour.
Quand, mes enfants, on apprend que la Vie est en vous, c’est que vous avez en vous de l’espérance.
Vous voulez vivre ici maintenant pour continuer dans une vie future.
Mes enfants d’amour, aujourd’hui est le présent, demain est le futur.
Ce que vous vivez présentement est ce que vous êtes, là : maintenant.
Vous voulez vivre pour demain : en négligeant votre présent, en ne prenant pas soin de vous-mêmes, en vous occupant de ce que demain sera;
et vous négligez ce que vous faites, à l’instant où vous pensez à demain.
La vie, mes enfants : c’est à l’instant où vous regardez, à l’instant où vous entendez, à l’instant où vous apprenez à vous aimer.
Tout ce qui est présent est la vie.
Si vous négligez de nourrir ce qui est maintenant, comment voulez-vous, mes enfants, que demain soit une bonne journée? Elle sera la suite de votre négligence.
Vous allez cueillir, mes enfants, ce que vous avez semé la veille; alors, vous allez vous retrouver avec une vie qui n’a pas de sens.
Vous avez peur du lendemain, alors que vous ne faites rien pour le présent.
Allez, mes enfants, faire un travail en négligeant de préparer votre corps; si vous le négligez alors que la journée avance, en ne lui donnant pas de repas convenable, un sommeil convenable, avec des pensées de paix et en ayant des émotions qui font peur : comment allez-vous faire votre travail le lendemain?
Vous vous retrouverez sans force, vous n’aurez pas d’attention, vous allez vous retrouver incapables d’accomplir convenablement votre journée : vous serez déçus de vous-mêmes et vous vous demanderez pourquoi ce travail est si pénible.
Vous allez vous décourager, vous allez trouver que la vie n’a pas de joie, vous allez vous épuiser seulement qu’à penser à votre travail qui rend votre vie insupportable.
Vous ne pourrez pas, mes enfants, donner de la joie à votre intérieur; vous ne pourrez pas donner à ceux qui sont autour de vous un sourire, car vous serez épuisés à cause que vous ne vous serez pas préparés.
Mes enfants d’amour, c’est votre quotidien!
Vous ne cessez de penser à demain, de calculer votre avenir, de faire des plans sans penser à votre vie présente.
Mes enfants d’amour, si vous ne vivez pas votre vie à l’instant même, vous ne trouverez pas le bonheur.
Je suis la Vie. Je suis en vous, c’est moi qui nourris votre vie
et c’est moi, mes amours, qui fais que vous soyez présents, vivants.
À quoi sert, mes enfants, de vouloir vivre en n’étant pas présents dans votre être?
Vous n’aurez rien à donner à vous-mêmes et aux autres, car Dieu est en vous et aussi dans les autres.
Mes enfants de l’Amour, apportez-vous de l’amour à vous-mêmes en venant vous recueillir en vous.
Ce n’est pas si long que cela de prendre un seul instant durant toute une journée pour dire que vous êtes vivants, pour dire à Jésus :
"Jésus d’amour, je t’aime. Je veux m’aimer aujourd’hui. Je veux connaître le bonheur aujourd’hui. Je veux être dans la joie aujourd’hui. Je veux apprécier ce que Dieu le Père veut me donner. Je veux être à ton écoute. Donne-moi le nécessaire afin que ma journée présente soit dans ma vie".
Mes enfants de l’Amour, Jésus vous aime.
Il veut vous prendre dans ses bras.
Il veut que vous soyez heureux dès maintenant.
Il veut vous nourrir.
Il veut déverser en vous : des grâces d’amour, des grâces qui vous feront découvrir qu’à l’instant que vous vivez
vous êtes vivants, vous êtes agissants.
Vous pouvez obtenir des résultats pour que plus tard vous puissiez en profiter.
Si vous ne le faites pas maintenant, il ne peut y avoir de (bon) résultat et vous allez être déçus, mes enfants.
Mes amours, c’est moi qui nourris votre vie : je suis la Vie, je suis la Présence.
Je ne vis pas seulement pour le futur.
Quand vous êtes venus ce soir vous approcher de la sainte Hostie, vous avez pris en vous la Vie : Jésus vivant, Jésus se donnant, Jésus s’offrant, là, maintenant, pour vous.
C’est à l’instant où vous me prenez, mes enfants, que je mets la Vie en votre intérieur.
Je nourris la vie de la Vie en vous : ce n’est pas pour demain, c’est pour l’instant même.
Je suis présent en vous, je me fonds en vous.
Vous n’êtes plus vous, mes enfants, quand vous venez vous approcher de la sainte Hostie, c’est moi qui me donne, j'entre en vous et je me fais moi.
Cette Nourriture, mes enfants, se propage dans tout votre être :
vous devenez la vie en Dieu.
Mes enfants d’amour, c’est pour l’instant même que je me donne à vous et vous, mes enfants, où êtes-vous?
Êtes-vous de ceux qui reçoivent la Vie en vous : en votre être, alors que la tête n’y est pas?
Vous voulez me prendre, mais vous pensez à autre chose.
Vous êtes sortis de votre banc pour venir vers moi : vous me prenez et aussitôt, mes enfants, rendus à votre banc je cherche qui me prend, je cherche les yeux qui ne me regardent plus, je cherche la tendresse de votre cœur qui vient de s’ouvrir.
Ces élans d’humilité sont déjà disparus et je me retrouve seul la plupart du temps parce que vous pensez à plus tard;
vous n’êtes pas capables de vivre votre présent.
Là, maintenant, regardez vos conversations, mes enfants!
Vous parlez, la plupart du temps, de ce que hier a été et de ce que demain sera, et vous ne parlez pas du présent.
Votre vie, mes enfants, vous échappe!
Vous la laissez couler comme l’eau qui sort d’un robinet : il y a un verre qui la reçoit et l’eau remplit le verre, et l’eau s’écoule hors du verre, et va pénétrer dans les égouts, et l’eau se perd dans un trou noir.
Mes enfants, d’amour, si vous ne vivez pas votre présent là, aujourd’hui même,
à chaque instant de votre vie : votre vie s’écoule.
Ce qui est présent aujourd’hui et que vous avez négligé : il ne sera plus et vous aurez perdu, mes enfants, toutes les grâces dont vous auriez dû profiter : des grâces d’amour, des grâces de joie, des grâces qui vous transforment en êtres d’amour pour atteindre un bonheur, un bonheur sans fin.
Oh! mes enfants d’amour, ne savez-vous pas qu’il faut vous laisser prendre par l’Amour!
Moi, Jésus, je sais ce qui est bon pour vous.
Si, mes enfants, vous continuez votre prière en étant sûrs que Jésus est là présent, vous goûtez cette joie d’être présents avec moi, Jésus, avec l’Amour : avec celui qui vous a créés.
C’est une joie, mes enfants : vous apprenez à ouvrir votre cœur à quelqu’un qui vit en vous, qui vous aime et qui veut votre bien, et vous apprenez, mes enfants, à développer en vous cette joie d’être présents avec Dieu, avec vous-mêmes.
Réalisez-vous que vous allez apprendre, mes enfants, à vivre votre propre vie avec vous-mêmes, pas aux dépens de quelqu’un qui est au côté de vous ou qui sera là demain? C’est à l’instant présent, en vous.
N’est-ce pas merveilleux, mes enfants, de goûter à l’amour même à l’instant où vous le vivez?
Je suis l’Amour.
L’Amour veut vous donner ce qu’il y a de plus beau en vous pour vous développer en êtres de bonté, en enfants joyeux qui veu(lent) goûter la vie, la vraie vie : celle qui est présente maintenant, et vous allez voir, mes enfants, que la seconde présente sera une nourriture pour la suivante.
Votre déjeuner, le matin, mes enfants : vous allez le vivre, vous allez le savourer parce que vous allez être présents, vous ne penserez pas à ce que vous allez faire quelques jours après.
Oh! combien sont en train de déjeuner et pensent déjà au souper! Et cela, mes enfants, vous épuise.
Il faut vivre l’instant présent, il faut le savourer.
Et quand vient le temps où il faut partir à l’ouvrage : eh bien, mes enfants, ne vous souciez pas de ce que vous allez produire durant la journée, vers onze heures, vers midi; ne vous souciez pas si votre journée fera l’affaire à votre patron ou si vos rendements seront à la hauteur de ce que vous avez pensé pour la fin de la journée :
vivez l’instant présent.
Sortez de la maison en regardant dehors, en respirant, en regardant mon ciel, en savourant les chants qui viennent à vos oreilles par mes créatures.
Combien d’entre vous, mes enfants, partez en courant, et retournez en arrière parce que vous avez oublié votre lunch? Vous ne vivez pas, mes enfants, au présent.
Quand vous êtes installés dans votre véhicule, vous ouvrez la radio et vous écoutez des nouvelles qui vous disent ce qui s'est déjà passé hier, ou on vous passe des annonces qui vous font penser aux belles vacances que vous pourriez vous offrir, ou on veut vous inciter à acheter des produits qui vous feront connaître combien sera bon le confort!
Mes enfants, vous vivez avec ce qui n’existe pas et vous oubliez, à l’instant même, d’être avec vous-mêmes ou avec la personne avec qui vous êtes.
En vous disant des mots de "je t’aime", en disant : "Ah! que je me sens bien avec toi! là, à l’instant même, je savoure cet instant, je suis au volant de mon auto et c’est moi qui la conduis en Jésus."
N’oubliez pas, mes enfants, que c’est moi qui fais votre agir.
Si vous voulez conduire tout seul votre auto, eh bien, vous serez les seuls à courir le risque que quelqu’un vous frappe! Moi, je veux prendre soin de vous, mes enfants, je suis présent dans votre vie, c’est moi qui suis avec vous qui vit la vie.
N’est-ce pas merveilleux de s’appuyer sur quelqu’un de plus fort que soi?
Oh! mes enfants d’amour, ne pensez pas à votre budget, à ce que vous pourriez vous offrir avec votre surplus;
mes enfants, vous risquez de ne pas voir l’autre qui a oublié son stop!
Soyez présents, avancez dans l’amour, dans la joie.
Laissez-vous découvrir que vous êtes avec Jésus Amour et avec votre ange gardien aussi :
vous apprécierez la personne avec qui vous êtes.
Goûtez à cette intimité d’amour dans l’amour et dans l’amitié.
Il est si bon, mes enfants, quelquefois, de garder le silence avec quelqu’un au côté de soi en savourant sa compagnie.
Vous oubliez, mes enfants, que seulement être avec quelqu’un, c’est agréable.
Il n’est pas nécessaire de meubler l’intérieur de votre auto avec des sons inutiles.
Savourez le silence : la saveur d’être en bonne compagnie.
Et quand, mes enfants, vous arrivez chez votre employeur, ou avec des compagnons de travail, ou aux études, ne cherchez pas à vous donner de l’importance en voulant être quelqu’un d’autre.
Combien d’entre vous, mes enfants, vous êtes dans un état de silence et pourtant, vous ne respectez pas votre intérieur, vous vous dites : "Ah! mon Dieu, qu’est-ce qu’elle va penser? Ah! que je suis plate, pas de conversation; je n'ai pas le goût, aujourd’hui, de parler".
Mais vous n’écoutez pas votre intérieur, vous voulez paraître quelqu’un d’autre que vous-mêmes!
Alors, vous faites plaisir aux autres, mais vous vous négligez, là, à l’intérieur de vous.
Mes enfants d’amour, il faut nourrir votre intérieur avant d’être capables de donner.
Demandez-moi, dans ces moments-là, des grâces : "Jésus, tu me connais toi, tu sais que j’ai pas le goût aujourd’hui : je me sens pas capable de sourire, mais passe en avant de moi, je vais me cacher en toi. J’ai confiance que l’autre qui me regardera, s’il te regarde avant moi, bien, il s’attendrira".
Alors, mes enfants, vous ne penserez pas à négliger qui vous êtes parce que vous allez découvrir que c’est bon d’être bien avec vous-mêmes.
Vous ne penserez pas à perdre une amitié : c’est le présent qui compte, mes enfants.
Si vous êtes bien présentement en vous, l’autre qui se trouve au côté le sentira.
Au commencement, lui aussi va regarder, mais il va découvrir votre paix, votre calme, et cela le rassurera.
Il n’aura pas perdu votre amitié parce qu’il aura vu que vous continuez à l’aimer dans votre silence :
et votre paix l’aidera aussi à être lui-même.
Mes enfants, si, dans votre travail, il y a des troubles : soit avec votre machinerie, soit avec votre horaire, soit avec des troubles dus aux autres, si vous vivez votre présence là, maintenant, vous allez accepter ce qui arrive en faisant votre effort pour l’accomplir, en me demandant de l’aide en disant : "Jésus, je te donne ce qui se passe maintenant; c’est pas comme je le voudrais, mais je ne peux pas faire autrement. Donne-moi la force, Jésus, de faire mon ouvrage comme il se doit. Je veux y mettre les efforts là, maintenant, pour me faire plaisir à moi. Je ne veux pas négliger mon prochain, il ne faut pas que les autres soient dans le trouble à cause de moi. Donne-moi la paix en moi, Jésus, et je vais accomplir ce qu’il faut que je fasse là, maintenant".
Et, mes enfants, vous allez voir que votre rendement sera beaucoup plus performant parce que vous allez vivre là, maintenant, sans penser à vos résultats de la fin de la journée ou à votre patron qui, lui, arrivera en pestant contre le résultat.
Si vous travaillez dans une tension de peur de ce qui arrivera dans quelques heures : l’heure présente, mes enfants, ne sera pas à la hauteur de ce que vous, vous voulez accomplir parce que votre tête ne sera pas en présence.
Mes enfants d’amour, tout doit être accompli en Jésus dans le présent.
Mes enfants d’amour, aimez-vous.
Combien d’enfants ne vivent pas pour eux? Ils vivent pour le passé, ils vivent pour le futur et ils oublient que tout est présent.
C’est la Vie qui vous supplie, mes enfants, de vivre votre vie.
À la fin de cette journée, mes enfants, si vous vous apercevez que le résultat n’est pas comme vous le voulez,
quand arrive ce moment, vous avez la force, mes enfants, de vivre votre présent.
Quand les huit heures seront passées, vous aurez gardé en vous la joie de vivre.
Il y aura certes de la fatigue à votre journée de labeur, mais ce sera une bonne fatigue, pas une journée épuisante : vous ne serez pas aigris par ce que vous n’avez pas réussi à faire, car vous saurez, vous, que vous avez accompli votre possible, et vous serez fiers de vous.
Et si votre patron, ou vos amis, ou ceux qui ont exigé de vous ne sont pas contents, eh bien vous : vous aurez beau dire : "Moi, j’ai vécu ma vie avec Jésus, avec moi-même en me donnant de l’amour". Alors, vous aurez vécu, mes enfants, une vie dans votre vie en amour.
Quand vous allez arriver à la maison, eh bien, mes enfants, ce sera dans la joie de retrouver ceux que vous aimez!
C'est pour eux que vous avez accepté de sortir de la maison!
Vous apprendrez, mes enfants, à vous donner du bonheur à vous, sans vous inquiéter.
Et si vous arrivez à la maison en joie, ceux qui sont autour de vous et qui n’auront pas vécu leur journée présente eux, ils vous regarderont et apprendront de vous car, à chaque jour, mes enfants, vous allez développer le bonheur, la joie en vous et cela se développera, et eux aussi en profiteront.
Vous serez, mes enfants, un exemple pour eux, et s’ils vous parlent de ce que demain sera, et s’ils vous parlent de projets qui ne sont pas arrivés, alors, mes enfants d’amour, vous leur répondrez : "Toi, est-ce que tu m’aimes?" et s’il ne sait pas quoi répondre ou si c’est un oui bien douteux alors, vous, vous répondrez : "Je t’aime parce que tu es toi, parce que tu me donnes de la joie en ce moment : tu remplis ma vie"
Vous découvrirez, mes enfants, à ne pas prendre son problème d’avenir et en faire le vôtre.
Oh! mes enfants d’amour, vous avez compliqué votre vie, vous n’avez pas vu venir à vous cette noirceur qui vous entoure, cette noirceur qui n’existe même pas et que vous avez fabriquée par votre peur, par vos angoisses de ce que demain sera.
Vous déambulez, mes enfants, comme des morts.
Comment pouvez-vous dire que vous êtes en vie, alors que vous n’êtes pas présents?
Mes enfants d’amour, vous vivez en pensant au mal de tête qui arrivera si vous mangez trop vite.
Vous allez même calculer à l’avance si vous allez pouvoir faire un tel ouvrage avec votre santé fragile.
Vous provoquez vos propres maladies.
Vous ne donnez rien à Dieu.
Vous ne vivez pas dans l’amour de Dieu pour vous : demandez à Dieu de vous aider.
Remerciez Dieu, mes enfants, quand vous êtes dans le repos.
Vous ne cessez de penser à vos douleurs qui pourraient arriver ou dans lesquelles vous vivez, et vous ne remerciez jamais Dieu de la vie qu’il vous donne à chaque instant : vous ne cessez de critiquer.
Vous avez appris, mes enfants, à ne pas regarder ce que Dieu a fait pour vous.
Il fait pleuvoir sur vos récoltes et ces récoltes se trouvent sur votre table; il vous donne son soleil pour faire fleurir vos fleurs et pour donner à votre intérieur de la force.
Savez-vous, mes enfants, que le soleil est important dans votre vie? Il est nécessaire à votre santé.
Mes enfants d’amour, j’ai rempli les cours d’eau de nourriture : ils vous donnent de quoi former votre corps.
Je vous protège, mes enfants, contre le froid qui pourrait vous nuire et je fais en sorte de vous donner de l’ombre quand vous êtes dans des chaleurs trop arides, et vous ne remerciez pas Dieu.
Vous pensez plutôt à vos maladies.
Ces maladies, mes enfants d’amour, sont la négligence de ne pas vivre au présent, de ne pas vivre votre vie présentement.
Vous avez peur de manquer de nourriture; vous avez peur de ne pas profiter du beau temps; vous avez peur de ne pas avoir les moyens de vous soigner.
Vous vivez dans la peur et cette peur est créée par votre ignorance de ce que demain sera : vous ne vivez pas le présent.
La vie est en vous.
Mes enfants d’amour, Jésus est avec vous ce soir, Jésus est présent en vous, il vous parle par cet instrument : il est vivant.
Je suis vivant, mes enfants, en chacun de vous : j’agis, moi, en vous si vous me le demandez à chaque instant.
Pourquoi venir vers moi et me demander : "Jésus d’amour, je voudrais que tu me trouves un ouvrage pour que je puisse m’offrir une maison. Jésus d’amour, quand vas-tu me soigner, je suis malade? Jésus d’amour, je voudrais que tu prennes soin de mes enfants qui ne viennent plus me voir".
Voyez-vous, mes enfants, ce sont des demandes pour ce qui va arriver, et vous ne vivez pas votre présent.
Si, mes enfants, vous apprenez à vous aimer, vous allez dire à Jésus d’amour : "Jésus, tu es vivant en moi, tu vis en moi à l’instant même. Donne-moi cette force, Jésus, de m’abandonner en toi, à l’instant même; donne-moi la grâce de vivre cette seconde avec toi" et vous allez voir, mes enfants, que la joie sera en vous.
Vous allez vivre avec Jésus, vous saurez que je suis vivant en vous et que je prends soin de vous.
Et si je prends soin de vous, mes enfants, et que vous le réalisez : vous n’aurez plus peur pour vos enfants, car vous saurez que je suis aussi vivant en eux, que j’agis en eux au présent; c’est vous qui allez leur montrer qu’ils sont vivants, que Jésus est là.
Il est là, il veut vivre le présent avec vos enfants.
Et si, mes enfants, vous avez une maladie qui vous fait souffrir : demandez-moi des grâces de force à l’instant même; je déverserai en vous ma puissance : ma puissance d’amour, et c’est avec moi que vous allez vivre.
Vous trouverez la paix, le calme en vous en sachant que je suis là, que je suis présent dans votre vie, là, maintenant; vous allez vous sentir, mes enfants, vivants et votre maladie perdra de l’importance pour vous car,
moi, je mettrai en vous de l’espérance, une foi en la puissance de mon Père.
Et, mes enfants, celui qui est inquiet pour demain, pour ce qu’il veut s’offrir : eh bien, je déposerai en lui mon agir : il viendra en moi et, moi, je prendrai soin de lui.
C’est moi, mes enfants, Dieu, c’est moi qui agirai : ce sera la Volonté de mon Père : il prend soin de vous; abandonnez-vous dans la Volonté de Dieu :
vivez dans la Divine Volonté.
Cessez, mes enfants, de faire votre volonté humaine, elle ne sait pas apprécier le présent.
Venez vivre en Jésus, pour Jésus, avec Jésus, là, présent.
Oh! mes enfants d’amour, mon Papa d’amour a laissé en vos cœurs, par moi, une douce prière et cette prière, mes enfants, est le "Notre Père".
Vous ne vivez pas, mes enfants, le "Notre Père" : vous le récitez, mais vous ne le comprenez pas.
Rappelez-vous ces paroles :
«Notre Père : Toi Papa d’amour, toi qui m’aimes, je me sens aimé de toi parce que tu veux que je t’appelle Père, mon Père.
«Comme ton nom, Père, est bon : Il est grand, il est puissant. Tu es le Père de tous les enfants de la terre et tu es le Père de Jésus, tu es mon Papa. Que ton nom, Père d’amour, soit honoré d’âge en âge par tous les enfants de la terre. Toi qui as tout créé, je suis ton enfant et toi, mon Père, tu veux que je t’appelle ainsi! Merci Papa d’amour!
«Oh! que ton règne vienne : Ton règne d’amour, ton règne de paix : il est tout amour ton règne. Tu veux me donner la Vie, la Vie de ton Fils, par amour : je ne veux pas, Père, souhaiter rien de plus. Je veux, Père d’amour, vivre dans la joie, dans ton règne à toi où je ne me soucierai de rien puisque tu veux tout me donner : ton règne à toi, sur la terre, là où je vis, là, aujourd’hui même, comme ceux qui vivent au Ciel. Papa d’amour, je t’aime!
«Que ta Volonté d’amour soit faite : Je te donne ma volonté, Père, parce que la tienne est merveilleuse; tu sais ce qui est bon pour moi parce que tu es mon Papa.
«Oh! Père d’amour, aujourd’hui, je t’offre tout : Je veux, Père d’amour, tout te donner : mon travail. Je veux te donner tout ce qu’on va me donner aujourd’hui : je te le présente. Tout ce qui est en moi me fait mal aujourd’hui, mais je te le donne, je sais que tu vas prendre soin de moi. Nourris-moi, Papa d’amour, nourris-moi de ton amour. Je veux vivre en toi.
«Oh! Papa, je sais que je suis un enfant qui n’a pas toujours été à la hauteur de ton amour; apprends-moi, Papa d’amour, à accepter ton pardon : Combien de fois, Papa d’amour, tu m’as pardonné et moi, je ne me suis même pas pardonné. Je te demande pardon parce que toi tu m’aimes plus que moi je m’aime. Toi, si plein de miséricorde, tu as donné ton Fils pour moi.
«Je veux aussi être comme toi : Je veux pardonner à ceux qui m’ont offensé aujourd’hui, là, maintenant, parce que je ne veux pas avoir une douleur aujourd’hui en moi qui va m’empêcher de vivre ma vie avec toi, avec ceux que j’aime; mais tu sais comment je suis, alors, viens déverser en moi ce qui peut m’aider, je te donne tout.
«Oh! Papa d’amour, entoure-moi de ta protection, car ma faiblesse quelquefois a tendance à basculer vers la volonté humaine : Comme, je vais faire ce qui n’est pas ta Volonté, alors, aide-moi Papa d’amour, je veux vivre que pour toi.
«Et s’il y en a qui veulent me faire du mal, eh bien, je sais que tu es là : Je sais que tu prends soin de moi, que tu veux leur bien à eux autres aussi
«Alors, je te les donne et je me donne avec».
Voyez-vous, mes enfants d’amour, c’est votre journée qui vient de se présenter à votre Père et cette prière est là pour votre journée : elle est une nourriture.
Apprenez, mes enfants, à être présents en vous, à vivre en vous.
Je suis, moi, le Fils de Dieu; j’ai montré cette prière à mes apôtres afin que tous les enfants de la terre profitent de cette manne d’amour de tous les jours.
C’est à chaque instant, mes enfants, qu’il faut nourrir votre vie.
Apprendre à vous aimer : c’est apprendre à vivre au présent.
Ce que demain sera : seul mon Père le sait et lui, il sait ce qui est bon pour chacun de vous; alors, ayez confiance en lui, donnez-vous à votre Père, aimez-vous.
Je suis en votre présence.
Là, maintenant, nourrissez-vous, mes enfants, de Jésus en vous.
Par votre silence, je dépose en vous, mes enfants, des grâces qui nourrissent votre intérieur : votre vie là, maintenant.
Savourez, mes enfants, cet instant avec moi, Jésus d’amour, avec l’Éternelle Vie qui n’a jamais de fin, qui est pleine de joie, là où tout scintille, là où la brise est caressante, où la chaleur réchauffe l’amour intérieur.
Je suis la Lumière de vos vies, je suis le Chemin qui vous emmène à mon Père.
Je suis amoureux de vous : soyez amoureux de la Vie présente avec chacun de vous.
L’Amour se donne, mes enfants, à chaque instant.
C’est un mouvement d’amour qui ne peut s’arrêter et si vous n’êtes pas présents, à qui voulez-vous que je donne?
J’attends que vous veniez me voir pour être présents avec votre vie.
Ne me laissez pas tout seul, je veux vivre la vie de votre vie là, maintenant, à chaque instant de votre vie.
Je vous aime, mes enfants : Dieu ne cesse de répéter son amour pour vous.
Il s’humilie pour vous.
Il vous supplie : Aimez-vous, moi, Jésus, je vous aime.
Gardez-vous, mes enfants, gardez-vous présents en venant vers moi.
J’ai tant de joie à vous donner, j’ai tant d’amour!
Mes enfants d’amour, recevez de Dieu des grâces par la bénédiction de mes saints prêtres. Ils vous aideront à venir en vous. Amen.
par son instrument la Fille du Oui à Jésus
2002-09-20
Jésus : Mes enfants, ces mots que vous allez entendre vont se graver dans vos cœurs. Ces mots, mes enfants, seront pour vous des grâces : ils vous rendront réceptifs à l’amour de votre être. Vous allez, mes enfants, devenir des canaux qui vont aller vers mes autres enfants. C’est moi, Dieu d’amour, qui mets en vous ces paroles. Je suis le Dieu de la puissance, je suis en vous, c’est moi qui vous fais vivre.
J’ai tout pouvoir, mes enfants, sur la vie et la mort.
Mes enfants d’amour, je suis Jésus d’amour, je suis la Vie éternelle : elle est en vous cette Vie, elle est la Présence de l’Amour.
Quand, mes enfants, on apprend que la Vie est en vous, c’est que vous avez en vous de l’espérance.
Vous voulez vivre ici maintenant pour continuer dans une vie future.
Mes enfants d’amour, aujourd’hui est le présent, demain est le futur.
Ce que vous vivez présentement est ce que vous êtes, là : maintenant.
Vous voulez vivre pour demain : en négligeant votre présent, en ne prenant pas soin de vous-mêmes, en vous occupant de ce que demain sera;
et vous négligez ce que vous faites, à l’instant où vous pensez à demain.
La vie, mes enfants : c’est à l’instant où vous regardez, à l’instant où vous entendez, à l’instant où vous apprenez à vous aimer.
Tout ce qui est présent est la vie.
Si vous négligez de nourrir ce qui est maintenant, comment voulez-vous, mes enfants, que demain soit une bonne journée? Elle sera la suite de votre négligence.
Vous allez cueillir, mes enfants, ce que vous avez semé la veille; alors, vous allez vous retrouver avec une vie qui n’a pas de sens.
Vous avez peur du lendemain, alors que vous ne faites rien pour le présent.
Allez, mes enfants, faire un travail en négligeant de préparer votre corps; si vous le négligez alors que la journée avance, en ne lui donnant pas de repas convenable, un sommeil convenable, avec des pensées de paix et en ayant des émotions qui font peur : comment allez-vous faire votre travail le lendemain?
Vous vous retrouverez sans force, vous n’aurez pas d’attention, vous allez vous retrouver incapables d’accomplir convenablement votre journée : vous serez déçus de vous-mêmes et vous vous demanderez pourquoi ce travail est si pénible.
Vous allez vous décourager, vous allez trouver que la vie n’a pas de joie, vous allez vous épuiser seulement qu’à penser à votre travail qui rend votre vie insupportable.
Vous ne pourrez pas, mes enfants, donner de la joie à votre intérieur; vous ne pourrez pas donner à ceux qui sont autour de vous un sourire, car vous serez épuisés à cause que vous ne vous serez pas préparés.
Mes enfants d’amour, c’est votre quotidien!
Vous ne cessez de penser à demain, de calculer votre avenir, de faire des plans sans penser à votre vie présente.
Mes enfants d’amour, si vous ne vivez pas votre vie à l’instant même, vous ne trouverez pas le bonheur.
Je suis la Vie. Je suis en vous, c’est moi qui nourris votre vie
et c’est moi, mes amours, qui fais que vous soyez présents, vivants.
À quoi sert, mes enfants, de vouloir vivre en n’étant pas présents dans votre être?
Vous n’aurez rien à donner à vous-mêmes et aux autres, car Dieu est en vous et aussi dans les autres.
Mes enfants de l’Amour, apportez-vous de l’amour à vous-mêmes en venant vous recueillir en vous.
Ce n’est pas si long que cela de prendre un seul instant durant toute une journée pour dire que vous êtes vivants, pour dire à Jésus :
"Jésus d’amour, je t’aime. Je veux m’aimer aujourd’hui. Je veux connaître le bonheur aujourd’hui. Je veux être dans la joie aujourd’hui. Je veux apprécier ce que Dieu le Père veut me donner. Je veux être à ton écoute. Donne-moi le nécessaire afin que ma journée présente soit dans ma vie".
Mes enfants de l’Amour, Jésus vous aime.
Il veut vous prendre dans ses bras.
Il veut que vous soyez heureux dès maintenant.
Il veut vous nourrir.
Il veut déverser en vous : des grâces d’amour, des grâces qui vous feront découvrir qu’à l’instant que vous vivez
vous êtes vivants, vous êtes agissants.
Vous pouvez obtenir des résultats pour que plus tard vous puissiez en profiter.
Si vous ne le faites pas maintenant, il ne peut y avoir de (bon) résultat et vous allez être déçus, mes enfants.
Mes amours, c’est moi qui nourris votre vie : je suis la Vie, je suis la Présence.
Je ne vis pas seulement pour le futur.
Quand vous êtes venus ce soir vous approcher de la sainte Hostie, vous avez pris en vous la Vie : Jésus vivant, Jésus se donnant, Jésus s’offrant, là, maintenant, pour vous.
C’est à l’instant où vous me prenez, mes enfants, que je mets la Vie en votre intérieur.
Je nourris la vie de la Vie en vous : ce n’est pas pour demain, c’est pour l’instant même.
Je suis présent en vous, je me fonds en vous.
Vous n’êtes plus vous, mes enfants, quand vous venez vous approcher de la sainte Hostie, c’est moi qui me donne, j'entre en vous et je me fais moi.
Cette Nourriture, mes enfants, se propage dans tout votre être :
vous devenez la vie en Dieu.
Mes enfants d’amour, c’est pour l’instant même que je me donne à vous et vous, mes enfants, où êtes-vous?
Êtes-vous de ceux qui reçoivent la Vie en vous : en votre être, alors que la tête n’y est pas?
Vous voulez me prendre, mais vous pensez à autre chose.
Vous êtes sortis de votre banc pour venir vers moi : vous me prenez et aussitôt, mes enfants, rendus à votre banc je cherche qui me prend, je cherche les yeux qui ne me regardent plus, je cherche la tendresse de votre cœur qui vient de s’ouvrir.
Ces élans d’humilité sont déjà disparus et je me retrouve seul la plupart du temps parce que vous pensez à plus tard;
vous n’êtes pas capables de vivre votre présent.
Là, maintenant, regardez vos conversations, mes enfants!
Vous parlez, la plupart du temps, de ce que hier a été et de ce que demain sera, et vous ne parlez pas du présent.
Votre vie, mes enfants, vous échappe!
Vous la laissez couler comme l’eau qui sort d’un robinet : il y a un verre qui la reçoit et l’eau remplit le verre, et l’eau s’écoule hors du verre, et va pénétrer dans les égouts, et l’eau se perd dans un trou noir.
Mes enfants, d’amour, si vous ne vivez pas votre présent là, aujourd’hui même,
à chaque instant de votre vie : votre vie s’écoule.
Ce qui est présent aujourd’hui et que vous avez négligé : il ne sera plus et vous aurez perdu, mes enfants, toutes les grâces dont vous auriez dû profiter : des grâces d’amour, des grâces de joie, des grâces qui vous transforment en êtres d’amour pour atteindre un bonheur, un bonheur sans fin.
Oh! mes enfants d’amour, ne savez-vous pas qu’il faut vous laisser prendre par l’Amour!
Moi, Jésus, je sais ce qui est bon pour vous.
Si, mes enfants, vous continuez votre prière en étant sûrs que Jésus est là présent, vous goûtez cette joie d’être présents avec moi, Jésus, avec l’Amour : avec celui qui vous a créés.
C’est une joie, mes enfants : vous apprenez à ouvrir votre cœur à quelqu’un qui vit en vous, qui vous aime et qui veut votre bien, et vous apprenez, mes enfants, à développer en vous cette joie d’être présents avec Dieu, avec vous-mêmes.
Réalisez-vous que vous allez apprendre, mes enfants, à vivre votre propre vie avec vous-mêmes, pas aux dépens de quelqu’un qui est au côté de vous ou qui sera là demain? C’est à l’instant présent, en vous.
N’est-ce pas merveilleux, mes enfants, de goûter à l’amour même à l’instant où vous le vivez?
Je suis l’Amour.
L’Amour veut vous donner ce qu’il y a de plus beau en vous pour vous développer en êtres de bonté, en enfants joyeux qui veu(lent) goûter la vie, la vraie vie : celle qui est présente maintenant, et vous allez voir, mes enfants, que la seconde présente sera une nourriture pour la suivante.
Votre déjeuner, le matin, mes enfants : vous allez le vivre, vous allez le savourer parce que vous allez être présents, vous ne penserez pas à ce que vous allez faire quelques jours après.
Oh! combien sont en train de déjeuner et pensent déjà au souper! Et cela, mes enfants, vous épuise.
Il faut vivre l’instant présent, il faut le savourer.
Et quand vient le temps où il faut partir à l’ouvrage : eh bien, mes enfants, ne vous souciez pas de ce que vous allez produire durant la journée, vers onze heures, vers midi; ne vous souciez pas si votre journée fera l’affaire à votre patron ou si vos rendements seront à la hauteur de ce que vous avez pensé pour la fin de la journée :
vivez l’instant présent.
Sortez de la maison en regardant dehors, en respirant, en regardant mon ciel, en savourant les chants qui viennent à vos oreilles par mes créatures.
Combien d’entre vous, mes enfants, partez en courant, et retournez en arrière parce que vous avez oublié votre lunch? Vous ne vivez pas, mes enfants, au présent.
Quand vous êtes installés dans votre véhicule, vous ouvrez la radio et vous écoutez des nouvelles qui vous disent ce qui s'est déjà passé hier, ou on vous passe des annonces qui vous font penser aux belles vacances que vous pourriez vous offrir, ou on veut vous inciter à acheter des produits qui vous feront connaître combien sera bon le confort!
Mes enfants, vous vivez avec ce qui n’existe pas et vous oubliez, à l’instant même, d’être avec vous-mêmes ou avec la personne avec qui vous êtes.
En vous disant des mots de "je t’aime", en disant : "Ah! que je me sens bien avec toi! là, à l’instant même, je savoure cet instant, je suis au volant de mon auto et c’est moi qui la conduis en Jésus."
N’oubliez pas, mes enfants, que c’est moi qui fais votre agir.
Si vous voulez conduire tout seul votre auto, eh bien, vous serez les seuls à courir le risque que quelqu’un vous frappe! Moi, je veux prendre soin de vous, mes enfants, je suis présent dans votre vie, c’est moi qui suis avec vous qui vit la vie.
N’est-ce pas merveilleux de s’appuyer sur quelqu’un de plus fort que soi?
Oh! mes enfants d’amour, ne pensez pas à votre budget, à ce que vous pourriez vous offrir avec votre surplus;
mes enfants, vous risquez de ne pas voir l’autre qui a oublié son stop!
Soyez présents, avancez dans l’amour, dans la joie.
Laissez-vous découvrir que vous êtes avec Jésus Amour et avec votre ange gardien aussi :
vous apprécierez la personne avec qui vous êtes.
Goûtez à cette intimité d’amour dans l’amour et dans l’amitié.
Il est si bon, mes enfants, quelquefois, de garder le silence avec quelqu’un au côté de soi en savourant sa compagnie.
Vous oubliez, mes enfants, que seulement être avec quelqu’un, c’est agréable.
Il n’est pas nécessaire de meubler l’intérieur de votre auto avec des sons inutiles.
Savourez le silence : la saveur d’être en bonne compagnie.
Et quand, mes enfants, vous arrivez chez votre employeur, ou avec des compagnons de travail, ou aux études, ne cherchez pas à vous donner de l’importance en voulant être quelqu’un d’autre.
Combien d’entre vous, mes enfants, vous êtes dans un état de silence et pourtant, vous ne respectez pas votre intérieur, vous vous dites : "Ah! mon Dieu, qu’est-ce qu’elle va penser? Ah! que je suis plate, pas de conversation; je n'ai pas le goût, aujourd’hui, de parler".
Mais vous n’écoutez pas votre intérieur, vous voulez paraître quelqu’un d’autre que vous-mêmes!
Alors, vous faites plaisir aux autres, mais vous vous négligez, là, à l’intérieur de vous.
Mes enfants d’amour, il faut nourrir votre intérieur avant d’être capables de donner.
Demandez-moi, dans ces moments-là, des grâces : "Jésus, tu me connais toi, tu sais que j’ai pas le goût aujourd’hui : je me sens pas capable de sourire, mais passe en avant de moi, je vais me cacher en toi. J’ai confiance que l’autre qui me regardera, s’il te regarde avant moi, bien, il s’attendrira".
Alors, mes enfants, vous ne penserez pas à négliger qui vous êtes parce que vous allez découvrir que c’est bon d’être bien avec vous-mêmes.
Vous ne penserez pas à perdre une amitié : c’est le présent qui compte, mes enfants.
Si vous êtes bien présentement en vous, l’autre qui se trouve au côté le sentira.
Au commencement, lui aussi va regarder, mais il va découvrir votre paix, votre calme, et cela le rassurera.
Il n’aura pas perdu votre amitié parce qu’il aura vu que vous continuez à l’aimer dans votre silence :
et votre paix l’aidera aussi à être lui-même.
Mes enfants, si, dans votre travail, il y a des troubles : soit avec votre machinerie, soit avec votre horaire, soit avec des troubles dus aux autres, si vous vivez votre présence là, maintenant, vous allez accepter ce qui arrive en faisant votre effort pour l’accomplir, en me demandant de l’aide en disant : "Jésus, je te donne ce qui se passe maintenant; c’est pas comme je le voudrais, mais je ne peux pas faire autrement. Donne-moi la force, Jésus, de faire mon ouvrage comme il se doit. Je veux y mettre les efforts là, maintenant, pour me faire plaisir à moi. Je ne veux pas négliger mon prochain, il ne faut pas que les autres soient dans le trouble à cause de moi. Donne-moi la paix en moi, Jésus, et je vais accomplir ce qu’il faut que je fasse là, maintenant".
Et, mes enfants, vous allez voir que votre rendement sera beaucoup plus performant parce que vous allez vivre là, maintenant, sans penser à vos résultats de la fin de la journée ou à votre patron qui, lui, arrivera en pestant contre le résultat.
Si vous travaillez dans une tension de peur de ce qui arrivera dans quelques heures : l’heure présente, mes enfants, ne sera pas à la hauteur de ce que vous, vous voulez accomplir parce que votre tête ne sera pas en présence.
Mes enfants d’amour, tout doit être accompli en Jésus dans le présent.
Mes enfants d’amour, aimez-vous.
Combien d’enfants ne vivent pas pour eux? Ils vivent pour le passé, ils vivent pour le futur et ils oublient que tout est présent.
C’est la Vie qui vous supplie, mes enfants, de vivre votre vie.
À la fin de cette journée, mes enfants, si vous vous apercevez que le résultat n’est pas comme vous le voulez,
quand arrive ce moment, vous avez la force, mes enfants, de vivre votre présent.
Quand les huit heures seront passées, vous aurez gardé en vous la joie de vivre.
Il y aura certes de la fatigue à votre journée de labeur, mais ce sera une bonne fatigue, pas une journée épuisante : vous ne serez pas aigris par ce que vous n’avez pas réussi à faire, car vous saurez, vous, que vous avez accompli votre possible, et vous serez fiers de vous.
Et si votre patron, ou vos amis, ou ceux qui ont exigé de vous ne sont pas contents, eh bien vous : vous aurez beau dire : "Moi, j’ai vécu ma vie avec Jésus, avec moi-même en me donnant de l’amour". Alors, vous aurez vécu, mes enfants, une vie dans votre vie en amour.
Quand vous allez arriver à la maison, eh bien, mes enfants, ce sera dans la joie de retrouver ceux que vous aimez!
C'est pour eux que vous avez accepté de sortir de la maison!
Vous apprendrez, mes enfants, à vous donner du bonheur à vous, sans vous inquiéter.
Et si vous arrivez à la maison en joie, ceux qui sont autour de vous et qui n’auront pas vécu leur journée présente eux, ils vous regarderont et apprendront de vous car, à chaque jour, mes enfants, vous allez développer le bonheur, la joie en vous et cela se développera, et eux aussi en profiteront.
Vous serez, mes enfants, un exemple pour eux, et s’ils vous parlent de ce que demain sera, et s’ils vous parlent de projets qui ne sont pas arrivés, alors, mes enfants d’amour, vous leur répondrez : "Toi, est-ce que tu m’aimes?" et s’il ne sait pas quoi répondre ou si c’est un oui bien douteux alors, vous, vous répondrez : "Je t’aime parce que tu es toi, parce que tu me donnes de la joie en ce moment : tu remplis ma vie"
Vous découvrirez, mes enfants, à ne pas prendre son problème d’avenir et en faire le vôtre.
Oh! mes enfants d’amour, vous avez compliqué votre vie, vous n’avez pas vu venir à vous cette noirceur qui vous entoure, cette noirceur qui n’existe même pas et que vous avez fabriquée par votre peur, par vos angoisses de ce que demain sera.
Vous déambulez, mes enfants, comme des morts.
Comment pouvez-vous dire que vous êtes en vie, alors que vous n’êtes pas présents?
Mes enfants d’amour, vous vivez en pensant au mal de tête qui arrivera si vous mangez trop vite.
Vous allez même calculer à l’avance si vous allez pouvoir faire un tel ouvrage avec votre santé fragile.
Vous provoquez vos propres maladies.
Vous ne donnez rien à Dieu.
Vous ne vivez pas dans l’amour de Dieu pour vous : demandez à Dieu de vous aider.
Remerciez Dieu, mes enfants, quand vous êtes dans le repos.
Vous ne cessez de penser à vos douleurs qui pourraient arriver ou dans lesquelles vous vivez, et vous ne remerciez jamais Dieu de la vie qu’il vous donne à chaque instant : vous ne cessez de critiquer.
Vous avez appris, mes enfants, à ne pas regarder ce que Dieu a fait pour vous.
Il fait pleuvoir sur vos récoltes et ces récoltes se trouvent sur votre table; il vous donne son soleil pour faire fleurir vos fleurs et pour donner à votre intérieur de la force.
Savez-vous, mes enfants, que le soleil est important dans votre vie? Il est nécessaire à votre santé.
Mes enfants d’amour, j’ai rempli les cours d’eau de nourriture : ils vous donnent de quoi former votre corps.
Je vous protège, mes enfants, contre le froid qui pourrait vous nuire et je fais en sorte de vous donner de l’ombre quand vous êtes dans des chaleurs trop arides, et vous ne remerciez pas Dieu.
Vous pensez plutôt à vos maladies.
Ces maladies, mes enfants d’amour, sont la négligence de ne pas vivre au présent, de ne pas vivre votre vie présentement.
Vous avez peur de manquer de nourriture; vous avez peur de ne pas profiter du beau temps; vous avez peur de ne pas avoir les moyens de vous soigner.
Vous vivez dans la peur et cette peur est créée par votre ignorance de ce que demain sera : vous ne vivez pas le présent.
La vie est en vous.
Mes enfants d’amour, Jésus est avec vous ce soir, Jésus est présent en vous, il vous parle par cet instrument : il est vivant.
Je suis vivant, mes enfants, en chacun de vous : j’agis, moi, en vous si vous me le demandez à chaque instant.
Pourquoi venir vers moi et me demander : "Jésus d’amour, je voudrais que tu me trouves un ouvrage pour que je puisse m’offrir une maison. Jésus d’amour, quand vas-tu me soigner, je suis malade? Jésus d’amour, je voudrais que tu prennes soin de mes enfants qui ne viennent plus me voir".
Voyez-vous, mes enfants, ce sont des demandes pour ce qui va arriver, et vous ne vivez pas votre présent.
Si, mes enfants, vous apprenez à vous aimer, vous allez dire à Jésus d’amour : "Jésus, tu es vivant en moi, tu vis en moi à l’instant même. Donne-moi cette force, Jésus, de m’abandonner en toi, à l’instant même; donne-moi la grâce de vivre cette seconde avec toi" et vous allez voir, mes enfants, que la joie sera en vous.
Vous allez vivre avec Jésus, vous saurez que je suis vivant en vous et que je prends soin de vous.
Et si je prends soin de vous, mes enfants, et que vous le réalisez : vous n’aurez plus peur pour vos enfants, car vous saurez que je suis aussi vivant en eux, que j’agis en eux au présent; c’est vous qui allez leur montrer qu’ils sont vivants, que Jésus est là.
Il est là, il veut vivre le présent avec vos enfants.
Et si, mes enfants, vous avez une maladie qui vous fait souffrir : demandez-moi des grâces de force à l’instant même; je déverserai en vous ma puissance : ma puissance d’amour, et c’est avec moi que vous allez vivre.
Vous trouverez la paix, le calme en vous en sachant que je suis là, que je suis présent dans votre vie, là, maintenant; vous allez vous sentir, mes enfants, vivants et votre maladie perdra de l’importance pour vous car,
moi, je mettrai en vous de l’espérance, une foi en la puissance de mon Père.
Et, mes enfants, celui qui est inquiet pour demain, pour ce qu’il veut s’offrir : eh bien, je déposerai en lui mon agir : il viendra en moi et, moi, je prendrai soin de lui.
C’est moi, mes enfants, Dieu, c’est moi qui agirai : ce sera la Volonté de mon Père : il prend soin de vous; abandonnez-vous dans la Volonté de Dieu :
vivez dans la Divine Volonté.
Cessez, mes enfants, de faire votre volonté humaine, elle ne sait pas apprécier le présent.
Venez vivre en Jésus, pour Jésus, avec Jésus, là, présent.
Oh! mes enfants d’amour, mon Papa d’amour a laissé en vos cœurs, par moi, une douce prière et cette prière, mes enfants, est le "Notre Père".
Vous ne vivez pas, mes enfants, le "Notre Père" : vous le récitez, mais vous ne le comprenez pas.
Rappelez-vous ces paroles :
«Notre Père : Toi Papa d’amour, toi qui m’aimes, je me sens aimé de toi parce que tu veux que je t’appelle Père, mon Père.
«Comme ton nom, Père, est bon : Il est grand, il est puissant. Tu es le Père de tous les enfants de la terre et tu es le Père de Jésus, tu es mon Papa. Que ton nom, Père d’amour, soit honoré d’âge en âge par tous les enfants de la terre. Toi qui as tout créé, je suis ton enfant et toi, mon Père, tu veux que je t’appelle ainsi! Merci Papa d’amour!
«Oh! que ton règne vienne : Ton règne d’amour, ton règne de paix : il est tout amour ton règne. Tu veux me donner la Vie, la Vie de ton Fils, par amour : je ne veux pas, Père, souhaiter rien de plus. Je veux, Père d’amour, vivre dans la joie, dans ton règne à toi où je ne me soucierai de rien puisque tu veux tout me donner : ton règne à toi, sur la terre, là où je vis, là, aujourd’hui même, comme ceux qui vivent au Ciel. Papa d’amour, je t’aime!
«Que ta Volonté d’amour soit faite : Je te donne ma volonté, Père, parce que la tienne est merveilleuse; tu sais ce qui est bon pour moi parce que tu es mon Papa.
«Oh! Père d’amour, aujourd’hui, je t’offre tout : Je veux, Père d’amour, tout te donner : mon travail. Je veux te donner tout ce qu’on va me donner aujourd’hui : je te le présente. Tout ce qui est en moi me fait mal aujourd’hui, mais je te le donne, je sais que tu vas prendre soin de moi. Nourris-moi, Papa d’amour, nourris-moi de ton amour. Je veux vivre en toi.
«Oh! Papa, je sais que je suis un enfant qui n’a pas toujours été à la hauteur de ton amour; apprends-moi, Papa d’amour, à accepter ton pardon : Combien de fois, Papa d’amour, tu m’as pardonné et moi, je ne me suis même pas pardonné. Je te demande pardon parce que toi tu m’aimes plus que moi je m’aime. Toi, si plein de miséricorde, tu as donné ton Fils pour moi.
«Je veux aussi être comme toi : Je veux pardonner à ceux qui m’ont offensé aujourd’hui, là, maintenant, parce que je ne veux pas avoir une douleur aujourd’hui en moi qui va m’empêcher de vivre ma vie avec toi, avec ceux que j’aime; mais tu sais comment je suis, alors, viens déverser en moi ce qui peut m’aider, je te donne tout.
«Oh! Papa d’amour, entoure-moi de ta protection, car ma faiblesse quelquefois a tendance à basculer vers la volonté humaine : Comme, je vais faire ce qui n’est pas ta Volonté, alors, aide-moi Papa d’amour, je veux vivre que pour toi.
«Et s’il y en a qui veulent me faire du mal, eh bien, je sais que tu es là : Je sais que tu prends soin de moi, que tu veux leur bien à eux autres aussi
«Alors, je te les donne et je me donne avec».
Voyez-vous, mes enfants d’amour, c’est votre journée qui vient de se présenter à votre Père et cette prière est là pour votre journée : elle est une nourriture.
Apprenez, mes enfants, à être présents en vous, à vivre en vous.
Je suis, moi, le Fils de Dieu; j’ai montré cette prière à mes apôtres afin que tous les enfants de la terre profitent de cette manne d’amour de tous les jours.
C’est à chaque instant, mes enfants, qu’il faut nourrir votre vie.
Apprendre à vous aimer : c’est apprendre à vivre au présent.
Ce que demain sera : seul mon Père le sait et lui, il sait ce qui est bon pour chacun de vous; alors, ayez confiance en lui, donnez-vous à votre Père, aimez-vous.
Je suis en votre présence.
Là, maintenant, nourrissez-vous, mes enfants, de Jésus en vous.
Par votre silence, je dépose en vous, mes enfants, des grâces qui nourrissent votre intérieur : votre vie là, maintenant.
Savourez, mes enfants, cet instant avec moi, Jésus d’amour, avec l’Éternelle Vie qui n’a jamais de fin, qui est pleine de joie, là où tout scintille, là où la brise est caressante, où la chaleur réchauffe l’amour intérieur.
Je suis la Lumière de vos vies, je suis le Chemin qui vous emmène à mon Père.
Je suis amoureux de vous : soyez amoureux de la Vie présente avec chacun de vous.
L’Amour se donne, mes enfants, à chaque instant.
C’est un mouvement d’amour qui ne peut s’arrêter et si vous n’êtes pas présents, à qui voulez-vous que je donne?
J’attends que vous veniez me voir pour être présents avec votre vie.
Ne me laissez pas tout seul, je veux vivre la vie de votre vie là, maintenant, à chaque instant de votre vie.
Je vous aime, mes enfants : Dieu ne cesse de répéter son amour pour vous.
Il s’humilie pour vous.
Il vous supplie : Aimez-vous, moi, Jésus, je vous aime.
Gardez-vous, mes enfants, gardez-vous présents en venant vers moi.
J’ai tant de joie à vous donner, j’ai tant d’amour!
Mes enfants d’amour, recevez de Dieu des grâces par la bénédiction de mes saints prêtres. Ils vous aideront à venir en vous. Amen.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Pont-Rouge, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-09-21
Dieu le Père : Mes enfants d'amour, je suis en présence d'un instrument d'amour, celui de mon choix, de votre Dieu, mes enfants. Je suis l'Éternel.
Ce monde, mes enfants : ce monde incrédule ne vit que de ce qu'il voit ; il n'a plus foi envers son Dieu.
Je suis l'Amour, je suis Celui qui vous a donné sa Vie.
Je suis l'amour de votre être, je suis Dieu amour.
Je suis vivant en vous, mes enfants;
je me sers d'enfants qui se donnent, qui ont gardé en eux l'espérance, qui veulent vivre dans l'amour.
Cette enfant a crié vers moi. Elle m'a supplié de venir habiter les cœurs pour vous apporter un monde d'amour, un monde de joie : elle a toujours espéré en son Dieu.
Elle ne pouvait savoir que j'étais en sa présence de voix; c'est moi qui l'ai choisie, elle n'est qu'un simple instrument.
Je me fais entendre pour chacun de vous, pour vous, mes enfants.
Vous, mes choisis d'amour, vous avez perdu l'amour : l'amour en vous; vous vivez dans un monde où il n'y a pas la présence de Dieu dans vos vies : vous vivez pour vous.
Je suis l'Amour à l'intérieur de vous : je suis vivant, je suis agissant, et vous, mes enfants, vous vous perdez à l'extérieur!
Vous êtes malheureux : vous cherchez l'amour, alors que l'amour vit en vous.
Mes enfants, je vous appelle tous à vous reconnaître tels que vous êtes : des enfants de Dieu.
Je suscite, mes enfants, en ce moment, des signes qui vous montrent ma Présence.
J'envoie parmi vous des messagers qui vous rappellent mes enseignements : ceux que vous voulez ignorer.
Vous avez connu, mes enfants, mes lois d'amour et vous avez rejeté ces lois au nom de votre liberté.
Vous voulez vivre votre vie, vous voulez goûter à votre vie sans moi : alors que la Vie est en vous.
La Vie, mes enfants, c'est moi votre Dieu, c'est moi votre Créateur.
Vous aurez beau regarder, à l'extérieur de vous, d'autres enfants qui, eux, se croient maîtres de leur propre vie : ils calculent leur temps, ils font savoir aux autres qu'eux fonctionnent au présent, alors qu'ils ne savent même pas qu'en eux est la Vie, ils veulent vous prouver qu'ils ont raison de s'être éloignés de ces lois qu'on leur avait montrées : ces enfants vont dans un monde où il n'y a que froideur, où l'amour n'existe plus.
Vous vivez pour vous : vous dites faire la charité, mes enfants, mais faire la charité : c'est connaître l'amour, c'est vouloir donner ce qu'on a, c'est partager ce qu'on a, c'est vouloir rendre l'autre heureux, c'est vouloir tout donner de soi.
Comment, mes enfants, peut-on parler de charité alors que la personne n'est pas amour en elle?
Elle ne peut donner que de l'extérieur.
Les biens, mes enfants, ne font que du bien que pour un temps.
Quand vous donnez à quelqu'un le surplus de votre monnaie, celui qui reçoit, n'a reçu que quelque chose de froid qui peut combler un repas, ou qui peut le réchauffer que pour un court instant : le temps qu'un vêtement s'use, mes enfants!
Mes enfants d'amour, quand on laisse développer en soi l'amour de Dieu :
l'amour fait de vous des enfants qui se donnent.
Combien de vous, mes enfants, donnent leur temps avec l'amour, l'amour intérieur, l'amour qui veut que cet enfant soit heureux pour qu'il puisse lui se combler, afin qu'il ne soit pas obligé de quêter?
Développer, mes enfants, son amour en soi, c'est être un don de ce qu'on est.
Cet amour, mes enfants, se développe : il regarde avec les yeux de Dieu, il donne avec les mains de Dieu, il parle avec les paroles de Dieu, et l'enfant qui reçoit : reçoit de l'amour, il apprend qu'il est lui aussi comblé par Dieu, il apprend qu'il est un être choisi de Dieu, plein de lui-même.
Mes enfants d'amour, vous êtes cet enfant qui quête.
Vous recherchez l'amour, vous allez vers d'autres enfants pour leur demander ce qui vous manque en vous.
Et si, mes enfants, l'autre n'est pas amour, il ne peut rien vous donner : alors, vous n'êtes pas comblés, vous avez le vide en vous, vous avez froid, vous avez une soif d'être aimés; vous avez si mal, mes enfants, en vous, que pour ne pas continuer dans cet état douloureux, vous vous fermez pour aller vers des choses inutiles.
Mes enfants d'amour, votre vie n'est pas faite pour ces choses!
Votre vie ne peut se contenter de matériels, de futilités, parce qu'à force, mes enfants, de vous combler avec des riens : vous devenez des riens.
Vous êtes à la recherche de ce que vous êtes et, parce que vous n'êtes pas comblés, vous ne pouvez donner;
alors vous exigez des autres, vous êtes mécontents, vous devenez dominateurs;
vous voulez contrôler pour ne pas vous trouver dans un vide en vous.
Moi, votre Père, je vous regarde; je vois, mes enfants, en vous cette douleur, je veux vous combler.
Je vous ai donné mon seul Enfant pour que vous appreniez à vous aimer.
Celui qui apprend à s'aimer peut aimer les autres, il peut donner, il peut offrir.
Mon Fils d'amour est venu vous apporter l'amour : mon amour.
Quand il est venu sur la terre, par le oui de ma fille Marie, il est venu vous montrer comment aimer, comment ouvrir votre intérieur parce que, moi, votre Père, je suis l'Amour, l'Amour qui est en vous.
C'est moi, mes enfants, qui ai donné mon souffle de vie : mon souffle d'amour pour que vous soyez tous vivants.
Aucun de vous, mes enfants, ne serait en vie sans moi, votre Père.
Je vous rappelle la Parole de mon Fils qui est venu vous nourrir, qui est venu vous donner à boire, qui est venu vous vêtir, qui est venu vous mettre au chaud.
Seul l'Amour peut vous combler : je parle, mes enfants, de votre intérieur.
Je suis, moi, l'Amour, je suis votre tout.
Sans moi, mes enfants, vous êtes perdus : vous n'auriez rien.
Je vous ai tout donné.
Regardez ce que vous avez autour de vous, tout vient de moi, tout part de moi.
J'ai tout fait sur la terre.
Oh! mes enfants d'amour, ne pensez pas que ce monde est par un atome de la terre.
Il fallait que la terre existe, mes enfants : c'est moi le Créateur de la terre.
Ne croyez pas, mes enfants, que vous venez de la descendance animale : je suis, moi, le Suprême, vous êtes faits à mon image.
Je suis le Créateur de toute espèce animale, et moi, mes enfants, je suis Dieu, et je ne viens pas d'une espèce.
Je vous ai faits de mon souffle.
Vous êtes des enfants de l'Amour, de mon amour.
Mes enfants, ce monde a oublié : veut ignorer, veut renier qui il est, d'où il vient et pourquoi il est ici.
Mes enfants d'amour, vous êtes de moi : vous avez été choisis par moi.
Vous êtes en ce monde, mes enfants, pour vous acheminer vers la vie éternelle : vers moi, l'Éternel.
Je vous aime, mes enfants d'amour.
La vie, c'est quelque chose qui bouge, quelque chose qui est vraie, quelque chose qui illumine : je suis la Vie.
Quand, mes enfants, vous travaillez, c'est moi, par mes forces, par ma puissance, qui vous donne ce besoin : la vie pour combler votre journée.
Mes enfants d'amour, je vous ai donné la vie et, vous, vous la gâchez.
Vous ne venez pas vers la Source même qui nourrit votre vie.
Croyez-vous, mes enfants, que vous êtes des êtres faits pour vivre comme des enfants inutiles, des enfants qui ne savent pas pourquoi ils sont ici?
Votre vie, mes enfants, doit être remplie d'espérance, remplie de joie, d'amour, de foi :
vers la vie divine.
Mes enfants, vous venez de Dieu, vous venez d'un Être supérieur à tout ce que vous connaissez, et vous vous attachez à des riens.
Vous ne prenez même pas le temps de regarder la source même de la vie qui est en vous.
La vie, mes enfants, est à l'intérieur, elle n'est pas à l'extérieur : c'est de l'intérieur que sort la vie.
Qui peut nourrir cette vie? Qui vous a donné cette vie? Cette vie, mes enfants, est.
Elle est vivante, elle est moi, votre Dieu.
Si vous vivez dans ce monde, mes enfants, et que vous croyez que cela est pour les biens matériels : votre vie n'est rien, votre vie n'a pas de but, n'a pas d'espérance.
Alors, dites-moi, quel bonheur pouvez-vous trouver à vivre dans un monde où tout n'est rien?
Je suis amoureux de vous, mes enfants, je fais appel à votre vie.
Je vous demande, mes enfants, de vous aimer, de venir puiser en vous ces connaissances.
Je vous ai donné mes enseignements d'amour; mes saints apôtres vous ont donné ces enseignements par moi.
Par ma voix qui était en eux, ils se sont laissé envahir par l'Amour, par amour pour vous.
Ils ont accepté, mes enfants, de vous donner une partie d'eux, par amour pour le prochain,
parce qu'eux avaient découvert la vie, eux étaient dans la vie;
eux espéraient la vie, et ils ont eu la vie.
Et vous, mes enfants d'amour, vous qui vivez dans un monde où votre technologie, qui est sortie de moi, vous apprend à vous ignorer, vous vous enlevez tout espoir de bonheur.
Mes enfants d'amour, donnez-vous de l'amour : venez à moi.
Je suis présent, je suis vivant, je me donne à vous, mes enfants.
Mes saints prêtres s'offrent à Dieu, ils se donnent à Dieu sans retenue pour faire descendre le Saint-Esprit sur eux.
Je suis, moi, vivant en eux : ils ont foi en ma présence.
Ils font acte d'amour pour vous.
Ils veulent, mes enfants, que vous vous découvriez en présence de Dieu à la sainte communion.
Alors que le prêtre, par ses mains consacrées, a présenté à Dieu le Père le Fils qui est venu à vous :
Jésus :
c'est moi Jésus amour, mes enfants, qui me donne à vous; c'est moi qui nourris votre vie,
c'est moi qui fais que votre vie soit une vie d'amour.
Mes enfants d'amour, je suis vivant, je ne suis pas seulement une Hostie qui a été bénie : il y a la Vie, il y a ma Présence.
Quand je m'offre à vous, mes enfants, c'est moi qui vous prends, c'est moi qui vous fais pénétrer dans la Vie :
votre être, mes enfants, est en moi; je vous couvre de mon amour; je vous transforme, mes enfants, en enfants d'amour pour que, vous, vous vous aimiez, pour que vous vous découvriez enfants de Dieu : des enfants choisis par mon Père.
Je suis Jésus d'amour, je me suis donné pour vous.
Mon Père est en moi, le Saint-Esprit est en moi, je suis en eux.
C'est nous, mes enfants, qui vous nourrissons de notre amour.
Oh! enfants incrédules, qu'avez-vous fait? Où êtes-vous?
Je vous cherche, mes enfants, je suis en vous et vous ignorez que, vous, vous n'êtes pas présents avec l'Amour.
Si vous continuez ainsi, mes enfants, à ne pas prendre soin de la vie en vous, vous allez devenir tellement faibles que lorsque je me présenterai à vous, vous ne pourrez avoir la force de répondre à l'appel de votre Dieu!
Vous n'aurez plus en vous d'amour : l'amour va avoir disparu complètement en vous.
Ne vous laissez pas mourir :
Dieu vous aime, Dieu veut vous avoir à lui, mes enfants, Dieu est présent.
Je suis, moi, l'Amour. Je vous aime.
Prenez, mes enfants, la peine de rentrer en vous, de réaliser que vous êtes vivants.
Venez vous nourrir par les mains de ceux qui se sont donnés par amour.
Mes enfants d'amour, retrouvez le chemin qui vous conduit au bonheur.
L'Amour vous veut à lui. Il vous aime!
Je ne suis pas un Dieu qu'on lit seulement dans les Saintes Écritures, je ne suis pas seulement qu'un Dieu du passé :
je suis vivant.
Je me sers d'instruments d'amour, des enfants qui se donnent, qui s'abandonnent pour laisser toute la place à Dieu, par amour; ces enfants se donnent parce qu'ils savent que Dieu est en eux et ils veulent que vous soyez dans l'amour.
Je vous aime, mes enfants d'amour.
Réalisez, mes enfants, que Dieu est présent, agissant.
J'ai agi pour vous prouver à chacun de vous que vous êtes vivants, que je suis la Vie en vous.
Comme il sera bon, mes enfants, de vous avoir tous en moi avec votre oui : votre oui à l'Amour!
Ne vous refusez pas, mes enfants, de l'amour.
Apprenez à vous aimer, apprenez à vous donner du bonheur.
Il n'y a pas de plus grand bonheur que de se donner de l'amour.
Se donner de l'amour, mes enfants, c'est être capable aussi de rendre les autres heureux.
Je suis en présence de vous, mes enfants.
Je vous aime. Aimez Celui qui vous a parlé : moi, votre Dieu.
La Trinité : Je suis le Père en le Fils, en le Saint-Esprit. Je suis et je serai, de toute éternité, votre Père, votre frère, l'Amour, moi, le Saint-Esprit. Et c'est pour vous, mes enfants, que nous parlons parce que nous vous aimons, parce que nous vous voulons avec nous pour l'éternité, dans un bonheur sans fin, où tout ne sera pour vous qu'amour.
Amen, mes enfants.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-09-21
Dieu le Père : Mes enfants d'amour, je suis en présence d'un instrument d'amour, celui de mon choix, de votre Dieu, mes enfants. Je suis l'Éternel.
Ce monde, mes enfants : ce monde incrédule ne vit que de ce qu'il voit ; il n'a plus foi envers son Dieu.
Je suis l'Amour, je suis Celui qui vous a donné sa Vie.
Je suis l'amour de votre être, je suis Dieu amour.
Je suis vivant en vous, mes enfants;
je me sers d'enfants qui se donnent, qui ont gardé en eux l'espérance, qui veulent vivre dans l'amour.
Cette enfant a crié vers moi. Elle m'a supplié de venir habiter les cœurs pour vous apporter un monde d'amour, un monde de joie : elle a toujours espéré en son Dieu.
Elle ne pouvait savoir que j'étais en sa présence de voix; c'est moi qui l'ai choisie, elle n'est qu'un simple instrument.
Je me fais entendre pour chacun de vous, pour vous, mes enfants.
Vous, mes choisis d'amour, vous avez perdu l'amour : l'amour en vous; vous vivez dans un monde où il n'y a pas la présence de Dieu dans vos vies : vous vivez pour vous.
Je suis l'Amour à l'intérieur de vous : je suis vivant, je suis agissant, et vous, mes enfants, vous vous perdez à l'extérieur!
Vous êtes malheureux : vous cherchez l'amour, alors que l'amour vit en vous.
Mes enfants, je vous appelle tous à vous reconnaître tels que vous êtes : des enfants de Dieu.
Je suscite, mes enfants, en ce moment, des signes qui vous montrent ma Présence.
J'envoie parmi vous des messagers qui vous rappellent mes enseignements : ceux que vous voulez ignorer.
Vous avez connu, mes enfants, mes lois d'amour et vous avez rejeté ces lois au nom de votre liberté.
Vous voulez vivre votre vie, vous voulez goûter à votre vie sans moi : alors que la Vie est en vous.
La Vie, mes enfants, c'est moi votre Dieu, c'est moi votre Créateur.
Vous aurez beau regarder, à l'extérieur de vous, d'autres enfants qui, eux, se croient maîtres de leur propre vie : ils calculent leur temps, ils font savoir aux autres qu'eux fonctionnent au présent, alors qu'ils ne savent même pas qu'en eux est la Vie, ils veulent vous prouver qu'ils ont raison de s'être éloignés de ces lois qu'on leur avait montrées : ces enfants vont dans un monde où il n'y a que froideur, où l'amour n'existe plus.
Vous vivez pour vous : vous dites faire la charité, mes enfants, mais faire la charité : c'est connaître l'amour, c'est vouloir donner ce qu'on a, c'est partager ce qu'on a, c'est vouloir rendre l'autre heureux, c'est vouloir tout donner de soi.
Comment, mes enfants, peut-on parler de charité alors que la personne n'est pas amour en elle?
Elle ne peut donner que de l'extérieur.
Les biens, mes enfants, ne font que du bien que pour un temps.
Quand vous donnez à quelqu'un le surplus de votre monnaie, celui qui reçoit, n'a reçu que quelque chose de froid qui peut combler un repas, ou qui peut le réchauffer que pour un court instant : le temps qu'un vêtement s'use, mes enfants!
Mes enfants d'amour, quand on laisse développer en soi l'amour de Dieu :
l'amour fait de vous des enfants qui se donnent.
Combien de vous, mes enfants, donnent leur temps avec l'amour, l'amour intérieur, l'amour qui veut que cet enfant soit heureux pour qu'il puisse lui se combler, afin qu'il ne soit pas obligé de quêter?
Développer, mes enfants, son amour en soi, c'est être un don de ce qu'on est.
Cet amour, mes enfants, se développe : il regarde avec les yeux de Dieu, il donne avec les mains de Dieu, il parle avec les paroles de Dieu, et l'enfant qui reçoit : reçoit de l'amour, il apprend qu'il est lui aussi comblé par Dieu, il apprend qu'il est un être choisi de Dieu, plein de lui-même.
Mes enfants d'amour, vous êtes cet enfant qui quête.
Vous recherchez l'amour, vous allez vers d'autres enfants pour leur demander ce qui vous manque en vous.
Et si, mes enfants, l'autre n'est pas amour, il ne peut rien vous donner : alors, vous n'êtes pas comblés, vous avez le vide en vous, vous avez froid, vous avez une soif d'être aimés; vous avez si mal, mes enfants, en vous, que pour ne pas continuer dans cet état douloureux, vous vous fermez pour aller vers des choses inutiles.
Mes enfants d'amour, votre vie n'est pas faite pour ces choses!
Votre vie ne peut se contenter de matériels, de futilités, parce qu'à force, mes enfants, de vous combler avec des riens : vous devenez des riens.
Vous êtes à la recherche de ce que vous êtes et, parce que vous n'êtes pas comblés, vous ne pouvez donner;
alors vous exigez des autres, vous êtes mécontents, vous devenez dominateurs;
vous voulez contrôler pour ne pas vous trouver dans un vide en vous.
Moi, votre Père, je vous regarde; je vois, mes enfants, en vous cette douleur, je veux vous combler.
Je vous ai donné mon seul Enfant pour que vous appreniez à vous aimer.
Celui qui apprend à s'aimer peut aimer les autres, il peut donner, il peut offrir.
Mon Fils d'amour est venu vous apporter l'amour : mon amour.
Quand il est venu sur la terre, par le oui de ma fille Marie, il est venu vous montrer comment aimer, comment ouvrir votre intérieur parce que, moi, votre Père, je suis l'Amour, l'Amour qui est en vous.
C'est moi, mes enfants, qui ai donné mon souffle de vie : mon souffle d'amour pour que vous soyez tous vivants.
Aucun de vous, mes enfants, ne serait en vie sans moi, votre Père.
Je vous rappelle la Parole de mon Fils qui est venu vous nourrir, qui est venu vous donner à boire, qui est venu vous vêtir, qui est venu vous mettre au chaud.
Seul l'Amour peut vous combler : je parle, mes enfants, de votre intérieur.
Je suis, moi, l'Amour, je suis votre tout.
Sans moi, mes enfants, vous êtes perdus : vous n'auriez rien.
Je vous ai tout donné.
Regardez ce que vous avez autour de vous, tout vient de moi, tout part de moi.
J'ai tout fait sur la terre.
Oh! mes enfants d'amour, ne pensez pas que ce monde est par un atome de la terre.
Il fallait que la terre existe, mes enfants : c'est moi le Créateur de la terre.
Ne croyez pas, mes enfants, que vous venez de la descendance animale : je suis, moi, le Suprême, vous êtes faits à mon image.
Je suis le Créateur de toute espèce animale, et moi, mes enfants, je suis Dieu, et je ne viens pas d'une espèce.
Je vous ai faits de mon souffle.
Vous êtes des enfants de l'Amour, de mon amour.
Mes enfants, ce monde a oublié : veut ignorer, veut renier qui il est, d'où il vient et pourquoi il est ici.
Mes enfants d'amour, vous êtes de moi : vous avez été choisis par moi.
Vous êtes en ce monde, mes enfants, pour vous acheminer vers la vie éternelle : vers moi, l'Éternel.
Je vous aime, mes enfants d'amour.
La vie, c'est quelque chose qui bouge, quelque chose qui est vraie, quelque chose qui illumine : je suis la Vie.
Quand, mes enfants, vous travaillez, c'est moi, par mes forces, par ma puissance, qui vous donne ce besoin : la vie pour combler votre journée.
Mes enfants d'amour, je vous ai donné la vie et, vous, vous la gâchez.
Vous ne venez pas vers la Source même qui nourrit votre vie.
Croyez-vous, mes enfants, que vous êtes des êtres faits pour vivre comme des enfants inutiles, des enfants qui ne savent pas pourquoi ils sont ici?
Votre vie, mes enfants, doit être remplie d'espérance, remplie de joie, d'amour, de foi :
vers la vie divine.
Mes enfants, vous venez de Dieu, vous venez d'un Être supérieur à tout ce que vous connaissez, et vous vous attachez à des riens.
Vous ne prenez même pas le temps de regarder la source même de la vie qui est en vous.
La vie, mes enfants, est à l'intérieur, elle n'est pas à l'extérieur : c'est de l'intérieur que sort la vie.
Qui peut nourrir cette vie? Qui vous a donné cette vie? Cette vie, mes enfants, est.
Elle est vivante, elle est moi, votre Dieu.
Si vous vivez dans ce monde, mes enfants, et que vous croyez que cela est pour les biens matériels : votre vie n'est rien, votre vie n'a pas de but, n'a pas d'espérance.
Alors, dites-moi, quel bonheur pouvez-vous trouver à vivre dans un monde où tout n'est rien?
Je suis amoureux de vous, mes enfants, je fais appel à votre vie.
Je vous demande, mes enfants, de vous aimer, de venir puiser en vous ces connaissances.
Je vous ai donné mes enseignements d'amour; mes saints apôtres vous ont donné ces enseignements par moi.
Par ma voix qui était en eux, ils se sont laissé envahir par l'Amour, par amour pour vous.
Ils ont accepté, mes enfants, de vous donner une partie d'eux, par amour pour le prochain,
parce qu'eux avaient découvert la vie, eux étaient dans la vie;
eux espéraient la vie, et ils ont eu la vie.
Et vous, mes enfants d'amour, vous qui vivez dans un monde où votre technologie, qui est sortie de moi, vous apprend à vous ignorer, vous vous enlevez tout espoir de bonheur.
Mes enfants d'amour, donnez-vous de l'amour : venez à moi.
Je suis présent, je suis vivant, je me donne à vous, mes enfants.
Mes saints prêtres s'offrent à Dieu, ils se donnent à Dieu sans retenue pour faire descendre le Saint-Esprit sur eux.
Je suis, moi, vivant en eux : ils ont foi en ma présence.
Ils font acte d'amour pour vous.
Ils veulent, mes enfants, que vous vous découvriez en présence de Dieu à la sainte communion.
Alors que le prêtre, par ses mains consacrées, a présenté à Dieu le Père le Fils qui est venu à vous :
Jésus :
c'est moi Jésus amour, mes enfants, qui me donne à vous; c'est moi qui nourris votre vie,
c'est moi qui fais que votre vie soit une vie d'amour.
Mes enfants d'amour, je suis vivant, je ne suis pas seulement une Hostie qui a été bénie : il y a la Vie, il y a ma Présence.
Quand je m'offre à vous, mes enfants, c'est moi qui vous prends, c'est moi qui vous fais pénétrer dans la Vie :
votre être, mes enfants, est en moi; je vous couvre de mon amour; je vous transforme, mes enfants, en enfants d'amour pour que, vous, vous vous aimiez, pour que vous vous découvriez enfants de Dieu : des enfants choisis par mon Père.
Je suis Jésus d'amour, je me suis donné pour vous.
Mon Père est en moi, le Saint-Esprit est en moi, je suis en eux.
C'est nous, mes enfants, qui vous nourrissons de notre amour.
Oh! enfants incrédules, qu'avez-vous fait? Où êtes-vous?
Je vous cherche, mes enfants, je suis en vous et vous ignorez que, vous, vous n'êtes pas présents avec l'Amour.
Si vous continuez ainsi, mes enfants, à ne pas prendre soin de la vie en vous, vous allez devenir tellement faibles que lorsque je me présenterai à vous, vous ne pourrez avoir la force de répondre à l'appel de votre Dieu!
Vous n'aurez plus en vous d'amour : l'amour va avoir disparu complètement en vous.
Ne vous laissez pas mourir :
Dieu vous aime, Dieu veut vous avoir à lui, mes enfants, Dieu est présent.
Je suis, moi, l'Amour. Je vous aime.
Prenez, mes enfants, la peine de rentrer en vous, de réaliser que vous êtes vivants.
Venez vous nourrir par les mains de ceux qui se sont donnés par amour.
Mes enfants d'amour, retrouvez le chemin qui vous conduit au bonheur.
L'Amour vous veut à lui. Il vous aime!
Je ne suis pas un Dieu qu'on lit seulement dans les Saintes Écritures, je ne suis pas seulement qu'un Dieu du passé :
je suis vivant.
Je me sers d'instruments d'amour, des enfants qui se donnent, qui s'abandonnent pour laisser toute la place à Dieu, par amour; ces enfants se donnent parce qu'ils savent que Dieu est en eux et ils veulent que vous soyez dans l'amour.
Je vous aime, mes enfants d'amour.
Réalisez, mes enfants, que Dieu est présent, agissant.
J'ai agi pour vous prouver à chacun de vous que vous êtes vivants, que je suis la Vie en vous.
Comme il sera bon, mes enfants, de vous avoir tous en moi avec votre oui : votre oui à l'Amour!
Ne vous refusez pas, mes enfants, de l'amour.
Apprenez à vous aimer, apprenez à vous donner du bonheur.
Il n'y a pas de plus grand bonheur que de se donner de l'amour.
Se donner de l'amour, mes enfants, c'est être capable aussi de rendre les autres heureux.
Je suis en présence de vous, mes enfants.
Je vous aime. Aimez Celui qui vous a parlé : moi, votre Dieu.
La Trinité : Je suis le Père en le Fils, en le Saint-Esprit. Je suis et je serai, de toute éternité, votre Père, votre frère, l'Amour, moi, le Saint-Esprit. Et c'est pour vous, mes enfants, que nous parlons parce que nous vous aimons, parce que nous vous voulons avec nous pour l'éternité, dans un bonheur sans fin, où tout ne sera pour vous qu'amour.
Amen, mes enfants.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Chertsey, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-10-05
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu est en vous. Il me fait savoir sa Volonté. Il vous apporte son amour, l’amour qui vit en vous. Je suis un instrument d’amour; je suis ce que Dieu veut que je sois. Tout comme vous, je suis en présence de Jésus. Il veut que je ne sois plus moi, il veut que je m’abandonne dans sa Volonté.
Jésus : Mes enfants d’amour, telle est ma Présence en chacun de vous.
Vous êtes ici présents par votre propre choix.
Vous êtes mes enfants : vous avez été choisis pour vivre dans l’amour, par l’amour, pour l’Amour.
L’Amour, c’est Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Vous êtes des enfants de Dieu, vous êtes mes bien-aimés.
L’Amour est en chacun de vous, il vous guide à chaque jour pour que vous vous accomplissiez dans votre intérieur.
Oui, mes enfants, c’est l’Amour qui est vie en vous.
Votre vie est à l’intérieur de vous, elle n’est pas à l’extérieur de vous.
C’est en vivant en vous que vous faites vos journées.
C’est moi qui nourris votre vie, qui l’alimente par mes mouvements d’amour.
Si vous prenez un enfant et que vous lui donnez un objet, celui-ci le prend et le regarde; il veut l’utiliser à sa guise en voulant faire de cet objet un instrument : soit pour s’amuser, soit pour travailler, soit pour apprendre.
Cela est extérieur à lui-même; ce qu’il y a en lui, c’est mon savoir :
c’est moi qui lui montre ce qui est bon pour lui.
S’il est tout petit, il veut que cet instrument soit un jouet; alors, moi, Dieu d’amour qui est en lui, qui nourris sa vie, je lui donne des pensées nourries par ma Volonté et il voit en cet objet un instrument amusant : il développe en lui ma Volonté d’amour qui veut faire de lui un enfant agréable pour ceux qui veulent jouer avec lui et partager cet instrument.
Tout est de moi!
Et si cet enfant découvre que cet instrument est un outil de travail, moi qui suis en lui, je le nourris, je lui donne mon savoir : il voit dans cet instrument l’utilité que moi je lui ai montrée; je lui dis, par mes propres voies, que cet instrument est pour lui un outil de travail qui va l’aider à devenir un être complet avec ce qu’il a à faire : à s'exécuter avec cet instrument; je lui montre, par mes élans d’amour, qu’il peut aider son prochain, qu’il peut faire de cet instrument un outil pour faire du bien autour de lui et qu’il peut créer des œuvres; tout cela est partie de son intérieur : c’est moi, qui suis en lui, qui le nourris, c’est de moi qu’il sait ce qu’il va faire avec cet outil parce que je suis sa vie;
je suis l’amour qui l’amène à se donner à ses frères et sœurs avec ce qu'il va faire grâce à cet outil.
Et si cet enfant veut apprendre aux autres, avec ce qu’il a entre les mains, moi, la Vie en lui, je lui montre qu’il est un instrument pour ses frères et ses sœurs.
Ce qu’il aura à donner, ce qu’il aura à présenter, c’est ce qu’il va apprendre en lui : il donnera mon savoir, il propagera ma parole, il montrera mon amour qui est en cet enfant,
mais il ne peut donner que s’il est nourri de moi.
Vous tous ici, vous êtes nourris de moi : c’est moi la Vie en vous, c’est moi votre nourriture de chaque jour,
vous, vous êtes instruments d’amour : vous êtes la vie pour les autres; mais la Vie, la vraie Vie, est celle qui est en vous, c’est elle qui vous a montré, qui vous a donné ce qu’il y a de plus précieux :
tout l’amour de mon Être pour que vous soyez en vie.
Mes enfants, avant ce matin, lorsque vous vous êtes levés, je vous ai préparés à cette journée; ce sont mes grâces qui vous ont montré que vous étiez capables et assez forts pour faire, de votre journée, une journée d’amour pour vous et pour ceux qui vous verraient et qui partageraient votre journée : tout cela vient de moi.
C’est moi qui vous amène à faire ce qui est bon, à vous rendre utiles, à vouloir donner, pour que les autres sachent que vous êtes amour.
Tout ce qui est en vous est de moi.
Je suis l’Amour, vous êtes des enfants d’amour;
vous êtes nourris de mon Être.
Mes enfants, donnez-vous!
Donnez-vous à vos frères et sœurs parce que c’est moi qui vous donne cette vie : elle est faite pour aimer, elle est faite pour donner.
Donnez-vous à chacun de vous; ne gardez pas en vous ce trésor qui est votre vie.
Garder pour soi ce qui est bon : c’est vous priver vous aussi des joies que les autres peuvent vous donner car, voyez-vous, si vous apprenez à donner l’amour en vous, qui vient de moi, par vos gestes, par vos regards, parce que vous avez appris que vous étiez amour : les autres qui vous regardent, qui voient en vous la vie, vont aussi donner ce qu'ils ont.
Mais si vous ne donnez pas, vous ne recevrez pas; vous allez être dans la solitude de votre intérieur.
La vie à l’extérieur de vous ne pourra combler ce vide en vous,
car vous allez vous refuser de l’amour qui vient de moi.
Mes enfants, je suis l’amour en vous, je suis l’amour en vos frères et vos sœurs.
Ce qui est de moi revient vers moi : je donne et je redonne.
Cela, mes enfants, veut dire que quand je suis en un enfant et qu'il sort de lui mon amour pour donner, moi qui suis en l’autre enfant qui vient de recevoir de l'amour, je viens de recevoir; je donne de l’amour à celui-ci pour qu’il puisse en donner à l’autre qui vient de donner; alors, je redonne de l’amour, et je me nourris d’amour.
Je suis Essence d’amour, mes enfants.
L’Amour se nourrit, j’ai besoin d’amour : j'aime ce qui est de moi.
Je suis Dieu. Dieu est l'Amour, il a engendré l’Amour, et de cet amour est sorti l’Amour.
Vous êtes, mes enfants, dans ce mouvement d’amour.
Si vous ne donnez pas, si vous n’apprenez pas à découvrir ce que l’autre veut vous donner, vous ne pourrez pas, mes enfants, être dans ce complément d’amour : vous allez arrêter ce mouvement et vous allez être malheureux!
Il faut donner et redonner sans arrêt.
Il est si bon de vivre! La vie est un mouvement de chaque instant de la Vie.
Mes enfants, je vous rappelle que vous êtes en moi, que vous vivez de moi, que vous êtes des enfants faits pour aimer, aimer votre prochain.
S’aimer, c’est aimer celui que vous voyez, c’est ne pas porter de jugement sur ce que vous regardez, car cela est contre vous.
Si vous voyez autour de vous des enfants qui sont contre eux, il faut, mes enfants, me les donner en répétant ces mots d’amour que je vous ai montrés, ceux que j’ai dits sur la Croix : «Pardonnez-leur, Père, ils ne savent pas ce qu’ils font ».
Ces paroles doivent être aussi en vous.
J’ai porté tous mes enfants, je leur ai donné mon Être afin qu’ils soient tous amour.
Si certains d’entre eux se refusent d’être ce qu’ils sont, ils n’en sont pas moins amour, il y a moi en eux.
Je suis en souffrance en eux parce qu’ils se refusent à moi, mais je suis toujours en eux.
Je souffre, je m’offre à mon Père pour eux, pour qu’ils se voient dans mon amour.
Vous, mes doux enfants d’amour, vous, mes bien-aimés, vous qui les regardez, prenez soin de vos paroles, ne les jugez pas, car si vous les jugez, vous me jugez, moi qui suis en eux.
Je suis penché sur leurs péchés et je pleure leurs manquements.
Mon Sang coule sur eux pour les aider à se reconnaître tels qu’ils sont, et s’ils sont sourds à mes appels d’amour en eux, je les tiens fort pour ne pas qu’ils se perdent, car Satan est autour d’eux, il fait ce qu’il veut de ces enfants.
Moi qui suis en eux, je me présente et je reçois ses affres contre eux.
Mon Corps saigne, mes plaies ne cessent de s’ouvrir parce qu’ils sont dans l’erreur; à cause de leur refus à m'écouter en eux, je ne peux les rejeter.
Je me suis laissé crucifier pour eux.
C’est pour eux que je suis venu, pour ceux qui commettent des péchés contre l’Amour.
Eux qui sont amour commettent des souffrances contre eux, et moi qui suis le Fils de Dieu, la Puissance, je les tiens dans mon amour malgré eux pour ne pas qu’ils se laissent prendre dans le refus total à l’Amour.
Et vous, mes enfants d’amour, vous, mes bien-aimés, je déverse en vous des grâces d’amour qui vous font voir ma Présence en eux.
Je vous dis :
«Mes enfants de lumière, regardez ces enfants qui veulent renier leur Dieu en se refusant d’être des enfants d’amour, des enfants de Dieu, regardez-les, je suis en souffrance en eux!
J'ai besoin de vous, j’ai besoin de vos prières, de vos sacrifices.
Je sais que vous souffrez de voir ces enfants qui sont loin de moi, moi qui suis amour.
Je sais qu'il y a en ce monde des sectes qui font leurs propres lois parce qu’ils se refusent d’être en moi.
Tous ces enfants sont dans la noirceur.
Je suis la Vérité, je suis la Lumière, je suis le Chemin, qui va leur faire voir qu’ils sont amour, et vous, mes enfants de la Lumière, vous vous donnez par amour, dans l’amour, avec l’Amour, pour eux.
«Vous accumulez en vous des actes qui vous seront montrés.
C’est moi, mes amours, qui suis en vous, qui suis l’Amour : la Vie qui vous nourrit de ma Vie pour que vous puissiez accomplir ces actes.
Ces actes ne sont faits que de bonté, que de douceur, que de tendresse!
Ils ne jugent pas, ils sont des actes d’amour pour ceux qui sont contre l’Amour.
Vous souffrez présentement; vous voyez ces erreurs et vous voulez que cela s’arrête.
Mes enfants d’amour, c’est seulement moi qui peux le faire, ce n’est pas vous, car ce monde connaît un mouvement "apostasique".
«Ils ont renié leur Dieu en voulant faire leur volonté, en rejetant mes lois d’amour : celles que j’ai données à Moïse.
Ils veulent faire leur volonté pour ne pas être en reste avec ce monde : ce monde, mes enfants, qui est rempli de sa propre volonté humaine.
Ils ne voient plus ce qu’ils sont en train de se faire, car ils croient à leur propre moi.
Oui, ils ne vivent que pour leur moi, ils veulent faire ce qui leur plaît en se disant maîtres de leur propre vie.
«Ils se donnent des droits de leur propre être, mais ils ne se rendent pas compte que leur droit individuel est géré par la masse, et une masse humaine, mes enfants, ne porte pas de cœur.
Leur cœur est sans amour, sans partage, il ne donne pas.
Mes enfants d’amour, vous, mes êtres de lumière, est-ce que vous pouvez, vous, venir en aide par vos moyens à ce monde qui a refroidi son cœur par toutes sortes de faussetés?
Il n’y a seulement que moi, l’Amour, qui vis en eux, qui suis penché sur leurs péchés et qui, à chaque instant, je me laisse crucifier pour eux.»
J’ai dit à mon Père : «Père, j’ai soif. Je les veux ces enfants, ils sont à moi. Je veux leur donner à boire, je veux les nourrir de ma Vie qui donne la vie, qui réchauffe, qui attendrit, qui parle d’amour. Je sais, toi, que tu les aimes; tu as donné ton Fils unique pour les avoir avec toi. Je t’aime, Père d’amour. Je vais continuer à être sur cette Croix, tant qu’il y aura un seul de tes enfants choisis qui ne répondra pas à ton appel d’amour.»
Et vous, mes enfants de la Lumière, vous qui voulez tant que vos frères et vos sœurs se redressent pour qu’ils voient qu’ils sont enfants de Dieu, ne vous découragez pas.
Donnez-moi vos souffrances, déposez-les dans mon Cœur qui s’est ouvert par amour, venez vous réfugier dans mes plaies d’amour.
Je fais sortir mes grâces qui vont vous illuminer.
Vous allez devenir, mes enfants, par mes grâces : des enfants d’amour totalement dans mon amour.
Mon amour est pur, il est sans jugement pour ses enfants.
Mon amour va vous transformer, mes enfants, en êtres parfaits d’amour.
Vous serez des êtres de donation et cela se fera à chaque fois, mes enfants, que vous me donnerez votre vie, car je suis la Vie de votre vie, je suis Celle qui nourrit votre vie, et votre vie sera ma Vie.
Vous ne serez plus enfants de la volonté humaine, mais enfants de la Divine Volonté : votre vie sera ma Vie.
Tel que je suis pour mon Père, tels vous serez en moi pour l’amour de mon Père.
Vous aimerez vos frères et vos sœurs.
Vous allez vous accomplir dans ma Volonté.
Mes enfants, ce sont des rappels de mes enseignements.
Je ne viens pas vous apporter du nouveau, je viens pour rappeler ce que j’ai dit à mes apôtres : «Aimez-vous les uns les autres, comme je vous aime».
Vous serez l’amour, celui que vous auriez toujours dû être.
C’est moi qui vais vous transformer en êtres parfaits d’amour.
Je viens vous réclamer votre oui.
Celui que vous avez prononcé hier, mes enfants, est aujourd’hui renouvelé par mon mouvement d’amour,
et celui que vous direz demain, je le nourrirai,
car tout est dans la Divine Volonté.
J’ai déjà accompli l’Œuvre de mon Père.
Je connais chacun d’entre vous, je sais ceux qui diront oui.
Vos oui, mes enfants, je les connais tous et je connais vos faiblesses!
Je vous fortifie à chaque Eucharistie afin que vous soyez parfaits comme mon Père le veut, mes enfants.
Cette enfant se laisse transformer par mes grâces à chaque instant; vous, mes enfants, vous vous laissez transformer par mes grâces à chaque instant.
Nul ne peut accomplir la Volonté de l’Amour sans venir en moi, mourir en moi.
Quand vous allez, mes enfants, à la confesse et que vous vous présentez en enfants imparfaits, moi qui vous connais, je déverse en vous des grâces qui vous aident à devenir enfants de Dieu.
Mes amours, l’Amour est en vous, l’Amour vous nourrit.
Le pain est mon Corps, le vin est mon Sang : je vous nourris de ma Vie, vous êtes la vie dans ma Vie.
Vous n’êtes plus, vous êtes moi et cela, mes enfants, se fait dans mon amour pour vous.
Ce monde connaîtra une transformation d’amour par mon amour!
C’est seulement moi qui ferai ce mouvement d’amour, et cela est commencé.
J’ai commencé par vous, mes enfants de la Lumière.
Je vais vous montrer combien je suis agissant à chaque instant de votre vie : cela se fait par la Divine Volonté.
Vous êtes en train, mes enfants, d’avancer dans ma Nouvelle Terre.
Je mets dans vos cœurs des grâces d’amour pour vous, pour votre prochain.
Je vous montre qui vous êtes : vous êtes tous mes êtres d’amour.
Vous avez aidé ceux qui ne se savent pas en chemin, car eux aussi se dirigent vers la Divine Volonté.
Et tous ceux que vous portez, mes enfants, et qui sont dans ces erreurs et que je connais car je suis en eux, ils vont eux aussi prononcer leur oui, car moi je les nourris.
Je passe par mes enfants de lumière qui s’abandonnent à ma Volonté d’amour, et je déverse en eux des grâces qui vont leur montrer qu’ils ont été choisis pour entrer dans ce lieu d’amour : ma Nouvelle Terre.
Il n’y aura qu’un monde d’amour, un monde fait à mon image.
Mes enfants, ces journées vous nourrissent : elles vous rappellent qui vous êtes, pourquoi vous êtes ici, et quelle est votre mission.
Oui, mes enfants, voilà votre mission!
Vous n’êtes pas ici par votre propre choix, c’est moi qui vous ai choisis et c’est vous, mes enfants, qui avez répondu par votre oui à ma demande d’amour pour vous et pour eux : mes enfants, ceux pour qui je demeure encore sur la Croix.
Je vous montrerai, mes enfants, ce qu’il y a en vous présentement.
Je vous montrerai toutes vos œuvres qui ont été alimentées par mon amour et vous serez tous récompensés parce que l’Amour donne et redonne : c’est un mouvement de vie.
La vie éternelle est sans fin.
Grande sera votre joie!
Mes enfants, c’est un rappel à l’amour.
Ce monde, autour de vous qui se fait mal, connaîtra un monde de paix, d’allégresse.
Mais, mes enfants, il faut que vous vous abandonniez en moi, totalement, dans ma Volonté.
Rappelez-vous, mes enfants, j’ai donné à Job de l’amour et il s’est donné à moi, il a tout reçu de moi.
Je l’ai comblé tant physiquement que spirituellement, mais une épreuve avait été demandée par Satan, et je l’ai accordée parce que je connaissais mon fils, je le nourrissais de ma Vie.
Alors, tout lui fut enlevé, et une très grande souffrance se fit sentir en lui, autour de lui, et il a donné son oui : il ne m’a pas refusé son amour.
Je l’ai vu dans la souffrance; il était tout soumis à mon amour : pas un seul reproche n’est sorti de lui.
Il ne m’a pas blâmé, car il savait que je l’aimais, et moi je savais qu’il m’aimait.
Grande fut sa récompense!
Je lui ai donné plus que ce qu’il avait reçu en premier.
Mes enfants d’amour, j’ai donné ma Vie pour vous, je vous ai comblés d’amour et vous, l’amour, avez été mis à l’épreuve, et (aujourd'hui) vous vivez, mes enfants, dans la souffrance.
Je suis, moi, le Fils de Dieu, j’ai tout reçu de mon Père, il m’a tout donné : vous tous étiez en moi, vous, l’amour.
Vous êtes venus en ce monde pour être des enfants d’amour, vous étiez la richesse de mon Père, il vous avait tout donné : tout son amour, et moi, Jésus Amour, je vous portais tous.
Mais voici qu’elle est venue, l'épreuve, une épreuve qui devait faire de vous des êtres d’amour.
Parce qu’à cause du péché, vous avez refusé l’amour de mon Père, alors je suis venu mourir sur la Croix.
En souffrant en moi, en souffrant à l’extérieur de moi, physiquement, je vous ai donné ma Vie et j’ai présenté à mon Père cette preuve d’amour.
Tout cela a été en moi, tout comme Job.
Cette douleur est encore en moi qui fait souffrir mon corps.
Je suis dans la douleur de mon Être tout comme lui, il était.
Je n’ai pas cherché à vous accuser, je ne vous ai pas blâmés, je suis venu vous reprendre en moi pour que vous ayez l’amour en vous; et, mes enfants de lumière, tous ceux qui s’abandonnent en moi vont recevoir une grande récompense.
Dieu, mon Père, va vous redonner son amour parce qu’il ne m’a rien refusé.
Je vous ai portés et, en disant oui à l’Amour, vous serez récompensés,
tout comme mon Père a récompensé Job.
Voyez-vous, mes enfants, son sacrifice a été porté dans la Divine Volonté pour vous montrer l’amour, la fidélité à l’amour.
Soyez des enfants fidèles à l’amour de mon Père.
Soyez ce que vous avez toujours été : des enfants de Dieu.
Je vous ai portés avant votre naissance.
Je viens vous rechercher pour vous amener à mon Père.
Sa Gloire, mes enfants, vous la verrez.
Elle sera aussi votre gloire, parce que grande sera votre récompense de vous être donnés dans l’amour.
À cause de vos oui, vous serez dans une joie éternelle.
Mes enfants, je vous aime. C’est l’Amour qui vous a parlé. Je suis, moi, en votre présence : Je suis la Vie.
Je me suis servi de cet instrument pour vous. Je vous ai instruits. Je vous aime, mes enfants d’amour :
cela est pour l’éternité. Allez en paix, mes amours. Amen.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-10-05
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu est en vous. Il me fait savoir sa Volonté. Il vous apporte son amour, l’amour qui vit en vous. Je suis un instrument d’amour; je suis ce que Dieu veut que je sois. Tout comme vous, je suis en présence de Jésus. Il veut que je ne sois plus moi, il veut que je m’abandonne dans sa Volonté.
Jésus : Mes enfants d’amour, telle est ma Présence en chacun de vous.
Vous êtes ici présents par votre propre choix.
Vous êtes mes enfants : vous avez été choisis pour vivre dans l’amour, par l’amour, pour l’Amour.
L’Amour, c’est Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Vous êtes des enfants de Dieu, vous êtes mes bien-aimés.
L’Amour est en chacun de vous, il vous guide à chaque jour pour que vous vous accomplissiez dans votre intérieur.
Oui, mes enfants, c’est l’Amour qui est vie en vous.
Votre vie est à l’intérieur de vous, elle n’est pas à l’extérieur de vous.
C’est en vivant en vous que vous faites vos journées.
C’est moi qui nourris votre vie, qui l’alimente par mes mouvements d’amour.
Si vous prenez un enfant et que vous lui donnez un objet, celui-ci le prend et le regarde; il veut l’utiliser à sa guise en voulant faire de cet objet un instrument : soit pour s’amuser, soit pour travailler, soit pour apprendre.
Cela est extérieur à lui-même; ce qu’il y a en lui, c’est mon savoir :
c’est moi qui lui montre ce qui est bon pour lui.
S’il est tout petit, il veut que cet instrument soit un jouet; alors, moi, Dieu d’amour qui est en lui, qui nourris sa vie, je lui donne des pensées nourries par ma Volonté et il voit en cet objet un instrument amusant : il développe en lui ma Volonté d’amour qui veut faire de lui un enfant agréable pour ceux qui veulent jouer avec lui et partager cet instrument.
Tout est de moi!
Et si cet enfant découvre que cet instrument est un outil de travail, moi qui suis en lui, je le nourris, je lui donne mon savoir : il voit dans cet instrument l’utilité que moi je lui ai montrée; je lui dis, par mes propres voies, que cet instrument est pour lui un outil de travail qui va l’aider à devenir un être complet avec ce qu’il a à faire : à s'exécuter avec cet instrument; je lui montre, par mes élans d’amour, qu’il peut aider son prochain, qu’il peut faire de cet instrument un outil pour faire du bien autour de lui et qu’il peut créer des œuvres; tout cela est partie de son intérieur : c’est moi, qui suis en lui, qui le nourris, c’est de moi qu’il sait ce qu’il va faire avec cet outil parce que je suis sa vie;
je suis l’amour qui l’amène à se donner à ses frères et sœurs avec ce qu'il va faire grâce à cet outil.
Et si cet enfant veut apprendre aux autres, avec ce qu’il a entre les mains, moi, la Vie en lui, je lui montre qu’il est un instrument pour ses frères et ses sœurs.
Ce qu’il aura à donner, ce qu’il aura à présenter, c’est ce qu’il va apprendre en lui : il donnera mon savoir, il propagera ma parole, il montrera mon amour qui est en cet enfant,
mais il ne peut donner que s’il est nourri de moi.
Vous tous ici, vous êtes nourris de moi : c’est moi la Vie en vous, c’est moi votre nourriture de chaque jour,
vous, vous êtes instruments d’amour : vous êtes la vie pour les autres; mais la Vie, la vraie Vie, est celle qui est en vous, c’est elle qui vous a montré, qui vous a donné ce qu’il y a de plus précieux :
tout l’amour de mon Être pour que vous soyez en vie.
Mes enfants, avant ce matin, lorsque vous vous êtes levés, je vous ai préparés à cette journée; ce sont mes grâces qui vous ont montré que vous étiez capables et assez forts pour faire, de votre journée, une journée d’amour pour vous et pour ceux qui vous verraient et qui partageraient votre journée : tout cela vient de moi.
C’est moi qui vous amène à faire ce qui est bon, à vous rendre utiles, à vouloir donner, pour que les autres sachent que vous êtes amour.
Tout ce qui est en vous est de moi.
Je suis l’Amour, vous êtes des enfants d’amour;
vous êtes nourris de mon Être.
Mes enfants, donnez-vous!
Donnez-vous à vos frères et sœurs parce que c’est moi qui vous donne cette vie : elle est faite pour aimer, elle est faite pour donner.
Donnez-vous à chacun de vous; ne gardez pas en vous ce trésor qui est votre vie.
Garder pour soi ce qui est bon : c’est vous priver vous aussi des joies que les autres peuvent vous donner car, voyez-vous, si vous apprenez à donner l’amour en vous, qui vient de moi, par vos gestes, par vos regards, parce que vous avez appris que vous étiez amour : les autres qui vous regardent, qui voient en vous la vie, vont aussi donner ce qu'ils ont.
Mais si vous ne donnez pas, vous ne recevrez pas; vous allez être dans la solitude de votre intérieur.
La vie à l’extérieur de vous ne pourra combler ce vide en vous,
car vous allez vous refuser de l’amour qui vient de moi.
Mes enfants, je suis l’amour en vous, je suis l’amour en vos frères et vos sœurs.
Ce qui est de moi revient vers moi : je donne et je redonne.
Cela, mes enfants, veut dire que quand je suis en un enfant et qu'il sort de lui mon amour pour donner, moi qui suis en l’autre enfant qui vient de recevoir de l'amour, je viens de recevoir; je donne de l’amour à celui-ci pour qu’il puisse en donner à l’autre qui vient de donner; alors, je redonne de l’amour, et je me nourris d’amour.
Je suis Essence d’amour, mes enfants.
L’Amour se nourrit, j’ai besoin d’amour : j'aime ce qui est de moi.
Je suis Dieu. Dieu est l'Amour, il a engendré l’Amour, et de cet amour est sorti l’Amour.
Vous êtes, mes enfants, dans ce mouvement d’amour.
Si vous ne donnez pas, si vous n’apprenez pas à découvrir ce que l’autre veut vous donner, vous ne pourrez pas, mes enfants, être dans ce complément d’amour : vous allez arrêter ce mouvement et vous allez être malheureux!
Il faut donner et redonner sans arrêt.
Il est si bon de vivre! La vie est un mouvement de chaque instant de la Vie.
Mes enfants, je vous rappelle que vous êtes en moi, que vous vivez de moi, que vous êtes des enfants faits pour aimer, aimer votre prochain.
S’aimer, c’est aimer celui que vous voyez, c’est ne pas porter de jugement sur ce que vous regardez, car cela est contre vous.
Si vous voyez autour de vous des enfants qui sont contre eux, il faut, mes enfants, me les donner en répétant ces mots d’amour que je vous ai montrés, ceux que j’ai dits sur la Croix : «Pardonnez-leur, Père, ils ne savent pas ce qu’ils font ».
Ces paroles doivent être aussi en vous.
J’ai porté tous mes enfants, je leur ai donné mon Être afin qu’ils soient tous amour.
Si certains d’entre eux se refusent d’être ce qu’ils sont, ils n’en sont pas moins amour, il y a moi en eux.
Je suis en souffrance en eux parce qu’ils se refusent à moi, mais je suis toujours en eux.
Je souffre, je m’offre à mon Père pour eux, pour qu’ils se voient dans mon amour.
Vous, mes doux enfants d’amour, vous, mes bien-aimés, vous qui les regardez, prenez soin de vos paroles, ne les jugez pas, car si vous les jugez, vous me jugez, moi qui suis en eux.
Je suis penché sur leurs péchés et je pleure leurs manquements.
Mon Sang coule sur eux pour les aider à se reconnaître tels qu’ils sont, et s’ils sont sourds à mes appels d’amour en eux, je les tiens fort pour ne pas qu’ils se perdent, car Satan est autour d’eux, il fait ce qu’il veut de ces enfants.
Moi qui suis en eux, je me présente et je reçois ses affres contre eux.
Mon Corps saigne, mes plaies ne cessent de s’ouvrir parce qu’ils sont dans l’erreur; à cause de leur refus à m'écouter en eux, je ne peux les rejeter.
Je me suis laissé crucifier pour eux.
C’est pour eux que je suis venu, pour ceux qui commettent des péchés contre l’Amour.
Eux qui sont amour commettent des souffrances contre eux, et moi qui suis le Fils de Dieu, la Puissance, je les tiens dans mon amour malgré eux pour ne pas qu’ils se laissent prendre dans le refus total à l’Amour.
Et vous, mes enfants d’amour, vous, mes bien-aimés, je déverse en vous des grâces d’amour qui vous font voir ma Présence en eux.
Je vous dis :
«Mes enfants de lumière, regardez ces enfants qui veulent renier leur Dieu en se refusant d’être des enfants d’amour, des enfants de Dieu, regardez-les, je suis en souffrance en eux!
J'ai besoin de vous, j’ai besoin de vos prières, de vos sacrifices.
Je sais que vous souffrez de voir ces enfants qui sont loin de moi, moi qui suis amour.
Je sais qu'il y a en ce monde des sectes qui font leurs propres lois parce qu’ils se refusent d’être en moi.
Tous ces enfants sont dans la noirceur.
Je suis la Vérité, je suis la Lumière, je suis le Chemin, qui va leur faire voir qu’ils sont amour, et vous, mes enfants de la Lumière, vous vous donnez par amour, dans l’amour, avec l’Amour, pour eux.
«Vous accumulez en vous des actes qui vous seront montrés.
C’est moi, mes amours, qui suis en vous, qui suis l’Amour : la Vie qui vous nourrit de ma Vie pour que vous puissiez accomplir ces actes.
Ces actes ne sont faits que de bonté, que de douceur, que de tendresse!
Ils ne jugent pas, ils sont des actes d’amour pour ceux qui sont contre l’Amour.
Vous souffrez présentement; vous voyez ces erreurs et vous voulez que cela s’arrête.
Mes enfants d’amour, c’est seulement moi qui peux le faire, ce n’est pas vous, car ce monde connaît un mouvement "apostasique".
«Ils ont renié leur Dieu en voulant faire leur volonté, en rejetant mes lois d’amour : celles que j’ai données à Moïse.
Ils veulent faire leur volonté pour ne pas être en reste avec ce monde : ce monde, mes enfants, qui est rempli de sa propre volonté humaine.
Ils ne voient plus ce qu’ils sont en train de se faire, car ils croient à leur propre moi.
Oui, ils ne vivent que pour leur moi, ils veulent faire ce qui leur plaît en se disant maîtres de leur propre vie.
«Ils se donnent des droits de leur propre être, mais ils ne se rendent pas compte que leur droit individuel est géré par la masse, et une masse humaine, mes enfants, ne porte pas de cœur.
Leur cœur est sans amour, sans partage, il ne donne pas.
Mes enfants d’amour, vous, mes êtres de lumière, est-ce que vous pouvez, vous, venir en aide par vos moyens à ce monde qui a refroidi son cœur par toutes sortes de faussetés?
Il n’y a seulement que moi, l’Amour, qui vis en eux, qui suis penché sur leurs péchés et qui, à chaque instant, je me laisse crucifier pour eux.»
J’ai dit à mon Père : «Père, j’ai soif. Je les veux ces enfants, ils sont à moi. Je veux leur donner à boire, je veux les nourrir de ma Vie qui donne la vie, qui réchauffe, qui attendrit, qui parle d’amour. Je sais, toi, que tu les aimes; tu as donné ton Fils unique pour les avoir avec toi. Je t’aime, Père d’amour. Je vais continuer à être sur cette Croix, tant qu’il y aura un seul de tes enfants choisis qui ne répondra pas à ton appel d’amour.»
Et vous, mes enfants de la Lumière, vous qui voulez tant que vos frères et vos sœurs se redressent pour qu’ils voient qu’ils sont enfants de Dieu, ne vous découragez pas.
Donnez-moi vos souffrances, déposez-les dans mon Cœur qui s’est ouvert par amour, venez vous réfugier dans mes plaies d’amour.
Je fais sortir mes grâces qui vont vous illuminer.
Vous allez devenir, mes enfants, par mes grâces : des enfants d’amour totalement dans mon amour.
Mon amour est pur, il est sans jugement pour ses enfants.
Mon amour va vous transformer, mes enfants, en êtres parfaits d’amour.
Vous serez des êtres de donation et cela se fera à chaque fois, mes enfants, que vous me donnerez votre vie, car je suis la Vie de votre vie, je suis Celle qui nourrit votre vie, et votre vie sera ma Vie.
Vous ne serez plus enfants de la volonté humaine, mais enfants de la Divine Volonté : votre vie sera ma Vie.
Tel que je suis pour mon Père, tels vous serez en moi pour l’amour de mon Père.
Vous aimerez vos frères et vos sœurs.
Vous allez vous accomplir dans ma Volonté.
Mes enfants, ce sont des rappels de mes enseignements.
Je ne viens pas vous apporter du nouveau, je viens pour rappeler ce que j’ai dit à mes apôtres : «Aimez-vous les uns les autres, comme je vous aime».
Vous serez l’amour, celui que vous auriez toujours dû être.
C’est moi qui vais vous transformer en êtres parfaits d’amour.
Je viens vous réclamer votre oui.
Celui que vous avez prononcé hier, mes enfants, est aujourd’hui renouvelé par mon mouvement d’amour,
et celui que vous direz demain, je le nourrirai,
car tout est dans la Divine Volonté.
J’ai déjà accompli l’Œuvre de mon Père.
Je connais chacun d’entre vous, je sais ceux qui diront oui.
Vos oui, mes enfants, je les connais tous et je connais vos faiblesses!
Je vous fortifie à chaque Eucharistie afin que vous soyez parfaits comme mon Père le veut, mes enfants.
Cette enfant se laisse transformer par mes grâces à chaque instant; vous, mes enfants, vous vous laissez transformer par mes grâces à chaque instant.
Nul ne peut accomplir la Volonté de l’Amour sans venir en moi, mourir en moi.
Quand vous allez, mes enfants, à la confesse et que vous vous présentez en enfants imparfaits, moi qui vous connais, je déverse en vous des grâces qui vous aident à devenir enfants de Dieu.
Mes amours, l’Amour est en vous, l’Amour vous nourrit.
Le pain est mon Corps, le vin est mon Sang : je vous nourris de ma Vie, vous êtes la vie dans ma Vie.
Vous n’êtes plus, vous êtes moi et cela, mes enfants, se fait dans mon amour pour vous.
Ce monde connaîtra une transformation d’amour par mon amour!
C’est seulement moi qui ferai ce mouvement d’amour, et cela est commencé.
J’ai commencé par vous, mes enfants de la Lumière.
Je vais vous montrer combien je suis agissant à chaque instant de votre vie : cela se fait par la Divine Volonté.
Vous êtes en train, mes enfants, d’avancer dans ma Nouvelle Terre.
Je mets dans vos cœurs des grâces d’amour pour vous, pour votre prochain.
Je vous montre qui vous êtes : vous êtes tous mes êtres d’amour.
Vous avez aidé ceux qui ne se savent pas en chemin, car eux aussi se dirigent vers la Divine Volonté.
Et tous ceux que vous portez, mes enfants, et qui sont dans ces erreurs et que je connais car je suis en eux, ils vont eux aussi prononcer leur oui, car moi je les nourris.
Je passe par mes enfants de lumière qui s’abandonnent à ma Volonté d’amour, et je déverse en eux des grâces qui vont leur montrer qu’ils ont été choisis pour entrer dans ce lieu d’amour : ma Nouvelle Terre.
Il n’y aura qu’un monde d’amour, un monde fait à mon image.
Mes enfants, ces journées vous nourrissent : elles vous rappellent qui vous êtes, pourquoi vous êtes ici, et quelle est votre mission.
Oui, mes enfants, voilà votre mission!
Vous n’êtes pas ici par votre propre choix, c’est moi qui vous ai choisis et c’est vous, mes enfants, qui avez répondu par votre oui à ma demande d’amour pour vous et pour eux : mes enfants, ceux pour qui je demeure encore sur la Croix.
Je vous montrerai, mes enfants, ce qu’il y a en vous présentement.
Je vous montrerai toutes vos œuvres qui ont été alimentées par mon amour et vous serez tous récompensés parce que l’Amour donne et redonne : c’est un mouvement de vie.
La vie éternelle est sans fin.
Grande sera votre joie!
Mes enfants, c’est un rappel à l’amour.
Ce monde, autour de vous qui se fait mal, connaîtra un monde de paix, d’allégresse.
Mais, mes enfants, il faut que vous vous abandonniez en moi, totalement, dans ma Volonté.
Rappelez-vous, mes enfants, j’ai donné à Job de l’amour et il s’est donné à moi, il a tout reçu de moi.
Je l’ai comblé tant physiquement que spirituellement, mais une épreuve avait été demandée par Satan, et je l’ai accordée parce que je connaissais mon fils, je le nourrissais de ma Vie.
Alors, tout lui fut enlevé, et une très grande souffrance se fit sentir en lui, autour de lui, et il a donné son oui : il ne m’a pas refusé son amour.
Je l’ai vu dans la souffrance; il était tout soumis à mon amour : pas un seul reproche n’est sorti de lui.
Il ne m’a pas blâmé, car il savait que je l’aimais, et moi je savais qu’il m’aimait.
Grande fut sa récompense!
Je lui ai donné plus que ce qu’il avait reçu en premier.
Mes enfants d’amour, j’ai donné ma Vie pour vous, je vous ai comblés d’amour et vous, l’amour, avez été mis à l’épreuve, et (aujourd'hui) vous vivez, mes enfants, dans la souffrance.
Je suis, moi, le Fils de Dieu, j’ai tout reçu de mon Père, il m’a tout donné : vous tous étiez en moi, vous, l’amour.
Vous êtes venus en ce monde pour être des enfants d’amour, vous étiez la richesse de mon Père, il vous avait tout donné : tout son amour, et moi, Jésus Amour, je vous portais tous.
Mais voici qu’elle est venue, l'épreuve, une épreuve qui devait faire de vous des êtres d’amour.
Parce qu’à cause du péché, vous avez refusé l’amour de mon Père, alors je suis venu mourir sur la Croix.
En souffrant en moi, en souffrant à l’extérieur de moi, physiquement, je vous ai donné ma Vie et j’ai présenté à mon Père cette preuve d’amour.
Tout cela a été en moi, tout comme Job.
Cette douleur est encore en moi qui fait souffrir mon corps.
Je suis dans la douleur de mon Être tout comme lui, il était.
Je n’ai pas cherché à vous accuser, je ne vous ai pas blâmés, je suis venu vous reprendre en moi pour que vous ayez l’amour en vous; et, mes enfants de lumière, tous ceux qui s’abandonnent en moi vont recevoir une grande récompense.
Dieu, mon Père, va vous redonner son amour parce qu’il ne m’a rien refusé.
Je vous ai portés et, en disant oui à l’Amour, vous serez récompensés,
tout comme mon Père a récompensé Job.
Voyez-vous, mes enfants, son sacrifice a été porté dans la Divine Volonté pour vous montrer l’amour, la fidélité à l’amour.
Soyez des enfants fidèles à l’amour de mon Père.
Soyez ce que vous avez toujours été : des enfants de Dieu.
Je vous ai portés avant votre naissance.
Je viens vous rechercher pour vous amener à mon Père.
Sa Gloire, mes enfants, vous la verrez.
Elle sera aussi votre gloire, parce que grande sera votre récompense de vous être donnés dans l’amour.
À cause de vos oui, vous serez dans une joie éternelle.
Mes enfants, je vous aime. C’est l’Amour qui vous a parlé. Je suis, moi, en votre présence : Je suis la Vie.
Je me suis servi de cet instrument pour vous. Je vous ai instruits. Je vous aime, mes enfants d’amour :
cela est pour l’éternité. Allez en paix, mes amours. Amen.
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Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Saint-Roch de l’Achigan, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-10-26
Jésus : Moi, Dieu d'amour, je me sers de cette enfant, tout comme je me sers de vous, mes enfants.
En ce moment, vous n'êtes plus : vous avez reçu Dieu, vous avez reçu l'Amour, et l'Amour vous a transformés en l'amour.
Mes enfants, quand un enfant reçoit Jésus Eucharistie dans l'humilité, dans la petitesse de son être, pour faire de lui un instrument d'amour : Dieu le prend, le transforme en enfant de Dieu.
Mes enfants, je suis le Fils de Dieu.
Si un enfant accepte de s'approcher de moi, de faire de lui un enfant humble et petit,
moi, le Fils de Dieu, je le prends et je le fais moi.
Alors, vous, vous devenez enfants de Dieu, vous n'êtes plus, vous êtes moi : c'est moi qui vous transforme, c'est moi qui vous amène à mon Père.
Par cet acte d'amour, vous vous présentez devant Dieu le Père et c'est moi, son Fils, qui vous présente à lui;
je vous prends en moi et je vous présente, dans votre intérieur, devant la Majesté d'amour : Dieu, le Créateur, Dieu de l'univers.
Dieu le Tout-Puissant, mon Père, est en vous et c'est moi qui vous amène à lui.
C'est moi, par la communion, qui vous prends et vous amène devant sa Royauté.
En vous, mes enfants, vous êtes!
Vous recevez de mon Père des élans d'amour : mon Père, dans son amour, vous regarde;
il s'approche, il tend les bras vers son enfant qui l'accepte.
Oui, mes enfants, réalisez que, par votre acceptation à venir me prendre à la sainte communion, vous acceptez de vous présenter devant mon Père; vous devenez enfants de Dieu, mais mon Père ne vous a pas forcés : c'est vous qui êtes allés, par moi, à mon Père.
Comme l'enfant prodigue, vous avez été loin de lui, ne fut-ce, mes enfants, qu'une seule journée que vous n'avez pas été présentés à mon Père, que vous n'avez pas été en sa Présence :
mon Père d'amour, qui vous aime d'un tel amour, attend ce moment.
Mes enfants, il sait que vous vivez dans un monde où on n'a pas donné la place première à son amour; il vous voit, il sait ce que vous faites, il vous connaît, il vit en vous.
Et les heures, mes enfants, passées loin de lui sont, pour mon Père, des heures de langueur.
Il se languit de vous, il vous aime.
Oh! combien d'enfants, et ils sont si nombreux, ne viennent pas à lui, ne vont plus profiter des sacrements.
Ils vaquent à leurs occupations, en ne prenant pas garde à ce qu'ils font contre l'amour de mon Père.
Chacun de vous, mes enfants, vous accomplissez des actions; dans ces actes, vous devez vous tenir en présence de l'Amour, car, voyez-vous, quand vous vous éloignez : vous avez tendance à oublier, votre intérieur se referme, vous mettez, mes enfants, des barrières.
En regardant vos frères et vos sœurs : vous devez les aimer tels comme ils sont, vous devez découvrir l'Amour en eux, vous devez demander des grâces à moi, Jésus, pour que vous puissiez les regarder avec mes yeux : vous allez découvrir, mes enfants : qu'ils sont blessés, qu'ils ont été manipulés par d'autres enfants qui, eux, étaient aussi blessés, et ces blessures ont été causées par la désobéissance à mon Père.
Mes enfants d'amour, regardez-vous : Ceux qui parlent en mal d'un seul d'entre vous sont désobéissants à mon Père.
L'obéissance, mes enfants, est un rappel à ce que vous devez être pour mon Père.
Désobéir, mes enfants, c'est une action contre Celui qui vous protège, vous aime, vous veut à lui.
Quand on obéit, c'est qu'on sait que la personne qui demande est juste, parfaite.
L'obéissance, c'est s'accomplir en voulant faire plaisir à celui qui demande.
Que vous soyez bons, charitables, aimables, avenants, non critiqueux, obéissants, mes enfants, c'est de savoir que la personne qui demande est de Dieu.
Mes enfants, tout enfant doit obéir à Dieu, Dieu seul sait ce qui est bon pour vous.
Dieu a donné des commandements à Moïse pour vous, pour que vous soyez bons envers vous et votre prochain.
Il a donné autorité aux apôtres, mes premiers prêtres; il a donné des grâces aux apôtres.
Par la descente du Saint-Esprit sur eux, ils ont été remplis de lumière, de ma vérité, de la vérité de l'Amour.
Mon Père vous aime, il vous donne tout, mes enfants,
pour que vous soyez dignes d'être appelés enfants de Dieu.
Pour être dignes de mon Père, il faut lui obéir dans l'amour de votre être, de votre intérieur.
Mes enfants, si votre extérieur vous apporte des situations difficiles, vous devez aller puiser en vous des grâces pour que vous soyez capables d'affronter ces situations difficiles.
Mon Père d'amour ne vous a pas laissés seuls avec vous-mêmes, il est en vous.
S'il m'a donné à chacun de vous pour que je sois en vous : vous ne pouvez, par vous-mêmes, mes enfants, être amour;
le péché de la désobéissance de vos premiers parents vous en empêche.
Mes enfants, ce péché a apporté à ce monde beaucoup d'autres péchés car, voyez-vous : l'obéissance est une vertu : une vertu d'amour, si on commet une faute : un péché, c'est que l'on ne se conduit pas bien : alors, vous désobéissez à Dieu, car Dieu vous demande de l'écouter, il sait ce qui est bon pour vous.
La désobéissance, mes enfants, engendre beaucoup de péchés.
Il faut puiser en vous des grâces en venant à la communion me recevoir et, moi, je vous prends
et je vous présente à mon Père qui déverse en vous des grâces pour que vous soyez obéissants.
Mes enfants d'amour, si Ève était venue vers mon Père lui demander des grâces pour ne pas écouter Satan : elle n'aurait pas désobéi.
Voyez-vous, mes enfants, le danger que vous courez quand vous vaquez à vos occupations entre la communion que vous avez reçue et l'autre que vous devez recevoir dans l'amour, dans la pureté?
Ces heures, mes enfants, vous devez les accomplir en présence de moi, Jésus; c'est moi qui vais vous aider à vous comporter en enfants de Dieu pour ne pas désobéir à mon Père; c'est moi qui vais vous donner cette force de comprendre votre attitude qui n'est pas charitable quand vous faites de la peine à votre prochain.
Mes enfants, vous êtes tous enfants de Dieu. Il n'y a qu'un seul Père, c'est mon Père :
vous êtes tous ses enfants. Il n'y a pas un seul d'entre vous qui n'appartient pas à mon Père.
C'est moi, Jésus d'amour qui est venu par le oui de Marie, votre Mère, en ce monde.
Je me suis fait Homme, pour vous, pour prendre en moi tous vos péchés causés par la désobéissance envers l'amour de mon Père.
J'ai vu tous vos péchés et, par obéissance, j'ai accepté tout; j'ai tout pris en moi car mon Père vous aime; il était présent, il a, lui aussi, mes enfants, souffert; je suis en le Père, le Père est en moi, comme nous formons le Saint-Esprit, le Saint-Esprit est en nous; tout ce que moi j'ai pris, tout ce que j'ai souffert : mon Père l'a pris, l'a souffert; il a, lui aussi, versé des larmes sur vos péchés et moi, son Fils d'amour, par obéissance, j'ai dit oui à la souffrance, car mon Père avait dit oui à la souffrance.
Avant même, mes enfants, que vous soyez en ce monde, mon Père, qui est tout-puissant, connaissait tout ce que, vous, vous étiez pour faire à cause de votre désobéissance, et mon Père d'amour a prononcé son oui, mes enfants, avant tout oui.
Il est le Oui de l'Amour. Il est le Oui sublime.
L'obéissance au Oui, mes enfants, est de mon Père, est de l'Amour.
Mes enfants, qu'un seul d'entre vous désobéit, il fait de la peine à mon Père.
Quand vous étiez plus petits, qui d'entre vous n'a pas entendu cette parole : "Ne fais pas ça, tu vas faire de la peine à Jésus"?
Mes enfants d'amour, votre père vous demandait d'être obéissants, de ne pas désobéir,
et parce que vous avez grandi, vous oubliez la recommandation de votre mère de ne pas faire de la peine à Jésus.
Est-ce que c'est parce que vous êtes grands que cela n'a plus d'importance pour vous?
Il ne faut pas faire de la peine à Dieu en parlant en mal contre un seul de vos frères et sœurs.
C'est l'Amour qui vous parle.
Quand vous faites de la peine à mon Père, vous faites revivre en moi les douleurs de l'agonie.
Je vous aime tant, mes enfants!
Laissez-moi vous prendre en moi pour vous présenter à mon Père, afin que vous receviez des grâces, des grâces d'amour qui vont vous montrer que vous êtes des enfants de Dieu, et que ses enfants ne se font pas de la peine entre eux, car quand vous parlez contre un seul de vos frères et sœurs, vous leur faites de la peine; même si ceux-là n'entendent pas, ils sont en vous!
Je suis le Corps Mystique, mes enfants : je porte tous mes enfants,
je vous porte, vous portez vos frères et vos sœurs.
Il n'est pas bien, mes enfants, de faire de la peine à vos frères et sœurs, que vous avez en vous, parce que vous vous faites de la peine à vous-mêmes.
Je suis, moi, Jésus : quand je vous prends à la communion, vous n'êtes plus vous, vous êtes moi : alors, vous me faites de la peine, et vous vous faites de la peine.
Je viens vous montrer qui vous êtes.
Ces jours, mes enfants, sont des jours de grâces, des jours d'amour.
Je ne suis pas présent avec vous pour vous montrer que vous êtes des mauvais enfants, je suis présent avec vous pour vous dire :
«Vous êtes enfants de Dieu, vous êtes mes amours.»
Je vous aime! Comme j'aimerais que vous vous aimiez, que vous aimiez vos frères et vos sœurs.
Prenez soin de vous! L'Amour vient bientôt vous montrer, en vous, l'Amour même, et vous serez en sa Présence, mes enfants.
Vous verrez tout ce que vous avez accompli et moi, l'Amour, je serai présent.
Je vous donnerai tout mon amour et toutes les grâces que vous aurez demandées.
Tel l'enfant prodigue qui retourne à la maison, le Père l'accueille avec tout son amour, et il fait la fête avec lui.
Mes enfants, vous allez rentrer à la maison, chez-vous, là où votre Père vous attend : Dieu le Père, mon Père, votre Père. Vous allez voir combien il vous aime! Et votre oui à l'Amour dans son oui à l'Amour sera une fête, mes enfants. Il fera pour vous chanter ses anges. Il vous donnera tout ce qui est à lui, car ce qui est à lui est pour ses enfants. Il vous donnera l'amour. Vous serez tous dans son amour et, plus jamais, mes enfants, vous ne serez dans la désobéissance, car vous serez dans l'accomplissement de son œuvre.
L'œuvre de son amour est pour mes enfants.
Il a créé l'homme à son image pour l'Amour, dans l'Amour, avec l'Amour, afin que vous ne fassiez qu'un avec lui, en lui, par lui.
Vous êtes en moi, son Fils, vous êtes les enfants de l'Amour, de son amour.
Je suis le Corps de l'Amour, vous êtes en mon Corps.
Le Corps brillera de toute sa puissance, car il n'y aura plus rien de désobéissance en le Corps du Christ.
Mon Église, mon Corps, mon unique amour, mon obéissance à Dieu le Père,
c'est vous en moi : je suis Unité d'amour.
Mes enfants, je vous prépare à cette union d'amour. Très bientôt, mes enfants, vous saurez qui sont vos frères et vos sœurs, car aucun d'entre eux ne vous sera inconnu : telle est la puissance de Dieu.
Ce que vous ne savez pas présentement : respectez-le, aimez-le, soyez dignes d'être avec : je vous parle de vos frères et de vos sœurs; vous êtes tous enfants de Dieu : tous, vous êtes choisis; conduisez-vous bien, mes enfants : en étant des enfants obéissants à l'appel de l'amour de votre Père.
Par la toute-puissance de l'Amour, par la puissance de mon Père, je vous demande, mes enfants, d'entrer en vous afin de recevoir la bénédiction de la Sainte Trinité. Amen.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2002-10-26
Jésus : Moi, Dieu d'amour, je me sers de cette enfant, tout comme je me sers de vous, mes enfants.
En ce moment, vous n'êtes plus : vous avez reçu Dieu, vous avez reçu l'Amour, et l'Amour vous a transformés en l'amour.
Mes enfants, quand un enfant reçoit Jésus Eucharistie dans l'humilité, dans la petitesse de son être, pour faire de lui un instrument d'amour : Dieu le prend, le transforme en enfant de Dieu.
Mes enfants, je suis le Fils de Dieu.
Si un enfant accepte de s'approcher de moi, de faire de lui un enfant humble et petit,
moi, le Fils de Dieu, je le prends et je le fais moi.
Alors, vous, vous devenez enfants de Dieu, vous n'êtes plus, vous êtes moi : c'est moi qui vous transforme, c'est moi qui vous amène à mon Père.
Par cet acte d'amour, vous vous présentez devant Dieu le Père et c'est moi, son Fils, qui vous présente à lui;
je vous prends en moi et je vous présente, dans votre intérieur, devant la Majesté d'amour : Dieu, le Créateur, Dieu de l'univers.
Dieu le Tout-Puissant, mon Père, est en vous et c'est moi qui vous amène à lui.
C'est moi, par la communion, qui vous prends et vous amène devant sa Royauté.
En vous, mes enfants, vous êtes!
Vous recevez de mon Père des élans d'amour : mon Père, dans son amour, vous regarde;
il s'approche, il tend les bras vers son enfant qui l'accepte.
Oui, mes enfants, réalisez que, par votre acceptation à venir me prendre à la sainte communion, vous acceptez de vous présenter devant mon Père; vous devenez enfants de Dieu, mais mon Père ne vous a pas forcés : c'est vous qui êtes allés, par moi, à mon Père.
Comme l'enfant prodigue, vous avez été loin de lui, ne fut-ce, mes enfants, qu'une seule journée que vous n'avez pas été présentés à mon Père, que vous n'avez pas été en sa Présence :
mon Père d'amour, qui vous aime d'un tel amour, attend ce moment.
Mes enfants, il sait que vous vivez dans un monde où on n'a pas donné la place première à son amour; il vous voit, il sait ce que vous faites, il vous connaît, il vit en vous.
Et les heures, mes enfants, passées loin de lui sont, pour mon Père, des heures de langueur.
Il se languit de vous, il vous aime.
Oh! combien d'enfants, et ils sont si nombreux, ne viennent pas à lui, ne vont plus profiter des sacrements.
Ils vaquent à leurs occupations, en ne prenant pas garde à ce qu'ils font contre l'amour de mon Père.
Chacun de vous, mes enfants, vous accomplissez des actions; dans ces actes, vous devez vous tenir en présence de l'Amour, car, voyez-vous, quand vous vous éloignez : vous avez tendance à oublier, votre intérieur se referme, vous mettez, mes enfants, des barrières.
En regardant vos frères et vos sœurs : vous devez les aimer tels comme ils sont, vous devez découvrir l'Amour en eux, vous devez demander des grâces à moi, Jésus, pour que vous puissiez les regarder avec mes yeux : vous allez découvrir, mes enfants : qu'ils sont blessés, qu'ils ont été manipulés par d'autres enfants qui, eux, étaient aussi blessés, et ces blessures ont été causées par la désobéissance à mon Père.
Mes enfants d'amour, regardez-vous : Ceux qui parlent en mal d'un seul d'entre vous sont désobéissants à mon Père.
L'obéissance, mes enfants, est un rappel à ce que vous devez être pour mon Père.
Désobéir, mes enfants, c'est une action contre Celui qui vous protège, vous aime, vous veut à lui.
Quand on obéit, c'est qu'on sait que la personne qui demande est juste, parfaite.
L'obéissance, c'est s'accomplir en voulant faire plaisir à celui qui demande.
Que vous soyez bons, charitables, aimables, avenants, non critiqueux, obéissants, mes enfants, c'est de savoir que la personne qui demande est de Dieu.
Mes enfants, tout enfant doit obéir à Dieu, Dieu seul sait ce qui est bon pour vous.
Dieu a donné des commandements à Moïse pour vous, pour que vous soyez bons envers vous et votre prochain.
Il a donné autorité aux apôtres, mes premiers prêtres; il a donné des grâces aux apôtres.
Par la descente du Saint-Esprit sur eux, ils ont été remplis de lumière, de ma vérité, de la vérité de l'Amour.
Mon Père vous aime, il vous donne tout, mes enfants,
pour que vous soyez dignes d'être appelés enfants de Dieu.
Pour être dignes de mon Père, il faut lui obéir dans l'amour de votre être, de votre intérieur.
Mes enfants, si votre extérieur vous apporte des situations difficiles, vous devez aller puiser en vous des grâces pour que vous soyez capables d'affronter ces situations difficiles.
Mon Père d'amour ne vous a pas laissés seuls avec vous-mêmes, il est en vous.
S'il m'a donné à chacun de vous pour que je sois en vous : vous ne pouvez, par vous-mêmes, mes enfants, être amour;
le péché de la désobéissance de vos premiers parents vous en empêche.
Mes enfants, ce péché a apporté à ce monde beaucoup d'autres péchés car, voyez-vous : l'obéissance est une vertu : une vertu d'amour, si on commet une faute : un péché, c'est que l'on ne se conduit pas bien : alors, vous désobéissez à Dieu, car Dieu vous demande de l'écouter, il sait ce qui est bon pour vous.
La désobéissance, mes enfants, engendre beaucoup de péchés.
Il faut puiser en vous des grâces en venant à la communion me recevoir et, moi, je vous prends
et je vous présente à mon Père qui déverse en vous des grâces pour que vous soyez obéissants.
Mes enfants d'amour, si Ève était venue vers mon Père lui demander des grâces pour ne pas écouter Satan : elle n'aurait pas désobéi.
Voyez-vous, mes enfants, le danger que vous courez quand vous vaquez à vos occupations entre la communion que vous avez reçue et l'autre que vous devez recevoir dans l'amour, dans la pureté?
Ces heures, mes enfants, vous devez les accomplir en présence de moi, Jésus; c'est moi qui vais vous aider à vous comporter en enfants de Dieu pour ne pas désobéir à mon Père; c'est moi qui vais vous donner cette force de comprendre votre attitude qui n'est pas charitable quand vous faites de la peine à votre prochain.
Mes enfants, vous êtes tous enfants de Dieu. Il n'y a qu'un seul Père, c'est mon Père :
vous êtes tous ses enfants. Il n'y a pas un seul d'entre vous qui n'appartient pas à mon Père.
C'est moi, Jésus d'amour qui est venu par le oui de Marie, votre Mère, en ce monde.
Je me suis fait Homme, pour vous, pour prendre en moi tous vos péchés causés par la désobéissance envers l'amour de mon Père.
J'ai vu tous vos péchés et, par obéissance, j'ai accepté tout; j'ai tout pris en moi car mon Père vous aime; il était présent, il a, lui aussi, mes enfants, souffert; je suis en le Père, le Père est en moi, comme nous formons le Saint-Esprit, le Saint-Esprit est en nous; tout ce que moi j'ai pris, tout ce que j'ai souffert : mon Père l'a pris, l'a souffert; il a, lui aussi, versé des larmes sur vos péchés et moi, son Fils d'amour, par obéissance, j'ai dit oui à la souffrance, car mon Père avait dit oui à la souffrance.
Avant même, mes enfants, que vous soyez en ce monde, mon Père, qui est tout-puissant, connaissait tout ce que, vous, vous étiez pour faire à cause de votre désobéissance, et mon Père d'amour a prononcé son oui, mes enfants, avant tout oui.
Il est le Oui de l'Amour. Il est le Oui sublime.
L'obéissance au Oui, mes enfants, est de mon Père, est de l'Amour.
Mes enfants, qu'un seul d'entre vous désobéit, il fait de la peine à mon Père.
Quand vous étiez plus petits, qui d'entre vous n'a pas entendu cette parole : "Ne fais pas ça, tu vas faire de la peine à Jésus"?
Mes enfants d'amour, votre père vous demandait d'être obéissants, de ne pas désobéir,
et parce que vous avez grandi, vous oubliez la recommandation de votre mère de ne pas faire de la peine à Jésus.
Est-ce que c'est parce que vous êtes grands que cela n'a plus d'importance pour vous?
Il ne faut pas faire de la peine à Dieu en parlant en mal contre un seul de vos frères et sœurs.
C'est l'Amour qui vous parle.
Quand vous faites de la peine à mon Père, vous faites revivre en moi les douleurs de l'agonie.
Je vous aime tant, mes enfants!
Laissez-moi vous prendre en moi pour vous présenter à mon Père, afin que vous receviez des grâces, des grâces d'amour qui vont vous montrer que vous êtes des enfants de Dieu, et que ses enfants ne se font pas de la peine entre eux, car quand vous parlez contre un seul de vos frères et sœurs, vous leur faites de la peine; même si ceux-là n'entendent pas, ils sont en vous!
Je suis le Corps Mystique, mes enfants : je porte tous mes enfants,
je vous porte, vous portez vos frères et vos sœurs.
Il n'est pas bien, mes enfants, de faire de la peine à vos frères et sœurs, que vous avez en vous, parce que vous vous faites de la peine à vous-mêmes.
Je suis, moi, Jésus : quand je vous prends à la communion, vous n'êtes plus vous, vous êtes moi : alors, vous me faites de la peine, et vous vous faites de la peine.
Je viens vous montrer qui vous êtes.
Ces jours, mes enfants, sont des jours de grâces, des jours d'amour.
Je ne suis pas présent avec vous pour vous montrer que vous êtes des mauvais enfants, je suis présent avec vous pour vous dire :
«Vous êtes enfants de Dieu, vous êtes mes amours.»
Je vous aime! Comme j'aimerais que vous vous aimiez, que vous aimiez vos frères et vos sœurs.
Prenez soin de vous! L'Amour vient bientôt vous montrer, en vous, l'Amour même, et vous serez en sa Présence, mes enfants.
Vous verrez tout ce que vous avez accompli et moi, l'Amour, je serai présent.
Je vous donnerai tout mon amour et toutes les grâces que vous aurez demandées.
Tel l'enfant prodigue qui retourne à la maison, le Père l'accueille avec tout son amour, et il fait la fête avec lui.
Mes enfants, vous allez rentrer à la maison, chez-vous, là où votre Père vous attend : Dieu le Père, mon Père, votre Père. Vous allez voir combien il vous aime! Et votre oui à l'Amour dans son oui à l'Amour sera une fête, mes enfants. Il fera pour vous chanter ses anges. Il vous donnera tout ce qui est à lui, car ce qui est à lui est pour ses enfants. Il vous donnera l'amour. Vous serez tous dans son amour et, plus jamais, mes enfants, vous ne serez dans la désobéissance, car vous serez dans l'accomplissement de son œuvre.
L'œuvre de son amour est pour mes enfants.
Il a créé l'homme à son image pour l'Amour, dans l'Amour, avec l'Amour, afin que vous ne fassiez qu'un avec lui, en lui, par lui.
Vous êtes en moi, son Fils, vous êtes les enfants de l'Amour, de son amour.
Je suis le Corps de l'Amour, vous êtes en mon Corps.
Le Corps brillera de toute sa puissance, car il n'y aura plus rien de désobéissance en le Corps du Christ.
Mon Église, mon Corps, mon unique amour, mon obéissance à Dieu le Père,
c'est vous en moi : je suis Unité d'amour.
Mes enfants, je vous prépare à cette union d'amour. Très bientôt, mes enfants, vous saurez qui sont vos frères et vos sœurs, car aucun d'entre eux ne vous sera inconnu : telle est la puissance de Dieu.
Ce que vous ne savez pas présentement : respectez-le, aimez-le, soyez dignes d'être avec : je vous parle de vos frères et de vos sœurs; vous êtes tous enfants de Dieu : tous, vous êtes choisis; conduisez-vous bien, mes enfants : en étant des enfants obéissants à l'appel de l'amour de votre Père.
Par la toute-puissance de l'Amour, par la puissance de mon Père, je vous demande, mes enfants, d'entrer en vous afin de recevoir la bénédiction de la Sainte Trinité. Amen.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Iberville, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-01-23
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je dois répéter les mots qui sont en moi. Ces mots sont vivants. Ils parlent d’amour, de l’amour de Dieu.
Jésus : Mes enfants d’amour, laissez-moi vous parler en votre intérieur. Laissez votre volonté humaine de côté et venez en vous, là, où je suis. Donnez-vous à moi. Je suis Dieu d’amour. Je suis vivant en chacun de vous. Je suis la Lumière du monde. Mes enfants d’amour, cet instrument qui parle a été choisi pour que moi, votre Dieu, je puisse vous parler.
Je donne des grâces à cette enfant, non pour qu’elle les garde pour elle, mais pour qu’elle donne, qu’elle donne à chacun de vous ce qu’elle reçoit : l’amour.
C’est l’amour qui fait vibrer en chacun de vous la vie.
La vie qui est en vous vient de moi : elle me reconnaît.
Quand je lui parle, elle entend, elle s’ouvre à mes paroles.
Votre volonté humaine, parfois, empêche la vie d’entendre son Dieu.
À chaque jour, je vous parle.
Je vous fais savoir que je suis en vous, que je me meus en vous.
Lorsque vous allez travailler, à chaque jour, je me fais présence pour vous aider à accomplir vos actions.
Vos actions doivent être amour et doivent comporter le bien.
Et vous : êtres d’amour; vous qui entendez la voix de la Vie : vous êtes vivants.
Lorsque vous donnez de vous-mêmes, vous donnez votre vie.
Lorsque vous travaillez, c’est que vous avez reçu, de moi, des grâces qui vous font accomplir vos actions :
c’est moi l’Agir.
Bien que des enfants s’accomplissent aujourd’hui en pensant que tout vient d’eux, moi, qui suis en eux, je les regarde et je les soutiens,
car cette constatation de se reconnaître comme des dieux les font mourir.
C’est moi qui les soutiens, c’est moi qui fais que chacun de vous êtes vivants.
Sans moi, vous ne pourriez, mes enfants, être actifs, vous ne pourriez donner,
car je suis le Don de vie.
Donnez-vous pour l’amour : cela, mes enfants, veut dire que lorsque vous accomplissez une action, faites-la parce que vous aimez la vie, non parce que vous faites cette action par routine, cela n'apportera rien, cela ne fera que répéter vos actions; moi, je vous parle de vous, de votre don de soi; aussi simple que soit cette action, donnez-la avec amour; c’est vous qui vous vous donnez et c’est vous qui êtes récompensés.
Lorsque vous faites une action et que vous la faites dans l’amour, vous êtes contents de vous, vous êtes fiers de ce que vous faites.
Mais si vous faites cette action en étant obligés de la faire dans un quotidien, vous vous imposez une action et cela ne vous fait pas plaisir; alors, vient des moments de tristesse, de lourdeur pour vous : vous portez sur votre épaule votre propre comportement.
Alors, vos journées de travail ne sont pas dans l’amour : vous vous épuisez; vous ne pouvez donner à votre prochain ce qu’il y a de bon en vous.
Lorsque vous présentez, mes enfants, une figure triste, c’est la personne qui vous regarde qui vous voit triste; vous, vous le ressentez en vous : vous êtes les premiers atteints par cette tristesse et ceux qui vous regardent, eux, perçoivent la tristesse; alors, ils ne veulent pas de vous; ils ne vous reçoivent pas en étant contents que vous soyez près d’eux : ils vous subissent.
Mes enfants de l’Amour, je vous parle par cet instrument pour vous faire connaître que vous devez être, avant tout
des enfants d’amour, contents de vous-mêmes, contents de ce que vous faites.
Vous allez pouvoir donner et aussi vous allez pouvoir recevoir.
Essayez de comprendre, mes enfants, qu’une journée faite avec amour est une journée non épuisante, mais une journée faite dans la tristesse, dans le mécontentement, est une journée lourde à porter.
Vous arrivez chez vous bien fatigués : vous ne pouvez pas donner, à ceux qui vous attendent, de la joie.
Vous êtes des enfants d’amour : vous devez vous donner de l’amour pour donner aux autres de l’amour.
À quoi sert, mes enfants, de vivre si vous n’appréciez pas qui vous êtes? On fait savoir à ce monde qu’il y a présentement des guerres, des rumeurs de guerre, des violences, des révoltes, des protestations, et vous, vous accueillez ça dans votre vie avec des questionnements : Où cela va-t-il nous amener? Qu’est-ce que l’on va vivre dans peu de temps? Pourquoi ce monde ne s’accepte-t-il pas dans l’amour?
Moi, Dieu d’amour, je veux crier au monde entier : «Paix et joie aux hommes de bonne volonté».
Tout est en vous : tout doit partir de vous.
Une journée faite dans la joie est une journée faite dans l’amour de Dieu.
Là est la Volonté de l’Amour : là doit être votre volonté. Mes enfants d’amour, pourquoi cette inquiétude?
Pourquoi toutes ces questions?
Les seules qui doivent être en vous, ce sont : "Est-ce que moi, je m’accepte tel comme je suis? Est-ce que moi, je m’aime assez pour me souhaiter la paix, la joie? Est-ce que je veux vivre en enfant d’amour pour que mon prochain me voit dans la joie, dans la paix de mon intérieur?"
Ce monde est bien triste, mes enfants!
Lorsque vous constatez ces événements qui tournent autour de vous, vous ne voyez que tristesse.
Vous ne voulez pas vivre dans ce monde où on parle de guerre, de violence, de révolte, où les enfants ne sont pas heureux!
Il faut avant tout que, vous, vous soyez heureux : il faut trouver de la joie en vous.
Commencez par vous.
Commencez à vous donner de la joie en prononçant à chaque jour votre oui à Dieu : "Ah! oui, Père, je te donne mon oui, je m’abandonne entre tes mains. Tu sais, toi, Père, ce qui est bon pour moi. J’ai confiance en toi, je veux m’abandonner. Donne-moi des grâces d’amour où je vais trouver la paix, où je vais découvrir la joie. Père d’amour, il n’y a que toi qui peux me faire vivre dans la paix et dans la joie. Viens me nourrir de toi, de tes grâces."
Dieu le Père : Mes enfants d’amour, moi votre Père, je vous demande de venir puiser ces grâces à la communion.
Venez prendre mon Fils, je vous l’ai donné.
En échange, mes enfants, donnez-moi votre oui, je vais vous nourrir de mes grâces : tout amour est un don de soi.
J’ai donné mon Oui à mon Fils. Mon Fils s’est offert pour effacer tous les péchés du monde : vos erreurs.
Oui, mes enfants, je connais tout de vous : vos faiblesses qui vous font succomber au péché. Aujourd’hui, mes pauvres petits enfants d’amour n’entendent presque plus parler de péché.
Ils ont été jadis persécutés par des prêtres, des religieux, des religieuses qui leur disaient que tout était péché :
alors, mes enfants ont eu une indigestion, alors, ils ne veulent plus goûter à ces paroles.
Oh! mes enfants d’amour, ne savez-vous pas que si vous avez goûté à quelque chose qui a été un trop pour vous, est-ce que vous allez rejeter ce qui a été une nourriture?
Ils vous ont nourri de paroles, de mes Paroles; ce qui a été en trop : c’est leur volonté humaine.
C’est de cela que vous avez été malades et non pas, mes enfants, de mes enseignements. Je vous ai donné des lois d’amour : mes lois d’amour, mes enfants, sont justes; elles sont vérité; elles vous protègent du mal; elles vous gardent dans la droiture; elles vous montrent à être heureux, à accueillir votre prochain, à ne pas vous faire du mal; elles vous montrent à vous donner; elles vous montrent à accueillir l’Amour :
c’est de cela, mes enfants, que vous devez vous nourrir pour ne pas tomber dans le péché.
Mes enfants, si, aujourd’hui, votre vie est triste, sans joie, c’est que vous ne vous nourrissez pas bien.
Vous apprenez à manger une nourriture informatique.
Elle vous informe, mes enfants, de tout ce qui est mal, mais ce mal, mes enfants, c’est la volonté humaine.
Vous la prenez pour vous : vous ne laissez pas Dieu vivre en vous pour que vous puissiez savoir si ce que vous entendez vient de moi ou des hommes.
Vous avez ouvert votre intelligence à tout ce qui est humain et vous avez fermé votre intérieur à tout ce qui est divin.
Moi, je vous parle d’amour, je vous parle de pardon, de réconciliation, de paix, de joie, de partage; je vous parle, mes enfants, de l’amour, du vrai amour, et tout ce que, vous, vous entendez c’est : "Ne fais pas cela. N’accomplis pas cela. Regarde ce qu’il fait. As-tu compris?"
Cela, mes enfants, ce sont des commandements : ils vous obligent.
Ils ne vous demandent pas : ils vous imposent. Ils ne vous donnent pas la liberté de connaître l’amour.
Vous avez appris, avec votre volonté humaine, à mettre des restrictions dans votre vie.
Vous avez appris à commander, à dominer, à juger.
Regardez, mes enfants, vous avez de la difficulté à pardonner.
L’amour est miséricorde : il veut vous apprendre à regarder avec les yeux de l’Amour,
à entendre des sons d’amour, à ouvrir votre cœur pour accueillir l’amour du prochain.
Mes enfants, il est si important de vous reconnaître comme étant des enfants d’amour.
Il sera plus facile pour vous de renoncer à votre volonté humaine si, mes amours, vous voulez vous donner à Dieu, en disant : "Je te donne tout, je veux m’abandonner à toi".
Il faut aussi que vous vous reconnaissiez comme étant des enfants faits pour être aimés et aimer.
Cela sera plus facile dans votre renoncement.
Je parle de renoncement, mes enfants, car vous devez donner à Dieu ce qui vous empêche d’être des enfants de paix et de joie. Je veux votre vie : un renoncement total à ce que vous connaissez présentement : votre vie humaine qui comporte votre volonté humaine.
Je veux vous donner la vie en Dieu, la vraie vie.
Vous ne serez pas esclaves.
Détrompez-vous, mes enfants!
Vous allez vivre en enfants libres avec ce que vous êtes, avec votre intelligence, avec l’amour de Dieu.
Je vais vous combler : ma Volonté, mes enfants, vous connaît mieux que vous, vous vous connaissez.
Combien d’entre vous faites des actions en ne sachant pas si cela va être bon ou mauvais pour vous?
Savez-vous pourquoi?
C’est parce que votre volonté humaine connaît le bien et le mal : vous vacillez entre le bien et le mal. Le monde d’aujourd’hui, mes enfants, s’est laissé prendre par le mal, car il parle que de violence, que de haine : il domine votre vie.
Moi, je veux vous faire vivre dans un monde d’amour.
Il faut que vous commenciez par vous, à l’instant même, là, où vous vivez.
Il faut que vous appreniez à vivre en enfants de Dieu.
Vous n’êtes pas faits pour vivre dans la volonté humaine. Non, mes enfants!
Vos premiers parents ont succombé à la tentation.
Ils ont connu le bien et le mal mais, avec les années, le mal a pris le dessus.
Et si, aujourd’hui, vous connaissez le bien encore, c’est que je suis en vous,
je vis en vous, je vous nourris de mes grâces d’amour.
Beaucoup d’enfants, mes enfants, ont donné leur oui et ils vous ont portés. Par leur oui, j’ai déversé en vous des grâces qui vous ont aidés à vous acheminer vers une vie nouvelle.
Mes amours, je parle à des instruments pour vous annoncer une nouvelle : le royaume sur la terre.
Chacun de vous prononce le "Notre Père" et vous dites : "Donnez-nous, aujourd’hui, notre pain de ce jour"; mes enfants d’amour, je viens vous apporter un pain d’amour; je viens déposer en chacun de vous des grâces d’amour pour vous faire comprendre que mon règne vient sur la terre.
Le règne qui aurait dû être si Adam et Ève n’avaient pas désobéi.
Je vous prépare à la venue de mon Fils en gloire dans les cœurs.
Chacun de vous êtes en ce moment en train de vous laisser transformer par mes grâces, telle cette enfant qui vous parle; elle a prononcé son oui dans un abandon total et, à chaque jour, elle s’est laissée transformer par mes grâces, et elle n’est pas la seule. Beaucoup d’enfants en ce moment sont remplis de l’Esprit Saint : ils ont donné leur oui; ils ont accepté que je prenne leur volonté humaine et que je les fasse vivre dans ma Volonté; ils perçoivent l’Amour; ils sentent en eux ma Présence.
Ces enfants sont des enfants de lumière, et si ce soir vous êtes ici, c’est que je vous ai choisis, et c’est vous qui avez répondu à mon appel.
Lorsque des enfants prennent la peine de se déplacer pour venir entendre un enfant, comme vous, parler dans le Saint-Esprit, c’est que vous avez ouvert une porte intérieure à Dieu.
Je vous parle en chacun de vous.
Vous devez entendre, mes enfants, la voix qui vous parle, car c’est elle qui vous a fait venir ici.
Je vous ai parlé et vous avez répondu à mon appel. Cela ne vient pas de vous, c’est moi, la Volonté Divine.
Tout ce qui est bon, mes enfants, vient de moi, cela ne peut venir de vous.
Vous, vous avez prononcé votre oui à vouloir accomplir ma Volonté.
Vous avez dit oui, mes enfants, avec votre volonté humaine.
Mes enfants d’amour, je vous annonce une ère d’amour, une ère de paix, une ère de joie, où vous vivrez dans la Divine Volonté avec vos frères, avec vos sœurs.
Il n’y aura plus jamais de rumeurs de guerre, de guerre, de violence, de révolte; plus jamais, mes enfants, car vous vivrez dans l’harmonie, une harmonie d’amour. Et si vous doutez des paroles de votre Dieu, déposez cela sur la patène : mon Fils, par les mains de mon saint prêtre, me les présentera et je déposerai en vous des grâces de foi qui vous feront voir la lumière intérieure.
Mes enfants, à vous seuls de prononcer votre oui : il vous appartient, il est à vous.
Moi, votre Père, j’ai respecté votre liberté et je vais respecter votre liberté jusqu’à la fin : et votre choix sera éternel.
Mes enfants d’amour, si votre oui est prononcé, vous connaîtrez le royaume de Dieu sur la terre : un royaume d’amour, un royaume de paix et de joie, et si vous prononcez un non dans votre choix : vous ne pourrez plus vivre auprès de mes enfants de la Lumière : cela sera décisif.
Par la puissance de l’Amour, je dépose en chacun de vous des grâces de lumière pour vous avoir avec moi pour l’éternité. À moi, la Puissance, de vous dire que tout s’accomplira comme moi je le veux.
Mes enfants d’amour, recevez la paix. Recevez la bénédiction de l’Amour.
Abbé Conrad Verreault : Dieu tout-puissant, viens dans le cœur de chacun de nous y mettre l’amour. Ce n’est pas toujours facile d’aimer, mais toi, tu es Amour et tu nous dis que là où est l’amour, tu t’y trouves. Alors, nous te demandons de nous bénir et mettre cet amour dans notre cœur, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen!
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-01-23
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je dois répéter les mots qui sont en moi. Ces mots sont vivants. Ils parlent d’amour, de l’amour de Dieu.
Jésus : Mes enfants d’amour, laissez-moi vous parler en votre intérieur. Laissez votre volonté humaine de côté et venez en vous, là, où je suis. Donnez-vous à moi. Je suis Dieu d’amour. Je suis vivant en chacun de vous. Je suis la Lumière du monde. Mes enfants d’amour, cet instrument qui parle a été choisi pour que moi, votre Dieu, je puisse vous parler.
Je donne des grâces à cette enfant, non pour qu’elle les garde pour elle, mais pour qu’elle donne, qu’elle donne à chacun de vous ce qu’elle reçoit : l’amour.
C’est l’amour qui fait vibrer en chacun de vous la vie.
La vie qui est en vous vient de moi : elle me reconnaît.
Quand je lui parle, elle entend, elle s’ouvre à mes paroles.
Votre volonté humaine, parfois, empêche la vie d’entendre son Dieu.
À chaque jour, je vous parle.
Je vous fais savoir que je suis en vous, que je me meus en vous.
Lorsque vous allez travailler, à chaque jour, je me fais présence pour vous aider à accomplir vos actions.
Vos actions doivent être amour et doivent comporter le bien.
Et vous : êtres d’amour; vous qui entendez la voix de la Vie : vous êtes vivants.
Lorsque vous donnez de vous-mêmes, vous donnez votre vie.
Lorsque vous travaillez, c’est que vous avez reçu, de moi, des grâces qui vous font accomplir vos actions :
c’est moi l’Agir.
Bien que des enfants s’accomplissent aujourd’hui en pensant que tout vient d’eux, moi, qui suis en eux, je les regarde et je les soutiens,
car cette constatation de se reconnaître comme des dieux les font mourir.
C’est moi qui les soutiens, c’est moi qui fais que chacun de vous êtes vivants.
Sans moi, vous ne pourriez, mes enfants, être actifs, vous ne pourriez donner,
car je suis le Don de vie.
Donnez-vous pour l’amour : cela, mes enfants, veut dire que lorsque vous accomplissez une action, faites-la parce que vous aimez la vie, non parce que vous faites cette action par routine, cela n'apportera rien, cela ne fera que répéter vos actions; moi, je vous parle de vous, de votre don de soi; aussi simple que soit cette action, donnez-la avec amour; c’est vous qui vous vous donnez et c’est vous qui êtes récompensés.
Lorsque vous faites une action et que vous la faites dans l’amour, vous êtes contents de vous, vous êtes fiers de ce que vous faites.
Mais si vous faites cette action en étant obligés de la faire dans un quotidien, vous vous imposez une action et cela ne vous fait pas plaisir; alors, vient des moments de tristesse, de lourdeur pour vous : vous portez sur votre épaule votre propre comportement.
Alors, vos journées de travail ne sont pas dans l’amour : vous vous épuisez; vous ne pouvez donner à votre prochain ce qu’il y a de bon en vous.
Lorsque vous présentez, mes enfants, une figure triste, c’est la personne qui vous regarde qui vous voit triste; vous, vous le ressentez en vous : vous êtes les premiers atteints par cette tristesse et ceux qui vous regardent, eux, perçoivent la tristesse; alors, ils ne veulent pas de vous; ils ne vous reçoivent pas en étant contents que vous soyez près d’eux : ils vous subissent.
Mes enfants de l’Amour, je vous parle par cet instrument pour vous faire connaître que vous devez être, avant tout
des enfants d’amour, contents de vous-mêmes, contents de ce que vous faites.
Vous allez pouvoir donner et aussi vous allez pouvoir recevoir.
Essayez de comprendre, mes enfants, qu’une journée faite avec amour est une journée non épuisante, mais une journée faite dans la tristesse, dans le mécontentement, est une journée lourde à porter.
Vous arrivez chez vous bien fatigués : vous ne pouvez pas donner, à ceux qui vous attendent, de la joie.
Vous êtes des enfants d’amour : vous devez vous donner de l’amour pour donner aux autres de l’amour.
À quoi sert, mes enfants, de vivre si vous n’appréciez pas qui vous êtes? On fait savoir à ce monde qu’il y a présentement des guerres, des rumeurs de guerre, des violences, des révoltes, des protestations, et vous, vous accueillez ça dans votre vie avec des questionnements : Où cela va-t-il nous amener? Qu’est-ce que l’on va vivre dans peu de temps? Pourquoi ce monde ne s’accepte-t-il pas dans l’amour?
Moi, Dieu d’amour, je veux crier au monde entier : «Paix et joie aux hommes de bonne volonté».
Tout est en vous : tout doit partir de vous.
Une journée faite dans la joie est une journée faite dans l’amour de Dieu.
Là est la Volonté de l’Amour : là doit être votre volonté. Mes enfants d’amour, pourquoi cette inquiétude?
Pourquoi toutes ces questions?
Les seules qui doivent être en vous, ce sont : "Est-ce que moi, je m’accepte tel comme je suis? Est-ce que moi, je m’aime assez pour me souhaiter la paix, la joie? Est-ce que je veux vivre en enfant d’amour pour que mon prochain me voit dans la joie, dans la paix de mon intérieur?"
Ce monde est bien triste, mes enfants!
Lorsque vous constatez ces événements qui tournent autour de vous, vous ne voyez que tristesse.
Vous ne voulez pas vivre dans ce monde où on parle de guerre, de violence, de révolte, où les enfants ne sont pas heureux!
Il faut avant tout que, vous, vous soyez heureux : il faut trouver de la joie en vous.
Commencez par vous.
Commencez à vous donner de la joie en prononçant à chaque jour votre oui à Dieu : "Ah! oui, Père, je te donne mon oui, je m’abandonne entre tes mains. Tu sais, toi, Père, ce qui est bon pour moi. J’ai confiance en toi, je veux m’abandonner. Donne-moi des grâces d’amour où je vais trouver la paix, où je vais découvrir la joie. Père d’amour, il n’y a que toi qui peux me faire vivre dans la paix et dans la joie. Viens me nourrir de toi, de tes grâces."
Dieu le Père : Mes enfants d’amour, moi votre Père, je vous demande de venir puiser ces grâces à la communion.
Venez prendre mon Fils, je vous l’ai donné.
En échange, mes enfants, donnez-moi votre oui, je vais vous nourrir de mes grâces : tout amour est un don de soi.
J’ai donné mon Oui à mon Fils. Mon Fils s’est offert pour effacer tous les péchés du monde : vos erreurs.
Oui, mes enfants, je connais tout de vous : vos faiblesses qui vous font succomber au péché. Aujourd’hui, mes pauvres petits enfants d’amour n’entendent presque plus parler de péché.
Ils ont été jadis persécutés par des prêtres, des religieux, des religieuses qui leur disaient que tout était péché :
alors, mes enfants ont eu une indigestion, alors, ils ne veulent plus goûter à ces paroles.
Oh! mes enfants d’amour, ne savez-vous pas que si vous avez goûté à quelque chose qui a été un trop pour vous, est-ce que vous allez rejeter ce qui a été une nourriture?
Ils vous ont nourri de paroles, de mes Paroles; ce qui a été en trop : c’est leur volonté humaine.
C’est de cela que vous avez été malades et non pas, mes enfants, de mes enseignements. Je vous ai donné des lois d’amour : mes lois d’amour, mes enfants, sont justes; elles sont vérité; elles vous protègent du mal; elles vous gardent dans la droiture; elles vous montrent à être heureux, à accueillir votre prochain, à ne pas vous faire du mal; elles vous montrent à vous donner; elles vous montrent à accueillir l’Amour :
c’est de cela, mes enfants, que vous devez vous nourrir pour ne pas tomber dans le péché.
Mes enfants, si, aujourd’hui, votre vie est triste, sans joie, c’est que vous ne vous nourrissez pas bien.
Vous apprenez à manger une nourriture informatique.
Elle vous informe, mes enfants, de tout ce qui est mal, mais ce mal, mes enfants, c’est la volonté humaine.
Vous la prenez pour vous : vous ne laissez pas Dieu vivre en vous pour que vous puissiez savoir si ce que vous entendez vient de moi ou des hommes.
Vous avez ouvert votre intelligence à tout ce qui est humain et vous avez fermé votre intérieur à tout ce qui est divin.
Moi, je vous parle d’amour, je vous parle de pardon, de réconciliation, de paix, de joie, de partage; je vous parle, mes enfants, de l’amour, du vrai amour, et tout ce que, vous, vous entendez c’est : "Ne fais pas cela. N’accomplis pas cela. Regarde ce qu’il fait. As-tu compris?"
Cela, mes enfants, ce sont des commandements : ils vous obligent.
Ils ne vous demandent pas : ils vous imposent. Ils ne vous donnent pas la liberté de connaître l’amour.
Vous avez appris, avec votre volonté humaine, à mettre des restrictions dans votre vie.
Vous avez appris à commander, à dominer, à juger.
Regardez, mes enfants, vous avez de la difficulté à pardonner.
L’amour est miséricorde : il veut vous apprendre à regarder avec les yeux de l’Amour,
à entendre des sons d’amour, à ouvrir votre cœur pour accueillir l’amour du prochain.
Mes enfants, il est si important de vous reconnaître comme étant des enfants d’amour.
Il sera plus facile pour vous de renoncer à votre volonté humaine si, mes amours, vous voulez vous donner à Dieu, en disant : "Je te donne tout, je veux m’abandonner à toi".
Il faut aussi que vous vous reconnaissiez comme étant des enfants faits pour être aimés et aimer.
Cela sera plus facile dans votre renoncement.
Je parle de renoncement, mes enfants, car vous devez donner à Dieu ce qui vous empêche d’être des enfants de paix et de joie. Je veux votre vie : un renoncement total à ce que vous connaissez présentement : votre vie humaine qui comporte votre volonté humaine.
Je veux vous donner la vie en Dieu, la vraie vie.
Vous ne serez pas esclaves.
Détrompez-vous, mes enfants!
Vous allez vivre en enfants libres avec ce que vous êtes, avec votre intelligence, avec l’amour de Dieu.
Je vais vous combler : ma Volonté, mes enfants, vous connaît mieux que vous, vous vous connaissez.
Combien d’entre vous faites des actions en ne sachant pas si cela va être bon ou mauvais pour vous?
Savez-vous pourquoi?
C’est parce que votre volonté humaine connaît le bien et le mal : vous vacillez entre le bien et le mal. Le monde d’aujourd’hui, mes enfants, s’est laissé prendre par le mal, car il parle que de violence, que de haine : il domine votre vie.
Moi, je veux vous faire vivre dans un monde d’amour.
Il faut que vous commenciez par vous, à l’instant même, là, où vous vivez.
Il faut que vous appreniez à vivre en enfants de Dieu.
Vous n’êtes pas faits pour vivre dans la volonté humaine. Non, mes enfants!
Vos premiers parents ont succombé à la tentation.
Ils ont connu le bien et le mal mais, avec les années, le mal a pris le dessus.
Et si, aujourd’hui, vous connaissez le bien encore, c’est que je suis en vous,
je vis en vous, je vous nourris de mes grâces d’amour.
Beaucoup d’enfants, mes enfants, ont donné leur oui et ils vous ont portés. Par leur oui, j’ai déversé en vous des grâces qui vous ont aidés à vous acheminer vers une vie nouvelle.
Mes amours, je parle à des instruments pour vous annoncer une nouvelle : le royaume sur la terre.
Chacun de vous prononce le "Notre Père" et vous dites : "Donnez-nous, aujourd’hui, notre pain de ce jour"; mes enfants d’amour, je viens vous apporter un pain d’amour; je viens déposer en chacun de vous des grâces d’amour pour vous faire comprendre que mon règne vient sur la terre.
Le règne qui aurait dû être si Adam et Ève n’avaient pas désobéi.
Je vous prépare à la venue de mon Fils en gloire dans les cœurs.
Chacun de vous êtes en ce moment en train de vous laisser transformer par mes grâces, telle cette enfant qui vous parle; elle a prononcé son oui dans un abandon total et, à chaque jour, elle s’est laissée transformer par mes grâces, et elle n’est pas la seule. Beaucoup d’enfants en ce moment sont remplis de l’Esprit Saint : ils ont donné leur oui; ils ont accepté que je prenne leur volonté humaine et que je les fasse vivre dans ma Volonté; ils perçoivent l’Amour; ils sentent en eux ma Présence.
Ces enfants sont des enfants de lumière, et si ce soir vous êtes ici, c’est que je vous ai choisis, et c’est vous qui avez répondu à mon appel.
Lorsque des enfants prennent la peine de se déplacer pour venir entendre un enfant, comme vous, parler dans le Saint-Esprit, c’est que vous avez ouvert une porte intérieure à Dieu.
Je vous parle en chacun de vous.
Vous devez entendre, mes enfants, la voix qui vous parle, car c’est elle qui vous a fait venir ici.
Je vous ai parlé et vous avez répondu à mon appel. Cela ne vient pas de vous, c’est moi, la Volonté Divine.
Tout ce qui est bon, mes enfants, vient de moi, cela ne peut venir de vous.
Vous, vous avez prononcé votre oui à vouloir accomplir ma Volonté.
Vous avez dit oui, mes enfants, avec votre volonté humaine.
Mes enfants d’amour, je vous annonce une ère d’amour, une ère de paix, une ère de joie, où vous vivrez dans la Divine Volonté avec vos frères, avec vos sœurs.
Il n’y aura plus jamais de rumeurs de guerre, de guerre, de violence, de révolte; plus jamais, mes enfants, car vous vivrez dans l’harmonie, une harmonie d’amour. Et si vous doutez des paroles de votre Dieu, déposez cela sur la patène : mon Fils, par les mains de mon saint prêtre, me les présentera et je déposerai en vous des grâces de foi qui vous feront voir la lumière intérieure.
Mes enfants, à vous seuls de prononcer votre oui : il vous appartient, il est à vous.
Moi, votre Père, j’ai respecté votre liberté et je vais respecter votre liberté jusqu’à la fin : et votre choix sera éternel.
Mes enfants d’amour, si votre oui est prononcé, vous connaîtrez le royaume de Dieu sur la terre : un royaume d’amour, un royaume de paix et de joie, et si vous prononcez un non dans votre choix : vous ne pourrez plus vivre auprès de mes enfants de la Lumière : cela sera décisif.
Par la puissance de l’Amour, je dépose en chacun de vous des grâces de lumière pour vous avoir avec moi pour l’éternité. À moi, la Puissance, de vous dire que tout s’accomplira comme moi je le veux.
Mes enfants d’amour, recevez la paix. Recevez la bénédiction de l’Amour.
Abbé Conrad Verreault : Dieu tout-puissant, viens dans le cœur de chacun de nous y mettre l’amour. Ce n’est pas toujours facile d’aimer, mais toi, tu es Amour et tu nous dis que là où est l’amour, tu t’y trouves. Alors, nous te demandons de nous bénir et mettre cet amour dans notre cœur, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen!
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Saint-Liguori, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-02-08
Jésus : Mes enfants d’amour, Dieu accorde à votre volonté humaine un instant : un seul instant, dans l’éternité. Cette intimité est une intimité faite à partir d’un instrument. Ce petit instant, mes enfants, est pour vous : il a été choisi dans le temps. Vous n’êtes pas ici par le hasard. Moi, je vous dis, par cet instrument d’amour, que j'ai vu et que j’ai préparé, par mon amour, cet instant.
Je veux vous avoir à moi, je veux vous combler,
je veux vous montrer l’importance de mon amour pour vous.
Votre temps, mes enfants, a été choisi depuis toute éternité pour connaître la Volonté de Dieu dans le présent.
J’ai enseigné à mes apôtres mes enseignements; ils comportaient l’amour de mon Père.
Ces mêmes enseignements sont toujours présents; ils ont été gravés en vous car je suis la Parole.
La Parole est vie, la Parole est présence; comme vous êtes ici présents, vous êtes donc en ma Présence.
Vous vivez en moi, je vous fais vivre.
À chaque instant de votre vie qui se passe au présent : c’est moi la Vie en vous, c’est moi qui vous apporte vos besoins, c’est moi qui vous fais connaître ce qui est nécessaire à votre vie corporelle, afin que vous puissiez vous acheminer dans votre quotidien avec vos frères, avec vos sœurs.
Mes enfants d’amour, j’ai donné à mes apôtres des paroles vivantes : comment vous deviez vous comporter.
C'est la présence de Dieu en vous, vous êtes en Dieu.
Vous avez oublié, pour la plupart, mes paroles.
Je dis cela parce que vous portez vos frères et vos sœurs.
Vous qui êtes ici, vous avez accepté, mes enfants, de vivre dans la Divine Volonté.
Vivre dans la Divine Volonté, c’est renoncer à votre volonté humaine
pour venir vous plonger dans mon agir.
Vous portez tous vos frères et vos sœurs et c’est pour eux aussi que je parle; je ne parle pas seulement pour vous qui écoutez de vos oreilles humaines cet instrument; je parle et c’est la Parole que vous entendez.
La Parole est vivante, elle est agissante : elle sort de la Divine Volonté pour donner, à tous les enfants de la terre, des grâces.
Vous êtes en mouvement d’amour, vous êtes agissants lorsque vous vous abandonnez à ma Volonté :
vous apportez à tous les enfants de la terre mes paroles, vous ouvrez votre cœur,
vous laissez Dieu donner à tous ses enfants des grâces d’amour.
Ce temps, mes enfants, est un temps présent.
Vous vivez au présent et cela est dans l’éternité.
Il n’y a pas de temps passé, de temps futur dans l’éternité car l’éternité EST.
Vous êtes en Dieu, je suis l’Alpha et l’Oméga.
Tout en moi est la Puissance.
Je suis l’Oint de mon Père, de votre Père.
Il m’a donné tout et je vous donne tout.
À ceux qui répondent oui, j’ouvre un torrent de grâces.
Ce même torrent de grâces que j’ai donné sur ma Croix : il est dans le présent.
Je ne cesse de laisser couler mon Sang Précieux pour vous purifier.
Il y a en ce monde tant de péchés et tant qu’il y aura un seul péché, je laisserai couler mon Sang, mon Sang Purificateur.
Je viens, mes enfants, très bientôt vous montrer le présent.
Je viens très bientôt vous démontrer que vous êtes présents : moi, mes enfants, JE SUIS.
Bientôt, je vais vous montrer que vous avez toujours été en moi.
Mes enfants d’amour, il y a en vous un endroit merveilleux où tout n’est que lumière, que joie, que bonheur, qu’allégresse: c’est le Ciel, c'est la demeure de Dieu.
Il est en chacun de vous, c'est vous, mes enfants, qui ne le percevez pas.
J’ai déposé en vous cet endroit afin que je puisse habiter votre intérieur.
Dieu dans sa toute-puissance, dans sa divinité de vue, a vu les hommes; il a vu combien ils étaient faibles, ces hommes qui ont dit non à l’obéissance! Mes enfants d’amour, lorsque Adam a été créé, j’ai mis en lui ma Présence.
Le souffle de Dieu est en vous : la vie.
La vie est moi, vous ne pourriez vivre sans Dieu.
J’ai mis en Adam un endroit d’amour afin que Dieu habite son enfant.
J’ai déposé en lui toutes les grâces afin qu’il puisse s’épanouir en la présence de Dieu. Dieu, amoureux de son enfant, le combla.
Il lui donna tout pour qu’il puisse se reconnaître enfant de Dieu, mais Dieu voulait aussi avoir de cet enfant de l’amour; il avait donné son amour, il voulait aussi que lui se donne.
Pour cela, il lui demanda l’obéissance.
Que fait-il, lui, l’enfant de Dieu, lui qui devait aimer Dieu?
Il s’éloigna de lui pour aller prendre ce que Dieu lui avait demandé de ne pas prendre. Mes enfants d’amour, vous avez, vous aussi, pris ce que lui a pris : votre volonté humaine.
Je vous ai donné l’amour et je réclame de l’amour.
J’ai tout vu en vous : j’ai vu ce que cette désobéissance allait faire en chacun de vous, et j’ai donné l’amour, mon amour, afin que vous puissiez montrer à mon Père que vous l’aimez.
C’est pour ça, mes enfants, que je suis venu parmi vous enseigner à mes apôtres l’amour de mon Père afin que vous puissiez répondre à son appel d’amour.
Vous avez en vous tout ce que Adam a reçu.
Vous avez le Ciel en vous.
Il faut venir en vous pour vous laisser prendre par Dieu afin que vous puissiez vous épanouir.
Il n’y a que moi, son Fils, qui peut vous rendre comme Adam était avant la désobéissance.
Il faut être obéissant à ma Parole, à cette Parole qui est en vous.
Tous les enseignements sont dans le présent; il faut maintenant, mes amours, que vous les approfondissiez avec votre présent afin que vous puissiez vous reconnaître tels que vous êtes.
Après la chute de vos premiers parents, vous avez laissé pénétrer en vous tant d’erreurs, tant de faussetés!
Vous êtes devenus engourdis par vos erreurs, vos faussetés; le malin a su vous manipuler; moi, mes amours, pas un seul instant je n’ai quitté l’endroit où je me suis installé : en vous.
Seulement au moment où moi, votre Dieu, je vous montrerai que vous êtes en ma présence, seulement là, il y aura une décision à prendre : celle de savoir si vous voulez toujours être en ma présence. Mes amours, il n’y aura pas d’autres moments pour vous.
Dans l’éternité, nous avons choisi le moment; il sera unique, tel mon Sacrifice sur la Croix : il est unique.
Lorsque vous serez en présence de Dieu, vous serez en présence de votre vie : de la vie en vous;
je vous demanderai, à ce moment, de l’amour.
Moi qui vous ai tout donné, qui vous ai donné de l’amour, je vais réclamer cet amour, et c’est seulement un mot qui fera que vous serez dans l’éternité en ma Présence.
Si ce mot est oui, vous serez appelés enfants de Dieu, mais si ce mot est non, vous ne serez plus en présence de Dieu, et c’est vous-mêmes qui l’aurez choisi. Oh! mes amours, mes tendres aimés, voyez ma supplication!
À chaque instant, je me laisse crucifier pour vous, mon Sang coule pour vous.
Je vous aime, je veux vous avoir en moi, en ma Vie pour l’éternité.
Il faut me donner votre vie, il faut me donner la vie de tous vos frères et de toutes vos sœurs que vous portez en vous.
Ô Parole, fais propager l’amour, donne aux enfants des grâces qui leur font réaliser
qu'ils sont enfants de Dieu, apprends-leur à se reconnaître tels qu’ils sont!
La Vie va les aider à devenir des enfants d’amour.
Oh! petits aimés, vous qui êtes ici présents, sachez combien j’aime tous ceux que vous portez!
Il n’y a pas de plus grand amour que le mien.
Aucun mot que vous connaissez ne peut le décrire, il n’y a que ma Mère qui le connaît.
Amours de ma vie, donnez-moi vos vies.
Je veux vos vies pour ceux : qui ne me donnent rien, qui me renient, qui me blasphèment, qui me jettent des pierres, qui percent mon Cœur, qui font connaître à d’autres enfants que je ne suis pas présent en eux.
J’ai tant besoin de vous! Je vous aime!
Je crie ces paroles parce qu’elles ne sont pas entendues : elles ne font que passer. Petits amours, je veux que vous soyez obéissants à mes enseignements; je veux vous faire connaître qui vous êtes, ce que le péché a fait en vous.
Vous allez découvrir, mes amours : combien je vous aime, combien je connais tout de vous et combien je vous ai soutenus malgré vos défauts; je veux vous apporter la paix; je veux éloigner de vous les inquiétudes : tout ce qui fait peur porte au jugement; tout ce qui est violent vous amène des sentiments d’inquiétude; il faut savoir que, quand vous êtes resplendissants, vous êtes des enfants d’amour faits de Dieu.
Je veux enlever tout ce que le péché a fait : vous êtes de moi, vous n’êtes pas des enfants insouciants, coléreux, jugeurs, menteurs, violeurs; vous n’êtes pas des tueurs d’âmes, vous êtes des enfants de Dieu. Regardez ce petit bébé (bébé présent lors de la rencontre), il est la vie, il est pur.
Il n’y a pas de plus beau bébé que celui-là, car il est de moi.
Vous êtes uniques pour moi : vous êtes tous ce petit bébé.
Vous m’êtes si précieux!
Oh! laissez-vous caresser par moi, laissez-vous bercer par ma tendresse; laissez-vous prendre
par les ailes de l’Esprit Saint qui veut vous montrer que vous êtes si petits, si légers
qu’un seul souffle et vous montez vers mon Père, mon Père du Ciel.
Mes amours, Dieu lui-même a choisi cet instrument : elle ne s’est pas choisie; elle ne savait même pas pourquoi elle était de ce monde : elle l’est devenue parce qu’elle a répondu à l’obéissance; elle a avancé en ayant le péché en elle : elle a connu, tout comme vous, la honte, l’indignation; elle s’est reconnue pécheresse et, aujourd’hui, elle sait qu’elle se doit totalement à moi parce que, sans moi : elle n’est que péché; je suis, moi, la Pureté : elle ne peut donc vivre que par moi pour être pure.
Mes enfants d’amour, pour parler en Dieu, par Dieu, avec Dieu, pour oublier son corps, ses pensées, pour oublier sa vie extérieure : il faut dire oui, et c’est ce oui qui a fait que je suis en Parole ici, elle sort ce qu’elle entend
et, moi, je fais fonctionner son corps parce que je le veux et parce qu’elle a prononcé son oui.
Ces moments sont pour vous et pour tous les enfants que vous portez.
Je viens moi-même vous dire que vous vivez présentement des moments de grâces; ils vous préparent à ma venue de vue en chacun de vous, en tous les enfants que vous portez.
Il a été dit que vous verrez le royaume de mon Père : Qui me voit, voit mon Père
vous verrez le Fils du Père; vous verrez, mes enfants, la Parole s’accomplir car Dieu est vérité; tout ce qui est de lui est en vous; vous ne pouvez échapper à ce qui est en vous :
la Parole est vivante, la Parole est vie.
Donnez à Dieu votre vie afin que vous puissiez faire sa Volonté d’amour; en voulant vivre dans le présent, vous acceptez ma Présence en vous : vous verrez, mes enfants, le présent s’accomplir; ne vous posez pas de questions sur la date : que de temps perdu! Soyez au présent; profitez des grâces et faites profiter, à ceux que vous portez, des grâces que je donne; quand viendra le temps de la Grande Purification, mes enfants d’amour : vous serez prêts. Je donne à chacun de vous des grâces d’amour; par la présence de mes prêtres, recevez ces grâces. Amen.
Abbé André Chevalier : De Dieu tout-puissant dans son infinie miséricorde, de Jésus-Christ le Fils obéissant, de l'Esprit de Vie, l'Amour en nos vies, qu'ils vous gardent à jamais dans leur paix; au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Beaucoup d’entre vous avez reçu des grâces aujourd’hui. Ces grâces sont présentes parce que Dieu le veut.
Quand il est venu se faire entendre en moi, je n’ai pas cru que cela pouvait m’arriver. Moi, parmi des millions et des millions, qui j’étais, moi? Cela ne se fait pas aussi facilement que ça. C’est des journées entières à se poser des questions: pourquoi moi, Jésus?
Et en même temps, une joie, une joie qui se laisse développer en nous, en moi, sans que je veuille l’arrêter;
en même temps que je me sentais indigne, il y avait quelque chose en moi qui me faisait avancer : une grâce de toujours dire oui, et je souffrais parce que je me demandais : "Seigneur, est-ce que c’est de l’orgueil?" : en même temps parce que ça fait mal de me sentir une choisie. Je vivais ça dans la solitude, parce que je n’osais pas en parler à personne : c’était assez souffrant; mon mari était vivant dans ces moments-là; j’avais des bons enfants; je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, mais j’accueillais tout ça; aussi, je crois que j’ai eu une belle grâce : de ne pas penser à l’avenir; c'est comme si je me laissais couler à chaque instant dans ce qui se passait autour de moi, de ce que je ne comprenais pas : cette voix qui parlait à l’intérieur de moi, qui semblait se mélanger à mes pensées; quelquefois et, pas seulement quelquefois, je me disais : "Ah! c’est mon imagination"; alors la voix me disait : «C'est moi. C'est moi qui te parle, écoute» : alors c’était des «je t’aime».
Ça ne s’est pas fait aussi facilement que ça, il me demandait tout le temps de l’abandon, et Maman Marie disait : "Sois obéissante"; malgré mes doutes, je faisais tout ce qu’on me disait; cette voix qui parlait à l’intérieur de moi, je l’écoutais, toujours malgré mon doute; je continuais à écouter, parce ce que tout ce que j’entendais : c’était des mots d’amour; il n’y avait pas mal à faire ce qu’on me disait parce que c’était des mots de : «Je t’aime. Donne-toi. Regarde comment il est beau, il est à moi cet enfant». (Avant la mort de mon mari) Puis quand il disait : «Regarde ton mari. Je suis en lui».
Ah! j’avais beaucoup à développer, à renoncer, à m’abandonner parce que je m’obstinais beaucoup avec mon mari; c’était un peu mon tempérament depuis toute petite, quand même assez petite, là, c’est..., je me rappelle parce que chez nous, ils disaient que j’avais une tête de cochon : je voulais toujours avoir raison; alors, ça continuait toujours avec mon mari; mais mon mari était comme moi, il s’obstinait autant que moi; mais c’était jamais méchant, là : si je disais : "Ah! j’ai payé ça..." (lui) "mais non, t’as pas payé ça..., t’as payé ça..." (moi) "bien non, c’est pas ça"; alors moi, je m’amusais, pas m’amusais, mais j’allais lui montrer des preuves : "regarde, j’ai les reçus, là, regarde, c’est bien ça"; alors, ça été ma vie, pas toute ma vie mais, quand même! ça a développé avec mon mari des moments d’obstination, oui, pas méchants, mais il y avait des moments que je voulais pas lui parler;
ouf! ça durait peut-être quelques minutes, mais le Seigneur, il me disait : «Regarde-le, dis-lui que tu l’aimes» ah! je ne pouvais pas ne pas obéir à la voix à l’intérieur de moi; j’avais toujours mon côté humain qui m’empêchait de me laisser aller, mais j’écoutais la voix : alors j’allais le faire; je disais : "Je t’aime", et quelquefois il disait : «Va l’embrasser»; ah! mon Dieu! ça, c’était après une obstination, là : alors là, j’y allais. Alors, comment voulez-vous que je puisse douter que la voix à l’intérieur de moi venait du mal?
Je ne le pouvais pas, alors je me suis dit dans les moments très durs : "Eh bien! si c’est moi qui le fais, il n'y a pas de mal à ça"; mais, là, j’ai commencé à dire : "Oh! si c’était de la tromperie!" mais j’écris ce que la voix me dit et pourtant… ce qu’il me faisait écrire, c’était des choses que je ne connaissais même pas; mais, dans des moments de doute, tout ce qui me venait : "Ah! s’il fallait que je trompe mes frères et mes sœurs, s’il fallait que cela vienne de moi!" ça, ça m’a fait souffrir le plus : c’était de vous tromper!
C’était très dur, je suppliais Jésus de m’enlever la voix à l’intérieur de moi, puis, là, il me donnait des consolations par des grâces : je sentais des belles joies à l’intérieur de moi; alors j’étais, comme ça tout d’un coup : j’étais tout apaisée, tout en paix à l’intérieur de moi : là, je ne m’en faisais plus.
Alors, je crois, que Dieu permettait ces moments-là pour me purifier de tous mes péchés, et j’en ai, comme tous les enfants, parce qu'on est avec notre volonté humaine, fait beaucoup.
Vous savez, aujourd’hui, on dit qu’il n’y a plus de péché. Vous allez être surpris : dans le quatrième volume, quand il dit ce qu’on va voir à l’intérieur de nous, croyez-moi qu’on a à se laisser prendre par ses grâces en ce moment pour se laisser purifier.
Aujourd’hui, je continue sans avoir cette souffrance en moi; je ne doute plus de la voix que j’entends parce que ce que j’écris : je ne crois pas, moi, que j’en serais capable et je ne crois pas que Monique, non plus, en serait capable, et les gens, non plus autour de moi; peut-être qu’il y en a, je ne le sais pas, ce n’est même pas à moi de savoir oui ou non; non, je parle de ce que, moi, je connais; j’en connais pas beaucoup, mais je sais que ce que j’entends à l’intérieur de moi, c’est tellement merveilleux! c’est de l’amour, de l’amour, de l’amour! c’est du pardon, du pardon, du pardon! c’est de la miséricorde! C’est merveilleux, vous savez, ce que je vis et je crois aussi que pour Monique, c’est merveilleux ce qu’on vit ensemble; les écrits nous apprennent à nous connaître au plus profond de nous-mêmes; ça va chercher, à l’intérieur de nous : l’inconnu; on ne sait pas pourquoi on agit d’une telle façon, lui, il nous le montre, mais d’une façon tellement simple!
"Ah oui! Seigneur, c’est vrai, on est comme ça" : quand on se fait reprendre par Dieu, ce n’est pas de la même façon que la nôtre. (Quelqu’un demande comment c’est) : ah! des tournures de phrases merveilleuses, des mots qu’on peut même pas penser et des mots qu’on connaît tous parce que ce sont des mots, quand même, qui sont dans le dictionnaire! savez-vous que, des fois, il utilise des mots qui n’existent même pas?
Mais il a pitié tellement de moi qu’il va, des fois, me sortir un mot que je connais puis, là, il le met; parce que, des fois, il sort des choses, je dis : "Ah! ça n’existe même pas, ça, Seigneur!" et il nous donne toute l’explication en nos mots à nous. Alors, Dieu nous aime et c’est d’une telle simplicité l’amour de Dieu! Il n’y a rien de compliqué!
Je ne dis pas que les théologiens n’ont pas la vérité, ils sont dans la vérité : les théologiens; ils expliquent les enseignements de Jésus avec leur instruction, c’est beau! mais moi, je n’arrivais pas à les comprendre; alors, je m’imagine que Dieu a eu pitié de moi et il a eu pitié aussi de certaines personnes qui sont comme moi; alors, c’est pour ça qu’il a pris quelqu’un de simple, et je ne suis pas la seule, vous savez!
Dieu me parle aussi de ses autres messagers : on a chacun une mission; on a tous une mission différente, mais on a la même mission :
c’est sa Parole.
Il n’y en a pas deux, c’est toujours le même message : nous amener vers son Père; alors, il prend toutes sortes de façons pour le dire.
Chacun de nous, on doit accueillir ces messages-là avec notre cœur, pas avec nos raisonnements, pas en
disant : "Moi, je préfère celui-ci. Je préfère celui-là. Ah! Hé lui!"
Non, il faut se laisser couler par le Saint-Esprit, il faut se laisser prendre par lui; c’est eux qui vont savoir si ce qu’on va comprendre : ça va être pour nous; ce n’est pas à nous de savoir si ce qu’on lit : ça c'est pour nous ou ça ce n'est pas pour nous. Qui on est, nous, pour savoir si quelque chose doit nous plaire ou pas nous plaire?
C’est Dieu!
Si on prononce notre oui à Dieu : bien, il faut lui laisser toute cette place-là!
Il faut savoir qu’un oui, c’est un abandon total.
Si, lui, il veut nous donner les sentiments de joie quand on lit : "Merci, Seigneur!"
et si on ne les a pas : "Merci, Seigneur!" ce n’est pas plus grave que ça parce que, lui, il sait ce qu’on a besoin de prendre dans une lecture; mais aussi, il faut découvrir, et ça c’est quelque chose de très important : à ne plus juger et à aimer notre prochain; s'il est dans l’erreur, on le donne à Dieu :
il est présent, il est puissant.
Savez-vous ce que ça peut faire quand on dit : "Seigneur, je te le donne"?
On n’y pense plus, on ne le reprend plus, on ne le juge plus : eh bien on apprend à aimer Dieu; imaginez-vous que Dieu habite chacun de nous, et quand, une seule fois, on dit une petite parole contre un seul d’entre nous : eh bien, on fait de la peine à Jésus! on ne l’aime pas à ce moment-là!
Lui, il continue à nous aimer, mais c’est comme si on venait de lui dire : "Je ne t’aime pas, Jésus" : alors, il continue quand même à nous aimer. Avant ça, je ne savais pas comment aimer mon prochain, pas du tout! je ne savais même pas comment aimer mon mari, comment aimer mes enfants!
Moi qui disais : "Je t’aime, Maurice", maintenant qu’il est au Ciel, qu’il est avec moi : eh bien, là, on apprend à se dire des mots d’amour, mais des vrais mots d’amour! alors, pouvez-vous vous imaginer comment on va être tous amour; comment ça va être merveilleux quand on va vivre, sur la terre, en enfants de Dieu?
Quelquefois, je dis : Seigneur, est-ce que tu t’en viens? Est-ce que c’est vraiment vrai, Seigneur, qu’on va vivre ces moments-là?
Alors, il dit : «Tu ne crois pas? Ne sais-tu pas que je t’aime, que je suis mort sur la Croix? Est-ce que tu crois à ça?»
Ah oui! Seigneur, je le crois.
«Alors, crois en ce que tu entends et continue et sois obéissante.»
Je vous remercie et ce merci ne sort pas de moi, mais de Jésus; ce qui est merveilleux, aujourd’hui, c’est que : quand je parle, je sais que ce n’est plus l’autre : l’ancienne qui parle, c’est celle qui s’est laissée transformer par Jésus, celle qui a appris à parler, qui a appris aussi à s’abandonner :
"Merci, Amour, de laisser ta petite fille parler à ses frères et à ses sœurs"; j’aurais jamais connu ces moments merveilleux sans vous, parce que quand on apprend à s’aimer les uns les autres, à se donner les uns les autres :
c’est là que Jésus se laisse découvrir; alors, sans vous, j’aurais jamais découvert Jésus.
Merci beaucoup.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-02-08
Jésus : Mes enfants d’amour, Dieu accorde à votre volonté humaine un instant : un seul instant, dans l’éternité. Cette intimité est une intimité faite à partir d’un instrument. Ce petit instant, mes enfants, est pour vous : il a été choisi dans le temps. Vous n’êtes pas ici par le hasard. Moi, je vous dis, par cet instrument d’amour, que j'ai vu et que j’ai préparé, par mon amour, cet instant.
Je veux vous avoir à moi, je veux vous combler,
je veux vous montrer l’importance de mon amour pour vous.
Votre temps, mes enfants, a été choisi depuis toute éternité pour connaître la Volonté de Dieu dans le présent.
J’ai enseigné à mes apôtres mes enseignements; ils comportaient l’amour de mon Père.
Ces mêmes enseignements sont toujours présents; ils ont été gravés en vous car je suis la Parole.
La Parole est vie, la Parole est présence; comme vous êtes ici présents, vous êtes donc en ma Présence.
Vous vivez en moi, je vous fais vivre.
À chaque instant de votre vie qui se passe au présent : c’est moi la Vie en vous, c’est moi qui vous apporte vos besoins, c’est moi qui vous fais connaître ce qui est nécessaire à votre vie corporelle, afin que vous puissiez vous acheminer dans votre quotidien avec vos frères, avec vos sœurs.
Mes enfants d’amour, j’ai donné à mes apôtres des paroles vivantes : comment vous deviez vous comporter.
C'est la présence de Dieu en vous, vous êtes en Dieu.
Vous avez oublié, pour la plupart, mes paroles.
Je dis cela parce que vous portez vos frères et vos sœurs.
Vous qui êtes ici, vous avez accepté, mes enfants, de vivre dans la Divine Volonté.
Vivre dans la Divine Volonté, c’est renoncer à votre volonté humaine
pour venir vous plonger dans mon agir.
Vous portez tous vos frères et vos sœurs et c’est pour eux aussi que je parle; je ne parle pas seulement pour vous qui écoutez de vos oreilles humaines cet instrument; je parle et c’est la Parole que vous entendez.
La Parole est vivante, elle est agissante : elle sort de la Divine Volonté pour donner, à tous les enfants de la terre, des grâces.
Vous êtes en mouvement d’amour, vous êtes agissants lorsque vous vous abandonnez à ma Volonté :
vous apportez à tous les enfants de la terre mes paroles, vous ouvrez votre cœur,
vous laissez Dieu donner à tous ses enfants des grâces d’amour.
Ce temps, mes enfants, est un temps présent.
Vous vivez au présent et cela est dans l’éternité.
Il n’y a pas de temps passé, de temps futur dans l’éternité car l’éternité EST.
Vous êtes en Dieu, je suis l’Alpha et l’Oméga.
Tout en moi est la Puissance.
Je suis l’Oint de mon Père, de votre Père.
Il m’a donné tout et je vous donne tout.
À ceux qui répondent oui, j’ouvre un torrent de grâces.
Ce même torrent de grâces que j’ai donné sur ma Croix : il est dans le présent.
Je ne cesse de laisser couler mon Sang Précieux pour vous purifier.
Il y a en ce monde tant de péchés et tant qu’il y aura un seul péché, je laisserai couler mon Sang, mon Sang Purificateur.
Je viens, mes enfants, très bientôt vous montrer le présent.
Je viens très bientôt vous démontrer que vous êtes présents : moi, mes enfants, JE SUIS.
Bientôt, je vais vous montrer que vous avez toujours été en moi.
Mes enfants d’amour, il y a en vous un endroit merveilleux où tout n’est que lumière, que joie, que bonheur, qu’allégresse: c’est le Ciel, c'est la demeure de Dieu.
Il est en chacun de vous, c'est vous, mes enfants, qui ne le percevez pas.
J’ai déposé en vous cet endroit afin que je puisse habiter votre intérieur.
Dieu dans sa toute-puissance, dans sa divinité de vue, a vu les hommes; il a vu combien ils étaient faibles, ces hommes qui ont dit non à l’obéissance! Mes enfants d’amour, lorsque Adam a été créé, j’ai mis en lui ma Présence.
Le souffle de Dieu est en vous : la vie.
La vie est moi, vous ne pourriez vivre sans Dieu.
J’ai mis en Adam un endroit d’amour afin que Dieu habite son enfant.
J’ai déposé en lui toutes les grâces afin qu’il puisse s’épanouir en la présence de Dieu. Dieu, amoureux de son enfant, le combla.
Il lui donna tout pour qu’il puisse se reconnaître enfant de Dieu, mais Dieu voulait aussi avoir de cet enfant de l’amour; il avait donné son amour, il voulait aussi que lui se donne.
Pour cela, il lui demanda l’obéissance.
Que fait-il, lui, l’enfant de Dieu, lui qui devait aimer Dieu?
Il s’éloigna de lui pour aller prendre ce que Dieu lui avait demandé de ne pas prendre. Mes enfants d’amour, vous avez, vous aussi, pris ce que lui a pris : votre volonté humaine.
Je vous ai donné l’amour et je réclame de l’amour.
J’ai tout vu en vous : j’ai vu ce que cette désobéissance allait faire en chacun de vous, et j’ai donné l’amour, mon amour, afin que vous puissiez montrer à mon Père que vous l’aimez.
C’est pour ça, mes enfants, que je suis venu parmi vous enseigner à mes apôtres l’amour de mon Père afin que vous puissiez répondre à son appel d’amour.
Vous avez en vous tout ce que Adam a reçu.
Vous avez le Ciel en vous.
Il faut venir en vous pour vous laisser prendre par Dieu afin que vous puissiez vous épanouir.
Il n’y a que moi, son Fils, qui peut vous rendre comme Adam était avant la désobéissance.
Il faut être obéissant à ma Parole, à cette Parole qui est en vous.
Tous les enseignements sont dans le présent; il faut maintenant, mes amours, que vous les approfondissiez avec votre présent afin que vous puissiez vous reconnaître tels que vous êtes.
Après la chute de vos premiers parents, vous avez laissé pénétrer en vous tant d’erreurs, tant de faussetés!
Vous êtes devenus engourdis par vos erreurs, vos faussetés; le malin a su vous manipuler; moi, mes amours, pas un seul instant je n’ai quitté l’endroit où je me suis installé : en vous.
Seulement au moment où moi, votre Dieu, je vous montrerai que vous êtes en ma présence, seulement là, il y aura une décision à prendre : celle de savoir si vous voulez toujours être en ma présence. Mes amours, il n’y aura pas d’autres moments pour vous.
Dans l’éternité, nous avons choisi le moment; il sera unique, tel mon Sacrifice sur la Croix : il est unique.
Lorsque vous serez en présence de Dieu, vous serez en présence de votre vie : de la vie en vous;
je vous demanderai, à ce moment, de l’amour.
Moi qui vous ai tout donné, qui vous ai donné de l’amour, je vais réclamer cet amour, et c’est seulement un mot qui fera que vous serez dans l’éternité en ma Présence.
Si ce mot est oui, vous serez appelés enfants de Dieu, mais si ce mot est non, vous ne serez plus en présence de Dieu, et c’est vous-mêmes qui l’aurez choisi. Oh! mes amours, mes tendres aimés, voyez ma supplication!
À chaque instant, je me laisse crucifier pour vous, mon Sang coule pour vous.
Je vous aime, je veux vous avoir en moi, en ma Vie pour l’éternité.
Il faut me donner votre vie, il faut me donner la vie de tous vos frères et de toutes vos sœurs que vous portez en vous.
Ô Parole, fais propager l’amour, donne aux enfants des grâces qui leur font réaliser
qu'ils sont enfants de Dieu, apprends-leur à se reconnaître tels qu’ils sont!
La Vie va les aider à devenir des enfants d’amour.
Oh! petits aimés, vous qui êtes ici présents, sachez combien j’aime tous ceux que vous portez!
Il n’y a pas de plus grand amour que le mien.
Aucun mot que vous connaissez ne peut le décrire, il n’y a que ma Mère qui le connaît.
Amours de ma vie, donnez-moi vos vies.
Je veux vos vies pour ceux : qui ne me donnent rien, qui me renient, qui me blasphèment, qui me jettent des pierres, qui percent mon Cœur, qui font connaître à d’autres enfants que je ne suis pas présent en eux.
J’ai tant besoin de vous! Je vous aime!
Je crie ces paroles parce qu’elles ne sont pas entendues : elles ne font que passer. Petits amours, je veux que vous soyez obéissants à mes enseignements; je veux vous faire connaître qui vous êtes, ce que le péché a fait en vous.
Vous allez découvrir, mes amours : combien je vous aime, combien je connais tout de vous et combien je vous ai soutenus malgré vos défauts; je veux vous apporter la paix; je veux éloigner de vous les inquiétudes : tout ce qui fait peur porte au jugement; tout ce qui est violent vous amène des sentiments d’inquiétude; il faut savoir que, quand vous êtes resplendissants, vous êtes des enfants d’amour faits de Dieu.
Je veux enlever tout ce que le péché a fait : vous êtes de moi, vous n’êtes pas des enfants insouciants, coléreux, jugeurs, menteurs, violeurs; vous n’êtes pas des tueurs d’âmes, vous êtes des enfants de Dieu. Regardez ce petit bébé (bébé présent lors de la rencontre), il est la vie, il est pur.
Il n’y a pas de plus beau bébé que celui-là, car il est de moi.
Vous êtes uniques pour moi : vous êtes tous ce petit bébé.
Vous m’êtes si précieux!
Oh! laissez-vous caresser par moi, laissez-vous bercer par ma tendresse; laissez-vous prendre
par les ailes de l’Esprit Saint qui veut vous montrer que vous êtes si petits, si légers
qu’un seul souffle et vous montez vers mon Père, mon Père du Ciel.
Mes amours, Dieu lui-même a choisi cet instrument : elle ne s’est pas choisie; elle ne savait même pas pourquoi elle était de ce monde : elle l’est devenue parce qu’elle a répondu à l’obéissance; elle a avancé en ayant le péché en elle : elle a connu, tout comme vous, la honte, l’indignation; elle s’est reconnue pécheresse et, aujourd’hui, elle sait qu’elle se doit totalement à moi parce que, sans moi : elle n’est que péché; je suis, moi, la Pureté : elle ne peut donc vivre que par moi pour être pure.
Mes enfants d’amour, pour parler en Dieu, par Dieu, avec Dieu, pour oublier son corps, ses pensées, pour oublier sa vie extérieure : il faut dire oui, et c’est ce oui qui a fait que je suis en Parole ici, elle sort ce qu’elle entend
et, moi, je fais fonctionner son corps parce que je le veux et parce qu’elle a prononcé son oui.
Ces moments sont pour vous et pour tous les enfants que vous portez.
Je viens moi-même vous dire que vous vivez présentement des moments de grâces; ils vous préparent à ma venue de vue en chacun de vous, en tous les enfants que vous portez.
Il a été dit que vous verrez le royaume de mon Père : Qui me voit, voit mon Père
vous verrez le Fils du Père; vous verrez, mes enfants, la Parole s’accomplir car Dieu est vérité; tout ce qui est de lui est en vous; vous ne pouvez échapper à ce qui est en vous :
la Parole est vivante, la Parole est vie.
Donnez à Dieu votre vie afin que vous puissiez faire sa Volonté d’amour; en voulant vivre dans le présent, vous acceptez ma Présence en vous : vous verrez, mes enfants, le présent s’accomplir; ne vous posez pas de questions sur la date : que de temps perdu! Soyez au présent; profitez des grâces et faites profiter, à ceux que vous portez, des grâces que je donne; quand viendra le temps de la Grande Purification, mes enfants d’amour : vous serez prêts. Je donne à chacun de vous des grâces d’amour; par la présence de mes prêtres, recevez ces grâces. Amen.
Abbé André Chevalier : De Dieu tout-puissant dans son infinie miséricorde, de Jésus-Christ le Fils obéissant, de l'Esprit de Vie, l'Amour en nos vies, qu'ils vous gardent à jamais dans leur paix; au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Beaucoup d’entre vous avez reçu des grâces aujourd’hui. Ces grâces sont présentes parce que Dieu le veut.
Quand il est venu se faire entendre en moi, je n’ai pas cru que cela pouvait m’arriver. Moi, parmi des millions et des millions, qui j’étais, moi? Cela ne se fait pas aussi facilement que ça. C’est des journées entières à se poser des questions: pourquoi moi, Jésus?
Et en même temps, une joie, une joie qui se laisse développer en nous, en moi, sans que je veuille l’arrêter;
en même temps que je me sentais indigne, il y avait quelque chose en moi qui me faisait avancer : une grâce de toujours dire oui, et je souffrais parce que je me demandais : "Seigneur, est-ce que c’est de l’orgueil?" : en même temps parce que ça fait mal de me sentir une choisie. Je vivais ça dans la solitude, parce que je n’osais pas en parler à personne : c’était assez souffrant; mon mari était vivant dans ces moments-là; j’avais des bons enfants; je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, mais j’accueillais tout ça; aussi, je crois que j’ai eu une belle grâce : de ne pas penser à l’avenir; c'est comme si je me laissais couler à chaque instant dans ce qui se passait autour de moi, de ce que je ne comprenais pas : cette voix qui parlait à l’intérieur de moi, qui semblait se mélanger à mes pensées; quelquefois et, pas seulement quelquefois, je me disais : "Ah! c’est mon imagination"; alors la voix me disait : «C'est moi. C'est moi qui te parle, écoute» : alors c’était des «je t’aime».
Ça ne s’est pas fait aussi facilement que ça, il me demandait tout le temps de l’abandon, et Maman Marie disait : "Sois obéissante"; malgré mes doutes, je faisais tout ce qu’on me disait; cette voix qui parlait à l’intérieur de moi, je l’écoutais, toujours malgré mon doute; je continuais à écouter, parce ce que tout ce que j’entendais : c’était des mots d’amour; il n’y avait pas mal à faire ce qu’on me disait parce que c’était des mots de : «Je t’aime. Donne-toi. Regarde comment il est beau, il est à moi cet enfant». (Avant la mort de mon mari) Puis quand il disait : «Regarde ton mari. Je suis en lui».
Ah! j’avais beaucoup à développer, à renoncer, à m’abandonner parce que je m’obstinais beaucoup avec mon mari; c’était un peu mon tempérament depuis toute petite, quand même assez petite, là, c’est..., je me rappelle parce que chez nous, ils disaient que j’avais une tête de cochon : je voulais toujours avoir raison; alors, ça continuait toujours avec mon mari; mais mon mari était comme moi, il s’obstinait autant que moi; mais c’était jamais méchant, là : si je disais : "Ah! j’ai payé ça..." (lui) "mais non, t’as pas payé ça..., t’as payé ça..." (moi) "bien non, c’est pas ça"; alors moi, je m’amusais, pas m’amusais, mais j’allais lui montrer des preuves : "regarde, j’ai les reçus, là, regarde, c’est bien ça"; alors, ça été ma vie, pas toute ma vie mais, quand même! ça a développé avec mon mari des moments d’obstination, oui, pas méchants, mais il y avait des moments que je voulais pas lui parler;
ouf! ça durait peut-être quelques minutes, mais le Seigneur, il me disait : «Regarde-le, dis-lui que tu l’aimes» ah! je ne pouvais pas ne pas obéir à la voix à l’intérieur de moi; j’avais toujours mon côté humain qui m’empêchait de me laisser aller, mais j’écoutais la voix : alors j’allais le faire; je disais : "Je t’aime", et quelquefois il disait : «Va l’embrasser»; ah! mon Dieu! ça, c’était après une obstination, là : alors là, j’y allais. Alors, comment voulez-vous que je puisse douter que la voix à l’intérieur de moi venait du mal?
Je ne le pouvais pas, alors je me suis dit dans les moments très durs : "Eh bien! si c’est moi qui le fais, il n'y a pas de mal à ça"; mais, là, j’ai commencé à dire : "Oh! si c’était de la tromperie!" mais j’écris ce que la voix me dit et pourtant… ce qu’il me faisait écrire, c’était des choses que je ne connaissais même pas; mais, dans des moments de doute, tout ce qui me venait : "Ah! s’il fallait que je trompe mes frères et mes sœurs, s’il fallait que cela vienne de moi!" ça, ça m’a fait souffrir le plus : c’était de vous tromper!
C’était très dur, je suppliais Jésus de m’enlever la voix à l’intérieur de moi, puis, là, il me donnait des consolations par des grâces : je sentais des belles joies à l’intérieur de moi; alors j’étais, comme ça tout d’un coup : j’étais tout apaisée, tout en paix à l’intérieur de moi : là, je ne m’en faisais plus.
Alors, je crois, que Dieu permettait ces moments-là pour me purifier de tous mes péchés, et j’en ai, comme tous les enfants, parce qu'on est avec notre volonté humaine, fait beaucoup.
Vous savez, aujourd’hui, on dit qu’il n’y a plus de péché. Vous allez être surpris : dans le quatrième volume, quand il dit ce qu’on va voir à l’intérieur de nous, croyez-moi qu’on a à se laisser prendre par ses grâces en ce moment pour se laisser purifier.
Aujourd’hui, je continue sans avoir cette souffrance en moi; je ne doute plus de la voix que j’entends parce que ce que j’écris : je ne crois pas, moi, que j’en serais capable et je ne crois pas que Monique, non plus, en serait capable, et les gens, non plus autour de moi; peut-être qu’il y en a, je ne le sais pas, ce n’est même pas à moi de savoir oui ou non; non, je parle de ce que, moi, je connais; j’en connais pas beaucoup, mais je sais que ce que j’entends à l’intérieur de moi, c’est tellement merveilleux! c’est de l’amour, de l’amour, de l’amour! c’est du pardon, du pardon, du pardon! c’est de la miséricorde! C’est merveilleux, vous savez, ce que je vis et je crois aussi que pour Monique, c’est merveilleux ce qu’on vit ensemble; les écrits nous apprennent à nous connaître au plus profond de nous-mêmes; ça va chercher, à l’intérieur de nous : l’inconnu; on ne sait pas pourquoi on agit d’une telle façon, lui, il nous le montre, mais d’une façon tellement simple!
"Ah oui! Seigneur, c’est vrai, on est comme ça" : quand on se fait reprendre par Dieu, ce n’est pas de la même façon que la nôtre. (Quelqu’un demande comment c’est) : ah! des tournures de phrases merveilleuses, des mots qu’on peut même pas penser et des mots qu’on connaît tous parce que ce sont des mots, quand même, qui sont dans le dictionnaire! savez-vous que, des fois, il utilise des mots qui n’existent même pas?
Mais il a pitié tellement de moi qu’il va, des fois, me sortir un mot que je connais puis, là, il le met; parce que, des fois, il sort des choses, je dis : "Ah! ça n’existe même pas, ça, Seigneur!" et il nous donne toute l’explication en nos mots à nous. Alors, Dieu nous aime et c’est d’une telle simplicité l’amour de Dieu! Il n’y a rien de compliqué!
Je ne dis pas que les théologiens n’ont pas la vérité, ils sont dans la vérité : les théologiens; ils expliquent les enseignements de Jésus avec leur instruction, c’est beau! mais moi, je n’arrivais pas à les comprendre; alors, je m’imagine que Dieu a eu pitié de moi et il a eu pitié aussi de certaines personnes qui sont comme moi; alors, c’est pour ça qu’il a pris quelqu’un de simple, et je ne suis pas la seule, vous savez!
Dieu me parle aussi de ses autres messagers : on a chacun une mission; on a tous une mission différente, mais on a la même mission :
c’est sa Parole.
Il n’y en a pas deux, c’est toujours le même message : nous amener vers son Père; alors, il prend toutes sortes de façons pour le dire.
Chacun de nous, on doit accueillir ces messages-là avec notre cœur, pas avec nos raisonnements, pas en
disant : "Moi, je préfère celui-ci. Je préfère celui-là. Ah! Hé lui!"
Non, il faut se laisser couler par le Saint-Esprit, il faut se laisser prendre par lui; c’est eux qui vont savoir si ce qu’on va comprendre : ça va être pour nous; ce n’est pas à nous de savoir si ce qu’on lit : ça c'est pour nous ou ça ce n'est pas pour nous. Qui on est, nous, pour savoir si quelque chose doit nous plaire ou pas nous plaire?
C’est Dieu!
Si on prononce notre oui à Dieu : bien, il faut lui laisser toute cette place-là!
Il faut savoir qu’un oui, c’est un abandon total.
Si, lui, il veut nous donner les sentiments de joie quand on lit : "Merci, Seigneur!"
et si on ne les a pas : "Merci, Seigneur!" ce n’est pas plus grave que ça parce que, lui, il sait ce qu’on a besoin de prendre dans une lecture; mais aussi, il faut découvrir, et ça c’est quelque chose de très important : à ne plus juger et à aimer notre prochain; s'il est dans l’erreur, on le donne à Dieu :
il est présent, il est puissant.
Savez-vous ce que ça peut faire quand on dit : "Seigneur, je te le donne"?
On n’y pense plus, on ne le reprend plus, on ne le juge plus : eh bien on apprend à aimer Dieu; imaginez-vous que Dieu habite chacun de nous, et quand, une seule fois, on dit une petite parole contre un seul d’entre nous : eh bien, on fait de la peine à Jésus! on ne l’aime pas à ce moment-là!
Lui, il continue à nous aimer, mais c’est comme si on venait de lui dire : "Je ne t’aime pas, Jésus" : alors, il continue quand même à nous aimer. Avant ça, je ne savais pas comment aimer mon prochain, pas du tout! je ne savais même pas comment aimer mon mari, comment aimer mes enfants!
Moi qui disais : "Je t’aime, Maurice", maintenant qu’il est au Ciel, qu’il est avec moi : eh bien, là, on apprend à se dire des mots d’amour, mais des vrais mots d’amour! alors, pouvez-vous vous imaginer comment on va être tous amour; comment ça va être merveilleux quand on va vivre, sur la terre, en enfants de Dieu?
Quelquefois, je dis : Seigneur, est-ce que tu t’en viens? Est-ce que c’est vraiment vrai, Seigneur, qu’on va vivre ces moments-là?
Alors, il dit : «Tu ne crois pas? Ne sais-tu pas que je t’aime, que je suis mort sur la Croix? Est-ce que tu crois à ça?»
Ah oui! Seigneur, je le crois.
«Alors, crois en ce que tu entends et continue et sois obéissante.»
Je vous remercie et ce merci ne sort pas de moi, mais de Jésus; ce qui est merveilleux, aujourd’hui, c’est que : quand je parle, je sais que ce n’est plus l’autre : l’ancienne qui parle, c’est celle qui s’est laissée transformer par Jésus, celle qui a appris à parler, qui a appris aussi à s’abandonner :
"Merci, Amour, de laisser ta petite fille parler à ses frères et à ses sœurs"; j’aurais jamais connu ces moments merveilleux sans vous, parce que quand on apprend à s’aimer les uns les autres, à se donner les uns les autres :
c’est là que Jésus se laisse découvrir; alors, sans vous, j’aurais jamais découvert Jésus.
Merci beaucoup.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Otterburn Park, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-02-21
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je répète ces mots, ils sont des mots d’amour. Ces mots vous appartiennent, ils viennent de Dieu. Il veut vous donner ce soir une preuve de son agir, il est en chacun de nous :
Dieu est la vie.
La Trinité : Je parle par cette enfant. Elle a consenti à faire d’elle un instrument d’amour pour vous :
j’ai moi-même préparé cette enfant avant que vous soyez tous de ce monde.
Je suis la Trinité d’Amour : en nous, tout est puissance.
Par nous, nous nous accomplissons.
Nous n’avons pas besoin d’autres : NOUS SOMMES.
Nous sommes Puissance. Nous sommes la Divine Volonté.
Mes amours, en vous il y a la Divine Volonté; vous vivez par nous. Vous respirez d’amour; vos yeux sont faits pour saisir les mouvements d’amour; vos oreilles ont été conçues pour capter les sons d’amour; vous n’êtes pas venus en ce monde pour vivre d’erreurs : vous êtes parfaits par nous; il faut venir à nous pour découvrir votre perfection;
sans nous, vous continuez à vivre dans l’ignorance de ce que vous êtes.
Vous avez beau chercher à lire les livres qui vous instruisent, mais c’est en vous qu’il faut que vous appreniez à donner : à donner votre vie à nous, la Divine Volonté.
Ce monde est venu, par nous, habiter la terre; j’ai fait, moi, Dieu d’amour, tout son contenu : il devait tout vous appartenir.
Tout ce qu’il y a en ce monde maintenant est à votre image, non à l’image de Dieu d’amour.
Moi, tout était pureté, splendeur!
Il y avait de l’équilibre : tout était harmonie, mais ce monde : veut vivre dans sa volonté humaine en renonçant à vivre en lui; il ne veut vivre que de son extérieur oubliant son intérieur; il veut percevoir la couleur, les formes par sa propre volonté; il veut entendre les sons par lui-même; il veut construire ses œuvres avec sa volonté humaine oubliant les trésors qu’il a en lui.
Nous, la Trinité d’Amour, nous avons déposé en chacun de vous la vie.
La vie qui coule en vous est de nous, l’Amour. Vous êtes des êtres d’amour.
Oh! mes enfants, par cette enfant, vous entendez souvent parler d’amour, c’est parce que je suis l’Amour en elle;
c’est moi qui parle à travers elle pour vous rejoindre, pour vous faire savoir qui vous êtes; vous êtes tous des instruments d’amour, si vous le voulez!
Si vous voulez que la Vie vous prenne, vous devez, mes amours, vous abandonner, tout laisser.
Votre volonté humaine vous a conduits à un chaos :
c’est ce qui vit autour de vous.
Ce monde est rempli de violence : il ne veut plus aimer son prochain, il ne veut plus renoncer à ce qu’il a construit, il a fait de mon contenu un monde égoïste où il n’y a que laideur.
Votre sueur monte jusqu’à nous : vous travaillez avec lourdeur.
Ces poids sont si lourds que vous en transpirez car, en vous, il y a votre volonté humaine qui a pris toute la place de la Divine Volonté.
Il faut vous ressaisir, il faut apprendre comme des enfants, des petits enfants, comment vivre en Dieu.
Je viens changer la face de votre monde; je viens vous apporter ce que vous auriez dû avoir avant la désobéissance de vos premiers parents : l’amour, l’amour à l’état pur, sans aucun défaut, l’amour qui donne, qui offre, qui s’abandonne, qui ne demande pas.
L’amour, il est de moi.
Je suis, moi, Dieu Amour parfait.
Mon amour est parfait, il n’a aucun défaut.
C’est ainsi, mes enfants, que je vous veux tels que vous devez être sous vos amas de défauts.
Votre impureté vous empêche de découvrir l’être parfait que vous êtes :
en moi, seulement en moi, vous le deviendrez.
Jésus : Je suis le Fils de Dieu, celui qui se donne à vous, celui qui s’offre à chacun de vous pour vous prendre.
Lorsque, mes enfants, vous approchez de moi dans la sainte Eucharistie, je suis en vous : je vous fais avancer; c’est moi en vous qui avance; ce mouvement est un mouvement d’amour que j’ai déposé en vous; personne ne pourrait avancer vers Dieu si je n’aurais pas déposé en lui l’amour : c’est l’Amour qui appelle l’amour, et c’est l’Amour qui se donne par les mains du prêtre; ces mains sont les miennes : c’est moi qui me donne à vous; lorsque vous, vous me prenez, moi qui suis en vous : je me prends et je prends chacun de vous pour vous faire miens, pour que vous soyez des êtres d’amour.
Ceci est un mouvement qui vous nourrit, qui vous apprend qui vous êtes.
Vous devez vous reconnaître tels que vous êtes : des enfants de Dieu, des enfants faits pour aimer, faits pour donner.
Puisque moi je me suis donné à vous, donnez-vous, donnez-vous à l’Amour; je vais vous transformer en êtres parfaits : c’est moi qui vais faire en sorte que vous allez renoncer à votre volonté humaine.
Très bientôt, mes enfants, tout ne sera que ce que moi, je veux.
Vous serez des êtres divins par moi : c’est moi, Dieu, qui vais vous diviniser.
Oh! mes enfants, vous aurez beau dire : "Pourquoi ne le sommes-nous pas depuis le temps que tu nous prends en toi à la communion?"
Mes enfants, c’est que vous devez renoncer vous-mêmes à votre volonté humaine; vous devez la déposer sur la patène afin que, par mon prêtre, moi, le Fils de Dieu, je présente votre volonté humaine à mon Père.
J’ai, moi, pris vos péchés, je les ai amenés à la mort.
J’ai tout offert à mon Père par amour pour vous; vous, maintenant, vous devez accepter de renoncer à votre volonté humaine :
vivre que pour Dieu, respirer que pour Dieu, regarder que pour Dieu,
entendre que pour Dieu et donner que pour Dieu.
Vous devez prendre votre vie et la donner à Dieu, et moi, je la comblerai de mes bienfaits :
je vous nourrirai de ma Vie.
Ma Vie pour vous est grâce; par le sacrement de l’Eucharistie :
je me donne à vous; par l’hostie : je suis.
Dieu est vivant en vous, il se donne à vous pour vous combler de ses grâces.
Votre âme reconnaît son Dieu; elle s’incline devant la Beauté céleste; elle sait reconnaître sa Divinité, car votre âme est divine, et c’est votre âme qui vous fait vivre.
Mes amours, sans votre âme, vous ne seriez pas vivants; la vie : c’est l’âme, votre corps n’est que matière; mais moi, Dieu, dans mon amour, j’ai fait avec de la terre votre corps; j’ai insufflé dans les narines de mon fils Adam un souffle d’amour : ce souffle, c’est la vie : c’est mon amour.
Elle est en chacun de vous la vie de Dieu.
Ma vie est divine : c’est votre vie divine qui vous fait vivre votre vie terrestre.
Vous n'êtes vivants que par moi; vous devez, mes amours, apprendre que je ne veux que votre bien; je vous demande de renoncer à votre vie qui, présentement, se meurt; elle n’est plus dans le mouvement de l’amour; votre vie terrestre a déambulé dans un monde froid, sans amour; si vous êtes vivants : c’est moi qui le veux parce que je vous veux tous en moi; je me suis donné par amour pour chacun de vous afin que vous soyez dans ma Vie, dans votre vie :
votre vie d’amour, celle qui est en vous, celle qui sait découvrir la vraie valeur de ce qui vous convient.
Je sais que très bientôt chacun de vous devrez prendre une décision : celle de renoncer totalement à votre volonté humaine.
Oui, mes amours, bien que vous voulez vivre en Dieu, pour Dieu, avec Dieu, en ce moment : il y a votre volonté humaine qui vous retient; vous êtes encore avec votre bien matériel, vos maisons, vos autos, avec votre vie trépidante, ces sons qui sortent de vos téléviseurs, de votre radio : Tout cela, mes enfants, fait partie de votre volonté humaine, et bien que vous pensiez à tout me donner, si en ce moment même, mes enfants, là, je vous demanderais : «Êtes-vous prêts à renoncer à tout ce que vous avez, pour moi, que pour moi, à faire comme mon fils François? Oui, comme mon fils François d’Assise? Seriez-vous prêts, mes enfants, à vous dépouiller et avancer vers votre Dieu sans ce que vous avez accumulé dans votre vie?»
Oh! mes enfants, c’est seulement qu’avec mes grâces que vous allez y parvenir.
J’ai vu votre monde et ce monde, mes enfants, est bien matérialiste! et c’est avec mes grâces qu’ils devront renoncer à tout ce qu’ils ont accumulé, par amour pour moi, votre Dieu, et vous, mes enfants d’amour, n’ayez pas peur, je vais vous aider.
Ma Mère, ma douce Maman d’amour, va vous couvrir de son manteau maternel.
Laissez votre cœur ouvert; laissez pénétrer sa tendresse.
Mère d’amour, ô vous qui avez prononcé votre fiat, pour atteindre le plus bas fond de ce monde :
vous vous êtes donnée, Mère d’Amour, dans l’humilité, dans la petitesse. Ô Mère très tendre,
très digne des faveurs de la Sainte Trinité, voici vos enfants.
Marie :
Je suis la Maman de l’Amour. Je suis en votre présence, mes enfants.
Dieu prend cette enfant. Il la fait disparaître pour qu’elle soit dans la Divine Volonté. Elle est avec vous, en ce moment, en votre intérieur et vous, vous êtes avec tous mes enfants.
Je suis la Maman de l’Amour.
J’habite le Cœur de mon Fils.
Le Cœur de mon Fils est en chacun de vous.
Il est l’Amour, et vous, mes enfants, vous êtes en lui; moi, je suis en chacun de vous :
je prie pour vous, j’intercède pour que vous soyez prêts.
Mes enfants, moi, la Mère de la Divine Volonté, je me fais présence devant vous pour vous donner des conseils d’amour.
Vous êtes tous libres de prendre les conseils de votre Maman, et vous devez savoir aussi que Dieu respecte votre liberté; il vous appartient de prononcer votre oui lorsqu’il se présentera en vous.
Voyez-vous, ce temps est un temps de grâces; il vous prépare à la venue de mon Fils en Gloire en vous; il a été préparé, ce temps, pour vous; il vous a été accordé parce que mon Fils connaît chacun d’entre vous : il sait que certains hésitent, que certains ont peur, que certains ne veulent pas renoncer à tout ce qu’ils ont accumulé.
Moi, votre Maman qui vous aime, je me tiens en vous pour vous aider à franchir ce pas que vous devez faire :
c’est avec moi que vous allez renoncer à tout ce que vous avez autour de vous
et qui a été fait avec votre volonté humaine.
Il n’a pas été mal de vivre pour avoir une demeure, il n’a pas été mal de vivre en voulant vous offrir votre nécessité pour vous nourrir; mais, à cause de votre volonté humaine, vous l’avez fait quelquefois avec orgueil, en voulant démontrer que vous étiez capables d’obtenir, par vos moyens, cette demeure.
Combien, mes enfants, de vous préparez vos repas en voulant y mettre des mets exotiques, en voulant faire plaisir à vos yeux?
Voyez-vous, tout cela est de la convoitise.
Moi, votre Maman, je vais vous aider à devenir tout petits, humbles :
c’est moi, avec les grâces que la Trinité m’accorde, qui vais vous aider.
Je suis présente à plusieurs endroits, mes enfants; ce monde a bien besoin que je leur rappelle qu’ils doivent prier pour ne pas tomber entre les griffes de Satan, car, mes enfants, lorsque viendra le moment de la Grande Purification : il sera déchaîné, il voudra vous détruire.
N’ayez crainte, je suis là avec vous dans la prière.
Mes enfants d’amour, faites bien vos prières comme le font les tout petits enfants; ne vous demandez pas si cela se fait comme Dieu le demande : abandonnez-vous, faites-vous petits :
c’est moi qui vais vous aider.
Soyez humbles!
Je suis votre Mère et une mère sait prendre soin de ses enfants.
Allez bien à la messe le dimanche, il est si important ce jour de la semaine; ne faites pas comme certains qui préfèrent se préparer pour faire des commissions; ici, dans votre pays, il y a beaucoup de magasinage le dimanche :
ne suivez pas cette foule, demeurez avec votre Maman.
N’oubliez pas, mes enfants, le sacrement de la pénitence : il vous garde purs; cela va être très important pour vous; je ne puis, mes enfants, vous empêcher de faire votre volonté humaine, mais je vous demande, à chaque jour, de faire un tout petit pas et de la donner à mon Fils :
passez par moi, vous verrez que cela sera plus facile.
Je vous aime tendrement mes enfants!
Soyez vigilants car l’ennemi de votre âme veut votre perte.
Il y a tant de grâces, mes enfants, pour vous;
venez dans mon Cœur de Mère, venez y puiser cette source d’amour : cela va vous aider.
Priez pour vos frères et vos sœurs, donnez-vous pour eux, ils ont tant besoin de vous!
Moi, la Mère de l’Amour, je vous aime et je demande à celui qui a le pouvoir de faire descendre sur vous des grâces de vous bénir.
Allez en paix, mes enfants.
Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit :
Dans l’amour, Dieu accomplit sa Volonté. Dieu est présent : il fait connaître à ses enfants combien il est bon de s’abandonner dans son amour! Nous allons nous incliner en adoration
devant Celui qui va nous faire pleuvoir ses grâces d’amour.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-02-21
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je répète ces mots, ils sont des mots d’amour. Ces mots vous appartiennent, ils viennent de Dieu. Il veut vous donner ce soir une preuve de son agir, il est en chacun de nous :
Dieu est la vie.
La Trinité : Je parle par cette enfant. Elle a consenti à faire d’elle un instrument d’amour pour vous :
j’ai moi-même préparé cette enfant avant que vous soyez tous de ce monde.
Je suis la Trinité d’Amour : en nous, tout est puissance.
Par nous, nous nous accomplissons.
Nous n’avons pas besoin d’autres : NOUS SOMMES.
Nous sommes Puissance. Nous sommes la Divine Volonté.
Mes amours, en vous il y a la Divine Volonté; vous vivez par nous. Vous respirez d’amour; vos yeux sont faits pour saisir les mouvements d’amour; vos oreilles ont été conçues pour capter les sons d’amour; vous n’êtes pas venus en ce monde pour vivre d’erreurs : vous êtes parfaits par nous; il faut venir à nous pour découvrir votre perfection;
sans nous, vous continuez à vivre dans l’ignorance de ce que vous êtes.
Vous avez beau chercher à lire les livres qui vous instruisent, mais c’est en vous qu’il faut que vous appreniez à donner : à donner votre vie à nous, la Divine Volonté.
Ce monde est venu, par nous, habiter la terre; j’ai fait, moi, Dieu d’amour, tout son contenu : il devait tout vous appartenir.
Tout ce qu’il y a en ce monde maintenant est à votre image, non à l’image de Dieu d’amour.
Moi, tout était pureté, splendeur!
Il y avait de l’équilibre : tout était harmonie, mais ce monde : veut vivre dans sa volonté humaine en renonçant à vivre en lui; il ne veut vivre que de son extérieur oubliant son intérieur; il veut percevoir la couleur, les formes par sa propre volonté; il veut entendre les sons par lui-même; il veut construire ses œuvres avec sa volonté humaine oubliant les trésors qu’il a en lui.
Nous, la Trinité d’Amour, nous avons déposé en chacun de vous la vie.
La vie qui coule en vous est de nous, l’Amour. Vous êtes des êtres d’amour.
Oh! mes enfants, par cette enfant, vous entendez souvent parler d’amour, c’est parce que je suis l’Amour en elle;
c’est moi qui parle à travers elle pour vous rejoindre, pour vous faire savoir qui vous êtes; vous êtes tous des instruments d’amour, si vous le voulez!
Si vous voulez que la Vie vous prenne, vous devez, mes amours, vous abandonner, tout laisser.
Votre volonté humaine vous a conduits à un chaos :
c’est ce qui vit autour de vous.
Ce monde est rempli de violence : il ne veut plus aimer son prochain, il ne veut plus renoncer à ce qu’il a construit, il a fait de mon contenu un monde égoïste où il n’y a que laideur.
Votre sueur monte jusqu’à nous : vous travaillez avec lourdeur.
Ces poids sont si lourds que vous en transpirez car, en vous, il y a votre volonté humaine qui a pris toute la place de la Divine Volonté.
Il faut vous ressaisir, il faut apprendre comme des enfants, des petits enfants, comment vivre en Dieu.
Je viens changer la face de votre monde; je viens vous apporter ce que vous auriez dû avoir avant la désobéissance de vos premiers parents : l’amour, l’amour à l’état pur, sans aucun défaut, l’amour qui donne, qui offre, qui s’abandonne, qui ne demande pas.
L’amour, il est de moi.
Je suis, moi, Dieu Amour parfait.
Mon amour est parfait, il n’a aucun défaut.
C’est ainsi, mes enfants, que je vous veux tels que vous devez être sous vos amas de défauts.
Votre impureté vous empêche de découvrir l’être parfait que vous êtes :
en moi, seulement en moi, vous le deviendrez.
Jésus : Je suis le Fils de Dieu, celui qui se donne à vous, celui qui s’offre à chacun de vous pour vous prendre.
Lorsque, mes enfants, vous approchez de moi dans la sainte Eucharistie, je suis en vous : je vous fais avancer; c’est moi en vous qui avance; ce mouvement est un mouvement d’amour que j’ai déposé en vous; personne ne pourrait avancer vers Dieu si je n’aurais pas déposé en lui l’amour : c’est l’Amour qui appelle l’amour, et c’est l’Amour qui se donne par les mains du prêtre; ces mains sont les miennes : c’est moi qui me donne à vous; lorsque vous, vous me prenez, moi qui suis en vous : je me prends et je prends chacun de vous pour vous faire miens, pour que vous soyez des êtres d’amour.
Ceci est un mouvement qui vous nourrit, qui vous apprend qui vous êtes.
Vous devez vous reconnaître tels que vous êtes : des enfants de Dieu, des enfants faits pour aimer, faits pour donner.
Puisque moi je me suis donné à vous, donnez-vous, donnez-vous à l’Amour; je vais vous transformer en êtres parfaits : c’est moi qui vais faire en sorte que vous allez renoncer à votre volonté humaine.
Très bientôt, mes enfants, tout ne sera que ce que moi, je veux.
Vous serez des êtres divins par moi : c’est moi, Dieu, qui vais vous diviniser.
Oh! mes enfants, vous aurez beau dire : "Pourquoi ne le sommes-nous pas depuis le temps que tu nous prends en toi à la communion?"
Mes enfants, c’est que vous devez renoncer vous-mêmes à votre volonté humaine; vous devez la déposer sur la patène afin que, par mon prêtre, moi, le Fils de Dieu, je présente votre volonté humaine à mon Père.
J’ai, moi, pris vos péchés, je les ai amenés à la mort.
J’ai tout offert à mon Père par amour pour vous; vous, maintenant, vous devez accepter de renoncer à votre volonté humaine :
vivre que pour Dieu, respirer que pour Dieu, regarder que pour Dieu,
entendre que pour Dieu et donner que pour Dieu.
Vous devez prendre votre vie et la donner à Dieu, et moi, je la comblerai de mes bienfaits :
je vous nourrirai de ma Vie.
Ma Vie pour vous est grâce; par le sacrement de l’Eucharistie :
je me donne à vous; par l’hostie : je suis.
Dieu est vivant en vous, il se donne à vous pour vous combler de ses grâces.
Votre âme reconnaît son Dieu; elle s’incline devant la Beauté céleste; elle sait reconnaître sa Divinité, car votre âme est divine, et c’est votre âme qui vous fait vivre.
Mes amours, sans votre âme, vous ne seriez pas vivants; la vie : c’est l’âme, votre corps n’est que matière; mais moi, Dieu, dans mon amour, j’ai fait avec de la terre votre corps; j’ai insufflé dans les narines de mon fils Adam un souffle d’amour : ce souffle, c’est la vie : c’est mon amour.
Elle est en chacun de vous la vie de Dieu.
Ma vie est divine : c’est votre vie divine qui vous fait vivre votre vie terrestre.
Vous n'êtes vivants que par moi; vous devez, mes amours, apprendre que je ne veux que votre bien; je vous demande de renoncer à votre vie qui, présentement, se meurt; elle n’est plus dans le mouvement de l’amour; votre vie terrestre a déambulé dans un monde froid, sans amour; si vous êtes vivants : c’est moi qui le veux parce que je vous veux tous en moi; je me suis donné par amour pour chacun de vous afin que vous soyez dans ma Vie, dans votre vie :
votre vie d’amour, celle qui est en vous, celle qui sait découvrir la vraie valeur de ce qui vous convient.
Je sais que très bientôt chacun de vous devrez prendre une décision : celle de renoncer totalement à votre volonté humaine.
Oui, mes amours, bien que vous voulez vivre en Dieu, pour Dieu, avec Dieu, en ce moment : il y a votre volonté humaine qui vous retient; vous êtes encore avec votre bien matériel, vos maisons, vos autos, avec votre vie trépidante, ces sons qui sortent de vos téléviseurs, de votre radio : Tout cela, mes enfants, fait partie de votre volonté humaine, et bien que vous pensiez à tout me donner, si en ce moment même, mes enfants, là, je vous demanderais : «Êtes-vous prêts à renoncer à tout ce que vous avez, pour moi, que pour moi, à faire comme mon fils François? Oui, comme mon fils François d’Assise? Seriez-vous prêts, mes enfants, à vous dépouiller et avancer vers votre Dieu sans ce que vous avez accumulé dans votre vie?»
Oh! mes enfants, c’est seulement qu’avec mes grâces que vous allez y parvenir.
J’ai vu votre monde et ce monde, mes enfants, est bien matérialiste! et c’est avec mes grâces qu’ils devront renoncer à tout ce qu’ils ont accumulé, par amour pour moi, votre Dieu, et vous, mes enfants d’amour, n’ayez pas peur, je vais vous aider.
Ma Mère, ma douce Maman d’amour, va vous couvrir de son manteau maternel.
Laissez votre cœur ouvert; laissez pénétrer sa tendresse.
Mère d’amour, ô vous qui avez prononcé votre fiat, pour atteindre le plus bas fond de ce monde :
vous vous êtes donnée, Mère d’Amour, dans l’humilité, dans la petitesse. Ô Mère très tendre,
très digne des faveurs de la Sainte Trinité, voici vos enfants.
Marie :
Je suis la Maman de l’Amour. Je suis en votre présence, mes enfants.
Dieu prend cette enfant. Il la fait disparaître pour qu’elle soit dans la Divine Volonté. Elle est avec vous, en ce moment, en votre intérieur et vous, vous êtes avec tous mes enfants.
Je suis la Maman de l’Amour.
J’habite le Cœur de mon Fils.
Le Cœur de mon Fils est en chacun de vous.
Il est l’Amour, et vous, mes enfants, vous êtes en lui; moi, je suis en chacun de vous :
je prie pour vous, j’intercède pour que vous soyez prêts.
Mes enfants, moi, la Mère de la Divine Volonté, je me fais présence devant vous pour vous donner des conseils d’amour.
Vous êtes tous libres de prendre les conseils de votre Maman, et vous devez savoir aussi que Dieu respecte votre liberté; il vous appartient de prononcer votre oui lorsqu’il se présentera en vous.
Voyez-vous, ce temps est un temps de grâces; il vous prépare à la venue de mon Fils en Gloire en vous; il a été préparé, ce temps, pour vous; il vous a été accordé parce que mon Fils connaît chacun d’entre vous : il sait que certains hésitent, que certains ont peur, que certains ne veulent pas renoncer à tout ce qu’ils ont accumulé.
Moi, votre Maman qui vous aime, je me tiens en vous pour vous aider à franchir ce pas que vous devez faire :
c’est avec moi que vous allez renoncer à tout ce que vous avez autour de vous
et qui a été fait avec votre volonté humaine.
Il n’a pas été mal de vivre pour avoir une demeure, il n’a pas été mal de vivre en voulant vous offrir votre nécessité pour vous nourrir; mais, à cause de votre volonté humaine, vous l’avez fait quelquefois avec orgueil, en voulant démontrer que vous étiez capables d’obtenir, par vos moyens, cette demeure.
Combien, mes enfants, de vous préparez vos repas en voulant y mettre des mets exotiques, en voulant faire plaisir à vos yeux?
Voyez-vous, tout cela est de la convoitise.
Moi, votre Maman, je vais vous aider à devenir tout petits, humbles :
c’est moi, avec les grâces que la Trinité m’accorde, qui vais vous aider.
Je suis présente à plusieurs endroits, mes enfants; ce monde a bien besoin que je leur rappelle qu’ils doivent prier pour ne pas tomber entre les griffes de Satan, car, mes enfants, lorsque viendra le moment de la Grande Purification : il sera déchaîné, il voudra vous détruire.
N’ayez crainte, je suis là avec vous dans la prière.
Mes enfants d’amour, faites bien vos prières comme le font les tout petits enfants; ne vous demandez pas si cela se fait comme Dieu le demande : abandonnez-vous, faites-vous petits :
c’est moi qui vais vous aider.
Soyez humbles!
Je suis votre Mère et une mère sait prendre soin de ses enfants.
Allez bien à la messe le dimanche, il est si important ce jour de la semaine; ne faites pas comme certains qui préfèrent se préparer pour faire des commissions; ici, dans votre pays, il y a beaucoup de magasinage le dimanche :
ne suivez pas cette foule, demeurez avec votre Maman.
N’oubliez pas, mes enfants, le sacrement de la pénitence : il vous garde purs; cela va être très important pour vous; je ne puis, mes enfants, vous empêcher de faire votre volonté humaine, mais je vous demande, à chaque jour, de faire un tout petit pas et de la donner à mon Fils :
passez par moi, vous verrez que cela sera plus facile.
Je vous aime tendrement mes enfants!
Soyez vigilants car l’ennemi de votre âme veut votre perte.
Il y a tant de grâces, mes enfants, pour vous;
venez dans mon Cœur de Mère, venez y puiser cette source d’amour : cela va vous aider.
Priez pour vos frères et vos sœurs, donnez-vous pour eux, ils ont tant besoin de vous!
Moi, la Mère de l’Amour, je vous aime et je demande à celui qui a le pouvoir de faire descendre sur vous des grâces de vous bénir.
Allez en paix, mes enfants.
Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit :
Dans l’amour, Dieu accomplit sa Volonté. Dieu est présent : il fait connaître à ses enfants combien il est bon de s’abandonner dans son amour! Nous allons nous incliner en adoration
devant Celui qui va nous faire pleuvoir ses grâces d’amour.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Lancement du volume 2
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Longueuil, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-02-23
Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu accorde à ses enfants l’amour : il est l’Amour. Les gestes que l’on fait viennent de Dieu et c’est vers vous qu’il veut vous donner ces gestes d’amour.
Je suis un instrument, je suis une voix en Dieu.
Dieu est notre Tout, il veut nous apprendre à aimer.
Dieu parle en moi, il veut que je me taise pour vous : il veut prendre toute la place.
J’accorde à Dieu un oui total de ma vie, j'accorde à Dieu un oui total pour tous ceux que je porte en moi.
Jésus : Dieu est la Vie, je suis le seul Maître de la vie : chacun de vous, mes enfants, êtes vie par moi; le souffle, qui est en vous, vous apporte le Souffle de Dieu; tout en vous est en Dieu : vous êtes en moi, par moi vous vivez.
Mes enfants d’amour, laissez couler en vous la Vie.
Prenez la Vie en vous, saisissez ma Présence : une Présence vivante, une Présence qui vous fait savoir que vous, vous êtes en vie.
L’Amour est en chacun de vous pour vous apprendre : qui vous êtes, pourquoi, mes enfants, vous devez vivre à chaque jour. Il y a une étincelle qui s’allume en vous : c’est la lumière.
La lumière est vie, elle est chaleur, elle éclaire, elle abonde de présence.
Tournez-vous à votre droite, tournez-vous à votre gauche, que vous regardiez en avant ou que vous tourniez votre tête vers l’arrière : il y a la lumière.
Moi, mes enfants : JE SUIS. Je suis la Lumière de votre vie.
J’éclaire votre intérieur pour vous faire connaître qui vous êtes.
Depuis votre naissance sur cette terre, vous vivez de vos ombres, vous vivez dans vos peurs, dans vos incertitudes. Vous développez en vous, mes amours, des doutes; des doutes, mes enfants, qui vous empêchent d’être ce que vous êtes : des êtres de lumière.
Vous êtes vivants!
Vous êtes faits pour vivre que dans la Lumière!
Vous ne faites pas, mes enfants, ce que vous devez faire; vous doutez de qui vous êtes : vous venez de Dieu, vous devez vous abandonner dans la Lumière.
C’est moi seul, mes amours, qui vais éclairer votre vie extérieure.
Votre vie, mes enfants, à l’intérieur de vous, doit s’abandonner en moi, et doit vivre que de moi,
et doit apprendre à savourer ma Présence pour que votre vie extérieure soit dans la Lumière, non pour vous, pour ceux qui sont autour de vous, car si vous êtes à l’intérieur de vous en moi : en la Lumière, ceux qui seront autour de vous verront que vous êtes dans la Lumière; ils ne sentiront pas en vous la peur, le doute, l’incertitude; ils vont être en confiance, car vous développerez autour de vous ce que vous êtes à l’intérieur de vous.
Oh! mes enfants d’amour, je viens vous aider : à vous comprendre, à faire de vous des êtres de lumière pour que vous puissiez vous donner à vos frères et à vos sœurs.
Mes êtres d’amour, Dieu est vivant.
Il vous apporte à chaque jour, votre pain de vie.
Chaque jour, lorsque vous vous réveillez le matin, je dépose en vous des grâces de lumière : ces grâces vous aident à vous accomplir.
Savez-vous que sans mes grâces, vous ne pourriez fonctionner?
Vous avez besoin de moi, vous avez besoin de la Lumière pour vivre en êtres d’amour.
L’amour fait partie de votre vie.
C’est moi l’Amour. C’est moi la Lumière. Je suis le Tout de votre être.
Vous n’avez pas à vous interroger sur ce que vous devez ou ne devez pas accomplir : abandonnez-vous, offrez-vous.
Lorsque durant votre journée il vous arrive un obstacle : vous vous sentez incapables de le franchir! si vous avancez seuls, en croyant que par vous-mêmes vous allez pouvoir passer à travers cet obstacle :
mes enfants, vous allez souffrir!
vous allez développer en vous de l’orgueil :
vous allez développer en vous, mes enfants, des manies de tout faire sans votre Dieu.
Regardez, combien connaissez-vous d’enfants qui vivent sans moi, qui ne veulent pas franchir les obstacles de la vie en s’abandonnant en Dieu?
Ils deviennent des enfants égoïstes, épris d’eux-mêmes : ils rapportent tout à eux.
Ils ne veulent pas de moi et ils ne veulent pas de leur prochain, car s’ils me refusent, ils refusent chacun de vous,
car, moi, je suis l’Amour : je suis en chacun de vous; s’ils me refusent, ils vous refusent : ils ne peuvent développer en eux l’amour.
L’Amour : c’est moi.
Il faut commencer par moi; il faut s’abandonner en Dieu, ne vivre que pour Dieu, avec Dieu dans son amour.
C’est moi à chaque matin qui vous nourris; je vous donne mes grâces pour que vous puissiez fonctionner dans un monde où ils ont oublié qu’ils doivent vivre en moi.
Mes êtres d’amour, vous êtes autour de Dieu : présents.
Je vous porte en moi : c’est moi qui vous fais vivre, c’est moi qui alimente votre vie.
Je viens vous apporter, mes enfants, un pain : un pain d’amour; il a été donné par mon Père à un peuple choisi : le peuple d’Israël.
Dieu, mon Père, a donné à ce peuple de la nourriture : cette nourriture est sa Volonté : sa Volonté d’amour.
Par Moïse, ils ont reçu cette nourriture; ils ont reçu des lois d’amour : ces lois d’amour les ont nourris; il leur montrait comment se comporter en enfants dignes : en enfants de Dieu.
Ce peuple devait se comporter en s’abandonnant dans la confiance à Dieu :
il devait suivre des lois, se comporter en enfants dignes avec leurs frères et leurs sœurs.
Ils ont cheminé tout au long de leur vie en respectant ces lois d’amour; bien que leurs faiblesses humaines les faisaient tant souffrir. ils ont connu des souffrances, ils ont connu des maladies, ils ont interrompu les grâces d’amour de mon Père : ils devaient se reconnaître dignes de mon Père.
C’est par des sacrifices, par des hommes de loi qui les rappelaient à l’ordre, qu’ils devaient se repentir, et là, Dieu les comblait de ses grâces.
Mon Père a nourri ce peuple avec ses lois d’amour, mais l’orgueil humain a fait qu’ils ont passé des lois de mon Père à des lois venant de leurs interdictions : ils voulaient suivre les lois, mais avec leur regard, avec leur façon de penser : ils sont devenus un peuple où l’amour ne coulait pas.
Dieu, dans son éternel amour fit naître l’Amour, son Amour.
Il a donné tout de lui et la Lumière est venue en ce monde leur apporter de l’amour : l’Amour leur a rappelé les commandements, l’Amour leur a enseigné qui était Dieu le Père, l’Amour leur a montré à s’aimer les uns les autres, et l’Amour s’est donné.
Quand ce peuple a refusé de regarder la Lumière : ils ont vu leur volonté, et la Lumière s’est laissée couvrir par les ombres : il a pris tous les péchés; il a pris en lui tous les doutes, les peurs, les inquiétudes; il a pris ce qu’il y avait de plus vilain; il n’a rien oublié; tous les péchés ont été en lui; il a voulu tout prendre pour que vous, vous soyez dans la Lumière,
et Dieu le Père, dans son éternel amour, a fait jaillir la Lumière
et la Lumière a enveloppé tous les enfants.
Il est l’Amour, il est l’Espérance de votre vie; vous devez, mes enfants, aller vers la lumière, là où il y a l’amour.
Mes enfants, parmi vous, il y a beaucoup d’enfants qui vivent dans les ténèbres; vous, vous avez accepté d’avancer dans la lumière, de vous abandonner dans la Lumière : vous acceptez de vous nourrir.
Je viens, moi, Dieu, le Fils de Dieu, vous rappeler que Dieu est toujours nourriture,
qu’il ne cesse de vous donner et donner.
Parmi vous, je prends des enfants, des êtres de lumière; je les couvre de ma puissance afin qu’ils puissent s’abandonner, afin qu’ils puissent donner, afin qu’ils puissent disparaître dans la Lumière, afin que moi je puisse prendre toute la place : ils deviennent, pour vous, des instruments d’amour.
Ils ne sont plus en eux, ils sont en le Christ : ils se laissent nourrir d’amour, de mes grâces; ils se laissent nourrir de mes grâces de lumière pour que je puisse rejoindre mes enfants qui ne sont pas dans la Lumière; je les instruis des lois d’amour de mon Père, je leur rappelle mes enseignements d’amour.
Oh! enfants d’amour qui avez cheminé dans vos ombres, je viens vous faire voir qui vous êtes au plus profond de vous.
Vos manies, je les connais; vos souffrances que vous vous causez, je sais d’où elles viennent et, mes enfants, je vais vous en parler; écoutez, je vais vous dire :
«Oh! toi, toi qui te connais si peu, veux-tu apprendre à te connaître, à savoir qui tu es, afin que tu puisses te donner à la Vie, à la Vie qui est en toi? Tu es en train de mourir, tu es en train de t’empoisonner avec ta volonté humaine.»
Je veux te faire découvrir combien tu es précieux à mes yeux, combien tu dois t’aimer! J’ai pour toi tant d’amour! Je veux te faire voir qui tu es, et c’est par amour que je vais te faire découvrir tes défauts, c’est par amour que je vais te montrer d’où viennent tes défauts, et c’est par amour que je vais te dire : «Ne reste pas ainsi car, très bientôt, tu devras rendre des comptes de ton comportement à ton Père, celui qui t’a choisi.
Oh! toi que j’aime tant, je suis la Lumière et la Lumière veut te faire voir ton intérieur : tu t’y trouveras dans ces écrits.
Tu verras qu’avec moi, tu pourras te donner la chance de découvrir l’amour : ton intérieur.
Je t’aime et c’est pour toi que je parle, pour toi en particulier.»
Je vis en chacun de vous et ces paroles s’inscrivent en chacun des enfants de la terre entière.
Mes enfants d’amour, je viens vous apporter un pain : un pain de votre jour; vous vivez dans un monde où il ne veut pas se nourrir de Dieu, mais vous qui acceptez cette nourriture, partagez-la, partagez-la avec ceux que vous portez à l’intérieur de vous.
Lorsque vous lirez ces lignes d’amour et que vous vous reconnaîtrez, n’oubliez pas que celui qui est auprès de vous a besoin aussi de se reconnaître; si vous me l’abandonnez, il recevra ce que je vous donnerai, à vous :
je donne un pain d’amour, c’est un pain du Ciel; il est pour vous et pour tous ceux que vous portez.
Je suis l’Amour, l’Amour aime donner, donnez-vous.
C’est moi, mes amours, qui vais vous aider à vous donner, et vous verrez que cela se fera avec mes grâces d’amour, dans un abandon d’amour; cette transformation est commencée pour vous : vous avez accueilli mes grâces d’amour.
Votre oui à l’Amour a fait de vous des êtres de lumière; laissez-vous prendre dans ce mouvement d’amour; je suis tout en vous, pour vous; je me donne à vous : donnez-vous.
Je vous aime, mes tendres amours.
Dieu accomplit son œuvre, c’est l’œuvre du Père et elle sera éternelle.
Par la toute-puissance de l’Amour, je fais don en vous de grâces de lumière; prenez, mes enfants, distribuez à mes enfants, à ceux que vous portez.
Votre oui est important!
Je suis un Dieu d’amour, je respecte qui vous êtes, je ne peux forcer personne; mais lorsqu’un enfant d’amour donne son oui, moi, je le comble, et lorsqu’un enfant de lumière donne son oui pour ses frères et ses sœurs, je le comble : je le multiplie, car il devient pour ses frères et ses sœurs un don d’amour.
Dieu seul peut combler : recevez, mes amours.
Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit : Par Dieu tout-puissant, il m’accorde la voix, elle est au service de Dieu, et avant de donner à vous, mes frères et mes sœurs, ce que Dieu attend, Dieu veut vous combler par la bénédiction de son fils consacré.
Père Clément : Alors, je vais vous donner la bénédiction, comme si c’était ma première bénédiction après mon ordination. Alors, mon Dieu, que j’étais plein d’ardeur, et le Seigneur répondait vraiment à nos demandes. Alors j’aimerais avoir cette même ardeur pour que tous et chacun apportiez, chez-vous tous, les grâces dont vous avez reçues, aujourd’hui, et qui vont continuer pour le reste de votre vie, à chacun.
Alors : Que Dieu tout-puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Tous : Amen!
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Longueuil, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-02-23
Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu accorde à ses enfants l’amour : il est l’Amour. Les gestes que l’on fait viennent de Dieu et c’est vers vous qu’il veut vous donner ces gestes d’amour.
Je suis un instrument, je suis une voix en Dieu.
Dieu est notre Tout, il veut nous apprendre à aimer.
Dieu parle en moi, il veut que je me taise pour vous : il veut prendre toute la place.
J’accorde à Dieu un oui total de ma vie, j'accorde à Dieu un oui total pour tous ceux que je porte en moi.
Jésus : Dieu est la Vie, je suis le seul Maître de la vie : chacun de vous, mes enfants, êtes vie par moi; le souffle, qui est en vous, vous apporte le Souffle de Dieu; tout en vous est en Dieu : vous êtes en moi, par moi vous vivez.
Mes enfants d’amour, laissez couler en vous la Vie.
Prenez la Vie en vous, saisissez ma Présence : une Présence vivante, une Présence qui vous fait savoir que vous, vous êtes en vie.
L’Amour est en chacun de vous pour vous apprendre : qui vous êtes, pourquoi, mes enfants, vous devez vivre à chaque jour. Il y a une étincelle qui s’allume en vous : c’est la lumière.
La lumière est vie, elle est chaleur, elle éclaire, elle abonde de présence.
Tournez-vous à votre droite, tournez-vous à votre gauche, que vous regardiez en avant ou que vous tourniez votre tête vers l’arrière : il y a la lumière.
Moi, mes enfants : JE SUIS. Je suis la Lumière de votre vie.
J’éclaire votre intérieur pour vous faire connaître qui vous êtes.
Depuis votre naissance sur cette terre, vous vivez de vos ombres, vous vivez dans vos peurs, dans vos incertitudes. Vous développez en vous, mes amours, des doutes; des doutes, mes enfants, qui vous empêchent d’être ce que vous êtes : des êtres de lumière.
Vous êtes vivants!
Vous êtes faits pour vivre que dans la Lumière!
Vous ne faites pas, mes enfants, ce que vous devez faire; vous doutez de qui vous êtes : vous venez de Dieu, vous devez vous abandonner dans la Lumière.
C’est moi seul, mes amours, qui vais éclairer votre vie extérieure.
Votre vie, mes enfants, à l’intérieur de vous, doit s’abandonner en moi, et doit vivre que de moi,
et doit apprendre à savourer ma Présence pour que votre vie extérieure soit dans la Lumière, non pour vous, pour ceux qui sont autour de vous, car si vous êtes à l’intérieur de vous en moi : en la Lumière, ceux qui seront autour de vous verront que vous êtes dans la Lumière; ils ne sentiront pas en vous la peur, le doute, l’incertitude; ils vont être en confiance, car vous développerez autour de vous ce que vous êtes à l’intérieur de vous.
Oh! mes enfants d’amour, je viens vous aider : à vous comprendre, à faire de vous des êtres de lumière pour que vous puissiez vous donner à vos frères et à vos sœurs.
Mes êtres d’amour, Dieu est vivant.
Il vous apporte à chaque jour, votre pain de vie.
Chaque jour, lorsque vous vous réveillez le matin, je dépose en vous des grâces de lumière : ces grâces vous aident à vous accomplir.
Savez-vous que sans mes grâces, vous ne pourriez fonctionner?
Vous avez besoin de moi, vous avez besoin de la Lumière pour vivre en êtres d’amour.
L’amour fait partie de votre vie.
C’est moi l’Amour. C’est moi la Lumière. Je suis le Tout de votre être.
Vous n’avez pas à vous interroger sur ce que vous devez ou ne devez pas accomplir : abandonnez-vous, offrez-vous.
Lorsque durant votre journée il vous arrive un obstacle : vous vous sentez incapables de le franchir! si vous avancez seuls, en croyant que par vous-mêmes vous allez pouvoir passer à travers cet obstacle :
mes enfants, vous allez souffrir!
vous allez développer en vous de l’orgueil :
vous allez développer en vous, mes enfants, des manies de tout faire sans votre Dieu.
Regardez, combien connaissez-vous d’enfants qui vivent sans moi, qui ne veulent pas franchir les obstacles de la vie en s’abandonnant en Dieu?
Ils deviennent des enfants égoïstes, épris d’eux-mêmes : ils rapportent tout à eux.
Ils ne veulent pas de moi et ils ne veulent pas de leur prochain, car s’ils me refusent, ils refusent chacun de vous,
car, moi, je suis l’Amour : je suis en chacun de vous; s’ils me refusent, ils vous refusent : ils ne peuvent développer en eux l’amour.
L’Amour : c’est moi.
Il faut commencer par moi; il faut s’abandonner en Dieu, ne vivre que pour Dieu, avec Dieu dans son amour.
C’est moi à chaque matin qui vous nourris; je vous donne mes grâces pour que vous puissiez fonctionner dans un monde où ils ont oublié qu’ils doivent vivre en moi.
Mes êtres d’amour, vous êtes autour de Dieu : présents.
Je vous porte en moi : c’est moi qui vous fais vivre, c’est moi qui alimente votre vie.
Je viens vous apporter, mes enfants, un pain : un pain d’amour; il a été donné par mon Père à un peuple choisi : le peuple d’Israël.
Dieu, mon Père, a donné à ce peuple de la nourriture : cette nourriture est sa Volonté : sa Volonté d’amour.
Par Moïse, ils ont reçu cette nourriture; ils ont reçu des lois d’amour : ces lois d’amour les ont nourris; il leur montrait comment se comporter en enfants dignes : en enfants de Dieu.
Ce peuple devait se comporter en s’abandonnant dans la confiance à Dieu :
il devait suivre des lois, se comporter en enfants dignes avec leurs frères et leurs sœurs.
Ils ont cheminé tout au long de leur vie en respectant ces lois d’amour; bien que leurs faiblesses humaines les faisaient tant souffrir. ils ont connu des souffrances, ils ont connu des maladies, ils ont interrompu les grâces d’amour de mon Père : ils devaient se reconnaître dignes de mon Père.
C’est par des sacrifices, par des hommes de loi qui les rappelaient à l’ordre, qu’ils devaient se repentir, et là, Dieu les comblait de ses grâces.
Mon Père a nourri ce peuple avec ses lois d’amour, mais l’orgueil humain a fait qu’ils ont passé des lois de mon Père à des lois venant de leurs interdictions : ils voulaient suivre les lois, mais avec leur regard, avec leur façon de penser : ils sont devenus un peuple où l’amour ne coulait pas.
Dieu, dans son éternel amour fit naître l’Amour, son Amour.
Il a donné tout de lui et la Lumière est venue en ce monde leur apporter de l’amour : l’Amour leur a rappelé les commandements, l’Amour leur a enseigné qui était Dieu le Père, l’Amour leur a montré à s’aimer les uns les autres, et l’Amour s’est donné.
Quand ce peuple a refusé de regarder la Lumière : ils ont vu leur volonté, et la Lumière s’est laissée couvrir par les ombres : il a pris tous les péchés; il a pris en lui tous les doutes, les peurs, les inquiétudes; il a pris ce qu’il y avait de plus vilain; il n’a rien oublié; tous les péchés ont été en lui; il a voulu tout prendre pour que vous, vous soyez dans la Lumière,
et Dieu le Père, dans son éternel amour, a fait jaillir la Lumière
et la Lumière a enveloppé tous les enfants.
Il est l’Amour, il est l’Espérance de votre vie; vous devez, mes enfants, aller vers la lumière, là où il y a l’amour.
Mes enfants, parmi vous, il y a beaucoup d’enfants qui vivent dans les ténèbres; vous, vous avez accepté d’avancer dans la lumière, de vous abandonner dans la Lumière : vous acceptez de vous nourrir.
Je viens, moi, Dieu, le Fils de Dieu, vous rappeler que Dieu est toujours nourriture,
qu’il ne cesse de vous donner et donner.
Parmi vous, je prends des enfants, des êtres de lumière; je les couvre de ma puissance afin qu’ils puissent s’abandonner, afin qu’ils puissent donner, afin qu’ils puissent disparaître dans la Lumière, afin que moi je puisse prendre toute la place : ils deviennent, pour vous, des instruments d’amour.
Ils ne sont plus en eux, ils sont en le Christ : ils se laissent nourrir d’amour, de mes grâces; ils se laissent nourrir de mes grâces de lumière pour que je puisse rejoindre mes enfants qui ne sont pas dans la Lumière; je les instruis des lois d’amour de mon Père, je leur rappelle mes enseignements d’amour.
Oh! enfants d’amour qui avez cheminé dans vos ombres, je viens vous faire voir qui vous êtes au plus profond de vous.
Vos manies, je les connais; vos souffrances que vous vous causez, je sais d’où elles viennent et, mes enfants, je vais vous en parler; écoutez, je vais vous dire :
«Oh! toi, toi qui te connais si peu, veux-tu apprendre à te connaître, à savoir qui tu es, afin que tu puisses te donner à la Vie, à la Vie qui est en toi? Tu es en train de mourir, tu es en train de t’empoisonner avec ta volonté humaine.»
Je veux te faire découvrir combien tu es précieux à mes yeux, combien tu dois t’aimer! J’ai pour toi tant d’amour! Je veux te faire voir qui tu es, et c’est par amour que je vais te faire découvrir tes défauts, c’est par amour que je vais te montrer d’où viennent tes défauts, et c’est par amour que je vais te dire : «Ne reste pas ainsi car, très bientôt, tu devras rendre des comptes de ton comportement à ton Père, celui qui t’a choisi.
Oh! toi que j’aime tant, je suis la Lumière et la Lumière veut te faire voir ton intérieur : tu t’y trouveras dans ces écrits.
Tu verras qu’avec moi, tu pourras te donner la chance de découvrir l’amour : ton intérieur.
Je t’aime et c’est pour toi que je parle, pour toi en particulier.»
Je vis en chacun de vous et ces paroles s’inscrivent en chacun des enfants de la terre entière.
Mes enfants d’amour, je viens vous apporter un pain : un pain de votre jour; vous vivez dans un monde où il ne veut pas se nourrir de Dieu, mais vous qui acceptez cette nourriture, partagez-la, partagez-la avec ceux que vous portez à l’intérieur de vous.
Lorsque vous lirez ces lignes d’amour et que vous vous reconnaîtrez, n’oubliez pas que celui qui est auprès de vous a besoin aussi de se reconnaître; si vous me l’abandonnez, il recevra ce que je vous donnerai, à vous :
je donne un pain d’amour, c’est un pain du Ciel; il est pour vous et pour tous ceux que vous portez.
Je suis l’Amour, l’Amour aime donner, donnez-vous.
C’est moi, mes amours, qui vais vous aider à vous donner, et vous verrez que cela se fera avec mes grâces d’amour, dans un abandon d’amour; cette transformation est commencée pour vous : vous avez accueilli mes grâces d’amour.
Votre oui à l’Amour a fait de vous des êtres de lumière; laissez-vous prendre dans ce mouvement d’amour; je suis tout en vous, pour vous; je me donne à vous : donnez-vous.
Je vous aime, mes tendres amours.
Dieu accomplit son œuvre, c’est l’œuvre du Père et elle sera éternelle.
Par la toute-puissance de l’Amour, je fais don en vous de grâces de lumière; prenez, mes enfants, distribuez à mes enfants, à ceux que vous portez.
Votre oui est important!
Je suis un Dieu d’amour, je respecte qui vous êtes, je ne peux forcer personne; mais lorsqu’un enfant d’amour donne son oui, moi, je le comble, et lorsqu’un enfant de lumière donne son oui pour ses frères et ses sœurs, je le comble : je le multiplie, car il devient pour ses frères et ses sœurs un don d’amour.
Dieu seul peut combler : recevez, mes amours.
Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit : Par Dieu tout-puissant, il m’accorde la voix, elle est au service de Dieu, et avant de donner à vous, mes frères et mes sœurs, ce que Dieu attend, Dieu veut vous combler par la bénédiction de son fils consacré.
Père Clément : Alors, je vais vous donner la bénédiction, comme si c’était ma première bénédiction après mon ordination. Alors, mon Dieu, que j’étais plein d’ardeur, et le Seigneur répondait vraiment à nos demandes. Alors j’aimerais avoir cette même ardeur pour que tous et chacun apportiez, chez-vous tous, les grâces dont vous avez reçues, aujourd’hui, et qui vont continuer pour le reste de votre vie, à chacun.
Alors : Que Dieu tout-puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Tous : Amen!
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
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Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Sherbrooke, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-03-02
Jésus : Je suis l’Amour en elle. Elle n’est plus en ce monde, je l’ai prise en moi. Je suis la Puissance, je suis Dieu Amour. Je parle, je parle en les cœurs.
En ce moment même, mes enfants, je vous parle : en vous; ouvrez vos cœurs; laissez pénétrer en vous cette grâce; portez en vous, mes enfants, tous mes enfants, ils ont besoin de cette grâce : je fais appel à chacun de vous pour vous donner, mes enfants; je me suis donné par amour à mon Père, pour vous, pour chacun de vous,
afin que vous soyez tous unis en mon Cœur.
Je vous aime, mes enfants.
C’est un mouvement d’amour, c’est l’unité.
Ô Dieu d’amour, je vous présente vos enfants, ils sont tous unis dans mon Cœur :
ce Cœur qui s’est ouvert pour vous ramener vos enfants.
Oh! mes êtres d’amour, je suis la Présence, je suis l’éternelle Présence, je fais mouvement en vous pour vous rappeler qui vous êtes.
Vous devez vous unir dans l’amour.
Ce monde a bien besoin de se reconnaître; je fais appel à chacun de vous; vous êtes tous mes enfants choisis pour ce temps : ce temps de grâces où, présentement, les enfants qui sont en vous reçoivent des grâces : ils ont besoin de ces grâces; ils se perdent dans ce monde où il n’y a qu’indifférence envers mon amour.
Je me suis donné pour eux et eux ne veulent pas, ils ne veulent pas de moi.
Vous qui répondez à mon appel d’amour, je suis en ce moment en train de déverser en vous des grâces d’amour :
des grâces qui vous transforment en enfants de la Divine Volonté.
Ce monde a connu sa volonté; il a voulu faire plaisir à mon Père en se donnant pour faire sa volonté.
Moi, le Fils de Dieu, je vous appelle à vous donner dans un mouvement d’amour; je vous réclame votre vie : je veux votre vie, je veux la prendre et la faire mienne.
Je porte en moi tout l’amour de mon Père :
je veux vous faire vivre en ma Vie pour que vous soyez éternels.
Mes enfants d’amour, un monde nouveau vient vers vous; il vient vous montrer que l’amour règnera sur la terre.
Chacun de vous devez porter en ce moment vos frères et vos sœurs, car un temps, où ils devront, eux, renoncer à leur volonté humaine, vient.
J’ai besoin de vous, j’ai besoin que vous vous laissiez transformer par mes grâces.
Vous n’êtes pas prêts, mes enfants, encore, il y a tant de vous qui se posent des questions!
Vous n’êtes pas prêts, mes enfants, à aller vers eux, pas encore, car je dépose en vous des grâces d’amour, des grâces d’abandon, des grâces qui vous transforment en enfants de ma Volonté d’amour :
il n’y a rien qui sortira de vous, mais que de moi.
Ce monde est appelé à vivre dans mon amour.
Vous êtes mes enfants de la Lumière, je vous appelle tous à renoncer à votre vie : à votre vie trépidante.
Oui, mes enfants, il y aura un monde d’humilité, de petitesse : cela vous apportera des grâces,
vous grandirez par moi, en moi et pour moi.
Mes enfants d’amour, bien que vous puissiez, vous, être consentants à vouloir faire de vous des enfants d’amour,
il n’y a que moi qui peux faire ce mouvement d’amour; je vous rappelle que vous êtes des enfants sortis du péché,
mais vous avez connu le péché.
Oui, mes enfants, vous êtes des enfants du péché originel; il y a en vous ce mal, ce mal qui vous porte à vous inquiéter, à douter, à vous poser des questions sur votre comportement.
Moi, je viens vous montrer comment vous abandonner totalement à mon amour.
C’est dans l’abandon seulement que vous allez vous découvrir tels que vous êtes.
Je sais, mes enfants, que vous vous dites des enfants priants, aimant Dieu, mais votre faiblesse, à cause de la tache originelle, vous a apporté de trop grandes faiblesses!
Vous avez reçu le sacrement du baptême, il vous lavait de la tache originelle; vous avez continué à vivre dans votre volonté humaine, vous acheminant chaque jour avec ce que vous êtes : tout cela, mes enfants, ne vous a apporté que tristesse dans vos vies.
Moi, l’Amour, j’ai déposé en vous des grâces de lumière,
des grâces qui vous faisaient réaliser que vous étiez amour.
Chaque jour dans votre vie, vous avez tous et chacun espéré l’amour : le vrai amour; vous avez voulu connaître des joies; tout cela venait de nous, la Trinité :
nous vous avons tenus en vie par notre seule Puissance.
Je viens vous démontrer la valeur de votre vraie vie en vous, en vous demandant de renoncer à votre volonté humaine.
Lorsque vous apprenez à connaître votre valeur humaine, il est plus facile pour vous de constater votre vie; vous aurez beau vous abandonner à moi, l’Amour, lorsqu’on ne connaît pas tout de soi, il y a toujours des moments : où il y a un recul, un doute, une incertitude de ce que l’on accomplit.
C’est pour cela, mes enfants, que je parle dans les cœurs,
que je viens vous déclarer combien, moi, je vous ai soutenus durant votre vie.
Mes enfants d’amour, je parle de tous ceux aussi que vous portez dans la Divine Volonté.
Vous portez tous les enfants, et cela depuis Adam et Ève; vous les portez en vous : vous avez la trace du refus à l’Amour et vous avez la grâce du oui à l’Amour.
C’est l’Amour qui vous réclame votre oui; c’est vous qui devez prendre vous-mêmes la décision de renoncer à votre volonté humaine : cela n’est pas facile pour vous de renoncer à ce que vous êtes!
Je veux vous montrer combien vous valez plus que cela!
Vous êtes enfants de Dieu, vous êtes des enfants de la Divine Volonté : tout en vous est merveille!
Mais vous avez enfoui ces merveilles avec vos refus, vos doutes; vous avez accompli des actes contre vous-mêmes,
et contre ceux que vous portez en vous; lorsque vous parlez contre votre prochain : moi je vous parle de ceux que vous portez en vous; découvrez la vraie valeur de votre être.
Lorsque je vous ai dit : «Aimez, aimez-vous, aimez votre prochain comme vous-mêmes»,
vous portez l’Amour, l’Amour qui s’est laissé blesser.
Je vous demande, mes enfants, de vous laisser découvrir.
Lorsque vous allez apprendre à vous connaître, vous allez connaître aussi votre prochain, et lorsque vous lirez ces lignes, dans ce que j’ai moi-même, mes enfants, fait écrire pour vous : vous reconnaîtrez qui vous êtes, car même si vous lisez en disant : "Mais, je n’ai jamais consommé de drogue!" mes enfants d’amour, vous portez en vous des enfants qui en ont consommé! vous allez apprendre à les aimer, vous allez apprendre à les soutenir; avec vos oui dans l’abandon total, ces enfants vont profiter des grâces que je vais déverser en vous, pour eux : c’est un don d’amour.
J’ai donné ma Vie, donnez votre vie, donnez-moi la vie de tous ceux que vous portez en vous.
Je veux changer la face de la terre.
Par le Saint-Esprit, mes enfants, vous allez recevoir des grâces de lumière et ces grâces sont pour vos frères et vos sœurs aussi : elles ne sont pas seulement pour vous.
Il y a l’amour et l’amour donne : il ne peut rien retenir, il aime donner : donnez, mes enfants.
Lorsque vous apprendrez combien vous êtes amour : la joie sera en vous, la paix vous couvrira, chaque jour vous apparaîtra comme un jour nouveau.
Vous avancez vers ma Nouvelle Terre : ce mouvement est dans le oui à l’Amour, il est pour vous.
Point ne sert de courir après quelque chose que vous ne pouvez atteindre par vous-mêmes : laissez l’Amour faire ce mouvement, ne vous forcez pas, donnez-moi votre oui; votre abandon sera dans mon mouvement; je vous nourrirai, mes enfants.
Vous verrez que cela se fera par moi, et non par vous.
Il faut un renoncement total de votre volonté humaine, et cela se fera par moi : seulement par moi.
Vous verrez la joie dans vos vies; vous pourrez découvrir combien il est rassurant de se donner à Dieu, car vous portez aussi vos enfants, vous portez un mari, une épouse, un frère, une sœur, vous portez toute votre famille, et je sais que cela est très important pour vous!
C’est merveilleux, mes enfants, de se donner!
Toutes vos inquiétudes vont disparaître, il y aura de la joie dans vos vies.
Je vous dis, mes enfants, qu’un monde d’amour vient; il commence par votre oui, votre oui à Jésus d’amour.
Je vous prends en moi.
Je suis venu en ce monde pour vous montrer comment aimer mon Père.
Je vous ai enseigné comment aimer votre prochain.
Je veux vous montrer que cela se fait en le Christ, en moi, dans un abandon total.
Il n’y a pas à avoir peur du comment! Ce monde vit dans la peur, dans l’inquiétude!
Il y a tant de violence! Il y a tant de blessures dans vos familles! Apportez-leur de l’amour!
Lorsque vous les portez en vous, vous leur faites gagner des grâces d’amour : je suis la Puissance.
Regardez, mes enfants, combien d’entre vous entendent l’Amour?
Je vous ai dit que je viens habiter vos vies : vous allez entendre l’Amour.
Votre abandon, c’est moi qui vais le faire; je vais vous montrer, mes enfants, combien c’est merveilleux de vivre en moi, de ne pas se soucier de ce que votre vie sera, ni celle de vos enfants, celle de votre famille :
tout ne sera qu’abandon : je vais vous combler.
Tout doit commencer là, maintenant : à l’instant où vous prononcez votre oui : c’est un mouvement d’amour dans la Divine Volonté.
Je vous prends en moi : c’est moi qui fais ce mouvement pour vous.
Je viens pour vous faire découvrir la Divine Volonté :
vivre en Dieu comme vos premiers parents avant le péché.
Mes enfants d’amour, ces mots qui se sont inscrits dans ce livre, ce sont des mots de Dieu : ils sont vivants, ils sont agissants.
Vous y reconnaîtrez vos mouvements, car je les ai portés :
j’ai apporté à la mort toutes vos imperfections.
Lorsqu’un seul enfant commet un péché, moi, Dieu tout-puissant qui ai porté ses péchés, je l’ai lavé de mon Sang,
je l’ai purifié cet enfant, en apportant à la mort son péché : cet enfant, par son repentir sincère, est appelé à devenir enfant de la Divine Volonté : Vous allez, chacun de vous, reconnaître vos propres mouvements; vous allez voir, mes enfants, combien je vous aime, combien je vous ai portés et combien je vous porte.
Je vous réclame votre abandon total pour vous et pour eux.
Ce n’est pas pour vous réprimander, pour vous juger, pour vous faire savoir combien vous êtes des enfants infidèles : oh! mes enfants d’amour, vous vous connaissez!
Lorsqu’un seul d’entre vous commet une faute envers Dieu, cet enfant le sait, et moi, dans mon amour, je lui donne des grâces : des grâces qui vont lui faire reconnaître qu’il doit venir vers moi pour obtenir des grâces de force, des grâces d’abandon qui vont le conduire à l’Amour.
Mes êtres d’amour, elle écrit pour vous : cela se fait par la puissance du Saint-Esprit.
Ceux qui ont donné leur oui, moi, Dieu tout-puissant, je les ai enveloppés de mon amour, leur demandant d’être à mon écoute, et cela est pour vous préparer à rentrer chez vous, mes enfants, dans ma Nouvelle Terre.
Votre monde vous a montré à écouter des paroles humaines : vous écoutez la télévision, la radio; vous lisez des journaux, des revues, des romans : chaque jour, mes enfants, on vous répète des paroles contre votre prochain; on vous a appris à devenir indépendants les uns des autres, à vouloir vivre pour vous-mêmes; on vous apprend à délaisser vos enfants; on vous apprend, mes enfants, à n’écouter que votre moi, vous donnant vous-mêmes un pouvoir, oubliant qui je suis, oubliant que vous êtes enfants de Dieu, et chaque jour, les enfants de la terre se laissent envelopper par ce mouvement qui n’est pas amour : c’est par répétition que vous êtes devenus des enfants loin de moi.
Et moi, l’Amour, je vais vous montrer que je vous aime.
Beaucoup de messages ont été en circulation.
J’ai utilisé beaucoup d’enfants car, aujourd’hui, mes enfants, vous dites : mais, il y en a trop, nous ne savons plus lesquels sont vrais, et vous commencez à lire ces messages avec un doute en vous; vous calculez aussi la valeur du message selon ce que vous ressentez.
Mes enfants d’amour, est-ce que cela vient de la Volonté de Dieu ou de la vôtre?
Je vous parle parce que je vous aime.
Je ne cesserai jamais de vous dire combien je tiens à vous!
Écoutez bien, mes enfants : Chaque message donné à mes messagers pour vous sont des grâces; lorsque Dieu parle, chaque mot porte des grâces; je veux vous remplir de mes paroles d’amour; je veux vous faire comprendre, mes enfants, que je tiens à vous.
Pas un seul message n’a pas été en nous; nous avons calculé chaque mot pour qu’ils soient, pour vous, des mouvements d’amour nourrissant votre âme.
Laissez-nous juger de ce qui est bon pour vous, pour votre âme.
Lorsque, mes enfants, vous écoutez votre télévision, vous avez plusieurs postes; lorsqu’une émission est terminée, vous passez à la suivante, quelquefois vous changez de canal, et cela se fait à tous les jours.
Calculez le nombre de journaux qui émettent des commentaires, et vous les lisez.
Des nouvelles, mes enfants, vous arrivent à tous les jours, et vous les écoutez.
Des chansons, mes enfants, sont dans vos vies, et vous les écoutez : vous vous laissez prendre par ces sons.
Moi, je veux nourrir votre âme.
Lorsque vous lisez un message venant d’un messager, il est pour votre âme : c’est votre âme qui se nourrit de mes grâces.
Elles vous aident à vous abandonner, à vous transformer en enfants de la Divine Volonté :
Cela est un mouvement d’amour.
Je vous demande, mes amours, de ne pas critiquer ma nourriture; si votre volonté humaine vous porte à porter des jugements : eh bien, donnez-les-moi, je vais vous aider, et si un tel messager ne parle pas comme vous, vous voulez l’entendre : donnez-le-moi, moi, je vais vous aider à l’accueillir avec votre amour qui est mon amour.
Apprenez à vous abandonner : cela est une nourriture.
Laissez-moi vous combler de mes paroles : Je vous annonce un temps d’amour.
Ne vous critiquez pas : aimez-vous : c’est l’Amour qui vous parle en vous.
Je suis le seul qui peut vous amener à la vie éternelle.
Ces messages, mes enfants, sont pour vous; j’utilise des enfants avec ce qu’ils sont, et c’est avec beaucoup d’amour que je les transforme pour vous.
Aimez-les, aimez-vous, aimez-moi, aimez mon geste d’amour pour vous.
Il y a tant à changer, mes enfants, dans vos vies!
Je vous aime, ceci est pour vous :
«Amour, je parle dans ton cœur, viens vers moi, je t’aime comme tu es, je te veux à moi dans mon Cœur.
Laisse-toi prendre par moi et si tu as des blessures, donne-les moi.
Je vais déposer en toi un baume d’amour.
Tu vas t’aimer tel comme tu es et moi, je vais faire attention à toi.
Je vais déverser en toi des grâces, des grâces de lumière qui t’aideront tranquillement à avancer :
à avancer dans l’amour.
Tu vas devenir un enfant : un enfant de la Divine Volonté.
Parce que je t’aime, je te veux à moi.
N’aie crainte, tout est préparé pour toi.
Mon Père, ton Père, m’a donné à toi pour que je puisse te ramener à lui.
C’est ensemble que nous allons avancer et c’est moi qui vais te porter,
et lorsque tu auras assez de force, je vais te demander si tu veux m’aider à porter ceux qui retardent,
car voici que la lumière approche.
Bientôt, tout ne sera qu’amour.
Il faut que tu sois dans la Divine Volonté pour goûter à cette joie que tu vas ressentir lorsque tu verras la Lumière.
Tout sera joie pour toi.
C’est dans ton oui total que tu vas découvrir cette immense joie.
Je t’aime. Je te veux qu’à moi.»
Mes enfants d’amour, tout est en Dieu, laissez-vous abandonner dans mon amour : je vous aime. Je demande à celui qui a prononcé son oui d’amour, à celui qui a donné sa vie en le Christ pour vous unir dans le Cœur de ma Mère et dans le Cœur même de l’Amour, de venir vous bénir.
Amen, mes enfants!
Père Martel : Seigneur Jésus, nous sommes réunis en ton nom. Daigne bénir toutes les personnes ici présentes, accorde-leur la santé de l’âme et du corps, daigne les aider à toujours accomplir ta Volonté par un oui de plus en plus parfait. Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen!
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Sherbrooke, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-03-02
Jésus : Je suis l’Amour en elle. Elle n’est plus en ce monde, je l’ai prise en moi. Je suis la Puissance, je suis Dieu Amour. Je parle, je parle en les cœurs.
En ce moment même, mes enfants, je vous parle : en vous; ouvrez vos cœurs; laissez pénétrer en vous cette grâce; portez en vous, mes enfants, tous mes enfants, ils ont besoin de cette grâce : je fais appel à chacun de vous pour vous donner, mes enfants; je me suis donné par amour à mon Père, pour vous, pour chacun de vous,
afin que vous soyez tous unis en mon Cœur.
Je vous aime, mes enfants.
C’est un mouvement d’amour, c’est l’unité.
Ô Dieu d’amour, je vous présente vos enfants, ils sont tous unis dans mon Cœur :
ce Cœur qui s’est ouvert pour vous ramener vos enfants.
Oh! mes êtres d’amour, je suis la Présence, je suis l’éternelle Présence, je fais mouvement en vous pour vous rappeler qui vous êtes.
Vous devez vous unir dans l’amour.
Ce monde a bien besoin de se reconnaître; je fais appel à chacun de vous; vous êtes tous mes enfants choisis pour ce temps : ce temps de grâces où, présentement, les enfants qui sont en vous reçoivent des grâces : ils ont besoin de ces grâces; ils se perdent dans ce monde où il n’y a qu’indifférence envers mon amour.
Je me suis donné pour eux et eux ne veulent pas, ils ne veulent pas de moi.
Vous qui répondez à mon appel d’amour, je suis en ce moment en train de déverser en vous des grâces d’amour :
des grâces qui vous transforment en enfants de la Divine Volonté.
Ce monde a connu sa volonté; il a voulu faire plaisir à mon Père en se donnant pour faire sa volonté.
Moi, le Fils de Dieu, je vous appelle à vous donner dans un mouvement d’amour; je vous réclame votre vie : je veux votre vie, je veux la prendre et la faire mienne.
Je porte en moi tout l’amour de mon Père :
je veux vous faire vivre en ma Vie pour que vous soyez éternels.
Mes enfants d’amour, un monde nouveau vient vers vous; il vient vous montrer que l’amour règnera sur la terre.
Chacun de vous devez porter en ce moment vos frères et vos sœurs, car un temps, où ils devront, eux, renoncer à leur volonté humaine, vient.
J’ai besoin de vous, j’ai besoin que vous vous laissiez transformer par mes grâces.
Vous n’êtes pas prêts, mes enfants, encore, il y a tant de vous qui se posent des questions!
Vous n’êtes pas prêts, mes enfants, à aller vers eux, pas encore, car je dépose en vous des grâces d’amour, des grâces d’abandon, des grâces qui vous transforment en enfants de ma Volonté d’amour :
il n’y a rien qui sortira de vous, mais que de moi.
Ce monde est appelé à vivre dans mon amour.
Vous êtes mes enfants de la Lumière, je vous appelle tous à renoncer à votre vie : à votre vie trépidante.
Oui, mes enfants, il y aura un monde d’humilité, de petitesse : cela vous apportera des grâces,
vous grandirez par moi, en moi et pour moi.
Mes enfants d’amour, bien que vous puissiez, vous, être consentants à vouloir faire de vous des enfants d’amour,
il n’y a que moi qui peux faire ce mouvement d’amour; je vous rappelle que vous êtes des enfants sortis du péché,
mais vous avez connu le péché.
Oui, mes enfants, vous êtes des enfants du péché originel; il y a en vous ce mal, ce mal qui vous porte à vous inquiéter, à douter, à vous poser des questions sur votre comportement.
Moi, je viens vous montrer comment vous abandonner totalement à mon amour.
C’est dans l’abandon seulement que vous allez vous découvrir tels que vous êtes.
Je sais, mes enfants, que vous vous dites des enfants priants, aimant Dieu, mais votre faiblesse, à cause de la tache originelle, vous a apporté de trop grandes faiblesses!
Vous avez reçu le sacrement du baptême, il vous lavait de la tache originelle; vous avez continué à vivre dans votre volonté humaine, vous acheminant chaque jour avec ce que vous êtes : tout cela, mes enfants, ne vous a apporté que tristesse dans vos vies.
Moi, l’Amour, j’ai déposé en vous des grâces de lumière,
des grâces qui vous faisaient réaliser que vous étiez amour.
Chaque jour dans votre vie, vous avez tous et chacun espéré l’amour : le vrai amour; vous avez voulu connaître des joies; tout cela venait de nous, la Trinité :
nous vous avons tenus en vie par notre seule Puissance.
Je viens vous démontrer la valeur de votre vraie vie en vous, en vous demandant de renoncer à votre volonté humaine.
Lorsque vous apprenez à connaître votre valeur humaine, il est plus facile pour vous de constater votre vie; vous aurez beau vous abandonner à moi, l’Amour, lorsqu’on ne connaît pas tout de soi, il y a toujours des moments : où il y a un recul, un doute, une incertitude de ce que l’on accomplit.
C’est pour cela, mes enfants, que je parle dans les cœurs,
que je viens vous déclarer combien, moi, je vous ai soutenus durant votre vie.
Mes enfants d’amour, je parle de tous ceux aussi que vous portez dans la Divine Volonté.
Vous portez tous les enfants, et cela depuis Adam et Ève; vous les portez en vous : vous avez la trace du refus à l’Amour et vous avez la grâce du oui à l’Amour.
C’est l’Amour qui vous réclame votre oui; c’est vous qui devez prendre vous-mêmes la décision de renoncer à votre volonté humaine : cela n’est pas facile pour vous de renoncer à ce que vous êtes!
Je veux vous montrer combien vous valez plus que cela!
Vous êtes enfants de Dieu, vous êtes des enfants de la Divine Volonté : tout en vous est merveille!
Mais vous avez enfoui ces merveilles avec vos refus, vos doutes; vous avez accompli des actes contre vous-mêmes,
et contre ceux que vous portez en vous; lorsque vous parlez contre votre prochain : moi je vous parle de ceux que vous portez en vous; découvrez la vraie valeur de votre être.
Lorsque je vous ai dit : «Aimez, aimez-vous, aimez votre prochain comme vous-mêmes»,
vous portez l’Amour, l’Amour qui s’est laissé blesser.
Je vous demande, mes enfants, de vous laisser découvrir.
Lorsque vous allez apprendre à vous connaître, vous allez connaître aussi votre prochain, et lorsque vous lirez ces lignes, dans ce que j’ai moi-même, mes enfants, fait écrire pour vous : vous reconnaîtrez qui vous êtes, car même si vous lisez en disant : "Mais, je n’ai jamais consommé de drogue!" mes enfants d’amour, vous portez en vous des enfants qui en ont consommé! vous allez apprendre à les aimer, vous allez apprendre à les soutenir; avec vos oui dans l’abandon total, ces enfants vont profiter des grâces que je vais déverser en vous, pour eux : c’est un don d’amour.
J’ai donné ma Vie, donnez votre vie, donnez-moi la vie de tous ceux que vous portez en vous.
Je veux changer la face de la terre.
Par le Saint-Esprit, mes enfants, vous allez recevoir des grâces de lumière et ces grâces sont pour vos frères et vos sœurs aussi : elles ne sont pas seulement pour vous.
Il y a l’amour et l’amour donne : il ne peut rien retenir, il aime donner : donnez, mes enfants.
Lorsque vous apprendrez combien vous êtes amour : la joie sera en vous, la paix vous couvrira, chaque jour vous apparaîtra comme un jour nouveau.
Vous avancez vers ma Nouvelle Terre : ce mouvement est dans le oui à l’Amour, il est pour vous.
Point ne sert de courir après quelque chose que vous ne pouvez atteindre par vous-mêmes : laissez l’Amour faire ce mouvement, ne vous forcez pas, donnez-moi votre oui; votre abandon sera dans mon mouvement; je vous nourrirai, mes enfants.
Vous verrez que cela se fera par moi, et non par vous.
Il faut un renoncement total de votre volonté humaine, et cela se fera par moi : seulement par moi.
Vous verrez la joie dans vos vies; vous pourrez découvrir combien il est rassurant de se donner à Dieu, car vous portez aussi vos enfants, vous portez un mari, une épouse, un frère, une sœur, vous portez toute votre famille, et je sais que cela est très important pour vous!
C’est merveilleux, mes enfants, de se donner!
Toutes vos inquiétudes vont disparaître, il y aura de la joie dans vos vies.
Je vous dis, mes enfants, qu’un monde d’amour vient; il commence par votre oui, votre oui à Jésus d’amour.
Je vous prends en moi.
Je suis venu en ce monde pour vous montrer comment aimer mon Père.
Je vous ai enseigné comment aimer votre prochain.
Je veux vous montrer que cela se fait en le Christ, en moi, dans un abandon total.
Il n’y a pas à avoir peur du comment! Ce monde vit dans la peur, dans l’inquiétude!
Il y a tant de violence! Il y a tant de blessures dans vos familles! Apportez-leur de l’amour!
Lorsque vous les portez en vous, vous leur faites gagner des grâces d’amour : je suis la Puissance.
Regardez, mes enfants, combien d’entre vous entendent l’Amour?
Je vous ai dit que je viens habiter vos vies : vous allez entendre l’Amour.
Votre abandon, c’est moi qui vais le faire; je vais vous montrer, mes enfants, combien c’est merveilleux de vivre en moi, de ne pas se soucier de ce que votre vie sera, ni celle de vos enfants, celle de votre famille :
tout ne sera qu’abandon : je vais vous combler.
Tout doit commencer là, maintenant : à l’instant où vous prononcez votre oui : c’est un mouvement d’amour dans la Divine Volonté.
Je vous prends en moi : c’est moi qui fais ce mouvement pour vous.
Je viens pour vous faire découvrir la Divine Volonté :
vivre en Dieu comme vos premiers parents avant le péché.
Mes enfants d’amour, ces mots qui se sont inscrits dans ce livre, ce sont des mots de Dieu : ils sont vivants, ils sont agissants.
Vous y reconnaîtrez vos mouvements, car je les ai portés :
j’ai apporté à la mort toutes vos imperfections.
Lorsqu’un seul enfant commet un péché, moi, Dieu tout-puissant qui ai porté ses péchés, je l’ai lavé de mon Sang,
je l’ai purifié cet enfant, en apportant à la mort son péché : cet enfant, par son repentir sincère, est appelé à devenir enfant de la Divine Volonté : Vous allez, chacun de vous, reconnaître vos propres mouvements; vous allez voir, mes enfants, combien je vous aime, combien je vous ai portés et combien je vous porte.
Je vous réclame votre abandon total pour vous et pour eux.
Ce n’est pas pour vous réprimander, pour vous juger, pour vous faire savoir combien vous êtes des enfants infidèles : oh! mes enfants d’amour, vous vous connaissez!
Lorsqu’un seul d’entre vous commet une faute envers Dieu, cet enfant le sait, et moi, dans mon amour, je lui donne des grâces : des grâces qui vont lui faire reconnaître qu’il doit venir vers moi pour obtenir des grâces de force, des grâces d’abandon qui vont le conduire à l’Amour.
Mes êtres d’amour, elle écrit pour vous : cela se fait par la puissance du Saint-Esprit.
Ceux qui ont donné leur oui, moi, Dieu tout-puissant, je les ai enveloppés de mon amour, leur demandant d’être à mon écoute, et cela est pour vous préparer à rentrer chez vous, mes enfants, dans ma Nouvelle Terre.
Votre monde vous a montré à écouter des paroles humaines : vous écoutez la télévision, la radio; vous lisez des journaux, des revues, des romans : chaque jour, mes enfants, on vous répète des paroles contre votre prochain; on vous a appris à devenir indépendants les uns des autres, à vouloir vivre pour vous-mêmes; on vous apprend à délaisser vos enfants; on vous apprend, mes enfants, à n’écouter que votre moi, vous donnant vous-mêmes un pouvoir, oubliant qui je suis, oubliant que vous êtes enfants de Dieu, et chaque jour, les enfants de la terre se laissent envelopper par ce mouvement qui n’est pas amour : c’est par répétition que vous êtes devenus des enfants loin de moi.
Et moi, l’Amour, je vais vous montrer que je vous aime.
Beaucoup de messages ont été en circulation.
J’ai utilisé beaucoup d’enfants car, aujourd’hui, mes enfants, vous dites : mais, il y en a trop, nous ne savons plus lesquels sont vrais, et vous commencez à lire ces messages avec un doute en vous; vous calculez aussi la valeur du message selon ce que vous ressentez.
Mes enfants d’amour, est-ce que cela vient de la Volonté de Dieu ou de la vôtre?
Je vous parle parce que je vous aime.
Je ne cesserai jamais de vous dire combien je tiens à vous!
Écoutez bien, mes enfants : Chaque message donné à mes messagers pour vous sont des grâces; lorsque Dieu parle, chaque mot porte des grâces; je veux vous remplir de mes paroles d’amour; je veux vous faire comprendre, mes enfants, que je tiens à vous.
Pas un seul message n’a pas été en nous; nous avons calculé chaque mot pour qu’ils soient, pour vous, des mouvements d’amour nourrissant votre âme.
Laissez-nous juger de ce qui est bon pour vous, pour votre âme.
Lorsque, mes enfants, vous écoutez votre télévision, vous avez plusieurs postes; lorsqu’une émission est terminée, vous passez à la suivante, quelquefois vous changez de canal, et cela se fait à tous les jours.
Calculez le nombre de journaux qui émettent des commentaires, et vous les lisez.
Des nouvelles, mes enfants, vous arrivent à tous les jours, et vous les écoutez.
Des chansons, mes enfants, sont dans vos vies, et vous les écoutez : vous vous laissez prendre par ces sons.
Moi, je veux nourrir votre âme.
Lorsque vous lisez un message venant d’un messager, il est pour votre âme : c’est votre âme qui se nourrit de mes grâces.
Elles vous aident à vous abandonner, à vous transformer en enfants de la Divine Volonté :
Cela est un mouvement d’amour.
Je vous demande, mes amours, de ne pas critiquer ma nourriture; si votre volonté humaine vous porte à porter des jugements : eh bien, donnez-les-moi, je vais vous aider, et si un tel messager ne parle pas comme vous, vous voulez l’entendre : donnez-le-moi, moi, je vais vous aider à l’accueillir avec votre amour qui est mon amour.
Apprenez à vous abandonner : cela est une nourriture.
Laissez-moi vous combler de mes paroles : Je vous annonce un temps d’amour.
Ne vous critiquez pas : aimez-vous : c’est l’Amour qui vous parle en vous.
Je suis le seul qui peut vous amener à la vie éternelle.
Ces messages, mes enfants, sont pour vous; j’utilise des enfants avec ce qu’ils sont, et c’est avec beaucoup d’amour que je les transforme pour vous.
Aimez-les, aimez-vous, aimez-moi, aimez mon geste d’amour pour vous.
Il y a tant à changer, mes enfants, dans vos vies!
Je vous aime, ceci est pour vous :
«Amour, je parle dans ton cœur, viens vers moi, je t’aime comme tu es, je te veux à moi dans mon Cœur.
Laisse-toi prendre par moi et si tu as des blessures, donne-les moi.
Je vais déposer en toi un baume d’amour.
Tu vas t’aimer tel comme tu es et moi, je vais faire attention à toi.
Je vais déverser en toi des grâces, des grâces de lumière qui t’aideront tranquillement à avancer :
à avancer dans l’amour.
Tu vas devenir un enfant : un enfant de la Divine Volonté.
Parce que je t’aime, je te veux à moi.
N’aie crainte, tout est préparé pour toi.
Mon Père, ton Père, m’a donné à toi pour que je puisse te ramener à lui.
C’est ensemble que nous allons avancer et c’est moi qui vais te porter,
et lorsque tu auras assez de force, je vais te demander si tu veux m’aider à porter ceux qui retardent,
car voici que la lumière approche.
Bientôt, tout ne sera qu’amour.
Il faut que tu sois dans la Divine Volonté pour goûter à cette joie que tu vas ressentir lorsque tu verras la Lumière.
Tout sera joie pour toi.
C’est dans ton oui total que tu vas découvrir cette immense joie.
Je t’aime. Je te veux qu’à moi.»
Mes enfants d’amour, tout est en Dieu, laissez-vous abandonner dans mon amour : je vous aime. Je demande à celui qui a prononcé son oui d’amour, à celui qui a donné sa vie en le Christ pour vous unir dans le Cœur de ma Mère et dans le Cœur même de l’Amour, de venir vous bénir.
Amen, mes enfants!
Père Martel : Seigneur Jésus, nous sommes réunis en ton nom. Daigne bénir toutes les personnes ici présentes, accorde-leur la santé de l’âme et du corps, daigne les aider à toujours accomplir ta Volonté par un oui de plus en plus parfait. Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen!
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Saint-Janvier de Mirabel, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-03-08
Jésus : Tout ce que vous allez entendre est voulu de Dieu : tout est l’agir de Dieu. Je suis le Verbe bien-aimé du Père.
Cette enfant est ma choisie pour ce temps de grâces; vous, mes enfants, vous êtes tous mes choisis : vous êtes des enfants de la Lumière pour vos frères et pour vos sœurs qui, eux, ont oublié qui ils étaient.
Mes enfants d’amour, ce temps est pour vous, il va vous apprendre à vous découvrir tels comme vous êtes.
Vous allez apprendre à vous aimer, à découvrir combien Dieu vous aime!
Petits aimés, lorsque votre Père a choisi chacun d’entre vous pour venir en ce monde, il a déployé tout son amour pour que vous, vous soyez tout à lui :
vous venez de lui et c’est lui qui vous veut : vous êtes ses enfants.
Par l’Amour, vous êtes venus en ce monde; il a insufflé à Adam sa Vie et sa Vie est en chacun de vous : vous êtes tous ses bien-aimés.
Par la désobéissance, moi, son Fils bien-aimé, je suis venu en ce monde pour prendre tout ce que vous aviez fait contre son amour, et je l’ai amené à la mort parce que mon amour pour mon Père est indéfinissable.
Il n’y a pas de mot connu de vous, mes enfants, pour décrire mon amour pour mon Père : il est si puissant, il est si immuable, si immense que notre amour a fait le Saint-Esprit.
Pouvez-vous penser que vous avez une partie de cet amour en vous?
Vous avez l’amour de Dieu : il est si puissant cet amour en vous!
Vous êtes venus en ce monde en ignorant ce trésor.
Ce monde a oublié qu’il est amour, et, bien avant vous, d’autres enfants aussi se sont acheminés en ne profitant pas de cet amour; mais moi, Dieu tout-puissant, j’ai fait en sorte que vous n’oubliiez pas cet amour qui est en vous.
J’ai suscité des enfants à se donner, à s’oublier, à s’offrir, en les transformant en êtres de donation comme moi je me suis donné.
Je les ai portés en moi et leur ai montré combien mon amour pour chacun de vous était immense.
Ces enfants n’ont eu qu’un seul but : tout donner à Jésus Amour
pour ne vouloir faire que sa Volonté pour chacun de vous.
Mes enfants d’amour, cet instrument est l’une parmi tant d’autres enfants d’amour; ils sont tous des témoins de la présence de Dieu en eux, et vous, mes bien-aimés, vous êtes en eux : par moi, ils vous portent tous.
Je donne des grâces à ces enfants pour que vous, vous puissiez profiter de ces grâces d’amour, de ces grâces d’abandon, afin que vous aussi vous puissiez vous abandonner à votre Dieu, pas à votre façon, à la mienne : en n’étant qu’amour, en découvrant l’Amour qui vit en vous, en sachant que vous êtes des enfants faits pour aimer et être aimés.
Je veux vous faire découvrir la vraie valeur de votre vie sur la terre :
vous êtes de Dieu, vous n’êtes faits que pour aimer et être aimés.
Vos souffrances, vos maladies, vos peurs, vos doutes, vos angoisses, vos incertitudes : tout cela est la cause du mal; le mal cohabite avec vous, mes enfants.
Vous êtes tous mes bien-aimés et c’est par moi que vous allez découvrir
que vous êtes des êtres d’amour, des enfants de Dieu : mon Père.
Ce monde a beau chercher à découvrir des recettes pour être heureux : il aura beau chercher, il le trouvera s’il ne vient qu’en lui : là où moi, je suis.
C’est dans un abandon à Dieu que ces enfants de ce monde vont découvrir la recette du vrai bonheur : ce bonheur qui sera éternel.
Je ne suis pas un Dieu d’un jour : je suis Dieu Éternel.
Il n’y a pas d’erreur en moi : il n’y a pas de fausseté.
Lorsqu’on apprend à découvrir que Dieu est la tendresse, la douceur, l’amabilité, la miséricorde : on se laisse aller dans son amour, sans s’inquiéter, en ne se posant pas de questions.
Écoutez votre cœur : en ce moment, il entend Dieu lui parler.
Votre âme reçoit des grâces d’amour : laissez-vous vous nourrir.
Moi seul peux faire cela, aucun humain ne peut produire en vous cette paix.
Tout n’est que douceur en moi : j’ai donné ma Vie pour vous, j’ai laissé couler mon Précieux Sang pour vous sauver d’une mort éternelle : tout a été voulu de mon Père.
Mon oui a été dans son oui : il a fait jaillir un oui d’amour.
Ce oui a été prononcé par une enfant choisie depuis toute éternité, avant même ma venue en ce monde.
Cette pure Enfant est une enfant de la terre, belle entre les belles; il n’y a pas de plus grand, de plus beau que son oui qui a été prononcé par Marie, ma Mère; elle est votre modèle de la terre pour le oui à l’Amour.
Mes enfants d’amour, allez puiser en elle ses grâces.
Il y a tant de saveur, de délices dans le oui de ma Mère!
Le Fils de Dieu est venu habiter en son sein, il a apporté à ce monde le oui divin : elle a porté en elle le oui divin.
Comme il est grand le fiat de ma Mère!
Allez vers ma Mère, vous verrez que votre abandon sera plus facile.
Elle ne cesse d’intercéder pour vous, elle vous connaît tous, elle vous a tous portés en elle.
À l’instant de ce oui d’amour, je suis venu en elle par le Saint-Esprit.
Je vous portais tous et ma Mère vous a tous portés.
Elle est la Bienheureuse en qui Dieu mit toutes ses complaisances.
Bienheureuse est la Vierge Marie! Elle est votre Mère.
C’est pour vous que je parle, pour vous faire découvrir le trésor qu’est ma Mère.
Vous aurez beau chercher partout, vous ne trouverez rien de semblable : tout est parfait en elle.
J’ai habité la perfection sur la terre et c’est seulement en ma Mère que je l’ai trouvée.
Moi, Jésus Amour, je vous habite, je suis en chacun de vous; je n’ai pas trouvé de perfection comme je l’ai trouvée en ma Mère :
il est si immense l’amour de votre Mère.
Ce temps vous prépare à la venue de son Fils en gloire en vous.
Je viens habiter les cœurs de tous les enfants de la terre; je ne viens pas pour vous dire que c’est la fin du monde,
je viens vous dire qu’un temps d’amour vient pour vous : où le mal disparaîtra de vos cœurs. Il n’y aura plus pour vous de maladie, de peur, d’angoisse, d’inquiétude; il y aura de la joie, il y aura de l’amour, il y aura du partage; mes enfants apprendront à se donner de l’amour les uns les autres; les couples mariés seront unis pour ne faire qu’un, les enfants découvriront la chaleur du foyer, la tendresse, l’amour; mes enfants de la terre se donneront de l’amour, il n’y aura plus de violence : mes enfants, vous connaîtrez la paix sur la terre.
Je ne viens pas pour vous annoncer une utopie, je suis la Vérité, tout en moi n’est que Pureté.
Je témoigne, par cet instrument d’amour, que tout est de nous, la Trinité.
Toute parole prononcée par des humains dans leur volonté ne porte pas de grâce : ma parole est vérité.
J’ai annoncé dans mon Évangile que vous connaîtrez le Royaume de mon Père; rappelez-vous que j’ai enseigné à mes apôtres le "Notre Père"; vous, mes enfants chéris, vous le prononcez à chaque jour "Que ton règne vienne sur la terre" : mes enfants d’amour, un règne de paix et de joie vient, et vous connaîtrez l’amour.
C’est dans un renoncement à votre volonté humaine que tout cela s’accomplira.
Lorsque Adam et Ève ont été dans le paradis, ils ont connu ces joies, ils ont vu mes délices pour eux,
mais ils ont désobéi à Dieu; ils ont voulu devenir comme des petits dieux, en voulant savoir ce qui est bien et ce qui est mal; ne donnant pas tout en Dieu : ils se sont donné un droit.
Mes amours, je prépare votre cœur à une grande demande : je vais demander à tous les enfants de la terre s’ils veulent vivre dans la Divine Volonté, en prononçant leur oui à l’Amour : chacun d’eux devra choisir.
Ce temps que vous vivez, c’est pour vous préparer à cette demande.
En allant vers ma Mère, vous obtenez des grâces, des grâces d’amour, des grâces d’abandon; c’est elle qui vous amène par la main vers son Fils; moi, je vais vous transformer en enfants d’amour.
Par mes grâces, vous apprendrez à vous abandonner, à découvrir la vraie valeur de votre vie sur la terre.
Lorsqu’on apprend à découvrir combien l’Amour nous aime : on apprend à découvrir que Dieu veut qu’on s’aime,
et lorsqu’on s’aime : on apprend aussi à découvrir nos frères et nos sœurs avec notre amour, en les aimant tels comme ils sont, en priant pour eux, en les abandonnant à Dieu.
Ce sont vos oui à l’Amour qui vont aider ces enfants à prononcer leur oui à l’Amour.
Tout est dans l’accomplissement de l’œuvre de mon Père.
Lorsqu’il a prononcé son oui, le Fils a prononcé son oui et, dès cet instant, la préparation à l’amour a commencé.
Il a commencé avant que vous soyez sur la terre; tout a été dans la Divine Volonté : c’est un mouvement d’amour.
Dieu est Amour, il ne peut s’arrêter de donner, car il est tout amour, et vous, mes enfants, vous ne pouvez vous arrêter aussi de demander de l’amour, car vous êtes ses amours :
vous êtes faits pour vivre dans un monde où il n’y aura que de l’amour.
Regardez vos vies : Vous souffrez, vous connaissez des maladies, votre caractère a développé tant de faiblesses inconnues en vous; vous réagissez à des paroles venant de votre prochain : elles réveillent en vous des émotions inconnues.
Moi qui vous connais mieux que vous, je viens, par des instruments d’amour, vous instruire sur votre comportement intérieur.
Vous connaissez votre extérieur! Qui de vous ne réalise pas : qu’il est en colère, qu’il est triste, envieux, paresseux, gourmand, avare?
Oh! mes enfants d’amour, chacun d’entre vous sait quand il fait mal.
Moi je viens, par mes écrits, vous dévoiler votre intérieur.
Je connais mieux que vous votre vie, elle a commencé dès le péché de la désobéissance : vous portez en vous tous les enfants parce que je suis en vous.
Non, mes enfants, sans moi vous ne pourriez être vivants.
C’est la vie qui est en vous qui vous fait vivre.
Votre âme est la vie : elle vient de Dieu, elle est divine.
Votre corps vous a été donné pour vous acheminer sur la terre : il n’est que matière; c’est votre âme, la vie : c’est elle qui reçoit la nourriture de Dieu et qui donne à votre corps ce qu’il a besoin pour vivre en enfants de Dieu.
Voyez combien votre âme a peu de nourriture!
C’est vous qui avez le choix de venir vers moi, Jésus.
Vous êtes des enfants libres, Dieu vous a créés libres, et c’est dans cette liberté que je veux que vous viviez pour l’éternité, dans l’amour.
Ces enseignements vous ont été donnés par les apôtres,
par mes disciples, par des choisis : ils ne sont que des rappels.
Mais, voyez-vous, votre monde a besoin de lumière, il vit dans les ténèbres, et c’est pour cela que je fais écrire cette enfant qui s’est donnée totalement par amour pour vous.
Elle m’a supplié de venir habiter les cœurs, elle a crié vers mon Père, elle avait en elle des douleurs.
C’est nous, la Trinité, qui lui avons donné de l’amour, et cet amour : c’était vous.
Son cheminement sur la terre a été préparé par nous, car nous connaissions ses oui avant qu’elle les prononce, et nous connaissons tous vos oui.
Vous êtes des enfants choisis pour vos frères et pour vos sœurs.
Ces volumes sont des lumières, il faut manger : c’est une manne qui vient du Ciel.
J’ai nourri mon peuple dans le désert car, sans Dieu, il n’aurait pu vivre toutes ces années dans cet endroit aride sans nourriture, sans eau, et vous, mes enfants, vous vivez sans amour, sans grâces!
C’est une manne pour vous, c’est une manne pour vos enfants, pour vos frères et pour vos sœurs :
tout a été voulu de nous, la Trinité, car ce monde sans nous va mourir,
et moi, Jésus Amour, je vous veux tous.
Regardez-moi sur la croix!
Chaque mouvement est un abandon.
Je vous portais tous, vous étiez tous en moi.
Je me suis présenté à mon Père dans cet abandon, vous donnant témoignage de l’amour même du Fils pour son Père.
Vous avez tous été dans cet abandon : ce mouvement de l’amour est de nous, la Trinité.
À vous, maintenant, à vous seuls de pénétrer dans cet abandon total.
C’est moi seul qui vais faire en sorte que vous allez vous laisser transformer :
par mes grâces d’amour, mes grâces de puissance, de force.
Vous allez découvrir que vos frères et vos sœurs sont amour parce que je suis en eux, je vis en eux.
Pas un seul mot de vous qui ne sera pas amour ne vous montrera pas que vous êtes amour.
Lorsque vous serez dans mon mouvement d’amour, tranquillement, je vous montrerai à aimer, à vous aimer, à aimer votre prochain, et, lorsque, mes enfants, vous parlerez contre votre prochain, il y aura quelque chose en vous qui se réveillera.
Vous prendrez connaissance de vos paroles et, par mes grâces, vous allez aller vers mon prêtre pour demander pardon à Jésus, moi, qui suis en ce prêtre, et votre intérieur va recevoir des grâces de sanctification, votre âme va recevoir des grâces d’amour.
Vous aurez une soif de mon amour et vous viendrez à la messe pour découvrir votre amour pour votre Dieu; vous allez vous abandonner en sachant que c’est Jésus qui se donne à vous à l’Eucharistie, et par les mains de mon saint fils : vous allez recevoir l’Amour.
Ce sont des mouvements préparés pour vous et, lorsque vous serez dans ce mouvement d’amour, des transformations se feront :
vous allez avancer, mes enfants, dans l’agir de Dieu, et non plus dans votre agir.
Tranquillement, vous allez me donner votre volonté humaine avec joie parce que vous allez découvrir la paix; vous allez regarder vos frères et vos sœurs avec l’amour, non plus avec votre volonté humaine; vous allez regarder mon prêtre, mon fils de prédilection, avec mes yeux, car ils ont été choisis pour vous nourrir de mes grâces.
Savez-vous que ma Mère a un amour de prédilection pour ses fils, car elle sait qu’ils représentent son Fils sur la terre auprès de vous; elle se tient près d'eux au moment où ils font la messe :
ma Mère est près de tous ses fils.
Prenez conscience de ce mouvement d’amour et portez-les dans vos cœurs : c’est moi, Jésus, qui vous le demande.
Enfants d’amour, recevez, par mon fils choisi, ma bénédiction.
Amen, mes enfants.
Abbé Claude Charron : Que le Dieu tout-puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Tous : Amen!
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-03-08
Jésus : Tout ce que vous allez entendre est voulu de Dieu : tout est l’agir de Dieu. Je suis le Verbe bien-aimé du Père.
Cette enfant est ma choisie pour ce temps de grâces; vous, mes enfants, vous êtes tous mes choisis : vous êtes des enfants de la Lumière pour vos frères et pour vos sœurs qui, eux, ont oublié qui ils étaient.
Mes enfants d’amour, ce temps est pour vous, il va vous apprendre à vous découvrir tels comme vous êtes.
Vous allez apprendre à vous aimer, à découvrir combien Dieu vous aime!
Petits aimés, lorsque votre Père a choisi chacun d’entre vous pour venir en ce monde, il a déployé tout son amour pour que vous, vous soyez tout à lui :
vous venez de lui et c’est lui qui vous veut : vous êtes ses enfants.
Par l’Amour, vous êtes venus en ce monde; il a insufflé à Adam sa Vie et sa Vie est en chacun de vous : vous êtes tous ses bien-aimés.
Par la désobéissance, moi, son Fils bien-aimé, je suis venu en ce monde pour prendre tout ce que vous aviez fait contre son amour, et je l’ai amené à la mort parce que mon amour pour mon Père est indéfinissable.
Il n’y a pas de mot connu de vous, mes enfants, pour décrire mon amour pour mon Père : il est si puissant, il est si immuable, si immense que notre amour a fait le Saint-Esprit.
Pouvez-vous penser que vous avez une partie de cet amour en vous?
Vous avez l’amour de Dieu : il est si puissant cet amour en vous!
Vous êtes venus en ce monde en ignorant ce trésor.
Ce monde a oublié qu’il est amour, et, bien avant vous, d’autres enfants aussi se sont acheminés en ne profitant pas de cet amour; mais moi, Dieu tout-puissant, j’ai fait en sorte que vous n’oubliiez pas cet amour qui est en vous.
J’ai suscité des enfants à se donner, à s’oublier, à s’offrir, en les transformant en êtres de donation comme moi je me suis donné.
Je les ai portés en moi et leur ai montré combien mon amour pour chacun de vous était immense.
Ces enfants n’ont eu qu’un seul but : tout donner à Jésus Amour
pour ne vouloir faire que sa Volonté pour chacun de vous.
Mes enfants d’amour, cet instrument est l’une parmi tant d’autres enfants d’amour; ils sont tous des témoins de la présence de Dieu en eux, et vous, mes bien-aimés, vous êtes en eux : par moi, ils vous portent tous.
Je donne des grâces à ces enfants pour que vous, vous puissiez profiter de ces grâces d’amour, de ces grâces d’abandon, afin que vous aussi vous puissiez vous abandonner à votre Dieu, pas à votre façon, à la mienne : en n’étant qu’amour, en découvrant l’Amour qui vit en vous, en sachant que vous êtes des enfants faits pour aimer et être aimés.
Je veux vous faire découvrir la vraie valeur de votre vie sur la terre :
vous êtes de Dieu, vous n’êtes faits que pour aimer et être aimés.
Vos souffrances, vos maladies, vos peurs, vos doutes, vos angoisses, vos incertitudes : tout cela est la cause du mal; le mal cohabite avec vous, mes enfants.
Vous êtes tous mes bien-aimés et c’est par moi que vous allez découvrir
que vous êtes des êtres d’amour, des enfants de Dieu : mon Père.
Ce monde a beau chercher à découvrir des recettes pour être heureux : il aura beau chercher, il le trouvera s’il ne vient qu’en lui : là où moi, je suis.
C’est dans un abandon à Dieu que ces enfants de ce monde vont découvrir la recette du vrai bonheur : ce bonheur qui sera éternel.
Je ne suis pas un Dieu d’un jour : je suis Dieu Éternel.
Il n’y a pas d’erreur en moi : il n’y a pas de fausseté.
Lorsqu’on apprend à découvrir que Dieu est la tendresse, la douceur, l’amabilité, la miséricorde : on se laisse aller dans son amour, sans s’inquiéter, en ne se posant pas de questions.
Écoutez votre cœur : en ce moment, il entend Dieu lui parler.
Votre âme reçoit des grâces d’amour : laissez-vous vous nourrir.
Moi seul peux faire cela, aucun humain ne peut produire en vous cette paix.
Tout n’est que douceur en moi : j’ai donné ma Vie pour vous, j’ai laissé couler mon Précieux Sang pour vous sauver d’une mort éternelle : tout a été voulu de mon Père.
Mon oui a été dans son oui : il a fait jaillir un oui d’amour.
Ce oui a été prononcé par une enfant choisie depuis toute éternité, avant même ma venue en ce monde.
Cette pure Enfant est une enfant de la terre, belle entre les belles; il n’y a pas de plus grand, de plus beau que son oui qui a été prononcé par Marie, ma Mère; elle est votre modèle de la terre pour le oui à l’Amour.
Mes enfants d’amour, allez puiser en elle ses grâces.
Il y a tant de saveur, de délices dans le oui de ma Mère!
Le Fils de Dieu est venu habiter en son sein, il a apporté à ce monde le oui divin : elle a porté en elle le oui divin.
Comme il est grand le fiat de ma Mère!
Allez vers ma Mère, vous verrez que votre abandon sera plus facile.
Elle ne cesse d’intercéder pour vous, elle vous connaît tous, elle vous a tous portés en elle.
À l’instant de ce oui d’amour, je suis venu en elle par le Saint-Esprit.
Je vous portais tous et ma Mère vous a tous portés.
Elle est la Bienheureuse en qui Dieu mit toutes ses complaisances.
Bienheureuse est la Vierge Marie! Elle est votre Mère.
C’est pour vous que je parle, pour vous faire découvrir le trésor qu’est ma Mère.
Vous aurez beau chercher partout, vous ne trouverez rien de semblable : tout est parfait en elle.
J’ai habité la perfection sur la terre et c’est seulement en ma Mère que je l’ai trouvée.
Moi, Jésus Amour, je vous habite, je suis en chacun de vous; je n’ai pas trouvé de perfection comme je l’ai trouvée en ma Mère :
il est si immense l’amour de votre Mère.
Ce temps vous prépare à la venue de son Fils en gloire en vous.
Je viens habiter les cœurs de tous les enfants de la terre; je ne viens pas pour vous dire que c’est la fin du monde,
je viens vous dire qu’un temps d’amour vient pour vous : où le mal disparaîtra de vos cœurs. Il n’y aura plus pour vous de maladie, de peur, d’angoisse, d’inquiétude; il y aura de la joie, il y aura de l’amour, il y aura du partage; mes enfants apprendront à se donner de l’amour les uns les autres; les couples mariés seront unis pour ne faire qu’un, les enfants découvriront la chaleur du foyer, la tendresse, l’amour; mes enfants de la terre se donneront de l’amour, il n’y aura plus de violence : mes enfants, vous connaîtrez la paix sur la terre.
Je ne viens pas pour vous annoncer une utopie, je suis la Vérité, tout en moi n’est que Pureté.
Je témoigne, par cet instrument d’amour, que tout est de nous, la Trinité.
Toute parole prononcée par des humains dans leur volonté ne porte pas de grâce : ma parole est vérité.
J’ai annoncé dans mon Évangile que vous connaîtrez le Royaume de mon Père; rappelez-vous que j’ai enseigné à mes apôtres le "Notre Père"; vous, mes enfants chéris, vous le prononcez à chaque jour "Que ton règne vienne sur la terre" : mes enfants d’amour, un règne de paix et de joie vient, et vous connaîtrez l’amour.
C’est dans un renoncement à votre volonté humaine que tout cela s’accomplira.
Lorsque Adam et Ève ont été dans le paradis, ils ont connu ces joies, ils ont vu mes délices pour eux,
mais ils ont désobéi à Dieu; ils ont voulu devenir comme des petits dieux, en voulant savoir ce qui est bien et ce qui est mal; ne donnant pas tout en Dieu : ils se sont donné un droit.
Mes amours, je prépare votre cœur à une grande demande : je vais demander à tous les enfants de la terre s’ils veulent vivre dans la Divine Volonté, en prononçant leur oui à l’Amour : chacun d’eux devra choisir.
Ce temps que vous vivez, c’est pour vous préparer à cette demande.
En allant vers ma Mère, vous obtenez des grâces, des grâces d’amour, des grâces d’abandon; c’est elle qui vous amène par la main vers son Fils; moi, je vais vous transformer en enfants d’amour.
Par mes grâces, vous apprendrez à vous abandonner, à découvrir la vraie valeur de votre vie sur la terre.
Lorsqu’on apprend à découvrir combien l’Amour nous aime : on apprend à découvrir que Dieu veut qu’on s’aime,
et lorsqu’on s’aime : on apprend aussi à découvrir nos frères et nos sœurs avec notre amour, en les aimant tels comme ils sont, en priant pour eux, en les abandonnant à Dieu.
Ce sont vos oui à l’Amour qui vont aider ces enfants à prononcer leur oui à l’Amour.
Tout est dans l’accomplissement de l’œuvre de mon Père.
Lorsqu’il a prononcé son oui, le Fils a prononcé son oui et, dès cet instant, la préparation à l’amour a commencé.
Il a commencé avant que vous soyez sur la terre; tout a été dans la Divine Volonté : c’est un mouvement d’amour.
Dieu est Amour, il ne peut s’arrêter de donner, car il est tout amour, et vous, mes enfants, vous ne pouvez vous arrêter aussi de demander de l’amour, car vous êtes ses amours :
vous êtes faits pour vivre dans un monde où il n’y aura que de l’amour.
Regardez vos vies : Vous souffrez, vous connaissez des maladies, votre caractère a développé tant de faiblesses inconnues en vous; vous réagissez à des paroles venant de votre prochain : elles réveillent en vous des émotions inconnues.
Moi qui vous connais mieux que vous, je viens, par des instruments d’amour, vous instruire sur votre comportement intérieur.
Vous connaissez votre extérieur! Qui de vous ne réalise pas : qu’il est en colère, qu’il est triste, envieux, paresseux, gourmand, avare?
Oh! mes enfants d’amour, chacun d’entre vous sait quand il fait mal.
Moi je viens, par mes écrits, vous dévoiler votre intérieur.
Je connais mieux que vous votre vie, elle a commencé dès le péché de la désobéissance : vous portez en vous tous les enfants parce que je suis en vous.
Non, mes enfants, sans moi vous ne pourriez être vivants.
C’est la vie qui est en vous qui vous fait vivre.
Votre âme est la vie : elle vient de Dieu, elle est divine.
Votre corps vous a été donné pour vous acheminer sur la terre : il n’est que matière; c’est votre âme, la vie : c’est elle qui reçoit la nourriture de Dieu et qui donne à votre corps ce qu’il a besoin pour vivre en enfants de Dieu.
Voyez combien votre âme a peu de nourriture!
C’est vous qui avez le choix de venir vers moi, Jésus.
Vous êtes des enfants libres, Dieu vous a créés libres, et c’est dans cette liberté que je veux que vous viviez pour l’éternité, dans l’amour.
Ces enseignements vous ont été donnés par les apôtres,
par mes disciples, par des choisis : ils ne sont que des rappels.
Mais, voyez-vous, votre monde a besoin de lumière, il vit dans les ténèbres, et c’est pour cela que je fais écrire cette enfant qui s’est donnée totalement par amour pour vous.
Elle m’a supplié de venir habiter les cœurs, elle a crié vers mon Père, elle avait en elle des douleurs.
C’est nous, la Trinité, qui lui avons donné de l’amour, et cet amour : c’était vous.
Son cheminement sur la terre a été préparé par nous, car nous connaissions ses oui avant qu’elle les prononce, et nous connaissons tous vos oui.
Vous êtes des enfants choisis pour vos frères et pour vos sœurs.
Ces volumes sont des lumières, il faut manger : c’est une manne qui vient du Ciel.
J’ai nourri mon peuple dans le désert car, sans Dieu, il n’aurait pu vivre toutes ces années dans cet endroit aride sans nourriture, sans eau, et vous, mes enfants, vous vivez sans amour, sans grâces!
C’est une manne pour vous, c’est une manne pour vos enfants, pour vos frères et pour vos sœurs :
tout a été voulu de nous, la Trinité, car ce monde sans nous va mourir,
et moi, Jésus Amour, je vous veux tous.
Regardez-moi sur la croix!
Chaque mouvement est un abandon.
Je vous portais tous, vous étiez tous en moi.
Je me suis présenté à mon Père dans cet abandon, vous donnant témoignage de l’amour même du Fils pour son Père.
Vous avez tous été dans cet abandon : ce mouvement de l’amour est de nous, la Trinité.
À vous, maintenant, à vous seuls de pénétrer dans cet abandon total.
C’est moi seul qui vais faire en sorte que vous allez vous laisser transformer :
par mes grâces d’amour, mes grâces de puissance, de force.
Vous allez découvrir que vos frères et vos sœurs sont amour parce que je suis en eux, je vis en eux.
Pas un seul mot de vous qui ne sera pas amour ne vous montrera pas que vous êtes amour.
Lorsque vous serez dans mon mouvement d’amour, tranquillement, je vous montrerai à aimer, à vous aimer, à aimer votre prochain, et, lorsque, mes enfants, vous parlerez contre votre prochain, il y aura quelque chose en vous qui se réveillera.
Vous prendrez connaissance de vos paroles et, par mes grâces, vous allez aller vers mon prêtre pour demander pardon à Jésus, moi, qui suis en ce prêtre, et votre intérieur va recevoir des grâces de sanctification, votre âme va recevoir des grâces d’amour.
Vous aurez une soif de mon amour et vous viendrez à la messe pour découvrir votre amour pour votre Dieu; vous allez vous abandonner en sachant que c’est Jésus qui se donne à vous à l’Eucharistie, et par les mains de mon saint fils : vous allez recevoir l’Amour.
Ce sont des mouvements préparés pour vous et, lorsque vous serez dans ce mouvement d’amour, des transformations se feront :
vous allez avancer, mes enfants, dans l’agir de Dieu, et non plus dans votre agir.
Tranquillement, vous allez me donner votre volonté humaine avec joie parce que vous allez découvrir la paix; vous allez regarder vos frères et vos sœurs avec l’amour, non plus avec votre volonté humaine; vous allez regarder mon prêtre, mon fils de prédilection, avec mes yeux, car ils ont été choisis pour vous nourrir de mes grâces.
Savez-vous que ma Mère a un amour de prédilection pour ses fils, car elle sait qu’ils représentent son Fils sur la terre auprès de vous; elle se tient près d'eux au moment où ils font la messe :
ma Mère est près de tous ses fils.
Prenez conscience de ce mouvement d’amour et portez-les dans vos cœurs : c’est moi, Jésus, qui vous le demande.
Enfants d’amour, recevez, par mon fils choisi, ma bénédiction.
Amen, mes enfants.
Abbé Claude Charron : Que le Dieu tout-puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Tous : Amen!
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Montréal, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-03-22
Jésus : Dieu veut vous démontrer sa complicité avec chacun de vous; par cette enfant d’amour, je vais vous parler de vous.
Tout est en vous, mes enfants; venez où je suis : en vous; au plus profond de vous, il y a la présence de la Trinité.
Je suis Jésus Amour, je suis en mon Père, je suis en le Saint-Esprit : nous sommes en vous.
Chacun de vous est en présence de la Trinité : vous êtes en la Vie.
Vous croyez, mes enfants, qu’à chaque jour votre vie vous appartient : elle est à Dieu, elle est à nous.
Dieu le Père a déposé en Adam son souffle de vie, et ce souffle de vie
est la source de votre vie : elle est en vous.
Ce monde a oublié, mes enfants, qu’il est vivant.
Si vous fonctionnez sans connaître votre place, vous ne pouvez vous reconnaître parmi vos frères et vos sœurs :
vous déambulez sans savoir où vraiment vous êtes.
La vie en vous est là présente, vous êtes là présents au moment où vous m’entendez : là est votre vie.
Si, mes enfants, vous fonctionnez en ayant vos pensées pour vous, pour ce que vous devez faire, devez accomplir,
et si vous, mes enfants, n’êtes pas en vous, en ma présence : vous vivez comme des enfants hors de votre vie. Vous ne pouvez vous accomplir avec mes grâces, vous fonctionnez par votre propre volonté humaine, et tout ce que vous récoltez est ce que, vous, vous avez fait par vous-mêmes.
Mes amours, je vous annonce un temps, un temps de préparation à votre venue en vous.
Vous allez bientôt entrer en vous, en la présence de Dieu.
Ce temps est un temps de grâces pour vous; il vous apprend à vous découvrir, à vous reconnaître pour que le moment, où vous allez être présents en vous, soit un moment d’amour, une intimité avec votre Dieu.
Dieu est présent en vous, il fait des prodiges, mais vous, mes enfants, durant votre journée, vous avez votre pensée en dehors de votre vie.
Vous regardez avec vos yeux tout ce qu’il y a autour de vous; vous entendez avec vos oreilles les conversations qui se passent à l’extérieur de vous; vous communiquez avec vos frères et vos sœurs :
mais ce qui sort de vous, mes enfants, ce sont des paroles banales, sans vraiment de profondeur.
Mes amours, je vais, moi Dieu tout-puissant, vous montrer qu’en vous : il y a la douceur, il y a l’amour qui veut se laisser découvrir pour que vous puissiez regarder avec mes yeux, entendre avec mes oreilles, non avec les vôtres; je veux vous donner ma Vie : celle qui est en vous.
Oui, je veux prendre votre vie et la faire mienne : vous faire découvrir la vraie valeur de votre vie.
Malgré ce monde incrédule, vous, mes enfants, je veux faire de vous des témoins de ma présence en vous, de votre présence en vous :
ainsi, vous aurez à partager avec vos frères et vos sœurs mon amour.
Je me suis donné pour chacun de vous en apportant à la mort tous vos péchés afin que vous soyez tous purifiés.
Mon Précieux Sang a coulé sur vous, il vous a purifiés de vos péchés.
À vous de vous reconnaître en étant des enfants qui veulent être purifiés.
Vous seuls avez la liberté de dire oui à mon geste d’amour; je ne puis obliger personne d’entre vous à faire de vous des enfants d’amour pour vous et pour votre prochain en étant vivants.
Oui, je suis la Vie : qui vient en moi, qui renonce à sa vie, en moi a la vie.
Si vous vivez de votre extérieur, vous vivez avec du superficiel, non avec ce qui est en vous.
Il y a l’amour en vous : c’est ce qui veut sortir de vous.
Il faut laisser Dieu vous transformer par ses grâces d’amour; elles sont en vous, ces grâces : elles y ont été déposées par moi.
Je suis la Source d’Eau Vive : qui vient boire à mon Eau n’a plus besoin d’aller à l’extérieur de lui pour chercher une eau qui ne porte pas la pureté.
Qui a besoin de nourriture : il faut qu’il entre en lui pour venir chercher mon Corps.
Mes enfants, je suis l’Eucharistie.
Lorsque vous venez vous présenter à la sainte table : comme, mes enfants, vous avez fait il y a peu de temps, vous êtes venus chercher mon Corps, mon Corps qui s’est déposé en vous, il faut entrer en vous pour venir chercher cette Nourriture : ma Vie.
Lorsque vous fermez vos yeux, lorsque vous vous abandonnez, moi, l’Amour, je vous prends : c’est moi qui vous donne ma Nourriture.
Je vous nourris de ma Vie afin que vous ayez, vous, cette Nourriture qui nourrira votre vie intérieure; vous découvrirez combien vous êtes amour, combien vous êtes, pour vos frères et vos sœurs : amour.
Ce temps est un temps de grâces, est un temps de découverte de votre intérieur.
Il sera impossible pour celui qui a goûté à ce moment d’amour de regarder sa vie sans mes yeux, d’entendre sans mes sons d’amour; vous allez regarder vos frères et vos sœurs et vous allez les aimer, parce qu’en vous il y aura cette Nourriture qui vous nourrira de votre intérieur; tout en vous, il y a mes grâces :
ces grâces sont lumière pour vous.
Elles vous montrent vos frères et vos sœurs comme ils sont, pas comme vous vous les regardez avec vos yeux extérieurs, mais avec mes yeux à moi, avec les yeux de l’Amour.
Vous découvrirez leurs faiblesses; vous découvrirez qu’ils sont en état de non acceptation face à leur amour qui est en eux; vous n’apprendrez plus à les juger; vous allez apprendre à les aimer tels comme ils sont, car vous saurez, vous, qu’il y a en eux la vie et que la vie doit être nourrie de la vie en Dieu.
Mes amours, je vous fais découvrir la splendeur de votre vie intérieure.
La puissance de votre vie intérieure : elle est en vous cette puissance.
Qui vient puiser en son intérieur, vient puiser des grâces qui vont l’aider à fonctionner dans ce monde froid, sans amour.
Il y aura en vous une force qui vous fera avancer, malgré cette indifférence que vous rencontrerez à tous les jours, malgré ce manque d’amour, car, en vous, vous serez nourris de votre intérieur; vous n’aurez pas besoin d’aller à l’extérieur de vous pour vous combler, car vous saurez que c’est à l’intérieur de vous que vous allez puiser ce qui vous est nécessaire pour fonctionner dans ce monde qui n’est pas encore amour.
Mes enfants, vous êtes en train de vous laisser transformer par mes grâces,
pour devenir des enfants de la Divine Volonté.
Vous allez apprendre par moi, et non par vous, comment vivre de la Vie de Dieu.
C’est moi, et seulement moi qui vais vous transformer en enfants de la Divine Volonté : par votre oui, votre oui sincère, votre oui qui se donne dans un abandon.
Tout en vous va se laisser transformer.
Ce n’est pas à l’extérieur de vous que cela va commencer : c’est au plus profond de vous avec mes grâces; là, en ce moment même, en vous, il y a cette transformation.
Lorsque vous dites oui : Dieu agit pour vous; il vous fait comprendre que vous devez vous abandonner en lui : c’est lui l’Amour et non vous.
Vous allez devenir l’amour par l’Amour; vos gestes vont être accomplis dans un mouvement d’amour : il sera le mouvement du Verbe.
Le Verbe est l’agir du Père, c’est lui qui a créé tout.
Mes enfants, tout ce que vos yeux regardent ne vient pas des hommes, mais de l’amour de Dieu.
Si l’homme a voulu s’approprier de ce qui appartient à Dieu, bientôt il saura que tout ce qu’il a fait a été nourri de l’amour de Dieu, et, tout ce qui a été en lui orgueil, concupiscence, froideur contre l’amour de Dieu; il se découvrira par mes grâces tel comme il est; et moi, l’Amour, je le couvrirai pour lui montrer que je lui ai donné de l’amour pour se vêtir, pour se loger, pour s’alimenter, et non seulement pour lui, mais pour ses frères et ses sœurs.
Tout est mouvement d’amour.
C’est l’homme, mes enfants, qui a apporté l’égoïsme de vouloir s’approprier de ce que je lui ai donné.
Tout ce qui a été fait a été fait de ce que nous lui avons donné, et vous, mes enfants d’amour, qui apprenez par votre Dieu que tout ce que vos frères et vos sœurs ont accompli vient de moi, voyez-vous, vous ne pourrez plus les juger comme des êtres égoïstes, car vous saurez que ce qu’ils ont fait vient de moi.
Vous apprendrez à dire : "Merci, Seigneur, pour tout ce que tu lui as donné parce que cela vient de toi, et moi, j’ai profité de ton amour parce qu’aujourd’hui j’ai mangé, je porte des vêtements, et je sais que, ce soir, je vais coucher dans une demeure qui a été faite par ton amour".
Un monde nouveau s’ouvre en vous.
Cette découverte vient de votre intérieur : elle vient de Dieu, de l’amour de Dieu.
Mes enfants, c’est tranquillement que vous allez avancer vers ma Terre Nouvelle; c’est à votre rythme que vous allez vous laisser transformer par mes grâces d’amour, car je connais chacun de vous : je connais votre vitesse!
Il y a certains d’entre vous, ici, qui voudraient que j’aille vite; ils ont hâte d’être transformés par mes grâces en enfants de la Divine Volonté.
Ces enfants d’amour sont si pressés qu’ils me devancent : ils veulent faire du bien autour d’eux; alors, ils prennent les moyens en disant à Jésus :
"Écoute, Jésus, tu nous promets de belles choses. Nous voulons goûter à ces choses, mais tu n’es pas assez vite. Comble-moi, viens en moi, transforme-moi".
Ces enfants d’amour oublient leurs faiblesses, ils oublient qu’il y a en eux des manquements; si moi, mes enfants, je les transformais à la vitesse de l’éclair, leur purification les ferait tellement souffrir : ils seraient incapables d’en supporter la douleur.
Voyez-vous, c’est pour cette raison que je vais vous transformer au rythme de votre intérieur, pas au rythme de votre extérieur, car vous vivez selon votre monde et vous raisonnez selon votre monde.
Je suis la Douceur, la Patience.
Regardez, il y a plus de 2000 ans que je suis attaché à cette Croix : à chaque jour, on me blasphème, on me frappe, on dit de moi que je suis un Dieu qui ne connaît pas son temps.
Mes enfants d’amour, je connais chacun de vous, je connais tous ceux qui sont en vous.
Oui, mon temps est un temps d’amour, est un temps de grâces pour vous.
Je veux vous avoir avec moi, en vous, dans la douceur, dans la tendresse.
Je suis l’Amour, je connais vos besoins, je veux de chacun de vous un oui d’abandon, un oui sans votre volonté humaine.
Déposez-le à l’intérieur de vous, dites : "Jésus d’amour, je dépose mon oui en toi" et ne vous inquiétez plus maintenant que vous avez prononcé votre oui; vivez votre vie au présent en sachant que je vais prendre soin de vous.
N’ai-je pas pris soin de vous depuis votre venue en ce monde, depuis la venue de vos parents, depuis la venue de vos grands-parents?
N’ai-je pas pris soin de vous depuis que ce monde est sur la terre?
À chaque jour, je vous ai réchauffés de mon soleil, j’ai éclairé vos nuits avec mon astre, je vous ai guidés avec mes étoiles, j’ai fait des saisons pour vous nourrir, car ma nature a besoin de moi et elle le sait; il faut que vous ppreniez que pas un instant je ne vous ai pas comblés de mon amour.
Il est vivant, mon amour, il est autour de vous et vous, vous êtes l’amour, vous êtes l’amour en vous.
Laissez sortir ce qu’il y a en vous : l’amour.
Vous êtes tous appelés ici à devenir des enfants de la Divine Volonté, des enfants de la Lumière.
Vous devez laisser, par votre consentement, Dieu vous transformer, comme moi je le veux.
Regardez cette enfant, elle a prononcé son oui dans un oui d’abandon; elle ne le savait pas lorsqu’elle a crié vers mon Père, lui demandant : "Père, envoie ton Fils, viens, on n’en peut plus de souffrir, on a si mal; vois chacun de nous, on ne sait plus comment se comporter entre nous".
Mes enfants d’amour, cette enfant a prononcé un oui sans l’analyser, sans savoir ce que cela était pour faire dans sa vie.
C’est dans un abandon total qu’elle a prononcé ce oui, et nous, nous l’avons transformée.
Elle s’est laissé transformer sans qu’elle prenne sa volonté humaine.
À chaque jour, j’ai déversé en cet instrument d’amour des grâces d’amour, d’abandon, de lumière.
Son besoin de prier, de se donner faisait d’elle un enfant d’abandon.
Elle était comme un tout petit bébé qui se laisse prendre sans rien demander : elle a agi sans comprendre.
À chaque jour, elle a offert ses journées par amour à Dieu trinitaire.
Ces grâces lui faisaient comprendre qu’elle était en présence de son ange gardien, et cela n’est pas venu d’elle, mais de nous; nos grâces lui ont fait comprendre le besoin de prier pour ses frères et ses sœurs du monde entier et cela n’est pas venu d’elle, mais de nous; elle s’est laissée transformer sans savoir que nous la préparions; c’est dans un abandon qu’elle s’offrait à chaque jour.
Je lui ai mis sur sa route des enfants qui lui ont fait découvrir l’agir de Dieu, et elle, elle a découvert combien il était bon de regarder Dieu avec les yeux de Dieu; ses mains sont devenues des mains d’amour, car elle a renoncé à faire ses travaux par elle-même;
elle les a données à Jésus sans comprendre vraiment son geste.
Tout ce qu’elle savait, c’est qu’à l’intérieur d’elle il y avait quelque chose qui la poussait à dire : "Jésus, tu fais tout, prends tout", et sa vie se laissait transformer, car elle vivait en elle : elle avait découvert, par mes grâces, son intérieur.
Nous l’avons enveloppée de notre mouvement d’amour :
elle est devenue enfant de la Divine Volonté, pas par elle-même, par la Trinité,
par le mouvement de la Divinité.
Et vous, mes enfants, vous qui êtes ici, vous êtes tous appelés à vivre dans la Divine Volonté : mettre votre volonté humaine en ma Vie, en moi, Jésus, qui suis mort sur la Croix pour apporter tous vos manquements à la mort afin que vous ressuscitiez.
Voilà votre vie, votre intérieur! Ce mouvement est amour.
Lorsque je suis venu parmi vous, par le oui de Marie, j’accomplissais la Volonté d’amour de mon Père : vous prendre en moi pour que vous redeveniez des enfants de Dieu, des enfants d’amour.
Vous êtes sortis de l’Amour et c’est vers l’Amour que vous devez aller, et c’est moi qui vais vous y amener, pas vous, pas cet instrument, moi, en elle.
Vous, vous serez en moi et c’est moi qui vais vous guider vers la Terre Promise.
Mon Père a annoncé à Abraham : «Il sortira de toi une descendance qui sera aussi nombreuse que les étoiles dans le ciel».
Mes enfants d’amour, brillez dans ce temps de ténèbres, soyez des enfants de lumière, portez en vous tous vos frères et vos sœurs.
Par votre oui à l’Amour, moi je déverse en eux des grâces d’amour et d’abandon afin qu’ils puissent se reconnaître, eux aussi, enfants de la Divine Volonté. Oh! mes enfants d’amour, je ne me répète pas.
À chaque instant que vous entendez Dieu vous dire : «Je t’aime, je te veux en moi» : c’est une transformation qui se fait en vous, c’est un mouvement d’amour.
Ce que vous étiez il y a une seconde, vous ne l’êtes plus, vous êtes en mouvement, vous êtes la vie en ma Vie : vous êtes vivants.
Ne pas croire en mes paroles est ne pas croire que vous vivez car, la vie : c’est vivant; ce n’est pas rester sur place à vous poser des questions si cela est vrai ou non : c’est s’abandonner en Jésus.
C’est moi la Vie, le mouvement de l’Amour.
Ma Mère vous parle, elle vous prépare à voir son Fils en gloire en vous, elle déverse en vous des grâces de lumière.
Vous allez briller, mes enfants, pour vos frères et vos sœurs qui ne viennent pas en eux découvrir l’amour.
Soyez à l’écoute de votre intérieur, là où la Trinité est, là où ma Mère est, elle se tient près de nous, en vous;
soyez des êtres d’amour, d’abandon.
Tout doit être abandon en la Divine Volonté : cela est voulu de nous pour vous, par amour pour chacun de vous.
Je suis la Vie, vous, vous êtes la vie en la Vie : c’est le souffle de mon Père qui est en vous.
Soyez des enfants d’amour pour vous et pour ceux que vous portez en vous.
Il vient ce jour! Laissez-vous transformer par moi, par l’Amour même du Père.
Enfants d’amour, Dieu déverse en vous des grâces. Par les mains consacrées de ses prêtres, il veut faire pleuvoir sur chacun de vous des grâces. Amen.
Bénédiction par trois prêtres présents.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-03-22
Jésus : Dieu veut vous démontrer sa complicité avec chacun de vous; par cette enfant d’amour, je vais vous parler de vous.
Tout est en vous, mes enfants; venez où je suis : en vous; au plus profond de vous, il y a la présence de la Trinité.
Je suis Jésus Amour, je suis en mon Père, je suis en le Saint-Esprit : nous sommes en vous.
Chacun de vous est en présence de la Trinité : vous êtes en la Vie.
Vous croyez, mes enfants, qu’à chaque jour votre vie vous appartient : elle est à Dieu, elle est à nous.
Dieu le Père a déposé en Adam son souffle de vie, et ce souffle de vie
est la source de votre vie : elle est en vous.
Ce monde a oublié, mes enfants, qu’il est vivant.
Si vous fonctionnez sans connaître votre place, vous ne pouvez vous reconnaître parmi vos frères et vos sœurs :
vous déambulez sans savoir où vraiment vous êtes.
La vie en vous est là présente, vous êtes là présents au moment où vous m’entendez : là est votre vie.
Si, mes enfants, vous fonctionnez en ayant vos pensées pour vous, pour ce que vous devez faire, devez accomplir,
et si vous, mes enfants, n’êtes pas en vous, en ma présence : vous vivez comme des enfants hors de votre vie. Vous ne pouvez vous accomplir avec mes grâces, vous fonctionnez par votre propre volonté humaine, et tout ce que vous récoltez est ce que, vous, vous avez fait par vous-mêmes.
Mes amours, je vous annonce un temps, un temps de préparation à votre venue en vous.
Vous allez bientôt entrer en vous, en la présence de Dieu.
Ce temps est un temps de grâces pour vous; il vous apprend à vous découvrir, à vous reconnaître pour que le moment, où vous allez être présents en vous, soit un moment d’amour, une intimité avec votre Dieu.
Dieu est présent en vous, il fait des prodiges, mais vous, mes enfants, durant votre journée, vous avez votre pensée en dehors de votre vie.
Vous regardez avec vos yeux tout ce qu’il y a autour de vous; vous entendez avec vos oreilles les conversations qui se passent à l’extérieur de vous; vous communiquez avec vos frères et vos sœurs :
mais ce qui sort de vous, mes enfants, ce sont des paroles banales, sans vraiment de profondeur.
Mes amours, je vais, moi Dieu tout-puissant, vous montrer qu’en vous : il y a la douceur, il y a l’amour qui veut se laisser découvrir pour que vous puissiez regarder avec mes yeux, entendre avec mes oreilles, non avec les vôtres; je veux vous donner ma Vie : celle qui est en vous.
Oui, je veux prendre votre vie et la faire mienne : vous faire découvrir la vraie valeur de votre vie.
Malgré ce monde incrédule, vous, mes enfants, je veux faire de vous des témoins de ma présence en vous, de votre présence en vous :
ainsi, vous aurez à partager avec vos frères et vos sœurs mon amour.
Je me suis donné pour chacun de vous en apportant à la mort tous vos péchés afin que vous soyez tous purifiés.
Mon Précieux Sang a coulé sur vous, il vous a purifiés de vos péchés.
À vous de vous reconnaître en étant des enfants qui veulent être purifiés.
Vous seuls avez la liberté de dire oui à mon geste d’amour; je ne puis obliger personne d’entre vous à faire de vous des enfants d’amour pour vous et pour votre prochain en étant vivants.
Oui, je suis la Vie : qui vient en moi, qui renonce à sa vie, en moi a la vie.
Si vous vivez de votre extérieur, vous vivez avec du superficiel, non avec ce qui est en vous.
Il y a l’amour en vous : c’est ce qui veut sortir de vous.
Il faut laisser Dieu vous transformer par ses grâces d’amour; elles sont en vous, ces grâces : elles y ont été déposées par moi.
Je suis la Source d’Eau Vive : qui vient boire à mon Eau n’a plus besoin d’aller à l’extérieur de lui pour chercher une eau qui ne porte pas la pureté.
Qui a besoin de nourriture : il faut qu’il entre en lui pour venir chercher mon Corps.
Mes enfants, je suis l’Eucharistie.
Lorsque vous venez vous présenter à la sainte table : comme, mes enfants, vous avez fait il y a peu de temps, vous êtes venus chercher mon Corps, mon Corps qui s’est déposé en vous, il faut entrer en vous pour venir chercher cette Nourriture : ma Vie.
Lorsque vous fermez vos yeux, lorsque vous vous abandonnez, moi, l’Amour, je vous prends : c’est moi qui vous donne ma Nourriture.
Je vous nourris de ma Vie afin que vous ayez, vous, cette Nourriture qui nourrira votre vie intérieure; vous découvrirez combien vous êtes amour, combien vous êtes, pour vos frères et vos sœurs : amour.
Ce temps est un temps de grâces, est un temps de découverte de votre intérieur.
Il sera impossible pour celui qui a goûté à ce moment d’amour de regarder sa vie sans mes yeux, d’entendre sans mes sons d’amour; vous allez regarder vos frères et vos sœurs et vous allez les aimer, parce qu’en vous il y aura cette Nourriture qui vous nourrira de votre intérieur; tout en vous, il y a mes grâces :
ces grâces sont lumière pour vous.
Elles vous montrent vos frères et vos sœurs comme ils sont, pas comme vous vous les regardez avec vos yeux extérieurs, mais avec mes yeux à moi, avec les yeux de l’Amour.
Vous découvrirez leurs faiblesses; vous découvrirez qu’ils sont en état de non acceptation face à leur amour qui est en eux; vous n’apprendrez plus à les juger; vous allez apprendre à les aimer tels comme ils sont, car vous saurez, vous, qu’il y a en eux la vie et que la vie doit être nourrie de la vie en Dieu.
Mes amours, je vous fais découvrir la splendeur de votre vie intérieure.
La puissance de votre vie intérieure : elle est en vous cette puissance.
Qui vient puiser en son intérieur, vient puiser des grâces qui vont l’aider à fonctionner dans ce monde froid, sans amour.
Il y aura en vous une force qui vous fera avancer, malgré cette indifférence que vous rencontrerez à tous les jours, malgré ce manque d’amour, car, en vous, vous serez nourris de votre intérieur; vous n’aurez pas besoin d’aller à l’extérieur de vous pour vous combler, car vous saurez que c’est à l’intérieur de vous que vous allez puiser ce qui vous est nécessaire pour fonctionner dans ce monde qui n’est pas encore amour.
Mes enfants, vous êtes en train de vous laisser transformer par mes grâces,
pour devenir des enfants de la Divine Volonté.
Vous allez apprendre par moi, et non par vous, comment vivre de la Vie de Dieu.
C’est moi, et seulement moi qui vais vous transformer en enfants de la Divine Volonté : par votre oui, votre oui sincère, votre oui qui se donne dans un abandon.
Tout en vous va se laisser transformer.
Ce n’est pas à l’extérieur de vous que cela va commencer : c’est au plus profond de vous avec mes grâces; là, en ce moment même, en vous, il y a cette transformation.
Lorsque vous dites oui : Dieu agit pour vous; il vous fait comprendre que vous devez vous abandonner en lui : c’est lui l’Amour et non vous.
Vous allez devenir l’amour par l’Amour; vos gestes vont être accomplis dans un mouvement d’amour : il sera le mouvement du Verbe.
Le Verbe est l’agir du Père, c’est lui qui a créé tout.
Mes enfants, tout ce que vos yeux regardent ne vient pas des hommes, mais de l’amour de Dieu.
Si l’homme a voulu s’approprier de ce qui appartient à Dieu, bientôt il saura que tout ce qu’il a fait a été nourri de l’amour de Dieu, et, tout ce qui a été en lui orgueil, concupiscence, froideur contre l’amour de Dieu; il se découvrira par mes grâces tel comme il est; et moi, l’Amour, je le couvrirai pour lui montrer que je lui ai donné de l’amour pour se vêtir, pour se loger, pour s’alimenter, et non seulement pour lui, mais pour ses frères et ses sœurs.
Tout est mouvement d’amour.
C’est l’homme, mes enfants, qui a apporté l’égoïsme de vouloir s’approprier de ce que je lui ai donné.
Tout ce qui a été fait a été fait de ce que nous lui avons donné, et vous, mes enfants d’amour, qui apprenez par votre Dieu que tout ce que vos frères et vos sœurs ont accompli vient de moi, voyez-vous, vous ne pourrez plus les juger comme des êtres égoïstes, car vous saurez que ce qu’ils ont fait vient de moi.
Vous apprendrez à dire : "Merci, Seigneur, pour tout ce que tu lui as donné parce que cela vient de toi, et moi, j’ai profité de ton amour parce qu’aujourd’hui j’ai mangé, je porte des vêtements, et je sais que, ce soir, je vais coucher dans une demeure qui a été faite par ton amour".
Un monde nouveau s’ouvre en vous.
Cette découverte vient de votre intérieur : elle vient de Dieu, de l’amour de Dieu.
Mes enfants, c’est tranquillement que vous allez avancer vers ma Terre Nouvelle; c’est à votre rythme que vous allez vous laisser transformer par mes grâces d’amour, car je connais chacun de vous : je connais votre vitesse!
Il y a certains d’entre vous, ici, qui voudraient que j’aille vite; ils ont hâte d’être transformés par mes grâces en enfants de la Divine Volonté.
Ces enfants d’amour sont si pressés qu’ils me devancent : ils veulent faire du bien autour d’eux; alors, ils prennent les moyens en disant à Jésus :
"Écoute, Jésus, tu nous promets de belles choses. Nous voulons goûter à ces choses, mais tu n’es pas assez vite. Comble-moi, viens en moi, transforme-moi".
Ces enfants d’amour oublient leurs faiblesses, ils oublient qu’il y a en eux des manquements; si moi, mes enfants, je les transformais à la vitesse de l’éclair, leur purification les ferait tellement souffrir : ils seraient incapables d’en supporter la douleur.
Voyez-vous, c’est pour cette raison que je vais vous transformer au rythme de votre intérieur, pas au rythme de votre extérieur, car vous vivez selon votre monde et vous raisonnez selon votre monde.
Je suis la Douceur, la Patience.
Regardez, il y a plus de 2000 ans que je suis attaché à cette Croix : à chaque jour, on me blasphème, on me frappe, on dit de moi que je suis un Dieu qui ne connaît pas son temps.
Mes enfants d’amour, je connais chacun de vous, je connais tous ceux qui sont en vous.
Oui, mon temps est un temps d’amour, est un temps de grâces pour vous.
Je veux vous avoir avec moi, en vous, dans la douceur, dans la tendresse.
Je suis l’Amour, je connais vos besoins, je veux de chacun de vous un oui d’abandon, un oui sans votre volonté humaine.
Déposez-le à l’intérieur de vous, dites : "Jésus d’amour, je dépose mon oui en toi" et ne vous inquiétez plus maintenant que vous avez prononcé votre oui; vivez votre vie au présent en sachant que je vais prendre soin de vous.
N’ai-je pas pris soin de vous depuis votre venue en ce monde, depuis la venue de vos parents, depuis la venue de vos grands-parents?
N’ai-je pas pris soin de vous depuis que ce monde est sur la terre?
À chaque jour, je vous ai réchauffés de mon soleil, j’ai éclairé vos nuits avec mon astre, je vous ai guidés avec mes étoiles, j’ai fait des saisons pour vous nourrir, car ma nature a besoin de moi et elle le sait; il faut que vous ppreniez que pas un instant je ne vous ai pas comblés de mon amour.
Il est vivant, mon amour, il est autour de vous et vous, vous êtes l’amour, vous êtes l’amour en vous.
Laissez sortir ce qu’il y a en vous : l’amour.
Vous êtes tous appelés ici à devenir des enfants de la Divine Volonté, des enfants de la Lumière.
Vous devez laisser, par votre consentement, Dieu vous transformer, comme moi je le veux.
Regardez cette enfant, elle a prononcé son oui dans un oui d’abandon; elle ne le savait pas lorsqu’elle a crié vers mon Père, lui demandant : "Père, envoie ton Fils, viens, on n’en peut plus de souffrir, on a si mal; vois chacun de nous, on ne sait plus comment se comporter entre nous".
Mes enfants d’amour, cette enfant a prononcé un oui sans l’analyser, sans savoir ce que cela était pour faire dans sa vie.
C’est dans un abandon total qu’elle a prononcé ce oui, et nous, nous l’avons transformée.
Elle s’est laissé transformer sans qu’elle prenne sa volonté humaine.
À chaque jour, j’ai déversé en cet instrument d’amour des grâces d’amour, d’abandon, de lumière.
Son besoin de prier, de se donner faisait d’elle un enfant d’abandon.
Elle était comme un tout petit bébé qui se laisse prendre sans rien demander : elle a agi sans comprendre.
À chaque jour, elle a offert ses journées par amour à Dieu trinitaire.
Ces grâces lui faisaient comprendre qu’elle était en présence de son ange gardien, et cela n’est pas venu d’elle, mais de nous; nos grâces lui ont fait comprendre le besoin de prier pour ses frères et ses sœurs du monde entier et cela n’est pas venu d’elle, mais de nous; elle s’est laissée transformer sans savoir que nous la préparions; c’est dans un abandon qu’elle s’offrait à chaque jour.
Je lui ai mis sur sa route des enfants qui lui ont fait découvrir l’agir de Dieu, et elle, elle a découvert combien il était bon de regarder Dieu avec les yeux de Dieu; ses mains sont devenues des mains d’amour, car elle a renoncé à faire ses travaux par elle-même;
elle les a données à Jésus sans comprendre vraiment son geste.
Tout ce qu’elle savait, c’est qu’à l’intérieur d’elle il y avait quelque chose qui la poussait à dire : "Jésus, tu fais tout, prends tout", et sa vie se laissait transformer, car elle vivait en elle : elle avait découvert, par mes grâces, son intérieur.
Nous l’avons enveloppée de notre mouvement d’amour :
elle est devenue enfant de la Divine Volonté, pas par elle-même, par la Trinité,
par le mouvement de la Divinité.
Et vous, mes enfants, vous qui êtes ici, vous êtes tous appelés à vivre dans la Divine Volonté : mettre votre volonté humaine en ma Vie, en moi, Jésus, qui suis mort sur la Croix pour apporter tous vos manquements à la mort afin que vous ressuscitiez.
Voilà votre vie, votre intérieur! Ce mouvement est amour.
Lorsque je suis venu parmi vous, par le oui de Marie, j’accomplissais la Volonté d’amour de mon Père : vous prendre en moi pour que vous redeveniez des enfants de Dieu, des enfants d’amour.
Vous êtes sortis de l’Amour et c’est vers l’Amour que vous devez aller, et c’est moi qui vais vous y amener, pas vous, pas cet instrument, moi, en elle.
Vous, vous serez en moi et c’est moi qui vais vous guider vers la Terre Promise.
Mon Père a annoncé à Abraham : «Il sortira de toi une descendance qui sera aussi nombreuse que les étoiles dans le ciel».
Mes enfants d’amour, brillez dans ce temps de ténèbres, soyez des enfants de lumière, portez en vous tous vos frères et vos sœurs.
Par votre oui à l’Amour, moi je déverse en eux des grâces d’amour et d’abandon afin qu’ils puissent se reconnaître, eux aussi, enfants de la Divine Volonté. Oh! mes enfants d’amour, je ne me répète pas.
À chaque instant que vous entendez Dieu vous dire : «Je t’aime, je te veux en moi» : c’est une transformation qui se fait en vous, c’est un mouvement d’amour.
Ce que vous étiez il y a une seconde, vous ne l’êtes plus, vous êtes en mouvement, vous êtes la vie en ma Vie : vous êtes vivants.
Ne pas croire en mes paroles est ne pas croire que vous vivez car, la vie : c’est vivant; ce n’est pas rester sur place à vous poser des questions si cela est vrai ou non : c’est s’abandonner en Jésus.
C’est moi la Vie, le mouvement de l’Amour.
Ma Mère vous parle, elle vous prépare à voir son Fils en gloire en vous, elle déverse en vous des grâces de lumière.
Vous allez briller, mes enfants, pour vos frères et vos sœurs qui ne viennent pas en eux découvrir l’amour.
Soyez à l’écoute de votre intérieur, là où la Trinité est, là où ma Mère est, elle se tient près de nous, en vous;
soyez des êtres d’amour, d’abandon.
Tout doit être abandon en la Divine Volonté : cela est voulu de nous pour vous, par amour pour chacun de vous.
Je suis la Vie, vous, vous êtes la vie en la Vie : c’est le souffle de mon Père qui est en vous.
Soyez des enfants d’amour pour vous et pour ceux que vous portez en vous.
Il vient ce jour! Laissez-vous transformer par moi, par l’Amour même du Père.
Enfants d’amour, Dieu déverse en vous des grâces. Par les mains consacrées de ses prêtres, il veut faire pleuvoir sur chacun de vous des grâces. Amen.
Bénédiction par trois prêtres présents.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Pointe-aux-Trembles, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-04-03
Jésus : Je suis avec vous; par la puissance de l’Amour, Dieu accomplit auprès de chacun de vous sa Volonté.
Cet instrument s’est donné par amour : elle n’est qu’une voix, elle a déposé sa voix en ma Voix.
Je demande à chacun de vous de vous donner, de vous abandonner, de donner votre oui à Dieu.
En vous, je parle; en vous, vous faites partie de mon Être d’amour.
JE SUIS est en vous : l’Éternité est en votre présence.
Mes enfants, réalisez qu’en vous la Vie Éternelle est en votre présence.
Je suis la Vie Éternelle, il n’y a pas en moi d’achèvement : je suis l’Alpha et l’Oméga.
Vous, chacun de vous, vous êtes en ma présence; vous devez vous comporter en enfants présents avec votre Dieu.
Chaque instant de votre vie, vivez-le en moi dans l’amour pour vous et pour ceux que vous aimez, et pour ceux que vous ne connaissez pas : ils sont en vous.
Vous faites partie du Corps Mystique.
Vous êtes un tout en mon Tout! Je suis l’Église, la Tête, mes enfants!
Mes fils consacrés sont mes membres actifs et vous, vous êtes mes membres!
C’est en étant en moi présents que vous vivez dans mon Église, en étant des enfants d’amour, en portant en vous ceux qui ne se savent pas en moi.
Ils font leur vie sans s’apercevoir qu’ils meurent à chaque instant.
La vie est éternelle mais, en chacun de vous, il y a la vie qui crie, qui veut aimer, qui veut découvrir sa vraie valeur : celle de la vie en Dieu.
Beaucoup, et le nombre, mes enfants, est nombreux de ceux qui ne se voient pas en moi, qui refusent de se reconnaître enfants de Dieu.
Ils blasphèment.
Mon saint Nom est entre leurs lèvres, mais c’est pour le bafouer.
Ils ont en eux des paroles qu’ils ont apprises avec les années : ces paroles sont contre mon Église.
Ils se servent de noms sacrés pour démontrer à leurs frères et leurs sœurs qu’ils sont des enfants autonomes :
ils sont des enfants pris avec leur propre volonté, car ces enfants sont prisonniers de leur volonté.
Ce qu’ils démontrent, c’est leur faiblesse; ce n’est pas l’amour qui fortifie leur être.
Mes amours, chacun de vous entendez ces blasphèmes contre moi.
Je suis l’Amour, je les aime, je les veux en moi, purs.
C’est pour cette raison qu’en ce moment, vous ressentez une douleur, un vide, une incompréhension.
C’est que vous portez ces enfants, ils sont en vous, ils vous font du mal, et ils se font du mal.
Ils sont mes enfants choisis.
Je crie en chacun d’eux d’écouter la voix qui leur dit :
«Aime-moi. Viens en toi découvrir que tu es aimé de Dieu. Laisse couler en toi mes mots d’amour, mes mots de douceur, de tendresse.
Je t’aime comme tu es, toi; je te veux en moi pour l’éternité.
Ne laisse pas le Malin faire de toi un instrument du mal.
Tu fais entendre à tes frères et à tes sœurs des paroles contre toi, car lorsque tu parles contre l’Église, contre moi, c’est contre toi que tu parles.
Oh! mon amour, je te veux tout petit en toi, dans le regret; j’ai pour toi tant d’amour!
Tu vois, je te parle par ces enfants de la Lumière qui acceptent d’ouvrir leur intérieur pour laisser pénétrer mes paroles d’amour pour toi.
Mon bien-aimé/ma petite douceur, il vient le jour où tu seras devant moi.
Tu entendras ces mots que je prononce en toi, tu te découvriras tel que tu es, et, par ces enfants de la Lumière, tu sauras que tu as reçu des grâces de force qui t’aideront à me demander pardon, car je ferai descendre sur toi ma miséricorde; elle te couvrira tel un manteau d’amour, car tout en toi ne sera que souffrance.
Tu auras découvert l’Amour qui s’est laissé insulter, qui s’est laissé bafouer sans rien dire, sans aucun reproche, car je t’aime : toi, aime ton Dieu.»
Mes enfants, vous qui êtes témoins de l’agir de Dieu, vous venez prendre votre Dieu en vous, vous venez vous nourrir de sa Source de vie éternelle; ce mouvement est en chacun de vous, il est la puissance de l’amour de Dieu le Père : mon Père m’a donné à chacun de vous.
Vous êtes venus ce soir me prendre en vous, et c’est chacun de vous qui m’avez reçu; dans votre oui, dans votre abandon, vous avez laissé couler en vous cette Source de vie qui a aussi nourri la vie de mes enfants; par vous, ils reçoivent des grâces d’amour car, mes enfants, sans moi, ces enfants blasphémateurs ne pourraient vivre, car ils éteignent en eux la vie.
Je suis la Lumière.
Par moi, ils voient combien ils sont vivants, mais ces enfants ne pourraient être de ce monde sans ma Vie; c’est pourquoi je nourris mes enfants d’amour, mes enfants de la Lumière.
C’est un mouvement perpétuel d’amour : l’Amour est la Vie, il ne peut s’arrêter de donner, il est l’Amour qui donne.
Mon Père est Essence d’amour : son amour a engendré l’Amour et notre amour a donné l’Amour.
Nous sommes la Trinité, nous sommes trois Personnes qui forment un seul Dieu.
Par l’Amour, vous, mes enfants, vous êtes dans un mouvement d’amour et si nous arrêtions de donner de l’amour,
ce mouvement s’arrêterait et il n’y aurait plus vie en vous.
La Vie, mes enfants, est nous; le Mouvement est la Divine Volonté.
Lorsque vous prononcez votre oui à Dieu, vous faites un mouvement d’amour dans ce mouvement d’amour, et c’est nous qui vous enveloppons de notre Volonté d’amour pour vous démontrer que vous êtes vivants en nous.
Vous vivez dans le mouvement de l’Amour, dans la Divine Volonté.
Là est l’Alpha et l’Oméga, là où tout est,
et c’est là, mes enfants, que nous, la Trinité, nous voulons que vous soyez éternellement.
Mes amours, si, aujourd’hui même, des enfants blasphèment, c’est qu’ils vivent de leur volonté humaine, rejetant la Volonté d’amour.
Si, par vous, par le mouvement de l’amour dans la Divine Volonté, vous donnez une partie de l’amour que vous recevez pour eux : c'est la Divine Volonté, c’est un renoncement à votre volonté humaine pour vivre dans la Volonté de Dieu, dans l’amour de Dieu, dans la Vie de Dieu, et c’est dans un abandon que vous découvrez ce mouvement qui vit en vous, qui est en vous.
Jésus est ce mouvement d’amour, il est venu parmi vous pour vous faire découvrir l’Amour qui donne, l’Amour qui veut vous recevoir en lui.
Mes enfants, je suis la Voix de l’Amour.
Elle ne pourrait répéter ces mots que si l’Amour lui-même les prononce; elle entend l’Amour, elle parle dans
l’Amour : ce mouvement est en moi, et c’est l’Amour qui la couvre; elle est dans ce mouvement et vous, vous faites partie de ce mouvement; en acceptant d’entendre la Voix de l’Amour, vous êtes un tout dans la Divine Volonté.
Ceci, mes enfants, est pour vous rappeler que vous êtes enfants de Dieu, que vous avez renoncé à votre volonté humaine pour venir vivre dans la Divine Volonté.
Éternellement sera votre vie, car tous ceux qui ne voudront pas renoncer
à leur volonté humaine ne pourront venir mourir en moi, Jésus.
Il faut renoncer, mes enfants, au mal, car la volonté humaine habite avec le mal; il faut faire un choix dans ce que vous faites, dans ce que vous regardez, dans ce que vous entendez.
Regardez vos actions, lorsque vous avez à apprendre, vous devez choisir entre ce qui est bon et ce qui est mauvais; ce choix vous a été donné parce que Adam et Ève ont voulu connaître le bien et le mal; ils ont renoncé à vivre dans la Divine Volonté, car ils ont voulu connaître par eux-mêmes ce qui était le bien et ce qui était le mal.
Par ce choix, leur vie a été dans la volonté humaine.
Je suis en vous mes enfants car, bientôt, chacun de vous devrez choisir entre : continuer de vivre dans votre volonté humaine ou de renoncer à votre volonté pour venir vivre dans la Divine Volonté, là où tout ne sera qu’amour, où le mal n’existera plus.
Mes enfants, à vous de porter en vous ce choix pour ceux qui ne se préparent pas, car ils auront à répondre devant l’Amour à cette demande d’amour.
Vous qui venez vous nourrir à la Source de vie, portez-les, aimez-les malgré leurs défauts, malgré leurs paroles injurieuses contre l’Église, contre moi.
Je suis l’Amour et l’Amour vous supplie de porter vos frères et vos sœurs; il vous le demande parce que, bientôt, cessera la souffrance de la Passion.
Mes enfants d’amour, Dieu Éternel est en vous, il est là, présent, il est le tout de votre être.
Demeurez en sa présence en acceptant de vous laisser prendre par son mouvement d’amour, et cela se fait par des oui dans l’abandon, sans chercher par vous-mêmes à vouloir être dans cette présence.
Dieu est la Puissance : ce qu’il attend de vous, c’est votre oui car tout de vous lui appartient.
Abandonnez-vous, donnez-lui ce qui lui revient : votre vie.
Votre vie est à lui, il est la Vie.
Mes tendres amours, par la puissance de l’Amour, recevez des grâces de vie d’amour, d’abandon.
J’ai donné à travers mon fils, ce soir, des grâces et, à travers mon fils, recevez des grâces.
Père Jean-Joseph Lemire : Par le Saint-Esprit en particulier qui est l’esprit d’abandon à la Volonté du Père et au oui à la parole du Christ, je demande à cette Trinité adorable de transformer chacun de nos cœurs, de nous donner des cœurs d’amour, des cœurs d’abandon, des cœurs de convertis au prochain retour du Christ dans la gloire.
Je vous dis ça sur ma conscience, bientôt le Christ revient. On va voir très prochainement des signes incroyables de la venue du Christ. Si nos cœurs sont purs, si nos cœurs sont en amour avec le Seigneur, nous serons dans la paix. Si nous sommes travaillés par la méchanceté, ce sera épouvantable à supporter : je vous dis ça sur ma conscience.
C’est pourquoi ce soir, en terminant, je demande au Seigneur, pour chacun de nous, une conversion profonde à l’accomplissement de la Volonté du Seigneur, quoi qu’il arrive dans chacune de nos vies. Que la très sainte Vierge Marie, notre Maman, plus Maman que notre maman selon la chair, nous couvre de son manteau et qu’elle nous garde dans sa tendresse, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen!
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-04-03
Jésus : Je suis avec vous; par la puissance de l’Amour, Dieu accomplit auprès de chacun de vous sa Volonté.
Cet instrument s’est donné par amour : elle n’est qu’une voix, elle a déposé sa voix en ma Voix.
Je demande à chacun de vous de vous donner, de vous abandonner, de donner votre oui à Dieu.
En vous, je parle; en vous, vous faites partie de mon Être d’amour.
JE SUIS est en vous : l’Éternité est en votre présence.
Mes enfants, réalisez qu’en vous la Vie Éternelle est en votre présence.
Je suis la Vie Éternelle, il n’y a pas en moi d’achèvement : je suis l’Alpha et l’Oméga.
Vous, chacun de vous, vous êtes en ma présence; vous devez vous comporter en enfants présents avec votre Dieu.
Chaque instant de votre vie, vivez-le en moi dans l’amour pour vous et pour ceux que vous aimez, et pour ceux que vous ne connaissez pas : ils sont en vous.
Vous faites partie du Corps Mystique.
Vous êtes un tout en mon Tout! Je suis l’Église, la Tête, mes enfants!
Mes fils consacrés sont mes membres actifs et vous, vous êtes mes membres!
C’est en étant en moi présents que vous vivez dans mon Église, en étant des enfants d’amour, en portant en vous ceux qui ne se savent pas en moi.
Ils font leur vie sans s’apercevoir qu’ils meurent à chaque instant.
La vie est éternelle mais, en chacun de vous, il y a la vie qui crie, qui veut aimer, qui veut découvrir sa vraie valeur : celle de la vie en Dieu.
Beaucoup, et le nombre, mes enfants, est nombreux de ceux qui ne se voient pas en moi, qui refusent de se reconnaître enfants de Dieu.
Ils blasphèment.
Mon saint Nom est entre leurs lèvres, mais c’est pour le bafouer.
Ils ont en eux des paroles qu’ils ont apprises avec les années : ces paroles sont contre mon Église.
Ils se servent de noms sacrés pour démontrer à leurs frères et leurs sœurs qu’ils sont des enfants autonomes :
ils sont des enfants pris avec leur propre volonté, car ces enfants sont prisonniers de leur volonté.
Ce qu’ils démontrent, c’est leur faiblesse; ce n’est pas l’amour qui fortifie leur être.
Mes amours, chacun de vous entendez ces blasphèmes contre moi.
Je suis l’Amour, je les aime, je les veux en moi, purs.
C’est pour cette raison qu’en ce moment, vous ressentez une douleur, un vide, une incompréhension.
C’est que vous portez ces enfants, ils sont en vous, ils vous font du mal, et ils se font du mal.
Ils sont mes enfants choisis.
Je crie en chacun d’eux d’écouter la voix qui leur dit :
«Aime-moi. Viens en toi découvrir que tu es aimé de Dieu. Laisse couler en toi mes mots d’amour, mes mots de douceur, de tendresse.
Je t’aime comme tu es, toi; je te veux en moi pour l’éternité.
Ne laisse pas le Malin faire de toi un instrument du mal.
Tu fais entendre à tes frères et à tes sœurs des paroles contre toi, car lorsque tu parles contre l’Église, contre moi, c’est contre toi que tu parles.
Oh! mon amour, je te veux tout petit en toi, dans le regret; j’ai pour toi tant d’amour!
Tu vois, je te parle par ces enfants de la Lumière qui acceptent d’ouvrir leur intérieur pour laisser pénétrer mes paroles d’amour pour toi.
Mon bien-aimé/ma petite douceur, il vient le jour où tu seras devant moi.
Tu entendras ces mots que je prononce en toi, tu te découvriras tel que tu es, et, par ces enfants de la Lumière, tu sauras que tu as reçu des grâces de force qui t’aideront à me demander pardon, car je ferai descendre sur toi ma miséricorde; elle te couvrira tel un manteau d’amour, car tout en toi ne sera que souffrance.
Tu auras découvert l’Amour qui s’est laissé insulter, qui s’est laissé bafouer sans rien dire, sans aucun reproche, car je t’aime : toi, aime ton Dieu.»
Mes enfants, vous qui êtes témoins de l’agir de Dieu, vous venez prendre votre Dieu en vous, vous venez vous nourrir de sa Source de vie éternelle; ce mouvement est en chacun de vous, il est la puissance de l’amour de Dieu le Père : mon Père m’a donné à chacun de vous.
Vous êtes venus ce soir me prendre en vous, et c’est chacun de vous qui m’avez reçu; dans votre oui, dans votre abandon, vous avez laissé couler en vous cette Source de vie qui a aussi nourri la vie de mes enfants; par vous, ils reçoivent des grâces d’amour car, mes enfants, sans moi, ces enfants blasphémateurs ne pourraient vivre, car ils éteignent en eux la vie.
Je suis la Lumière.
Par moi, ils voient combien ils sont vivants, mais ces enfants ne pourraient être de ce monde sans ma Vie; c’est pourquoi je nourris mes enfants d’amour, mes enfants de la Lumière.
C’est un mouvement perpétuel d’amour : l’Amour est la Vie, il ne peut s’arrêter de donner, il est l’Amour qui donne.
Mon Père est Essence d’amour : son amour a engendré l’Amour et notre amour a donné l’Amour.
Nous sommes la Trinité, nous sommes trois Personnes qui forment un seul Dieu.
Par l’Amour, vous, mes enfants, vous êtes dans un mouvement d’amour et si nous arrêtions de donner de l’amour,
ce mouvement s’arrêterait et il n’y aurait plus vie en vous.
La Vie, mes enfants, est nous; le Mouvement est la Divine Volonté.
Lorsque vous prononcez votre oui à Dieu, vous faites un mouvement d’amour dans ce mouvement d’amour, et c’est nous qui vous enveloppons de notre Volonté d’amour pour vous démontrer que vous êtes vivants en nous.
Vous vivez dans le mouvement de l’Amour, dans la Divine Volonté.
Là est l’Alpha et l’Oméga, là où tout est,
et c’est là, mes enfants, que nous, la Trinité, nous voulons que vous soyez éternellement.
Mes amours, si, aujourd’hui même, des enfants blasphèment, c’est qu’ils vivent de leur volonté humaine, rejetant la Volonté d’amour.
Si, par vous, par le mouvement de l’amour dans la Divine Volonté, vous donnez une partie de l’amour que vous recevez pour eux : c'est la Divine Volonté, c’est un renoncement à votre volonté humaine pour vivre dans la Volonté de Dieu, dans l’amour de Dieu, dans la Vie de Dieu, et c’est dans un abandon que vous découvrez ce mouvement qui vit en vous, qui est en vous.
Jésus est ce mouvement d’amour, il est venu parmi vous pour vous faire découvrir l’Amour qui donne, l’Amour qui veut vous recevoir en lui.
Mes enfants, je suis la Voix de l’Amour.
Elle ne pourrait répéter ces mots que si l’Amour lui-même les prononce; elle entend l’Amour, elle parle dans
l’Amour : ce mouvement est en moi, et c’est l’Amour qui la couvre; elle est dans ce mouvement et vous, vous faites partie de ce mouvement; en acceptant d’entendre la Voix de l’Amour, vous êtes un tout dans la Divine Volonté.
Ceci, mes enfants, est pour vous rappeler que vous êtes enfants de Dieu, que vous avez renoncé à votre volonté humaine pour venir vivre dans la Divine Volonté.
Éternellement sera votre vie, car tous ceux qui ne voudront pas renoncer
à leur volonté humaine ne pourront venir mourir en moi, Jésus.
Il faut renoncer, mes enfants, au mal, car la volonté humaine habite avec le mal; il faut faire un choix dans ce que vous faites, dans ce que vous regardez, dans ce que vous entendez.
Regardez vos actions, lorsque vous avez à apprendre, vous devez choisir entre ce qui est bon et ce qui est mauvais; ce choix vous a été donné parce que Adam et Ève ont voulu connaître le bien et le mal; ils ont renoncé à vivre dans la Divine Volonté, car ils ont voulu connaître par eux-mêmes ce qui était le bien et ce qui était le mal.
Par ce choix, leur vie a été dans la volonté humaine.
Je suis en vous mes enfants car, bientôt, chacun de vous devrez choisir entre : continuer de vivre dans votre volonté humaine ou de renoncer à votre volonté pour venir vivre dans la Divine Volonté, là où tout ne sera qu’amour, où le mal n’existera plus.
Mes enfants, à vous de porter en vous ce choix pour ceux qui ne se préparent pas, car ils auront à répondre devant l’Amour à cette demande d’amour.
Vous qui venez vous nourrir à la Source de vie, portez-les, aimez-les malgré leurs défauts, malgré leurs paroles injurieuses contre l’Église, contre moi.
Je suis l’Amour et l’Amour vous supplie de porter vos frères et vos sœurs; il vous le demande parce que, bientôt, cessera la souffrance de la Passion.
Mes enfants d’amour, Dieu Éternel est en vous, il est là, présent, il est le tout de votre être.
Demeurez en sa présence en acceptant de vous laisser prendre par son mouvement d’amour, et cela se fait par des oui dans l’abandon, sans chercher par vous-mêmes à vouloir être dans cette présence.
Dieu est la Puissance : ce qu’il attend de vous, c’est votre oui car tout de vous lui appartient.
Abandonnez-vous, donnez-lui ce qui lui revient : votre vie.
Votre vie est à lui, il est la Vie.
Mes tendres amours, par la puissance de l’Amour, recevez des grâces de vie d’amour, d’abandon.
J’ai donné à travers mon fils, ce soir, des grâces et, à travers mon fils, recevez des grâces.
Père Jean-Joseph Lemire : Par le Saint-Esprit en particulier qui est l’esprit d’abandon à la Volonté du Père et au oui à la parole du Christ, je demande à cette Trinité adorable de transformer chacun de nos cœurs, de nous donner des cœurs d’amour, des cœurs d’abandon, des cœurs de convertis au prochain retour du Christ dans la gloire.
Je vous dis ça sur ma conscience, bientôt le Christ revient. On va voir très prochainement des signes incroyables de la venue du Christ. Si nos cœurs sont purs, si nos cœurs sont en amour avec le Seigneur, nous serons dans la paix. Si nous sommes travaillés par la méchanceté, ce sera épouvantable à supporter : je vous dis ça sur ma conscience.
C’est pourquoi ce soir, en terminant, je demande au Seigneur, pour chacun de nous, une conversion profonde à l’accomplissement de la Volonté du Seigneur, quoi qu’il arrive dans chacune de nos vies. Que la très sainte Vierge Marie, notre Maman, plus Maman que notre maman selon la chair, nous couvre de son manteau et qu’elle nous garde dans sa tendresse, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen!
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Crabtree, Québec,
par son instrument la Fille du Oui à Jésus
2003-04-04
Jésus : À tous mes enfants de la terre, Dieu proclame sa présence : il parle à chacun de vous, ici, qui êtes en présence de la Voix.
J’ai donné à cette enfant ma bénédiction, elle a été ointe par la Trinité. Nous avons fait d’elle un instrument pour vous parler, pour vous rejoindre dans votre quotidien.
Beaucoup de vous, mes enfants, vivez votre vie sans réaliser l’importance de votre présence auprès de nous, la Sainte Trinité : elle est aussi importante que votre vie en la Vie.
Votre présence en vous vous fait réaliser que vous êtes au présent : que vous vivez.
Vous devez prendre conscience de qui vous êtes.
Dieu a accompli son œuvre : il a fait naître l’amour parmi vous afin que vous soyez tous vivants dans l’amour.
Une vie sans amour est une vie sans essence.
Lorsqu’il n’y a pas de projet d’amour, votre présent n’a pas cette essence qui lui donne le goût de vivre.
Il faut découvrir que vous êtes, vous, des enfants d’amour : l’amour doit faire partie de votre vie.
Parler sans amour est montrer à ceux qui vous écoutent que vous n’avez rien à leur apporter, que vous n’avez rien à donner; chaque enfant attend de vous une raison d’être en votre présence.
Si un enfant se présente à vous en vous donnant un cadeau, vous allez le prendre dans vos mains avec un désir de le développer pour savoir ce que ce cadeau contient; lorsque vous l'ouvrez et que vous constatez qu’il n’y a rien,
vous êtes déçus : vous vous attendiez à quelque chose.
Mes enfants d’amour, lorsque vous vous présentez à quelqu’un, il attend de vous quelque chose; si vous lui présentez un être qui ne parle que de lui, qui fait découvrir à l’autre ses projets, ses désirs à lui, l’autre a beau l’écouter : il ne reçoit rien pour lui; alors votre conversation devient une conversation inutile pour celui qui écoute : vous ne lui avez pas donné de l’amour, vous gardez pour vous ce qui remplirait votre vie; mais vous-mêmes, mes enfants, vous êtes vides, vous ne réalisez pas qu’en vous, vous ne vous êtes pas donné de l’amour, car lorsqu’on ne donne pas : on ne reçoit pas.
Aimez-vous vivre ainsi sans partage, sans donation?
Votre monde est un monde vide qui ne donne pas de lui-même.
Il aurait beau parler des heures, s’il ne vous donne pas de l’amour, vous ne ressentez rien : toutes ces heures à l’écouter vous ont donné de la froideur, de l’indifférence.
Lorsque vous écoutez vos émissions à la télévision, c’est ce qui se produit en vous : un vide.
Vous croyez vous combler par ces images, par ces paroles : alors qu’elles ne vous apportent rien.
Elles sont là ces émissions, devant vos yeux, qui vous font entendre des sons; mais ces sons ne vous donnent pas de l’amour : ils sont vides.
Pouvez-vous vous lever après avoir écouté pendant une heure, deux heures, remplis de joie, remplis d’amour en voulant donner ce que vous avez reçu?
Si vous partagez des paroles, cela n’est qu’extérieur,
vous n’avez rien reçu en vous pour donner de votre présence.
L’amour est un présent : il donne de lui-même pour vous donner de la joie, pour vous apporter de la paix, pour vous démontrer que vous êtes quelqu’un d’important.
L’amour aime démontrer que vous êtes unique, que vous êtes quelqu’un d’agréable.
L’amour fait découvrir la tendresse en vous.
Est-ce que lorsque vous écoutez vos émissions vous ressentez cela? Pouvez-vous réaliser maintenant, mes enfants d’amour, combien d’heures vous avez demeuré devant un vide?
Votre vie n’a pas profité de l’amour, elle n’a pu donner de l’amour, car pour donner il faut recevoir.
Lorsque vous venez à la messe recevoir Jésus dans la Sainte Eucharistie : Jésus se donne à vous, il est en votre présence; il vous fait savoir que vous êtes des enfants d’amour; il est là avec tout son Être pour vous donner la Vie : sa Vie, sa Vie divine, pour nourrir votre vie afin que vous soyez amour.
Mes enfants, dans le premier volume, j’ai parlé d’amour; pour ceux qui ont lu ce livre, ils ont pu constater : combien je suis amoureux de vous, combien je suis amoureux de tous les enfants de la terre.
J’ai fait inscrire le mot "amour" pratiquement à chaque ligne, par amour, afin que vous réalisiez que ce mot doit faire partie de votre vie.
J’ai répété ce mot à plusieurs reprises parce que vous avez oublié : qui vous êtes, qui vous a donné la vie.
Vous avez connu un Dieu qui s’est laissé crucifier sur la Croix, mes enfants, cet acte est un acte d’amour, un acte de donation : tout ce mouvement n’a pu se faire que dans l’amour, que pour l’amour.
Il est inscrit dans le premier volume, vous le trouvez à chaque page : c’est l’amour.
L’Amour s’est donné pour vous avoir à lui, en lui pour l’éternité,
il veut vous faire découvrir votre présence : votre vie.
Vous avez perdu la beauté de votre intérieur : Quand un enfant vient en ce monde, il est amour, il n’a pas commis de péché; il a la beauté de son intérieur, il a l’humilité de sa vie; il n’a pas besoin d’autres pour lui dire qu’il est amour, car il se sait amour; avec le temps, mes enfants, vous avez perdu votre beauté intérieure; votre humilité s’est changée en l’orgueil; vous vous êtes pris pour des enfants qui n’ont pas besoin qu’on leur dise : qu’il est tout petit, qu’il est amour et qu’il se doit d’être amour.
Vous avez avancé dans votre vie en essayant de découvrir votre intérieur, mais en vous l’amour est toujours là : il est présent, il ne peut disparaître, car c’est vous : c’est vous l’amour.
Mais à cause de vos habitudes, à cause de votre monde, vous oubliez l’amour en vous, et vous vous laissez remplir par un vide.
Lorsqu’on vous montre des images qui ne comportent pas l’amour de Dieu, vous ne nourrissez pas votre besoin d’amour de Dieu; vous prenez des mauvaises manies, vous commencez à regarder votre prochain avec vos yeux qui ont fixé ces images sans présence de Dieu; vous devenez le reflet de ce que vous regardez, et vos paroles deviennent des paroles étrangères à vous-mêmes; regardez vos réflexions, vous les répétez parce que vous les avez déjà entendues : ce sont des mots sans amour, des paroles apprises de ce que vous avez entendu, elles ne viennent pas de votre intérieur : de l’amour.
Voyez-vous, votre vie a véhiculé dans un non-sens.
Mes enfants, je parle à travers cet instrument d’amour pour vous, pour vous démontrer que je suis en vous; si je parle à travers de cette enfant : c’est que je suis présent, je suis la Vie et la Vie est en vous, je suis présent en vous, je parle en vous, je suis le Mouvement de la Vie.
Mes bien-aimés, la Voix vous dit : écoutez votre intérieur, venez en vous, je vais vous parler d’amour, je vais vous parler de vous, je vais vous dire qui vous êtes.
Vous, mes bien-aimés, mes choisis, les élus de mon Père, tout va être pour vous que joie, qu’espérance : là est la vie, la vraie vie en Dieu; cela va vous apporter une joie qui ne s’arrêtera pas, car je suis une Source d’eau vive, je suis l’Éternel, je suis une Nourriture vivante.
Mes amours, prenez conscience que très bientôt ceux qui sont en vous devront prendre une décision.
Je sais que présentement plusieurs de vous, qui êtes présents ici, avez pris conscience de votre importance auprès de Dieu.
Vous voyez la lumière, vous avancez dans ces jours de noirceur en ayant fixé votre regard à l’intérieur de vous, là où est la lumière.
Je vous fais avancer vers ma Terre Promise.
Je ne vous parle pas pour vous faire accroire que cela arrivera dans plusieurs années; certains parlent que, moi, je parle de mon temps.
Mes enfants, je n’ai pas de temps : je suis l’Alpha, je suis l’Oméga, je suis la Présence, c’est vous qui vivez avec le temps : soyez dans la foi.
Lorsque j’ai parlé à mes apôtres que le Royaume de mon Père était proche, cela était vérité; ils préparaient leur présence en Dieu, ils cheminaient vers le Royaume de mon Père, et vous, vous êtes les élus de mon Père, ceux qui vont voir en eux le Fils glorifié par Dieu le Père.
Ne cherchez pas à analyser le temps, ne cherchez pas à analyser ces paroles de vie,
vivez en Dieu, vivez au présent.
Ne savez-vous pas que vous êtes en présence de Dieu, en présence de l’Amour, de la Vie éternelle, du Fils de Dieu?
Je vous annonce un temps d’amour à l’instant même où vous acceptez de vivre en vous : en présence de l’Amour.
Vous acceptez déjà ce temps, ce temps d’amour; profitez de ce moment : du présent, à chaque seconde de votre vie; si vous attendez un temps, c’est que vous ne vous mettez pas au présent : vous fixez votre regard vers ce qui va arriver, vous mettez votre pensée vers ce qui va arriver, et votre pensée ne profite pas de votre présence
en moi : à l’instant même où je suis avec vous.
Mes amours, vous voulez connaître le bonheur? Il est en vous, il est en votre présence : il est éternel ce bonheur.
Lorsque vous acceptez de vivre en Dieu en vous, il y a quelque chose de merveilleux qui se passe : vous découvrez votre présence en présence de Dieu, vous commencez à regarder avec mes yeux et vous vous apercevez que Dieu agit autour de vous, vous réalisez que le monde, qui n’est pas en présence de Jésus, n’a pas la chance que, vous, vous avez : de vivre en Dieu, et à chaque instant que vous découvrez ce bonheur qui grandit, et vous découvrez combien votre vie est plus joyeuse, plus calme!
Vous avez beau avoir des douleurs physiques, mais elles commencent à prendre une forme différente, cela vous fait plaisir d’offrir à Jésus vos souffrances, et elles deviennent moins pénibles à chaque jour : vous faites profiter à votre intérieur ce que vous acceptez à l’extérieur, et l’amour grandit et votre bonheur aussi.
Mes enfants d’amour, vais-je donc vous dire d’attendre ma venue en vous
pour commencer d’être heureux?
C’est là à l’instant même où vous vivez que vous devez découvrir votre présence amoureuse avec votre Dieu.
Lorsque vous savez que Dieu est amoureux de vous : vous savez aussi qu’il est amoureux de tous ses enfants, de vos enfants, de vos parents, de vos amis : et là votre confiance en moi se développe; vous savez que je prends soin d’eux : votre joie augmente; vous découvrez encore que votre bonheur se développe : parce que vous êtes en moi et que moi je vous aime; vous savez que je peux tout pour vous et je peux tout pour ceux que vous aimez : alors ceux qui sont en guerre profitent aussi des grâces que je dépose en vous et cela fait chaud à l’intérieur de vous en sachant que je prends soin d’eux; vous avez l’espérance du bonheur sur la terre et cela commence au moment que vous, vous entrez en vous :
voilà le oui à l’Amour.
Tout n’est que simplicité : tel un enfant qui vient au monde, il est amour parce que sa vie est en lui; il n’est pas compliqué, il n’a pas besoin de penser à plus tard, il vit sa vie au présent, le bébé.
Vivez ainsi dans l’amour de votre être.
Je suis en vous, je vous parle pour vous faire réaliser que vous êtes vivants, que vous devez accepter votre vie en vous, et je vous fais réaliser que si vous continuez à accepter que les autres vous présentent leur vide, vous ne pourrez goûter au bonheur en vous; ce n’est pas ces émissions qui va vous donner du bonheur, c’est ce qu’il y a en vous : votre présence en ma Présence.
Si cela vous semble compliqué, c’est que vous venez juste à peine de le découvrir; ceux dont ça leur semble moins compliqué, c’est qu’ils ont découvert leur présence en moi : ils savourent déjà un bonheur, leur bonheur.
Mes enfants d’amour, je suis le Bonheur, je vous aime et le mot amour est pour vous.
Il s’est inscrit dans ces lignes pour vous montrer que vous êtes présents.
À chaque fois que vous verrez ce mot amour, pensez que c’est vous en moi, moi en vous; il ne sera pas pour vous une répétition, il sera pour vous une découverte :
votre présence en Dieu.
Tout a été calculé : mes enfants, Dieu sait ce qu’il fait, Dieu sait ce qui est bon pour vous.
Laissez-vous couler, laissez-vous prendre, laissez-vous envelopper, car Dieu est l’Amour : il est trois fois Saint.
Je vous aime, mes amours, demeurez en moi, je vous veux pour l’éternité dans ce bonheur qui est déjà commencé pour vous.
N’oubliez pas, mes enfants, le bonheur se partage, se donne, il est gratuit : il est vous.
Soyez ce que vous êtes : amour.
Je vous aime mes enfants, je vous aime!
Par mon pouvoir : recevez de l'amour par mes grâces, je les fais descendre sur vous par ces bénédictions.
Mes fils d’amour ont ce pouvoir par leur sacerdoce.
Puisez ces grâces auprès de mes fils.
Père André Nault : Que Dieu tout-puissant vous bénisse, la sainte Vierge vous bénisse, que les saints archanges, les saints anges veillent sur vous et vous protègent. Moi, je vous bénis ainsi que tous les vôtres : au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu m’a demandé de faire un témoignage. J’ai dit : "Seigneur, qu’est-ce que je vais dire?" Alors, ce matin il m’a dit : «Tu n’as pas à savoir, même ça! Les mots viendront en toi, ils couleront en toi parce que si tu cherches à former des paroles à l’avance, cela ne sortira pas de ton cœur, mais de ta tête : alors, ils n’auront rien compris.»
Lorsqu’on parle en public, cela doit se faire qu’en Dieu; si on parle entre nous pour remplir une conversation, on ne donne rien : ça devient une conversation bien banale.
Dieu me l’a fait comprendre depuis deux ans.
Monique et moi, nous travaillons souvent ensemble et lorsqu’on avait des conversations à l’heure des repas, parce que durant la journée on n’a pas besoin de parler, c’est le Seigneur qui parle toujours, alors il remplit la journée; même si ça dure pas longtemps, une heure peut-être, c'est beaucoup une heure!
Mais ça arrivait qu’on prenait une heure, eh bien, quand on commençait à parler, si la conversation ne plaisait pas au Seigneur, il disait qu’on parlait dans le vide, que c’était mieux de se taire : alors quelquefois les larmes nous coulaient, parce qu'on avait honte d’avoir parlé inutilement.
Oh! on parlait pas contre vous, ah! non, mais on parlait de choses bien banales, et c’est ça : des choses bien banales, et le Seigneur nous faisait comprendre l’inutilité de cette conversation, parce qu’il disait qu’on n’aidait pas les enfants qui étaient en nous.
Il nous a appris ça tranquillement, à tous les jours, parce que Monique, elle a vécu quasiment quatre mois à la maison; alors, j’avais des conversations à l’heure des repas avec elle, mais, tranquillement, il nous apprenait avec des paroles d’amour, avec beaucoup de douceur, comment nous comporter et ça fait deux ans qu’on a commencé et on apprend encore.
Une fois : "Ah! Seigneur, il veut que je conte ça! Ah! mon Dieu!"
On était en train de parler, Monique et moi, d’une journée qu’on avait passée : une rencontre; oui, on avait parlé de la rencontre, mais on disait ce qu’il fallait éviter pour pas que vous trouviez ça long parce que, vous savez, quand les gens viennent entendre, il faut tout calculer le temps; mais on sait que le Seigneur, il prend tant de temps pour ça; mais il y a des minutes entre ça : un dix minutes, un cinq minutes; comment faire pour pas que vous perdiez votre temps?
Alors, nous, on parlait, puis là, on avait dit :"Seigneur, tu ne veux pas que je dise ça, hein? Seigneur!"
Comme ça : le temps d’un sermon est essentiel, nous devons l'écouter, mais notre faiblesse humaine avait calculé que c’était un peu long.
C’est très dur, vous savez, ce que je viens de dire; quand on parle de quelque chose qu’on ne veut pas et qu'il nous le demande : on se demande comment on doit le faire.
On avait dit que le sermon avait été un petit peu trop long; ce n’est pas drôle parce qu’on a bien pleuré après, hein?
Parce que j’ai la Sainte Face dans ma chapelle – bien, je dis ma chapelle, parce que c’est un lieu que j’ai réservé comme ici, dans la chambre de mon mari – puis là, on a dit : "Seigneur, tu veux faire la prière?" Alors, c’est moi qui prie, mais j’entends les paroles; alors j'ai prié, mais c’était ma conscience; alors elle a commencé à prier, puis elle disait ce qui était bien, ce qui n'était pas bien : les choses à éviter; alors elle nous disait qu’elle était là pour nous guider : la conscience, que quelquefois on ne l’écoute pas durant la journée, mais elle est vraiment là : on doit l’écouter.
Alors, après cette conversation, on se sentait bien à l’abri, on était loin de se douter; elle m’a dit : "J’ai entendu votre conversation", puis elle a dit que nous avions mal agi; elle m’a demandé d’aller à la confesse, alors j’ai réalisé combien c’est important ce qu’on dit, parce que notre conscience est en présence de nous, c’est elle qui nous guide; alors, quand on parle mal, qu’on dit quelque chose – oh! bien innocemment, parce que c’était loin d’être méchant notre affaire, mais même ça –
on doit mesurer nos paroles, surtout quand c’est pour notre prochain.
Voyez-vous, le Père Naud, tantôt, nous a parlé de péché; alors celui là, je ne crois pas qu’il était un péché mortel, mais "c’était un péché véniel, hein, Père Nault? Était-il véniel, mon péché? Oui, hein?" Ok.
Alors, le fait que ma conscience, elle m’a dit que j’avais mal agi, là je découvrais que j’étais en état de péché; alors je devais le confesser ce péché, mais j’ai eu une grande peine, j’ai pleuré beaucoup, vous savez!
J’ai eu tellement honte! Ah! Beaucoup!
Mais je ne sais pas lequel des deux qui a été le plus difficile : me présenter devant mon confesseur, ça, ça été dur aussi, parce qu’en même temps je découvrais qu’il fallait que je m’humilie, il fallait que je m’oublie, j’aurais pu aller à un autre, hein?
Mais, quelquefois, le bon Dieu, il nous demande de nous dépasser, et quand on accepte de se dépasser : on grandit dans notre abandon, on s’abandonne de plus en plus : ce sont des épreuves;
c’est parce qu’il nous aime, c’est parce qu’il veut qu’on se sente heureux en nous.
Ça ne se fera pas sans difficulté : ça va être une prise de conscience à tous les jours avec ce que nous faisons, avec ce que nous disons, ce que nous entendons aussi.
Il faut accepter aussi que Jésus nous change.
C’est beau de dire : "Je m’abandonne, Seigneur, je vais faire ce que tu me dis", mais lorsqu’à l’intérieur de nous il faut accepter de s’humilier pour nous faire grandir : il faut le faire!
Vous savez, quand on se dévoile en public comme ça, c’est parce que Dieu veut qu’on grandisse ensemble, il ne veut pas que je grandisse toute seule, il veut qu’on grandisse tous ensemble comme une grande famille, parce qu’il veut faire de nous une seule famille.
Le soir, il bénit, et dans sa bénédiction, il y en a une pour sa famille : «Je bénis ma famille», et je sais que lorsque Jésus dit ça, c’est tous nous autres, tous les enfants de la terre :
il nous considère comme sa grande famille.
On est une seule famille et pour ça, il faut se découvrir, faut découvrir qui on est vraiment; quand on apprend à se découvrir : on apprend à découvrir nos défauts.
Lorsqu’on accepte de les dire, bien, on voit une lumière en nous autres : alors on avance; puis quand on recommence notre défaut, eh bien : on le réalise plus facilement, et c’est là qu’on commence à se laisser transformer par Jésus.
Il n’y a que Jésus qui peut faire ce mouvement, il n’y a que lui,
et on ne cesse de découvrir à tous les jours.
Regardez aujourd’hui, je ne savais pas ce que j’étais pour dire, oh! non, mais lui, il a toujours de quoi à dire, il a toujours de quoi à nous faire découvrir à tous les jours : c’est inépuisable.
Lorsque j’écris pour Jésus – j’ai arrêté au mois de mai 2002 d’écrire à la main – tout était empilé là, c’était bien empilé; ah, j’ai dit : "Seigneur, il n’y aura pu rien à dire là"; ah, mais non, là je regarde les écrits et pour le Seigneur : un mot veut dire un enseignement, et ça, c’est toujours!
Le Seigneur est inépuisable.
Il m’est arrivé quelque chose; j’avais écouté le Seigneur : écrire – par respect, je ne vous dirai pas à qui – pour une personne, et cette personne n’était pas encore arrivée à son plein développement; alors j’ai dit : "Seigneur, pourquoi m’as-tu fait écrire un message, alors que la personne n’est pas encore arrivée? Tu l’as écrit comme si c’était complet dans son développement."
Alors, j’ai pris ça comme une erreur de ma part à moi dans ma faiblesse, pas Jésus; je sais qu’il ne se trompe pas Jésus, mais moi, oui.
Alors, j’ai dit : "Seigneur, je suis indigne"; Alors j’ai demandé au Seigneur : "J’ai besoin de vacances, Seigneur, parce que cette erreur-là, c’est de ma faute, pas la tienne."
Alors, il a dit : «Va prendre la Bible.» J’ai pris la Bible, il a dit : «Maintenant va à telle page»; il me disait le numéro de la page, il disait aussi le chapitre; alors je regardais, et là il disait : «Écris»; c’était le chapitre avec le verset; là, c’était une phrase ça, seulement qu’une phrase, eh bien, cette phrase-là : c’était un enseignement; il me l’a fait par quatre fois, seulement qu’une simple petite phrase!
Il y en a une que je me rappelle, c’était : "Ta mère est dehors avec tes frères"; cette phrase est devenue un enseignement.
Voyez-vous que Jésus est une source inépuisable?
C’est une Nourriture, c’est la Perfection.
C’est pour ça qu’on doit se laisser transformer par Jésus – et lui sait ce qui est bon pour nous – à sa vitesse, pas à la nôtre; et aussi il faut accepter de se laisser purifier, pas toujours de notre façon à nous autres, ah non, surtout pas ça, Il faut le faire avec humilité, en acceptant de souffrir aussi; mais on grandit, on apprend à découvrir l’amour, l’amour qui est en nous et l’amour du prochain.
Ce qui est important, c’est de savoir que nous sommes une partie de Jésus.
C’est pour ça que Jésus tient à nous : on est amour, on fait partie de lui, il est l’Amour.
Il nous a portés avant notre mère sur la terre.
Je l’ai entendu cette semaine dans un écrit, je l’ai écrit : combien il tenait à nous!
Il a dit qu’il ne cessera de déclarer son amour pour chacun de nous, parce qu’on fait partie de lui, on est son amour; quand on découvre ça : c’est ça le bonheur, ce n’est pas ce qu’on pense.
Moi, je me figurais le bonheur comme quelque chose que l'on était pour m’apporter qui me rendrait heureuse, là était le bonheur : c’est faux, ce n'est pas ça le bonheur!
C’est à l’intérieur de nous : c’est comme une fontaine qui nous fait découvrir tout ce qui nous appartient en nous, qui est vivant en nous et tranquillement ça sort : ça sort et là, on se laisse baigner dans cette découverte-là : c’est ça le bonheur.
C’est la présence de Dieu en nous et ça ne cessera jamais, jamais, ça va être éternel.
C’est un mouvement d’amour.
Un jour, il m’a montré : on descendait du lac St-Jean, j’avais les yeux fermés et là, j’ai vu l’univers et il y avait – je m’imagine – des planètes, elles étaient toutes là, c’était immense! mais ça bougeait : c’était un mouvement, ça ne cessait pas de bouger, mais c’était comme enveloppé dans quelque chose : c’était son amour : c’était un mouvement d’amour.
On fait partie de ça, parce que c’est lui qui fait ça, ce mouvement.
Nous devons apprendre à vivre dans le mouvement même de Dieu à tous les jours.
Je vous aime d’avoir écouté l’amour parler : pas moi, ce n’est pas parce que je ne m’aime pas là, c’est que l’important : c’est à l’intérieur, pas à l’extérieur, et je fais partie de vous et vous faites partie de moi : on est dans ce mouvement d’amour; c’est ce que Dieu voulait que vous sachiez ce soir.
Il a mis ce mouvement en moi, pour moi et pour vous, et j’ai accompli sa Volonté, sa Volonté d’amour; et si, ce soir, vous avez participé avec moi à entendre Jésus nous dévoiler l’amour, c’est que nous faisons tous partie de Jésus, de notre bon Jésus d’amour, comme il m’a dit souvent, mon Jésus d’amour.
par son instrument la Fille du Oui à Jésus
2003-04-04
Jésus : À tous mes enfants de la terre, Dieu proclame sa présence : il parle à chacun de vous, ici, qui êtes en présence de la Voix.
J’ai donné à cette enfant ma bénédiction, elle a été ointe par la Trinité. Nous avons fait d’elle un instrument pour vous parler, pour vous rejoindre dans votre quotidien.
Beaucoup de vous, mes enfants, vivez votre vie sans réaliser l’importance de votre présence auprès de nous, la Sainte Trinité : elle est aussi importante que votre vie en la Vie.
Votre présence en vous vous fait réaliser que vous êtes au présent : que vous vivez.
Vous devez prendre conscience de qui vous êtes.
Dieu a accompli son œuvre : il a fait naître l’amour parmi vous afin que vous soyez tous vivants dans l’amour.
Une vie sans amour est une vie sans essence.
Lorsqu’il n’y a pas de projet d’amour, votre présent n’a pas cette essence qui lui donne le goût de vivre.
Il faut découvrir que vous êtes, vous, des enfants d’amour : l’amour doit faire partie de votre vie.
Parler sans amour est montrer à ceux qui vous écoutent que vous n’avez rien à leur apporter, que vous n’avez rien à donner; chaque enfant attend de vous une raison d’être en votre présence.
Si un enfant se présente à vous en vous donnant un cadeau, vous allez le prendre dans vos mains avec un désir de le développer pour savoir ce que ce cadeau contient; lorsque vous l'ouvrez et que vous constatez qu’il n’y a rien,
vous êtes déçus : vous vous attendiez à quelque chose.
Mes enfants d’amour, lorsque vous vous présentez à quelqu’un, il attend de vous quelque chose; si vous lui présentez un être qui ne parle que de lui, qui fait découvrir à l’autre ses projets, ses désirs à lui, l’autre a beau l’écouter : il ne reçoit rien pour lui; alors votre conversation devient une conversation inutile pour celui qui écoute : vous ne lui avez pas donné de l’amour, vous gardez pour vous ce qui remplirait votre vie; mais vous-mêmes, mes enfants, vous êtes vides, vous ne réalisez pas qu’en vous, vous ne vous êtes pas donné de l’amour, car lorsqu’on ne donne pas : on ne reçoit pas.
Aimez-vous vivre ainsi sans partage, sans donation?
Votre monde est un monde vide qui ne donne pas de lui-même.
Il aurait beau parler des heures, s’il ne vous donne pas de l’amour, vous ne ressentez rien : toutes ces heures à l’écouter vous ont donné de la froideur, de l’indifférence.
Lorsque vous écoutez vos émissions à la télévision, c’est ce qui se produit en vous : un vide.
Vous croyez vous combler par ces images, par ces paroles : alors qu’elles ne vous apportent rien.
Elles sont là ces émissions, devant vos yeux, qui vous font entendre des sons; mais ces sons ne vous donnent pas de l’amour : ils sont vides.
Pouvez-vous vous lever après avoir écouté pendant une heure, deux heures, remplis de joie, remplis d’amour en voulant donner ce que vous avez reçu?
Si vous partagez des paroles, cela n’est qu’extérieur,
vous n’avez rien reçu en vous pour donner de votre présence.
L’amour est un présent : il donne de lui-même pour vous donner de la joie, pour vous apporter de la paix, pour vous démontrer que vous êtes quelqu’un d’important.
L’amour aime démontrer que vous êtes unique, que vous êtes quelqu’un d’agréable.
L’amour fait découvrir la tendresse en vous.
Est-ce que lorsque vous écoutez vos émissions vous ressentez cela? Pouvez-vous réaliser maintenant, mes enfants d’amour, combien d’heures vous avez demeuré devant un vide?
Votre vie n’a pas profité de l’amour, elle n’a pu donner de l’amour, car pour donner il faut recevoir.
Lorsque vous venez à la messe recevoir Jésus dans la Sainte Eucharistie : Jésus se donne à vous, il est en votre présence; il vous fait savoir que vous êtes des enfants d’amour; il est là avec tout son Être pour vous donner la Vie : sa Vie, sa Vie divine, pour nourrir votre vie afin que vous soyez amour.
Mes enfants, dans le premier volume, j’ai parlé d’amour; pour ceux qui ont lu ce livre, ils ont pu constater : combien je suis amoureux de vous, combien je suis amoureux de tous les enfants de la terre.
J’ai fait inscrire le mot "amour" pratiquement à chaque ligne, par amour, afin que vous réalisiez que ce mot doit faire partie de votre vie.
J’ai répété ce mot à plusieurs reprises parce que vous avez oublié : qui vous êtes, qui vous a donné la vie.
Vous avez connu un Dieu qui s’est laissé crucifier sur la Croix, mes enfants, cet acte est un acte d’amour, un acte de donation : tout ce mouvement n’a pu se faire que dans l’amour, que pour l’amour.
Il est inscrit dans le premier volume, vous le trouvez à chaque page : c’est l’amour.
L’Amour s’est donné pour vous avoir à lui, en lui pour l’éternité,
il veut vous faire découvrir votre présence : votre vie.
Vous avez perdu la beauté de votre intérieur : Quand un enfant vient en ce monde, il est amour, il n’a pas commis de péché; il a la beauté de son intérieur, il a l’humilité de sa vie; il n’a pas besoin d’autres pour lui dire qu’il est amour, car il se sait amour; avec le temps, mes enfants, vous avez perdu votre beauté intérieure; votre humilité s’est changée en l’orgueil; vous vous êtes pris pour des enfants qui n’ont pas besoin qu’on leur dise : qu’il est tout petit, qu’il est amour et qu’il se doit d’être amour.
Vous avez avancé dans votre vie en essayant de découvrir votre intérieur, mais en vous l’amour est toujours là : il est présent, il ne peut disparaître, car c’est vous : c’est vous l’amour.
Mais à cause de vos habitudes, à cause de votre monde, vous oubliez l’amour en vous, et vous vous laissez remplir par un vide.
Lorsqu’on vous montre des images qui ne comportent pas l’amour de Dieu, vous ne nourrissez pas votre besoin d’amour de Dieu; vous prenez des mauvaises manies, vous commencez à regarder votre prochain avec vos yeux qui ont fixé ces images sans présence de Dieu; vous devenez le reflet de ce que vous regardez, et vos paroles deviennent des paroles étrangères à vous-mêmes; regardez vos réflexions, vous les répétez parce que vous les avez déjà entendues : ce sont des mots sans amour, des paroles apprises de ce que vous avez entendu, elles ne viennent pas de votre intérieur : de l’amour.
Voyez-vous, votre vie a véhiculé dans un non-sens.
Mes enfants, je parle à travers cet instrument d’amour pour vous, pour vous démontrer que je suis en vous; si je parle à travers de cette enfant : c’est que je suis présent, je suis la Vie et la Vie est en vous, je suis présent en vous, je parle en vous, je suis le Mouvement de la Vie.
Mes bien-aimés, la Voix vous dit : écoutez votre intérieur, venez en vous, je vais vous parler d’amour, je vais vous parler de vous, je vais vous dire qui vous êtes.
Vous, mes bien-aimés, mes choisis, les élus de mon Père, tout va être pour vous que joie, qu’espérance : là est la vie, la vraie vie en Dieu; cela va vous apporter une joie qui ne s’arrêtera pas, car je suis une Source d’eau vive, je suis l’Éternel, je suis une Nourriture vivante.
Mes amours, prenez conscience que très bientôt ceux qui sont en vous devront prendre une décision.
Je sais que présentement plusieurs de vous, qui êtes présents ici, avez pris conscience de votre importance auprès de Dieu.
Vous voyez la lumière, vous avancez dans ces jours de noirceur en ayant fixé votre regard à l’intérieur de vous, là où est la lumière.
Je vous fais avancer vers ma Terre Promise.
Je ne vous parle pas pour vous faire accroire que cela arrivera dans plusieurs années; certains parlent que, moi, je parle de mon temps.
Mes enfants, je n’ai pas de temps : je suis l’Alpha, je suis l’Oméga, je suis la Présence, c’est vous qui vivez avec le temps : soyez dans la foi.
Lorsque j’ai parlé à mes apôtres que le Royaume de mon Père était proche, cela était vérité; ils préparaient leur présence en Dieu, ils cheminaient vers le Royaume de mon Père, et vous, vous êtes les élus de mon Père, ceux qui vont voir en eux le Fils glorifié par Dieu le Père.
Ne cherchez pas à analyser le temps, ne cherchez pas à analyser ces paroles de vie,
vivez en Dieu, vivez au présent.
Ne savez-vous pas que vous êtes en présence de Dieu, en présence de l’Amour, de la Vie éternelle, du Fils de Dieu?
Je vous annonce un temps d’amour à l’instant même où vous acceptez de vivre en vous : en présence de l’Amour.
Vous acceptez déjà ce temps, ce temps d’amour; profitez de ce moment : du présent, à chaque seconde de votre vie; si vous attendez un temps, c’est que vous ne vous mettez pas au présent : vous fixez votre regard vers ce qui va arriver, vous mettez votre pensée vers ce qui va arriver, et votre pensée ne profite pas de votre présence
en moi : à l’instant même où je suis avec vous.
Mes amours, vous voulez connaître le bonheur? Il est en vous, il est en votre présence : il est éternel ce bonheur.
Lorsque vous acceptez de vivre en Dieu en vous, il y a quelque chose de merveilleux qui se passe : vous découvrez votre présence en présence de Dieu, vous commencez à regarder avec mes yeux et vous vous apercevez que Dieu agit autour de vous, vous réalisez que le monde, qui n’est pas en présence de Jésus, n’a pas la chance que, vous, vous avez : de vivre en Dieu, et à chaque instant que vous découvrez ce bonheur qui grandit, et vous découvrez combien votre vie est plus joyeuse, plus calme!
Vous avez beau avoir des douleurs physiques, mais elles commencent à prendre une forme différente, cela vous fait plaisir d’offrir à Jésus vos souffrances, et elles deviennent moins pénibles à chaque jour : vous faites profiter à votre intérieur ce que vous acceptez à l’extérieur, et l’amour grandit et votre bonheur aussi.
Mes enfants d’amour, vais-je donc vous dire d’attendre ma venue en vous
pour commencer d’être heureux?
C’est là à l’instant même où vous vivez que vous devez découvrir votre présence amoureuse avec votre Dieu.
Lorsque vous savez que Dieu est amoureux de vous : vous savez aussi qu’il est amoureux de tous ses enfants, de vos enfants, de vos parents, de vos amis : et là votre confiance en moi se développe; vous savez que je prends soin d’eux : votre joie augmente; vous découvrez encore que votre bonheur se développe : parce que vous êtes en moi et que moi je vous aime; vous savez que je peux tout pour vous et je peux tout pour ceux que vous aimez : alors ceux qui sont en guerre profitent aussi des grâces que je dépose en vous et cela fait chaud à l’intérieur de vous en sachant que je prends soin d’eux; vous avez l’espérance du bonheur sur la terre et cela commence au moment que vous, vous entrez en vous :
voilà le oui à l’Amour.
Tout n’est que simplicité : tel un enfant qui vient au monde, il est amour parce que sa vie est en lui; il n’est pas compliqué, il n’a pas besoin de penser à plus tard, il vit sa vie au présent, le bébé.
Vivez ainsi dans l’amour de votre être.
Je suis en vous, je vous parle pour vous faire réaliser que vous êtes vivants, que vous devez accepter votre vie en vous, et je vous fais réaliser que si vous continuez à accepter que les autres vous présentent leur vide, vous ne pourrez goûter au bonheur en vous; ce n’est pas ces émissions qui va vous donner du bonheur, c’est ce qu’il y a en vous : votre présence en ma Présence.
Si cela vous semble compliqué, c’est que vous venez juste à peine de le découvrir; ceux dont ça leur semble moins compliqué, c’est qu’ils ont découvert leur présence en moi : ils savourent déjà un bonheur, leur bonheur.
Mes enfants d’amour, je suis le Bonheur, je vous aime et le mot amour est pour vous.
Il s’est inscrit dans ces lignes pour vous montrer que vous êtes présents.
À chaque fois que vous verrez ce mot amour, pensez que c’est vous en moi, moi en vous; il ne sera pas pour vous une répétition, il sera pour vous une découverte :
votre présence en Dieu.
Tout a été calculé : mes enfants, Dieu sait ce qu’il fait, Dieu sait ce qui est bon pour vous.
Laissez-vous couler, laissez-vous prendre, laissez-vous envelopper, car Dieu est l’Amour : il est trois fois Saint.
Je vous aime, mes amours, demeurez en moi, je vous veux pour l’éternité dans ce bonheur qui est déjà commencé pour vous.
N’oubliez pas, mes enfants, le bonheur se partage, se donne, il est gratuit : il est vous.
Soyez ce que vous êtes : amour.
Je vous aime mes enfants, je vous aime!
Par mon pouvoir : recevez de l'amour par mes grâces, je les fais descendre sur vous par ces bénédictions.
Mes fils d’amour ont ce pouvoir par leur sacerdoce.
Puisez ces grâces auprès de mes fils.
Père André Nault : Que Dieu tout-puissant vous bénisse, la sainte Vierge vous bénisse, que les saints archanges, les saints anges veillent sur vous et vous protègent. Moi, je vous bénis ainsi que tous les vôtres : au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Tous : Amen.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu m’a demandé de faire un témoignage. J’ai dit : "Seigneur, qu’est-ce que je vais dire?" Alors, ce matin il m’a dit : «Tu n’as pas à savoir, même ça! Les mots viendront en toi, ils couleront en toi parce que si tu cherches à former des paroles à l’avance, cela ne sortira pas de ton cœur, mais de ta tête : alors, ils n’auront rien compris.»
Lorsqu’on parle en public, cela doit se faire qu’en Dieu; si on parle entre nous pour remplir une conversation, on ne donne rien : ça devient une conversation bien banale.
Dieu me l’a fait comprendre depuis deux ans.
Monique et moi, nous travaillons souvent ensemble et lorsqu’on avait des conversations à l’heure des repas, parce que durant la journée on n’a pas besoin de parler, c’est le Seigneur qui parle toujours, alors il remplit la journée; même si ça dure pas longtemps, une heure peut-être, c'est beaucoup une heure!
Mais ça arrivait qu’on prenait une heure, eh bien, quand on commençait à parler, si la conversation ne plaisait pas au Seigneur, il disait qu’on parlait dans le vide, que c’était mieux de se taire : alors quelquefois les larmes nous coulaient, parce qu'on avait honte d’avoir parlé inutilement.
Oh! on parlait pas contre vous, ah! non, mais on parlait de choses bien banales, et c’est ça : des choses bien banales, et le Seigneur nous faisait comprendre l’inutilité de cette conversation, parce qu’il disait qu’on n’aidait pas les enfants qui étaient en nous.
Il nous a appris ça tranquillement, à tous les jours, parce que Monique, elle a vécu quasiment quatre mois à la maison; alors, j’avais des conversations à l’heure des repas avec elle, mais, tranquillement, il nous apprenait avec des paroles d’amour, avec beaucoup de douceur, comment nous comporter et ça fait deux ans qu’on a commencé et on apprend encore.
Une fois : "Ah! Seigneur, il veut que je conte ça! Ah! mon Dieu!"
On était en train de parler, Monique et moi, d’une journée qu’on avait passée : une rencontre; oui, on avait parlé de la rencontre, mais on disait ce qu’il fallait éviter pour pas que vous trouviez ça long parce que, vous savez, quand les gens viennent entendre, il faut tout calculer le temps; mais on sait que le Seigneur, il prend tant de temps pour ça; mais il y a des minutes entre ça : un dix minutes, un cinq minutes; comment faire pour pas que vous perdiez votre temps?
Alors, nous, on parlait, puis là, on avait dit :"Seigneur, tu ne veux pas que je dise ça, hein? Seigneur!"
Comme ça : le temps d’un sermon est essentiel, nous devons l'écouter, mais notre faiblesse humaine avait calculé que c’était un peu long.
C’est très dur, vous savez, ce que je viens de dire; quand on parle de quelque chose qu’on ne veut pas et qu'il nous le demande : on se demande comment on doit le faire.
On avait dit que le sermon avait été un petit peu trop long; ce n’est pas drôle parce qu’on a bien pleuré après, hein?
Parce que j’ai la Sainte Face dans ma chapelle – bien, je dis ma chapelle, parce que c’est un lieu que j’ai réservé comme ici, dans la chambre de mon mari – puis là, on a dit : "Seigneur, tu veux faire la prière?" Alors, c’est moi qui prie, mais j’entends les paroles; alors j'ai prié, mais c’était ma conscience; alors elle a commencé à prier, puis elle disait ce qui était bien, ce qui n'était pas bien : les choses à éviter; alors elle nous disait qu’elle était là pour nous guider : la conscience, que quelquefois on ne l’écoute pas durant la journée, mais elle est vraiment là : on doit l’écouter.
Alors, après cette conversation, on se sentait bien à l’abri, on était loin de se douter; elle m’a dit : "J’ai entendu votre conversation", puis elle a dit que nous avions mal agi; elle m’a demandé d’aller à la confesse, alors j’ai réalisé combien c’est important ce qu’on dit, parce que notre conscience est en présence de nous, c’est elle qui nous guide; alors, quand on parle mal, qu’on dit quelque chose – oh! bien innocemment, parce que c’était loin d’être méchant notre affaire, mais même ça –
on doit mesurer nos paroles, surtout quand c’est pour notre prochain.
Voyez-vous, le Père Naud, tantôt, nous a parlé de péché; alors celui là, je ne crois pas qu’il était un péché mortel, mais "c’était un péché véniel, hein, Père Nault? Était-il véniel, mon péché? Oui, hein?" Ok.
Alors, le fait que ma conscience, elle m’a dit que j’avais mal agi, là je découvrais que j’étais en état de péché; alors je devais le confesser ce péché, mais j’ai eu une grande peine, j’ai pleuré beaucoup, vous savez!
J’ai eu tellement honte! Ah! Beaucoup!
Mais je ne sais pas lequel des deux qui a été le plus difficile : me présenter devant mon confesseur, ça, ça été dur aussi, parce qu’en même temps je découvrais qu’il fallait que je m’humilie, il fallait que je m’oublie, j’aurais pu aller à un autre, hein?
Mais, quelquefois, le bon Dieu, il nous demande de nous dépasser, et quand on accepte de se dépasser : on grandit dans notre abandon, on s’abandonne de plus en plus : ce sont des épreuves;
c’est parce qu’il nous aime, c’est parce qu’il veut qu’on se sente heureux en nous.
Ça ne se fera pas sans difficulté : ça va être une prise de conscience à tous les jours avec ce que nous faisons, avec ce que nous disons, ce que nous entendons aussi.
Il faut accepter aussi que Jésus nous change.
C’est beau de dire : "Je m’abandonne, Seigneur, je vais faire ce que tu me dis", mais lorsqu’à l’intérieur de nous il faut accepter de s’humilier pour nous faire grandir : il faut le faire!
Vous savez, quand on se dévoile en public comme ça, c’est parce que Dieu veut qu’on grandisse ensemble, il ne veut pas que je grandisse toute seule, il veut qu’on grandisse tous ensemble comme une grande famille, parce qu’il veut faire de nous une seule famille.
Le soir, il bénit, et dans sa bénédiction, il y en a une pour sa famille : «Je bénis ma famille», et je sais que lorsque Jésus dit ça, c’est tous nous autres, tous les enfants de la terre :
il nous considère comme sa grande famille.
On est une seule famille et pour ça, il faut se découvrir, faut découvrir qui on est vraiment; quand on apprend à se découvrir : on apprend à découvrir nos défauts.
Lorsqu’on accepte de les dire, bien, on voit une lumière en nous autres : alors on avance; puis quand on recommence notre défaut, eh bien : on le réalise plus facilement, et c’est là qu’on commence à se laisser transformer par Jésus.
Il n’y a que Jésus qui peut faire ce mouvement, il n’y a que lui,
et on ne cesse de découvrir à tous les jours.
Regardez aujourd’hui, je ne savais pas ce que j’étais pour dire, oh! non, mais lui, il a toujours de quoi à dire, il a toujours de quoi à nous faire découvrir à tous les jours : c’est inépuisable.
Lorsque j’écris pour Jésus – j’ai arrêté au mois de mai 2002 d’écrire à la main – tout était empilé là, c’était bien empilé; ah, j’ai dit : "Seigneur, il n’y aura pu rien à dire là"; ah, mais non, là je regarde les écrits et pour le Seigneur : un mot veut dire un enseignement, et ça, c’est toujours!
Le Seigneur est inépuisable.
Il m’est arrivé quelque chose; j’avais écouté le Seigneur : écrire – par respect, je ne vous dirai pas à qui – pour une personne, et cette personne n’était pas encore arrivée à son plein développement; alors j’ai dit : "Seigneur, pourquoi m’as-tu fait écrire un message, alors que la personne n’est pas encore arrivée? Tu l’as écrit comme si c’était complet dans son développement."
Alors, j’ai pris ça comme une erreur de ma part à moi dans ma faiblesse, pas Jésus; je sais qu’il ne se trompe pas Jésus, mais moi, oui.
Alors, j’ai dit : "Seigneur, je suis indigne"; Alors j’ai demandé au Seigneur : "J’ai besoin de vacances, Seigneur, parce que cette erreur-là, c’est de ma faute, pas la tienne."
Alors, il a dit : «Va prendre la Bible.» J’ai pris la Bible, il a dit : «Maintenant va à telle page»; il me disait le numéro de la page, il disait aussi le chapitre; alors je regardais, et là il disait : «Écris»; c’était le chapitre avec le verset; là, c’était une phrase ça, seulement qu’une phrase, eh bien, cette phrase-là : c’était un enseignement; il me l’a fait par quatre fois, seulement qu’une simple petite phrase!
Il y en a une que je me rappelle, c’était : "Ta mère est dehors avec tes frères"; cette phrase est devenue un enseignement.
Voyez-vous que Jésus est une source inépuisable?
C’est une Nourriture, c’est la Perfection.
C’est pour ça qu’on doit se laisser transformer par Jésus – et lui sait ce qui est bon pour nous – à sa vitesse, pas à la nôtre; et aussi il faut accepter de se laisser purifier, pas toujours de notre façon à nous autres, ah non, surtout pas ça, Il faut le faire avec humilité, en acceptant de souffrir aussi; mais on grandit, on apprend à découvrir l’amour, l’amour qui est en nous et l’amour du prochain.
Ce qui est important, c’est de savoir que nous sommes une partie de Jésus.
C’est pour ça que Jésus tient à nous : on est amour, on fait partie de lui, il est l’Amour.
Il nous a portés avant notre mère sur la terre.
Je l’ai entendu cette semaine dans un écrit, je l’ai écrit : combien il tenait à nous!
Il a dit qu’il ne cessera de déclarer son amour pour chacun de nous, parce qu’on fait partie de lui, on est son amour; quand on découvre ça : c’est ça le bonheur, ce n’est pas ce qu’on pense.
Moi, je me figurais le bonheur comme quelque chose que l'on était pour m’apporter qui me rendrait heureuse, là était le bonheur : c’est faux, ce n'est pas ça le bonheur!
C’est à l’intérieur de nous : c’est comme une fontaine qui nous fait découvrir tout ce qui nous appartient en nous, qui est vivant en nous et tranquillement ça sort : ça sort et là, on se laisse baigner dans cette découverte-là : c’est ça le bonheur.
C’est la présence de Dieu en nous et ça ne cessera jamais, jamais, ça va être éternel.
C’est un mouvement d’amour.
Un jour, il m’a montré : on descendait du lac St-Jean, j’avais les yeux fermés et là, j’ai vu l’univers et il y avait – je m’imagine – des planètes, elles étaient toutes là, c’était immense! mais ça bougeait : c’était un mouvement, ça ne cessait pas de bouger, mais c’était comme enveloppé dans quelque chose : c’était son amour : c’était un mouvement d’amour.
On fait partie de ça, parce que c’est lui qui fait ça, ce mouvement.
Nous devons apprendre à vivre dans le mouvement même de Dieu à tous les jours.
Je vous aime d’avoir écouté l’amour parler : pas moi, ce n’est pas parce que je ne m’aime pas là, c’est que l’important : c’est à l’intérieur, pas à l’extérieur, et je fais partie de vous et vous faites partie de moi : on est dans ce mouvement d’amour; c’est ce que Dieu voulait que vous sachiez ce soir.
Il a mis ce mouvement en moi, pour moi et pour vous, et j’ai accompli sa Volonté, sa Volonté d’amour; et si, ce soir, vous avez participé avec moi à entendre Jésus nous dévoiler l’amour, c’est que nous faisons tous partie de Jésus, de notre bon Jésus d’amour, comme il m’a dit souvent, mon Jésus d’amour.
Her- Messages : 9481
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Re: Messages Prophétiques donnés à la Fille du Oui
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Otterburn Park, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-04-11
Jésus : Tout est dans la Volonté de Dieu, tout doit s’accomplir dans l’amour de Dieu.
En la présence du Saint-Esprit, cette enfant parle en Dieu.
C’est nous, la Divine Volonté, qui l’avons choisie pour ce temps : ce temps d’amour, ce temps de grâces.
Tout ne doit être que pour Dieu.
Vous, mes enfants, vous êtes l’œuvre de Dieu; Dieu accomplit son œuvre en vous lorsque vous lui donnez votre vie; la vie en Dieu, c’est découvrir votre présence en la Vie.
Ce monde dans lequel vous vivez est bien loin de se reconnaître tel qu’il est : il doit vivre pour se reconnaître vivant; s’il ne vit que de sa volonté humaine : il ne peut percevoir que ce qu’il est à l’extérieur, non ce qui est en lui.
La vie est en chacun de vous, la vie en Dieu est vivante.
Lorsque vous vivez votre vie en ne vous reconnaissant que comme des enfants de ce monde : vous vous proclamez être des enfants non vivants.
Seul Dieu est la Vie, la vie est en chacun de vous; la vie : ça bouge, ça aime, ça partage, ça donne, ça s’offre,
la vie, pour Dieu, en Dieu, avec Dieu : là est le mouvement de la vie.
Lorsque vous percevez un enfant et que cet enfant vous regarde, si vos yeux rencontrent la vie : vous verrez en cet enfant sa tendresse, sa douceur; vous découvrirez en cet enfant la présence de sa vie.
Lorsque vos yeux regardent un enfant et qui se dit être maître de lui-même, vos yeux ne rencontrent que des yeux fermés à la vie : il n’est que parole, que mouvement extérieur de lui-même, il ne peut donner ce qu’il a en lui puisqu’il a fermé sa porte, il ne peut donc découvrir la vraie valeur de sa vie en Dieu.
Dieu est le Créateur; il a créé tout ce qui est vivant : tout ce qui est amour vient de Dieu.
Regardez, lorsque vous regardez un homme construire une maison, vous voyez là des actions produites par lui, mais ce sont des actions nourries par la Vie intérieure qu’il a en lui : il ne peut par lui-même produire des œuvres.
Dieu a donné l’intelligence : l’intelligence vient de Dieu, vient de l’Amour.
Je suis l’Amour, je nourris chacun de vous.
L’intelligence humaine est précaire!
Si un enfant se dit être intelligent alors qu’il refuse de se reconnaître en Dieu : il puise en lui ce que Dieu lui a donné pour pouvoir produire à l’extérieur des mouvements, mais ces mouvements ne sont regardés que par lui :
ils ne produisent pas des mouvements d’amour, il se donne, à lui-même, sa propre récompense.
Mais lorsqu’une femme produit des plats à la maison et qu’elle donne à Dieu tout ce qu’elle a fait : cette femme se reconnaît bien petite, elle sait offrir à Dieu son travail, car elle sait que Dieu a mis en elle les connaissances afin qu’elle puisse donner à ceux qu’elle aime ce qu’elle a produit : elle vit en elle, elle sort d’elle l’amour que Dieu a déposé.
Lorsque, autour d’elle, ses enfants goûtent à ce repas fait d’amour, elle n’a pas besoin de récompense, à l’extérieur, la félicitant pour le repas, car elle sait que Dieu l’aime, que Dieu la comble; elle regarde ses enfants avec les yeux de Dieu : elle sort d’elle la Vie.
Comment ne pas donner à cette femme ce qu’elle donne : c’est pour cette raison que les enfants donnent à la mère des compliments sur ce qu’ils viennent de manger.
Mes enfants d’amour, les hommes produisent des œuvres; il faut qu’ils se reconnaissent en Dieu, il faut qu’ils donnent à Dieu tout ce qu’ils ont produit, car tout vient de Dieu : chaque œuvre sur la terre a été faite de l’intelligence de Dieu.
Tout comme la femme, elle doit se reconnaître en Dieu, elle doit donner à Dieu ce qu’elle a produit.
L’homme et la femme sont des créatures de l’Amour.
J’ai créé Adam et Ève, j’ai créé chacun de vous.
Lorsque l’homme s’unit à la femme, il se produit un mouvement d’amour : une union d’amour; ils ne font qu’un : c’est un mouvement d’amour et l’amour produit son fruit.
Vous êtes, mes enfants, ces fruits.
Vous êtes les fruits de Dieu; alors, lorsque vous faites des actions : vous reproduisez l’œuvre de Dieu.
Tout est de moi, le Créateur : je suis en mon Père, je suis en le Saint-Esprit.
Jésus Amour est le Tout : vous, vous êtes en moi.
Lorsque vous venez vous nourrir de mon Corps et de mon Sang, je vous nourris de mon amour, de l’amour du Père, de l’amour du Saint-Esprit :
vous faites un tout dans mon Tout, vous complétez l’œuvre de Dieu.
Dieu a donné à chacun de vous son souffle d’amour, et lorsque vous acceptez de vivre en Dieu, vous acceptez de vous donner dans le mouvement de l’œuvre de Dieu : alors, toute œuvre faite de l’homme et de la femme est une continuité de l’œuvre de Dieu.
Regardez autour de vous, vous ne verrez que la puissance de Dieu :
tout ce qui a été fait de l’homme et de la femme vient de l’amour de Dieu.
Je suis le Verbe, j’accomplis la Volonté de mon Père.
Lorsque vous acceptez de m’offrir toutes vos actions, vous acceptez que je vous couvre de ma Présence; alors, vos actions deviennent mes actions : j’offre à Dieu le Père vos actions qui sont mon agir.
Dieu mon Père m’a tout donné, il a mis en moi ses complaisances, et vous qui acceptez de mourir en moi, de vivre en moi : vous profitez de tout ce que mon Père m’a donné.
Vous êtes vous aussi dans le mouvement de l’amour du Père parce que vous êtes en moi.
Tout doit être accompli pour l’amour de mon Père, il vous a donné sa Vie : son souffle de vie est en chacun de vous.
Je me suis donné à la mort pour vous purifier, pour purifier toutes vos actions afin que vous soyez exempts d’impuretés.
En apportant à la mort vos gestes impurs, j’ai donné à mon Père des actions d’amour.
Seul le Fils pouvait redonner au Père tout ce qui est à lui.
Voyez-vous, mes enfants d’amour, lorsque vous faites des actions contre l’Amour, moi, le Fils bien-aimé du Père, je prends vos actions en moi, et, par mon sacrifice sur la Croix, je purifie vos actions : mon Sang Précieux coule sur vous, tout ce que vous faites, toutes vos paroles, tout ce que vous pensez, tout ce que vous voyez, si cela comporte des impuretés, moi, je prends tout, car j’ai tout pris.
J’ai vécu votre vie, je suis omnipotent : tout est mouvement en moi.
Voyez-vous pourquoi il faut que vous veniez mourir en moi? Il faut vivre votre vie en le Christ : mourir en le Christ pour que vos actions soient purifiées.
En acceptant, mes enfants, de vous donner à moi, moi je vous montre le chemin à suivre.
Je suis la Lumière, je vous guide vers votre repentir.
J’ai institué des sacrements : j’ai fait en sorte de vous démontrer l’amour de mon Père.
En instituant les sacrements, j’accomplissais la Volonté de mon Père,
moi, le Verbe, moi, l’amour de Dieu le Père.
Toute action que j’ai faite sur la terre vous démontre l’amour de Dieu, l’amour de mon Père pour vous.
À vous de venir puiser dans mes mouvements d’amour : votre purification.
Ce sont des gestes d’amour, des gestes faits par Dieu le Fils pour vous dire : Enfant d’amour, je t’aime, donne-moi ta vie, donne-moi tes actions, donne-moi tes pensées, donne-moi ton regard, donne-moi tout de toi.
Je ne veux pas que tu sois esclave, je respecte qui tu es; je veux te donner ce que mon Père m’a donné, je veux que tu sois dans la lumière afin que tu trouves le chemin vers la vie éternelle.
Elle est en toi cette vie, elle t’appartient, car Dieu t’a donné son souffle de Vie.
C’est à toi de choisir si tu veux profiter de ma Présence en toi; moi, je te veux avec ce que tu es : c’est moi qui vais purifier tes actions.
Lorsque tu feras des travaux comme la construction, si tu les fais en moi, tu donneras à mon Père chacune de tes actions; elles seront prières pour toi, elles seront des grâces, elles te feront découvrir : combien tu es précieux, combien Dieu est bon pour toi; tu verras qu’il y aura en toi de l’amour qui te montrera à faire attention à toi, à découvrir que tout ce que tu fais doit être fait pour l’Amour.
Tu sais, tu es amour, tu appartiens à mon Père!
J’ai pris tes actions et je les ai purifiées.
Je t’ai donné la lumière et c’est à toi de savoir si tu veux faire tes actions dans la lumière, car tu sais, mon bien-aimé, que lorsque tu fais des actions par toi-même en n’étant pas dans la lumière : tu te fais du mal, alors ta vie est en souffrance : tu exiges trop de toi, tu n’écoutes pas ton corps quand il est fatigué, tu développes avec les années des maladies, de l’impatience, de la fatigue; alors, tu te fais du mal, et tu fais aussi du mal à ceux que tu aimes, et à ceux que tu ne connais pas et qui sont autour de toi, et aussi à ceux que tu portes en toi, car tu ne peux voir combien tu es précieux, car ta volonté humaine n’est qu’extérieure de toi.
Donne-moi ta vie, je la veux en moi pour t’apporter un bonheur éternel.
Et toi, ma petite bien-aimée d’amour, toi qui as accepté de vivre ta vie en Dieu, tu découvres que Dieu peut t’apporter l’amour : l’amour qui vient du Père, l’amour qui vient de lui : il est Père, il est Mère.
Il y a en toi un mouvement : un mouvement de création, et seul Dieu peut nourrir ce mouvement.
Laisse-toi prendre par Dieu, je veux t’apporter le bonheur; il n’est pas bon pour toi, ma bien-aimée, de te reconnaître qu’en toi-même, car tu ne peux nourrir, des grâces de mon Père, l’enfant : l’enfant que tu vas porter, que tu as porté et que tu porteras : tout est mouvement d’amour.
N’aie pas peur, Dieu est la douceur, il est la tendresse; toutes tes actions seront bénies de Dieu.
Tu es mouvement d’amour : laisse-toi prendre par l’Amour.
Chaque enfant ici est un mouvement d’amour, chaque enfant est l’œuvre de Dieu, chaque action que vous faites produit en vous des grâces : elles vous sont données pour vous et pour ceux que vous portez.
Mes amours, toutes ces paroles qui ont été prononcées ont été en vous, et c’est pour vous et pour ceux que vous portez à l’intérieur de vous.
Les enfants de ce monde se meurent, se meurent d’amour, ils ne voient pas ma Présence en eux.
Vous qui acceptez de venir entendre Dieu, Dieu parle pour vous, il parle aussi pour ceux qui sont en vous : il veut nourrir tous ses enfants.
Ces paroles, mes enfants, ont été pour vous dans votre tout :
vous êtes un mouvement d’amour, vous êtes en le tout de Dieu.
Voyez-vous la vie en vous? Vous êtes un mouvement d’amour dans le mouvement d’amour de Dieu.
Il ne peut y avoir d’arrêt dans l’amour : l’amour est éternel, il est, l’amour est votre vie dans ma Vie.
Laissez-vous prendre par ce mouvement, et lorsque vous ferez vos actions,
dites-vous que vos actions produisent des grâces pour tous ceux que vous portez en vous.
Voyez-vous, mes enfants, que lorsque vous faites de bonnes actions, vous qui portez en vous tous ceux qui font des actions, vous êtes en relation avec des mouvements, et cela ne s’arrête pas.
Depuis Adam et Ève, la vie est; depuis ma venue sur la terre, la Vie vous parle; elle vous dit que vous êtes en présence de Dieu : vous êtes un tout.
Vous ne pouvez vous arrêter que si, au moment de votre jugement, il y a un non :
là seulement il y a un arrêt de vie.
Mes amours, je parle au présent parce qu’il y a en vous des enfants d’amour qui ont prononcé leur oui : ils sont en votre présence, et ceux qui ont été depuis Adam et qui ont refusé l’Amour, ces enfants ne sont plus en vous : ils ont refusé la Vie.
Vous êtes dans le mouvement de la Divine Volonté.
Vous portez en vous tous les enfants du monde : depuis la création, et vous portez les enfants qui viendront après ma venue "de vue en vous".
Mes enfants d’amour, Dieu a envoyé son Fils sur la terre pour vous faire connaître son amour, pour vous faire connaître son mouvement de vie.
Je viens bientôt vous montrer la lumière en vous, vous montrer l’amour de Dieu le Père.
Vous serez tous en présence de la Lumière.
Vous verrez vos œuvres, tout ce que vous avez accompli, vous verrez vos mouvements d’amour; et lorsque, ceux qui auront prononcé leur oui, ces enfants de la Lumière se reconnaîtront dans le mouvement de l’Amour : ils se reconnaîtront; ils regarderont les yeux de leurs frères et de leurs sœurs et ils découvriront la présence de Dieu : ils seront dans ce mouvement d’amour, mais ceux qui auront refusé, en prononçant un non, en eux l’Amour se retirera, et vous, enfants de la Lumière, lorsque vous les regarderez,
vous saurez que Dieu n’a pu laisser son amour en eux.
Mes enfants d’amour, vous êtes dans le mouvement; vous devez vous donner pour tous ceux que vous portez en vous.
Toutes les actions, qui sont données à Dieu, sont des actions qui aident ceux que vous portez à prononcer leur oui à l’Amour.
Il faut se donner en Dieu.
Vous avez commencé votre propre purification, vous êtes dans le mouvement de l’Amour.
Il vient ce moment où chaque enfant verra en lui tout ce qu’il a accompli, et c’est par le mouvement de l’Amour qu’il se jugera.
Dieu mettra en lui son amour afin qu’il puisse juger : si ce qu’il a produit porte des fruits.
Dieu est miséricordieux, il sait reconnaître ses enfants.
Celui qui, en ce moment même, fait des actions sans les donner à Dieu, alors qu’il y a en lui de la douceur, de la bonté : c’est Dieu lui-même qui le nourrit, car il connaît son oui et, par vous, mes enfants de la Lumière, par vos oui, il a reçu des grâces qui l’aideront à prononcer son oui, car il devra accepter sa purification tout comme vous, aujourd’hui, vous acceptez de vous laisser purifier par Dieu.
Vous voyez la lumière, vous acceptez de vivre parmi vos frères et vos sœurs qui n’ont pas le regard de Dieu mais, vous, vous avez le regard de Dieu, vous les regardez au plus profond d’eux-mêmes.
Dieu est si amour, il connaît tous les enfants qui vont prononcer leur oui.
Alors, mes enfants d’amour, je vous demande, vous, les enfants de la Lumière : ne jugez pas mes enfants, ne jugez pas vos propres enfants!
Leurs actions, qu’ils ne donnent pas à Dieu, sont leur dû; vous, ne les jugez pas, car vous ne savez pas ce que moi je produis en eux, par vous : gardez l’amour, gardez la paix, gardez la joie, ne vous troublez pas, donnez-les-moi, offrez-moi leur vie; au moment de l’offertoire, offrez vos enfants, offrez leurs actions, portez tout sur l’autel : l’autel est mon Autel!
Je suis l’Agneau béni qui laissa couler son Sang pour purifier toute action.
Alors, mes enfants, donnez-moi vos actions, donnez-moi les actions de ceux que vous aimez, et, dans la Divine Volonté : je vous montrerai comment donner les actions de vos frères et de vos sœurs que vous portez en vous depuis le commencement d’Adam, car beaucoup d’enfants souffrent au purgatoire : ils ont accepté leur purification.
Voyez-vous, vous serez récompensés : toutes vos actions porteront des fruits et je vous montrerai ces fruits.
Soyez amour! Je parle pour certains des vôtres, je parle pour tous ceux que vous portez en vous.
Soyez la lumière du monde, ma lumière en moi.
Ce temps de noirceur va s’estomper, car vous, les enfants de la Lumière, vous brillerez; et lorsque la lumière de Dieu brille : tout est lumineux, tout resplendit de pureté : je chasserai les ténèbres de cette terre; il n’y aura que beauté autour de vous; plus jamais vous connaîtrez la pénombre; plus jamais vous connaîtrez la noirceur; plus jamais vous connaîtrez de froideur : car la Lumière est lumière, est lumineuse, est chaleur.
Dieu est l’Amour! Vous, vous êtes l’amour, vous êtes des enfants de Dieu.
Voyez vos mouvements, ils se développent en Dieu : vous vous laissez transformer par Dieu.
Oh! mes enfants, si vous pouviez voir ce qui se passe en mes enfants lorsque, vous, vous prononcez votre oui, lorsque vous consentez à me donner vos actions!
Comme sera grande votre récompense!
Dieu est amour, Dieu est infini : votre éternité ne sera que joie, que bonheur!
Il n’y aura qu’harmonie d’amour, dans l’amour, par l’Amour.
Je vous ferai connaître la Volonté de mon Père qui est de vous avoir en lui pour l’éternité.
Vous êtes les bénis de mon Père, les choisis de mon Père pour ce temps d’amour : un temps de grâces.
Laissez-vous transformer, car viendra le moment où je vous enverrai mes enfants qui auront une soif de connaître la Vie en eux, car ils auront vu l’Amour : ils vont être assoiffés d’amour.
Laissez-vous transformer, c’est moi le mouvement de l’Amour.
Venez mourir en moi, je suis la Vie, je suis la Lumière, je guide vos pas : je suis le Chemin.
Mes amours, je vais vous conduire dans ma Terre Nouvelle : elle sera belle, lumineuse, elle resplendira par elle-même.
Je vous aime, mes amours; donnez, donnez votre vie à Dieu : elle lui appartient.
Par l’Amour, Dieu comble ses enfants, il a donné à vous des fils qui se sont donnés par amour et,
par eux, recevez mes élans d’amour.
Amen.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu veut que je témoigne de son agir dans ma vie parce que lorsqu’on témoigne de notre quotidien, c’est témoigner de ce que Dieu fait en nous.
Les actions qu’on pose à tous les jours, ce sont des actions de Dieu.
Avant que j’en prenne conscience, je faisais des actions, mais je ne prenais pas conscience de la présence de Dieu.
J’ai vécu ma vie comme chacun de vous : on l’a fait, avec ce que nos parents nous ont donné, à chaque jour.
J’ai fait de mon mieux dans ma vie, et j’ai fait aussi des choses que je n’aurais pas dû faire.
On a beaucoup de colère, on essaie de ne pas trop y penser, mais quand on est en Dieu : là, eh bien, tout nous est révélé!
Avant, je savais que ce que j'avais fait était mal, disons : la journée avant, peut-être une semaine, je n’allais pas chercher trop en arrière, c’était trop lourd pour mes épaules,
mais avec Dieu, c’est différent; il nous fait revivre nos actions.
Aujourd’hui, je réalise que lorsqu’il me parle, il me parle beaucoup plus de mes bonnes actions que de mes mauvaises actions : c’est vraiment différent! Ce n'est pas comme ça que je penserais, si cela était de moi-même.
Aujourd’hui, il me parle de bonnes actions, de ce que j’ai fait.
J’ai pensé cette semaine : "Qu’est-ce que je vais dire à la confesse?" parce qu’il me fait aller à la confesse, vous savez, souvent! Si je me présente quatre à cinq fois par semaine, comme au Lac Saint-Jean, c’était à tous les jours; alors que je finissais à minuit le soir, j’étais en prière jusqu’à une heure, et oups! à sept heures, j’étais réveillée : il me faisait aller à la confesse, alors que je me présentais vers une heure; alors, cette semaine, je pensais : "Qu’est-ce que je vais dire?" mais, vous savez, dans ma tête...alors, je me suis mise à penser au passé, mais il m’a expliqué que lorsqu’on fait des mauvaises actions et qu’on va à la confesse, c’est effacé pour lui, mais il a dit : «C'est toi qui ne te pardonnes pas, apprends à te pardonner parce que moi je t’ai pardonné, alors n'empêche pas mes grâces de te nourrir.»
C’est de l’abandon, encore, ce sont des actions d’amour;
il nous apprend plutôt à découvrir qui on est vraiment, mais c’est du bon côté!
Lorsque je fais mes mauvaises actions, il passe par ma conscience : j'étais devant la Sainte Face et je priais, mais j’ai pris l’habitude de dire : – j’entends toujours Jésus, c’est constant chez moi depuis deux ans, c’est rendu ma vie – "Seigneur, prie, toi"; alors, j’entends la prière en Jésus, mais c’était mon âme! Mon âme a commencé à parler de mes actions, jusqu’au moment où elle m’a dit : "Tu as fait telle chose"; ça faisait une heure de ça que j’avais parlé et dit quelque chose qui n’était pas bon; moi, je n’ai pas pensé que c’était quelque chose de terrible, mais mon âme, elle, me veut tellement pure qu’elle m’a tranquillement…parce qu’elle est nourrie du bon Dieu, elle m’a dit, en douceur que ce que j’ai fait, ce n’était pas correct envers moi-même et envers ceux que j’aime à l’intérieur de moi; alors j’acceptais tout ce qu’elle me disait, dans la prière, jusqu’au moment où elle m’a dit : "Maintenant, va à la confesse".
Alors, c’est vraiment une façon de nous purifier.
Jésus nous fait comprendre nos actions, mais dans la douceur.
Si on fait mal, il va prendre les moyens pour nous faire découvrir les mauvaises actions qu’on a faites, et c’est là qu’il faut être à l’écoute.
Pas un instant dans notre vie que Dieu nous a laissés dans notre péché sans venir nous secourir, pas un instant : que ce soit par un événement, par une personne, peut-être par une pensée, par notre conscience qui nous l’a révélée, par notre ange gardien.
Pas un instant Dieu ne nous nourrit pas, mais il faut s’arrêter pour le reconnaître.
Comment on peut s’arrêter pour le reconnaître, si on n’est pas capable de réaliser qu’on a fait quelque chose? Alors, il dit : «C’est là que tu prends un repos et que je profite de ce moment-là»; alors, je dis à Jésus : "Oui, mais quand je suis bien occupée, Jésus, qu’est-ce que tu fais?" Il dit que, dans les travaux qu’on fait, quelquefois il y a des petits arrêts que nous-mêmes on provoque.
Je vais vous donner un exemple : je travaillais – parce que je vois toutes ces choses-là à l’intérieur, en ce moment –je travaillais à la construction; je faisais de la rénovation, et lorsque j’étais en démolition, des fois, avec mon marteau j’étais pas très habile, j’ai déjà frappé mon pouce, et là j’avais eu l’exemple des autres : je ne dirais pas ce qu'ils disaient, ils étaient très en colère, vraiment en colère, ça me blessait ces choses-là; alors, quand je me faisais frapper le doigt par moi-même, alors pour ne pas dire comme eux, je ne disais pas un mot; à la longue, j’ai commencé à dire : "je te l’offre"; pourtant, il n’avait pas commencé à me parler! Savez-vous, c'est comme ça qu'il fait!
C’est des moments comme ça que Dieu va se servir pour nous faire avancer.
Comme dans la cuisine, combien de fois on s’est cogné le genou, un coude, n’importe quoi!
Vous allez voir, si on s’arrêtait un tout petit peu, dans notre vie, je crois que des fois on n’a pas dit un mot : ça nous est arrivé! Et si on a été trop en colère, si on a oublié de donner à Dieu, il a attendu qu’on soit reposé pour nous le faire repenser, pour qu’on puisse prendre conscience de ce qu’on a fait; c’est pourquoi il nous arrive qu'on a de la difficulté à s’endormir le soir : on pense à notre journée.
C’est une grâce!
C’est une grâce aussi pour ceux qui ne donnent pas tout à Dieu durant la journée; alors avant de se coucher, c’est un moyen de repenser à toutes nos actions et, croyez-moi, que le sommeil ne vient pas aussi facilement! Combien d’entre nous ça nous a pris quelquefois dix minutes, une demi-heure, une heure, parce qu’on a pensé! On savait qu’on travaillait le lendemain : "Mon Dieu, il faut que je dorme, il faut que je me lève demain matin!"
Pourtant, on n’arrive pas à se vider!
C’est parce que durant la journée on n’a rien donné à Dieu, on ne lui a donné aucune place, alors on a accumulé des actions pour nous-mêmes, par notre volonté humaine; alors, lorsque le soir arrive et qu’on est au repos, le corps qui ne s’est pas donné à Dieu ne sait pas se reposer, alors il continue toujours à s’activer :
comme notre corps s’active, notre âme profite de ce moment d’éveil.
Ce n’est pas facile de savoir si c’est Dieu, vraiment, qui veut ça ou si c’est notre fatigue : prenez-le comme vous voulez, mais sachez que votre âme est vivante; elle, elle vous fait penser à vos actions : combien de fois on a peut-être réprimandé, à tort, un de nos enfants, et le soir, avant de se coucher, on y pensait, ou peut-être une parole que l’on a dite à notre mari, ou peut-être une parole de trop durant notre ouvrage.
C’est notre conscience, c’est la présence de Dieu.
Voyez-vous, on est toujours en Dieu, on est des enfants de Dieu : on ne se reconnaît pas enfants de Dieu, mais lui il sait qu’on lui appartient.
Notre volonté humaine : on pense qu’on est capable de la gérer, c’est faux! Dieu a eu pitié de nous, il nous a fait comprendre son amour à travers nos actions, à travers ce qu’on a vu dans notre vie, avec nos amis, même si, aujourd’hui, au Québec, on est rendu à battre tous les records : d'avortement, de divorce, de suicide.
Vous savez, on prône beaucoup les vices.
On est venu au monde dans une terre bénie : le Québec a été construit avec des saints; vous savez, même ceux qui ne sont pas nommés; les premiers colons étaient des saints, même si on ne sait pas tous les noms, car lorsqu’on est rendu au Ciel, on est tous saints!
Alors cela veut dire que le Québec s’est formé avec des saints,
mais on a oublié ça, mais Dieu ne l'a pas oublié.
On porte en nous des racines, même si on n’a pas le goût d’aller à la messe, plus de raison de ne pas dire le rosaire en famille, même si on ne respecte plus les dimanches, eh bien! il y a des gens en nous, qui eux sont là : ce sont nos parents, nos grands-parents, nos arrière-grands-parents, eux sont nés au Québec,
et dans (depuis) les premiers temps : eux nous soutiennent.
Vous savez, quand je vous parle ainsi, je découvre en même temps la même chose que vous autres parce que ces paroles viennent en moi tout seul, je ne sais pas ce que je vais dire : alors je découvre avec vous combien Dieu a pris soin de nous, combien il nous aime! C’est merveilleux de vivre en Dieu, et je le découvre à tous les jours, et je ne cesse jamais de découvrir l’agir de Dieu.
Je me dis : Seigneur, tu as tout dit. Non, chaque mouvement est vivant!
J’ai écrit des enseignements depuis janvier 2001 et, depuis janvier 2001, j’en ai écrit jusqu’en mai 2002, à peu près,
et là, le Seigneur, il reprend ses enseignements; à partir de 2002, il donne plus de lumière, avec plus de détails :
c’est un mouvement d’amour.
Alors, s’il arrive, dans un écrit, qu’il y a une phrase que je reprends, pas moi, le Seigneur reprend, il va la redire différemment parce qu’il est toujours en mouvement d’amour, et s'il arrive le lendemain que je regardais cette même phrase, si je vous disais qu’il en rajouterait ou qu’il la changerait d’une autre façon, toujours, toujours, toujours; alors, quelquefois, j’ai dit : "Ah! Seigneur, c’est beaucoup, hein? Tu as beaucoup à dire! Je sais que tu peux tout rechanger ça".
S’il fallait que je revois tout ce qu’il a écrit depuis 2001 et que je le laisse aller en moi; je le laisse toujours aller… : il changerait tout encore, mais toujours en gardant le même message!
Mais c’est à cause de l’évolution du monde, la transformation du monde :
on est en Jésus, on est un mouvement d’amour.
Alors, quand Dieu écrit, il porte tous ces mouvements d'amour; il n’arrête pas de bouger, de donner des grâces :
alors, nous aussi on avance, on est un mouvement d'amour.
C’est vivant les écrits, c’est quelque chose de spécial de découvrir la Parole de Dieu, parce que quand on expliquait l’Évangile : "Je suis la Parole; l’Évangile, c’est la Parole; c’est vivant l’Évangile"; "Oui, Seigneur", mais moi, je n’arrivais pas à le comprendre!
Maintenant, je sais que c’est vivant parce que Dieu est vivant, Dieu est un mouvement;
alors quand il a écrit ses Évangiles, ça ne s’est pas arrêté là, ça toujours continué.
Quand il dit : «Aimez-vous les uns les autres comme je vous aime», alors voyez-vous que cette phrase est en mouvement d’amour? Quand un enfant vient au monde, croyez-vous que la phrase est la même dite avant sa naissance, alors que nous avons avec nous un frère ou une sœur de plus? Voyez-vous comment ce mouvement est toujours dans l’amour? Ça ne cesse jamais!
C’est merveilleux de vivre en Jésus : alors l’éternité sera toujours ainsi!
On a commencé l’éternité! Quand on accepte de mourir en Jésus, on commence à l’instant notre éternité : ce n’est pas quand on va mourir! Moi, je pensais que quand on va mourir : on va commencer à vivre l’éternité; non, parce que Dieu le Père nous a donné sa Vie : son souffle de vie; c'est vivant, c'est un mouvement : alors la vie est en nous.
Cette vie-là : il faut la mériter; c’est pour ça qu’il faut se donner à Jésus : il faut vivre en Jésus.
Quand on vit avec notre volonté humaine, on vit avec le bien et on vit avec le mal : alors notre vie, qui est éternelle, en souffre! Nous blessons notre vie! Quand on fait des mauvaises actions, on dit : "Nous, on a la liberté" : on blesse notre vie éternelle; on la blesse, mais Dieu, comme il est la Vie en nous : il nous donne des grâces pour pouvoir la nourrir; c’est pour ça qu’il a institué les sacrements : pour nourrir notre vie :
nourrir sa Vie parce que notre vie est à lui, elle lui appartient.
C’est seulement notre oui ou notre non qui nous appartient : rien, rien d’autre; pas nos regards, rien ne nous appartient! Alors, quand on fait une mauvaise action, on doit lui donner parce qu’il l'a portée sur la Croix; il a fait couler son Sang pour qu’on puisse purifier cette action, mais par notre oui :
c'est seulement par notre oui!
Si on ne la lui donne pas, Dieu va nous laisser libres, il va nous donner toujours des moyens pour nous faire comprendre : «Donne-moi-la, ton action», et c’est en respectant qui on est, parce que Jésus est un mouvement d’amour.
On est libre, c’est notre liberté, ça c’est la vraie!
Ce n’est pas celle qu’on a pensé, il y a plusieurs années, en disant : "Je fais ce que je veux parce que je suis libre" :
ça, ce n’est pas de la liberté, c’était de l’esclavage entre les mains du Séducteur.
Voyez-vous, notre volonté humaine cohabite avec le bien et avec le mal; lorsqu'on se dit : "Je fais ce qui me plaît, je suis libre": on rejette Dieu, et si on rejette Dieu : on donne un oui à l’autre.
Notre vie ne nous appartient pas, elle n’est pas à nous, il n'y a seulement qu'un oui ou un non qui nous appartient, pas autre chose!
Si on dit non à Dieu, alors Dieu nous laisse libres!
Qu’est-ce qu’on fait avec notre vie? Elle ne nous appartient même pas!
On vient de lui dire : "Seigneur, je ne te la donne pas ma vie" : alors l’autre va la prendre!
Satan va la prendre, lui! Si on ne la donne pas à Dieu, l’autre va s’en servir!
Il faut faire attention!
C’est vrai qu’on ne le savait pas; moi je ne le savais pas, du moins, Dieu savait que je ne savais pas, alors il a pris soin de moi.
Voyez-vous, c’est l’amour de Dieu!
Parce qu’il connaît chacun de nous, il connaît tout notre intérieur, car on porte tous nos frères et nos sœurs depuis Adam et Ève; tout ce qui nous a rendus impatients, coléreux, ce qui nous a rendus jugeurs :
lui, il sait d’où ça vient, nous : non!
C’est ce qu’il nous faut comprendre dans ses écrits.
La plus belle parole, c’est son Évangile! Ça, c’est son écrit, c’est sa Parole, il n’y en a pas deux.
Comme il a pitié de nous!
Il suscite des personnes pour qu’elles s’abandonnent, qu'elles donnent leur oui.
Il n’y a rien qui vient de nous, absolument rien, mais lui, il sait : «Bon, elle, elle est plus flexible, elle est plus facile», il connaît notre oui avant qu’on vienne au monde; alors comme il connaît tout, qu'il est dans les mouvements de l’amour, il sait qu’on va accepter, par des oui, ces mouvements d’amour,
alors, il se fait entendre pour pouvoir éclaircir ces enseignements, à son moment!
Il a choisi tous ses ouvriers, il a choisi son temps; parce que, croyez-moi que j’aurais voulu la Terre Nouvelle avant la mort de mon mari! Quand j’ai commencé à connaître que Jésus était pour se montrer en tous les enfants, je ne le savais pas aussi bien qu’aujourd’hui, mais je savais qu’il y avait la Croix d’amour!
Quand j’ai su ça, la première fois, je me suis mise à crier dans le fond de l’autobus : "Je veux cette cassette",
on était deux, ça sorti de moi.
Voyons donc, moi qui étais en arrière, j’ai crié dans l’autobus : "je veux cette cassette!" Ce n'était pas moi ça, mais pas du tout! Ça sorti très fort! Mais quand j’ai écouté… Ah! mon doux, j'aurais donc voulu que ça arrive avant que mon mari meure parce que j’avais des projets : ma volonté humaine! Je me voyais me promener main dans la main; ça va être merveilleux avec les enfants!
Mais ce n’est pas ça que le Seigneur a choisi, il a choisi son temps pour tous les enfants de la terre!
Alors il donne de beaux enseignements d’amour, ce sont des rappels, il n’y a rien de nouveau.
Comme il suscite toutes sortes d’événements, de paroles, des personnes autour de nous pour nous amener à prononcer notre oui, alors il a fait entendre sa voix en moi.
J’ai écrit et ces livres détaillent notre intérieur.
Le premier : c’est un mouvement, connaître qui on est en la Trinité, ah! c’était merveilleux!
Quoiqu’en premier, je ne comprenais pas; maintenant, je comprends ce qu’il dit : les écrits disent ce qu’il y a de caché au plus profond de nous-mêmes; pourquoi on se met en colère; pourquoi on s’obstine; pourquoi on juge; pourquoi il faut parler avec des mots de douceur; qu'est-ce que c'est que le discernement? qu’est-ce que c’est que l’infusion du Saint-Esprit? qu’est-ce qui se passe autour de nous? il nous parle de réincarnation; il parle de tous les sujets que moi-même je ne connais pas : comme parler, avec une âme que j’ai entendue, de la drogue :
tout cela, c'est pour enseigner, pour montrer à ceux qui sont autour de nous ce qu'ils vivent,
pas pour les juger, mais pour montrer combien il les aime!
Ce sont ses enfants, ce sont des enfants blessés, alors il leur explique le pourquoi au plus profond d’eux-mêmes.
C’est ce qui va se passer dans les écrits, dans le 2 et dans le 3, et dans le 4, il y a un autre mouvement qui entre : la purification, et tous ces écrits doivent aussi apporter autre chose : il y a 15 jours, j’ai reçu à l’intérieur de moi des mots d’amour de Jésus :
il m’a fait comprendre sa souffrance!
Quand un enfant va communier en état de péché et qu’il prend Jésus : J’ai vu Jésus, à l’intérieur de moi, c’était tout noir, c’était tellement noir! Je voyais Jésus qui rampait, il disait : «Suis, ma fille», je l'ai suivi, en arrière; on était agenouillé, à quatre pattes, quelquefois on rampait, quelquefois, il y avait comme si c'était des épines autour d'un rond qui dépassait : alors je savais! Il m'a fait comprendre qu’à l’intérieur il souffre de différentes façons : sa souffrance sur la Croix continue à l’intérieur.
Je me demandais : "Pourquoi tout ça"? «Oui, – elle m'a dit, Maman Marie – porte le manteau de la douleur.»
J’ai dit : "Oui, Maman Marie".
Alors, il m’a dit aussi que des enfants au Québec vont souffrir à l’intérieur d’eux : une très grande souffrance, et d’autres enfants sur la terre vont les aider.
Ce sont des enfants qui meurent de faim, ce sont des enfants qui n’ont même pas de linge à se mettre sur le dos, ce sont des enfants qui couchent dans la rue, mais avec rien.
Vous savez, quand on couche dans la rue et qu'il n’y a pas de manteau pour se couvrir, même pas un chandail : rien, alors ces enfants n’ont plus de larmes en eux, ils ne peuvent même pas boire comme ils le voudraient : ils se meurent, ces enfants, et ils prient, ils ont une foi en Dieu et c’est eux qui vont nous aider.
Ce sont des enfants dans les pays, comme Haïti; ces enfants sont des enfants de Dieu.
Vous savez, ils ont une foi, ils ont une richesse : ils n’ont pas faim comme nous!
Notre âme meurt, elle meurt parce qu’elle n’a pas la nourriture de Dieu.
Alors, il a dit : «Ma fille, une partie des profits de tout ce que tu fais va aller à eux, parce que je vais reconnaître vos actions.»
Alors, je savais qu’il m’avait annoncé, au commencement, qu’une partie : le tiers des profits, était pour aller aux pauvres, l’autre était pour faire fonctionner les imprimeries, l’autre partie était pour toutes les dépenses; mais Jésus, il a mis autre chose dans notre cœur : il a mis de l’amour pour notre prochain : tellement de l'amour pour notre prochain, qu’on n’a pas pris encore un seul sou pour les dépenses.
On ne veut pas prendre un sou afin de pouvoir en donner plus, parce qu’ils ont besoin de nous, eux;
nous on a besoin d’eux, on a besoin de ses enfants!
Ils vont prier pour nos frères et nos sœurs du Canada qui se meurent.
Nous, nous allons les aider, ah! c’est petit ce qu’on a à faire, c’est pas beaucoup vous savez, mais Dieu va le multiplier, je suis sûr de ça, à sa façon parce que Dieu est amour.
Alors, voyez-vous que Dieu prend tous les moyens pour nous sauver,
pour nourrir notre âme à sa manière, délicatement, avec beaucoup d’amour!
On a seulement à dire oui, à garder notre silence un peu durant la journée pour étudier nos actions, les lui donner : à Jésus; quand on est bien occupé, vous savez, juste un tout petit instant ou quand on est bien fatigué durant la journée : ah! Seigneur, je te donne tout, je te donne mon ouvrage, je te donne ceux qui sont autour de moi, mon impatience.
Ce tout petit peu, Jésus va tout le prendre, vous savez, parce que tout lui appartient!
Alors, je remercie notre Jésus d’amour, je remercie Maman Marie, Marie est toujours auprès de son Fils.
Quand Jésus va se montrer en nous en toute sa gloire, nous verrons Dieu le Père, car qui voit le Fils voit Dieu le Père, qui voit Dieu le Père voit le Fils, voit le Saint-Esprit et il a dit : «Vous verrez ma Mère, ma Mère se tiendra près de moi.»
Voyez-vous comment ça va être grand!
En ce moment, notre Mère étend son manteau sur toute la surface de la terre pour nous protéger.
"Oui, Seigneur," il veut qu'aujourd’hui, vous sachiez ce qu'il a écrit. Même si j’envoie un courriel à quelqu’un, ce n’est pas moi qui le fais; même s'il faut que je ne marque qu'un merci, c’est pas moi; il ne veut pas!
Alors, aujourd’hui, quand il a envoyé un mot, il a dit : «Unissez-vous dans l’amour, lorsque vous faites l’œuvre de Dieu dans ses corrections, priez Dieu, demeurez en paix, obéissez à ma Volonté, renoncez à votre volonté humaine parce que Satan, la nuit, sème le doute : il veut arrêter mes écrits, et il a conçu un plan pour que ça s’arrête, mais ma Mère Marie est là.»
Et vous savez, il ne peut pas rien contre Maman Marie, absolument rien; alors je n’ai eu aucune peur!
Quand je l’ai écrit, ça ne m’a pas enlevé la paix que j’avais en moi, ni la joie, parce que je sais que Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit est la Divine Volonté : il nous aime trop!
Ce qui est commencé, c’est depuis Adam et Ève, car il a dit : «Je vous enverrai un Sauveur» : il nous l’a envoyé; Jésus a dit : «Je vous enverrai le Saint-Esprit», il nous l’a envoyé; il a dit : «Viendra le Royaume de mon Père», «Que ton Règne vienne sur la terre comme au Ciel» : c’est dans le Notre Père, et quand Jésus dit quelque chose : il le fait.
On n’a pas à s’inquiéter!
Alors, je vous remercie beaucoup, je remercie tous ceux que vous portez en vous parce qu’on est une grande famille!
Lorsqu’on parle en Dieu, lorsque le Saint-Esprit met en nous des paroles, ce n'est pas seulement pour nous, c’est pour ceux qu’on porte; alors, aujourd’hui, on est une grande famille, on est avec tous nos frères et nos sœurs du monde entier en ce moment même, on est dans ce mouvement d’amour-là; alors je vous dis merci.
Je dis merci à tous mes frères et mes sœurs du monde entier, et c’est avec Jésus, en Marie dans l’amour, que je vous le dis.
Jésus : Mes enfants d’amour, Dieu a prononcé en chacun de vous ces paroles;
elles sont en union avec l’Amour et l’Amour vous dit : «Je vous aime».
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Seigneur.
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus
2003-04-11
Jésus : Tout est dans la Volonté de Dieu, tout doit s’accomplir dans l’amour de Dieu.
En la présence du Saint-Esprit, cette enfant parle en Dieu.
C’est nous, la Divine Volonté, qui l’avons choisie pour ce temps : ce temps d’amour, ce temps de grâces.
Tout ne doit être que pour Dieu.
Vous, mes enfants, vous êtes l’œuvre de Dieu; Dieu accomplit son œuvre en vous lorsque vous lui donnez votre vie; la vie en Dieu, c’est découvrir votre présence en la Vie.
Ce monde dans lequel vous vivez est bien loin de se reconnaître tel qu’il est : il doit vivre pour se reconnaître vivant; s’il ne vit que de sa volonté humaine : il ne peut percevoir que ce qu’il est à l’extérieur, non ce qui est en lui.
La vie est en chacun de vous, la vie en Dieu est vivante.
Lorsque vous vivez votre vie en ne vous reconnaissant que comme des enfants de ce monde : vous vous proclamez être des enfants non vivants.
Seul Dieu est la Vie, la vie est en chacun de vous; la vie : ça bouge, ça aime, ça partage, ça donne, ça s’offre,
la vie, pour Dieu, en Dieu, avec Dieu : là est le mouvement de la vie.
Lorsque vous percevez un enfant et que cet enfant vous regarde, si vos yeux rencontrent la vie : vous verrez en cet enfant sa tendresse, sa douceur; vous découvrirez en cet enfant la présence de sa vie.
Lorsque vos yeux regardent un enfant et qui se dit être maître de lui-même, vos yeux ne rencontrent que des yeux fermés à la vie : il n’est que parole, que mouvement extérieur de lui-même, il ne peut donner ce qu’il a en lui puisqu’il a fermé sa porte, il ne peut donc découvrir la vraie valeur de sa vie en Dieu.
Dieu est le Créateur; il a créé tout ce qui est vivant : tout ce qui est amour vient de Dieu.
Regardez, lorsque vous regardez un homme construire une maison, vous voyez là des actions produites par lui, mais ce sont des actions nourries par la Vie intérieure qu’il a en lui : il ne peut par lui-même produire des œuvres.
Dieu a donné l’intelligence : l’intelligence vient de Dieu, vient de l’Amour.
Je suis l’Amour, je nourris chacun de vous.
L’intelligence humaine est précaire!
Si un enfant se dit être intelligent alors qu’il refuse de se reconnaître en Dieu : il puise en lui ce que Dieu lui a donné pour pouvoir produire à l’extérieur des mouvements, mais ces mouvements ne sont regardés que par lui :
ils ne produisent pas des mouvements d’amour, il se donne, à lui-même, sa propre récompense.
Mais lorsqu’une femme produit des plats à la maison et qu’elle donne à Dieu tout ce qu’elle a fait : cette femme se reconnaît bien petite, elle sait offrir à Dieu son travail, car elle sait que Dieu a mis en elle les connaissances afin qu’elle puisse donner à ceux qu’elle aime ce qu’elle a produit : elle vit en elle, elle sort d’elle l’amour que Dieu a déposé.
Lorsque, autour d’elle, ses enfants goûtent à ce repas fait d’amour, elle n’a pas besoin de récompense, à l’extérieur, la félicitant pour le repas, car elle sait que Dieu l’aime, que Dieu la comble; elle regarde ses enfants avec les yeux de Dieu : elle sort d’elle la Vie.
Comment ne pas donner à cette femme ce qu’elle donne : c’est pour cette raison que les enfants donnent à la mère des compliments sur ce qu’ils viennent de manger.
Mes enfants d’amour, les hommes produisent des œuvres; il faut qu’ils se reconnaissent en Dieu, il faut qu’ils donnent à Dieu tout ce qu’ils ont produit, car tout vient de Dieu : chaque œuvre sur la terre a été faite de l’intelligence de Dieu.
Tout comme la femme, elle doit se reconnaître en Dieu, elle doit donner à Dieu ce qu’elle a produit.
L’homme et la femme sont des créatures de l’Amour.
J’ai créé Adam et Ève, j’ai créé chacun de vous.
Lorsque l’homme s’unit à la femme, il se produit un mouvement d’amour : une union d’amour; ils ne font qu’un : c’est un mouvement d’amour et l’amour produit son fruit.
Vous êtes, mes enfants, ces fruits.
Vous êtes les fruits de Dieu; alors, lorsque vous faites des actions : vous reproduisez l’œuvre de Dieu.
Tout est de moi, le Créateur : je suis en mon Père, je suis en le Saint-Esprit.
Jésus Amour est le Tout : vous, vous êtes en moi.
Lorsque vous venez vous nourrir de mon Corps et de mon Sang, je vous nourris de mon amour, de l’amour du Père, de l’amour du Saint-Esprit :
vous faites un tout dans mon Tout, vous complétez l’œuvre de Dieu.
Dieu a donné à chacun de vous son souffle d’amour, et lorsque vous acceptez de vivre en Dieu, vous acceptez de vous donner dans le mouvement de l’œuvre de Dieu : alors, toute œuvre faite de l’homme et de la femme est une continuité de l’œuvre de Dieu.
Regardez autour de vous, vous ne verrez que la puissance de Dieu :
tout ce qui a été fait de l’homme et de la femme vient de l’amour de Dieu.
Je suis le Verbe, j’accomplis la Volonté de mon Père.
Lorsque vous acceptez de m’offrir toutes vos actions, vous acceptez que je vous couvre de ma Présence; alors, vos actions deviennent mes actions : j’offre à Dieu le Père vos actions qui sont mon agir.
Dieu mon Père m’a tout donné, il a mis en moi ses complaisances, et vous qui acceptez de mourir en moi, de vivre en moi : vous profitez de tout ce que mon Père m’a donné.
Vous êtes vous aussi dans le mouvement de l’amour du Père parce que vous êtes en moi.
Tout doit être accompli pour l’amour de mon Père, il vous a donné sa Vie : son souffle de vie est en chacun de vous.
Je me suis donné à la mort pour vous purifier, pour purifier toutes vos actions afin que vous soyez exempts d’impuretés.
En apportant à la mort vos gestes impurs, j’ai donné à mon Père des actions d’amour.
Seul le Fils pouvait redonner au Père tout ce qui est à lui.
Voyez-vous, mes enfants d’amour, lorsque vous faites des actions contre l’Amour, moi, le Fils bien-aimé du Père, je prends vos actions en moi, et, par mon sacrifice sur la Croix, je purifie vos actions : mon Sang Précieux coule sur vous, tout ce que vous faites, toutes vos paroles, tout ce que vous pensez, tout ce que vous voyez, si cela comporte des impuretés, moi, je prends tout, car j’ai tout pris.
J’ai vécu votre vie, je suis omnipotent : tout est mouvement en moi.
Voyez-vous pourquoi il faut que vous veniez mourir en moi? Il faut vivre votre vie en le Christ : mourir en le Christ pour que vos actions soient purifiées.
En acceptant, mes enfants, de vous donner à moi, moi je vous montre le chemin à suivre.
Je suis la Lumière, je vous guide vers votre repentir.
J’ai institué des sacrements : j’ai fait en sorte de vous démontrer l’amour de mon Père.
En instituant les sacrements, j’accomplissais la Volonté de mon Père,
moi, le Verbe, moi, l’amour de Dieu le Père.
Toute action que j’ai faite sur la terre vous démontre l’amour de Dieu, l’amour de mon Père pour vous.
À vous de venir puiser dans mes mouvements d’amour : votre purification.
Ce sont des gestes d’amour, des gestes faits par Dieu le Fils pour vous dire : Enfant d’amour, je t’aime, donne-moi ta vie, donne-moi tes actions, donne-moi tes pensées, donne-moi ton regard, donne-moi tout de toi.
Je ne veux pas que tu sois esclave, je respecte qui tu es; je veux te donner ce que mon Père m’a donné, je veux que tu sois dans la lumière afin que tu trouves le chemin vers la vie éternelle.
Elle est en toi cette vie, elle t’appartient, car Dieu t’a donné son souffle de Vie.
C’est à toi de choisir si tu veux profiter de ma Présence en toi; moi, je te veux avec ce que tu es : c’est moi qui vais purifier tes actions.
Lorsque tu feras des travaux comme la construction, si tu les fais en moi, tu donneras à mon Père chacune de tes actions; elles seront prières pour toi, elles seront des grâces, elles te feront découvrir : combien tu es précieux, combien Dieu est bon pour toi; tu verras qu’il y aura en toi de l’amour qui te montrera à faire attention à toi, à découvrir que tout ce que tu fais doit être fait pour l’Amour.
Tu sais, tu es amour, tu appartiens à mon Père!
J’ai pris tes actions et je les ai purifiées.
Je t’ai donné la lumière et c’est à toi de savoir si tu veux faire tes actions dans la lumière, car tu sais, mon bien-aimé, que lorsque tu fais des actions par toi-même en n’étant pas dans la lumière : tu te fais du mal, alors ta vie est en souffrance : tu exiges trop de toi, tu n’écoutes pas ton corps quand il est fatigué, tu développes avec les années des maladies, de l’impatience, de la fatigue; alors, tu te fais du mal, et tu fais aussi du mal à ceux que tu aimes, et à ceux que tu ne connais pas et qui sont autour de toi, et aussi à ceux que tu portes en toi, car tu ne peux voir combien tu es précieux, car ta volonté humaine n’est qu’extérieure de toi.
Donne-moi ta vie, je la veux en moi pour t’apporter un bonheur éternel.
Et toi, ma petite bien-aimée d’amour, toi qui as accepté de vivre ta vie en Dieu, tu découvres que Dieu peut t’apporter l’amour : l’amour qui vient du Père, l’amour qui vient de lui : il est Père, il est Mère.
Il y a en toi un mouvement : un mouvement de création, et seul Dieu peut nourrir ce mouvement.
Laisse-toi prendre par Dieu, je veux t’apporter le bonheur; il n’est pas bon pour toi, ma bien-aimée, de te reconnaître qu’en toi-même, car tu ne peux nourrir, des grâces de mon Père, l’enfant : l’enfant que tu vas porter, que tu as porté et que tu porteras : tout est mouvement d’amour.
N’aie pas peur, Dieu est la douceur, il est la tendresse; toutes tes actions seront bénies de Dieu.
Tu es mouvement d’amour : laisse-toi prendre par l’Amour.
Chaque enfant ici est un mouvement d’amour, chaque enfant est l’œuvre de Dieu, chaque action que vous faites produit en vous des grâces : elles vous sont données pour vous et pour ceux que vous portez.
Mes amours, toutes ces paroles qui ont été prononcées ont été en vous, et c’est pour vous et pour ceux que vous portez à l’intérieur de vous.
Les enfants de ce monde se meurent, se meurent d’amour, ils ne voient pas ma Présence en eux.
Vous qui acceptez de venir entendre Dieu, Dieu parle pour vous, il parle aussi pour ceux qui sont en vous : il veut nourrir tous ses enfants.
Ces paroles, mes enfants, ont été pour vous dans votre tout :
vous êtes un mouvement d’amour, vous êtes en le tout de Dieu.
Voyez-vous la vie en vous? Vous êtes un mouvement d’amour dans le mouvement d’amour de Dieu.
Il ne peut y avoir d’arrêt dans l’amour : l’amour est éternel, il est, l’amour est votre vie dans ma Vie.
Laissez-vous prendre par ce mouvement, et lorsque vous ferez vos actions,
dites-vous que vos actions produisent des grâces pour tous ceux que vous portez en vous.
Voyez-vous, mes enfants, que lorsque vous faites de bonnes actions, vous qui portez en vous tous ceux qui font des actions, vous êtes en relation avec des mouvements, et cela ne s’arrête pas.
Depuis Adam et Ève, la vie est; depuis ma venue sur la terre, la Vie vous parle; elle vous dit que vous êtes en présence de Dieu : vous êtes un tout.
Vous ne pouvez vous arrêter que si, au moment de votre jugement, il y a un non :
là seulement il y a un arrêt de vie.
Mes amours, je parle au présent parce qu’il y a en vous des enfants d’amour qui ont prononcé leur oui : ils sont en votre présence, et ceux qui ont été depuis Adam et qui ont refusé l’Amour, ces enfants ne sont plus en vous : ils ont refusé la Vie.
Vous êtes dans le mouvement de la Divine Volonté.
Vous portez en vous tous les enfants du monde : depuis la création, et vous portez les enfants qui viendront après ma venue "de vue en vous".
Mes enfants d’amour, Dieu a envoyé son Fils sur la terre pour vous faire connaître son amour, pour vous faire connaître son mouvement de vie.
Je viens bientôt vous montrer la lumière en vous, vous montrer l’amour de Dieu le Père.
Vous serez tous en présence de la Lumière.
Vous verrez vos œuvres, tout ce que vous avez accompli, vous verrez vos mouvements d’amour; et lorsque, ceux qui auront prononcé leur oui, ces enfants de la Lumière se reconnaîtront dans le mouvement de l’Amour : ils se reconnaîtront; ils regarderont les yeux de leurs frères et de leurs sœurs et ils découvriront la présence de Dieu : ils seront dans ce mouvement d’amour, mais ceux qui auront refusé, en prononçant un non, en eux l’Amour se retirera, et vous, enfants de la Lumière, lorsque vous les regarderez,
vous saurez que Dieu n’a pu laisser son amour en eux.
Mes enfants d’amour, vous êtes dans le mouvement; vous devez vous donner pour tous ceux que vous portez en vous.
Toutes les actions, qui sont données à Dieu, sont des actions qui aident ceux que vous portez à prononcer leur oui à l’Amour.
Il faut se donner en Dieu.
Vous avez commencé votre propre purification, vous êtes dans le mouvement de l’Amour.
Il vient ce moment où chaque enfant verra en lui tout ce qu’il a accompli, et c’est par le mouvement de l’Amour qu’il se jugera.
Dieu mettra en lui son amour afin qu’il puisse juger : si ce qu’il a produit porte des fruits.
Dieu est miséricordieux, il sait reconnaître ses enfants.
Celui qui, en ce moment même, fait des actions sans les donner à Dieu, alors qu’il y a en lui de la douceur, de la bonté : c’est Dieu lui-même qui le nourrit, car il connaît son oui et, par vous, mes enfants de la Lumière, par vos oui, il a reçu des grâces qui l’aideront à prononcer son oui, car il devra accepter sa purification tout comme vous, aujourd’hui, vous acceptez de vous laisser purifier par Dieu.
Vous voyez la lumière, vous acceptez de vivre parmi vos frères et vos sœurs qui n’ont pas le regard de Dieu mais, vous, vous avez le regard de Dieu, vous les regardez au plus profond d’eux-mêmes.
Dieu est si amour, il connaît tous les enfants qui vont prononcer leur oui.
Alors, mes enfants d’amour, je vous demande, vous, les enfants de la Lumière : ne jugez pas mes enfants, ne jugez pas vos propres enfants!
Leurs actions, qu’ils ne donnent pas à Dieu, sont leur dû; vous, ne les jugez pas, car vous ne savez pas ce que moi je produis en eux, par vous : gardez l’amour, gardez la paix, gardez la joie, ne vous troublez pas, donnez-les-moi, offrez-moi leur vie; au moment de l’offertoire, offrez vos enfants, offrez leurs actions, portez tout sur l’autel : l’autel est mon Autel!
Je suis l’Agneau béni qui laissa couler son Sang pour purifier toute action.
Alors, mes enfants, donnez-moi vos actions, donnez-moi les actions de ceux que vous aimez, et, dans la Divine Volonté : je vous montrerai comment donner les actions de vos frères et de vos sœurs que vous portez en vous depuis le commencement d’Adam, car beaucoup d’enfants souffrent au purgatoire : ils ont accepté leur purification.
Voyez-vous, vous serez récompensés : toutes vos actions porteront des fruits et je vous montrerai ces fruits.
Soyez amour! Je parle pour certains des vôtres, je parle pour tous ceux que vous portez en vous.
Soyez la lumière du monde, ma lumière en moi.
Ce temps de noirceur va s’estomper, car vous, les enfants de la Lumière, vous brillerez; et lorsque la lumière de Dieu brille : tout est lumineux, tout resplendit de pureté : je chasserai les ténèbres de cette terre; il n’y aura que beauté autour de vous; plus jamais vous connaîtrez la pénombre; plus jamais vous connaîtrez la noirceur; plus jamais vous connaîtrez de froideur : car la Lumière est lumière, est lumineuse, est chaleur.
Dieu est l’Amour! Vous, vous êtes l’amour, vous êtes des enfants de Dieu.
Voyez vos mouvements, ils se développent en Dieu : vous vous laissez transformer par Dieu.
Oh! mes enfants, si vous pouviez voir ce qui se passe en mes enfants lorsque, vous, vous prononcez votre oui, lorsque vous consentez à me donner vos actions!
Comme sera grande votre récompense!
Dieu est amour, Dieu est infini : votre éternité ne sera que joie, que bonheur!
Il n’y aura qu’harmonie d’amour, dans l’amour, par l’Amour.
Je vous ferai connaître la Volonté de mon Père qui est de vous avoir en lui pour l’éternité.
Vous êtes les bénis de mon Père, les choisis de mon Père pour ce temps d’amour : un temps de grâces.
Laissez-vous transformer, car viendra le moment où je vous enverrai mes enfants qui auront une soif de connaître la Vie en eux, car ils auront vu l’Amour : ils vont être assoiffés d’amour.
Laissez-vous transformer, c’est moi le mouvement de l’Amour.
Venez mourir en moi, je suis la Vie, je suis la Lumière, je guide vos pas : je suis le Chemin.
Mes amours, je vais vous conduire dans ma Terre Nouvelle : elle sera belle, lumineuse, elle resplendira par elle-même.
Je vous aime, mes amours; donnez, donnez votre vie à Dieu : elle lui appartient.
Par l’Amour, Dieu comble ses enfants, il a donné à vous des fils qui se sont donnés par amour et,
par eux, recevez mes élans d’amour.
Amen.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu veut que je témoigne de son agir dans ma vie parce que lorsqu’on témoigne de notre quotidien, c’est témoigner de ce que Dieu fait en nous.
Les actions qu’on pose à tous les jours, ce sont des actions de Dieu.
Avant que j’en prenne conscience, je faisais des actions, mais je ne prenais pas conscience de la présence de Dieu.
J’ai vécu ma vie comme chacun de vous : on l’a fait, avec ce que nos parents nous ont donné, à chaque jour.
J’ai fait de mon mieux dans ma vie, et j’ai fait aussi des choses que je n’aurais pas dû faire.
On a beaucoup de colère, on essaie de ne pas trop y penser, mais quand on est en Dieu : là, eh bien, tout nous est révélé!
Avant, je savais que ce que j'avais fait était mal, disons : la journée avant, peut-être une semaine, je n’allais pas chercher trop en arrière, c’était trop lourd pour mes épaules,
mais avec Dieu, c’est différent; il nous fait revivre nos actions.
Aujourd’hui, je réalise que lorsqu’il me parle, il me parle beaucoup plus de mes bonnes actions que de mes mauvaises actions : c’est vraiment différent! Ce n'est pas comme ça que je penserais, si cela était de moi-même.
Aujourd’hui, il me parle de bonnes actions, de ce que j’ai fait.
J’ai pensé cette semaine : "Qu’est-ce que je vais dire à la confesse?" parce qu’il me fait aller à la confesse, vous savez, souvent! Si je me présente quatre à cinq fois par semaine, comme au Lac Saint-Jean, c’était à tous les jours; alors que je finissais à minuit le soir, j’étais en prière jusqu’à une heure, et oups! à sept heures, j’étais réveillée : il me faisait aller à la confesse, alors que je me présentais vers une heure; alors, cette semaine, je pensais : "Qu’est-ce que je vais dire?" mais, vous savez, dans ma tête...alors, je me suis mise à penser au passé, mais il m’a expliqué que lorsqu’on fait des mauvaises actions et qu’on va à la confesse, c’est effacé pour lui, mais il a dit : «C'est toi qui ne te pardonnes pas, apprends à te pardonner parce que moi je t’ai pardonné, alors n'empêche pas mes grâces de te nourrir.»
C’est de l’abandon, encore, ce sont des actions d’amour;
il nous apprend plutôt à découvrir qui on est vraiment, mais c’est du bon côté!
Lorsque je fais mes mauvaises actions, il passe par ma conscience : j'étais devant la Sainte Face et je priais, mais j’ai pris l’habitude de dire : – j’entends toujours Jésus, c’est constant chez moi depuis deux ans, c’est rendu ma vie – "Seigneur, prie, toi"; alors, j’entends la prière en Jésus, mais c’était mon âme! Mon âme a commencé à parler de mes actions, jusqu’au moment où elle m’a dit : "Tu as fait telle chose"; ça faisait une heure de ça que j’avais parlé et dit quelque chose qui n’était pas bon; moi, je n’ai pas pensé que c’était quelque chose de terrible, mais mon âme, elle, me veut tellement pure qu’elle m’a tranquillement…parce qu’elle est nourrie du bon Dieu, elle m’a dit, en douceur que ce que j’ai fait, ce n’était pas correct envers moi-même et envers ceux que j’aime à l’intérieur de moi; alors j’acceptais tout ce qu’elle me disait, dans la prière, jusqu’au moment où elle m’a dit : "Maintenant, va à la confesse".
Alors, c’est vraiment une façon de nous purifier.
Jésus nous fait comprendre nos actions, mais dans la douceur.
Si on fait mal, il va prendre les moyens pour nous faire découvrir les mauvaises actions qu’on a faites, et c’est là qu’il faut être à l’écoute.
Pas un instant dans notre vie que Dieu nous a laissés dans notre péché sans venir nous secourir, pas un instant : que ce soit par un événement, par une personne, peut-être par une pensée, par notre conscience qui nous l’a révélée, par notre ange gardien.
Pas un instant Dieu ne nous nourrit pas, mais il faut s’arrêter pour le reconnaître.
Comment on peut s’arrêter pour le reconnaître, si on n’est pas capable de réaliser qu’on a fait quelque chose? Alors, il dit : «C’est là que tu prends un repos et que je profite de ce moment-là»; alors, je dis à Jésus : "Oui, mais quand je suis bien occupée, Jésus, qu’est-ce que tu fais?" Il dit que, dans les travaux qu’on fait, quelquefois il y a des petits arrêts que nous-mêmes on provoque.
Je vais vous donner un exemple : je travaillais – parce que je vois toutes ces choses-là à l’intérieur, en ce moment –je travaillais à la construction; je faisais de la rénovation, et lorsque j’étais en démolition, des fois, avec mon marteau j’étais pas très habile, j’ai déjà frappé mon pouce, et là j’avais eu l’exemple des autres : je ne dirais pas ce qu'ils disaient, ils étaient très en colère, vraiment en colère, ça me blessait ces choses-là; alors, quand je me faisais frapper le doigt par moi-même, alors pour ne pas dire comme eux, je ne disais pas un mot; à la longue, j’ai commencé à dire : "je te l’offre"; pourtant, il n’avait pas commencé à me parler! Savez-vous, c'est comme ça qu'il fait!
C’est des moments comme ça que Dieu va se servir pour nous faire avancer.
Comme dans la cuisine, combien de fois on s’est cogné le genou, un coude, n’importe quoi!
Vous allez voir, si on s’arrêtait un tout petit peu, dans notre vie, je crois que des fois on n’a pas dit un mot : ça nous est arrivé! Et si on a été trop en colère, si on a oublié de donner à Dieu, il a attendu qu’on soit reposé pour nous le faire repenser, pour qu’on puisse prendre conscience de ce qu’on a fait; c’est pourquoi il nous arrive qu'on a de la difficulté à s’endormir le soir : on pense à notre journée.
C’est une grâce!
C’est une grâce aussi pour ceux qui ne donnent pas tout à Dieu durant la journée; alors avant de se coucher, c’est un moyen de repenser à toutes nos actions et, croyez-moi, que le sommeil ne vient pas aussi facilement! Combien d’entre nous ça nous a pris quelquefois dix minutes, une demi-heure, une heure, parce qu’on a pensé! On savait qu’on travaillait le lendemain : "Mon Dieu, il faut que je dorme, il faut que je me lève demain matin!"
Pourtant, on n’arrive pas à se vider!
C’est parce que durant la journée on n’a rien donné à Dieu, on ne lui a donné aucune place, alors on a accumulé des actions pour nous-mêmes, par notre volonté humaine; alors, lorsque le soir arrive et qu’on est au repos, le corps qui ne s’est pas donné à Dieu ne sait pas se reposer, alors il continue toujours à s’activer :
comme notre corps s’active, notre âme profite de ce moment d’éveil.
Ce n’est pas facile de savoir si c’est Dieu, vraiment, qui veut ça ou si c’est notre fatigue : prenez-le comme vous voulez, mais sachez que votre âme est vivante; elle, elle vous fait penser à vos actions : combien de fois on a peut-être réprimandé, à tort, un de nos enfants, et le soir, avant de se coucher, on y pensait, ou peut-être une parole que l’on a dite à notre mari, ou peut-être une parole de trop durant notre ouvrage.
C’est notre conscience, c’est la présence de Dieu.
Voyez-vous, on est toujours en Dieu, on est des enfants de Dieu : on ne se reconnaît pas enfants de Dieu, mais lui il sait qu’on lui appartient.
Notre volonté humaine : on pense qu’on est capable de la gérer, c’est faux! Dieu a eu pitié de nous, il nous a fait comprendre son amour à travers nos actions, à travers ce qu’on a vu dans notre vie, avec nos amis, même si, aujourd’hui, au Québec, on est rendu à battre tous les records : d'avortement, de divorce, de suicide.
Vous savez, on prône beaucoup les vices.
On est venu au monde dans une terre bénie : le Québec a été construit avec des saints; vous savez, même ceux qui ne sont pas nommés; les premiers colons étaient des saints, même si on ne sait pas tous les noms, car lorsqu’on est rendu au Ciel, on est tous saints!
Alors cela veut dire que le Québec s’est formé avec des saints,
mais on a oublié ça, mais Dieu ne l'a pas oublié.
On porte en nous des racines, même si on n’a pas le goût d’aller à la messe, plus de raison de ne pas dire le rosaire en famille, même si on ne respecte plus les dimanches, eh bien! il y a des gens en nous, qui eux sont là : ce sont nos parents, nos grands-parents, nos arrière-grands-parents, eux sont nés au Québec,
et dans (depuis) les premiers temps : eux nous soutiennent.
Vous savez, quand je vous parle ainsi, je découvre en même temps la même chose que vous autres parce que ces paroles viennent en moi tout seul, je ne sais pas ce que je vais dire : alors je découvre avec vous combien Dieu a pris soin de nous, combien il nous aime! C’est merveilleux de vivre en Dieu, et je le découvre à tous les jours, et je ne cesse jamais de découvrir l’agir de Dieu.
Je me dis : Seigneur, tu as tout dit. Non, chaque mouvement est vivant!
J’ai écrit des enseignements depuis janvier 2001 et, depuis janvier 2001, j’en ai écrit jusqu’en mai 2002, à peu près,
et là, le Seigneur, il reprend ses enseignements; à partir de 2002, il donne plus de lumière, avec plus de détails :
c’est un mouvement d’amour.
Alors, s’il arrive, dans un écrit, qu’il y a une phrase que je reprends, pas moi, le Seigneur reprend, il va la redire différemment parce qu’il est toujours en mouvement d’amour, et s'il arrive le lendemain que je regardais cette même phrase, si je vous disais qu’il en rajouterait ou qu’il la changerait d’une autre façon, toujours, toujours, toujours; alors, quelquefois, j’ai dit : "Ah! Seigneur, c’est beaucoup, hein? Tu as beaucoup à dire! Je sais que tu peux tout rechanger ça".
S’il fallait que je revois tout ce qu’il a écrit depuis 2001 et que je le laisse aller en moi; je le laisse toujours aller… : il changerait tout encore, mais toujours en gardant le même message!
Mais c’est à cause de l’évolution du monde, la transformation du monde :
on est en Jésus, on est un mouvement d’amour.
Alors, quand Dieu écrit, il porte tous ces mouvements d'amour; il n’arrête pas de bouger, de donner des grâces :
alors, nous aussi on avance, on est un mouvement d'amour.
C’est vivant les écrits, c’est quelque chose de spécial de découvrir la Parole de Dieu, parce que quand on expliquait l’Évangile : "Je suis la Parole; l’Évangile, c’est la Parole; c’est vivant l’Évangile"; "Oui, Seigneur", mais moi, je n’arrivais pas à le comprendre!
Maintenant, je sais que c’est vivant parce que Dieu est vivant, Dieu est un mouvement;
alors quand il a écrit ses Évangiles, ça ne s’est pas arrêté là, ça toujours continué.
Quand il dit : «Aimez-vous les uns les autres comme je vous aime», alors voyez-vous que cette phrase est en mouvement d’amour? Quand un enfant vient au monde, croyez-vous que la phrase est la même dite avant sa naissance, alors que nous avons avec nous un frère ou une sœur de plus? Voyez-vous comment ce mouvement est toujours dans l’amour? Ça ne cesse jamais!
C’est merveilleux de vivre en Jésus : alors l’éternité sera toujours ainsi!
On a commencé l’éternité! Quand on accepte de mourir en Jésus, on commence à l’instant notre éternité : ce n’est pas quand on va mourir! Moi, je pensais que quand on va mourir : on va commencer à vivre l’éternité; non, parce que Dieu le Père nous a donné sa Vie : son souffle de vie; c'est vivant, c'est un mouvement : alors la vie est en nous.
Cette vie-là : il faut la mériter; c’est pour ça qu’il faut se donner à Jésus : il faut vivre en Jésus.
Quand on vit avec notre volonté humaine, on vit avec le bien et on vit avec le mal : alors notre vie, qui est éternelle, en souffre! Nous blessons notre vie! Quand on fait des mauvaises actions, on dit : "Nous, on a la liberté" : on blesse notre vie éternelle; on la blesse, mais Dieu, comme il est la Vie en nous : il nous donne des grâces pour pouvoir la nourrir; c’est pour ça qu’il a institué les sacrements : pour nourrir notre vie :
nourrir sa Vie parce que notre vie est à lui, elle lui appartient.
C’est seulement notre oui ou notre non qui nous appartient : rien, rien d’autre; pas nos regards, rien ne nous appartient! Alors, quand on fait une mauvaise action, on doit lui donner parce qu’il l'a portée sur la Croix; il a fait couler son Sang pour qu’on puisse purifier cette action, mais par notre oui :
c'est seulement par notre oui!
Si on ne la lui donne pas, Dieu va nous laisser libres, il va nous donner toujours des moyens pour nous faire comprendre : «Donne-moi-la, ton action», et c’est en respectant qui on est, parce que Jésus est un mouvement d’amour.
On est libre, c’est notre liberté, ça c’est la vraie!
Ce n’est pas celle qu’on a pensé, il y a plusieurs années, en disant : "Je fais ce que je veux parce que je suis libre" :
ça, ce n’est pas de la liberté, c’était de l’esclavage entre les mains du Séducteur.
Voyez-vous, notre volonté humaine cohabite avec le bien et avec le mal; lorsqu'on se dit : "Je fais ce qui me plaît, je suis libre": on rejette Dieu, et si on rejette Dieu : on donne un oui à l’autre.
Notre vie ne nous appartient pas, elle n’est pas à nous, il n'y a seulement qu'un oui ou un non qui nous appartient, pas autre chose!
Si on dit non à Dieu, alors Dieu nous laisse libres!
Qu’est-ce qu’on fait avec notre vie? Elle ne nous appartient même pas!
On vient de lui dire : "Seigneur, je ne te la donne pas ma vie" : alors l’autre va la prendre!
Satan va la prendre, lui! Si on ne la donne pas à Dieu, l’autre va s’en servir!
Il faut faire attention!
C’est vrai qu’on ne le savait pas; moi je ne le savais pas, du moins, Dieu savait que je ne savais pas, alors il a pris soin de moi.
Voyez-vous, c’est l’amour de Dieu!
Parce qu’il connaît chacun de nous, il connaît tout notre intérieur, car on porte tous nos frères et nos sœurs depuis Adam et Ève; tout ce qui nous a rendus impatients, coléreux, ce qui nous a rendus jugeurs :
lui, il sait d’où ça vient, nous : non!
C’est ce qu’il nous faut comprendre dans ses écrits.
La plus belle parole, c’est son Évangile! Ça, c’est son écrit, c’est sa Parole, il n’y en a pas deux.
Comme il a pitié de nous!
Il suscite des personnes pour qu’elles s’abandonnent, qu'elles donnent leur oui.
Il n’y a rien qui vient de nous, absolument rien, mais lui, il sait : «Bon, elle, elle est plus flexible, elle est plus facile», il connaît notre oui avant qu’on vienne au monde; alors comme il connaît tout, qu'il est dans les mouvements de l’amour, il sait qu’on va accepter, par des oui, ces mouvements d’amour,
alors, il se fait entendre pour pouvoir éclaircir ces enseignements, à son moment!
Il a choisi tous ses ouvriers, il a choisi son temps; parce que, croyez-moi que j’aurais voulu la Terre Nouvelle avant la mort de mon mari! Quand j’ai commencé à connaître que Jésus était pour se montrer en tous les enfants, je ne le savais pas aussi bien qu’aujourd’hui, mais je savais qu’il y avait la Croix d’amour!
Quand j’ai su ça, la première fois, je me suis mise à crier dans le fond de l’autobus : "Je veux cette cassette",
on était deux, ça sorti de moi.
Voyons donc, moi qui étais en arrière, j’ai crié dans l’autobus : "je veux cette cassette!" Ce n'était pas moi ça, mais pas du tout! Ça sorti très fort! Mais quand j’ai écouté… Ah! mon doux, j'aurais donc voulu que ça arrive avant que mon mari meure parce que j’avais des projets : ma volonté humaine! Je me voyais me promener main dans la main; ça va être merveilleux avec les enfants!
Mais ce n’est pas ça que le Seigneur a choisi, il a choisi son temps pour tous les enfants de la terre!
Alors il donne de beaux enseignements d’amour, ce sont des rappels, il n’y a rien de nouveau.
Comme il suscite toutes sortes d’événements, de paroles, des personnes autour de nous pour nous amener à prononcer notre oui, alors il a fait entendre sa voix en moi.
J’ai écrit et ces livres détaillent notre intérieur.
Le premier : c’est un mouvement, connaître qui on est en la Trinité, ah! c’était merveilleux!
Quoiqu’en premier, je ne comprenais pas; maintenant, je comprends ce qu’il dit : les écrits disent ce qu’il y a de caché au plus profond de nous-mêmes; pourquoi on se met en colère; pourquoi on s’obstine; pourquoi on juge; pourquoi il faut parler avec des mots de douceur; qu'est-ce que c'est que le discernement? qu’est-ce que c’est que l’infusion du Saint-Esprit? qu’est-ce qui se passe autour de nous? il nous parle de réincarnation; il parle de tous les sujets que moi-même je ne connais pas : comme parler, avec une âme que j’ai entendue, de la drogue :
tout cela, c'est pour enseigner, pour montrer à ceux qui sont autour de nous ce qu'ils vivent,
pas pour les juger, mais pour montrer combien il les aime!
Ce sont ses enfants, ce sont des enfants blessés, alors il leur explique le pourquoi au plus profond d’eux-mêmes.
C’est ce qui va se passer dans les écrits, dans le 2 et dans le 3, et dans le 4, il y a un autre mouvement qui entre : la purification, et tous ces écrits doivent aussi apporter autre chose : il y a 15 jours, j’ai reçu à l’intérieur de moi des mots d’amour de Jésus :
il m’a fait comprendre sa souffrance!
Quand un enfant va communier en état de péché et qu’il prend Jésus : J’ai vu Jésus, à l’intérieur de moi, c’était tout noir, c’était tellement noir! Je voyais Jésus qui rampait, il disait : «Suis, ma fille», je l'ai suivi, en arrière; on était agenouillé, à quatre pattes, quelquefois on rampait, quelquefois, il y avait comme si c'était des épines autour d'un rond qui dépassait : alors je savais! Il m'a fait comprendre qu’à l’intérieur il souffre de différentes façons : sa souffrance sur la Croix continue à l’intérieur.
Je me demandais : "Pourquoi tout ça"? «Oui, – elle m'a dit, Maman Marie – porte le manteau de la douleur.»
J’ai dit : "Oui, Maman Marie".
Alors, il m’a dit aussi que des enfants au Québec vont souffrir à l’intérieur d’eux : une très grande souffrance, et d’autres enfants sur la terre vont les aider.
Ce sont des enfants qui meurent de faim, ce sont des enfants qui n’ont même pas de linge à se mettre sur le dos, ce sont des enfants qui couchent dans la rue, mais avec rien.
Vous savez, quand on couche dans la rue et qu'il n’y a pas de manteau pour se couvrir, même pas un chandail : rien, alors ces enfants n’ont plus de larmes en eux, ils ne peuvent même pas boire comme ils le voudraient : ils se meurent, ces enfants, et ils prient, ils ont une foi en Dieu et c’est eux qui vont nous aider.
Ce sont des enfants dans les pays, comme Haïti; ces enfants sont des enfants de Dieu.
Vous savez, ils ont une foi, ils ont une richesse : ils n’ont pas faim comme nous!
Notre âme meurt, elle meurt parce qu’elle n’a pas la nourriture de Dieu.
Alors, il a dit : «Ma fille, une partie des profits de tout ce que tu fais va aller à eux, parce que je vais reconnaître vos actions.»
Alors, je savais qu’il m’avait annoncé, au commencement, qu’une partie : le tiers des profits, était pour aller aux pauvres, l’autre était pour faire fonctionner les imprimeries, l’autre partie était pour toutes les dépenses; mais Jésus, il a mis autre chose dans notre cœur : il a mis de l’amour pour notre prochain : tellement de l'amour pour notre prochain, qu’on n’a pas pris encore un seul sou pour les dépenses.
On ne veut pas prendre un sou afin de pouvoir en donner plus, parce qu’ils ont besoin de nous, eux;
nous on a besoin d’eux, on a besoin de ses enfants!
Ils vont prier pour nos frères et nos sœurs du Canada qui se meurent.
Nous, nous allons les aider, ah! c’est petit ce qu’on a à faire, c’est pas beaucoup vous savez, mais Dieu va le multiplier, je suis sûr de ça, à sa façon parce que Dieu est amour.
Alors, voyez-vous que Dieu prend tous les moyens pour nous sauver,
pour nourrir notre âme à sa manière, délicatement, avec beaucoup d’amour!
On a seulement à dire oui, à garder notre silence un peu durant la journée pour étudier nos actions, les lui donner : à Jésus; quand on est bien occupé, vous savez, juste un tout petit instant ou quand on est bien fatigué durant la journée : ah! Seigneur, je te donne tout, je te donne mon ouvrage, je te donne ceux qui sont autour de moi, mon impatience.
Ce tout petit peu, Jésus va tout le prendre, vous savez, parce que tout lui appartient!
Alors, je remercie notre Jésus d’amour, je remercie Maman Marie, Marie est toujours auprès de son Fils.
Quand Jésus va se montrer en nous en toute sa gloire, nous verrons Dieu le Père, car qui voit le Fils voit Dieu le Père, qui voit Dieu le Père voit le Fils, voit le Saint-Esprit et il a dit : «Vous verrez ma Mère, ma Mère se tiendra près de moi.»
Voyez-vous comment ça va être grand!
En ce moment, notre Mère étend son manteau sur toute la surface de la terre pour nous protéger.
"Oui, Seigneur," il veut qu'aujourd’hui, vous sachiez ce qu'il a écrit. Même si j’envoie un courriel à quelqu’un, ce n’est pas moi qui le fais; même s'il faut que je ne marque qu'un merci, c’est pas moi; il ne veut pas!
Alors, aujourd’hui, quand il a envoyé un mot, il a dit : «Unissez-vous dans l’amour, lorsque vous faites l’œuvre de Dieu dans ses corrections, priez Dieu, demeurez en paix, obéissez à ma Volonté, renoncez à votre volonté humaine parce que Satan, la nuit, sème le doute : il veut arrêter mes écrits, et il a conçu un plan pour que ça s’arrête, mais ma Mère Marie est là.»
Et vous savez, il ne peut pas rien contre Maman Marie, absolument rien; alors je n’ai eu aucune peur!
Quand je l’ai écrit, ça ne m’a pas enlevé la paix que j’avais en moi, ni la joie, parce que je sais que Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit est la Divine Volonté : il nous aime trop!
Ce qui est commencé, c’est depuis Adam et Ève, car il a dit : «Je vous enverrai un Sauveur» : il nous l’a envoyé; Jésus a dit : «Je vous enverrai le Saint-Esprit», il nous l’a envoyé; il a dit : «Viendra le Royaume de mon Père», «Que ton Règne vienne sur la terre comme au Ciel» : c’est dans le Notre Père, et quand Jésus dit quelque chose : il le fait.
On n’a pas à s’inquiéter!
Alors, je vous remercie beaucoup, je remercie tous ceux que vous portez en vous parce qu’on est une grande famille!
Lorsqu’on parle en Dieu, lorsque le Saint-Esprit met en nous des paroles, ce n'est pas seulement pour nous, c’est pour ceux qu’on porte; alors, aujourd’hui, on est une grande famille, on est avec tous nos frères et nos sœurs du monde entier en ce moment même, on est dans ce mouvement d’amour-là; alors je vous dis merci.
Je dis merci à tous mes frères et mes sœurs du monde entier, et c’est avec Jésus, en Marie dans l’amour, que je vous le dis.
Jésus : Mes enfants d’amour, Dieu a prononcé en chacun de vous ces paroles;
elles sont en union avec l’Amour et l’Amour vous dit : «Je vous aime».
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Seigneur.
Her- Messages : 9481
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