Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile
Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Rennes-le-Château - Les Découvertes de l'Abbé Bérenger Saunière dans l'Eglise

Aller en bas

Rennes-le-Château - Les Découvertes de l'Abbé Bérenger Saunière dans l'Eglise Empty Rennes-le-Château - Les Découvertes de l'Abbé Bérenger Saunière dans l'Eglise

Message par Her Ven 5 Aoû - 8:38

Bonjour à tous,

Pour vous aider dans vos recherches, voici une liste à compléter des découvertes de l'abbé Bérenger Saunière lors des fouilles (sous couvert de travaux de rénovation nécessaires) dans l'église paroissiale Saint Marie-Madeleine de Rennes-le-Château.

Cette liste est bien entendu à compléter et éventuellement à corriger.

La découverte de documents est plus importante que ce qui a en été dit ou écrit, soit en plus de six endroits différents :

1°) - Découverte de documents derrière l'entablement de l'autel lors de son démontage. La table d'autel en pierre reposait à l'avant sur deux piliers, l'un carolingien réutilisé par l'abbé dans le jardin du calvaire sous la statue de Notre Dame de Lourdes. Le second pilier en pierre brute semble avoir été offert à l'abbé Henri Boudet, curé de Rennes-les-Bains. Ce pilier se trouve actuellement scellé contre le mur de l'église de Rennes-les-Bains à l'entrée du cimetière à gauche.
A l'arrière, la table d'autel prenait appui sur un mur d'un mètre vingt de hauteur sur lequel reposait un rétable en bois vermoulu et derrière lequel se trouvait l'ancienne sacristie très étroite (sur le modèle de la petite église de la Pradelle-Puylaurens - Aude). Il paraît - plusieurs témoins existaient, et ils furent formels - qu'en descellant l'entablement de l'autel, on découvrit une cavité emplie de fougère sèche, au milieu de laquelle on distinguait deux ou trois rouleaux. Ces documents découverts entre la table d'autel et le mur semblent être, entre autres, les deux parchemins dit de Saunière car ils comportaient aussi des passages des Evangiles ;

(Monsieur le curé fait venir un maçon de Couiza un nommé Nazaire Babou qui se met au travail et qui commence à démolir le maître autel, à 9h du matin l'abbé se dispose d'aller voir les travaux, il ne fait pas chaud du tout car nous sommes en février, arrivé dans l'église il est interpellé par le maçon qui lui montre une cavité dans un des piliers du maître autel, dans cette cavité il y a des rouleaux de bois fermés avec de la cire. L'abbé intrigué en prend un, casse le capuchon de cire et voit une masse grisâtre qu'il tire, c'est un parchemin, il est écrit, vieux français, latin, l'abbé reconnaît des fragments de l'Evangile, mais mêlé à cela il y a d'autres mots tels que pièces d'or, bijoux, etc… La respiration de l'abbé se fait plus courte il y a là un mystère, des mots épars dansent devant ses yeux, il reconnaît des chiffres, l'abbé se reprend car Babou est là qui le regarde, avec une feinte indifférence il lui dit que ce sont des papiers sacrés et qui ont été placés là par d'autres prêtres, peut-être à la révolution française, ils n'ont aucune valeur, et l'abbé dit au maçon d'aller déjeuner, et que pendant ce temps là il dirait sa messe. Babou n'insiste pas et s'en va. Aussitôt l'abbé sort tous les rouleaux, brise la cire qui les cachette, et lit, il voit de suite que tout a été embrouillé à souhait, mais néanmoins il est sûr que ces parchemins révèlent un formidable secret.
Babou après déjeuner est allé bavarder, et comme une traînée de flamme tout le village apprend que l'on a trouvé des rouleaux contenant des parchemins. Le Maire informé du fait, vient voir le curé et lui en demande la traduction, qui sans difficulté les lui montre, mais il n'y comprend rien, et le curé n'a aucun mal pour lui prouver que ce sont des papiers sans valeur puisqu'on y parle de St Mathieu, St Luc, de St Jean, le Maire n'insiste pas. Le curé lui confia peu après une traduction écrite de sa main. Les textes traduits se rapportaient, parait-il, à la construction de l'église et de l'autel. On ne sait pas ce que sont devenus les documents.
Mais le curé a peur qu'en continuant les travaux, Nazaire Babou fasse de nouvelles découvertes. Sous le prétexte qu'il doit partir en voyage et ne peut surveiller les travaux, il arrête tout... (pour surtout mettre un terme aux commérages et prendre de temps de trouver une nouvelle équipe d'ouvriers. Pour garder des secrets, il faut savoir cloisonner les interlocuteurs : moins ils en savent, plus c'est discret et mieux c'est.)


2°) - Découverte de documents cachés dans les cavités à reliques creusées dans les deux piliers. Ces cavités contenaient le certificat de la consécration de l'église et les reliques des saints martyrs sous la table d'autel et leur certificat signés de l'ordinaire du lieu, à l'époque de la consécration. Cette tradition rappelle que dans les premiers temps de l'Eglise, les Eucharisties étaient célébrées dans les catacombes sur les tombeaux des premiers martyrs ;

3°) - Découverte de documents comportant la liste des affaires cachées sous la dalle dite des Chevaliers, rédigée par l'abbé Antoine Bigou. Il semble que des documents aient été découverts sous le plancher, à l'arrière de l'autel, c'est-à-dire dans l'ancienne sacristie ;

4°) - Découverte de documents et d'un pécule dans une oule cachée par l'abbé Antoine Bigou, indiquant la cache sous la dalle dite des Chevaliers. Une sœur de lait de la bonne du curé, qui vit encore, ne dissimule pas qu'en réparant l'église, le curé aurait trouvé un pot (une oule, terme languedocien) rempli de pièces d'or dont il ne faut pas surestimer la valeur ; pas un grand trésor mais un petit magot qui fut le bienvenu pour la poursuite des travaux ;

5°) - Découverte de documents sous la dalle templière "Reddis Regis Cellis Arcis". Cette dalle devait se situer dans le choeur sur le côté gauche de l'autel en regardant vers le choeur, ou inversement, à droite en regardant vers le confessionnal, c'est à dire à la place de la croix de Dismas, la croix du bon larron ;

6°) - Découverte de documents dans le pilier de bois soutenant l'ancienne chaire, lors du démontage de celle-ci. Je pense, comme il était de tradition dans l'Eglise, que ces documents comportait uniquement la listes des donateurs de la paroisse qui avaient participé au financement de l'achat et de l'installation de l'ancienne chaire en bois. Habituellement, ces listes comprennaient les noms des donateurs et les montants de leurs offrandes ;

7°) - Découverte de documents cachés dans la chaire, derrière le prédicateur, dans une alcôve murale où le prédicateur déposait habituellement, les textes nécessaires à ses homélies. Avant de partir pour l'exil vers l'Espagne, l'abbé Antoine Bigou a déposé des documents dans cette alcôve, puis il a masqué l'alcôve en faisant poser par dessus un lambris en bois vernis ;


En étudiant cette liste d'un peu plus prêt, vous en déduirez que par mesure de prudence et pour que ces caches et leurs contenus soient protégées par la divine providence, l'abbé Antoine Bigou a pris soin de ne choisir l'emplacement de ces caches qu'en des lieux exclusivement réservés au desservant de l'église (solis sacerdotibus) et où les paroissiens n'accédaient jamais.

Ce procédé confirme que la découverte et la mise au jour de ces documents cachés étaient destinées exclusivement à un prêtre, et le prêtre qui fut choisi pour cette mission fut l'abbé Bérenger Saunière auquel, avant sa nomination à Rennes, il fut décidé de le faire marcher sur les traces de l'abbé Antoine Bigou pour une sorte de préparation spirituelle. Avant leur nomination comme curé de Rennes, à un siècle d'intervalle, ils furent tous les deux curés du petit village du Clat sur le plateau du Pays de Sault au-dessus d'Axat. Le village du Clat qui appartenait aux de Nègre du Clat, une branche secondaire des de Nègre d'Ables, étaient un village de charbonniers.

Je reviendrai à l'occasion sur cette liste pour la compléter.

Meilleures pensées
Hercule
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum