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Défense de la Famille - L'Education Nationale ou l'Extinction du Mammouth

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Défense de la Famille - L'Education Nationale ou l'Extinction du Mammouth Empty Défense de la Famille - L'Education Nationale ou l'Extinction du Mammouth

Message par Her Sam 30 Avr - 6:23

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/04/un-coin-levé-sur-la-pseudo-éducation-dite-nationale.html

29 avril 2011

Un coin levé sur la pseudo éducation dite nationale?

1er budget de l'Etat avec 60 milliards d'euros annuels, 6ème administration du monde en nombre d'employés, 40% des élèves de 6ème qui ne connaissent pas l'écriture, 30% des élèves de 17 ans qui ne maîtrisent pas la lecture, 150 000 échecs par an, etc.

Le tableau n'est pas beau et surtout aucune entreprise civile ne survivrait à un tel bilan, même avec des syndicats aussi puissants. Alors, comment est-ce possible?

Une journaliste du Point lève quelques explications intéressantes dans son ouvrage (autre analyse ici) :

Bercy est aux manettes et dirige la "politique" de "l'éducation".
Les décideurs des réformes en sont les contrôleurs : on se croirait à l'Est d'un mur qui n'existe plus ou en Chine.
Un syndicalisme peu reluisant (on le savait, mais aujourd'hui c'est écrit) et sur-puissant.
Une démagogie électoraliste vis-à-vis des parents depuis le plus haut sommet du ministère.
etc.
L'intérêt des enfants? Nulle part. Affligeant et pourtant ça semble si vrai.

Posté le 29 avril 2011 à 11h28 par Lahire


Dernière édition par Hercule le Ven 23 Sep - 6:10, édité 1 fois
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Message par Her Sam 30 Avr - 6:25

http://www.metrofrance.com/info/le-vrai-patron-de-l-education-nationale-est-a-bercy/mkdu!NenZK6F66jH8A/

"Le vrai patron de l'Education Nationale est à Bercy"
Sophie Coignard auteur du "Pacte immoral. Comment ils sacrifient l’éducation de nos enfants" a dévoilé les coulisses du système éducatif aux metronautes.

Bonjour.
Sly : Bonjour. Quelles ont été vos sources, comment avez-vous enquêté pour ce livre ?
Un travail de terrain, d'abord, dans les écoles, collèges et lycées. Et puis à tous les niveaux de la hiérarchie de l'Education nationale. Ma chance: à tous les échelons, des personnes ont accepté de me parler, de me communiquer des documents car elles sont indignées...
Alex327 : Chatel a annoncé que 1500 classes de maternelle et primaire allaient être supprimées à la rentrée 2011. Avec 4900 élèves en plus, l'effectif par classe va augmenter. Lui qui prétend défendre l'école et les élèves, quelle est sa logique?
Le vrai patron est à Bercy, comme je le montre dans mon livre. Donc Chatel veut plaire à l'Elysée, c'est tout. Sa logique? Faire en sorte que rien ne bouge, de manière à sortir intact de son passage rue de Grenelle.
Moma : Le vrai pou voir en matière d'éducation écrivez-vous se situe désor mais plus à Bercy que rue de Grenelle, par quelles voies exactement ? Comment cela se passe-t-il concrètement ?
Le ministère de l'EN est le plus gros budget avec 60 milliards d'euros, et le sixième employeur du monde. Donc, lorsqu'on décide de ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux, l'EN trinque plus que les autres. La réforme de la formation des maîtres, mise en place cette année et qui s'est révélée catastrophique, était avant tout une astuce budgétaire, pour supprimer des postes de manière indolore: 16000 professeurs stagiaires qui ne sont plus en formation mais devant des classes, cela fait des postes en moins à pourvoir. C'est un exemple, récent, parmi beaucoup d'autres.
Baudruche : Vous avez obtenu le soutien de "Jean-Paul Brighelli" un pédagogue à mon sens assez réac... Votre discours c'est quoi en fait, la gauche et les syndicats ont tué l'école ? Retournons donc au temps de la blouse et du coup de règles sur les mains ?
La nostalgie ne fait pas un programme, les syndicats jouent un rôle peu reluisant mais pas aussi déterminant que ce que véhiculent les clichés. Quant au clivage gauche-droite, il faut être bien naïf pour penser qu'il joue le moindre rôle dans les politiques éducatives. Dans mon livre, je raconte au contraire comment ce cynisme est absolument partagé par la gauche et la droite. Cf ce que j'ai écrit précédemment sur la réforme de la formation.
Ugolin : "La semaine de quatre jours est l’archétype de la réforme d’inspiration budgétaire déguisée en réforme pédagogique" et aujourd'hui c'est quoi l'alibi ?
Le calcul fait par Darcos: pouvoir afficher de l'aide personnalisée dans le primaire sans dépenser un centime. Pour cela, il déconnecte le temps de travail des professeurs de celui des élèves. La semaine de quatre jours libère, en gros, 3 heures par semaine de temps de travail reconverties en soutien. Et le tour est joué. L'alibi était facile à trouver:le fait que les enfants n'aillent pas à l'école le samedi matin est populaire auprès des familles.
Profencolere : J'ai entendu que les profs appelaient à une journée de protestation le 18 mai. Que peuvent-ils demander, et surtout obtenir?
Que certaines classes ne soient pas fermées, surtout dans les petites écoles où une suppression désorganise beaucoup la vie scolaire. Ils auront pour cela le soutien des élus locaux, qui commencent à beaucoup s'agiter dans certaines régions. Ils doivent parier sur la lâcheté du politique, surtout à moins d'un an de la présidentielle.
Jajakaja : Vous semblez vous être beaucoup intéressée à l'administratif, mais ne pensez-vous pas que le malaise que connaît l'enseignement aujourd'hui soit plus pédagogique? Les formats d'enseignement et méthodes appliquées sont-elles selon vous toujours adaptées à la société d'aujourd'hui?
Non, je me suis aussi intéressée à l'aspect pédagogique. J'ai constaté que ce sont les promoteurs des réformes des 20 dernières années, celles qui ont accéléré l'accroissement des inégalités, qui sont aujourd'hui les experts chargés de juger les résultats de leurs désastreuses initiatives. Pendant ce temps, personne n'évalue les méthodes qui, sur le terrain, fonctionnent, permettent de briser la fatalité de l'échec. Cet échec qui, lui, se mesure: 4 élèves sur 10 qui entrent en 6ème ne possèdent pas les fondamentaux en lecture ou en calcul, 30% des jeunes de 17 ans ne maîtrisent pas la lecture.

Alex327 : Bonjour. Pour vous, le problème de l'école est-il surtout un manque de moyens ou de compétence des profs, ou est-il lié à des élèves devenus trop difficiles?
Le problème de l'école est selon moi essentiellement dû à la démission des politiques: de Jospin à Sarkozy, tous ont répété que l'éducation est la priorité absolue. C'est vrai. Seul problème: aucun des responsables (ministres, président...) ne met si peu que ce soit en application ces belles paroles. Dans le même temps, le collège a accueilli tous les élèves, alors qu'auparavant le tri était fait avant la 6ème. C'est, à mon sens, une évidente obligation que le collège pour tous. Mais pourquoi envoie-t-on les professeurs débutants dans les établissements les plus difficiles? Comment ose-t-on parler de "zones d'éducation prioritaire" alors que l'argent qui leur est consacré par la collectivité (via la masse salariale des professeurs) est moindre que ce qui est accordé aux "bons" établissements? C'est un des scandales auquel aucun gouvernement n'a osé s'attaquer, alors que des solutions existent.
Ballon : N'y-a-t il vraiment aucun enfants de ministres à l'école publique ?
Je n'ai jamais dit ni écrit cela. Les enfants de ministres fréquentent aussi les très bons lycées parisiens publics.
Profencolere : Bonjour. Je ne comprends pas comment on peut mettre l'accent sur le suivi personnalisé des élèves en difficulté au collège et lycée et par ailleurs virer les Rased et augmenter les effectifs par classe en primaire et maternelle. N'est-on pas justement en train d'appauvrir l'éducation des plus jeunes en ne leur offrant pas de bonnes conditions d'apprentissage?
Je suis d'accord avec vous sur le fond. C'est un exemple de l'écart entre discours et réalité. Même si le système des RASED est à améliorer, les professeurs des écoles, sur le terrain, sont désemparés par la solitude à laquelle ils sont livrés face aux élèves en difficulté: plus de maîtres spécialisés pour prendre le relais et discuter des cas les plus difficiles. La preuve de ce double langage: Luc Chatel, qui prétend que sa réforme du lycée offre de l'accompagnement personnalisé, a refusé de supprimer la défiscalisation des cours particuliers privés qui profite aux plus favorisés. C'est bien la preuve qu'il ne croit pas lui-même à la "remédiation" du système par lui-même, comme il le répète à longueur de discours.
Zorro : "L’école, le collège, le lycée et l’université sont donc devenus des trompe-l’œil où se joue la comédie de la réussite", c'en est-il carrément fini de l'ascenseur social ? Expliquez moi.
Le ministère fait "comme si" il n'y avait pas, chaque année, 150 000 jeunes qui sortent sans diplôme ni qualification du système scolaire. Il camoufle les résultats concernant l'illettrisme. Les réformes qui se succèdent sont destinés à cacher ces réalités. Exemple: la réforme des rythmes scolaires à peine mise en place, Chatel met en place une commission pour les modifier à nouveau en... 2013. Dans les classes, on constate que les réformes des programmes mises en place depuis 15 ans à 20 ans ont renforcées les inégalités. Mais rien ne bouge ou si peu sur ce front...
Lilo : Quelles sont selon vous les mesures d'urgence pour l'école ?
D'abord, une opération vérité. Ensuite, la revalorisation du métier de professeur, notamment en stoppant ce scandale qui consiste à envoyer sous la mitraille, dans les établissements les plus difficiles, les moins expérimentés. Mais pas seulement: il faut aussi les écouter. Beaucoup de professeurs des écoles m'ont raconté comment ils se battent, en permanence, contre l'institution. Je crois que le système fonctionne encore grâce à ces professeurs qui ont le sentiment de remplir une mission. Ce sont eux qu'il faut enfin écouter, pas la hiérarchie intermédiaire qui grippe les rouages ou les experts autoproclamés que le ministre continue d'écouter et de câliner.
Un dernier mot Sophie Coignard ?
Merci de vos questions et de votre attention. Et merci à tous ceux qui ont bien voulu me parler lors de mon enquête, avec l'espoir que mon livre contribuera à faire changer les choses. On peut rêver un peu...
Grand reporter au Point, Sophie Coignard est l’auteur d’une quinzaine de livres sur les dysfonctionnements et les injustices de la société française (La République bananière, L’omerta française, Un Etat dans l’Etat...).

"Le pacte immoral. Comment ils sacrifient l’éducation de nos enfants". Ed. Albin Michel. 288 pages: 19,5 €
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Message par Her Sam 30 Avr - 6:26

http://www.lire-ecrire.org/conseils-pratiques/lectures-commentees/livres/le-pacte-immoral.html

Le Pacte immoral

Comment ils sacrifient l'éducation de nos enfants.
Sophie Coignard Ed. Albin-Michel 2011.
Mais comment est-ce possible ? L'équipe de Lire-Ecrire est accoutumée à cette question, souvent posée après la description de tel ou tel aspect regrettable de l'enseignement en France. Comment expliquer la persistance des mêmes erreurs pendant des dizaines d'années ? Comment ne pas penser "c'est incroyable, et nous ne vous croyons pas ; c'est vous qui devez vous tromper".
En effet, c'est incroyable. Depuis 10 ans, nous devrions être "blindés" comme on dit. Et pourtant, presque chaque semaine nous apporte un nouveau témoignage de pratiques pires que tout ce que nous pouvions imaginer.

A cette question, Sophie Coignard apporte la réponse, en termes simples, car elle n'appartient pas à l'Education Nationale, et n'en emprunte le jargon que pour mieux nous édifier.
Il faut admirer la performance. L'Education Nationale est, comme on sait, un monstre étatique dont la masse, d'après le rapport Fauroux, ne pouvait être comparée en 1996 qu'à celle de l'armée soviétique. Outre son immensité, elle montre une extrême complexité dans ses structures, ses règles de fonctionnement, et encore plus dans la réalité des relations humaines, à tous les niveaux.
Sophie Coignard a consacré une année à la collecte des informations, dans un milieu où l'emprise des réalités contrariantes est fermement conjurée par la pratique assidue de l'endoctrinement, du mensonge par omission, de la désinformation. Elle n'a pas pu tout voir du pire et du meilleur ; des spécialistes qui se consacreraient à une telle tâche des années durant, y trouveraient matière à une encyclopédie, sans épuiser le sujet.
Le Pacte immoral est un pacte de non-agression entre d'un côté les politiques, de l'autre une nomenklatura de hiérarques, de vrais idéologues et de faux experts, qui ont déserté depuis longtemps les salles de classe. Ils sont solidement soutenus par des syndicats d'enseignants et de parents d'élèves, au mépris de l'intérêt réel de nos enfants comme de notre avenir collectif.
L'ouvrage fournit suffisamment d'exemples documentés, personnalisés et datés, pour l'édification du citoyen ordinaire. Il complète, par l'envers du décor, ce que nous tentons depuis 10 ans de montrer et d'expliquer. Nous ne faisons pas et ne ferons jamais le même travail que Sophie Coignard, d'abord parce que nous n'avons pas son talent, ensuite parce que nous ne résisterions pas à la besogne mortifère de décrire dans le détail les ressorts de la débâcle de l'école. Notre choix est fait : c'est l'instruction des élèves et l'information des parents.
Un livre à lire et faire lire, pour comprendre "comment c'est possible".
G.C.
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Message par Her Mar 10 Mai - 10:02

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/05/comment-léducation-jette-les-ados-à-la-rue.html

Comment l'éducation jette les ados à la rue
Posted: 08 May 2011 11:39 PM PDT
Lu ici :

'Etrangère aux autres filles de la bande, c’est grâce à Facebook qu’elle a rejoint le clan le mois dernier. « Il y avait un message qui circulait de boîte mail en boîte mail qui disait que les Mastah Dinguerie recrutaient, explique-t-elle. Je voulais rejoindre une bande de filles qui n’a pas peur de se battre, et c’est justement la réputation qu’elles avaient. »

Après avoir répondu au message, Mounia intègre immédiatement le groupe. « Il n’y a pas de tests. La seule chose qu’on te demande, c’est d’être là quand on te donne rendez-vous, notamment pour les bagarres. » Le premier affrontement ne tarde pas. « Une des filles de la bande s’était fait insulter par une Go (terme désignant une fille) dans la rue, sans raison. Le lendemain, on lui a donné rendez-vous pour se taper. Il y avait une dizaine de filles qui nous attendaient, mais nous, on était facilement quinze. J’ai participé pour montrer aux autres que je n’avais pas peur de la bagarre. »

L'absence d'une famille normale tient une place importante :

"A la maison, la mère de Mounia ignore tout des sorties musclées de sa fille. Ou presque. « Une fois, elle est venue me chercher en garde à vue. Je m’étais battue avec des contrôleurs de la RATP parce que je n’avais pas de billet. Elle m’a engueulée, mais c’est passé. Ça passe toujours. » L’ado, qui n’a jamais connu son père, n’a qu’une figure masculine sur laquelle s’appuyer : son grand frère. « Il m’encourage, me dit de ne pas me laisser faire. »"

Et l'on appellera ça, une société évoluée?
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Message par Her Mar 10 Mai - 10:03

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/05/ils-ne-sont-plus-étonnés-par-les-pétaudières-que-sont-certaines-écoles.html

Ils ne sont plus étonnés par les pétaudières que sont certaines écoles
Posted: 08 May 2011 10:16 PM PDT
Le Progrès a consacré un reportage à l'école de La Péraudière, dont l’aumônerie est assurée par les moines capucins du couvent Saint-François de Morgon (Beaujolais), proches de la FSSPX. Pour ce quotidien, cette école est "incroyable" :

"Pupitres en bois et tableau noir, sol de la cour en terre battue, pas de télé à l’internat, la Péraudière donne néanmoins furieusement dans le rétro. Et l’assume. « Nous inculquons, aux enfants, l’amour de la vie campagnarde » explique Philippe Houzelle. « Nous leur faisons faire des jeux en pleine nature. Quand il neige, ils font du ski (NDLR sans remonte-pente !) dans le pré en contrebas. Le soir, les enseignants et les élèves balayent les pièces, ça donne le sens du concret. Et ceux qui le demandent coupent le bois, sous surveillance d’adultes bien sûr ». [...] L’effectif par classe va par contre faire rêver la plupart des enseignants du public. « Cette année, nos classes vont de deux élèves, en 8e, à dix, en 4e. Ce petit nombre fait que l’on peut plus s’occuper des enfants ». Les résultats sont plutôt à la hauteur. Le seul élève à avoir passé le bac l’année dernière l’a obtenu avec la mention Bien."

Marie-Pierre, sur le Metablog, renverse l'étonnement :

"Notez que l’article est écrit sans fiel ni raccourcis faciles: il cite le maire (de gauche) de la commune qui «vient à la rescousse» pour rassurer que ce n’est pas un «repère» de fachos. Il écrit que le niveau ne peut «pas être dû uniquement aux deux prières et au chapelet récités chaque jour». Il décrit une ambiance somme toute débonnaire, et s’il donne la parole au directeur ce n’est pas pour avoir matière à s'offusquer. Sans être forcément séduit, il rend compte, et il n’en revient pas. Et mon articulet n’entend pas dénoncer une dénonciation (il n’y en a pas), mais s’étonner d’un étonnement. Voilà où nous en sommes en France, en 2011: c’est la Péraudière qui étonne et non… les pétaudières que sont certains collèges de banlieues."
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Message par Her Mer 11 Mai - 8:45

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/05/un-professeur-menvoie-cette-information-je-viens-de-recevoir-des-spécimens-de-manuels-scolaires-qui-indiquent-dans-le.html

10 mai 2011

Bourrage de crâne dans l'Education nationale

Un professeur m'envoie cette information :

"Je viens de recevoir des spécimens de manuels scolaires qui indiquent, dans le cadre des nouveaux programmes, quels sont les “thèmes” (car la pédagogie consiste maintenant à “aborder des thèmes”...) qui devront être vus avec les élèves de terminales des lycées professionnels. Il n’est question que du “regard sur les autres”, de “défendre ses valeurs”, du “déracinement”, de “l’exil”, de “s’opposer aux idées reçues”... et autres fariboles qui sont censées faire réfléchir des élèves dont l’horizon se limite à la taille d’un écran de téléphone portable et les connaissances à celles d'un joueur de foot.
Dans le manuel que j’ai sous les yeux, un thème s’intitule “les mots voyageurs”. Titre ronflant par lequel on veut faire comprendre à des élèves de terminale (20 ans en moyenne) que le vocabulaire français s’enrichit de termes empruntés à des langues étrangères.
Mais seuls des mots arabes sont donnés en exemple (“bled”, “caïd”, “ramdam”, “smala”... etc.) ce qui permettra aux élèves issus de la “diversitude” d’affirmer haut et fort que la culture française doit presque tout aux Arabes.
Ce bourrage de crânes à l’aide du politiquement correct s’appelle “neutralité” dans l’Education Nationale..."

Posté le 10 mai 2011 à 18h36 par Michel Janva
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Message par Her Ven 20 Mai - 12:05

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/05/il-faut-en-finir-avec-lécole-publique-monolithique-centralisée.html

19 mai 2011

Il faut en finir avec l’école publique monolithique centralisée

Anne Coffinier répond à Belle et rebelle :

"L’Éducation nationale doit d’urgence se remettre en cause ! Or, elle n’y parvient pas. Un système de 2 millions de salariés gérant 12 millions d’élèves est quasi structurellement irréformable. Les solutions ne sauraient venir d’en haut. Elles viendront nécessairement d’en bas, de la société civile : des mères, des pères, des professeurs, des communautés locales… L’association Créer son école et la Fondation pour l’école se sont justement mises au service de ces initiatives de la société civile, en en respectant la diversité.

[...] La conclusion est plutôt qu’il faut oser proposer diverses écoles aux familles pour que les enfants aient plus de chances de trouver un contexte éducatif et des méthodes qui leur réussissent. Des écoles ambitieuses pour les enfants mais variées dans leur approche. Bref, il faut en finir avec l’école publique monolithique centralisée et le rêve d’une France dans laquelle tous les enfants ouvriraient à la même heure le même cahier pour la même leçon. Nous devons accepter que les enfants n’aient pas tous la même forme d’intelligence, la même motivation pour étudier, les mêmes aspirations, les mêmes aptitudes, le même contexte social. C’est une chance pour la société d’ailleurs. A l’école de tenir compte de cette réalité sous peine de mettre au rebus jusqu’à 40% d’une classe d’âge inadaptée à l’institution scolaire, tout en retardant dans leurs avancées les 60% qui pourraient s’accommoder de l’école telle qu’elle est. Bref, arrêtons d’avoir peur de la diversité, de la différence. Seule l’émergence d’écoles variées permettront à aux enfants qui ont des aptitudes et des aspirations variées de s’accomplir. Il est temps de rompre d’urgence avec l’égalitarisme idéologique.

[...] 20 nouvelles écoles ouvrent en plus chaque année. Ce mouvement de libération parti du bas ne pourra plus être arrêté. Il correspond à un phénomène très naturel : celui de parents, de professeurs, de responsables locaux qui fondent des écoles."

Posté le 19 mai 2011 à 21h10 par Michel Janva
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Message par Her Mar 24 Mai - 9:12

http://www.present.fr/

Présent Quotidien

Réforme du lycée

Le mal au grand jour

Je viens de prendre connaissance des manuels de « SVT » (sciences de la vie et de la terre) des classes de 1e (séries L et ES), conformes aux programmes en vigueur à partir de la rentrée prochaine. C’est un déferlement d’idéologie, et même – parce qu’il s’agit en réalité d’incitation à la débauche – de pornographie. Les jeunes de 16 et 17 ans passeront une bonne part de leurs heures de sciences à ingurgiter l’« idéologie du gender » : le programme porte sur le « féminin-masculin », l’identité et l’orientation sexuelles, la manière de « vivre sa sexualité », et la « prise en charge de sa vie sexuelle », sans compter la promotion de la procréation assistée. Devant l’étalage d’une antimorale aussi insolente que richement illustrée, deux mots viennent à l’esprit : « inversion », « infernal ».

Ce qui naguère passait par des organismes ad hoc de conseil aux jeunes – c’était insupportable mais évitable – s’affichera désormais dans les salles de cours et il risque d’être très difficile d’y échapper.

La perversion se double d’une manifeste volonté de contrôle absolu des consciences et des cœurs. Les « SVT » feront l’objet d’une épreuve anticipée du baccalauréat. Au programme : un écrit, où les élèves auront éventuellement l’option de traiter un autre sujet comme (je vous le donne en mille) le « développement durable ». Mais aussi un oral de vingt minutes, portant sur la partie « sexe » du programme, et traitant d’une question d’actualité. On n’endoctrine pas sans vérifier que le message soit passé, et bien passé. Sauf mobilisation – et il s’agit de faire vite et bien ! – les jeunes, qu’ils soient scolarisés dans le public, le privé sous contrat ou le hors-contrat, devront posséder le programme, et, le cas échéant, abonder en son sens. A moins d’avoir le courage de dire « non ». Un courage sur lequel ils auront le sentiment de jouer leur avenir.

Ne l’oublions pas : ces programmes sont ceux voulus, préparés, mis en place par le gouvernement de Nicolas Sarkozy. C’est Luc Chatel qui a présidé à leur élaboration, en tant que ministre responsable.

Présent en avait évoqué les premières manifestations dans le programme de SES (sciences économiques et sociales), dont les manuels ont été distribués, en retard, dans les classes de seconde cette année : l’idéologie du genre y figure déjà en bonne place.

Lorsque viendra l’heure de voter, demain, l’on saura que sur ce point, la gauche et la « droite » parlementaires se valent. On ne voit pas le PS ou les Verts détricoter ce qu’ils approuvent si fondamentalement ; on ne voit pas non plus une nouvelle équipe UMP désavouer leurs prédécesseurs – à moins d’une très forte pression électorale. D’ailleurs, se trouve-t-il un candidat qui osera parler contre la promotion de la contraception à l’école – et avec elle, la promotion de l’avortement, de l’homosexualité, de la construction « culturelle » de l’identité sexuelle ? Je n’en connais pas qui ait eu à son programme la dénonciation de ce qui existe déjà dans le domaine – en 4e et 3e, c’est déjà affreux, mais loin de ce qui sera bientôt servi aux jeunes qui recevront les manuels version 2011-2012. Or c’est bien de principes non négociables qu’il s’agit : le droit pour les parents d’éduquer leurs enfants selon leurs principes et leur foi, dans le respect de la loi naturelle – bafouée à longueur de pages dans ces manuels imaginés et voulus par le pouvoir politique –, le devoir de respecter la vie et la famille.

Nous analyserons au plus près les programmes et certains manuels dans les semaines à venir. Si vous avez des enfants ou des petits-enfants lycéens, préparez-vous à agir, alertez vos proches, faites connaître l’enquête que Présent va mener.

Pas d’« informations erronées », pas de « préjugés » : voilà comment les rédacteurs des manuels veulent « former » les jeunes de demain à vivre leur sexualité. Vous verrez ce que cela recouvre. Depuis la présentation de l’acte amoureux comme une simple variante de l’accouplement des mammifères, en tous points semblables à celui des singes bonobo, jusqu’à l’exaltation de Mme Veil et de sa loi, en passant par des photos de la Gay Pride et de sexes de bébé, tout est orienté et un seul point de vue passé sous silence, ou dénigré : celui de l’Eglise catholique, celui d’une conception traditionnelle de la famille.

On les dérange donc tant que ça ?

Eh bien, continuons !

• Une excellente analyse de l’« idéologie du gender » dans ces manuels se trouve sur le site « Evangile de la vie » sous la plume de Pierre-Olivier Arduin.

JEANNE SMITS

Article extrait du n° 7355
du Mardi 24 mai 2011
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Message par Her Mar 31 Mai - 7:14

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/05/aujourdhui-cest-létat-nous-met-des-bâtons-dans-les-roues.html

30 mai 2011

"Aujourd’hui, c’est l’État nous met des bâtons dans les roues"

Belle étude de France catholique sur la dictature de l'idéologie du genre imposée dès le lycée par l'État dans l'éducation de nos enfants :

"Les nouveaux manuels scolaires de SVT de 1ère pour la rentrée 2011 viennent de franchir une étape : ils sont truffés des préceptes de l’idéologie du genre. Pour décrocher leur bac, mes enfants devront faire profession de foi dans un être humain à la sexualité indéterminée, prétendre (comparaisons animalières fallacieuses à l’appui) que sexualité et procréation sont strictement à distinguer. (Une façon – soit-dit en passant – de nier l’évidence de leur propre histoire biologique). Ils apprendront que si l’homosexualité ne s’étend pas davantage, c’est à cause de l’homophobie et devront vanter la masturbation générale, éreintant au passage leur religion jugée passéiste.

Faudrait-il apprendre à nos enfants à réciter le faux pour avoir bien ? A tricher avec la vérité pour réussir ? A moins d’y renoncer ? A se méfier de plus en plus des écoles, des programmes et des professeurs… ?

Mais que pèse un pauvre père devant le monstre intrusif éducation nationale qui n’hésite plus à distribuer aux adolescentes des produits contraceptifs, anonymes et gratuits. Et quand l’accident de contraception se sera traduit par une grossesse, c’est encore dans notre dos qu’il va conduire nos filles vers l’évidence de l’avortement. Nous n’en saurons strictement rien. A moins de percevoir des larmes, bien difficile à consoler. Car, pour assumer les conséquences, l’État comptera encore… sur les parents (...)

D’une manière générale, les chapitres en question sont une attaque en règle contre la loi morale naturelle, rejetant toute signification anthropologique et éthique à la différence naturelle des sexes. « Dans ce nivelage, la différence corporelle, appelée sexe, est minimisée, tandis que la dimension purement culturelle, appelée genre, est soulignée au maximum et considérée comme primordiale (…)

Selon cette perspective anthropologique, la nature humaine n’aurait pas en elle-même des caractéristiques qui s’imposeraient de manière absolue : chaque personne pourrait se déterminer selon son bon vouloir, dès lors qu’elle serait libre de toute prédétermination liée à sa constitution essentielle »".

La suite ici.

L’Église enseigne au sujet des liens entre l’État et la famille, l'obligation pour le premier de respecter le sanctuaire de cette deuxième qui lui est antérieure et la primauté de l'autorité du Père sur tout autre :

"Aussi bien que la société civile, la famille, comme Nous l'avons dit plus haut, est une société proprement dite, avec son autorité propre qui est l'autorité paternelle. C'est pourquoi, toujours sans doute dans la sphère que lui détermine sa fin immédiate, elle jouit, pour le choix et l'usage de tout ce qu'exigent sa conservation et l'exercice d'une juste indépendance, de droits au moins égaux à ceux de la société civile. Au moins égaux, disons-Nous, car la société domestique a sur la société civile une priorité logique et une priorité réelle, auxquelles participent nécessairement ses droits et ses devoirs. Si les citoyens, si les familles entrant dans la société humaine y trouvaient, au lieu d'un soutien, un obstacle, au lieu d'une protection, une diminution de leurs droits, la société serait plutôt à rejeter qu'à rechercher.

C'est une erreur grave et funeste de vouloir que le pouvoir civil pénètre à sa guise jusque dans le sanctuaire de la famille (...)

L'autorité paternelle ne saurait être abolie ni absorbée par l’État, car elle a sa source là où la vie humaine prend la sienne. "Les fils sont quelque chose de leur père. "Ils sont en quelque sorte une extension de sa personne. Pour parler exactement, ce n'est pas immédiatement par eux-mêmes qu'ils s'agrègent et s'incorporent à la société civile, mais par l'intermédiaire de la société familiale dans laquelle ils sont nés. De ce que " les fils sont naturellement quelque chose de leur père, ils doivent rester sous la tutelle des parents jusqu'à ce qu'ils aient acquis l'usage du libre arbitre. " (7) Ainsi, en substituant à la providence paternelle la providence de l’État, les socialistes vont contre la justice naturelle et brisent les liens de la famille" (Léon XIII, Rerum novarum).

Posté le 30 mai 2011 à 07h56 par Lahire
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Message par Her Jeu 2 Juin - 13:58

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/06/les-parents-sont-les-premiers-éducateurs-des-enfants.html

01 juin 2011

Les parents sont les premiers éducateurs des enfants

Et si le principe de suppléance doit s'appliquer quand les parents sont défaillants, transformer ce principe d'exception en règle générale est une faute : le catéchisme est prioritairement la tâche des parents, qui transmettent non seulement la vie du corps, mais aussi celle de l'âme.

Des familles en font les frais aux Etats-Unis où un prêtre remet même en question l'école à la maison dans les familles catholiques !

"Arrogance cléricale" ou cléricalisme, quand tu les tiens!

L'occasion est donnée de revenir:

- sur le principe de suppléance autorisant un niveau "supérieur" à pallier les insuffisances d'un niveau "subordonné" rappelé pour l'Etat dans le compendium de la doctrine sociale de l'Eglise (chapitre 188) :

"À la lumière du principe de subsidiarité, cependant, cette suppléance institutionnelle ne doit pas se prolonger ni s'étendre au- delà du strict nécessaire, à partir du moment où elle ne trouve sa justification que dans le caractère d'exception de la situation. En tout cas, le bien commun correctement compris, dont les exigences ne devront en aucune manière contraster avec la protection et la promotion de la primauté de la personne et de ses principales expressions sociales, devra demeurer le critère de discernement quant à l'application du principe de subsidiarité".

- sur le rôle des parents quant à l'éducation religieuse :

"Les parents ont le droit-devoir de donner une éducation religieuse et une formation morale à leurs enfants: droit qui ne peut être effacé par l'État, mais respecté et encouragé; devoir primordial, que la famille ne peut ni négliger ni déléguer (...) Les parents ont le droit de choisir les instruments de formation correspondant à leurs convictions et de chercher les moyens qui peuvent les aider dans leur tâche d'éducateurs, notamment dans le domaine spirituel et religieux (id.par 239 et 240)".

- sur l'importance irremplaçable des parents :

"Le rôle éducatif des parents est d’une telle importance que, en cas de défaillance de leur part, il peut difficilement être suppléé. C’est aux parents, en effet, de créer une atmosphère familiale, animée par l’amour et le respect envers Dieu et les hommes, telle qu’elle favorise l’éducation totale, personnelle et sociale, de leurs enfants. La famille est donc la première école des vertus sociales nécessaires à toute société.

Mais c’est surtout dans la famille chrétienne, riche des grâces et des exigences du sacrement de mariage, que dès leur plus jeune âge les enfants doivent, conformément à la foi reçue au baptême, apprendre à découvrir Dieu et à l’honorer ainsi qu’à aimer le prochain ; c’est là qu’ils font la première expérience de l’Église et de l’authentique vie humaine en société ; c’est par la famille qu’ils sont peu à peu introduits dans la communauté des hommes et dans le Peuple de Dieu. Que les parents mesurent donc bien l’importance d’une famille vraiment chrétienne dans la vie et le progrès du Peuple de Dieu lui-même" (gravissimum educationis).

Posté le 1 juin 2011 à 11h05 par Lahire
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Message par Her Jeu 16 Juin - 20:36

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/06/si-le-système-éducatif-français-se-fait-lennemi-des-familles-que-vaut-lobligation-scolaire-.html

15 juin 2011

Si le système éducatif français se fait l’ennemi des familles, que vaut l’obligation scolaire ?

De Marie-Joëlle Guillaume dans Famille chrétienne :

"Tous les révolutionnaires le savent : «Le poisson pourrit par la tête», on détruit les ressorts d’une société en lui bourrant le crâne avec une idéologie subversive. Quand la tête est jeune et blonde, l’endoctrinement est plus facile. C’est pourquoi les idéologies subversives (le marxisme en fut une) haïssent la famille, force de résistance au nom de l’amour des siens. Dans le cas de la théorie du gender, la haine est portée au carré. Car c’est le principe même de la différence sexuelle et de la complémentarité amoureuse, source de toute famille, que prétend abolir cette déferlante idéologique, fruit des lobbies gays et féministes américains. Le comble, c’est que cette négation suicidaire des données de base de la condition humaine vient d’être introduite à l’Éducation nationale, comme le ver dans le fruit .

Le scandale des manuels de biologie (SVT) de première n’est pas le premier coup grave porté à la liberté de conscience et d’éducation des familles en matière de sexualité. Il y a plus de vingt ans, le parti pris matérialiste et libertaire des manuels de biologie de quatrième avait suscité l’indignation des parents. Depuis lors, l’envahissement de la vie scolaire par une propagande débridée (sous prétexte de « lutte contre l’homophobie », de prévention des grossesses adolescentes, etc.) ruine méthodiquement l’effort éducatif des parents à l’amour vrai, au goût de la vie, à l’espérance. Mais l’installation de la théorie du gender dans les manuels de biologie constitue une atteinte beaucoup plus grave encore. Car cette fois, l’idéologie mortifère se présente comme une science, au cœur même de l’acte d’enseigner, de la transmission du savoir.

L’Éducation nationale n’a pas le droit de faire cela. Ces manuels doivent être retirés de la vente. Il faut l’écrire au ministre via la pétition des AFC. Et réfléchir à la suite. Si le système éducatif français se fait l’ennemi des familles, que vaut l’obligation scolaire ? Que vaut l’enseignement public ? Que valent les contrats de l’enseignement privé avec l’État ? Vingt-sept ans après 1984, un nouveau combat pour la liberté de l’enseignement se profile."

N'hésitez pas à signer la pétition des AFC : les partisans du gender s'affolent et viennent de lancer leur propre pétition...

Posté le 15 juin 2011 à 14h43 par Michel Janva
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Message par Her Mer 22 Juin - 16:24

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/06/les-résultats-scolaires-des-enfants-issus-de-limmigration-sont-moins-bons.html

21 juin 2011

Les résultats scolaires des enfants issus de l'immigration sont moins bons

Le nouveau recteur de l'académie d'Orléans-Tours, Marie Reynier, déclare dans un entretien :

"je trouve que, globalement, l'Éducation nationale est trop maternante et pas assez paternelle pour donner quelques coups de pied au derrière ! On doit pousser les jeunes pour qu'ils aillent plus loin, plus haut. [...] Si on enlève des statistiques les enfants issus de l'immigration, nos résultats ne sont pas si mauvais ni si différents de ceux des pays européens. Nous avons beaucoup d'enfants de l'immigration et devons reconnaître notre difficulté à les intégrer. Commençons par combattre l'illettrisme de leurs parents."

Cette dernière déclaration fait scandale. Ce sont pourtant des propos de bon sens : des enfants auront plus de difficultés scolaires si, chez eux, personne ne parle français.

Posté le 21 juin 2011 à 08h52 par Michel Janva
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Message par Her Mer 22 Juin - 17:35

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/06/gender-pour-nos-enfants-nous-avons-à-refuser-cette-nouvelle-forme-de-dictature.html

21 juin 2011

Gender : Pour nos enfants, nous avons à refuser cette nouvelle forme de dictature

Alors que les tenants de l'idéologie du genre semblent s'inquiéter, Mgr Ginoux, évêque de Montauban, réagit :

"Il faut d’abord reconnaître que, effectivement, la culture, ce qui est acquis, participe à la construction de notre sexualité mais le refus de l’inné est un radicalisme de la pensée qui affirme que s’il n’y avait pas «un concept de femme, les femmes ne seraient pas opprimées». Il est bien vrai que la condition féminine a subi et subit encore beaucoup trop des dominations mais peut-on en voir la cause dans le concept de femme? Nous sommes là dans l’idée, dans l’abstraction. Pour nos théoriciennes il faut déconstruire ces principes.

Il y a là une grave question pour la société. Le refus de la différence homme/femme laisse chaque personne décider de ce qu’elle est : il n’y a plus un donné avec lequel nous apprenons à vivre, il n’y a donc plus de création : je me crée selon mon inspiration pour prendre la fonction, le rôle social que je veux. Il y aurait donc toute possibilité de couple, toute forme d’union, tout mariage possible. Comment une société peut-elle se fonder sans cette distinction homme/femme ? De nombreux psychologues, philosophes, sociologues ont répondu que c’était une vue de l’esprit. Mais il y a encore à expliciter davantage la place du créé dans notre humanité.

De ces théories vient aussi l’affirmation d’un « droit à l’enfant » reconnu pour toutes les personnes qui le souhaitent. Cette revendication favorise évidemment la libéralisation de la gestation pour autrui (ou mères-porteuses) de toutes les techniques de procréation médicalement assistée et des adaptations nécessaires des lois. Il est facile de voir qu’une autre de ces conséquences est la déconstruction de la famille puisqu’elle n’est plus fondée sur la relation entre un homme et une femme et la procréation. Dans cette pensée la famille est à construire selon la situation de chacun. Bien entendu le rôle maternel est indifféremment porté par un homme ou une femme. Toute la question de la filiation est donc en jeu et l’on peut se demander comment structurer la psychologie des enfants dans un tel contexte. Il faut simplement souligner que, précisément, la volonté exprimée est de ne pas construire la personnalité de l’enfant.

Le questionnement

Ce sujet est grave et pose les principes d’une société qui, refusant la nature et donc la création, fait de l’être humain son propre créateur, se choisissant sa sexualité et organisant son mode de vie à partir de ce choix. Il est abusif de le lier à la dignité de la femme et à sa reconnaissance. C’est la dignité de toute personne humaine qui fonde une société. Lorsque les manuels scolaires conduisent les élèves vers des voies dangereuses nous avons à réagir : c’est aussi notre liberté et l’Enseignement catholique ne peut accepter d’être contraint dans ses choix éthiques. Il est donc urgent de réfléchir à ces questions, d’autant que, par le biais de l’ONU, les Organisations non gouvernementales vont être obligées de les valider dans leur programme. Pour nos enfants, pour la santé de nos sociétés et pour le sens de nos vies nous avons à refuser cette nouvelle forme de dictature."

Posté le 21 juin 2011 à 21h28 par Michel Janva

/////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Monseigneur Ginoux, vous avez décelé cette dictature dans l'éducation républicaine des enfants. Il vous faut maintenant trouver le courage et la force d'en désigner les coupables. Au lieu d'éduquer les jeunes, l'Education Nationale tentent de les formater pour leur inculquer les erreurs perverses de l'idéologie maçonnique. Il y a trop de francs-maçons dans les rectorats de l'Education Nationale. Un jour prochain, il leur sera demandé des comptes.
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Message par Her Ven 24 Juin - 8:00

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/06/le-faux-sujet-des-suppressions-de-poste-dans-leducation-nationale.html

23 juin 2011

Le faux sujet des suppressions de poste dans l'Education nationale

De Rémi Fontaine, dans Présent :

"Recul ou tir en touche ? Le président Nicolas Sarkozy a annoncé mardi un gel des fermetures de classes en primaire en 2012, alors que personne ne sait quelle sera la majorité présidentielle ! Il n’a évidemment pas convaincu syndicats enseignants et opposition qui dénoncent un «tour de passe-passe» et une «politique politicienne» à l’approche des élections, d’autant plus qu’il saute allègrement la rentrée scolaire 2011. [...]

Pour le Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, Nicolas Sarkozy «tente de tromper l’opinion» [...] : «Si on ne supprime pas des postes et si on ne ferme pas de classes à l’école primaire, cela veut dire que (...) l’on ne fermera pas grand-chose à l’école primaire mais qu’on fermera au collège et au lycée.» [...]

Alors que Sarkozy a annoncé aussi, avec son bagout habituel, un nouveau débat encore sur les rythmes scolaires et le rôle des professeurs dans les établissements, etc., on saisit bien que le salut de l’école ne peut évidemment pas venir de l’Etat avec sa politique budgétaire et jacobine concernant le Mammouth scolaire, mais il passe au contraire par une séparation (progressive) de l’école et de l’Etat, donnant plus de liberté aux parents, aux professeurs, aux directeurs et aux acteurs locaux."

Posté le 23 juin 2011 à 11h43 par Michel Janva
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Message par Her Ven 1 Juil - 22:10

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/06/luc-chatel-refuse-de-rencontré-liberté-politique.html

29 juin 2011

Luc Chatel refuse de rencontrer Liberté politique

Lu sur le site de LP :

"L’Association pour la Fondation de Service politique (AFSP) est surprise de la fin de non-recevoir opposée par le ministère de l’Education nationale à sa demande de rendez-vous pour discuter du contenu des livres de SVT remis aux élèves de première L et ES dès la rentrée prochaine. Philippe Gustin, directeur de cabinet du ministre, a été très clair : «Le ministre ne vous recevra pas ! Les éditeurs ont bien retranscrit les orientations de programme de l’Éducation nationale.» Tout en reconnaissant que «certaines illustrations peuvent porter à perturbation», il ne souhaite pas donner suite car il considère l’idéologie du gender «totalement scientifique».

Comment peut-on affirmer pareille contre-vérité et refuser un dialogue sur le sujet ? S’il est intéressant d’étudier les études de genre tout au long de l’histoire humaine, ce que font les Universités, une réflexion démocratique devrait aussi voir le jour sur l’idéologie du gender précisément parce qu’elle n’est pas une discipline scientifique. En refusant le donné de nature du corps sexué pour définir son identité, l’idéologie du gender est une construction purement théorique et abstraite n’ayant qu’un seul but : lutter contre la soi-disant homophobie « en sortant de la dictature de la nature et de l’hétérosexisme », comme le propose Judith Butler.

L’Association pour la Fondation de Service politique s’interroge : l’Éducation nationale est-elle vraiment sortie de l’idéologie soixante-huitarde, comme l’appelait de ses vœux le président Sarkozy lors de son élection en mai 2007 ? [...] Il est urgent que la majorité présidentielle sorte de l’ambigüité moins d’un an avant les élections. Pourquoi le ministère de l’Éducation nationale impose-t-il la théorie du gender sans nuance et sans débat, alors que l’UMP critique le projet socialiste de mariage homosexuel et d’homo-parentalité précisément «parce qu’il y a une dimension essentielle à préserver dans l’altérité sexuelle» ? [...] Les Français ont besoin de savoir sur quelles valeurs le Président Sarkozy compte s’appuyer pour sa campagne présidentielle de 2012 alors que l’éducation des enfants représente l’axe central de tout programme politique.

Posté le 29 juin 2011 à 20h46 par Michel Janva

////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Luc Chatel ne Serait-il pas Franc-maçon et Anti-catholique de Surcroit ?
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Message par Her Mer 6 Juil - 12:33

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/07/encore-une-réforme-scolaire-mais-à-quand-la-liberté-scolaire-.html

04 juillet 2011

Encore une réforme scolaire. Mais à quand la liberté scolaire ?

Le comité de pilotage de la Conférence nationale sur les rythmes scolaires a présenté hier à Luc Chatel, ministre de l’Education nationale, 10 recommandations visant équilibrer le temps des élèves du CP à la 3e. Il propose de

raccourcir les congés d’été pour les ramener à 6 semaines, contre 8 actuellement
ajouter 8 semaines de “petites vacances”
le volume de 23 heures d’enseignement hebdomadaire, du CP à la 5e, serait maintenu, mais étalé sur 38 semaines (contre 35 actuellement)
les élèves iraient à l’école 5 jours par semaine, contre 4 aujourd’hui.
Ce système avait été mis en place par Xavier Darcos en 2007. Le ministère a annoncé des premières orientations pour 2013. Pour être modifiées quelques années après ? Le principal défaut de ces réformes à répétition c'est de croire que l'Etat-magicien, d'un coup de réforme, va sauver l'Education nationale par le haut. Alors qu'il faudrait plus simplement redonner leur liberté aux établissements scolaires. Mais alors l'Education ne serait plus "nationale".

Posté le 4 juillet 2011 à 22h31 par Michel Janva
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Message par Her Mer 6 Juil - 13:47

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/07/lécole-na-pas-besoin-de-plus-de-moyens-mais-de-liberté.html

05 juillet 2011

L'école n'a pas besoin de plus de moyens mais de liberté

Jean-Baptiste Noé, historien et professeur au lycée Hautefeuille (92), veut réformer l'école sans donner plus d'argent :

"l’Education Nationale croule sous l’argent. En 1980 un lycéen coûtait 5 800€, aujourd’hui il revient à 9 100€. Le prix du lycéen a presque doublé en 30 ans, et pourtant le niveau a baissé. Ce qui manque à l’éducation ce n’est pas de l’argent, c’est de la liberté.
J’entends bien ceux qui disent qu’il faut restaurer l’autorité des professeurs, revaloriser l’apprentissage par cœur ou la transmission de la culture. Ce sont des thèmes importants, mais ce sont des thèmes annexes. La première question est de donner la liberté aux parents de pouvoir choisir l’établissement de leur enfant –avec la pédagogie qu’ils souhaitent- et de donner au directeur d’établissement la liberté de pouvoir choisir ses professeurs et sa pédagogie. C’est en donnant d’abord la liberté que l’on pourra ensuite restaurer tout le reste.

Comment faire alors pour que les établissements soient d’avantages autonomes ?

Il faut instaurer le chèque scolaire. Je rappelle que l’éducation n’est pas du ressort de l’Etat mais des parents. L’éducation n’est pas un domaine régalien, comme l’est la justice, l’armée ou la monnaie. C’est un service que l’Etat peut aider, mais ce sont les parents qui sont les premiers et principaux éducateurs de leurs enfants. Avec le chèque scolaire ils seraient libres de pouvoir choisir l’établissement de leur choix. Aux établissements ensuite de se décarcasser pour offrir une bonne éducation, au risque de disparaître.

Concrètement, comment cela pourrait-il fonctionner ?

Au vu du coût actuel on pourrait fixer le montant du chèque à 4 300€ pour un écolier et à 7 500€ pour le secondaire, ce qui permettrait de réaliser de très importantes économies. Les parents, munis de ce chèque, valable uniquement dans un établissement scolaire, s’en servent pour payer l’école de leurs enfants. Si l’établissement estime que le montant n’est pas assez important il peut fixer une scolarité plus élevée, à charge ensuite aux parents de compléter. Grâce au chèque scolaire la liberté pédagogique est totale. I"

Posté le 5 juillet 2011 à 19h17 par Michel Janva
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Message par Her Mer 6 Juil - 15:36

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/07/des-écoles-catholiques-sous-contrat-commencent-à-saffranchir.html

05 juillet 2011

Des écoles catholiques sous contrat commencent à s'affranchir

Extrait d'un article de Rémi Fontaine dans Présent :

"dans le contexte tendu des fermetures de poste, cinq établissements privés catholiques (un à Béthune, deux à Calais et deux dans l’Audomarois) ont reçu l’avis favorable de la direction diocésaine pour créer des classes hors contrat. Motif : « répondre à des besoins qui ne sont plus pris en compte par l’Education nationale ». C’est une première dans le département, dont l’exemple pourrait être suivi un peu partout en France.

• A l’école Saint-Martin-Sainte-Thérèse à Arques, une nouvelle section vient ainsi compenser la fermeture de la classe des tout-petits et répondre à l’attente de nombreux parents. 29 inscriptions ont d’ores et déjà été enregistrées. [...]

• A l’école Saint-Bertin à saint-Omer, la classe hors contrat vient, elle, combler un manque. Jusqu’à maintenant, l’établissement ne pouvait accueillir les écoliers qu’à partir de la grande section. Désormais il pourra également accueillir une petite section : une dizaine d’enfants sont déjà inscrits. [...]

C’était la voie immédiate et concrète proposée à court terme par Anne Coffinier pour remettre l’école libre à l’endroit en la désétatisant progressivement à tous les échelons : «Ouvrir des classes hors contrat au sein des établissements dits sous contrat pour scolariser tous les enfants qui le demandent, et transformer en établissements hors contrat les établissements menacés de fermeture pour assurer la continuité du service aux familles. Les équipes y gagneront au passage la flexibilité qui leur manque tant aujourd’hui.»"

Posté le 5 juillet 2011 à 11h57 par Michel Janva
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Message par Her Lun 19 Sep - 22:48

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/les-causes-du-fiasco-de-leducation-nationale.html

15 septembre 2011

Les causes du fiasco de l'Education nationale

... décryptées par Minute :

"Les causes de cette catastrophe sont nombreuses. Plus que tout autre lieu, l’école souffre de toutes les utopies post-soixante-huitardes: le refus de toute autorité, l’enfant roi au centre du système éducatif, l’abandon des sanctions; la fin des dictées, du par coeur et de l’Histoire chronologique; mais aussi, la présence toujours plus importante d’enfants allogènes qui, ne parlant pas le français, ne peuvent ni l’écrire, ni le lire. Et surtout, la toute-puissance des syndicats d’enseignants. Depuis des décennies, ces derniers se sont emparés de l’Education nationale et bloquent toutes les réformes nécessaires à son adaptation. La rentrée 2011 n’échappe pas au cri d’alarme. Cette année, c’est l’association Contribuables associés qui lui consacre un de ses dossiers. A l’heure où le gouvernement cherche désespérément de l’argent pour combler les déficits et s’apprête à augmenter, encore et toujours, impôts et cotisations, il pourrait regarder en direction de l’Education nationale. Non pas pour imposer, mais pour économiser.

Aux termes de la loi de finances pour 2011, l’Etat consacre à l’enseignement et à la recherche 87 milliards d’euros sur un budget total de 363 milliards. Soit près d’un quart de ses dépenses, ce qui représente le premier poste budgétaire. Mais ce n’est pas tout. Il faut y ajouter les 58 milliards que l’Etat a transférés aux collectivités locales. Soit un total de 145 milliards d’euros. Contrairement à ce que répètent inlassablement les syndicats d’enseignants dans les manifestations, les piquets de grève et autres assemblées générales, l’école ne manque ni de moyens, ni d’effectifs. En euros constants, la dépense d’éducation par élève du primaire est pas sée de 2930 euros en 1980 à 5960 euros en 2009. Soit 94,2 % d’augmentation! [...]

Au total, l’Education nationale emploie 762500 enseignants – dont 97500, soit près de 13 % n’enseignent pas. [...] Beaucoup de moyens. Beaucoup d’enseignants. Et pour quel résultat ? Si ces dizaines de milliards d’euros déversés cha que année produisaient encore de bons résultats, il n’y aurait (presque) rien à redire. Certes, la France dépenserait beaucoup, mais ce serait pour son avenir. Malheureusement, les résultats sont de plus en plus alarmants. Chaque année, l’Education nationale fabrique 40000 illettrés [...].

Ce fiasco généralisé de l’éducation nationale, qu’aucun homme politique soucieux de sa réélection n’ose évoquer, fait au moins un heureux: l’enseignement privé. Celui-ci scolarise près de 2 millions d’élèves. Mais le privé sous contrat tendant à son tour à être contaminé par les tares du public, un troisième secteur pointe désormais le bout de son nez: le privé hors contrat. Un secteur qui ne reçoit pas un centime de l’Etat et qui compte, à ce jour, 500 établissements pour environ 40000 élèves. C’est peu. C’est très peu. Mais ces établissements sont sur une pente ascendante. Des écoles qui, tel le Petit Poucet, sèment leurs cailloux pour ne pas perdre le chemin que leurs concurrents du public ont déserté. Celui de la réussite."

Posté le 15 septembre 2011 à 12h28 par Michel Janva
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Message par Her Mar 20 Sep - 9:12

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/léducation-nationale-est-une-machine-à-broyer-lenthousiasme.html

06 septembre 2011

"L'Éducation nationale est une machine à broyer l'enthousiasme"

Lu ici :

"Après deux ans de souffrance, Claire Dubos a rendu son tablier à l'Education nationale. Elle dénonce des conditions de travail abominables. « Depuis deux ans, je vis un enfer. Je souffre de plus en plus, j'ai des insomnies, des angoisses. Je ne voulais pas finir comme certaines collègues de promotion qui, à mon âge, sont déjà en arrêt maladie. Arrêtées avant même la rentrée. Certaines anciennes m'ont dit : pars tant que tu n'as pas d'enfants, après tu ne le feras plus. »

Pourtant, elle y tenait à son métier Claire. Après un diplôme universitaire obtenu à la Sorbonne, la Rémoise avait bossé dur pour obtenir le concours de l'IUFM. « Je l'ai eu du premier coup. J'ai fini 22e sur Reims ». Elle avait hâte d'enseigner. Elle est vite redescendue de son nuage. « Sortie de l'école, j'ai été nommée pour un an en CM2, à l'école Blanche-Cavarrot, en Zep. Sans expérience pratique, sans soutien, je me suis retrouvée du jour au lendemain dans un climat de violence incroyable. De la violence verbale, de la violence physique, je ne savais pas comment faire. J'étais dans l'une des écoles les pires de Reims. Les parents me tombaient dessus. Un jour, l'un d'eux est venu me voir pour me dire que j'avais mal regardé sa fille et qu'il fallait que je fasse très attention à moi. J'ai vite constaté que ma formation ne m'avait pas préparé à tout cela.»

[...] Puis ce fut la grande section de la maternelle Croix-Rouge jusqu'à la fin de l'année : « Il y avait une super équipe mais les conditions de travail étaient abominables. J'avais 31 élèves dont beaucoup ne parlaient pas un mot de français. J'avais des cas d'autisme très lourds. Des parents me surveillaient depuis le balcon et me criaient qu'ils allaient me tuer ». [...] « Je parle aujourd'hui pour tous les jeunes qui sont encore à ma place et qui souffrent. Eux ne peuvent rien dire. On les met là où personne ne veut aller, là où c'est le plus dur. Les enfants vont me manquer mais l'Éducation nationale est une machine à broyer l'enthousiasme, je ne veux plus m'en approcher. » Claire va reprendre des études et chercher une autre voie d'enseignement."

Posté le 6 septembre 2011 à 19h50 par Michel Janva
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Message par Her Jeu 22 Sep - 13:49

http://www.boutin2012.fr/petitions/petition-pour-la-suppression-du-ministre-de-leducation-nationale

Pétition pour la suppression du Ministère de l’Education nationale

12 septembre 2011 à 12:55

L’école de la République est à bout de souffle.

Incapable de donner à tous les enfants de réelles chances d’apprendre à lire, écrire et compter, elle est devenue une fabrique à creuser l’ignorance et les inégalités et à broyer le corps enseignant.

Dans une société qui perd ses repères, l’école est appelée à la rescousse comme la dernière institution capable d’assurer ce que les autres ne peuvent plus faire : éduquer, donner des valeurs, éveiller au monde, apprendre à vivre ensemble, etc.

Il est grand temps de sortir de la confusion.

A chacun son rôle

Aux parents : la responsabilité d’éduquer. A l’école : la responsabilité d’instruire. A tous : la responsabilité de coopérer pour permettre aux petits Français de devenir des hommes et des femmes debout, libres et responsables.

C’est pourquoi, afin d’engager la refonte de la politique d’éducation, indispensable à un pays qui compte assurer son avenir, un acte symbolique doit déclencher l’élan nécessaire.

Afin de recentrer l’école sur sa mission première d’instruction et de formation, je demande la suppression du Ministère de l’Education nationale au profit d’un nouveau Ministère de l’Instruction publique.

////////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Mme Boutin se trompe encore une fois d'objectif :
Ce n'est pas l'institution qui est à éradiquer, mais la surreprésentation maçonnique au sein des rectorats !...
et lorsque les choses auront retrouvé un certain équilibre démocratique, il n'y aura plus aucun problème...

Si le pouvoir politique n'a pas ce courage politique, c'est Maître Michel Nostradamus, le Mage de Salon-de-Provence, qui aura raison :

Quatrain II, 039

Un (an) devant le conflict Italique,
Germains, Gaulois, Espagnols pour le fort :
Cherra l'école maison de république,
Où, hors mis peu, seront suffoqué morts.
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Message par Her Jeu 22 Sep - 14:04

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/lécole-de-la-république-ne-supporte-pas-la-contradiction.html

19 septembre 2011

L'école de la République ne supporte pas la contradiction

Jacques de Guillebon dresse un parallèle entre l'Eglise, qui ne cesse de dialoguer, et l'exclusion -on ne sait pourquoi (parce qu'il était candidat identitaire en 2008 ?)- d'un professeur de philosophie de notre bonne vieille école laïcarde :

"En France, le 13, à Lunel, petit bourg de l’Hérault, Jean-Baptiste Santamaria, un professeur de philosophie dénoncé par les vigilants locaux, en l’occurrence le SNES et la FCPE, qui ont bénéficié du truchement complaisant du Midi Libre et de France 3, est mis à pied au motif de son passé d’extrême-droite. Quelles idées sinistres le pestiféré avait-il prévu de développer dans ses cours ? On ne le saura jamais puisque sitôt nommé, « après dix ans de placard » écrit-il au Défenseur des droits qu’il a saisi, il a été épuré. Il est plaisant de remarquer en passant que la dame patronnesse de la FCPE qui n’a fait que son devoir de délation citoyenne a elle-même figuré sur une liste électorale du Parti Socialiste. L’affaire demeure obscure puisque nous ne disposons pour le moment que de l’appel des vigilants d’un côté et de la lettre que le professeur incriminé a envoyée à l’ancienne Haute Autorité de l’autre.

Si cependant il était établi que le nettoyage idéologique se soit déroulé ainsi, nous nous trouverions devant une situation propre à dérouter l’observateur commun du XXIème siècle : à Rome, la Rome inquisitoriale, dogmatique et intolérante des manuels d’histoire, on discute, on parle, on raisonne, on argumente avec douceur, componction et respect des opinions d’autrui, pour intégrer ; en France, sous la République des Lumières, la tolérante, l’éclairée, la relativiste des manuels d’instruction civique, on exclut, on condamne, on cloue au pilori, on disperse et on ventile. Sans aucune forme de procès. Pour écraser.

À Rome, on organise des conciles, on réunit des synodes, on crée des commissions théologiques internationales, enfin on reprend le vieux principe de la disputatio médiévale, on fait avec Saint Thomas comparaître la théologie au tribunal de la philosophie et de la raison pour établir son statut. Ô République, où sont tes conciles, tes Etats-Généraux, tes loya jirga, ton Assemblée ? Certes, parfois le Parlement légifère sur des questions annexes, certes parfois on réunit le Congrès pour décider l’adoption d’un Traité que le peuple a réfuté la veille. Parfois des groupes de pression manipulent des directives ministérielles pour imposer une théorie aux manuels de Sciences de la Vie et de la Terre. Mais où sont l’argumentation, la contradiction et l’objection ?"

Posté le 19 septembre 2011 à 13h51 par Michel Janva
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Message par Her Mar 27 Sep - 0:11

http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Education-nationale-comment-gerer-le-manque-de-moyens-_EG_-2011-09-26-716043

26/9/11 - 17 H 54 MIS À JOUR LE 26/9/11 - 17 H 54

éducationenseignants
Education nationale, comment gérer le manque de moyens ?
Les syndicats enseignants du public et du privé appellent mardi 27 septembre à la grève pour contrer le projet de budget 2012, à l’étude, mercredi, en conseil des ministres, qui prévoit 14 000 suppressions de postes dans l’Éducation nationale.

Deligne
S’élevant également contre ces mesures, François Hollande, pour le PS, a promis que s’il était élu, il rétablirait les postes supprimés.

Certains experts avancent aujourd’hui d’autres pistes pour tenir compte des impératifs budgétaires, sans utiliser les effectifs comme variable d’ajustement.

Avec cet article
A Nantes, une rentrée sous le signe de l’austérité
Béatrice Barraud: «Nous privilégions la négociation plutôt que la grève»
Les moyens consacrés à l’école
Agence universitaire de la francophonie, 50 ans et de nouveaux défis
D’un côté, un gouvernement qui table sur le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux dans l’Éducation nationale pour faire face aux difficultés des finances publiques. De l’autre, un monde enseignant qui défend le maintien d’un encadrement suffisant des élèves pour assurer sa mission, une position relayée par François Hollande.

Le candidat à la primaire socialiste propose de rétablir chacun des 70 000 postes soustraits ces dernières années à l’école. Est-ce réaliste ? Et est-ce la seule solution ? Des voix s’élèvent aujourd’hui pour proposer des alternatives à une politique misant uniquement sur la gestion des effectifs enseignants pour réguler les moyens de l’éducation nationale.

LA FRANCE NE BRILLE PAS PAR SES RÉSULTATS
Selon le dernier rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) sur l’éducation, par exemple, le volume d’heures de cours n’est pas un élément décisif dans l’efficacité des systèmes éducatifs. Un élève français suit 7 500 heures de cours entre 7 et 14 ans, contre une moyenne de 6 800 heures dans l’ensemble des pays développés.

Un pic est atteint en France pour les adolescents de 15 ans, qui restent 1 147 heures en classe contre une moyenne de 935 heures en Europe. Pour autant, la France ne brille pas par ses résultats. En cause, une incapacité à épauler les élèves les plus en difficulté.

Selon Éric Charbonnier, expert à la direction éducation de l’OCDE, redéployer autrement des moyens existants constituerait déjà une grande avancée. « Si nous parvenions par exemple à supprimer le redoublement, qui coûte 2 milliards d’euros par an alors qu’il est inefficace, ce serait autant de moyens que nous pourrions investir dans du rattrapage en petits groupes pour les élèves qui ont décroché », souligne le spécialiste.

REDÉFINIR LE SERVICE DES ENSEIGNANTS
Pour Éric de Labarre, secrétaire général de l’Enseignement catholique, continuer à réduire les effectifs sans introduire de réforme structurelle met en péril l’offre de formation. En trois ans, l’enseignement privé sous contrat aura perdu 5 000 postes.

« Cela pourrait nous faire fermer des établissements que nous n’aurons jamais les moyens de rouvrir », prévient le responsable, qui préfère encore une réduction du volume horaire des élèves. « En supprimant une heure de cours par semaine au collège, nous préserverions entre 13 000 et 14 000 postes, ce qui nous permettrait de traverser l’année 2012 sans trop de dégâts », plaide-t-il.

D’autres alternatives consistent à redéfinir le service des enseignants. Dossier tellement épineux que les gouvernements successifs n’ont jamais pu y toucher. Pour s’y être hasardé, Claude Allègre s’était attiré la colère des enseignants et avait fini par devoir quitter la rue de Grenelle. Depuis 1950, les obligations horaires des professeurs sont fixées par décret : 15 heures de cours par semaine pour les agrégés, 18 heures pour les certifiés, plus d’éventuelles heures supplémentaires, auxquelles les établissements recourent toujours plus chaque année.

L’Institut français pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques (Ifrap), laboratoire d’idées d’inspiration libérale, propose de leur ajouter deux heures de cours par semaine, moyennant une compensation salariale. « Cette simple mesure permettrait de faire l’économie de 44 783 postes en équivalent temps plein », indique Agnès Verdier Molinié, auteur de l’étude et vice-présidente de l’institut.

ENSEIGNER DIFFÉREMMENT
D’autres experts de l’éducation, enfin, voudraient revenir sur l’organisation hebdomadaire du temps de travail. Parmi eux, l’ancien inspecteur général de l’éducation nationale, Georges Fotinos, estime qu’il faudrait définir un contingent d’heures que les enseignants auraient à assurer dans l’année scolaire. « Aujourd’hui, des dizaines de milliers d’heures de cours ne sont pas assurées parce que les élèves sont partis en stage ou que les examens rognent une bonne partie de l’année. L’annualisation permettrait, par exemple, de faire en sorte que ces heures perdues puissent être utilisées pour assurer du soutien aux élèves en difficulté. »

Outre les avantages financiers, cette proposition incite à enseigner différemment. L’Institut national de recherche pédagogique (INRP) a expérimenté cette mobilité des emplois du temps dans les années 1980. Conclusion : libérés des temps imposés à la semaine, les professeurs peuvent doser au mieux les temps d’apprentissage en fonction des besoins et faire varier plus facilement leurs méthodes d’enseignement. Ce qui a pour conséquence une amélioration de la concentration des élèves en classe.

Georges Fotinos estime en outre que l’annualisation permettrait d’éviter le burnout (NDLR : épuisement professionnel) de certains enseignants. Selon une étude à paraître, qu’il a menée dans 400 collèges et lycées, auprès de 2 200 enseignants, 30 % des professeurs pensent souvent quitter leur métier en raison de l’usure, de l’ennui, des difficultés rencontrées pour « tenir » la classe, mais aussi du manque de reconnaissance

« Les enseignants souffrent notamment du fait que les tâches réalisées en dehors des cours ne sont pas prises en compte dans la définition de leur service. »

Jean-baptiste François
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Message par Her Ven 30 Sep - 13:54

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/valeurs-2012-va-lance-le-débat-pour-2012.html

27 septembre 2011

"Valeurs 2012": VA lance le débat pour 2012

Est-ce l'effet Audace 2012, et de ses 12 propositions? Outre les "12 propositions" (encore) de la Droite populaire, c'est Valeurs actuelles qui lance un symposium autour de sept grands thèmes, en vue de l'élection présidentielle:

1 - Comment sauver l’école ?

2 - Faut-il vraiment augmenter les impôts ?

3 - Chômage : a-t-on tout essayé ?

4 - Réduire durablement l’insécurité

5 - La France est-elle encore une puissance ?

6 - Les défis de l’immigration.

7 - Quelles valeurs pour la droite ?

Guillaume Roquette explique:

Il est bien tôt pour savoir si nos idées l’emporteront en 2012, mais il est temps de rappeler à nos politiques combien nous y sommes attachés. C’est le sens de “Valeurs 2012”, le nouveau rendez-vous multimédia que nous proposons à nos lecteurs.

Dès le mois prochain, nous commencerons à traiter dans le journal et sur notre site Internet tous les grands thèmes qui engagent l’avenir du pays, dans la perspective de l’élection pré­sidentielle. Nous ouvrirons nos colonnes aux personnalités indépendantes que vous connaissez pour les lire régulièrement dans le journal. Nous leur demanderons leurs propositions pour 2012, que nous soumettrons aux candidats. Et, parce que nous ne voulons pas d’un débat réduit aux experts, vous êtes invités à y prendre part. Envoyez-nous vos contributions, vos propositions, vos critiques et nous nous en ferons largement l’écho.

On n'a pas souvenir de telles initiatives à droite avant la présidentielle de 2007. C'est un mouvement qui semble encourageant.

Posté le 27 septembre 2011 à 20h40 par Le Salon Beige
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Message par Her Sam 1 Oct - 7:21

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/quelques-vérités-sur-le-mammouth-quest-leducation-nationale.html

28 septembre 2011

Quelques vérités sur le "Mammouth" qu'est l'Education nationale

Voici une vidéo qui circule depuis hier. Pour ceux qui ne l'ont pas encore vue, la voici :

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/quelques-vérités-sur-le-mammouth-quest-leducation-nationale.html

Posté le 28 septembre 2011 à 21h39 par Michel Janva | Catégorie(s): Valeurs chrétiennes : Education
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