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La Sainte Eglise de Dieu - France : Actualité des Diocèses et de la CEF

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La Sainte Eglise de Dieu - France : Actualité des Diocèses et de la CEF - Page 9 Empty Re: La Sainte Eglise de Dieu - France : Actualité des Diocèses et de la CEF

Message par Her Jeu 15 Déc - 8:29

http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/qui-siegera-a-ajaccio

Qui siègera à Ajaccio ?
14 décembre 2011 | Enregistrer sous: Diocèses,Eglise en France,Perepiscopus | Publié par: Maximilien Bernard
Depuis le départ de Mgr Brunin au Havre, le diocèse d’Ajaccio est administré par un évêque en retraite, Mgr Jean Bonfils, évêque émérite de Nice, actuellement âgé de 81 ans.

Des noms circulent concernant la nouvelle nomination, à faire frémir d’inquiétude bon nombre de catholiques. Il s’agit du vicaire général de Marseille l’abbé Jean-Marc Aveline ou celui de Nice l’abbé Jean-Louis Balsa.

Le premier, né en 1958 à Alger, ordonné prêtre en 1984, vicaire général depuis 2006, est directeur de l’Institut catholique de la Méditerranée et Consulteur au Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux depuis 2007. Il est diplômé d’une Licence en philosophie de l’Université Paris IV Sorbonne, d’un Doctorat canonique en théologie de l’Institut catholique de Paris, et d’un Philisophiæ doctor de l’Université Laval – Canada, 2000. En outre, il est en charge de la revue Chemins de dialogue (Marseille) ainsi que du Comité de rédaction de la revue Recherches de science religieuse (Paris). Fidèle à la génération de l’enfouissement, il ne porte pas d’habit ecclésiastique :

Le second personnage pressenti, l’abbé Balsa, est né en 1957 à Nice, a été ordonné prêtre également en 1984. Il est vicaire général depuis 2009. Il possède une Maîtrise de philosophie et une Maîtrise de théologie. Il a été curé de Valbonne, Biot et Sophia-Antipolis, vicaire épiscopal pour la pastorale des jeunes, directeur des études au Séminaire de Laghet. Comme le premier, il ne doit pas savoir que l’Eglise exige le port d’un vêtement pour les clercs.

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Commentaire d'Hercule : Au lieu de tirer des plans sur la comète en ce qui concerne les futurs Evêques de France, vous feriez mieux d'appeler à la prière pour la nomination de ces nouveaux Evêques sur les sièges à pourvoir, ainsi pour la nomination des futurs Evêques de Dax et Aire, et en suivant de Tarbes et Lourdes, je confie à tous mes amis et connaissances l'intention suivante :

" Priez pour les futurs Evêques de Dax et Aire, et de Tarbes et Lourdes, en demandant à la Sainte Trinité, à Noptre Dame et à Saint Joseph, à tous les Anges et à tous les Saints, de nous donner deux Evêques qui soient encore meilleurs que Mgr Marc Aillet". Pour l'élection surprise de Mgr Marc Aillet, nous avions demandé le meilleur et nous avons été exaucés. Mais je suis certain que toute la Cour Céleste puisse faire encore mieux car rien rien n'est impossible à Dieu.

Jusqu'à preuve du contraire, c'est encore et toujours l'Esprit-Saint qui conduit l'Eglise et qui nomme les Evêques, et cela malgrè la mauvaise volonté de certains de ceux qui se retrouvent aujourd'hui en responsabilité à sa tête de l'Eglise. Prions mes frères !...
Her
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La Sainte Eglise de Dieu - France : Actualité des Diocèses et de la CEF - Page 9 Empty Re: La Sainte Eglise de Dieu - France : Actualité des Diocèses et de la CEF

Message par Her Jeu 15 Déc - 9:56

www.paixliturgique.com

ENTRETIEN EXCLUSIF DE MGR LE GALL, ARCHEVÊQUE DE TOULOUSE : ALLER DANS LE SENS DE LA "MENS" PONTIFICALE

Ayant reçu de nombreux témoignages positifs à l'issue de la messe célébrée selon la forme extraordinaire du rite romain durant les JMJ par Mgr Le Gall, archevêque de Toulouse, pour les pèlerins de Juventutem, nous avons souhaité lui donner la parole pour commenter cette expérience.

Ancien père abbé de l'abbaye bénédictine de Kergonan, l'archevêque de Toulouse a été président durant six années de la Commission épiscopale pour la Liturgie et la Pastorale sacramentelle au sein de la Conférence des Évêques de France (1). Sa profonde habitude de la liturgie latine et grégorienne lui a permis d'aborder avec une grande facilité la liturgie extraordinaire.

Nous remercions vivement Mgr Le Gall de l’obligeance avec laquelle il a bien voulu nous accorder cet entretien et de ses propos d’une grande franchise et liberté, qui ne peuvent qu’aller dans le sens de la paix et de la réconciliation dans l'Église.


1) Monseigneur, lors des JMJ de Madrid, vous avez célébré la forme extraordinaire du rite romain pour les jeunes du groupe Juventutem. C'est, à notre connaissance, la première fois que vous célébriez la liturgie traditionnelle en tant qu'archevêque de Toulouse : comment avez-vous vécu cette expérience ?

Mgr Le Gall : Je ne suis pas totalement étranger à la liturgie traditionnelle. J'ai fait ma première profession à Kergonan le 8 décembre 1965, jour de la clôture du Concile Vatican II. J'ai donc connu et pratiqué la liturgie tridentine, sous sa forme bénédictine, avant la réforme liturgique.

Mais il est vrai que j'ai célébré pour la première fois cet été la forme extraordinaire. Sauf que ce n'était pas à Madrid mais à Donezan, le 30 juillet, où j'ai conféré une ordination sacerdotale et une ordination diaconale. Ce monastère bénédictin, issu de Fontgombault, bien que situé en Ariège, ne fait pas partie de ma province ecclésiastique mais du diocèse voisin de Carcassonne et Narbonne. Et c'est précisément à l'invitation d'Alain Planet, évêque de Carcassonne, que je me suis rendu à Donezan, communauté que j'avais eu l'occasion de visiter pour la première fois l'année dernière. Pour une ordination bénédictine, il était en effet important que le célébrant puisse chanter la liturgie.

Évidemment, le pontifical selon la forme extraordinaire nécessite un minimum de préparation et un cérémoniaire attentif, ce qui était le cas. Du coup, quand le cardinal Rylko, Président du Conseil Pontifical pour les Laïcs et, à ce titre, principal organisateur des JMJ, m'a demandé de célébrer la forme extraordinaire pour le groupe Juventutem, je n'ai pas eu de difficulté à accepter.


2) En 2007, dans un communiqué pour la Commission liturgique de la CEF (Conférence des évêques de France), vous aviez commenté le motu proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI en indiquant qu'il fallait “accueillir” l'inititative du Saint Père, “la comprendre et entrer dans le sens de ce qu'il demande”. Est-ce que c'est dans cet esprit que vous avez répondu favorablement aux invitations de Mgr Planet et du cardinal Rilko ?

Mgr Le Gall : Oui, tout à fait. Depuis que le Saint Père a pris sa décision et a publié le Motu Proprio, que l'instruction Universæ Ecclesiæ a consolidé, je considère qu'il est de notre devoir d'évêque d'entrer dans sa “mens”. Il nous faut comprendre ses motivations, le souci d'une liturgie digne et priante, la paix et la réconciliation dans l'Église, et suivre son exemple.

Bien entendu, “entrer dans le sens de ce que demande” Benoît XVI, c'est aussi ne pas refuser par principe la forme ordinaire et éviter de la dénigrer. C'est malheureusement une attitude que l'on rencontre chez certains traditionalistes.

Dans un article que j'ai donné en 2008 à Lumière et Vie, la revue des Dominicains de Lyon, et qui portait sur la première année d'application du Motu Proprio, je me suis efforcé d'illustrer tous ces aspects. Et le Saint Père, qui en a eu connaissance, m'a confirmé dans cette “lecture” de son initiative.


3) “Paix et réconciliation” : la motivation principale du motu proprio c'est en fait l'unité de l'Église, un thème au cœur du pontificat de Benoît XVI. C'est d'ailleurs par souci d'unité ecclésiale que Paix Liturgique souhaite la célébration de la forme extraordinaire dans les paroisses plus que dans des lieux de messe ad hoc. Seriez-vous d'accord pour dire que, pour un évêque, la célébration de la forme extraordinaire est une manifestation de son unité avec le Saint Père ?Est-ce le sens que l'on peut donner à la messe que vous avez célébrée lors des JMJ ?

Oui, on peut le voir comme cela : c'est une des façons pour un évêque d'être uni au successeur de Pierre. Mais ce n'est pas la seule.


4) Vous avez célébré pour de jeunes catholiques attachés à la forme extraordinaire du rite romain : comment expliquez-vous l'attrait de nombre d'entre eux pour une liturgie que certains, laïcs comme ecclésiastiques, continuent de considérer obsolète et ringarde ?

À Toulouse, où nous avons une pastorale étudiante très dynamique et fructueuse, je peux constater tous les jours le désir des jeunes pour une liturgie sobre et noble mais aussi active et communautaire. Alors, si je comprends que la forme extraordinaire leur offre une intériorité plus grande, par son silence et son recueillement, je me pose la question de la place qu'elle réserve au sens de la communauté.

De fait, et c'est un phénomène que les évêques de France connaissent bien, les jeunes sont habitués à zapper et leur pratique religieuse n'y échappe pas : ils passent facilement d'une phase chacha à une phase tradi ou l'inverse.

Aux JMJ, j'ai prêché pour Juventutem comme j'aurais prêché pour tout autre groupe de jeunes. Cela s'est bien passé et je n'ai pas eu le sentiment d'avoir à faire à des jeunes à part.


5) Dans votre diocèse, le motu proprio est appliqué à Toulouse, où vous avez confié un apostolat à l'Institut du Christ-Roi, et à la campagne, dans le doyenné du Grand Selve : quel regard portez-vous sur ces communautés ? Les avez-vous déjà visitées ou avez-vous en projet de le faire ?

En 2010, j'ai présidé la célébration de l’Ascension à Saint-Jean-Baptiste à Toulouse, la chapelle qui a été confiée dès 2003, soit avant même le pontificat de Benoît XVI et avant mon arrivée dans la ville, à l'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre. Et j'y ai conféré le sacrement de confirmation deux jours plus tard.

Si je n'ai jamais assisté à une messe à Launac, dans le doyenné du Grand Selve, j'entretiens néanmoins des relations étroites avec cette communauté et ses pasteurs. Il s'agit là d'une application paroissiale du Motu Proprio, où forme extraordinaire et forme ordinaire cohabitent paisiblement tout en s'enrichissant l'une l'autre comme le souhaite le pape. Ainsi, lors des confirmations dans le doyenné, selon la forme ordinaire, le curé avait arrangé l'autel avec le crucifix central et les chandeliers, comme cela se fait désormais à Saint-Pierre de Rome.

Récemment, lors de l'enterrement de Mgr Gaidon, l'ancien évêque de Cahors, le supérieur de notre séminaire diocésain m'a confié une anecdote symbolique de la communauté du Grand Selve. Il avait été invité pour une réflexion sur le prologue de l'Evangile selon saint Jean et, alors qu'il expliquait qu'il était malheureusement trop méconnu, réservé à la messe de Noël, il a entendu l'un des fidèles présents lui répondre : “Nous, on l'a tous les dimanches !” Il s'agissait bien entendu d'un des fidèles de la paroisse assistant régulièrement à la forme extraordinaire dans la paroisse.

Je n'ai pas de projet immédiat de célébrer dans l'une ou l'autre de ces deux communautés, mais le ferai volontiers à l'occasion, d'autant plus que j'ai fait depuis cet été l'acquisition du Pontifical Romain de 1962.


6) Dans votre communiqué de 2007, vous écriviez que “le latin reste normatif actuellement dans notre Église romaine”. Pourtant, il n'est plus enseigné dans de nombreux séminaires : n'y a-t-il pas là un grave manque à réparer ?

Je ne peux pas répondre pour les séminaires en général, mais puis vous assurer qu'il a toute sa place à Toulouse.


7) Avez-vous un message particulier à adresser à nos lecteurs ?

Juste insister sur l'importance qu'il y a pour tous les fidèles, et pas seulement les évêques et les prêtres, d'aller dans le sens de ce que veut le Saint Père. Et ce qu'il veut, c'est la paix et l'unité liturgiques, le respect mutuel entre les deux formes sans en faire une guerre de tranchées. La forme ordinaire reste l'ordinaire des communautés paroissiales et religieuses, dans le respect des fidèles et de la tradition de l'Église.


(1) Nous avions par le passé critiqué un refus de messe traditionnelle dans le diocèse de Mende sous le régime du Motu Proprio de 1988. Mgr Le Gall, qui était alors évêque de Mende, a tenu à nous préciser que s'il n'avait pas donné suite à la demande de messe, c'est parce que les demandeurs étaient pour la plupart extérieurs au diocèse.

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Commentaire d'Hercule : On croit rêver lorsque l'on lit que Mgr Le Gall, archevêque de Toulouse, et ancien Evêque de Mende, nous annonce que s'il n'avait pas donné suite à la demande de messe du Motu Proprio de 1988, à Mende, c'est parce que les demandeurs étaient pour la plupart extérieurs au diocèse...

En ce qui me concerne, après la conférence, du 8 février 2011, qu'il a autorisé à l'Université Catholique de Toulouse, dans le cadre des campagnes de séduction de la franc-maçonnerie pour mieux infiltrer l'Eglise et l'empoisonner de l'intérieur, après son livre "100 Questions à un Evêque" où il répond aux questions d'un franc-maçon et où il dévoilent ses vanités mondaines, je n'ai plus aucune confiance en lui. Pour moi, il peut donner de suite sa démission, cela ne me dérangera pas. Cela d'autant plus qu'il y a bientôt deux mois, j'ai été enterrer la mère d'un ami décédée dans la paroisse de Castanet-Tolosan. Comme le curé du lieu, un dominicain moderno a décidé qu'il n'y aurait plus de messes d'enterrement dans sa paroisse et que ce sont des laïcs qui "célèbreraint" les cérémonies de funérailles, il a fallut partir avec la dépouille de cette personne pour une paroisse voisine qui accepte de l'accueillir... Il s'était passé la même chose il y a deux ans dans cette même paroisse de Castanet-Tolosan avec une autre amie qui allait à la messe tous les jours et qui n'a pas eu droit à une messe d'enterrement dans la poisse où elle a été baptisé et qu'elle a fréquenté durant plus de soixante-dix ans...

Mgr Le Gall semble ne jamais répondre aux courriers de ses paroissiens, à moins bien entendu qu'ils aient une sensibilité proche de la franc-maçonnerie... Pour un Evêque responsable national de la liturgie, c'est plus qu'inquiétant. Lors de son arrivée à Toulouse, il s'était permis de reprendre le Pape...

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http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/relativisme/letrangemisseldesdimanchesdemgrlegall

Samedi 14 novembre 2009

L'étrange Missel des dimanches de Mgr Le Gall
Voici des extraits de la seconde partie de l'article de Jean Madiran (lire le premier sur la suppression des fêtes patronales de la France), publié dans Présent de ce jour :


"La suppression obstinée, par l’épiscopat français, des fêtes patronales de la France, est compensée, dans le Missel des dimanches, par l’arrivée en masse de fêtes que l’on n’avait jamais vues [...] :
Le 29 novembre 2009 : «Dans la communauté musulmane, Aid al Kabir, fête du sacrifice du bélier qu’Abraham a immolé en remplacement de son fils.»
Du 12 au 19 décembre : «Fête juive de Hanoukkah commémorant la victoire des Maccabées et la nouvelle dédicace de l’autel du temple de Jérusalem après sa profanation par les Grecs en 160 avant notre ère.»
Le 18 décembre : «Fête du nouvel an pour la communauté musulmane.»
Le 27 février 2010 : «Fête juive de Pourrim où la communauté fait mémoire du jeûne d’Esther, lorsque le peuple a été libéré du projet d’extermination des juifs exilés en Perse.»
Page 192 : «Il y a quatorze siècles, en 610, Mahomet, alors simple caravanier, commença à prêcher pour ramener le peuple de La Mecque à la religion du Dieu unique et lui enseigner la soumission à la volonté divine.»
Le 21 mars : «Collecte des dons pour le CCFD.»
Le 19 mai : «Fête juive de Chavouot, fête des moissons et du don de la Loi.»
Le 12 août «commence pour les musulmans le mois de jeûne du Ramadan».
Le 18 septembre «la communauté juive célèbre le grand pardon, Yom Kippour, le jour le plus solennel de l’année, consacré à l’expiation des péchés».
Du 23 septembre au 1er octobre, «dans la communauté juive, fête de Soukkot ou des Tentes, commémorant le séjour au désert lors de l’Exode».
Dernier dimanche d’octobre : «Fête de la Réformation.»
Ce n’est plus un missel [...] Je laisse à de plus savants le soin de décider quelle qualification juridique et morale mérite donc le (soi-disant) Missel des dimanches 2010 : «abus de confiance» ? «tromperie sur la marchandise» ? ou quelque autre ? En tout cas le fait est là : ce prétendu missel contient aussi d’autres choses que les «textes et rubriques pour la célébration de la messe». Il serait plus honnête de lui donner désormais un autre titre que celui de «missel». Simple suggestion à l’adresse de Mgr Robert Le Gall."

Ce qui est étrange, c'est que Mgr Le Gall, président de la Commission épiscopale pour la liturgie, qui, à ce titre, donne chaque année l’imprimatur au Missel des dimanches, est l'ancien père abbé de l'abbaye bénédictine Sainte-Anne de Kergonan. Un bénédictin devrait pourtant être attaché à la liturgie, comme l'a rappelé Benoît XVI dans sa catéchèse sur Cluny le 11 novembre. A croire que Mgr Le Gall, en validant ce missel, cherche à donner des gages. Mais à qui ? Au noyau dirigeant de la CEF ou à son presbyterium ?

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http://www.perepiscopus.org/conference-episcopale/laforcedinertiedunoyaudirigeantdelacef

La force d’inertie du noyau dirigeant de la CEF
Posté par Maximilien Bernard dans Conférence épiscopale le 07 1st, 2010 |
Denis Crouan s’interroge sur le virage à 180° de l’ancien père abbé de Kergonan, Mgr Le Gall :

« Un Abbé bénédictin, versé en liturgie, écrit d’excellentes choses sur le sujet et veille à ce que, dans le monastère dont il a la charge, les célébrations soient très dignes, fidèles au missel
romain, exemplaires, intégralement en latin et grégorien. Cet Abbé est nommé évêque. On met beaucoup d’espoir en lui: expert en liturgie, il saura au moins donner l’exemple de ce
qu’il faut faire et plaidera en faveur du chant grégorien auquel le Concile a voulu donner la première place. Eh bien pas du tout! A peine nommé évêque, cet ex-Abbé se met à célébrer la
liturgie n’importe comment et à accepter n’importe quoi: de ce qu’il disait en tant que moine bénédictin, il ne reste plus rien… Au lieu d’être un guide, il se met au diapason des liturgies déviantes qu’on voit dans une majorité de paroisses.

Pourquoi ? A quoi est dû un tel revirement ? Serait-on contraint, lorsqu’on accepte de devenir évêque en France, de boire un philtre qui provoque un dédoublement de personnalité ? Le fait qu’une
personne puisse ainsi renier ce qui a constitué pendant des années l’essence de sa vie contemplative demeure largement incompréhensible pour le fidèle lambda et l’on aimerait trouver ne serait-ce
qu’un début d’explication à ce syndrome de la volte-face qui semble atteindre de nombreux évêques. Une volte-face qui d’ailleurs se fait parfois aussi en sens inverse pour des évêques qui
prennent leur retraite et se mettent alors à dire des choses que jamais ils n’auraient osé dire tant qu’ils exerçaient leur charge épiscopale. »

C’est une excellente question que pose Denis Crouan. Une question pourtant déjà résolue par Jean Madiran, notamment, qui a dénoncé ce noyau dirigeant de la Conférence
épiscopale, contre lequel la plupart des évêques n’osent pas s’opposer au nom d’une unité et d’une communion qui ont perdu toute vérité et toute charité.

La Conférence épiscopale exerce de fait une autorité au-dessus des évêques français. Laquelle Conférence est à son tour soumise aux manœuvres et manipulations du Conseil
permanent, qui lui-même est dans la main de Mgr Vingt-Trois et de son entourage immédiat, Mgr Simon et du secrétaire général
l’abbé Hérouard. A leur disposition, il y a tout un appareil de «commissions», de «conseils» et de «services» épiscopaux ayant leurs correspondants directs dans les
diocèses, par-dessus la tête de l’évêque. Tel est le système de l’autorité parallèle qui prévaut en fait et qui fonctionne sans justification doctrinale, si ce n’est le
vague fondement de théories incertaines sur la «collégialité». Tout cet appareil administratif échappe à une Conférence des évêques réunie seulement une ou deux fois par an, il
pratique au nom de la Conférence le supposé «exercice collectif» de la responsabilité épiscopale.

Pour que les évêques retrouvent une vraie liberté d’action, soit ils refusent de se soumettre à la CEF et deviennent des parias (il y en a…), soit il faut renverser la tendance au sein de la
CEF (fruit d’un long travail de nominations épiscopales), soit il faut dissoudre cette CEF.

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http://www.perepiscopus.org/article-mgr-le-gall-salit-la-memoire-des-juifs-tues-pendant-la-guerre-56095289.html

Samedi 28 août 2010
Mgr Le Gall salit la mémoire des Juifs tués pendant la guerre

L'archevêque de Toulouse dépasse les bornes, dans la polémique sur les Roms. Les catholiques doivent être solidaires des Roms comme ils l'ont été des juifs durant le génocide nazi, a-t-il dit vendredi.

Devant 4 000 personnes rassemblées en la basilique de Lourdes, Monseigneur Robert Le Gall a lu, durant son homélie, la lettre rédigée en août 1942 par son prédécesseur, Monseigneur Jules-Géraud Saliège, appelant à protéger les juifs.
"Ils font partie du genre humain. Ils sont nos Frères comme tant d'autres. Un chrétien ne peut l'oublier", disait notamment cette lettre dont il avait ordonné la lecture publique.

Ce rapprochement est honteux : l'expulsion des Roms ne peut certainement pas être mise sur le même plan que l'extermination des Juifs. Ce genre de propos est comparable au "CRS = SS" : il minimise au final le crime perpétré contre les Juifs en le mettant sur le même plan que des actions policières d'aujourd'hui, parfois musclées mais sans volonté criminelle. Ce qui est excessif est insignifiant.
Par Maximilien Bernard

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http://www.ladepeche.fr/

Toulouse et sa région
PUBLIÉ LE 14/06/2011 08:55 | PROPOS RECUEILLI PAR A. H.
Le franc-maçon interroge l'archevêque

Signature de l'ouvrage avec Marc Bradfer et MGR Le Gall jeudi dernier à l'Institut catholique./Photo DDM, Frédéric Charmeux

Marc Bradfer, franc-maçon et auteur de « Fils de prêtre » (2003) vient de cosigner avec Fabienne Giard « 100 questions à Monseigneur Robert Le Gall ». L'archevêque de Toulouse aborde la religion, l'Eglise, la science et la politique. Entretien avec Marc Bradfer.

Pourquoi êtes-vous entré en franc-maçonnerie ?

La franc-maçonnerie, telle que je la vis depuis douze ans, est un espace d'humanisme, de tolérance, de libre interprétation des faits, des événements, des questions scientifiques… Un espace d'écoute et de rencontre de l'autre. C'est une spiritualité d'une grande richesse symbolique, un aspect qui à certains égards manque à l'église.

Vous êtes fils de prêtre et ardent défenseur de la laïcité. Pourquoi un livre d'entretien avec un homme d'église ?

Il y a plus de place qu'avant pour discuter avec un religieux car l'église actuelle a marqué sa volonté de dialoguer avec les non-croyants par exemple. Plus personnellement, Monseigneur Le Gall est moine bénédictin. Je connais un peu la spiritualité bénédictine qui se caractérise par une très grande ouverture d'esprit.

Un homme d'église est-il censé avoir une opinion sur tout ?

On note une volonté de l'église de réfléchir aux problèmes du monde contemporain. Nous vivons des bouleversements considérables notamment en matière de communication et de rapports aux autres. Il s'est longuement exprimé par exemple sur l'affaire des expulsions de Roms l'été dernier ou sur les sans-papiers.

« 100 questions à Monseigneur Robert Le Gall » (Editions Empreinte). 16€.

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http://toulouse.catholique.fr/rubriques/haut/actualites/100-questions-a-monseigneur-le-gall/?searchterm=Bradfer

100 questions à Monseigneur Le Gall

"Quelle est pour vous la fonction fondamentale d'une religion ?"
"Vous est-il arrivé de tomber amoureux ?"
Voilà la première et la dernière questions que Marc Bradfer et Fabienne Giard ont posé à Monseigneur Le Gall dans le livre-interview qui vient de paraître aux éditions Empreinte.
Une centaine de questions sur la religion, l’Église, la société, la science, la politique et sur son expérience personnelle, où l'évêque se livre avec sa pensée, son expérience, son humour.

"D’où vient l’intérêt d’en savoir plus sur un homme ?

De la conviction que sa pensée, son histoire, son engagement et ses responsabilités peuvent nous en dire également beaucoup sur nous-mêmes. Cet homme déclare servir le bien de tous ; il proclame sa foi en Dieu et en Jésus-Christ. Il fallait questionner Robert Le Gall, le moine qu’il fut et qu’il demeure profondément dans le silence de la prière, le prêtre et l’archevêque qu’il est, dans l’Église, avec cette ouverture attentive aux autres, aux tragédies et aux prodiges d’un monde où raison et religion sont confrontées aujourd’hui aux défis les plus grands, peut-être, de l’histoire de l’humanité."

Ainsi les auteurs du livre "100 questions à Monseigneur Robert Le Gall Archevêque de Toulouse" introduisent cette longue interview, de 2007 à 2010, qui sort ces jours en librairie.

Marc Bradfer, franc-maçon et auteur de « Fils de prêtre » (2003), a pris l’initiative de cet entretien conduit avec la journaliste catholique Fabienne Giard.

Les auteurs concluent "nous lui sommes reconnaissants de nous avoir laissés totalement libres des cent questions que nous avions choisi d’aborder avec lui. Il n’en a évité aucune, n’éludant aucun sujet, répondant longuement, avec humilité et rigueur, sans se départir d’un humour certain."

Marc Bradfer et Fabienne Giard
100 questions à Monseigneur Robert Le Gall
Archevêque de Toulouse
Empreinte Editions
ISBN 978-2-913319-67-7
16 €

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