Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile
Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

2 participants

Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par JML Mer 17 Aoû - 20:28

Louis XVII fut sauvé par Robespierre et Lazare Carnot qui ont permis l'évasion. Il fut placé chez le cousin germain de Robespierre dans une ferme au mont St Eloi, village près d'Arras. Il pris le nom d'Albert Carraut et vécu là. Sans bien sur pouvoir se marier, il eut un fils en 1806 qui porta le nom de sa mère, celle ci vécu avec son fils à Berlencourt le Cauroy. Lazare Carnot ayant sauvé l'orphelin (qui devait être monnaie d'échange, personne n'en a voulu) a laissé le souvenir de ce geste avec le prenom SAADI a ses descendants.

JML

Messages : 4
Date d'inscription : 17/08/2011

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Re: Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par Her Mer 17 Aoû - 23:24

Bonjour JML,

Je ne connaissais pas cette version mais, en ce qui me concerne, je préfère m'en tenir à ma version d'une substitution après le 9 thermidor, soit après la mort de Robespierre, à la fin de l'année 1795, à la demande de Joséphine de Beauharnais et sur ordre de Bonaparte et avec l'accord de Barras.

Meilleures pensées
Hercule


P.S. http://www.monsieur-biographie.com/celebrite/biographie/josephine_de_beauharnais-3187.php

Née en 1763 aux Trois-Ilets en Martinique , Marie-Joseph-Rose de Tascher de la Pagerie connaît une enfance heureuse dans la plantation familiale avant d'être envoyée à Paris à l'age de 16 ans. Elle y épouse Alexandre de Beauharnais avec lequel elle a deux enfants, Eugène et Hortense, mais cela n'empêche pas une séparation entre les époux. Emprisonnés tous deux sous la Terreur dans l'ancien couvent des Carmes, seule Joséphine échappe à l'exécution et est libérée après trois mois de détention. C'est cette veuve de 32 ans que Bonaparte rencontre en 1795 dans les cercles qui se sont formés autour du Directeur Barras. Le jeune général corse est ébloui par son charme et son aisance dans la nouvelle société qui se crée alors. Un simple mariage civil les unit le 9 mars 1796 entraînant colère et stupéfaction dans la famille Bonaparte qui n'a pas donné son consentement. Devenue Joséphine grâce à Bonaparte qui féminise ...
(Lire la biographie complète : Biographie de JOSEPHINE DE BEAUHARNAIS )


Dernière édition par Hercule le Mer 17 Aoû - 23:44, édité 1 fois
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Re: Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par Her Mer 17 Aoû - 23:31

http://fr.wikipedia.org/wiki/Joséphine_de_Beauharnais

Joséphine de Beauharnais

L'impératrice Joséphine.

Marie-Josèphe-Rose de Tascher de La Pagerie, dite Joséphine de Beauharnais, née le 23 juin 1763 aux Trois-Îlets en Martinique et décédée le 29 mai 1814 au château de Malmaison à Rueil-Malmaison, fut la première épouse de l'Empereur Napoléon Ier de 1796 à 1809 et impératrice des Français et reine d'Italie de 1804 à 1809.

Sommaire
1 Biographie
1.1 La Révolution

Biographie

Elle est la fille aînée de Joseph-Gaspard de Tascher de La Pagerie (1735-1791), chevalier, seigneur de La Pagerie, et de Rose Claire des Vergers de Sannois (1736-1807), issue d'une famille de riches colons martiniquais. Ils exploitent une plantation de cannes à sucre sur laquelle travaillent plus d'une centaine d'esclaves africains. Elle tiendrait son prénom de la dauphine Marie-Josèphe de Saxe (belle-fille de Louis XV et mère de Louis XVI, Louis XVIII et Charles X) dont son père a été page ainsi que son jeune frère Robert-Marguerite que l'on appellera plus tard le baron de Tascher.

Marie-Josèphe-Rose est née le 23 juin 1763 aux Trois-Îlets, près de Fort-Royal (plus tard Fort-de-France) à la Martinique. Elle est baptisée le 27 juillet 1763 en l'église Notre-Dame de la Bonne-Délivrance aux Trois-Îlets : son parrain est Joseph Desvergers de Sannois et sa marraine est Marie Françoise de la Chevalerie de la Pagerie1. Elle trichera toute sa vie sur la date de sa naissance pour se rajeunir[réf. nécessaire]. Les Almanachs impériaux indiqueront tous les ans la date du 24 juin 1768. Sa fille, la reine Hortense continuera à maintenir cette fiction.

Au cours de l'année 1777, François de Beauharnais (1714-1800), qui vit avec Désirée, la sœur de Joseph-Gaspard Tascher de La Pagerie, propose à ce dernier d'unir son fils cadet, le vicomte Alexandre de Beauharnais avec sa fille Catherine-Désirée Tascher de La Pagerie. Malheureusement, lorsque cette demande parvient aux La Pagerie, la jeune fille souhaitée vient de mourir, emportée par la tuberculose. Alexandre accepte alors la main de l'aînée Rose qui quitte son île natale pour l'épouser le 13 décembre 1779 à Noisy-le-Grand.

Si Alexandre cherche à se faire un nom et une situation prestigieuse, compensant ainsi le fait que les Beauharnais n'ont jamais été reçus à Versailles et n'ont donc jamais eu droit aux carrosses royaux, Rose va chercher sans relâche à s'élever, à compléter la médiocre éducation qu'elle a reçue chez les Dames de la Providence de Fort-Royal et à améliorer sa position sociale. Le mariage de Rose et d'Alexandre ne sera pas heureux, Alexandre multipliant les liaisons, dilapidant joyeusement sa fortune considérable (trois belles habitations à Saint-Domingue employant des centaines d'esclaves) et faisant porter à sa femme l'échec de leur mariage. Le couple se sépara dans des conditions difficiles en décembre 1785. Rose ira alors trouver refuge à l'abbaye de Penthemont où elle va parfaire son éducation au contact des nombreuses jeunes femmes de très bonne famille (Louise d'Esparbès, Bathilde d'Orléans, Louise de Condé, etc.) que leurs familles ont placées ici. Quand elle en sortira, elle ira s'installer chez son beau-père, le marquis de Beauharnais, à Fontainebleau où l'on prétend qu'elle suivra les chasses du roi Louis XVI et les beaux cavaliers qui y participent : le comte de Crenay, le duc de Lorge ou le chevalier de Coigny. En 1788, elle retournera à la Martinique voir si elle peut améliorer sa situation qui reste très préoccupante. Mais la Révolution qui éclate en 1789, et touche l'ile à partir de 1790, l'incite à regagner la France fin 1790 et Paris où son mari occupe maintenant la situation très en vue mais dangereuse de président de l'Assemblée constituante.

Cependant, le couple donna naissance à deux enfants :
Eugène-Rose (1781-1824), vice-roi d'Italie, il épousa en 1806 Augusta-Amélie de Bavière (1788-1851), et fut à l'origine des ducs de Leuchtenberg dont plusieurs descendants épousèrent des monarques européens.
Hortense Eugénie Cécile (1783-1837), qui épousa en 1802 un frère de Napoléon Louis Bonaparte, plus tard roi de Hollande, et fut la mère de Napoléon III et du duc de Morny.

La Révolution

Son mari est élu député aux États généraux en 1789, et ensuite président de l'Assemblée constituante (Révolution française), le 18 juin 1791, au moment de la fuite à Varennes, où il joue un rôle de premier plan. En septembre, la Constituante se dissout et Alexandre doit regagner les rangs de l'armée du Rhin où il ne manifestera pas de grandes capacités. Après la chute de Mayence en juillet 1793, chute qu'on lui attribue, il regagne son fief de la Ferté-Aurain avant d'être arrêté en mars 1794 sur l'ordre du Comité de sûreté générale et emprisonné à la prison des Carmes. Il sera guillotiné le 23 juillet 1794 peu avant la chute de Robespierre (Thermidor). C'est presque par miracle que sa femme évitera l'échafaud tant elle s'était (assez naïvement) exposée pour sauver des royalistes, bien qu'elle ait mis son fils Eugène en apprentissage chez un menuisier pour faire peuple. Emprisonnée elle aussi à la prison des Carmes2 le 21 avril (2 floréal), Joséphine en sortit le 6 août 1794 (19 thermidor an II)3, peut-être grâce à l'intervention de Thérésa Cabarrus, marquise de Fontenay et pour l'heure épouse de Tallien.
À sa sortie de prison, sa beauté et ses amitiés lui ouvrent les portes des salons à la mode. Elle est alors tellement pauvre qu'on la dispense, comme les autres, lors des soirées, d'apporter son pain comme cela se faisait alors. Malgré sa pauvreté, la citoyenne Beauharnais s'arrange toujours pour être bien mise, contractant des dettes dont elle règle les plus criantes en jouant probablement de ses charmes. Au fil des mois, elle s'arrange aussi pour récupérer les biens d'Alexandre grâce à Barras. A l'été 1795, elle va louer un petit hôtel particulier, rue Chantereine, à Paris, qui va lui permettre de mieux vivre « selon son rang ».
Nouant une grande amitié avec Thérésa Tallien, elle passe pour être une des « reines » du Directoire, et devient la maîtresse de Barras dont elle était éprise mais qui était déjà marié. Elle est alors une femme entretenue. Mais Barras, se détachant d'elle, cherche à s'en débarrasser et lui présente un officier en disponibilité, Napoléon Bonaparte, censé lui apporter une certaine stabilité financière et une position convenable dans le monde. La veuve Beauharnais accepte ce mariage sans amour de sa part, mais convaincue des capacités de son époux à se tailler une place dans les sphères les plus hautes du pouvoir. Celui-ci, très épris, jaloux et possessif, transforme le deuxième prénom de sa promise, Josèphe, en Joséphine pour ne pas avoir à prononcer un prénom prononcé par les amants de sa femme.

Joséphine épouse civilement Napoléon Bonaparte le 8 mars 1796 à Paris. Il a vingt-sept ans, elle en a officiellement six de plus. Les deux époux trichent tous les deux sur leur âge. Le surlendemain, Bonaparte, qui a été nommé par Barras général en chef de l'armée d'Italie, part prendre son commandement. Joséphine, qui reste à Paris quelques mois, va traficoter en tirant de substantiels revenus sur des marchés de fournitures plutôt douteux avec l'armée, afin de subvenir à ses goûts luxueux. L'entente avec sa belle-famille est des plus mauvaises ; la sœur préférée de Napoléon, Pauline, qui a le même âge qu'Hortense, l'appelle « la vieille ». Mais surtout Napoléon ne l'a pas encore présenté à sa mère, qui, pour le moment, habite Marseille.

Leur vie de couple sera orageuse sous le Directoire, à cause des infidélités chroniques de Joséphine (surtout avec le capitaine de hussards Hippolyte Charles). Pendant plusieurs mois elle refuse de quitter Paris pour suivre Napoléon, qui a entrepris la première campagne d'Italie. Par la suite, la situation s’inversera, Napoléon ne répugnant pas à prendre des maîtresses dans l'entourage de son épouse, et Joséphine, qui ne l'ignorait pas, devant subir la présence de ses rivales...
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Re: Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par Her Mer 17 Aoû - 23:42

http://www.linternaute.com/biographie/napoleon-bonaparte/

5 octobre 1795

Première intervention de Bonaparte

Le commandant en chef de l'armée de l'intérieur, Paul Barras, fait appel au jeune et inconnu général Napoléon Bonaparte pour réprimer une insurrection royaliste à Paris. Mécontents des dispositions prises par la Convention "thermidorienne", qui visent à empêcher une restauration de la monarchie, les royalistes se révoltent. Une partie de la garde nationale et un groupe de sans-culottes prennent les armes. Mais la répression et trop forte ce 13 vendémiaire de l'an IV, Bonaparte mitraille les insurgés royalistes sur les marches de l'église Saint Roch, au coeur de Paris. Choisi par Barras sur les conseils de sa maîtresse, Joséphine de Beauharnais, l'action du futur empereur ce jour-là lui vaudra la main de la belle Joséphine en mars 1796 et le commandement de l'armée d'Italie.
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Re: Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par Her Mer 17 Aoû - 23:51

http://louisxviiroimartyr.free.fr/

L’emmurement et l’agonie

Malgré tout ce que Louis-Charles avait déjà subi, le pire n’arriva que le 19 janvier 1794, quand la Convention décida qu’elle avait assez perdu de temps avec le petit roi. Commence alors la période de l’emmurement, qui durera six mois. Le jeune roi, qui va sur ses neuf ans, est jeté au fond de sa chambre, dont on condamne la porte. Pendant six mois sans interruption, il vivra dans cette pièce minuscule, où n’entre pas même la lumière du jour puisque la fenêtre, comme la porte, est condamnée. La nourriture lui est passée à travers un guichet. Aucun accès au cabinet d’aisance : l’enfant, qui est déjà malade, va vivre pendant six mois au milieu de ses déjections. Il n’a ni visite, ni lumière, ni livre, ni jouet pour se distraire. Terrorisé, malade, rejeté de tous, écrasé par le chagrin, il est sur le point de mourir d’inanition lorsque Robespierre est renversé le 28 juillet 1794 (9 thermidor). Le soir même, Barras, nouvel homme fort du régime, se rend à la prison du Temple et fait sortir l’enfant de son isolement. Louis-Charles est dans un état qui dépasse l’imagination. Sa seule parole, lorsque ses nouveaux geôliers ouvrent enfin la porte de sa cellule après six mois d’isolement, est pour leur dire qu’il voudrait mourir.

Il faudra pourtant attendre encore un mois pour que ses gardiens le lavent, le soignent, lui coupent les cheveux et les ongles, l’habillent de linge frais et nettoient sa chambre de fond en comble. Trois gardiens se succèderont d’ici la mort de l’enfant : Christophe Laurent, Jean-Baptiste Gomin et Etienne Lasne. Ces hommes se montrèrent humains et firent de leur mieux, dans la mesure de leurs maigres moyens, pour adoucir le sort de l’enfant royal et le distraire un peu. Mais Louis-Charles est au-delà de cela désormais : en état de catalepsie, tuberculeux au dernier degré, il n’a plus aucune force et ne parle presque jamais, sauf pour donner des réponses très brèves que ses gardiens doivent lui soutirer avec insistance. Il ne gémit même pas de douleur, alors que ses poignets et ses genoux sont noués par une arthrose tuberculeuse qui le fait terriblement souffrir. Il a bien trop peur des hommes désormais pour leur faire confiance, et seules les cajoleries d’une mère pourraient peut-être l’aider à sortir de son silence.

Et justement, toutes les pensées de l’enfant vont vers sa mère. Il ignore que Marie-Antoinette a été guillotinée le 16 octobre 1793, et pense qu’elle est toujours enfermée au troisième étage de la tour. Un jour, rassemblant ses dernières forces et ses dernières volontés, l’enfant moribond, qui ne parle presque jamais, demande à Gomin de le laisser revoir sa mère une dernière fois avant de mourir. Une requête que le gardien ne peut évidemment accorder.

Une semaine plus tard, le garçon entre dans le dernier tournant de son agonie. Il ne lui reste plus que deux jours à vivre, et c’est alors, et seulement alors, que le médecin décide de le tirer de son cachot pour l’allonger dans une belle chambre bleue, illuminée par le soleil, à l’autre bout du bâtiment. Louis-Charles a l’air de s’y remettre, mais au matin du dernier jour, son mal a tant empiré qu’il en devient intransportable. Veillé par Gomin et Lasne, le petit garçon souffre terriblement. Sa maladie a en effet dégénéré en péritonite tuberculeuse. Délirant de fièvre, il croit entendre sa mère chanter. Retrouvant un ultime éclair de joie, il se redresse, tire sur le bras de son gardien, se penche pour lui faire une confidence...et meurt dans ses bras. En ce 8 juin 1795, le petit martyr s’en est allé. Il avait dix ans, deux mois et douze jours.
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Re: Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par JML Jeu 18 Aoû - 19:44

C'est bon la page est pleine. Je ne cherche pas l'approbation mais simplement d'en faire etat pour ceux qui ne sont plus sous l'emprise de la manipulation mentale dont cette affaire a fait l'objet avec cette centaine de faux dauphins pousses par Fouché et sa police dont bien sur Vidocq qui doit sa carriere a avoir participe à cette évasion. Et pour ceux qui doutent encore Robespierre Carnot et Fouche trois copains Rosati connaissant bien la famille Carraut au point que Fouche était très proche de Charlotte Robespierre. Et Gonse de Rougeville qui habitait pas loin il connaissait bien les brasseurs Carraut son père etait inspecteur des eaux de vie.
JML

JML

Messages : 4
Date d'inscription : 17/08/2011

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Re: Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par Her Ven 19 Aoû - 22:37

Bonjour,

Si la France, la Famille Royale et l'Eglise ont laissé courir autant de faux-dauphins, c'est justement, je crois, pour que la véritable lignée soit protégée dans le secret et le silence, par rapport au grand brouhaha des multiples faux-prétendants qui n'ont eu pour seule liberté et pour seul rôle que brouiller les pistes jusqu'à ce que vienne l'élu de Dieu.

Et les opposants n'y pourront jamais rien changer malgré tous leurs efforts en deux ou trois siècles d'histoire sordide.

Qu'en pensez-vous ?

Meilleures pensées
Hercule
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Re: Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par JML Dim 21 Aoû - 18:49

Vu ce qu'il avait subi, il ne devait plus être tout a fait normal et il est vrai que si lui ou ses descendants avaient été découverts, leurs vies auraient été en danger. Mais il a fait ce qu'il devait faire : sauver sa vie et la donner ; ce qu'il a fait. Son fils a été élevé comme un malheureux. Regardez si vous en connaissez, une pauvre fille sans mari avec son fils dans un hlm et bien remettez ca en 1806. Et ensuite ça continu, vous avez comme descendants des valets de charrue, puis ouvriers a la mine : Les cousins du Roi d'Espagne, du Roi d'Angleterre, les oints de l'Eglise. Il fallait mieux ne plus en parler et puis rien n'est sur se disaient-ils ce n'était peut être pas le père, Mais maintenant on a l'ADN, et ils ont repris du poil de la bete les decendants du Roi David (vérifié par l'adn) on verra. jml

JML

Messages : 4
Date d'inscription : 17/08/2011

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Re: Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par Her Dim 4 Sep - 6:55

Bonjour,

Les hommes respectueux du passé sont des hommes d'avenir !...

Et en observant le passé, on constate que le roi David était de souche paysanne.
Mon intime conviction, c'est qu'il en sera de même pour le Grand Monarque...
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty CONNEXION CHEVALIER DE LA MAISON ROUGE ET ROBESPIERRE.

Message par JML Dim 26 Mai - 20:38

mes recherches etant bien avancees.On peut dire que Louis XVII fut sauve debut juin 1795 avant le debarquement de Quiberon,annonce mort pour saper le moral des troupes et garde en lieu sur comme future monnaie d'echange.Un accord fut fait entre Carnot et Gonsse de rougeville,le chevalier en liaison avec MMe lady Atkins.Robespierre est intervenu,par l'intermediaire de sa famille maternelle son cousin germain Augustin Carraut.Augustin etait marie a Nathalie Aubron dont le frere etait procureur au conseil d'artois,la belle soeur de nathalie du nom de Gayant etait la cousine germaine du chevalier de la maison rouge (dont l'histoire a ete raconte par Dumas).Louis XVII pris le nom D'albert Carraut ne le 21 decembre 1784 a ARRAS fils d'augustin et de Nathalie.Son" pere" etait donc cousin germain de Robespierre et sa" tante "cousine germaine du Chevalier.CQFD.de nombreuses familles haut placees savent cela ,en haut de la republique et dans les familles royales,mais tout cela etait un accord d'etats dont le silence et tous les moyens pour le garder ont ete utilises.JML.

JML

Messages : 4
Date d'inscription : 17/08/2011

Revenir en haut Aller en bas

Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance Empty Re: Louis XVII - Différentes Hypothèses sur son Evasion et sa Survivance

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum