Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
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Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE :: LES PROPHETIES SUR LE SAINT PAPE ET LE GRAND ROI
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
///////////////////////////////////////////////////////////
Bienheureux Nicolas Factor
(1583)
Le bienheureux Nicolas Factor (1520-1583), franciscain de Valencia en Espagne :
« Lorsqu’à peine le tiers de ceux qui se nomme chrétiens demeureront fidèles, viendra un Grand Pontife, choisi par Dieu, qui réformera l’Eglise et réduira les hérétiques. S’alliant avec le Roi en qui Dieu aura mit sa grâce, ils marcheront vers Jérusalem avec une grande armée. Pleins de ferveur, les Espagnols les suivront, sans même s’attarder à prendre congé de leurs parents ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Nicolas Factor ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI. Au contraire, elle annonce qu'un Pape viendra, ce qui signifie "un nouveau Pape" et non Paul VI
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Bienheureux Nicolas Factor
(1583)
Le bienheureux Nicolas Factor (1520-1583), franciscain de Valencia en Espagne :
« Lorsqu’à peine le tiers de ceux qui se nomme chrétiens demeureront fidèles, viendra un Grand Pontife, choisi par Dieu, qui réformera l’Eglise et réduira les hérétiques. S’alliant avec le Roi en qui Dieu aura mit sa grâce, ils marcheront vers Jérusalem avec une grande armée. Pleins de ferveur, les Espagnols les suivront, sans même s’attarder à prendre congé de leurs parents ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Nicolas Factor ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI. Au contraire, elle annonce qu'un Pape viendra, ce qui signifie "un nouveau Pape" et non Paul VI
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Dernière édition par Hercule le Lun 11 Avr - 20:19, édité 6 fois
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
Bonjour à tous,
Voyez et lisez ! l'affaire est grave !!!...
A la lecture du texte qui suit, j'ai envie de poser à M. Jean Marc Chabanon les questions suivantes :
1°) Va t-il falloir exhumer la dépouille du Pape Paul VI au Vatican pour effectuer une analyse ADN comme cela avait été fait il y a quelques années pour le Père Carricart, prêtre de Betharram, accusé de pédophilie jusqu'à le pousser au suicide, et ensuite entendre les adeptes du complot annoncer que le Vatican avait organisé un faux-suicide de ce prêtre pour le protéger de nouvelles poursuites. Même si l'on arrivait à une telle extrémité, je suis bien certain que cela ne suffirait pas à faire taire les fausses rumeurs car le diable met beaucoup d'aveuglement dans les coeurs de ceux qui se coupent de l'autorité du Saint Père.
2°) Quel est l'opinion de M. Jean Marc Chabanon sur la légitimité des trois Papes successeurs de Paul VI ?
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Le Courrier de Tychique
Correspondance à adresser à
M. Jean Marc Chabanon
168, Route du Grobon – 01400 – Châtillon-sur-Chalaronne
N° 361
« Le plus grand dérèglement de l’esprit c’est de voir les choses, telles qu’on voudrait qu’elles soient, et non pas telles qu’elles sont en réalité. »
Bossuet « Traité de l’amour de Dieu et de soi-même »
Dimanche 30 janvier 2011
IVième Dimanche après l’Epiphanie.
...
Le mystère « Paul VI »
J’ai reçu, depuis le « Courrier » n° 359, de précieuses informations complémentaires dont j’ai pu vérifier le sérieux. Je les livre comme j’avais promis de le faire.
Il y aurait bien eu un sosie de Paul VI, comme en témoigne d’ailleurs le marquis de la Franquerie, qui connaissait bien Paul VI, puisqu’il était son « camérier ». Ce témoignage est conforté par celui de Jean Guitton qui avait vu « Paul VI » ( ?) le 8 septembre 1977, soit 11 mois avant sa mort (6 août 1978). Paul VI était perclus d’arthrose et marchait très difficilement. Or, ce 8 septembre 1977, il monta quatre à quatre les marches de l’observatoire de Castel Gondolfo ! Il avait les yeux bleus, alors que Paul VI les avait couleur noisette… Faut-il rappeler, aussi, que Pie XII avait demandé dans son testament de « ne jamais nommer Montini cardinal ». En effet, il l’avait surpris, avec son complice l’ancien Jésuite Tondi, en train de photographier la liste des prêtres qui allaient être envoyés, incognito, derrière le rideau de fer pour y faire leur apostolat. On sait, depuis, qu’ils furent tous arrêtés à leur arrivée en URSS, bien que vêtus en civil, tués ou envoyés au goulag avant d’être tués eux aussi. Pie XII ne l’avait donc pas nommé au poste « cardinalice » de Milan, pour qu’il ne puisse être élu pape. Quant au cardinal Siri, que Pie XII avait pressenti, rappelons-le, s’il dut rétracter son acceptation du pontificat, ce n’est évidemment pas pour éviter la mort des prêtres envoyés derrière le rideau de fer – c’était déjà fait – mais c’était par crainte des représailles annoncées sur sa propre famille ! Il déclara (à un correspondant) en 1985, dans son palais de Gênes : « Si les chrétiens savaient ce qui s’est passé au concile et dans les derniers conclaves, ils en perdraient la foi ! Et si je disais que la crise de l’Eglise provient du Concile et non pas seulement de ses applications, je me ferais couper le cou » Et il joignit le geste à la parole !
Quant à Tondi, après son éviction par Pie XII, il se maria civilement en 1954 avec une certaine Carmen Zanti, agent du KGB qui était son contact à Moscou. Il devint professeur d’athéisme à Berlin-Est en 1955 et secrétaire de Walter Ulbricht en 1958. A son retour à Rome, Paul VI fit ce qui ne s’était encore jamais vu dans l’Eglise, il déclara valide le mariage civil de 1954, dispensant le couple de tout mariage religieux ! Carmen Zanti mourut en 1979. Jean Paul II (futur saint de l’église officielle) permit alors à Tondi, sans office religieux, sans condition, sans même lui demander s’il avait abandonné le KGB, de réintégrer le sacerdoce puisqu’il avait été réduit à l’état laïc ! Ajoutons cette autre information que certains connaissent déjà, concernant les funérailles de « Paul VI ». Non seulement il n’y avait aucune croix sur son cercueil, mais le Diacre maronite ne put jamais lire l’Evangile de la messe de funérailles célébrée sur la Place St Pierre. En effet, à ce moment-là un violent coup de vent s’abattit sur le Missel, et uniquement sur le Missel (aucune feuille d’arbre ne frémissait ; il n’y avait pas de vent sur la place St Pierre). En vain, le diacre et un assistant adulte d’une trentaine d’années tentèrent-ils de s’arc-bouter sur ses pages pour éviter qu’elles ne s’envolent, rien n’y fit : l’Evangile ne fut pas lu !
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http://www.liberation.fr/societe/0101353045-descente-au-tombeau-du-pretre-suicide
Descente au tombeau du prêtre «suicidé».
Le père soupçonné de viol est-il bien mort? Une exhumation est ordonnée.
LAVAL GILBERT
Pau envoyé spécial
Les religieux de Notre-Dame-de-Bétharram ont la pierre tombale sobre. Le strict alignement du cimetière de l'institution sera pourtant bouleversé ce 10 novembre. Il s'agit d'en exhumer le corps du dernier père supérieur pour un prélèvement d'ADN. Silviet Carricart, 57 ans, était soupçonné d'avoir abusé d'un jeune élève de 10 ans, en 1988. Peut-être lisait-il aussi des romans de John Le Carré plutôt que son bréviaire. Car le soupçon pèse désormais sur sa disparition, intervenue au début de l'année, à la veille de son audition par la justice. Officiellement, le père Silviet Carricart est mort, et son corps enterré près de Pau. Mais le juge Christian Mirande de Pau n'est plus sûr du tout que le cadavre, rapatrié du Vatican le 10 février, soit bien celui du religieux recherché.
Cette histoire macabre démarre après la seconde tentative de suicide d'un ancien élève bordelais de l'institution paloise. «Ils ne savent pas ce que c'est que d'avoir une salle de bains dans sa tête», balbutie-t-il en reprenant conscience. Il ne faudra pas bien longtemps à sa mère pour comprendre que c'est de la salle de bains du père Carricart. Celle, loin du dortoir, où le religieux l'amenait pour abuser de lui quand il avait 10 ans en 1988. Une plainte est déposée dix ans plus tard, en décembre 1997 auprès du juge de Pau. L'enquête conduit à l'incarcération du père Silviet Carricart, le 28 mai 1998. Les prières du supérieur de Bétharram aboutiront à sa mise en liberté conditionnelle le 9 juin suivant. Puis à une levée plus insolite de son contrôle judiciaire. Qui lui permet de rejoindre le Vatican où il siège en tant que conseil de la Congrégation du Sacré- Coeur-de-Jésus des pères de Bétharram.
Pendant les quinze jours que le religieux passe à la maison d'arrêt de Pau, un autre ex-élève de l'institution écrit au juge pour protester contre le sort fait au «saint homme». Une fois le père Carricart au Vatican, ce même élève finira par cracher le morceau: «Moi aussi, il m'a violé...» Ce garçon est orphelin de père. Le détail n'est pas anecdotique. Le premier plaignant venait de perdre son géniteur trois jours plus tôt quand le père Carricart, qui en était informé, l'aurait violé la première fois. Un second dossier est ouvert, avec convocation du religieux, soupçonné de récidive, devant le juge pour le 12 janvier 2000. Il ne s'y présentera jamais.
Pierre Silviet Carricart a officiellement disparu le 5 janvier, derrière lui reste une lettre d'adieu abandonnée sur un bureau de sa Congrégation au Vatican. Près d'un mois plus tard, un corps était repêché dans les eaux du Tibre. Un père romain de Bétharram l'identifiera tout de suite comme celui de son coreligionnaire de Pau. La justice au Vatican n'étant pas qu'immanente, une autopsie du cadavre est pratiquée à la demande des magistrats italiens. Le document, est détaillé: 22 pages, à la lecture desquelles le juge Mirande apprend que le noyé repêché portait certes un chapelet mais pesait 80 kilos pour 1 m 75 de taille. Cela peut faire beaucoup pour un homme décrit comme «fluet» par ses proches et toisant 1 m 70 sur ses papiers d'identité. Le choix du suicide, réputé contrevenant à la volonté du ciel, n'est pas non plus dans la logique d'un homme d'église. En foi de quoi, le juge Mirande s'autorise quelques doutes. S'agit-il bien de la même personne ou y a-t-il eu substitution ? Le magistrat instructeur ne clôt en tout cas pas le dossier comme il aurait pu le faire en suivant la règle de l'extinction des poursuites. Il signe surtout la demande d'exhumation, pour une vérification à partir de test ADN, que lui soumet le 5 octobre l'avocat bordelais de la première victime.
Comparaison. Un homme peut être considéré «encore plus grand mort que vivant», admet Me Gérard Boulanger. Mais il a du mal à croire, en l'espèce, que la science adhère à ce propos. A l'institut de médecine légale de la faculté de Toulouse, le Pr Arbus est moins catégorique: «Une fois passé l'état de rigidité cadavérique, une personne, qui aurait eu à souffrir de scoliose de son vivant, peut très bien se déplier de trois ou quatre centimètres.» Et il n'est enfin pas possible de comparer exactement les tailles, poursuit le professeur: ce ne sont en effet pas des médecins légistes qui établissent celle mentionnée sur une carte d'identité. Une différence de cinq centimètres ne peut donc suffire à invalider une identification. Mais un simple double décimètre ne pourrait apparemment pas mesurer la profondeur des doutes du juge et de l'avocat. Ceux-là préféreraient avoir entendu Mgr Radaelli, le supérieur général de la Congrégation, qui dit avoir reconnu le corps. A l'opposé, la famille du père Silviet Carricart ne veut pas croire à la «substitution macabre» subodorée par Me Boulanger. Dès lors, seul un test ADN les frères du prêtre Carricart ayant accepté de donner un échantillon sanguin pouvait mettre tout le monde d'accord. Le résultat de ces analyses ne sera pas connu avant une bonne semaine.
«Détruit». Réfugié chez sa mère, le premier plaignant, âgé de 23 ans, tâche de reprendre pied dans la vie. Il a connu quelques problèmes avec la justice pour diverses agressions sexuelles commises après son passage à Notre-Dame-de-Bétharram. Et il est pensionné à 80% par la Cotorep pour handicap d'ordre mental. «Il est détruit», jugent ceux qui le connaissent.
L'Evêché des Pyrénées-Atlantiques à Bayonne veut bien «compatir à la détresse de ce jeune homme» mais se dit aussi «ébranlé» par la mise en cause du père Carricart dans une affaire de pédophilie. «Plus personne, et même pas l'église de Dieu, n'échappe au soupçon, y dit un père. Que l'ADN parle et qu'on en finisse...» Cette dernière opinion a l'avantage d'être partagée par toutes les parties. «Nous ne nous opposons surtout pas à cette exhumation», assure ainsi l'avocat palois de la famille. Me Serge Legrand se dit trop sûr de son fait pour «avoir peur de la vérité». Son contradicteur, Me Boulanger ne serait pas fâché que le cadavre soit bien celui du père Carricart: «Cela permettrait enfin à mon client de faire son deuil de cette histoire.» Après une demi-seconde de réflexion, il calcule aussi que si ce n'était pas le cas, si le corps enterré à Lestelle-Bétharram, n'était pas celui du religieux, «nous ne savons pas où cela pourrait nous mener...».
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http://www.liberation.fr/societe/0101355824-l-adn-confirme-l-identite-du-pretre-exhume
SOCIÉTÉ 04/12/2000 À 07H29
L'ADN confirme l'identité du prêtre exhumé.
Réagir
Les analyses ADN ont confirmé que le corps inhumé au cimetière de Betharram (Pyrénées-Atlantiques), près de Pau, était bien celui du père Pierre Silviet Carricart, mis en examen pour viol sur mineur de 15 ans. Son décès avait été officiellement prononcé en février après qu'on eut repêché son cadavre dans le Tibre, près de Rome. Mais comme une différence notable de taille avait été relevée entre le rapport d'autopsie (1,75 m) et la taille portée sur les papiers d'identité du religieux (1,70 m), l'exhumation du corps avait été réalisée le 10 novembre, et des analyses ADN avaient été pratiquées à la demande des avocats des deux victimes afin de s'assurer que le corps enterré était bien celui du religieux. Cette confirmation met un terme à l'action pénale.
Voyez et lisez ! l'affaire est grave !!!...
A la lecture du texte qui suit, j'ai envie de poser à M. Jean Marc Chabanon les questions suivantes :
1°) Va t-il falloir exhumer la dépouille du Pape Paul VI au Vatican pour effectuer une analyse ADN comme cela avait été fait il y a quelques années pour le Père Carricart, prêtre de Betharram, accusé de pédophilie jusqu'à le pousser au suicide, et ensuite entendre les adeptes du complot annoncer que le Vatican avait organisé un faux-suicide de ce prêtre pour le protéger de nouvelles poursuites. Même si l'on arrivait à une telle extrémité, je suis bien certain que cela ne suffirait pas à faire taire les fausses rumeurs car le diable met beaucoup d'aveuglement dans les coeurs de ceux qui se coupent de l'autorité du Saint Père.
2°) Quel est l'opinion de M. Jean Marc Chabanon sur la légitimité des trois Papes successeurs de Paul VI ?
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Le Courrier de Tychique
Correspondance à adresser à
M. Jean Marc Chabanon
168, Route du Grobon – 01400 – Châtillon-sur-Chalaronne
N° 361
« Le plus grand dérèglement de l’esprit c’est de voir les choses, telles qu’on voudrait qu’elles soient, et non pas telles qu’elles sont en réalité. »
Bossuet « Traité de l’amour de Dieu et de soi-même »
Dimanche 30 janvier 2011
IVième Dimanche après l’Epiphanie.
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Le mystère « Paul VI »
J’ai reçu, depuis le « Courrier » n° 359, de précieuses informations complémentaires dont j’ai pu vérifier le sérieux. Je les livre comme j’avais promis de le faire.
Il y aurait bien eu un sosie de Paul VI, comme en témoigne d’ailleurs le marquis de la Franquerie, qui connaissait bien Paul VI, puisqu’il était son « camérier ». Ce témoignage est conforté par celui de Jean Guitton qui avait vu « Paul VI » ( ?) le 8 septembre 1977, soit 11 mois avant sa mort (6 août 1978). Paul VI était perclus d’arthrose et marchait très difficilement. Or, ce 8 septembre 1977, il monta quatre à quatre les marches de l’observatoire de Castel Gondolfo ! Il avait les yeux bleus, alors que Paul VI les avait couleur noisette… Faut-il rappeler, aussi, que Pie XII avait demandé dans son testament de « ne jamais nommer Montini cardinal ». En effet, il l’avait surpris, avec son complice l’ancien Jésuite Tondi, en train de photographier la liste des prêtres qui allaient être envoyés, incognito, derrière le rideau de fer pour y faire leur apostolat. On sait, depuis, qu’ils furent tous arrêtés à leur arrivée en URSS, bien que vêtus en civil, tués ou envoyés au goulag avant d’être tués eux aussi. Pie XII ne l’avait donc pas nommé au poste « cardinalice » de Milan, pour qu’il ne puisse être élu pape. Quant au cardinal Siri, que Pie XII avait pressenti, rappelons-le, s’il dut rétracter son acceptation du pontificat, ce n’est évidemment pas pour éviter la mort des prêtres envoyés derrière le rideau de fer – c’était déjà fait – mais c’était par crainte des représailles annoncées sur sa propre famille ! Il déclara (à un correspondant) en 1985, dans son palais de Gênes : « Si les chrétiens savaient ce qui s’est passé au concile et dans les derniers conclaves, ils en perdraient la foi ! Et si je disais que la crise de l’Eglise provient du Concile et non pas seulement de ses applications, je me ferais couper le cou » Et il joignit le geste à la parole !
Quant à Tondi, après son éviction par Pie XII, il se maria civilement en 1954 avec une certaine Carmen Zanti, agent du KGB qui était son contact à Moscou. Il devint professeur d’athéisme à Berlin-Est en 1955 et secrétaire de Walter Ulbricht en 1958. A son retour à Rome, Paul VI fit ce qui ne s’était encore jamais vu dans l’Eglise, il déclara valide le mariage civil de 1954, dispensant le couple de tout mariage religieux ! Carmen Zanti mourut en 1979. Jean Paul II (futur saint de l’église officielle) permit alors à Tondi, sans office religieux, sans condition, sans même lui demander s’il avait abandonné le KGB, de réintégrer le sacerdoce puisqu’il avait été réduit à l’état laïc ! Ajoutons cette autre information que certains connaissent déjà, concernant les funérailles de « Paul VI ». Non seulement il n’y avait aucune croix sur son cercueil, mais le Diacre maronite ne put jamais lire l’Evangile de la messe de funérailles célébrée sur la Place St Pierre. En effet, à ce moment-là un violent coup de vent s’abattit sur le Missel, et uniquement sur le Missel (aucune feuille d’arbre ne frémissait ; il n’y avait pas de vent sur la place St Pierre). En vain, le diacre et un assistant adulte d’une trentaine d’années tentèrent-ils de s’arc-bouter sur ses pages pour éviter qu’elles ne s’envolent, rien n’y fit : l’Evangile ne fut pas lu !
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http://www.liberation.fr/societe/0101353045-descente-au-tombeau-du-pretre-suicide
Descente au tombeau du prêtre «suicidé».
Le père soupçonné de viol est-il bien mort? Une exhumation est ordonnée.
LAVAL GILBERT
Pau envoyé spécial
Les religieux de Notre-Dame-de-Bétharram ont la pierre tombale sobre. Le strict alignement du cimetière de l'institution sera pourtant bouleversé ce 10 novembre. Il s'agit d'en exhumer le corps du dernier père supérieur pour un prélèvement d'ADN. Silviet Carricart, 57 ans, était soupçonné d'avoir abusé d'un jeune élève de 10 ans, en 1988. Peut-être lisait-il aussi des romans de John Le Carré plutôt que son bréviaire. Car le soupçon pèse désormais sur sa disparition, intervenue au début de l'année, à la veille de son audition par la justice. Officiellement, le père Silviet Carricart est mort, et son corps enterré près de Pau. Mais le juge Christian Mirande de Pau n'est plus sûr du tout que le cadavre, rapatrié du Vatican le 10 février, soit bien celui du religieux recherché.
Cette histoire macabre démarre après la seconde tentative de suicide d'un ancien élève bordelais de l'institution paloise. «Ils ne savent pas ce que c'est que d'avoir une salle de bains dans sa tête», balbutie-t-il en reprenant conscience. Il ne faudra pas bien longtemps à sa mère pour comprendre que c'est de la salle de bains du père Carricart. Celle, loin du dortoir, où le religieux l'amenait pour abuser de lui quand il avait 10 ans en 1988. Une plainte est déposée dix ans plus tard, en décembre 1997 auprès du juge de Pau. L'enquête conduit à l'incarcération du père Silviet Carricart, le 28 mai 1998. Les prières du supérieur de Bétharram aboutiront à sa mise en liberté conditionnelle le 9 juin suivant. Puis à une levée plus insolite de son contrôle judiciaire. Qui lui permet de rejoindre le Vatican où il siège en tant que conseil de la Congrégation du Sacré- Coeur-de-Jésus des pères de Bétharram.
Pendant les quinze jours que le religieux passe à la maison d'arrêt de Pau, un autre ex-élève de l'institution écrit au juge pour protester contre le sort fait au «saint homme». Une fois le père Carricart au Vatican, ce même élève finira par cracher le morceau: «Moi aussi, il m'a violé...» Ce garçon est orphelin de père. Le détail n'est pas anecdotique. Le premier plaignant venait de perdre son géniteur trois jours plus tôt quand le père Carricart, qui en était informé, l'aurait violé la première fois. Un second dossier est ouvert, avec convocation du religieux, soupçonné de récidive, devant le juge pour le 12 janvier 2000. Il ne s'y présentera jamais.
Pierre Silviet Carricart a officiellement disparu le 5 janvier, derrière lui reste une lettre d'adieu abandonnée sur un bureau de sa Congrégation au Vatican. Près d'un mois plus tard, un corps était repêché dans les eaux du Tibre. Un père romain de Bétharram l'identifiera tout de suite comme celui de son coreligionnaire de Pau. La justice au Vatican n'étant pas qu'immanente, une autopsie du cadavre est pratiquée à la demande des magistrats italiens. Le document, est détaillé: 22 pages, à la lecture desquelles le juge Mirande apprend que le noyé repêché portait certes un chapelet mais pesait 80 kilos pour 1 m 75 de taille. Cela peut faire beaucoup pour un homme décrit comme «fluet» par ses proches et toisant 1 m 70 sur ses papiers d'identité. Le choix du suicide, réputé contrevenant à la volonté du ciel, n'est pas non plus dans la logique d'un homme d'église. En foi de quoi, le juge Mirande s'autorise quelques doutes. S'agit-il bien de la même personne ou y a-t-il eu substitution ? Le magistrat instructeur ne clôt en tout cas pas le dossier comme il aurait pu le faire en suivant la règle de l'extinction des poursuites. Il signe surtout la demande d'exhumation, pour une vérification à partir de test ADN, que lui soumet le 5 octobre l'avocat bordelais de la première victime.
Comparaison. Un homme peut être considéré «encore plus grand mort que vivant», admet Me Gérard Boulanger. Mais il a du mal à croire, en l'espèce, que la science adhère à ce propos. A l'institut de médecine légale de la faculté de Toulouse, le Pr Arbus est moins catégorique: «Une fois passé l'état de rigidité cadavérique, une personne, qui aurait eu à souffrir de scoliose de son vivant, peut très bien se déplier de trois ou quatre centimètres.» Et il n'est enfin pas possible de comparer exactement les tailles, poursuit le professeur: ce ne sont en effet pas des médecins légistes qui établissent celle mentionnée sur une carte d'identité. Une différence de cinq centimètres ne peut donc suffire à invalider une identification. Mais un simple double décimètre ne pourrait apparemment pas mesurer la profondeur des doutes du juge et de l'avocat. Ceux-là préféreraient avoir entendu Mgr Radaelli, le supérieur général de la Congrégation, qui dit avoir reconnu le corps. A l'opposé, la famille du père Silviet Carricart ne veut pas croire à la «substitution macabre» subodorée par Me Boulanger. Dès lors, seul un test ADN les frères du prêtre Carricart ayant accepté de donner un échantillon sanguin pouvait mettre tout le monde d'accord. Le résultat de ces analyses ne sera pas connu avant une bonne semaine.
«Détruit». Réfugié chez sa mère, le premier plaignant, âgé de 23 ans, tâche de reprendre pied dans la vie. Il a connu quelques problèmes avec la justice pour diverses agressions sexuelles commises après son passage à Notre-Dame-de-Bétharram. Et il est pensionné à 80% par la Cotorep pour handicap d'ordre mental. «Il est détruit», jugent ceux qui le connaissent.
L'Evêché des Pyrénées-Atlantiques à Bayonne veut bien «compatir à la détresse de ce jeune homme» mais se dit aussi «ébranlé» par la mise en cause du père Carricart dans une affaire de pédophilie. «Plus personne, et même pas l'église de Dieu, n'échappe au soupçon, y dit un père. Que l'ADN parle et qu'on en finisse...» Cette dernière opinion a l'avantage d'être partagée par toutes les parties. «Nous ne nous opposons surtout pas à cette exhumation», assure ainsi l'avocat palois de la famille. Me Serge Legrand se dit trop sûr de son fait pour «avoir peur de la vérité». Son contradicteur, Me Boulanger ne serait pas fâché que le cadavre soit bien celui du père Carricart: «Cela permettrait enfin à mon client de faire son deuil de cette histoire.» Après une demi-seconde de réflexion, il calcule aussi que si ce n'était pas le cas, si le corps enterré à Lestelle-Bétharram, n'était pas celui du religieux, «nous ne savons pas où cela pourrait nous mener...».
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http://www.liberation.fr/societe/0101355824-l-adn-confirme-l-identite-du-pretre-exhume
SOCIÉTÉ 04/12/2000 À 07H29
L'ADN confirme l'identité du prêtre exhumé.
Réagir
Les analyses ADN ont confirmé que le corps inhumé au cimetière de Betharram (Pyrénées-Atlantiques), près de Pau, était bien celui du père Pierre Silviet Carricart, mis en examen pour viol sur mineur de 15 ans. Son décès avait été officiellement prononcé en février après qu'on eut repêché son cadavre dans le Tibre, près de Rome. Mais comme une différence notable de taille avait été relevée entre le rapport d'autopsie (1,75 m) et la taille portée sur les papiers d'identité du religieux (1,70 m), l'exhumation du corps avait été réalisée le 10 novembre, et des analyses ADN avaient été pratiquées à la demande des avocats des deux victimes afin de s'assurer que le corps enterré était bien celui du religieux. Cette confirmation met un terme à l'action pénale.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
L’absence de Pape est Impossible !
http://lebloglaquestion.wordpress.com/2011/02/02/labsence-de-pape-est-impossible/
L’absence de Pape est impossible !
2 FÉVRIER 2011
par La Question
« Si donc quelqu’un dit que ce n’est pas de droit divin que saint Pierre a, et pour toujours,
des successeurs dans sa primauté sur l’Eglise universelle, qu’il soit anathème. »
Pastor Aeternus, Vatican I.
L’origine du pouvoir pontifical, beaucoup l’oublient, notamment les schismatiques sédévacantistes, vient directement de Dieu qui a donné au Pape la souveraineté universelle, absolue, la suprême puissance non seulement dans l’ordre spirituel, mais encore dans l’ordre temporel, soumettant les princes de ce monde à l’autorité de celui qui est le Vicaire de Jésus-Christ, Roi spirituel et successeur de saint Pierre, faisant de l’Eglise une vraie et pure monarchie d’origine divine.
Si l’on ne se contente pas d’une ecclésiologie étroitement limitée au droit canonique disciplinaire et à l’horizon bornée de la bulle de Paul IV – définitivement abrogée par Pie XII (cf. Vacantis Apostolicae Sedis) – mais que l’on examine véritablement, et avec une attention exigeante, la nature du principe de la souveraineté pontificale, on est alors capable de percevoir en quoi l’Eglise tout entière est fondée, constituée, édifiée sur le « droit divin » du Pape, droit devant lequel tous les autres droits, sans exception aucune, et notamment le droit disciplinaire, s’effacent absolument.
I. Le Pape est un monarque de « droit divin »
En effet, le Christ, dans sa sagesse, en confiant à Pierre l’autorité (Matthieu XVI, 17-19), a institué une monarchie absolue comme forme de gouvernement de son Eglise, et cette monarchie établie par Jésus-Christ, nul ne peut la contester ou s’y opposer sous aucun prétexte, c’est une loi sacrée instituée divinement. C’est ce que rappellera le cardinal Cajetan (1469-1534), héritier d’une longue tradition de théoriciens du « droit divin » [1], face à Martin Luther (1483-1546) qui, méprisant la tradition établie par le Christ, voulut s’écarter de Rome en allant jusqu’au schisme. Mgr Sauvé, théologien pontifical et consulteur de la Sainte congrégation de l’Index, explique très bien en quoi le Pape est de « droit divin », en ce sens qu’il exerce un pouvoir « absolu » qui ne dépend ni ne relève d’aucune autorité ecclésiastique et évidemment encore moins d’un pouvoir temporel, commandant tous les fidèles et l’ensemble des clercs.
Le Pape est le dépositaire visible de la puissance spirituelle du Christ :
c’est à lui que Notre-Seigneur a donné les clefs de son royaume
Il écrira, au sujet du droit divin du pape, ces lignes importantes :
« Notre-Seigneur a préféré pour son Eglise la forme monarchique aux autres formes de gouvernement. Tant qu’il est resté sur cette terre, le Christ a été le chef unique, le monarque visible, comme homme, et invisible, comme Dieu, de l’Eglise fondée par lui. Depuis sa glorieuse ascension, il n’a pas cessé d’en être le roi invisible et de verser sur elle ses célestes influences; mais en emportant au ciel sa chair glorifiée, il a dû laisser à sa place quelqu’un qui tînt les rênes du gouvernement visible de la société chrétienne. Ce quelqu’un, qui est son lieutenant, son vicaire, c’est le Pape, fondement, tête et centre de l’Eglise. Le Pape est donc le dépositaire visible de la puissance spirituelle du Christ : c’est lui que le divin Sauveur a établi, dans la personne de saint Pierre, le fondement, la base, la pierre angulaire de la société des croyants; c’est à lui que Notre-Seigneur a donné les clefs de son royaume, c’est-à-dire la souveraine puissance; c’est lui qu’il a établi le pasteur suprême de son troupeau. (…)…monarque suprême et n’ayant ni égal, ni associé dans sa souveraineté, le Pape donc est le suprême monarque de l’Eglise, investi par Dieu du droit de la gouverner d’une façon souveraine et indépendante de qui que ce soit ici-bas. » (Mgr Sauvé, Le Pape, Son Autorité suprême – Son Magistère infaillible, Chailland, Berche & Tralin, 1890, pp. IV-VI).
C’est cette vérité, insistant sur le fait que nul ne peut juger le Siège apostolique pour quelque motif, aussi convainquant ou évident puise-t-il apparaître, que rappelle solennellement le concile de Vatican I :
« Le droit divin de la primauté apostolique place le Pontife romain au-dessus de toute l’Église. […] Le jugement du Siège apostolique, auquel aucune autorité n’est supérieure, ne doit être remis en question par personne, et personne n’a le droit de juger ses décisions. C’est pourquoi ceux qui affirment qu’il est permis d’en appeler des jugements du Pontife romain au concile œcuménique comme à une autorité supérieure à ce Pontife, s’écartent du chemin de la vérité. » (Pastor Aeternus, 1870).
II. N’y avait-il pas de Papes lors du concile Vatican II ?
Pourtant M. l’abbé Belmont, curieusement inspiré, cherchant à démontrer que le concile Vatican II n’est pas infaillible – ce qui est bien le cas puisque n’ayant tout simplement pas voulu faire usage de son pouvoir d’infaillibilité [2] – soutient par un étrange raisonnement relativement spécieux, que ce concile ne pouvait être infaillible du fait qu’il n’y avait pas de Pontife pour le présider, ceci laissant sous-entendre évidemment que Jean XXIII puis Paul VI, n’auraient pas été Papes lors des sessions conciliaires.
L’Eglise stipule de façon catégorique qu’un Pontife légitimement élu, ne peut perdre sa charge.
Il est évident qu’une telle thèse, absurde et surtout en contradiction profonde d’avec la doctrine séculaire de l’Eglise, doctrine qui stipule de façon catégorique qu’un Pontife légitimement élu ne peut perdre sa charge et que nul en ce monde n’a autorité pour le faire, est absolument irrecevable car participant, une fois encore, hélas ! comme il est devenu habituel au sein du courant affirmant la vacance du Saint Siège, d’une logique apriorique qui est à la fois inexacte et contraire à la raison.
La méthode fautive de l’abbé Belmont, d’ailleurs constamment reproduite par les thèses sédévacantistes, repose sur « l’induction » qui est une supposition gratuite purement hypothétique (le Pape est déposé parce qu’hérétique), s’appuyant sur un mécanisme hautement syllogistique. La logique inductive, comme on le sait, consiste à poser comme vrais des axiomes arbitraires (le Pape n’est plus Pape car hérétique), sur la base desquels on élabore ensuite des raisonnements par déduction (si le Pape n’est plus Pape, il n’y avait pas de Pape pour présider au déroulement du concile), tordant la réalité à des vues subjectives.
C’est donc par l’effet d’un pur syllogisme directement issu de l’hérésie de Huss, reproduit à merveille par l’abbé Belmont, et, à sa suite tous les sédévacantistes, que reposent la conviction des partisans de la vacance du Saint-Siège :
Le Pape est hérétique ; Les hérétique ne peuvent être Papes, donc les Papes depuis Vatican II ne sont pas Papes.
Ainsi à des prémisses inexactes, arbitraires, et dont la preuve manque (le Pape est hérétique), on aboutit inévitablement à une conclusion fausse. On en revient toujours à cette évidence : les sédévacantistes affirment ce qui reste à démontrer, à savoir que le Pape ait perdu sa charge pour cause d’hérésie [3].
Les sédévacantistes affirment ce qui reste à démontrer, à savoir que le Pape ait perdu sa charge pour cause d’hérésie.
Or, précisément, ce qui ne semble pas surgir à l’esprit de l’abbé, et qui relève pourtant de l’évidence, c’est que ce n’est pas à l’aide d’un raisonnement, ayant même l’apparence de la logique, que l’on peut déclarer déposer ou déchu de sa charge pontificale le successeur de Pierre. Seul le Christ a le pouvoir de retirer son pontificat à l’occupant du Saint-Siège puisque ce dernier n’est jugé par personne en ce monde (can. 1556). Dès lors, en l’absence de cette action de Jésus-Christ, les fidèles de l’Eglise, sans aucune distinction relative à leur position hiérarchique, sont dans l’obligation disciplinaire, formelle et impérative, de reconnaître pour vrai et légitime Pontife celui qui a été désigné par le Conclave. S’ils ne le font ou s’y refusent pour un motif quelconque même présenté prétendument sous les traits de la logique, ils sont positivement anathèmes selon Vatican I.
III. Le Pape n’est soumis à aucune juridiction humaine
En effet, considérer que ce concile, parce qu’il affirma des erreurs manifestes, ne pouvait être placé sous l’autorité d’un Pontife, revient à reproduire l’argument du moine Savonarole (1452-1498) qui fulminait en 1498 contre le Pape Alexandre VI Borgia : « Le pape, en tant que pape, est infaillible : s’il se trompe, il n’est plus pape…. L’Église ne me paraît plus l’Église ! Il viendra un autre Pape à Rome ! » (Cf. Savonarole, Sermons, écrits politiques et pièces du procès, Le Seuil, 1993).
Pourquoi cette impossibilité ? Tout simplement parce que personne ne peut réaliser un jugement du Siège suprême, ni encore moins affirmer la déposition de celui qui l’occupe :
« Le Siège suprême n’est jugé par personne. » (can. 1556).
Ceci confirmé par le dictionnaire de droit canonique :
« Il ne peut être question de jugement et de déposition d’un pape dans le sens propre et strict des mots. Le vicaire de Jésus-Christ n’est soumis à aucune juridiction humaine. Son juge direct et immédiat est Dieu seul. » (R. Naz, Dict. de Droit Canonique, t. IV, col. 1159)
Il ne peut être question de jugement et de déposition d’un pape dans le sens propre et strict des mots.
Le vicaire de Jésus-Christ n’est soumis à aucune juridiction humaine !
Le Pape reste donc dans sa charge, même si soutenant l’erreur. Telle est la position de l’Eglise. Et il doit être reconnu comme Pape, quelles que soient ses positions aventureuses, voire les reproches ou critiques que l’on puisse exprimer vis-à-vis de sa conduite ou de ses idées, car nul en ce monde n’a autorité pour déposer un Pontife dont la charge ne dépend, du point de vue de l’autorité, que de Jésus-Christ. De ce fait, puisque l’Église, ni quiconque ici-bas n’est supérieur au Pape, et que lui-même n’a aucune instance plus éminente que lui en ce monde en matière de dignité et d’autorité, il n’est, et ne peut jamais être déposé ou déclaré tel. C’est pourquoi, et malgré les circonstances fussent-elles tragiques, comme celles que nous connaissons depuis 1962 : « De droit divin, l’Église est unie au pape comme le corps à la tête… » (Tit., III, 10).
Ainsi donc écrire comme le fait l’abbé Belmont : « Vatican II n’est pas infaillible en fait (…) ce qui lui manque, c’est ce qui lui est le plus nécessaire, le plus formel : l’autorité pontificale. À Vatican II, dans la promulgation des actes (et aussi dans la conduite de l’assemblée) il manque un Pape, un vrai Pape », est certes téméraire au regard de la vérité, mais surtout absolument coupable et contraire à la réalité car excédant, en fait et en droit, non seulement sa capacité de jugement, mais également celle de tout membre de l’Eglise, aussi élevé soit-il dans la hiérarchie, ceci s’appliquant, y compris pour toute instance ecclésiale – jusqu’au Sacré Collège.
Conclusion
Nous voyons donc de nouveau que le problème du sédévacantisme, terrible s’il en est, c’est qu’il oublie que l’Eglise, divine et humaine, en la personne du Pontife, peut parfois, comme l’écrit Mgr Pie, se montrer « plus ou moins sage, plus ou moins forte », mais jamais être séparée de son Pontife, car c’est le Christ en personne qui a remis les clés à saint Pierre, et nul ne peut les lui enlever, ou affirmer du haut de son tribunal personnel comme un parfait disciple de Luther, qu’elles lui ont été retirées.
La charge pontificale relève du droit divin, ne pas se soumettre à cette loi en induisant que l’Eglise n’a plus de Pontife, c’est être formellement anathème !
En érigeant un jugement personnel en décision universellement et immédiatement accomplie (« dans la promulgation des actes (et aussi dans la conduite de l’assemblée) il manque un Pape, un vrai Pape »), et croyant en cela demeurer catholiques, l’abbé Belmont sombre inévitablement dans le schisme, et rejoint sans s’en rendre compte, les thèses de Jean Huss ou de Savonarole ! La charge pontificale relève du droit divin, s’y opposer, le contester, ne pas se soumettre à cette loi par des positions induisant que l’Eglise n’a plus de Pontife, c’est être formellement anathème selon les déclarations de Vatican I :
« Si donc quelqu’un dit que ce n’est pas de droit divin que saint Pierre a, et pour toujours, des successeurs dans sa primauté sur l’Eglise universelle, qu’il soit anathème. » (Pastor Aeternus, Vatican I).
Nous y rajouterons volontiers cette remarque essentielle du cardinal Cajetan :
« Pierre a bénéficié d’une révélation divine, il a été proclamé bienheureux, il a été surnaturellement affermi dans sa foi; et c’est grâce à tout cela que le Christ l’a choisi comme chef de son Eglise. Le Christ ne dit pas qu’il édifiera son Eglise sur Pierre [super Te, mais super hanc petram], donc sur Pierre divinement qualifié selon un droit surnaturel. D’où nous devons conclure, que la défaillance de Pierre n’entraîne pas nécessairement la capacité d’être fondement, et le droit d’être considéré comme chef [tamquam virtus, glutinum quoddam sit jungens homini pontificatum], car l’évêque de Rome est le successeur de Pierre de droit divin… De droit divin il faut un successeur puisque la succession est une institution évangélique, une volonté explicite du Christ. Le droit de succession est par conséquent un droit divin. » (De divina institutione Pontificatus Romani Pontificis, 1521).
Notes.
1. On lira du cardinal Cajetan, son « De Comparatione auctotitatis Papae et Concilii »(1511), « Apologia » (1512) et un opuscule qui étudie l’origine divine de la papauté le « De divina institutione Pontificatus Romani Pontificis » (1521). Mais il ne faut pas négliger son Commentaire de la Somme de théologie de saint Thomas, ses Commentaires de l’Écriture : In Quatuor Evangelia et Acta Apostolorum Commentarii, Nunc denuo recogniti, noti marginalibus, tum rerum, tum versiculorum, exornati, & duobus Indicibus, uno locorum S. Scripturae, altero Rerum & Verborum illustrati, Sumptibus Iacobi & Petri, Prost, Lugduni (Lyon), 1639. Et l’important Discours sur l’Église au Ve concile de Latran, Oratio in secunda sessione Concilii Lateranen-sis, 17. Calen. Iunii 1512.
2. En effet si Vatican II n’est pas un concile infaillible c’est, tout simplement, qu’il a renoncé à l’exercice de son pouvoir ! Le Pape Jean XXIII le voulu ainsi. Cette surprenante décision, sans doute obscurément préparée et « inspirée » au Souverain Pontife, a été imposée à l’assemblée conciliaire, le 11 octobre 1962, dans son discours d’ouverture. Les Pères y apprirent qu’ils ne devraient pas y faire œuvre dogmatique, définir des vérités divines ni dénoncer les erreurs de ce temps, et surtout ne condamner personne. Or, ce sont précisément les caractéristiques nécessaires pour qu’il y ait acte infaillible du magistère extraordinaire. Cette décision de Jean XXIII a été de plus confirmée par son successeur, le Pape Paul VI, dans son discours d’ouverture de la seconde session. À la question : théologiquement, les Actes du concile sont-ils infaillibles ? il faut donc répondre : NON, parce que, contrairement à son droit, et semble-t-il à son devoir, le Concile en tant que tel n’a pas voulu et donc n’a pas pu exercer son pouvoir de juridiction sous la forme « solennelle et extraordinaire » propre à cette Instance suprême. Ses actes ne sont donc absolument pas garantis par l’assistance infaillible absolue du Saint-Esprit.
Sur ce sujet lire notre étude :
- Le concile Vatican II n’est pas dogmatique !
3. Les explications embrouillées de l’abbé Belmont, démontrent le caractère fantaisiste de son raisonnement. Mettant en avant trois raisons pour asseoir son opinion, il expose, par l’utilisation d’un syllogisme fautif, quoique classique dans la mécanique erronée des affirmations sédévacantistes :
- Le concile trouve son principe, son être, dans la présence du pape.
- Paul VI a manifesté dans des actes personnels cette absence d’autorité : promulgation d’une réforme liturgique gangrenée de protestantisme par exemple.
- Vatican II est à l’origine d’un raz de marée destructeur qui n’a rien épargné dans les structures de la sainte Église ; cela est incompatible avec l’assistance (ou la communication d’autorité) que Jésus-Christ confère au Pape, selon la parole de Pie XII : « le divin Rédempteur gouverne son Corps mystique visiblement et ordinairement par son vicaire sur la terre » (Mystici Corporis).
Conclusion de l’abbé Belmont, qui croit « demeurer dans l’ordre théologal » par son affirmation, alors qu’il est en état de grave errance, tant sur le plan canonique que théologique :
- Voilà pourquoi il ne peut y avoir, à l’absence d’une propriété essentielle comme l’infaillibilité d’un concile, d’autre raison que l’absence d’un vrai Pape, [soit pour le dire clairement : donc Jean XXIII et Paul VI n’étaient pas Papes].
Certes l’abbé Belmont a essayé de parer, maladroitement, les remarques d’impossibilité qui pouvaient lui être adressées face à sa méthode inductive. Il convient dans un premier temps, contraint et forcé : « Selon les règles de la logique, cette nécessaire remontée de la conclusion vers les prémisses est illégitime car l’inférence est issue de deux prémisses placées à parité. » Fort bien. Malheureusement ce bref éclair de lucidité est vite troublé par ce qui suit : « Mais en théologie, le syllogisme exposant le raisonnement est de nature principalement inductive : les deux prémisses (l’une de foi, l’autre de raison) ne peuvent être considérées à parité. Pour que celle qui est de raison soit placée dans la lumière dominante de celle qui est de foi, il faut que le choix du medium démonstratif soit validé (quant à la vérité et quant à l’adéquation) par la mise en place de la conclusion, par l’harmonie de cette conclusion avec l’ensemble du donné révélé, par l’analogie de la foi. » C’est pourtant oublier tragiquement, même si l’abbé Belmont tente de justifier prudemment ses affirmations hasardeuses en s’excusant par avance par ces mots : « Ces quelques considérations ne sont qu’un maladroit résumé d’un aspect d’une étude lumineuse du R. P. Guérard des Lauriers », et comme le rappelle la 21e des thèses thomistes – thèses au nombre de 24 promulguées sous le pontificat de saint Pie X comme normæ directivæ tutæ afin de lutter contre le modernisme - que « la volonté suit l’intelligence, ne la précède point », c’est-à-dire que le réalité perçue par le jugement d’existence, prime sur l’opinion ou la conviction. Or dans le cas qui nous occupe, l’éventuelle hérésie du Pape et la perte de son pontificat, la conviction de son hérésie précède la démonstration qu’il faudrait d’abord faire de cette dernière et du constat de la perte de sa charge par un acte quelconque exécuté par la Divine Providence, démonstration et constat évidemment absents et introuvables (qui peut sérieusement dire en effet à quel moment, de quelle manière et où exactement Jean XXIII, Paul VI et leurs successeurs, auraient-ils perdu leur charge Pontificale ?), ce qui corrompt radicalement et ruine de ce fait toute la suite du raisonnement, qu’on cherchait, vainement, à appuyer sur le Statut inductif de la théologie (RSPT 1941-1942, vol. 1, pp. 28-51) du R. P. Guérard des Lauriers. De la sorte, on ne saurait mieux faire la démonstration que dans ces lignes, d’un usage coupable du libre-examen d’essence luthérienne, en s’appuyant tranquillement sur son jugement personnel afin de déclarer, par l’effet d’une illusoire autorité, que les Papes ne sont plus Papes. On sourira donc de trouver ces propos sous la plume de l’abbé Belmont, s’agissant de l’excellent ouvrage de Pascal Bernardin Le crucifiement de saint Pierre (2009) : « l’auteur est prisonnier de la pseudo-théologie qui a cours dans la fraternité Saint-Pie-X…qui consiste à interpréter la théologie traditionnelle à la lumière des nécessités de la praxis », alors même que la faute principale de notre critique sédévacantiste, est précisément d’interpréter la doctrine traditionnelle du droit divin pontifical, à la lumière des nécessités de ses opinions privées.
Pour rappel :
LE SEDEVACANTISME EST UN PECHE MORTEL !
Le sédévacantisme est luthérien !
Le sédévacantisme est une hérésie !
Le Conclave est infaillible !
L’absence de Pape est impossible !
2 FÉVRIER 2011
par La Question
« Si donc quelqu’un dit que ce n’est pas de droit divin que saint Pierre a, et pour toujours,
des successeurs dans sa primauté sur l’Eglise universelle, qu’il soit anathème. »
Pastor Aeternus, Vatican I.
L’origine du pouvoir pontifical, beaucoup l’oublient, notamment les schismatiques sédévacantistes, vient directement de Dieu qui a donné au Pape la souveraineté universelle, absolue, la suprême puissance non seulement dans l’ordre spirituel, mais encore dans l’ordre temporel, soumettant les princes de ce monde à l’autorité de celui qui est le Vicaire de Jésus-Christ, Roi spirituel et successeur de saint Pierre, faisant de l’Eglise une vraie et pure monarchie d’origine divine.
Si l’on ne se contente pas d’une ecclésiologie étroitement limitée au droit canonique disciplinaire et à l’horizon bornée de la bulle de Paul IV – définitivement abrogée par Pie XII (cf. Vacantis Apostolicae Sedis) – mais que l’on examine véritablement, et avec une attention exigeante, la nature du principe de la souveraineté pontificale, on est alors capable de percevoir en quoi l’Eglise tout entière est fondée, constituée, édifiée sur le « droit divin » du Pape, droit devant lequel tous les autres droits, sans exception aucune, et notamment le droit disciplinaire, s’effacent absolument.
I. Le Pape est un monarque de « droit divin »
En effet, le Christ, dans sa sagesse, en confiant à Pierre l’autorité (Matthieu XVI, 17-19), a institué une monarchie absolue comme forme de gouvernement de son Eglise, et cette monarchie établie par Jésus-Christ, nul ne peut la contester ou s’y opposer sous aucun prétexte, c’est une loi sacrée instituée divinement. C’est ce que rappellera le cardinal Cajetan (1469-1534), héritier d’une longue tradition de théoriciens du « droit divin » [1], face à Martin Luther (1483-1546) qui, méprisant la tradition établie par le Christ, voulut s’écarter de Rome en allant jusqu’au schisme. Mgr Sauvé, théologien pontifical et consulteur de la Sainte congrégation de l’Index, explique très bien en quoi le Pape est de « droit divin », en ce sens qu’il exerce un pouvoir « absolu » qui ne dépend ni ne relève d’aucune autorité ecclésiastique et évidemment encore moins d’un pouvoir temporel, commandant tous les fidèles et l’ensemble des clercs.
Le Pape est le dépositaire visible de la puissance spirituelle du Christ :
c’est à lui que Notre-Seigneur a donné les clefs de son royaume
Il écrira, au sujet du droit divin du pape, ces lignes importantes :
« Notre-Seigneur a préféré pour son Eglise la forme monarchique aux autres formes de gouvernement. Tant qu’il est resté sur cette terre, le Christ a été le chef unique, le monarque visible, comme homme, et invisible, comme Dieu, de l’Eglise fondée par lui. Depuis sa glorieuse ascension, il n’a pas cessé d’en être le roi invisible et de verser sur elle ses célestes influences; mais en emportant au ciel sa chair glorifiée, il a dû laisser à sa place quelqu’un qui tînt les rênes du gouvernement visible de la société chrétienne. Ce quelqu’un, qui est son lieutenant, son vicaire, c’est le Pape, fondement, tête et centre de l’Eglise. Le Pape est donc le dépositaire visible de la puissance spirituelle du Christ : c’est lui que le divin Sauveur a établi, dans la personne de saint Pierre, le fondement, la base, la pierre angulaire de la société des croyants; c’est à lui que Notre-Seigneur a donné les clefs de son royaume, c’est-à-dire la souveraine puissance; c’est lui qu’il a établi le pasteur suprême de son troupeau. (…)…monarque suprême et n’ayant ni égal, ni associé dans sa souveraineté, le Pape donc est le suprême monarque de l’Eglise, investi par Dieu du droit de la gouverner d’une façon souveraine et indépendante de qui que ce soit ici-bas. » (Mgr Sauvé, Le Pape, Son Autorité suprême – Son Magistère infaillible, Chailland, Berche & Tralin, 1890, pp. IV-VI).
C’est cette vérité, insistant sur le fait que nul ne peut juger le Siège apostolique pour quelque motif, aussi convainquant ou évident puise-t-il apparaître, que rappelle solennellement le concile de Vatican I :
« Le droit divin de la primauté apostolique place le Pontife romain au-dessus de toute l’Église. […] Le jugement du Siège apostolique, auquel aucune autorité n’est supérieure, ne doit être remis en question par personne, et personne n’a le droit de juger ses décisions. C’est pourquoi ceux qui affirment qu’il est permis d’en appeler des jugements du Pontife romain au concile œcuménique comme à une autorité supérieure à ce Pontife, s’écartent du chemin de la vérité. » (Pastor Aeternus, 1870).
II. N’y avait-il pas de Papes lors du concile Vatican II ?
Pourtant M. l’abbé Belmont, curieusement inspiré, cherchant à démontrer que le concile Vatican II n’est pas infaillible – ce qui est bien le cas puisque n’ayant tout simplement pas voulu faire usage de son pouvoir d’infaillibilité [2] – soutient par un étrange raisonnement relativement spécieux, que ce concile ne pouvait être infaillible du fait qu’il n’y avait pas de Pontife pour le présider, ceci laissant sous-entendre évidemment que Jean XXIII puis Paul VI, n’auraient pas été Papes lors des sessions conciliaires.
L’Eglise stipule de façon catégorique qu’un Pontife légitimement élu, ne peut perdre sa charge.
Il est évident qu’une telle thèse, absurde et surtout en contradiction profonde d’avec la doctrine séculaire de l’Eglise, doctrine qui stipule de façon catégorique qu’un Pontife légitimement élu ne peut perdre sa charge et que nul en ce monde n’a autorité pour le faire, est absolument irrecevable car participant, une fois encore, hélas ! comme il est devenu habituel au sein du courant affirmant la vacance du Saint Siège, d’une logique apriorique qui est à la fois inexacte et contraire à la raison.
La méthode fautive de l’abbé Belmont, d’ailleurs constamment reproduite par les thèses sédévacantistes, repose sur « l’induction » qui est une supposition gratuite purement hypothétique (le Pape est déposé parce qu’hérétique), s’appuyant sur un mécanisme hautement syllogistique. La logique inductive, comme on le sait, consiste à poser comme vrais des axiomes arbitraires (le Pape n’est plus Pape car hérétique), sur la base desquels on élabore ensuite des raisonnements par déduction (si le Pape n’est plus Pape, il n’y avait pas de Pape pour présider au déroulement du concile), tordant la réalité à des vues subjectives.
C’est donc par l’effet d’un pur syllogisme directement issu de l’hérésie de Huss, reproduit à merveille par l’abbé Belmont, et, à sa suite tous les sédévacantistes, que reposent la conviction des partisans de la vacance du Saint-Siège :
Le Pape est hérétique ; Les hérétique ne peuvent être Papes, donc les Papes depuis Vatican II ne sont pas Papes.
Ainsi à des prémisses inexactes, arbitraires, et dont la preuve manque (le Pape est hérétique), on aboutit inévitablement à une conclusion fausse. On en revient toujours à cette évidence : les sédévacantistes affirment ce qui reste à démontrer, à savoir que le Pape ait perdu sa charge pour cause d’hérésie [3].
Les sédévacantistes affirment ce qui reste à démontrer, à savoir que le Pape ait perdu sa charge pour cause d’hérésie.
Or, précisément, ce qui ne semble pas surgir à l’esprit de l’abbé, et qui relève pourtant de l’évidence, c’est que ce n’est pas à l’aide d’un raisonnement, ayant même l’apparence de la logique, que l’on peut déclarer déposer ou déchu de sa charge pontificale le successeur de Pierre. Seul le Christ a le pouvoir de retirer son pontificat à l’occupant du Saint-Siège puisque ce dernier n’est jugé par personne en ce monde (can. 1556). Dès lors, en l’absence de cette action de Jésus-Christ, les fidèles de l’Eglise, sans aucune distinction relative à leur position hiérarchique, sont dans l’obligation disciplinaire, formelle et impérative, de reconnaître pour vrai et légitime Pontife celui qui a été désigné par le Conclave. S’ils ne le font ou s’y refusent pour un motif quelconque même présenté prétendument sous les traits de la logique, ils sont positivement anathèmes selon Vatican I.
III. Le Pape n’est soumis à aucune juridiction humaine
En effet, considérer que ce concile, parce qu’il affirma des erreurs manifestes, ne pouvait être placé sous l’autorité d’un Pontife, revient à reproduire l’argument du moine Savonarole (1452-1498) qui fulminait en 1498 contre le Pape Alexandre VI Borgia : « Le pape, en tant que pape, est infaillible : s’il se trompe, il n’est plus pape…. L’Église ne me paraît plus l’Église ! Il viendra un autre Pape à Rome ! » (Cf. Savonarole, Sermons, écrits politiques et pièces du procès, Le Seuil, 1993).
Pourquoi cette impossibilité ? Tout simplement parce que personne ne peut réaliser un jugement du Siège suprême, ni encore moins affirmer la déposition de celui qui l’occupe :
« Le Siège suprême n’est jugé par personne. » (can. 1556).
Ceci confirmé par le dictionnaire de droit canonique :
« Il ne peut être question de jugement et de déposition d’un pape dans le sens propre et strict des mots. Le vicaire de Jésus-Christ n’est soumis à aucune juridiction humaine. Son juge direct et immédiat est Dieu seul. » (R. Naz, Dict. de Droit Canonique, t. IV, col. 1159)
Il ne peut être question de jugement et de déposition d’un pape dans le sens propre et strict des mots.
Le vicaire de Jésus-Christ n’est soumis à aucune juridiction humaine !
Le Pape reste donc dans sa charge, même si soutenant l’erreur. Telle est la position de l’Eglise. Et il doit être reconnu comme Pape, quelles que soient ses positions aventureuses, voire les reproches ou critiques que l’on puisse exprimer vis-à-vis de sa conduite ou de ses idées, car nul en ce monde n’a autorité pour déposer un Pontife dont la charge ne dépend, du point de vue de l’autorité, que de Jésus-Christ. De ce fait, puisque l’Église, ni quiconque ici-bas n’est supérieur au Pape, et que lui-même n’a aucune instance plus éminente que lui en ce monde en matière de dignité et d’autorité, il n’est, et ne peut jamais être déposé ou déclaré tel. C’est pourquoi, et malgré les circonstances fussent-elles tragiques, comme celles que nous connaissons depuis 1962 : « De droit divin, l’Église est unie au pape comme le corps à la tête… » (Tit., III, 10).
Ainsi donc écrire comme le fait l’abbé Belmont : « Vatican II n’est pas infaillible en fait (…) ce qui lui manque, c’est ce qui lui est le plus nécessaire, le plus formel : l’autorité pontificale. À Vatican II, dans la promulgation des actes (et aussi dans la conduite de l’assemblée) il manque un Pape, un vrai Pape », est certes téméraire au regard de la vérité, mais surtout absolument coupable et contraire à la réalité car excédant, en fait et en droit, non seulement sa capacité de jugement, mais également celle de tout membre de l’Eglise, aussi élevé soit-il dans la hiérarchie, ceci s’appliquant, y compris pour toute instance ecclésiale – jusqu’au Sacré Collège.
Conclusion
Nous voyons donc de nouveau que le problème du sédévacantisme, terrible s’il en est, c’est qu’il oublie que l’Eglise, divine et humaine, en la personne du Pontife, peut parfois, comme l’écrit Mgr Pie, se montrer « plus ou moins sage, plus ou moins forte », mais jamais être séparée de son Pontife, car c’est le Christ en personne qui a remis les clés à saint Pierre, et nul ne peut les lui enlever, ou affirmer du haut de son tribunal personnel comme un parfait disciple de Luther, qu’elles lui ont été retirées.
La charge pontificale relève du droit divin, ne pas se soumettre à cette loi en induisant que l’Eglise n’a plus de Pontife, c’est être formellement anathème !
En érigeant un jugement personnel en décision universellement et immédiatement accomplie (« dans la promulgation des actes (et aussi dans la conduite de l’assemblée) il manque un Pape, un vrai Pape »), et croyant en cela demeurer catholiques, l’abbé Belmont sombre inévitablement dans le schisme, et rejoint sans s’en rendre compte, les thèses de Jean Huss ou de Savonarole ! La charge pontificale relève du droit divin, s’y opposer, le contester, ne pas se soumettre à cette loi par des positions induisant que l’Eglise n’a plus de Pontife, c’est être formellement anathème selon les déclarations de Vatican I :
« Si donc quelqu’un dit que ce n’est pas de droit divin que saint Pierre a, et pour toujours, des successeurs dans sa primauté sur l’Eglise universelle, qu’il soit anathème. » (Pastor Aeternus, Vatican I).
Nous y rajouterons volontiers cette remarque essentielle du cardinal Cajetan :
« Pierre a bénéficié d’une révélation divine, il a été proclamé bienheureux, il a été surnaturellement affermi dans sa foi; et c’est grâce à tout cela que le Christ l’a choisi comme chef de son Eglise. Le Christ ne dit pas qu’il édifiera son Eglise sur Pierre [super Te, mais super hanc petram], donc sur Pierre divinement qualifié selon un droit surnaturel. D’où nous devons conclure, que la défaillance de Pierre n’entraîne pas nécessairement la capacité d’être fondement, et le droit d’être considéré comme chef [tamquam virtus, glutinum quoddam sit jungens homini pontificatum], car l’évêque de Rome est le successeur de Pierre de droit divin… De droit divin il faut un successeur puisque la succession est une institution évangélique, une volonté explicite du Christ. Le droit de succession est par conséquent un droit divin. » (De divina institutione Pontificatus Romani Pontificis, 1521).
Notes.
1. On lira du cardinal Cajetan, son « De Comparatione auctotitatis Papae et Concilii »(1511), « Apologia » (1512) et un opuscule qui étudie l’origine divine de la papauté le « De divina institutione Pontificatus Romani Pontificis » (1521). Mais il ne faut pas négliger son Commentaire de la Somme de théologie de saint Thomas, ses Commentaires de l’Écriture : In Quatuor Evangelia et Acta Apostolorum Commentarii, Nunc denuo recogniti, noti marginalibus, tum rerum, tum versiculorum, exornati, & duobus Indicibus, uno locorum S. Scripturae, altero Rerum & Verborum illustrati, Sumptibus Iacobi & Petri, Prost, Lugduni (Lyon), 1639. Et l’important Discours sur l’Église au Ve concile de Latran, Oratio in secunda sessione Concilii Lateranen-sis, 17. Calen. Iunii 1512.
2. En effet si Vatican II n’est pas un concile infaillible c’est, tout simplement, qu’il a renoncé à l’exercice de son pouvoir ! Le Pape Jean XXIII le voulu ainsi. Cette surprenante décision, sans doute obscurément préparée et « inspirée » au Souverain Pontife, a été imposée à l’assemblée conciliaire, le 11 octobre 1962, dans son discours d’ouverture. Les Pères y apprirent qu’ils ne devraient pas y faire œuvre dogmatique, définir des vérités divines ni dénoncer les erreurs de ce temps, et surtout ne condamner personne. Or, ce sont précisément les caractéristiques nécessaires pour qu’il y ait acte infaillible du magistère extraordinaire. Cette décision de Jean XXIII a été de plus confirmée par son successeur, le Pape Paul VI, dans son discours d’ouverture de la seconde session. À la question : théologiquement, les Actes du concile sont-ils infaillibles ? il faut donc répondre : NON, parce que, contrairement à son droit, et semble-t-il à son devoir, le Concile en tant que tel n’a pas voulu et donc n’a pas pu exercer son pouvoir de juridiction sous la forme « solennelle et extraordinaire » propre à cette Instance suprême. Ses actes ne sont donc absolument pas garantis par l’assistance infaillible absolue du Saint-Esprit.
Sur ce sujet lire notre étude :
- Le concile Vatican II n’est pas dogmatique !
3. Les explications embrouillées de l’abbé Belmont, démontrent le caractère fantaisiste de son raisonnement. Mettant en avant trois raisons pour asseoir son opinion, il expose, par l’utilisation d’un syllogisme fautif, quoique classique dans la mécanique erronée des affirmations sédévacantistes :
- Le concile trouve son principe, son être, dans la présence du pape.
- Paul VI a manifesté dans des actes personnels cette absence d’autorité : promulgation d’une réforme liturgique gangrenée de protestantisme par exemple.
- Vatican II est à l’origine d’un raz de marée destructeur qui n’a rien épargné dans les structures de la sainte Église ; cela est incompatible avec l’assistance (ou la communication d’autorité) que Jésus-Christ confère au Pape, selon la parole de Pie XII : « le divin Rédempteur gouverne son Corps mystique visiblement et ordinairement par son vicaire sur la terre » (Mystici Corporis).
Conclusion de l’abbé Belmont, qui croit « demeurer dans l’ordre théologal » par son affirmation, alors qu’il est en état de grave errance, tant sur le plan canonique que théologique :
- Voilà pourquoi il ne peut y avoir, à l’absence d’une propriété essentielle comme l’infaillibilité d’un concile, d’autre raison que l’absence d’un vrai Pape, [soit pour le dire clairement : donc Jean XXIII et Paul VI n’étaient pas Papes].
Certes l’abbé Belmont a essayé de parer, maladroitement, les remarques d’impossibilité qui pouvaient lui être adressées face à sa méthode inductive. Il convient dans un premier temps, contraint et forcé : « Selon les règles de la logique, cette nécessaire remontée de la conclusion vers les prémisses est illégitime car l’inférence est issue de deux prémisses placées à parité. » Fort bien. Malheureusement ce bref éclair de lucidité est vite troublé par ce qui suit : « Mais en théologie, le syllogisme exposant le raisonnement est de nature principalement inductive : les deux prémisses (l’une de foi, l’autre de raison) ne peuvent être considérées à parité. Pour que celle qui est de raison soit placée dans la lumière dominante de celle qui est de foi, il faut que le choix du medium démonstratif soit validé (quant à la vérité et quant à l’adéquation) par la mise en place de la conclusion, par l’harmonie de cette conclusion avec l’ensemble du donné révélé, par l’analogie de la foi. » C’est pourtant oublier tragiquement, même si l’abbé Belmont tente de justifier prudemment ses affirmations hasardeuses en s’excusant par avance par ces mots : « Ces quelques considérations ne sont qu’un maladroit résumé d’un aspect d’une étude lumineuse du R. P. Guérard des Lauriers », et comme le rappelle la 21e des thèses thomistes – thèses au nombre de 24 promulguées sous le pontificat de saint Pie X comme normæ directivæ tutæ afin de lutter contre le modernisme - que « la volonté suit l’intelligence, ne la précède point », c’est-à-dire que le réalité perçue par le jugement d’existence, prime sur l’opinion ou la conviction. Or dans le cas qui nous occupe, l’éventuelle hérésie du Pape et la perte de son pontificat, la conviction de son hérésie précède la démonstration qu’il faudrait d’abord faire de cette dernière et du constat de la perte de sa charge par un acte quelconque exécuté par la Divine Providence, démonstration et constat évidemment absents et introuvables (qui peut sérieusement dire en effet à quel moment, de quelle manière et où exactement Jean XXIII, Paul VI et leurs successeurs, auraient-ils perdu leur charge Pontificale ?), ce qui corrompt radicalement et ruine de ce fait toute la suite du raisonnement, qu’on cherchait, vainement, à appuyer sur le Statut inductif de la théologie (RSPT 1941-1942, vol. 1, pp. 28-51) du R. P. Guérard des Lauriers. De la sorte, on ne saurait mieux faire la démonstration que dans ces lignes, d’un usage coupable du libre-examen d’essence luthérienne, en s’appuyant tranquillement sur son jugement personnel afin de déclarer, par l’effet d’une illusoire autorité, que les Papes ne sont plus Papes. On sourira donc de trouver ces propos sous la plume de l’abbé Belmont, s’agissant de l’excellent ouvrage de Pascal Bernardin Le crucifiement de saint Pierre (2009) : « l’auteur est prisonnier de la pseudo-théologie qui a cours dans la fraternité Saint-Pie-X…qui consiste à interpréter la théologie traditionnelle à la lumière des nécessités de la praxis », alors même que la faute principale de notre critique sédévacantiste, est précisément d’interpréter la doctrine traditionnelle du droit divin pontifical, à la lumière des nécessités de ses opinions privées.
Pour rappel :
LE SEDEVACANTISME EST UN PECHE MORTEL !
Le sédévacantisme est luthérien !
Le sédévacantisme est une hérésie !
Le Conclave est infaillible !
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
///////////////////////////////////////////////////////////
Barthélemy Holzhauser
(1600)
Le Vénérable Barthélemy Holzhauser, Évêque allemand du XVII° siècle.
Barthélemy Holzhauser est un vénérable, personnage que le Saint-Siège proclame, après mûr examen de sa vie, digne d’être vénéré, sans pour autant recevoir encore les honneurs d’un culte public. Son Interprétation du livre de l’Apocalypse de St Jean, écrite vers 1650, a mérité ce jugement particulièrement élogieux que l’on peut lire dans Les Petits Bollandistes, septième édition (1878), tome 6, page 229 : «Holzhauser a laissé, entre autres ouvrages, une Interprétation de l’Apocalypse de saint Jean, qui ne va que jusqu’au cinquième verset du quinzième chapitre, ouvrage étonnant, dit-on, et qui offre une si admirable concordance des temps et des événements, que les autres commentaires de ce livre sacré ne sont en comparaison que des jeux d’enfants».
Holzhauser décrit longuement les malheurs de notre époque.
Les Bollandistes continuent en précisant : Il le composa à Leoggenthal, pendant qu’il était accablé de grandes tribulations, au milieu desquelles il se livrait à une prière incessante, et passait des journées entières sans boire ni manger, s’isolant de toute société humaine. Comme on lui demandait quel était l’état de son âme, quand il l’avait écrit, il fondit en larmes et répondit : "J’étais comme un enfant dont on conduit la main pour le faire écrire".
« Cependant la paix ne sera pas encore définitivement rétablie, car de tous côtés les peuples conspireront pour la république et ainsi l'on verra de terribles calamités partout. L'Église et ses ministres seront rendus tributaires. Les princes seront renversés, les monarques mis à mort et leurs sujets livrés à l'anarchie.
Alors le Tout-Puissant interviendra par un coup admirable que personne ne pourrait imaginer. Et ce puissant monarque, qui viendra de la part de Dieu, mettra les républiques à néant, subjuguera tous ses ennemis, renversera l'empire des Français. Il régnera de l'Orient à l'Occident. Plein de zèle pour la vraie Église du Christ, il unira ses efforts à ceux du futur Pontife pour la conversion des infidèles et des hérétiques. Sous un tel pontife que Dieu prédestine au monde, il faudra bien que le royaume de France et les autres monarchies s'accordent enfin, après les guerres sanglantes qui les auront désolées et que, sous la direction de ce grand Pape, ils se prêtent à la conversion des infidèles ; et ainsi toutes les nations viendront adorer le Seigneur, leur Dieu.
Il brisera l'empire turc et n'en laissera subsister qu'un très petit état sans puissance et sans force jusqu'au règne de l'Antéchrist.
Par un juste jugement de Dieu, la Palestine et la Terre Sainte formeront cet empire du Turc. Et jamais ces pays ne rentreront dans le bercail de Jésus-Christ, parce que c'est là que doit naître et commencer à régner le fils de perdition, lequel sera reconnu par tous les Juifs pour leur véritable Messie.
C'est à cette époque que le Sauveur fait allusion quand il dit, en Saint Jean, chapitre V : "Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne m'avez point reçu ; mais si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez". »
*** Commentaires : Cette prophétie de Barthélemy Holzhauser ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI. Au contraire, elle annonce qu'un Pape prédestiné viendra, et non Paul VI
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Barthélemy Holzhauser
(1600)
Le Vénérable Barthélemy Holzhauser, Évêque allemand du XVII° siècle.
Barthélemy Holzhauser est un vénérable, personnage que le Saint-Siège proclame, après mûr examen de sa vie, digne d’être vénéré, sans pour autant recevoir encore les honneurs d’un culte public. Son Interprétation du livre de l’Apocalypse de St Jean, écrite vers 1650, a mérité ce jugement particulièrement élogieux que l’on peut lire dans Les Petits Bollandistes, septième édition (1878), tome 6, page 229 : «Holzhauser a laissé, entre autres ouvrages, une Interprétation de l’Apocalypse de saint Jean, qui ne va que jusqu’au cinquième verset du quinzième chapitre, ouvrage étonnant, dit-on, et qui offre une si admirable concordance des temps et des événements, que les autres commentaires de ce livre sacré ne sont en comparaison que des jeux d’enfants».
Holzhauser décrit longuement les malheurs de notre époque.
Les Bollandistes continuent en précisant : Il le composa à Leoggenthal, pendant qu’il était accablé de grandes tribulations, au milieu desquelles il se livrait à une prière incessante, et passait des journées entières sans boire ni manger, s’isolant de toute société humaine. Comme on lui demandait quel était l’état de son âme, quand il l’avait écrit, il fondit en larmes et répondit : "J’étais comme un enfant dont on conduit la main pour le faire écrire".
« Cependant la paix ne sera pas encore définitivement rétablie, car de tous côtés les peuples conspireront pour la république et ainsi l'on verra de terribles calamités partout. L'Église et ses ministres seront rendus tributaires. Les princes seront renversés, les monarques mis à mort et leurs sujets livrés à l'anarchie.
Alors le Tout-Puissant interviendra par un coup admirable que personne ne pourrait imaginer. Et ce puissant monarque, qui viendra de la part de Dieu, mettra les républiques à néant, subjuguera tous ses ennemis, renversera l'empire des Français. Il régnera de l'Orient à l'Occident. Plein de zèle pour la vraie Église du Christ, il unira ses efforts à ceux du futur Pontife pour la conversion des infidèles et des hérétiques. Sous un tel pontife que Dieu prédestine au monde, il faudra bien que le royaume de France et les autres monarchies s'accordent enfin, après les guerres sanglantes qui les auront désolées et que, sous la direction de ce grand Pape, ils se prêtent à la conversion des infidèles ; et ainsi toutes les nations viendront adorer le Seigneur, leur Dieu.
Il brisera l'empire turc et n'en laissera subsister qu'un très petit état sans puissance et sans force jusqu'au règne de l'Antéchrist.
Par un juste jugement de Dieu, la Palestine et la Terre Sainte formeront cet empire du Turc. Et jamais ces pays ne rentreront dans le bercail de Jésus-Christ, parce que c'est là que doit naître et commencer à régner le fils de perdition, lequel sera reconnu par tous les Juifs pour leur véritable Messie.
C'est à cette époque que le Sauveur fait allusion quand il dit, en Saint Jean, chapitre V : "Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne m'avez point reçu ; mais si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez". »
*** Commentaires : Cette prophétie de Barthélemy Holzhauser ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI. Au contraire, elle annonce qu'un Pape prédestiné viendra, et non Paul VI
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Dernière édition par Hercule le Lun 11 Avr - 20:42, édité 3 fois
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Rodolfo Gilthier
(1675-08-01)
Cette prophétie, écrite en août 1675, est parue dans la "Revue des Deux Mondes" du 15 septembre 1855. Elle est tirée d’un vieux livre de la Bibliothèque Augustinienne à Rome. Voici la traduction du texte latin :
« Avant le milieu du XIX° siècle, il y aura des séditions de toutes parts en Europe.
Il s'élèvera des républiques.
Il y aura des rois, des grands et des prêtres mis à mort, et les religieux abandonneront leurs couvents.
Les famines, les pestes et les tremblements de terre dévasteront les villes en grand nombre.
Rome perdra le sceptre par la persécution des faux philosophes.
Le Pape deviendra captif de ses sujets.
L'Église de Dieu sera soumise au tribut et dépouillée de ses biens temporels.
Après un peu de temps, il n'y aura plus de Pape.
Un prince de l'Aquilon parcourra l'Europe avec une grande armée.
Il renversera les républiques et exterminera les rebelles.
Son épée tenue par Dieu, défendra l'Église du Christ, exaltera la foi orthodoxe et soumettra l'empire de Mahomet.
Un nouveau pasteur, celui de la foi, appelé du rivage par un signe céleste, viendra dans la simplicité du cœur et la science du Christ ;
Et la paix sera rendue au monde ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Rodolfo Gilthier ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI. Au contraire, elle annonce qu'un Pape deviendra captif de ses sujets et qu'après un temps, il n'y aura plus de pape. Marie-Julie Jahenny dit exactement la même chose. Avec le roi, un nouveau pasteur, celui de la foi, appelé du rivage par un signe céleste, viendra, et non Paul VI.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Rodolfo Gilthier
(1675-08-01)
Cette prophétie, écrite en août 1675, est parue dans la "Revue des Deux Mondes" du 15 septembre 1855. Elle est tirée d’un vieux livre de la Bibliothèque Augustinienne à Rome. Voici la traduction du texte latin :
« Avant le milieu du XIX° siècle, il y aura des séditions de toutes parts en Europe.
Il s'élèvera des républiques.
Il y aura des rois, des grands et des prêtres mis à mort, et les religieux abandonneront leurs couvents.
Les famines, les pestes et les tremblements de terre dévasteront les villes en grand nombre.
Rome perdra le sceptre par la persécution des faux philosophes.
Le Pape deviendra captif de ses sujets.
L'Église de Dieu sera soumise au tribut et dépouillée de ses biens temporels.
Après un peu de temps, il n'y aura plus de Pape.
Un prince de l'Aquilon parcourra l'Europe avec une grande armée.
Il renversera les républiques et exterminera les rebelles.
Son épée tenue par Dieu, défendra l'Église du Christ, exaltera la foi orthodoxe et soumettra l'empire de Mahomet.
Un nouveau pasteur, celui de la foi, appelé du rivage par un signe céleste, viendra dans la simplicité du cœur et la science du Christ ;
Et la paix sera rendue au monde ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Rodolfo Gilthier ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI. Au contraire, elle annonce qu'un Pape deviendra captif de ses sujets et qu'après un temps, il n'y aura plus de pape. Marie-Julie Jahenny dit exactement la même chose. Avec le roi, un nouveau pasteur, celui de la foi, appelé du rivage par un signe céleste, viendra, et non Paul VI.
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Dernière édition par Hercule le Mar 12 Avr - 10:40, édité 5 fois
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
Bonjour,
Voici un message privé signé reçu sur ma messagerie personnelle, le jeudi 07-04-2011 à 20h21.
Je prends la liberté de le fais connaître en voilant le nom de son auteur que je remercie pour ces remarques :
////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Cher frère, suite à vos objections contre l'idée de survivance de Paul VI, je tiens à vous faire part de ma sympathie face aux efforts que vous fournissez pour invalider cette idée et la diaboliser. Pour que vous compreniez qui vous écrive, car je ne me cache pas derrière le non d'un demi dieu païen, je m'appelle XXXX XXXXX et je suis l'auteur de l'ouvrage publié aux éditions DFT, qui a pour titre "le pape martyr de la fin des temps", qui est un ouvrage qui va à l'encontre de votre point de vue, puisque je défends contrairement à vous par les Saintes Ecrititures et la littérature apocalyptique médiévale et post médiévale, l'idée que Paul VI est toujours en vie. J'ai un niveau d'études particulièrement élevé, avec des diplômes d'Etat dans plusieurs disciplines. J'ai été enseignant en philosophie, et je me suis spécialisé en littérature apoclyptique médiévale. Actuellement je travaille en collaboration avec des professeurs d'université sur un ouvrage concernant la vie et les oeuvres d'Arnaud de Villeneuve. J'ai été invité à plusieurs reprises à l'Académie des Sciences de Montpellier. A la lecture de vos objections, sans vouloir vous offenser, il m'apparaît donc très clairement que vous n'avez aucune compétence en littérature apocalyptique médiévale pour en parler intelligemment. Votre ignorance en histoire des idées concernant l'enseignement des Saintes Ecritures sur ce qu'il va arriver à la véritable papauté est partout manifeste. A titre d'exemple, ce que vous appelez "le livre de Saint Cyrille", n'est autre que l'oraculum Crylli ( cum Expositione Abbatis Joachim ) , un manuscrit rédigé dans un langage "apocalyptique" axé sur cet enseignement des saintes Ecritures relatif aux derniers temps de la papauté, rédigé à la fin du XIII ème siècle. Cet oracle exerça en histoire des idées relatives aux derniers temps de la papauté une si vaste influence, qu'il est connu de tous les médiévistes spécialisés en littérature apocalyptique. Mais vous, en revanche, contre le point de vue unamime de tous les experts, vous le faites remonter en l'an 1000, ce qui est une erreur particulièrement grossière, ne pouvant venir que d'un débutant, n'ayant aucune connaissance sérieuse dans ce domaine. Autre exemple significatif de votre ignorance totale dans ce domaine, c'est que vous attribuez une prédiction attribué à "Merlin" dans le Liber Mirabilis , qui parle du "pastor angelicus", à un auteur du V ème siècle, comme si cet auteur pouvait être Merlin le Gallois. Je sais bien que vous ne faites que recopier stupidement la chronologie ridicule d'un commentateur de prédiction n'ayant aucune compétence pour aborder ce type de littérature. Mais en la recopiant à votre tour, vous révélez par là, votre totale ignorance en histoire des idées, car ce n'est qu'à partir seulement du XII ème et XIII ème siècle, que la littérature apocalyptique se met à vouloir répondre frontalement à la question de savoir ce que les Saintes Ecritures enseignent au sujet de ce qu'il va arriver à la véritable papauté à l'approche des grandes tribulations dernières de l'humanité, quant à l'expression "pastor angelicus", elle remonte dans le temps assez tardivement, puisqu'on la rencontre pour la première fois, au début du XIV ème siècle, dans un manuscrit qui a pour incipit " Tempore Colubri, leeni filii" , mais fût appelé bien plus tard par Télesphore de Cosenza le "liber de Flore", pour des raisons qu'il ne convient pas d'éclaircir ici, pour croire qu'une telle prédiction a pu être écrite en 480, il faut n'avoir aucune connaissance en littérature apocalyptique médiévale. Vous avez cependant raison de vous étonner de la distance qu'il y a entre le scénario de la survivance de Paul VI défendu bien maladroitement par Bonergès qui n'est pas un expert en histoire des idées relatives aux derniers temps de la papauté, et les différents récits qui vous sont rapportés dans des ouvrages particulièrment médiocres, lapidaires, et subversifs, propre au XX ème et XIX ème, notamment. Ce décallage est dû à la subvertion dans ce domaine prophétique, au fait que les textes qui vous sont parvenus sont de bien mauvaises traductions, contiennent des passages falsifiés, sont des commentaires erronés, voir subversifs. A y regarder de plus plus ce récit de pape souffrant, propre aux derniers temps de la papauté, appelé à suivre les pas de N.S. Jésus-Christ dans la passion, appelé à être emprisonné, qui va être libéré miracuculeusement par Dieu de sa prison, puis qui va vivre caché en exil, qui va passé pour mort aux yeux du monde alors qu'il est toujours en vie, puis qui va revenir parmi les siens pour confondre d'autorité ses usurpateurs ( les membres de l'antipapauté antéchristique ) est propre à la littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle. Dans son sens caché, le scénario de la survivance de Paul VI que vous ne comprenez pas du tout de l'intérieur, dont le sens caché vous échappe complétement, consiste à présenter Paul VI, comme étant ce pape annoncé par cette littérature apocalyptyque du XII ème et XIII ème siècle, encore faudrait-il pour vous en rendre compte que vous soyiez comme nous un expert dans ce type de littérature. Je me tiens à votre disposition pour vous la faire connaître. Je vous informe que c'est ce pape souffrant propre à ce type de littérature, que le peuple de Dieu à partir du XIV ème siècle, a pris l'habitude d'appeler "pastor angelicus". Pour vous en rendre compte, je vous recommande d'étudier les écrits de Jean de Roquetaillade et d'Arnaud de Villeneuve, et de suivre mon enseignement, mes conseils, mes références, comme le ferait un étudiant désireux de s'ouvrir à ce type de littérature. Ce qu'il vous faudrait c'est entrer en contact avec "le monde savant", les milieux médiévistes, pour accéder aux textes les plus anciens et mieux réfléchir que vous ne le faîtes actuellement. Je ne suis pas un luciférien, mais un fidèle dévôt de Notre Dame de la Salette. Vous pouvez correspondre avec moi en écrivant à XXXX XXXXXX, XX XXXXXXX XXX XXXXXXXX XXXXX XXXXXXXXXXXX, en me téléphonant au XX XX XX XX XX, ou sur internet à XXXXXXXXXXXXX@XXXXXX, Boanergès n'est pas un savant, il vous faut monter plus haut. Je publierais si Dieu me prête vie, un commentaire du secret de la Salette. Que Notre Dame de la Salette vous ouvre les yeux au sujet de Paul VI, de sa survivance, comme elle a ouvert les nôtres! Vous ne le savez peut être pas, mais vous êtes appelés à nous rejoindre dans cette croyance! In Christo per Mariam Immaculatam.
Voici un message privé signé reçu sur ma messagerie personnelle, le jeudi 07-04-2011 à 20h21.
Je prends la liberté de le fais connaître en voilant le nom de son auteur que je remercie pour ces remarques :
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Cher frère, suite à vos objections contre l'idée de survivance de Paul VI, je tiens à vous faire part de ma sympathie face aux efforts que vous fournissez pour invalider cette idée et la diaboliser. Pour que vous compreniez qui vous écrive, car je ne me cache pas derrière le non d'un demi dieu païen, je m'appelle XXXX XXXXX et je suis l'auteur de l'ouvrage publié aux éditions DFT, qui a pour titre "le pape martyr de la fin des temps", qui est un ouvrage qui va à l'encontre de votre point de vue, puisque je défends contrairement à vous par les Saintes Ecrititures et la littérature apocalyptique médiévale et post médiévale, l'idée que Paul VI est toujours en vie. J'ai un niveau d'études particulièrement élevé, avec des diplômes d'Etat dans plusieurs disciplines. J'ai été enseignant en philosophie, et je me suis spécialisé en littérature apoclyptique médiévale. Actuellement je travaille en collaboration avec des professeurs d'université sur un ouvrage concernant la vie et les oeuvres d'Arnaud de Villeneuve. J'ai été invité à plusieurs reprises à l'Académie des Sciences de Montpellier. A la lecture de vos objections, sans vouloir vous offenser, il m'apparaît donc très clairement que vous n'avez aucune compétence en littérature apocalyptique médiévale pour en parler intelligemment. Votre ignorance en histoire des idées concernant l'enseignement des Saintes Ecritures sur ce qu'il va arriver à la véritable papauté est partout manifeste. A titre d'exemple, ce que vous appelez "le livre de Saint Cyrille", n'est autre que l'oraculum Crylli ( cum Expositione Abbatis Joachim ) , un manuscrit rédigé dans un langage "apocalyptique" axé sur cet enseignement des saintes Ecritures relatif aux derniers temps de la papauté, rédigé à la fin du XIII ème siècle. Cet oracle exerça en histoire des idées relatives aux derniers temps de la papauté une si vaste influence, qu'il est connu de tous les médiévistes spécialisés en littérature apocalyptique. Mais vous, en revanche, contre le point de vue unamime de tous les experts, vous le faites remonter en l'an 1000, ce qui est une erreur particulièrement grossière, ne pouvant venir que d'un débutant, n'ayant aucune connaissance sérieuse dans ce domaine. Autre exemple significatif de votre ignorance totale dans ce domaine, c'est que vous attribuez une prédiction attribué à "Merlin" dans le Liber Mirabilis , qui parle du "pastor angelicus", à un auteur du V ème siècle, comme si cet auteur pouvait être Merlin le Gallois. Je sais bien que vous ne faites que recopier stupidement la chronologie ridicule d'un commentateur de prédiction n'ayant aucune compétence pour aborder ce type de littérature. Mais en la recopiant à votre tour, vous révélez par là, votre totale ignorance en histoire des idées, car ce n'est qu'à partir seulement du XII ème et XIII ème siècle, que la littérature apocalyptique se met à vouloir répondre frontalement à la question de savoir ce que les Saintes Ecritures enseignent au sujet de ce qu'il va arriver à la véritable papauté à l'approche des grandes tribulations dernières de l'humanité, quant à l'expression "pastor angelicus", elle remonte dans le temps assez tardivement, puisqu'on la rencontre pour la première fois, au début du XIV ème siècle, dans un manuscrit qui a pour incipit " Tempore Colubri, leeni filii" , mais fût appelé bien plus tard par Télesphore de Cosenza le "liber de Flore", pour des raisons qu'il ne convient pas d'éclaircir ici, pour croire qu'une telle prédiction a pu être écrite en 480, il faut n'avoir aucune connaissance en littérature apocalyptique médiévale. Vous avez cependant raison de vous étonner de la distance qu'il y a entre le scénario de la survivance de Paul VI défendu bien maladroitement par Bonergès qui n'est pas un expert en histoire des idées relatives aux derniers temps de la papauté, et les différents récits qui vous sont rapportés dans des ouvrages particulièrment médiocres, lapidaires, et subversifs, propre au XX ème et XIX ème, notamment. Ce décallage est dû à la subvertion dans ce domaine prophétique, au fait que les textes qui vous sont parvenus sont de bien mauvaises traductions, contiennent des passages falsifiés, sont des commentaires erronés, voir subversifs. A y regarder de plus plus ce récit de pape souffrant, propre aux derniers temps de la papauté, appelé à suivre les pas de N.S. Jésus-Christ dans la passion, appelé à être emprisonné, qui va être libéré miracuculeusement par Dieu de sa prison, puis qui va vivre caché en exil, qui va passé pour mort aux yeux du monde alors qu'il est toujours en vie, puis qui va revenir parmi les siens pour confondre d'autorité ses usurpateurs ( les membres de l'antipapauté antéchristique ) est propre à la littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle. Dans son sens caché, le scénario de la survivance de Paul VI que vous ne comprenez pas du tout de l'intérieur, dont le sens caché vous échappe complétement, consiste à présenter Paul VI, comme étant ce pape annoncé par cette littérature apocalyptyque du XII ème et XIII ème siècle, encore faudrait-il pour vous en rendre compte que vous soyiez comme nous un expert dans ce type de littérature. Je me tiens à votre disposition pour vous la faire connaître. Je vous informe que c'est ce pape souffrant propre à ce type de littérature, que le peuple de Dieu à partir du XIV ème siècle, a pris l'habitude d'appeler "pastor angelicus". Pour vous en rendre compte, je vous recommande d'étudier les écrits de Jean de Roquetaillade et d'Arnaud de Villeneuve, et de suivre mon enseignement, mes conseils, mes références, comme le ferait un étudiant désireux de s'ouvrir à ce type de littérature. Ce qu'il vous faudrait c'est entrer en contact avec "le monde savant", les milieux médiévistes, pour accéder aux textes les plus anciens et mieux réfléchir que vous ne le faîtes actuellement. Je ne suis pas un luciférien, mais un fidèle dévôt de Notre Dame de la Salette. Vous pouvez correspondre avec moi en écrivant à XXXX XXXXXX, XX XXXXXXX XXX XXXXXXXX XXXXX XXXXXXXXXXXX, en me téléphonant au XX XX XX XX XX, ou sur internet à XXXXXXXXXXXXX@XXXXXX, Boanergès n'est pas un savant, il vous faut monter plus haut. Je publierais si Dieu me prête vie, un commentaire du secret de la Salette. Que Notre Dame de la Salette vous ouvre les yeux au sujet de Paul VI, de sa survivance, comme elle a ouvert les nôtres! Vous ne le savez peut être pas, mais vous êtes appelés à nous rejoindre dans cette croyance! In Christo per Mariam Immaculatam.
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
Bonjour, Mon Cher Ami,
Je vous attendais !
Vous avez entièrement raison sur mon trop faible niveau d'étude scolaire et universitaire car je n'ai qu'un certificat d'études primaire (un des derniers à avoir été décerné) et un BEPC...
Je suis un ignare qui s'ignore (ou plutôt "Un ignorante del Señor")...
Par contre, je me suis toujours passionné pour l'Histoire de France et pour les prophéties chrétiennes sur le grand Pape et le grand Monarque, avec un esprit équilibré ancré dans un bon sens favorisé d'une curiosité naturelle et d'une excellente intuition personnelle qui m'a rarement fait défaut, en ajoutant à cela quelques rencontres providentielles qui ont été permises par le Seigneur.
Vous croyez que je n'ai fait que recopier "bêtement" les prophéties sans en vérifier la réalité historique. Je tiens à vous préciser que j'ai constitué une bibliothèque spécialisée en la matière qui commence à être conséquente. Ajoutée à cela que j'ai téléchargé sur la Gallica BNF environ 300 ouvrages qui traitent de ce sujet qui me passionne, c’est-à-dire, les prophéties chrétiennes. Voilà plusieurs années que je complète et corrige mon travail de compilation prophétique en recherchant l'auteur et l'origine de chacune de ces prophéties, en privilégiant de préférence les travaux des prêtres de l'Eglise Catholique qui me semblent apporter plus de garantie, de sérieux et d'authenticité.
Pour vous mieux vous expliquer le plan divin, il vous faut savoir que le Seigneur nous a tout annoncé par la bouche de ses prophètes, sauf le jour et l'heure du début de ces événements, leur chronologie exacte et l'intensité, l'étendue et la durée des épreuves de la Grande Tribulation ; c'est-à-dire du temps de purification qui doit précéder le triomphe de la Sainte Eglise.
Je sais pertinemment que dans la compilation que je présente, il y a des prophéties qui sont fabriquées de toutes pièces pour servir les besoins d'une cause politique ou encore pour des intérêts particuliers purement mercantiles ou autres... Pour vous rassurer, je vous invite à lire et à approfondir toutes les directives données par le Seigneur, par les Prophètes et par les Apôtres pour comprendre la meilleure manière d'appréhender le monde des prophètes, et l'Esprit divin qui anime cet étonnant et merveilleux charisme.
Il ne s'agit pas là d'un travail universitaire mais d'un travail d'apostolat chrétien.
Je vous remercie pour vos remarques éclairées et, comme il est rare de trouver un universitaire qui ait reçu la grâce de la foi, je serai tout à fait heureux que vous puissiez m'aider à corriger tout ce qui vous paraître nécessaire comme vous venez de le faire sur votre message.
En ce qui concerne, l'erreur de croire en la survivance du Pape Paul VI, je vous signale que je n'ai pas encore terminé ce travail d'extraction des passages prophétiques concernant le Saint Pontife de la fin des Temps...
Lorsque j'aurai terminé ce travail, il n'y aura plus aucun doute pour vous et vous me remercierez d'avoir éclairé votre lanterne et de vous avoir arraché à ces tromperies du démon.
L'élection du Saint Pontife qui sera un religieux français ni Cardinal, ni Evêque, sera miraculeuse et tellement extraordinaire qu'elle émerveillera toute l'humanité. Le Ciel manifestera des dispositions tellement extraordinaires qu'il n'y aura aucune contestation possible à cette élection. Cela dépasse tout ce que vous pouvez imaginer.
Je vous attendais !
Vous avez entièrement raison sur mon trop faible niveau d'étude scolaire et universitaire car je n'ai qu'un certificat d'études primaire (un des derniers à avoir été décerné) et un BEPC...
Je suis un ignare qui s'ignore (ou plutôt "Un ignorante del Señor")...
Par contre, je me suis toujours passionné pour l'Histoire de France et pour les prophéties chrétiennes sur le grand Pape et le grand Monarque, avec un esprit équilibré ancré dans un bon sens favorisé d'une curiosité naturelle et d'une excellente intuition personnelle qui m'a rarement fait défaut, en ajoutant à cela quelques rencontres providentielles qui ont été permises par le Seigneur.
Vous croyez que je n'ai fait que recopier "bêtement" les prophéties sans en vérifier la réalité historique. Je tiens à vous préciser que j'ai constitué une bibliothèque spécialisée en la matière qui commence à être conséquente. Ajoutée à cela que j'ai téléchargé sur la Gallica BNF environ 300 ouvrages qui traitent de ce sujet qui me passionne, c’est-à-dire, les prophéties chrétiennes. Voilà plusieurs années que je complète et corrige mon travail de compilation prophétique en recherchant l'auteur et l'origine de chacune de ces prophéties, en privilégiant de préférence les travaux des prêtres de l'Eglise Catholique qui me semblent apporter plus de garantie, de sérieux et d'authenticité.
Pour vous mieux vous expliquer le plan divin, il vous faut savoir que le Seigneur nous a tout annoncé par la bouche de ses prophètes, sauf le jour et l'heure du début de ces événements, leur chronologie exacte et l'intensité, l'étendue et la durée des épreuves de la Grande Tribulation ; c'est-à-dire du temps de purification qui doit précéder le triomphe de la Sainte Eglise.
Je sais pertinemment que dans la compilation que je présente, il y a des prophéties qui sont fabriquées de toutes pièces pour servir les besoins d'une cause politique ou encore pour des intérêts particuliers purement mercantiles ou autres... Pour vous rassurer, je vous invite à lire et à approfondir toutes les directives données par le Seigneur, par les Prophètes et par les Apôtres pour comprendre la meilleure manière d'appréhender le monde des prophètes, et l'Esprit divin qui anime cet étonnant et merveilleux charisme.
Il ne s'agit pas là d'un travail universitaire mais d'un travail d'apostolat chrétien.
Je vous remercie pour vos remarques éclairées et, comme il est rare de trouver un universitaire qui ait reçu la grâce de la foi, je serai tout à fait heureux que vous puissiez m'aider à corriger tout ce qui vous paraître nécessaire comme vous venez de le faire sur votre message.
En ce qui concerne, l'erreur de croire en la survivance du Pape Paul VI, je vous signale que je n'ai pas encore terminé ce travail d'extraction des passages prophétiques concernant le Saint Pontife de la fin des Temps...
Lorsque j'aurai terminé ce travail, il n'y aura plus aucun doute pour vous et vous me remercierez d'avoir éclairé votre lanterne et de vous avoir arraché à ces tromperies du démon.
L'élection du Saint Pontife qui sera un religieux français ni Cardinal, ni Evêque, sera miraculeuse et tellement extraordinaire qu'elle émerveillera toute l'humanité. Le Ciel manifestera des dispositions tellement extraordinaires qu'il n'y aura aucune contestation possible à cette élection. Cela dépasse tout ce que vous pouvez imaginer.
Her- Messages : 9481
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Frère Franciscain
(1700)
Un frère franciscain nous annonce :
« Tous les ordres religieux seront abolis excepté un seul, dont la règle sera aussi rigide et aussi sévère que celle des moines d’autrefois. C’est au cours de ces calamités que le Pape périra. A cause de la mort du suprême Pontife, l’anarchie la plus pénible règnera au sein de l’Eglise. De trois puissances hostiles, sortiront simultanément trois Papes : un italien, un allemand et un grec. Ils seront tous placés sur le trône pontifical par la force des armes. Bien du sang sera versé en Italie ».
*** Commentaires : Cette prophétie d'un Frère Franciscain ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI. Au contraire, elle annonce qu'un Pape mourra et que trois prétendants se disputeront sa place par la force des armes : un italien, un allemand et un grec.
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Le moine de Werl
(1700)
Le moine de Werl a fait la prédiction suivante touchant une grande bataille en Westphalie avec un combat décisif au champ des Bouleaux. Cette bataille fut aussi annoncée dans la prophétie de Mayence et par le frère Antoine, ermite près d’Aix-la-Chapelle.
La prophétie du moine de Werl se termine par une vision de paix glorieuse et générale :
« Il y aura une guerre terrible ; d'un côté seront tous les peuples du Levant, de l'autre tous ceux du Couchant. La Russie déversera sur nous ses masses énormes de soldats et cavalerie cosaque. On combattra longtemps sans résultat décisif, jusqu'à ce qu'enfin on vienne au pays du Rhin. Là, on combattra trois jours durant, tellement que l'eau du Rhin sera toute rougie. Cependant l'affaire ne sera complètement décidée qu'au combat du bouleau ; ensuite la paix et le calme reviendront.
Ce temps viendra quand il y aura mécontentement général et mépris de la religion. Quand personne ne voudra plus obéir, quand on ne pourra plus distinguer les riches et les pauvres, quand le peuple s'abandonnera entièrement aux plaisirs sensuels et à la volupté, quand l'iniquité aura atteint son point culminant, croyez que ce temps est proche ».
Le moine promet à la suite de cette bataille ce qui suit :
« La paix te sera rendue, ô Germanie ; la France recouvrera son roi et le pasteur ramènera les troupeaux à la bergerie ».
*** Commentaires : Cette prophétie du moine de Werl ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI.
///////////////////////////////////////////////////////////
La Prophétie publiée en 1737
(1737)
Cette prophétie a été publiée en 1737, comme ayant été trouvée à Rome dans le tombeau d'un saint.
178... Magnus tremor erit.
Un grand frémissement agitera les peuples.
187... Nullus pastor erit.
Israël perdra son pasteur. (Sera-t-il captif ? Sera-t-il martyrisé ?)
187... Unus pastor, unum ovile.
Un seul pasteur, un seul troupeau.
Les alinéas de cette prophétie désignent évidemment les événements de la grande Tribulation. Il se renferment dans la fin des temps.
*** Commentaires : Cette prophétie de 1737 fait bien référence à la captivité d'un pape qui mourra, sans aucune référence à la survivance Paul VI. Un autre pape rassemblera le troupeau.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Frère Franciscain
(1700)
Un frère franciscain nous annonce :
« Tous les ordres religieux seront abolis excepté un seul, dont la règle sera aussi rigide et aussi sévère que celle des moines d’autrefois. C’est au cours de ces calamités que le Pape périra. A cause de la mort du suprême Pontife, l’anarchie la plus pénible règnera au sein de l’Eglise. De trois puissances hostiles, sortiront simultanément trois Papes : un italien, un allemand et un grec. Ils seront tous placés sur le trône pontifical par la force des armes. Bien du sang sera versé en Italie ».
*** Commentaires : Cette prophétie d'un Frère Franciscain ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI. Au contraire, elle annonce qu'un Pape mourra et que trois prétendants se disputeront sa place par la force des armes : un italien, un allemand et un grec.
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Le moine de Werl
(1700)
Le moine de Werl a fait la prédiction suivante touchant une grande bataille en Westphalie avec un combat décisif au champ des Bouleaux. Cette bataille fut aussi annoncée dans la prophétie de Mayence et par le frère Antoine, ermite près d’Aix-la-Chapelle.
La prophétie du moine de Werl se termine par une vision de paix glorieuse et générale :
« Il y aura une guerre terrible ; d'un côté seront tous les peuples du Levant, de l'autre tous ceux du Couchant. La Russie déversera sur nous ses masses énormes de soldats et cavalerie cosaque. On combattra longtemps sans résultat décisif, jusqu'à ce qu'enfin on vienne au pays du Rhin. Là, on combattra trois jours durant, tellement que l'eau du Rhin sera toute rougie. Cependant l'affaire ne sera complètement décidée qu'au combat du bouleau ; ensuite la paix et le calme reviendront.
Ce temps viendra quand il y aura mécontentement général et mépris de la religion. Quand personne ne voudra plus obéir, quand on ne pourra plus distinguer les riches et les pauvres, quand le peuple s'abandonnera entièrement aux plaisirs sensuels et à la volupté, quand l'iniquité aura atteint son point culminant, croyez que ce temps est proche ».
Le moine promet à la suite de cette bataille ce qui suit :
« La paix te sera rendue, ô Germanie ; la France recouvrera son roi et le pasteur ramènera les troupeaux à la bergerie ».
*** Commentaires : Cette prophétie du moine de Werl ne fait aucune référence à la survivance et à la captivité de Paul VI.
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La Prophétie publiée en 1737
(1737)
Cette prophétie a été publiée en 1737, comme ayant été trouvée à Rome dans le tombeau d'un saint.
178... Magnus tremor erit.
Un grand frémissement agitera les peuples.
187... Nullus pastor erit.
Israël perdra son pasteur. (Sera-t-il captif ? Sera-t-il martyrisé ?)
187... Unus pastor, unum ovile.
Un seul pasteur, un seul troupeau.
Les alinéas de cette prophétie désignent évidemment les événements de la grande Tribulation. Il se renferment dans la fin des temps.
*** Commentaires : Cette prophétie de 1737 fait bien référence à la captivité d'un pape qui mourra, sans aucune référence à la survivance Paul VI. Un autre pape rassemblera le troupeau.
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Her- Messages : 9481
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Le Père Charles-Auguste Nectoux
(1772)
Le Père Charles-Auguste Nectoux est un jésuite du XVIII° siècle, recteur du collège de Poitiers de 1752 à 1760, puis provincial d'Aquitaine. À la suppression de la Compagnie en France, il passe en Espagne en 1764. Les religieux de la de la Société de Jésus le regardaient, à juste titre comme un saint et un prophète.
C’est vers 1760, alors qu’il était à la maison de Poitiers, qu’il confia au Père Drouaud, les prédictions que l’on va lire. Alors que celui-ci était novice ou scolastique au collège de Poitiers, le Père Nectoux, alors recteur, l'aurait entretenu plusieurs heures, lui confiant ses vues sur la prochaine destruction de la Compagnie, prélude d'une terrifiante révolution. Le Père Charles-Auguste Nectoux mourra à Dax en 1772.
Le Père Nectoux nous annonce :
« L’enfant du Temple ne périrait pas. Sa postérité assurerait le triomphe de l’Eglise tel qu’il n’y en aura jamais eu de semblable. Le Saint Pape vraisemblablement, ainsi que le Grand Monarque et ses successeurs, faisant partie de sa postérité. »
Il précisa encore :
« Lorsqu'on sera près des événements ci-dessous annoncés, tout sera tellement troublé sur la terre qu'il semblera que Dieu ne s'occupe plus des hommes et qu'il a entièrement perdu sa Providence.
Il y aura ensuite une réaction que l’on prendra pour la contre-révolution, cela durera ainsi pendant quelques années.
On croira la révolution consommée, mais ce ne sera qu’un replâtrage, un habit mal cousu.
Il n’y aura pas de schisme, mais l’Eglise ne triomphera pas encore.
Il y aura de nouveaux troubles en France.
Un nom odieux à la France sera placé sur le trône ; un d’Orléans sera roi.
Ce ne sera qu’après cette usurpation que se fera la contre-révolution.
Elle ne se fera point par les étrangers.
Il se formera en France deux partis qui se feront une guerre à mort.
L'un sera beaucoup plus nombreux que l'autre ;
Mais ce sera le plus faible qui triomphera.
Il y aura alors un moment si affreux qu'on se croira à la fin du monde.
Le sang ruissellera dans plusieurs grandes villes, les éléments seront soulevés, ce sera comme un petit jugement.
Il périra en cette catastrophe une grande multitude ; mais les méchants ne prévaudront point.
Ils auront bien l'intention de détruire entièrement l'Église, le temps ne leur en sera pas donné. Car cette horrible période sera de courte durée. Au moment où l'on croira tout perdu, tout sera sauvé.
Durant ce bouleversement épouvantable, la révolution sera générale, et pas seulement limitée à la France. Paris sera détruit au milieu de toutes ces calamités, tellement et si complètement détruit que la charrue y passera ; que, vingt ans plus tard, les pères de famille parcourant les ruines avec ses enfants sur ses ruines ; pour satisfaire à leurs questions, ils leur diront : « Mon fils, c’était autrefois une très grande ville, Dieu l'a détruite à cause de ses péchés et de ses crimes.
À la suite de ces affreux événements, tout rentrera dans l'ordre, la justice règnera sur toute la terre, et la contre-révolution sera consommée.
Alors le triomphe de l’Eglise sera si complet, qu’il n’y en aura jamais eu de semblable et qu’il dépassera tout ce que l’on aura pu voir jusque-là. Les heureux chrétiens qui auront survécu rendront grâce à Dieu de les avoir préservés et de leur avoir permis de contempler un aussi glorieux et éclatant triomphe de l'Église.
On sera près de cette catastrophe lorsque l'Angleterre commencera à s'ébranler. On le saura à ce signe, comme on sait l'approche de l'été quand le figuier commence à bourgeonner.
L'Angleterre à son tour éprouvera une révolution plus terrible que la Révolution française, et elle durera assez longtemps pour que la France ait le temps de se rasseoir.
Ce sera la France qui aidera l'Angleterre au rétablissement de la paix.
Lorsqu'on sera près de ces événements qui doivent amener le triomphe de l'Église, le désordre sera si complet qu'on n'y connaîtra plus rien.
Quand viendra le moment le plus fort de la dernière crise, il n'y aura rien d'autre et de mieux à faire que demeurer là où Dieu nous aura placés, se renfermer dans son intérieur et de persévérer en de ferventes prières, en attendant le passage de la colère et de la justice divines.
Oui Paris sera assurément détruit, mais avant que cela arrive, il y aura de tels signes dans le ciel et de tels présages, que tous les justes comprendront qu’ils doivent s’en aller. Dans ces événements, les bons n'auront rien à faire, car ce sont les républicains qui se dévoreront entre eux.
Des malheurs doivent arriver. L'Ouest sera épargné à cause de sa foi. Mais le sang coulera tellement au Nord et au Midi, que je le vois couler comme la pluie dans un jour de grand orage, et je vois les chevaux ayant du sang jusqu'aux sangles. C'est principalement dans les villes que le sang coulera.
La religion sera persécutée, les ministres seront obligés de se cacher au moins momentanément. Les églises seront fermées encore pendant un peu de temps.
Il viendra un moment où l'on croira tout perdu. C'est alors que tout sera sauvé, car entre le cri "Tout est perdu" et "Tout est sauvé", il n'y aura pour ainsi dire pas d'intervalles — le temps de virer une galette.
Les puissances étrangères s'armeront, marcheront contre le France. La Russie viendra abreuver ses chevaux dans le Rhin, mais ils ne le passeront pas. La Russie se convertira et elle aidera la France à rendre la paix et la tranquillité au monde entier...
À la suite de cet événement affreux, tout rentrera dans l'ordre, justice sera faite à tout le monde, et la contre-révolution sera accomplie ; et alors le triomphe de l'Église sera tel qu'il n'y en aura jamais plus de semblable, parce que ce sera le dernier triomphe de l'Église sur la terre.
Après la crise, il y aura un concile général, malgré quelques oppositions faites par le clergé lui-même. Ensuite, il n'y aura qu'un seul troupeau et qu'un seul pasteur, parce que tous les infidèles et tous les hérétiques rentreront dans l'Église latine, dont le triomphe se continuera jusqu'à la destruction de l'Antéchrist ».
*** Commentaires : Cette prophétie du Père Nectoux ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. Au contraire, elle nous annonce que le Saint Pape, ainsi que le Grand Monarque et ses successeurs, feront partie de la postérité de l’enfant du Temple qui n'aura pas péri au temple et dont la postérité assurerait le triomphe de l’Eglise tel qu’il n’y en aura jamais eu de semblable.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Le Père Charles-Auguste Nectoux
(1772)
Le Père Charles-Auguste Nectoux est un jésuite du XVIII° siècle, recteur du collège de Poitiers de 1752 à 1760, puis provincial d'Aquitaine. À la suppression de la Compagnie en France, il passe en Espagne en 1764. Les religieux de la de la Société de Jésus le regardaient, à juste titre comme un saint et un prophète.
C’est vers 1760, alors qu’il était à la maison de Poitiers, qu’il confia au Père Drouaud, les prédictions que l’on va lire. Alors que celui-ci était novice ou scolastique au collège de Poitiers, le Père Nectoux, alors recteur, l'aurait entretenu plusieurs heures, lui confiant ses vues sur la prochaine destruction de la Compagnie, prélude d'une terrifiante révolution. Le Père Charles-Auguste Nectoux mourra à Dax en 1772.
Le Père Nectoux nous annonce :
« L’enfant du Temple ne périrait pas. Sa postérité assurerait le triomphe de l’Eglise tel qu’il n’y en aura jamais eu de semblable. Le Saint Pape vraisemblablement, ainsi que le Grand Monarque et ses successeurs, faisant partie de sa postérité. »
Il précisa encore :
« Lorsqu'on sera près des événements ci-dessous annoncés, tout sera tellement troublé sur la terre qu'il semblera que Dieu ne s'occupe plus des hommes et qu'il a entièrement perdu sa Providence.
Il y aura ensuite une réaction que l’on prendra pour la contre-révolution, cela durera ainsi pendant quelques années.
On croira la révolution consommée, mais ce ne sera qu’un replâtrage, un habit mal cousu.
Il n’y aura pas de schisme, mais l’Eglise ne triomphera pas encore.
Il y aura de nouveaux troubles en France.
Un nom odieux à la France sera placé sur le trône ; un d’Orléans sera roi.
Ce ne sera qu’après cette usurpation que se fera la contre-révolution.
Elle ne se fera point par les étrangers.
Il se formera en France deux partis qui se feront une guerre à mort.
L'un sera beaucoup plus nombreux que l'autre ;
Mais ce sera le plus faible qui triomphera.
Il y aura alors un moment si affreux qu'on se croira à la fin du monde.
Le sang ruissellera dans plusieurs grandes villes, les éléments seront soulevés, ce sera comme un petit jugement.
Il périra en cette catastrophe une grande multitude ; mais les méchants ne prévaudront point.
Ils auront bien l'intention de détruire entièrement l'Église, le temps ne leur en sera pas donné. Car cette horrible période sera de courte durée. Au moment où l'on croira tout perdu, tout sera sauvé.
Durant ce bouleversement épouvantable, la révolution sera générale, et pas seulement limitée à la France. Paris sera détruit au milieu de toutes ces calamités, tellement et si complètement détruit que la charrue y passera ; que, vingt ans plus tard, les pères de famille parcourant les ruines avec ses enfants sur ses ruines ; pour satisfaire à leurs questions, ils leur diront : « Mon fils, c’était autrefois une très grande ville, Dieu l'a détruite à cause de ses péchés et de ses crimes.
À la suite de ces affreux événements, tout rentrera dans l'ordre, la justice règnera sur toute la terre, et la contre-révolution sera consommée.
Alors le triomphe de l’Eglise sera si complet, qu’il n’y en aura jamais eu de semblable et qu’il dépassera tout ce que l’on aura pu voir jusque-là. Les heureux chrétiens qui auront survécu rendront grâce à Dieu de les avoir préservés et de leur avoir permis de contempler un aussi glorieux et éclatant triomphe de l'Église.
On sera près de cette catastrophe lorsque l'Angleterre commencera à s'ébranler. On le saura à ce signe, comme on sait l'approche de l'été quand le figuier commence à bourgeonner.
L'Angleterre à son tour éprouvera une révolution plus terrible que la Révolution française, et elle durera assez longtemps pour que la France ait le temps de se rasseoir.
Ce sera la France qui aidera l'Angleterre au rétablissement de la paix.
Lorsqu'on sera près de ces événements qui doivent amener le triomphe de l'Église, le désordre sera si complet qu'on n'y connaîtra plus rien.
Quand viendra le moment le plus fort de la dernière crise, il n'y aura rien d'autre et de mieux à faire que demeurer là où Dieu nous aura placés, se renfermer dans son intérieur et de persévérer en de ferventes prières, en attendant le passage de la colère et de la justice divines.
Oui Paris sera assurément détruit, mais avant que cela arrive, il y aura de tels signes dans le ciel et de tels présages, que tous les justes comprendront qu’ils doivent s’en aller. Dans ces événements, les bons n'auront rien à faire, car ce sont les républicains qui se dévoreront entre eux.
Des malheurs doivent arriver. L'Ouest sera épargné à cause de sa foi. Mais le sang coulera tellement au Nord et au Midi, que je le vois couler comme la pluie dans un jour de grand orage, et je vois les chevaux ayant du sang jusqu'aux sangles. C'est principalement dans les villes que le sang coulera.
La religion sera persécutée, les ministres seront obligés de se cacher au moins momentanément. Les églises seront fermées encore pendant un peu de temps.
Il viendra un moment où l'on croira tout perdu. C'est alors que tout sera sauvé, car entre le cri "Tout est perdu" et "Tout est sauvé", il n'y aura pour ainsi dire pas d'intervalles — le temps de virer une galette.
Les puissances étrangères s'armeront, marcheront contre le France. La Russie viendra abreuver ses chevaux dans le Rhin, mais ils ne le passeront pas. La Russie se convertira et elle aidera la France à rendre la paix et la tranquillité au monde entier...
À la suite de cet événement affreux, tout rentrera dans l'ordre, justice sera faite à tout le monde, et la contre-révolution sera accomplie ; et alors le triomphe de l'Église sera tel qu'il n'y en aura jamais plus de semblable, parce que ce sera le dernier triomphe de l'Église sur la terre.
Après la crise, il y aura un concile général, malgré quelques oppositions faites par le clergé lui-même. Ensuite, il n'y aura qu'un seul troupeau et qu'un seul pasteur, parce que tous les infidèles et tous les hérétiques rentreront dans l'Église latine, dont le triomphe se continuera jusqu'à la destruction de l'Antéchrist ».
*** Commentaires : Cette prophétie du Père Nectoux ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. Au contraire, elle nous annonce que le Saint Pape, ainsi que le Grand Monarque et ses successeurs, feront partie de la postérité de l’enfant du Temple qui n'aura pas péri au temple et dont la postérité assurerait le triomphe de l’Eglise tel qu’il n’y en aura jamais eu de semblable.
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Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Prophétie de Prémol
(1783)
La Chartreuse de Prémol est située sur le diocèse de Grenoble, non loin d’Uriage-les-Bains. De l'auteur de la "prophétie de Prémol", nous ne connaissons que peu de chose ; mais cette prophétie, selon certains auteurs, fut trouvée en 1783 parmi les papiers appartenant à un notaire qui fut l'homme d'affaires du couvent. En 1783, le vieux notaire n’étant déjà plus en fonction, on trouva parmi ses papiers, cette prophétie écrite de sa main sans aucune explication, et oubliée dans une caisse au grenier. Une copie, certifiée conforme par les conseillers municipaux de Vaulnaveys-le-Haut (Isère), fut établie en 1851. C’est tout ce que l’on sait sur l’origine de la "Prophétie de Prémol".
« L'Esprit me conduit dans les régions célestes et il me dit : " Il est écrit que L'Archange Michel combattra le Dragon, et il le combattra devant le Triangle de Dieu ". (Voir Apo. XII, 7)
Puis il ajouta : " Ouvre les portes de l'entendement. L'Archange et le Dragon sont les deux esprits qui se disputent l'empire de Jérusalem ; et le Triangle, c'est la gloire du Très-Haut ".
Et avant que le commencement de la fin, prédit par les prophètes, n'arrive, il y aura un combat sur chacun des côtés du triangle, c'est-à-dire en trois temps.
Et après ces trois temps, l'Archange et le Dragon feront la paix, et le Triangle de Dieu brillera de tout son éclat sur la terre, et la paix sera donnée aux hommes de bonne volonté.
Et ces temps seront inégaux ; mais ils seront marqués par les nombres de Dieu ; et ces nombres sont simples et caractéristiques, et parmi les simples, il en choisit quelques-uns.
Ouvre les portes de l'entendement, car tu vas connaître les signes du Seigneur. Amen.
Or, reprit l'Esprit, depuis le commencement de Jérusalem, c'était l'Archange qui régnait sans partage...
... Et les hommes épouvantés s'enfuient de tous côtés emportant leurs trésors ; et ils sont accablés de leurs trésors et tombent sur les chemins.
Quel carnage, ô mon Dieu ! Le sang coule à flots dans le lit du Jourdain ! Il roule des cadavres, des crânes brisés et des membres épars.
Et les vagues de la mer s'en vont aux rivages lointains épouvanter les nations.
N'est-ce pas assez, Seigneur, d'une pareille hécatombe pour apaiser votre colère ? Mais non. Quels sont ces bruits d'armes, ces cris de guerre et d'épouvante qu'apportent les quatre vents ?
Ah ! Le Dragon s'est jeté sur tous les États et y apporte la plus effroyable confusion.
Les hommes et les peuples se sont levés les uns contre les autres. Guerres, guerres ! Guerres civiles, guerres étrangères !
Quels chocs effroyables ! Tout est deuil et mort, et la famine règne aux champs.
La famine et la peste, tous les maux réunis accompagnent la Guerre et la Révolution.
Jérusalem ! Jérusalem ! Sauve-toi du feu de Sodome et de Gomorrhe et du sac de Babylone.
Eh quoi, Seigneur ! Votre bras ne s'arrête pas ! N'est-ce pas assez de la fureur des hommes pour tant de ruines fumantes ?
Les éléments doivent-ils encore servir votre colère ? Arrêtez, Seigneur, arrêtez ! Vos villes s'abîment d'elles-mêmes.
Grâce, grâce pour Sion ! Mais vous êtes sourd à nos voix, et la montagne de Sion s'écoule avec fracas !
La croix du Christ ne domine plus qu'un monceau de ruines.
Et voici que le roi de Sion attache à cette Croix et son sceptre et sa triple couronne, et, secouant sur les ruines la poussière de ses souliers, se hâte de fuir vers d'autres rives.
Toi, superbe Tyr (Beyrouth) qui échappe encore à l'orage, ne te réjouis pas dans ton orgueil. L'éruption du volcan qui brûle tes entrailles approche.
Tu tomberas bien plus avant que nous dans le gouffre.
Et ce n'est pas encore tout, Seigneur ! Votre Église est déchirée par ses propres enfants.
Les fils de Sion se partagent en deux camps : L'un fidèle au Pontife fugitif, et l'autre qui dispose du gouvernement de Sion, respectant le sceptre, mais brisant les couronnes.
Et qui place la tiare mutilée sur une tête ardente, qui tente des réformes que le parti opposé repousse, et la confusion en est le sanctuaire.
Et voilà que l'Arche sainte disparaît.
Mais mon esprit s'égare et mes yeux s'obscurcissent à la vue de cet effroyable cataclysme.
Mais, me dit l'Esprit, que l'homme espère en Dieu et fasse pénitence ; car le Seigneur tout-puissant est miséricordieux et tirera le monde du chaos et un monde nouveau recommencera.
Or, L'Esprit souffla sur mes yeux, et le Triangle de Dieu avait quitté Juda, et il se trouvait au premier signe.
Et je vis un homme d'une figure resplendissante comme la face des anges, monter sur les ruines de Sion.
Une lumière céleste descendit du ciel sur sa tête, comme autrefois les langues de feu sur les apôtres.
Et les enfants de Sion se prosternèrent à ses pieds, et il les bénit.
Et il appela les Samaritains et les Gentils, et ils se convertirent tous à sa voix.
Et je vis venir de l'Orient un jeune homme remarquable monté sur un lion.
Et il tenait une épée flamboyante à la main. Et le Coq chantait devant lui.
Et sur son passage tous les peuples s'inclinaient, car l'Esprit de Dieu était en lui.
Et il vint aussi sur les ruines de Sion, et il mit la main dans la main du Pontife.
Et ils appelèrent tous les peuples qui accoururent. Et ils leur dirent :
" Vous ne serez heureux et forts qu'unis dans un même amour ".
Et une voix sortie du ciel, au milieu des éclairs et du tonnerre, disait :
" Voici ceux que j'ai choisi pour mettre la paix entre l'Archange et le Dragon, et qui doivent renouveler la face de la terre. Ils sont mon verbe et mon bras. Et c'est mon Esprit qui les garde ".
Et je vis des choses merveilleuses.
Et j'entendis les cantiques s'élever de la terre aux cieux.
Puis j'aperçus à l'horizon un feu ardent. Et ma vue se troubla, et je ne vis et n'entendis plus rien.
Puis l'Esprit me dit : " Voici le commencement de la Fin des Temps qui commence ". Et je m'éveillai épouvanté ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Prémol ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. A demi-mot, elle annonce un vrai pape fugitif et d'un anti-pape qui déplacera le siège de l'Eglise à Jérusalem à cause des émeutes et guerres civiles dues à la crise financière dans les capitales européennes.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Prophétie de Prémol
(1783)
La Chartreuse de Prémol est située sur le diocèse de Grenoble, non loin d’Uriage-les-Bains. De l'auteur de la "prophétie de Prémol", nous ne connaissons que peu de chose ; mais cette prophétie, selon certains auteurs, fut trouvée en 1783 parmi les papiers appartenant à un notaire qui fut l'homme d'affaires du couvent. En 1783, le vieux notaire n’étant déjà plus en fonction, on trouva parmi ses papiers, cette prophétie écrite de sa main sans aucune explication, et oubliée dans une caisse au grenier. Une copie, certifiée conforme par les conseillers municipaux de Vaulnaveys-le-Haut (Isère), fut établie en 1851. C’est tout ce que l’on sait sur l’origine de la "Prophétie de Prémol".
« L'Esprit me conduit dans les régions célestes et il me dit : " Il est écrit que L'Archange Michel combattra le Dragon, et il le combattra devant le Triangle de Dieu ". (Voir Apo. XII, 7)
Puis il ajouta : " Ouvre les portes de l'entendement. L'Archange et le Dragon sont les deux esprits qui se disputent l'empire de Jérusalem ; et le Triangle, c'est la gloire du Très-Haut ".
Et avant que le commencement de la fin, prédit par les prophètes, n'arrive, il y aura un combat sur chacun des côtés du triangle, c'est-à-dire en trois temps.
Et après ces trois temps, l'Archange et le Dragon feront la paix, et le Triangle de Dieu brillera de tout son éclat sur la terre, et la paix sera donnée aux hommes de bonne volonté.
Et ces temps seront inégaux ; mais ils seront marqués par les nombres de Dieu ; et ces nombres sont simples et caractéristiques, et parmi les simples, il en choisit quelques-uns.
Ouvre les portes de l'entendement, car tu vas connaître les signes du Seigneur. Amen.
Or, reprit l'Esprit, depuis le commencement de Jérusalem, c'était l'Archange qui régnait sans partage...
... Et les hommes épouvantés s'enfuient de tous côtés emportant leurs trésors ; et ils sont accablés de leurs trésors et tombent sur les chemins.
Quel carnage, ô mon Dieu ! Le sang coule à flots dans le lit du Jourdain ! Il roule des cadavres, des crânes brisés et des membres épars.
Et les vagues de la mer s'en vont aux rivages lointains épouvanter les nations.
N'est-ce pas assez, Seigneur, d'une pareille hécatombe pour apaiser votre colère ? Mais non. Quels sont ces bruits d'armes, ces cris de guerre et d'épouvante qu'apportent les quatre vents ?
Ah ! Le Dragon s'est jeté sur tous les États et y apporte la plus effroyable confusion.
Les hommes et les peuples se sont levés les uns contre les autres. Guerres, guerres ! Guerres civiles, guerres étrangères !
Quels chocs effroyables ! Tout est deuil et mort, et la famine règne aux champs.
La famine et la peste, tous les maux réunis accompagnent la Guerre et la Révolution.
Jérusalem ! Jérusalem ! Sauve-toi du feu de Sodome et de Gomorrhe et du sac de Babylone.
Eh quoi, Seigneur ! Votre bras ne s'arrête pas ! N'est-ce pas assez de la fureur des hommes pour tant de ruines fumantes ?
Les éléments doivent-ils encore servir votre colère ? Arrêtez, Seigneur, arrêtez ! Vos villes s'abîment d'elles-mêmes.
Grâce, grâce pour Sion ! Mais vous êtes sourd à nos voix, et la montagne de Sion s'écoule avec fracas !
La croix du Christ ne domine plus qu'un monceau de ruines.
Et voici que le roi de Sion attache à cette Croix et son sceptre et sa triple couronne, et, secouant sur les ruines la poussière de ses souliers, se hâte de fuir vers d'autres rives.
Toi, superbe Tyr (Beyrouth) qui échappe encore à l'orage, ne te réjouis pas dans ton orgueil. L'éruption du volcan qui brûle tes entrailles approche.
Tu tomberas bien plus avant que nous dans le gouffre.
Et ce n'est pas encore tout, Seigneur ! Votre Église est déchirée par ses propres enfants.
Les fils de Sion se partagent en deux camps : L'un fidèle au Pontife fugitif, et l'autre qui dispose du gouvernement de Sion, respectant le sceptre, mais brisant les couronnes.
Et qui place la tiare mutilée sur une tête ardente, qui tente des réformes que le parti opposé repousse, et la confusion en est le sanctuaire.
Et voilà que l'Arche sainte disparaît.
Mais mon esprit s'égare et mes yeux s'obscurcissent à la vue de cet effroyable cataclysme.
Mais, me dit l'Esprit, que l'homme espère en Dieu et fasse pénitence ; car le Seigneur tout-puissant est miséricordieux et tirera le monde du chaos et un monde nouveau recommencera.
Or, L'Esprit souffla sur mes yeux, et le Triangle de Dieu avait quitté Juda, et il se trouvait au premier signe.
Et je vis un homme d'une figure resplendissante comme la face des anges, monter sur les ruines de Sion.
Une lumière céleste descendit du ciel sur sa tête, comme autrefois les langues de feu sur les apôtres.
Et les enfants de Sion se prosternèrent à ses pieds, et il les bénit.
Et il appela les Samaritains et les Gentils, et ils se convertirent tous à sa voix.
Et je vis venir de l'Orient un jeune homme remarquable monté sur un lion.
Et il tenait une épée flamboyante à la main. Et le Coq chantait devant lui.
Et sur son passage tous les peuples s'inclinaient, car l'Esprit de Dieu était en lui.
Et il vint aussi sur les ruines de Sion, et il mit la main dans la main du Pontife.
Et ils appelèrent tous les peuples qui accoururent. Et ils leur dirent :
" Vous ne serez heureux et forts qu'unis dans un même amour ".
Et une voix sortie du ciel, au milieu des éclairs et du tonnerre, disait :
" Voici ceux que j'ai choisi pour mettre la paix entre l'Archange et le Dragon, et qui doivent renouveler la face de la terre. Ils sont mon verbe et mon bras. Et c'est mon Esprit qui les garde ".
Et je vis des choses merveilleuses.
Et j'entendis les cantiques s'élever de la terre aux cieux.
Puis j'aperçus à l'horizon un feu ardent. Et ma vue se troubla, et je ne vis et n'entendis plus rien.
Puis l'Esprit me dit : " Voici le commencement de la Fin des Temps qui commence ". Et je m'éveillai épouvanté ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Prémol ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. A demi-mot, elle annonce un vrai pape fugitif et d'un anti-pape qui déplacera le siège de l'Eglise à Jérusalem à cause des émeutes et guerres civiles dues à la crise financière dans les capitales européennes.
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Dernière édition par Hercule le Mar 12 Avr - 10:07, édité 1 fois
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
///////////////////////////////////////////////////////////
Gameleo
(1800)
Gameleo annonce :
« Le grand Lion apparaîtra lorsque le saint-siège aura été transféré à Mentz et un Sabinien élu Pape.
Il y aura eu bien des dissentiments parmi les cardinaux ».
(Mentz : Mayence en Allemagne, capitale du land de Rhénanie-Palatinat située sur la rive gauche du Rhin.)
*** Commentaires : Cette prophétie de Gameleo ne fait aucune référence à la survivance Paul VI, mais annonce le transfert du saint Siège vers Mayence en Allemagne, et qu'un sabinien sera élu comme anti-pape, originaire du nord-ouest de l'Italie, et dont le règne usurpé à la tête de l'Eglise sera très court .
///////////////////////////////////////////////////////////
Hélène Wallraff
(14-09-1801)
Hélène Wallraff (1755-1801) naquit à Brüggen, village dépendant de la paroisse de Kirdorf, dans l'électorat de Cologne, à trois lieues de cette ville, dans le voisinage de Brûhl. Ses parents étaient de simples cultivateurs sans fortune, qui ne lui procurèrent d'autre enseignement que sa religion, car elle ne savait ni lire ni écrire. Elle était stigmatisée et douée de l’esprit de prophétie.
Voici les grandes lignes de ses Prédictions :
« Les méchants, dit-elle, seront anéantis par les méchants.
Beaucoup de bons périront aussi, mais pour leur salut.
L'état militaire ne sera plus permanent.
Le tiers des hommes sera emporté dans la tourmente.
Ces calamités ne tarderont pas à éclater.
Dieu fera de grands miracles en ces temps.
La vie communautaire sera introduite parmi le clergé (séculier) et prescrite en toute rigueur.
Les emplois et les charges ne seront plus attachés à la naissance ni obtenus par protection, mais ils seront donnés à qui les aura mérités.
Les casernes seront transformées en couvents et l'entrée en religion sera gratuite.
La vie commune sera introduite parmi le clergé, et prescrite en toute rigueur.
Les casernes seront transformées en couvent et l’entrée en religion sera gratuite.
L’enseignement sera donné aux enfants par les chapelains.
Alors reviendra l’âge d’or des prêtres, quand bien même on en serait réduits à des calices de bois.
Tous les états de la société seront de nouveau revivifiés par la crainte de Dieu.
La justice et la paix régneront alors sur la terre.
Un prince, demeuré jusque-là. inaperçu, et dont la maison aura beaucoup souffert du malheur des temps, apportera cette vraie paix à la terre.
Un Pape fugitif, suivi seulement de quatre cardinaux, viendrait se réfugier à Cologne.
Cette dernière prophétie regarde sans doute les derniers temps de l'Église ».
Nous en donnons l'extrait suivant pour faire apprécier l'esprit qui animait Hélène Wallraff.
« Mon enfant, lorsque le Pape, parlant de sa chaire, propose à l'Église un point de dogme ou de morale en dehors du concile général, est-il infaillible ? Voilà ce que moi, le Père céleste, je te demande, et je veux bien aussi, étant l'éternelle Vérité, te donner moi-même la réponse. Dis-le à ma Sainte-Église tout entière : Le Pape, à lui seul, est infaillible dans ce cas, car nous, les trois personnes divines, nous lui venons en aide afin qu'en sa qualité de chef de l'Église, il ne puisse se tromper. Ma Sainte-Église est visible et le Pape est le chef visible de la Sainte-Église ; c'est d'institution divine qu'il est le Pasteur suprême à qui sont confiés tous les croyants, agneaux et brebis : les uns et les autres appartiennent à sa bergerie. Il est notre Vicaire ; quand il parle, tous doivent s'incliner ; quand il commande, tous doivent obéir, et quand il châtie en notre nom, la peine doit être subie : qui lui résiste, résiste à la très-sainte Trinité ».
*** Commentaires : Cette prophétie d'Hélène Wallraff ne fait aucune référence à la survivance Paul VI, mais annonce la fuite d'un Pape vers Cologne accompagné de quatre cardinaux. Cette prédiction nous ferait plutôt penser au Pape Benoît XVI.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Gameleo
(1800)
Gameleo annonce :
« Le grand Lion apparaîtra lorsque le saint-siège aura été transféré à Mentz et un Sabinien élu Pape.
Il y aura eu bien des dissentiments parmi les cardinaux ».
(Mentz : Mayence en Allemagne, capitale du land de Rhénanie-Palatinat située sur la rive gauche du Rhin.)
*** Commentaires : Cette prophétie de Gameleo ne fait aucune référence à la survivance Paul VI, mais annonce le transfert du saint Siège vers Mayence en Allemagne, et qu'un sabinien sera élu comme anti-pape, originaire du nord-ouest de l'Italie, et dont le règne usurpé à la tête de l'Eglise sera très court .
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Hélène Wallraff
(14-09-1801)
Hélène Wallraff (1755-1801) naquit à Brüggen, village dépendant de la paroisse de Kirdorf, dans l'électorat de Cologne, à trois lieues de cette ville, dans le voisinage de Brûhl. Ses parents étaient de simples cultivateurs sans fortune, qui ne lui procurèrent d'autre enseignement que sa religion, car elle ne savait ni lire ni écrire. Elle était stigmatisée et douée de l’esprit de prophétie.
Voici les grandes lignes de ses Prédictions :
« Les méchants, dit-elle, seront anéantis par les méchants.
Beaucoup de bons périront aussi, mais pour leur salut.
L'état militaire ne sera plus permanent.
Le tiers des hommes sera emporté dans la tourmente.
Ces calamités ne tarderont pas à éclater.
Dieu fera de grands miracles en ces temps.
La vie communautaire sera introduite parmi le clergé (séculier) et prescrite en toute rigueur.
Les emplois et les charges ne seront plus attachés à la naissance ni obtenus par protection, mais ils seront donnés à qui les aura mérités.
Les casernes seront transformées en couvents et l'entrée en religion sera gratuite.
La vie commune sera introduite parmi le clergé, et prescrite en toute rigueur.
Les casernes seront transformées en couvent et l’entrée en religion sera gratuite.
L’enseignement sera donné aux enfants par les chapelains.
Alors reviendra l’âge d’or des prêtres, quand bien même on en serait réduits à des calices de bois.
Tous les états de la société seront de nouveau revivifiés par la crainte de Dieu.
La justice et la paix régneront alors sur la terre.
Un prince, demeuré jusque-là. inaperçu, et dont la maison aura beaucoup souffert du malheur des temps, apportera cette vraie paix à la terre.
Un Pape fugitif, suivi seulement de quatre cardinaux, viendrait se réfugier à Cologne.
Cette dernière prophétie regarde sans doute les derniers temps de l'Église ».
Nous en donnons l'extrait suivant pour faire apprécier l'esprit qui animait Hélène Wallraff.
« Mon enfant, lorsque le Pape, parlant de sa chaire, propose à l'Église un point de dogme ou de morale en dehors du concile général, est-il infaillible ? Voilà ce que moi, le Père céleste, je te demande, et je veux bien aussi, étant l'éternelle Vérité, te donner moi-même la réponse. Dis-le à ma Sainte-Église tout entière : Le Pape, à lui seul, est infaillible dans ce cas, car nous, les trois personnes divines, nous lui venons en aide afin qu'en sa qualité de chef de l'Église, il ne puisse se tromper. Ma Sainte-Église est visible et le Pape est le chef visible de la Sainte-Église ; c'est d'institution divine qu'il est le Pasteur suprême à qui sont confiés tous les croyants, agneaux et brebis : les uns et les autres appartiennent à sa bergerie. Il est notre Vicaire ; quand il parle, tous doivent s'incliner ; quand il commande, tous doivent obéir, et quand il châtie en notre nom, la peine doit être subie : qui lui résiste, résiste à la très-sainte Trinité ».
*** Commentaires : Cette prophétie d'Hélène Wallraff ne fait aucune référence à la survivance Paul VI, mais annonce la fuite d'un Pape vers Cologne accompagné de quatre cardinaux. Cette prédiction nous ferait plutôt penser au Pape Benoît XVI.
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Her- Messages : 9481
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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La religieuse de Belley
(1820)
La religieuse de Bellay en Vexin fit sa prédiction en 1810, dix ans avant de mourir. Elle en remit notamment une copie à un médecin de Lyon qui lui avait donné des soins. Elle mourut en 1820. Ce médecin qui la soignait transmit ces textes au Père Fulgence, aumônier de la trappe de Notre Dame des Gardes, au diocèse d’Angers. Ce dernier a contribué à faire connaître dans l'ouest de la France la Prophétie de la Religieuse de Belley. Il en a été publié des coupures incomplètes et par conséquent différentes.
« ... Les méchants veulent tout détruirent ; leurs livres, leurs doctrines inondent le monde.
Le jour de la justice est venu. Je vois, à l’aspect de celui que l’on a méconnu, le monde fléchir et tomber.
Une femme l’a sauvé, une femme le suit. Un ministre du Très-Haut le soutient ; ce ministre vient d’être oint de l’huile sainte. Dieu les accompagne. Voilà votre roi.
Il paraît au milieu de la confusion de l’orage. Quel affreux moment ! Les bons, les méchants tombent. Babylone est réduite en cendres. Malheur à toi, ville maudite !
Il y eut en même temps une grande bataille, si furieuse qu’on n’en a jamais vu de pareille. Le sang coulait comme une forte pluie, surtout du sud au nord, car l’ouest paraissait plus calme. Les méchants voulaient exterminer tous les serviteurs de la religion de Jésus-Christ. Ils en avaient abattu un grand nombre et criaient déjà victoire, lorsque soudain les bons furent encouragés par un secours qui leur venait d’En-Haut, et les méchants confondus et vaincus.
Je vis alors les clefs lumineuses paraître vers le Nord. Un saint lève les mains vers le ciel ; il apaise la colère divine. Il monte sur le trône de St Pierre.
Le Grand Monarque monte sur celui de ses pères ; le trône est monté au Midi.
Tout s’apaise à leurs voix. Les autels se relèvent. La religion renaît, les méchants sont détruits et confondus, les injustices se réparent. Le Grand Monarque de sa main réparatrice a tout sauvé.
Il ne fait que passer, sa gloire est courte. Il est né dans le malheur.
L’enfant de l’exil lui succède. La paix sera alors donnée à la France, mais la fin des temps ne sera pas éloignée.
La durée de tous ces bouleversements ne dépassera trois mois, et la grande crise dans laquelle les bons doivent triompher, sera courte. Ces évènements se produiront lorsque les méchants auront répandu un grand nombre de mauvais livres. Mais, dès qu’ils seront passés, l’ordre sera rétabli de nouveau et les injustices, de quelques natures qu’elles soient, seront réparées.
Ce sera chose facile, parce que la majorité des méchants périra dans la grande lutte et les survivants seront si terrifiés par le châtiment des autres qu’ils ne pourront pas ne pas voir le doigt de Dieu et adorer sa toute puissance. Plusieurs se convertiront. Puis la religion refleurira de la façon la plus admirable. J’ai vu sous ce rapport des choses si belles qu’il m’est impossible de les raconter ».
*** Commentaires : Cette prophétie de la religieuse de Belley ne fait aucune référence à la survivance Paul VI.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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La religieuse de Belley
(1820)
La religieuse de Bellay en Vexin fit sa prédiction en 1810, dix ans avant de mourir. Elle en remit notamment une copie à un médecin de Lyon qui lui avait donné des soins. Elle mourut en 1820. Ce médecin qui la soignait transmit ces textes au Père Fulgence, aumônier de la trappe de Notre Dame des Gardes, au diocèse d’Angers. Ce dernier a contribué à faire connaître dans l'ouest de la France la Prophétie de la Religieuse de Belley. Il en a été publié des coupures incomplètes et par conséquent différentes.
« ... Les méchants veulent tout détruirent ; leurs livres, leurs doctrines inondent le monde.
Le jour de la justice est venu. Je vois, à l’aspect de celui que l’on a méconnu, le monde fléchir et tomber.
Une femme l’a sauvé, une femme le suit. Un ministre du Très-Haut le soutient ; ce ministre vient d’être oint de l’huile sainte. Dieu les accompagne. Voilà votre roi.
Il paraît au milieu de la confusion de l’orage. Quel affreux moment ! Les bons, les méchants tombent. Babylone est réduite en cendres. Malheur à toi, ville maudite !
Il y eut en même temps une grande bataille, si furieuse qu’on n’en a jamais vu de pareille. Le sang coulait comme une forte pluie, surtout du sud au nord, car l’ouest paraissait plus calme. Les méchants voulaient exterminer tous les serviteurs de la religion de Jésus-Christ. Ils en avaient abattu un grand nombre et criaient déjà victoire, lorsque soudain les bons furent encouragés par un secours qui leur venait d’En-Haut, et les méchants confondus et vaincus.
Je vis alors les clefs lumineuses paraître vers le Nord. Un saint lève les mains vers le ciel ; il apaise la colère divine. Il monte sur le trône de St Pierre.
Le Grand Monarque monte sur celui de ses pères ; le trône est monté au Midi.
Tout s’apaise à leurs voix. Les autels se relèvent. La religion renaît, les méchants sont détruits et confondus, les injustices se réparent. Le Grand Monarque de sa main réparatrice a tout sauvé.
Il ne fait que passer, sa gloire est courte. Il est né dans le malheur.
L’enfant de l’exil lui succède. La paix sera alors donnée à la France, mais la fin des temps ne sera pas éloignée.
La durée de tous ces bouleversements ne dépassera trois mois, et la grande crise dans laquelle les bons doivent triompher, sera courte. Ces évènements se produiront lorsque les méchants auront répandu un grand nombre de mauvais livres. Mais, dès qu’ils seront passés, l’ordre sera rétabli de nouveau et les injustices, de quelques natures qu’elles soient, seront réparées.
Ce sera chose facile, parce que la majorité des méchants périra dans la grande lutte et les survivants seront si terrifiés par le châtiment des autres qu’ils ne pourront pas ne pas voir le doigt de Dieu et adorer sa toute puissance. Plusieurs se convertiront. Puis la religion refleurira de la façon la plus admirable. J’ai vu sous ce rapport des choses si belles qu’il m’est impossible de les raconter ».
*** Commentaires : Cette prophétie de la religieuse de Belley ne fait aucune référence à la survivance Paul VI.
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Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Elisabeth Canori-Mora
(03-02-1825)
Élisabeth Canori est née à Rome, le 21 novembre 1774, de parents illustres.
Elle fut accueillie en 1820 au Tiers-Ordre séculier des Trinitaires Déchaussés, comme sa contemporaine Anna-Maria Taïgi, sous le nom de Jeanne-Félix de la très Sainte Trinité. Elle se confessait et communiait chaque jour ; le Chemin de la Croix était l'une de ses dévotions de prédilection.
Déjà de son temps, les sociétés secrètes, de concert avec les mauvais Chrétiens, méditaient la ruine du pouvoir temporel du Saint-Siège pour arriver plus facilement à anéantir la Sainte-Église. Comme Anna-Maria Taïgi, la vénérable Elisabeth sut déjouer leurs machinations par l'offrande d'elle-même à la justice de Dieu, dont elle retarda les coups qui devaient plus tard atteindre si cruellement les coupables.
Un jour, vers le 15 février 1821, après avoir enduré toutes les douleurs du crucifiement de la part des démons qui enrageaient de la voir déjouer toutes leurs trames infernales contre la Sainte Église, elle fut inondée des joies ineffables du Paradis, et Notre Seigneur lui adressa les paroles suivantes :
« Ton sacrifice fort et constant a fait violence à Ma justice irritée. Je suspends, pour l’instant, le châtiment mérité et je fais place et laisse agir Ma miséricorde. Les Chrétiens ne seront pas dispersés, ni Rome privée de ses Pontifes. Je réformerai Mon peuple et Mon Église. J'enverrai des prêtres très zélés et Mon Esprit renouvellera la face de la terre ; Je rendrai la ferveur aux Ordres religieux par le moyen de réformateurs savants et saints et tous posséderont l’esprit de mon fils bien-aimé Ignace de Loyola. Je donnerai à mon Église un nouveau Pasteur, saint et rempli de Mon Esprit : par son grand zèle, il sanctifiera Mon troupeau ».
Élisabeth Canori-Mora fut favorisée d’une visite de Saint Pierre dans une vision concernant le relèvement et le triomphe de l’Église, de la manière dont elle le rapporta et l'écrivit elle-¬même, par obéissance à son confesseur :
« En 1820, le jour de la fête de saint Pierre, comme je priais pour les besoins de l'Église et pour la conversion des pécheurs, au nombre desquels j'occupe le premier rang, je fus ravie au ciel et placée tout près de Dieu. Par le moyen d'une lumière inaccessible, je fus si intimement unie à Lui, que je ne me reconnaissais plus moi-même, étant toute transformée dans cette lumière divine. Je reçus la douce impression de la Charité de Dieu ; le contentement et la joie que j'éprouvais alors sont indéfinissables cependant que mon esprit restait parfaitement calme au milieu de ces divines tendresses. Je vis le ciel s'ouvrir et en descendre avec majesté Saint Pierre, le Prince des Apôtres, environné de gloire et accompagné d'une multitude d'esprits célestes chantant des cantiques et des hymnes de louange. Le Bienheureux Apôtre était revêtu de ses habits pontificaux Il tenait en main le bâton pastoral avec lequel il traça sur le sol terreux une grande croix. Pendant qu'il traçait cette croix, il était entouré par les anges, qui chantaient en son honneur ces paroles du psalmiste : "Constitues eos principes super omnem terram…" ("Vous les établirez princes sur toute la terre"). Après cela, l'Apôtre toucha avec sa crosse les quatre extrémités de la croix, et au même instant, il en sortit quatre arbres magnifiques portant des fleurs et des fruits très précieux. Ces arbres mystérieux avaient eux-mêmes la forme d'une croix et une lumière splendide les entourait. Alors je compris dans l'intime de mon âme que saint Pierre avait fait croître ces quatre arbres symboliques pour servir de lieu de refuge aux troupeaux des fidèles amis de Jésus-Christ et les préserver du châtiment épouvantable qui mettra la terre sens dessus dessous. Le bienheureux apôtre alla ensuite ouvrir toutes les portes des couvents. Ces arbres devaient servir de lieu de refuge au petit troupeau de Jésus-Christ, et tous les fidèles qui auront gardé dans leur cœur la foi de Jésus-Christ, ainsi que les religieux et les religieuses qui auront conservé fidèlement l'esprit de leur institut seront tous abrités sous ces arbres et délivrés de l'affreux châtiment. Mais malheur aux religieux et religieuses qui n'observent pas leurs règles ! Trois fois malheur à eux ! car ils seront tous frappés du terrible châtiment. Malheur aussi à tous les prêtres indignes et à tous les séculiers qui se livrent à la volupté et s'adonnent au libertinage en suivant les fausses maximes de la philosophie moderne, condamnée par l'Église comme étant contraire aux préceptes de l'Évangile ! Ces malheureux qui lient la foi de Jésus-Christ par leur conduite scandaleuse périront sous le poids du bras vengeur de la justice de Dieu ; aucun d'eux ne pourra s'y soustraire.
Tous les bons Chrétiens s'étant réfugiés sous les arbres mystérieux, je les vis sous la figure de jolies brebis confiées à la garde de Saint Pierre, leur pasteur, et professant envers lui la plus humble soumission et la plus respectueuse obéissance. Dès que le Prince des Apôtres eut mis en ce lieu sûr le troupeau de Jésus-Christ, il remonta au Ciel, accompagné de la troupe des anges. A peine eurent-ils disparu, que le ciel se couvrit de nuages si sombres et si épais, qu'il était impossible de le regarder sans en être effrayé. Soudain, il s'éleva un vent terrible et impétueux dont le sifflement ressemblait aux rugissements d'un lion en fureur. L'écho de ce bruit épouvantable retentissait par toute la terre. L'effroi et la terreur se répandront non-seulement parmi les hommes, mais aussi parmi les animaux.
Tous ces hommes seront en insurrection les uns contre les autres et s'entre-tueront sans pitié. Durant cette horrible et sanglante boucherie, la main vengeresse de Dieu s'appesantira sur ces malheureux, et par Sa toute puissance Il brisera leur orgueil et leur témérité. Il emploiera les puissances de l'enfer pour exterminer ces hommes impies et ces hérétiques sectaires qui voulaient renverser l’Église et la détruire jusque dans ses fondements. Par leur malice audacieuse, ces hommes présomptueux iniques croyaient, dans leur impiété, pouvoir renverser Dieu de Son trône suprême ; mais le Seigneur méprisera leurs artifices, et, par un signe de Sa main toute-puissante, Il punira ces perfides blasphémateurs, en donnant aux puissances infernales la permission de sortir de l'enfer.
D'innombrables légions de démons parcourront la terre et exécuteront les arrêts de la justice divine par les grands désastres qu'ils occasionneront. Ces esprits mauvais attaqueront tout et ils nuiront aux hommes, aux familles, aux propriétés, aux meubles, aux productions alimentaires, aux villes, aux villages, aux maisons. Rien de ce qui se trouve sur la terre ne sera épargné.
Dieu permettant que ces sycophantes et sectaires soient frappés de mort par la cruauté des démons et punis par une mort tragique et barbare, parce qu'ils se seront librement adonnés aux puissances infernales et qu'ils auront fait un contrat avec elles contre l'Église catholique.
Dieu voulant pénétrer davantage mon esprit du sentiment de Sa justice, me montra l'effroyable prison : je vis alors s'ouvrir dans les profondeurs de la terre une sombre et effrayante caverne pleine de feu d'où sortaient des multitudes de démons, qui, sous la forme d'hommes et d'animaux venaient ravager le monde, ne laissant partout que ruines et effusions de sang.
Heureux les bons et véritables catholiques ! Ils ressentiront la puissante protection des apôtres saint Pierre et saint Paul, qui veilleront sur eux contre ce déchaînement d’hommes et de démons, afin qu'il ne leur soit fait aucun dommage, ni à leurs personnes, ni à leurs biens. Les mauvais esprits dévasteront tous les lieux où Dieu aura été outragé, méprisé, et blasphémé. Les édifices de ces lieux seront ruinés, anéantis et il n'en restera aucun vestige.
Après ce châtiment effroyable, je vis tout à coup le ciel s'ouvrir. Saint Pierre descendit de nouveau sur la terre ; il était revêtu de ses ornements pontificaux et entouré d'un grand nombre d'anges qui chantaient des cantiques à sa gloire, le reconnaissant ainsi pour souverain de la terre. Je vis ensuite saint Paul descendre du ciel. Sur l’ordre de Dieu, il parcourut l'univers en enchaînant les démons, et les ayant amenés devant saint Pierre, celui-ci leur ordonna de retourner dans l'enfer d'où ils étaient sortis.
Alors une grande clarté apparut sur la terre ; elle annonçait la réconciliation de Dieu avec les hommes. Les anges conduisirent, devant le trône du Prince des Apôtres, le petit troupeau resté fidèle à Jésus-Christ. Ces bons et fervents chrétiens lui témoignèrent le plus profond respect ; et, louant Dieu, ils remercièrent l'Apôtre de les avoir préservés de la ruine générale, et d'avoir soutenu l'Église de Jésus-Christ, en ne permettant pas qu'elle fût entraînée par les fausses doctrines du monde.
Saint Pierre choisit alors le nouveau Pontife. L'Église fut ensuite reconstituée, les ordres religieux rétablis, et les maisons particulières des Chrétiens devinrent semblables à des couvents, tellement étaient grande leur ferveur et leur zèle pour la gloire de Dieu.
Tel sera le triomphe éclatant réservé à l'Église catholique. Elle sera louée, honorée et estimée de tous ; tous se donneront à elle en reconnaissant le Souverain Pontife pour "le Vicaire de Jésus-Christ". »
Le 8 décembre 1820, Fête de l'Immaculée-Conception de la Sainte- Vierge, le Seigneur révéla à Elisabeth les complots ourdis à Rome par les impies pour détruire la religion catholique ; il lui déclara qu'il allait frapper les hommes d'un châtiment terrible et que, pour ne point arrêter les coups de sa justice, il était résolu de ne plus accepter les prières et les sacrifices de ses âmes de prédilection. Il lui recommanda de ne pas chercher à le désarmer, car, lui disait-il, il n'agréait plus les prières faites à ce sujet. Il lui fit voir ensuite par les saints apôtres Pierre et Paul, que les loges, par suite des ordres qui leur avaient été donnés, projetaient de transférer le Souverain Pontife. Affligée, Elisabeth communiqua à son père spirituel les secrets desseins de Dieu".
*** Commentaires : Cette prophétie d'Elisabeth Canori-Mora ne fait nullement référence à la survivance Paul VI.
Au contraire, elle nous indique que c'est Saint Pierre lui-même qui se manifestera de manière miraculeuse et qui désignera le nouveau Saint Pontife.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Elisabeth Canori-Mora
(03-02-1825)
Élisabeth Canori est née à Rome, le 21 novembre 1774, de parents illustres.
Elle fut accueillie en 1820 au Tiers-Ordre séculier des Trinitaires Déchaussés, comme sa contemporaine Anna-Maria Taïgi, sous le nom de Jeanne-Félix de la très Sainte Trinité. Elle se confessait et communiait chaque jour ; le Chemin de la Croix était l'une de ses dévotions de prédilection.
Déjà de son temps, les sociétés secrètes, de concert avec les mauvais Chrétiens, méditaient la ruine du pouvoir temporel du Saint-Siège pour arriver plus facilement à anéantir la Sainte-Église. Comme Anna-Maria Taïgi, la vénérable Elisabeth sut déjouer leurs machinations par l'offrande d'elle-même à la justice de Dieu, dont elle retarda les coups qui devaient plus tard atteindre si cruellement les coupables.
Un jour, vers le 15 février 1821, après avoir enduré toutes les douleurs du crucifiement de la part des démons qui enrageaient de la voir déjouer toutes leurs trames infernales contre la Sainte Église, elle fut inondée des joies ineffables du Paradis, et Notre Seigneur lui adressa les paroles suivantes :
« Ton sacrifice fort et constant a fait violence à Ma justice irritée. Je suspends, pour l’instant, le châtiment mérité et je fais place et laisse agir Ma miséricorde. Les Chrétiens ne seront pas dispersés, ni Rome privée de ses Pontifes. Je réformerai Mon peuple et Mon Église. J'enverrai des prêtres très zélés et Mon Esprit renouvellera la face de la terre ; Je rendrai la ferveur aux Ordres religieux par le moyen de réformateurs savants et saints et tous posséderont l’esprit de mon fils bien-aimé Ignace de Loyola. Je donnerai à mon Église un nouveau Pasteur, saint et rempli de Mon Esprit : par son grand zèle, il sanctifiera Mon troupeau ».
Élisabeth Canori-Mora fut favorisée d’une visite de Saint Pierre dans une vision concernant le relèvement et le triomphe de l’Église, de la manière dont elle le rapporta et l'écrivit elle-¬même, par obéissance à son confesseur :
« En 1820, le jour de la fête de saint Pierre, comme je priais pour les besoins de l'Église et pour la conversion des pécheurs, au nombre desquels j'occupe le premier rang, je fus ravie au ciel et placée tout près de Dieu. Par le moyen d'une lumière inaccessible, je fus si intimement unie à Lui, que je ne me reconnaissais plus moi-même, étant toute transformée dans cette lumière divine. Je reçus la douce impression de la Charité de Dieu ; le contentement et la joie que j'éprouvais alors sont indéfinissables cependant que mon esprit restait parfaitement calme au milieu de ces divines tendresses. Je vis le ciel s'ouvrir et en descendre avec majesté Saint Pierre, le Prince des Apôtres, environné de gloire et accompagné d'une multitude d'esprits célestes chantant des cantiques et des hymnes de louange. Le Bienheureux Apôtre était revêtu de ses habits pontificaux Il tenait en main le bâton pastoral avec lequel il traça sur le sol terreux une grande croix. Pendant qu'il traçait cette croix, il était entouré par les anges, qui chantaient en son honneur ces paroles du psalmiste : "Constitues eos principes super omnem terram…" ("Vous les établirez princes sur toute la terre"). Après cela, l'Apôtre toucha avec sa crosse les quatre extrémités de la croix, et au même instant, il en sortit quatre arbres magnifiques portant des fleurs et des fruits très précieux. Ces arbres mystérieux avaient eux-mêmes la forme d'une croix et une lumière splendide les entourait. Alors je compris dans l'intime de mon âme que saint Pierre avait fait croître ces quatre arbres symboliques pour servir de lieu de refuge aux troupeaux des fidèles amis de Jésus-Christ et les préserver du châtiment épouvantable qui mettra la terre sens dessus dessous. Le bienheureux apôtre alla ensuite ouvrir toutes les portes des couvents. Ces arbres devaient servir de lieu de refuge au petit troupeau de Jésus-Christ, et tous les fidèles qui auront gardé dans leur cœur la foi de Jésus-Christ, ainsi que les religieux et les religieuses qui auront conservé fidèlement l'esprit de leur institut seront tous abrités sous ces arbres et délivrés de l'affreux châtiment. Mais malheur aux religieux et religieuses qui n'observent pas leurs règles ! Trois fois malheur à eux ! car ils seront tous frappés du terrible châtiment. Malheur aussi à tous les prêtres indignes et à tous les séculiers qui se livrent à la volupté et s'adonnent au libertinage en suivant les fausses maximes de la philosophie moderne, condamnée par l'Église comme étant contraire aux préceptes de l'Évangile ! Ces malheureux qui lient la foi de Jésus-Christ par leur conduite scandaleuse périront sous le poids du bras vengeur de la justice de Dieu ; aucun d'eux ne pourra s'y soustraire.
Tous les bons Chrétiens s'étant réfugiés sous les arbres mystérieux, je les vis sous la figure de jolies brebis confiées à la garde de Saint Pierre, leur pasteur, et professant envers lui la plus humble soumission et la plus respectueuse obéissance. Dès que le Prince des Apôtres eut mis en ce lieu sûr le troupeau de Jésus-Christ, il remonta au Ciel, accompagné de la troupe des anges. A peine eurent-ils disparu, que le ciel se couvrit de nuages si sombres et si épais, qu'il était impossible de le regarder sans en être effrayé. Soudain, il s'éleva un vent terrible et impétueux dont le sifflement ressemblait aux rugissements d'un lion en fureur. L'écho de ce bruit épouvantable retentissait par toute la terre. L'effroi et la terreur se répandront non-seulement parmi les hommes, mais aussi parmi les animaux.
Tous ces hommes seront en insurrection les uns contre les autres et s'entre-tueront sans pitié. Durant cette horrible et sanglante boucherie, la main vengeresse de Dieu s'appesantira sur ces malheureux, et par Sa toute puissance Il brisera leur orgueil et leur témérité. Il emploiera les puissances de l'enfer pour exterminer ces hommes impies et ces hérétiques sectaires qui voulaient renverser l’Église et la détruire jusque dans ses fondements. Par leur malice audacieuse, ces hommes présomptueux iniques croyaient, dans leur impiété, pouvoir renverser Dieu de Son trône suprême ; mais le Seigneur méprisera leurs artifices, et, par un signe de Sa main toute-puissante, Il punira ces perfides blasphémateurs, en donnant aux puissances infernales la permission de sortir de l'enfer.
D'innombrables légions de démons parcourront la terre et exécuteront les arrêts de la justice divine par les grands désastres qu'ils occasionneront. Ces esprits mauvais attaqueront tout et ils nuiront aux hommes, aux familles, aux propriétés, aux meubles, aux productions alimentaires, aux villes, aux villages, aux maisons. Rien de ce qui se trouve sur la terre ne sera épargné.
Dieu permettant que ces sycophantes et sectaires soient frappés de mort par la cruauté des démons et punis par une mort tragique et barbare, parce qu'ils se seront librement adonnés aux puissances infernales et qu'ils auront fait un contrat avec elles contre l'Église catholique.
Dieu voulant pénétrer davantage mon esprit du sentiment de Sa justice, me montra l'effroyable prison : je vis alors s'ouvrir dans les profondeurs de la terre une sombre et effrayante caverne pleine de feu d'où sortaient des multitudes de démons, qui, sous la forme d'hommes et d'animaux venaient ravager le monde, ne laissant partout que ruines et effusions de sang.
Heureux les bons et véritables catholiques ! Ils ressentiront la puissante protection des apôtres saint Pierre et saint Paul, qui veilleront sur eux contre ce déchaînement d’hommes et de démons, afin qu'il ne leur soit fait aucun dommage, ni à leurs personnes, ni à leurs biens. Les mauvais esprits dévasteront tous les lieux où Dieu aura été outragé, méprisé, et blasphémé. Les édifices de ces lieux seront ruinés, anéantis et il n'en restera aucun vestige.
Après ce châtiment effroyable, je vis tout à coup le ciel s'ouvrir. Saint Pierre descendit de nouveau sur la terre ; il était revêtu de ses ornements pontificaux et entouré d'un grand nombre d'anges qui chantaient des cantiques à sa gloire, le reconnaissant ainsi pour souverain de la terre. Je vis ensuite saint Paul descendre du ciel. Sur l’ordre de Dieu, il parcourut l'univers en enchaînant les démons, et les ayant amenés devant saint Pierre, celui-ci leur ordonna de retourner dans l'enfer d'où ils étaient sortis.
Alors une grande clarté apparut sur la terre ; elle annonçait la réconciliation de Dieu avec les hommes. Les anges conduisirent, devant le trône du Prince des Apôtres, le petit troupeau resté fidèle à Jésus-Christ. Ces bons et fervents chrétiens lui témoignèrent le plus profond respect ; et, louant Dieu, ils remercièrent l'Apôtre de les avoir préservés de la ruine générale, et d'avoir soutenu l'Église de Jésus-Christ, en ne permettant pas qu'elle fût entraînée par les fausses doctrines du monde.
Saint Pierre choisit alors le nouveau Pontife. L'Église fut ensuite reconstituée, les ordres religieux rétablis, et les maisons particulières des Chrétiens devinrent semblables à des couvents, tellement étaient grande leur ferveur et leur zèle pour la gloire de Dieu.
Tel sera le triomphe éclatant réservé à l'Église catholique. Elle sera louée, honorée et estimée de tous ; tous se donneront à elle en reconnaissant le Souverain Pontife pour "le Vicaire de Jésus-Christ". »
Le 8 décembre 1820, Fête de l'Immaculée-Conception de la Sainte- Vierge, le Seigneur révéla à Elisabeth les complots ourdis à Rome par les impies pour détruire la religion catholique ; il lui déclara qu'il allait frapper les hommes d'un châtiment terrible et que, pour ne point arrêter les coups de sa justice, il était résolu de ne plus accepter les prières et les sacrifices de ses âmes de prédilection. Il lui recommanda de ne pas chercher à le désarmer, car, lui disait-il, il n'agréait plus les prières faites à ce sujet. Il lui fit voir ensuite par les saints apôtres Pierre et Paul, que les loges, par suite des ordres qui leur avaient été donnés, projetaient de transférer le Souverain Pontife. Affligée, Elisabeth communiqua à son père spirituel les secrets desseins de Dieu".
*** Commentaires : Cette prophétie d'Elisabeth Canori-Mora ne fait nullement référence à la survivance Paul VI.
Au contraire, elle nous indique que c'est Saint Pierre lui-même qui se manifestera de manière miraculeuse et qui désignera le nouveau Saint Pontife.
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Dernière édition par Hercule le Mar 19 Avr - 22:13, édité 1 fois
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
///////////////////////////////////////////////////////////
L'abbé Souffrant.
(1828)
L’abbé Souffrant, ce prêtre humble et zélé, naquit en 1755. Ordonné prêtre, il débuta sa prêtrise, en 1780, comme vicaire de Maumusson, près d’Ancenis, au diocèse de Nantes. Il y brava la tourmente révolutionnaire, et en devint ensuite le curé. Il gouverna pendant près de cinquante ans sa paroisse de Maumusson. Malgré l’offre d’une cure plus importante, il ne voulut jamais le quitter et il y resta jusqu'à sa mort, en 1828.
« Le moment des grands événements sera proche lorsqu'on voyagera avec la plus grande rapidité. Je ne sais comment ces voyages se feront, mais je vois les voitures aller avec la vitesse de l’oiseau.
Les bouleversements seront épouvantables. La religion sera persécutée et ses ministres seront obligés de se cacher dans bien des endroits, au moins momentanément, les églises seront fermées encore un peu de temps.
En ce temps-là, un moine qui aura la paix dans son nom et dans son cœur, sera en prière ; il aura la même mission que Jeanne d’Arc…
Chassé de toutes parts, il viendra se réfugier dans son séminaire dans l’Ouest de la France, et le grand Roi que Dieu nous réserve, descendant du roi martyr…
Ils auront beaucoup de difficultés près de certains prélats.
Le grand Monarque qui sera des Lys, arrivera par le Midi de la France ; il sera amené par le Pontife Saint et par l'empereur de Russie, un prince du Nord qui se convertira. C'est surtout par les soins du Souverain Pontife que cet empereur sera déterminé à le reconnaître.
Un noble de la Loire-Inférieure – un général breton – sera appelé à prendre part aux évènements et il jouera un rôle important pour le rétablissement du saint Pontife et du grand Monarque. Il le ramènera.
La France, pacifiée la première, rendra le calme et la prospérité aux autres nations.
Le grand Monarque réformera tout, fera un code nouveau, une nouvelle noblesse, et tous ses actes seront si parfaits, que tous les autres souverains lui seront comme soumis.
Avec l'Empereur de Russie, il mettra fin à la confusion, à l'usurpation et à l'injustice dans toute l'Europe.
Mais surtout, tous deux rétabliront le règne de la religion et l’autorité de l’Eglise.
Ils auront tous deux une telle suprématie sur les autres puissances, qu'ils seront comme les deux seuls monarques.
Bien entendu que l'Empereur de Russie se convertira à la foi catholique d'une manière si éclatante, qu'il sera regardé comme un autre Constantin.
De concert avec lui le grand Monarque exterminera la race des hérétiques et des impies, rétablira l'ordre, et rendra à chacun son bien : "reddet cuique suum bonum".
Il n’y aura plus pour ainsi dire que deux empire en Europe, l’empire d’Orient et l’empire d’Occident.
La Russie se convertira et elle aidera la France à rendre la paix et la tranquillité au monde entier.
Mais surtout tous deux rétabliront le règne de la religion et l'autorité de l'Eglise.
Sous le règne de ce grand Monarque, toute justice sera rendue. La religion catholique fleurira dans tout l'Univers, excepté dans la Palestine, pays de malédiction.
Plein de l'esprit de Dieu, il pèsera le mérite de chacun comme l'or dans la balance et il lui fera la plus scrupuleuse justice.
Ceux qui possèderont des biens volés seront les premiers à les rendre. Les biens nationaux seront ôtés à leurs acquéreurs.
Ensuite, il ne fera que prendre la couronne pour la placer sur la tête de son héritier direct.
Dieu, dans ce même temps, suscitera le Pontife saint qui, soutenu par le grand Monarque (appelé "Auxilium Dei"), exterminera toutes les sectes hérétiques, toutes les superstitions des gentils, répandra et fera briller plus que jamais le règne de l'Eglise catholique dans tout l'Univers, excepté dans l'infernale région de Palestine, pays de malédiction où doit naître l'Antéchrist.
Sous le règne du Grand Monarque, la religion sera honorée et Dieu glorifié comme il ne l´a pas été depuis des siècles ; la plus grande vertu sera observée dans le monde entier et la terre produira des fruits en abondance
Après la crise, malgré certaines oppositions faites par le clergé lui-même, tout finira par un Concile général et décisif auquel se soumettra tout l'Univers, jusqu'à la dernière persécution, celle de la Bête, ou de l'Antéchrist.
Ensuite, il n’y aura qu’un seul troupeau et qu’un seul pasteur, parce que tous les infidèles et tous les hérétiques, mais pas les juifs dont la masse ne se convertira qu’après la mort de la Bête, entreront dans l’Eglise latine, dont le triomphe se continuera jusqu’à la destruction de l’Antéchrist ».
Une pauvre femme de Maumusson, la femme Delanoue, a transmis encore, en 1842, ces trois recommandations de l’Abbé Souffrant :
« Tous les diocèses doivent être consacrés au Sacré-Cœur par leurs évêques. Celui de Paris doit faire vœu d’une église au Cœur de Jésus.
Il faut un certain nombre de victimes volontaires qui offre le sacrifice de leur vie pour l’Eglise et pour la France.
La chose la plus importante, c’est qu’il faut qu’avant les derniers bouleversements, où beaucoup de méchants périront et aussi des bons, que la miséricorde intervienne au-devant de la justice et que les prières soient faites dans toute l’Eglise, en particulier au Sacré-Cœur de Jésus, à la Très Sainte Vierge, à saint Joseph, à saint Michel Archange. Dieu n’attend plus que cela pour frapper et guérir ensuite ».
*** Commentaires : Cette prophétie de l'abbé Souffrant ne fait aucune référence à la survivance Paul VI.
Au contraire, elle nous indique que le saint pontife sera un moine français qui aura fait son séminaire dans l'Ouest de la France.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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L'abbé Souffrant.
(1828)
L’abbé Souffrant, ce prêtre humble et zélé, naquit en 1755. Ordonné prêtre, il débuta sa prêtrise, en 1780, comme vicaire de Maumusson, près d’Ancenis, au diocèse de Nantes. Il y brava la tourmente révolutionnaire, et en devint ensuite le curé. Il gouverna pendant près de cinquante ans sa paroisse de Maumusson. Malgré l’offre d’une cure plus importante, il ne voulut jamais le quitter et il y resta jusqu'à sa mort, en 1828.
« Le moment des grands événements sera proche lorsqu'on voyagera avec la plus grande rapidité. Je ne sais comment ces voyages se feront, mais je vois les voitures aller avec la vitesse de l’oiseau.
Les bouleversements seront épouvantables. La religion sera persécutée et ses ministres seront obligés de se cacher dans bien des endroits, au moins momentanément, les églises seront fermées encore un peu de temps.
En ce temps-là, un moine qui aura la paix dans son nom et dans son cœur, sera en prière ; il aura la même mission que Jeanne d’Arc…
Chassé de toutes parts, il viendra se réfugier dans son séminaire dans l’Ouest de la France, et le grand Roi que Dieu nous réserve, descendant du roi martyr…
Ils auront beaucoup de difficultés près de certains prélats.
Le grand Monarque qui sera des Lys, arrivera par le Midi de la France ; il sera amené par le Pontife Saint et par l'empereur de Russie, un prince du Nord qui se convertira. C'est surtout par les soins du Souverain Pontife que cet empereur sera déterminé à le reconnaître.
Un noble de la Loire-Inférieure – un général breton – sera appelé à prendre part aux évènements et il jouera un rôle important pour le rétablissement du saint Pontife et du grand Monarque. Il le ramènera.
La France, pacifiée la première, rendra le calme et la prospérité aux autres nations.
Le grand Monarque réformera tout, fera un code nouveau, une nouvelle noblesse, et tous ses actes seront si parfaits, que tous les autres souverains lui seront comme soumis.
Avec l'Empereur de Russie, il mettra fin à la confusion, à l'usurpation et à l'injustice dans toute l'Europe.
Mais surtout, tous deux rétabliront le règne de la religion et l’autorité de l’Eglise.
Ils auront tous deux une telle suprématie sur les autres puissances, qu'ils seront comme les deux seuls monarques.
Bien entendu que l'Empereur de Russie se convertira à la foi catholique d'une manière si éclatante, qu'il sera regardé comme un autre Constantin.
De concert avec lui le grand Monarque exterminera la race des hérétiques et des impies, rétablira l'ordre, et rendra à chacun son bien : "reddet cuique suum bonum".
Il n’y aura plus pour ainsi dire que deux empire en Europe, l’empire d’Orient et l’empire d’Occident.
La Russie se convertira et elle aidera la France à rendre la paix et la tranquillité au monde entier.
Mais surtout tous deux rétabliront le règne de la religion et l'autorité de l'Eglise.
Sous le règne de ce grand Monarque, toute justice sera rendue. La religion catholique fleurira dans tout l'Univers, excepté dans la Palestine, pays de malédiction.
Plein de l'esprit de Dieu, il pèsera le mérite de chacun comme l'or dans la balance et il lui fera la plus scrupuleuse justice.
Ceux qui possèderont des biens volés seront les premiers à les rendre. Les biens nationaux seront ôtés à leurs acquéreurs.
Ensuite, il ne fera que prendre la couronne pour la placer sur la tête de son héritier direct.
Dieu, dans ce même temps, suscitera le Pontife saint qui, soutenu par le grand Monarque (appelé "Auxilium Dei"), exterminera toutes les sectes hérétiques, toutes les superstitions des gentils, répandra et fera briller plus que jamais le règne de l'Eglise catholique dans tout l'Univers, excepté dans l'infernale région de Palestine, pays de malédiction où doit naître l'Antéchrist.
Sous le règne du Grand Monarque, la religion sera honorée et Dieu glorifié comme il ne l´a pas été depuis des siècles ; la plus grande vertu sera observée dans le monde entier et la terre produira des fruits en abondance
Après la crise, malgré certaines oppositions faites par le clergé lui-même, tout finira par un Concile général et décisif auquel se soumettra tout l'Univers, jusqu'à la dernière persécution, celle de la Bête, ou de l'Antéchrist.
Ensuite, il n’y aura qu’un seul troupeau et qu’un seul pasteur, parce que tous les infidèles et tous les hérétiques, mais pas les juifs dont la masse ne se convertira qu’après la mort de la Bête, entreront dans l’Eglise latine, dont le triomphe se continuera jusqu’à la destruction de l’Antéchrist ».
Une pauvre femme de Maumusson, la femme Delanoue, a transmis encore, en 1842, ces trois recommandations de l’Abbé Souffrant :
« Tous les diocèses doivent être consacrés au Sacré-Cœur par leurs évêques. Celui de Paris doit faire vœu d’une église au Cœur de Jésus.
Il faut un certain nombre de victimes volontaires qui offre le sacrifice de leur vie pour l’Eglise et pour la France.
La chose la plus importante, c’est qu’il faut qu’avant les derniers bouleversements, où beaucoup de méchants périront et aussi des bons, que la miséricorde intervienne au-devant de la justice et que les prières soient faites dans toute l’Eglise, en particulier au Sacré-Cœur de Jésus, à la Très Sainte Vierge, à saint Joseph, à saint Michel Archange. Dieu n’attend plus que cela pour frapper et guérir ensuite ».
*** Commentaires : Cette prophétie de l'abbé Souffrant ne fait aucune référence à la survivance Paul VI.
Au contraire, elle nous indique que le saint pontife sera un moine français qui aura fait son séminaire dans l'Ouest de la France.
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Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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La Religieuse Trappistine de N. D. des Gardes
(1828)
La religieuse trappistine de Notre Dame des Gardes, près de Chemillé, au diocèse d’Angers, est morte en odeur de sainteté, vers 1828. Elle avait trouvé refuge au sein d'une respectable famille contre la fureur des tyrans de 1793, qui, après l'avoir chassée de sa communauté, la faisaient rechercher pour l’ajouter comme tant d'autres au nombre de leurs victimes.
Le règne de la Terreur ayant cessé, cette religieuse passa dans un autre département où elle fut appelée pour aider à fonder un établissement en faveur des pauvres infirmes. L’une de ses visions est relatée dans "Le Tableau des Trois Époques" (Paris, 1829). La plupart de ces visions se sont réalisées littéralement. Voici les prédictions de cette religieuse.
" Cependant je vis de grands troubles dans cette Église ; ils n'ont été terminés que par un Concile général... Je vis ensuite un nuage épais qui se sépara en deux, et au milieu une clarté si vive et si brillante que je me trouvais hors de moi-même. Je voulus me retirer, ne me croyant pas digne de voir cette lumière ravissante, mais je me sentis retenue par une main et j'entendis une voix me dire : "Ne crains point, cette lumière est la figure de l'Église catholique, apostolique et romaine, dont on ne doit jamais se séparer. Tu as vu que le nuage s'est séparé en deux, qu'une partie a disparu à droite et l'autre à gauche : la partie du côté droit marque ceux des schismatiques qui ne reviendront pas ; la partie du côté gauche, celle des hérétiques que l'Église rejette de son sein. Tu vois au bas du nuage un grand lambeau qui se sépare de la lumière et qui tombe en terre : ce sont les prêtres corrompus, indignes du saint ministère. Ils sont rejetés de la sainte lumière que la perversité de leur cœur a éteinte. Alors je ne vis plus que la lumière qui me parut s'étendre dans tout l'univers".
En rendant compte d'une autre vision dans laquelle, la religieuse voyait deux personnages, elle entre dans les plus grands détails touchant les épreuves actuelles et le magnifique triomphe qui doit les suivre. Voici son récit :
« Le jour des Rois 1820, je pris pour mon sujet d'oraison le bonheur de ceux qui suivent le flambeau de la foi, comme les Mages avaient suivi l'étoile, et le malheur de ceux qui vivent sans foi. Il était quatre heures du matin, je ne sais ce que devint mon oraison, ni mes facultés naturelles, je les perdis toutes.
Je me trouvai transportée dans un lieu si vaste, qu'il me parut renfermer tout l'univers. Je vis pour la seconde fois ces deux grands arbres dont j'ai déjà parlé, mais ils me parurent bien plus grands que la première fois ; ils avaient des branches d'une étendue immense, mais ces branches étaient penchées vers la terre et paraissaient demi-mortes. Cependant, malgré leur peu de vigueur, ces arbres s'agitaient d'une manière si rapide et si irrégulière qu'ils faisaient trembler ; ils paraissaient vouloir tout envahir.
J'entendis des voix nombreuses qui criaient d'un ton horrible, et dans ce moment, je me crus demi-morte. Mais j'eus encore plus grand'peur quand j'entendis bien distinctement par trois fois les mêmes voix qui disaient :
"Nous sommes vainqueurs, nous avons la victoire !"
Au moment où les voix prononçaient ces paroles, tout d'un coup, je vis que le ciel devint une profonde nuit ; je n'avais jamais rien vu de si obscur. Cette obscurité fut accompagnée d'un tonnerre, ou plutôt il me semblait que le tonnerre venait à la fois des quatre parties de la terre.
Il m'est impossible de vous peindre quelle fut ma frayeur : le ciel devint tout en feu, il lançait de toute part des flèches enflammées ; il se faisait un bruit si terrible, qu'il paraissait annoncer la ruine entière du monde.
J'aperçus alors un gros nuage rouge couleur sang de bœuf ; ce nuage roulait de tous côtés et me donnait bien de l'inquiétude, ne sachant ce qu'il signifiait.
Cependant j'aperçus des multitudes d'hommes et de femmes qui avaient des figures à faire peur ; ils se livraient à toutes sortes de crimes ; ils vomissaient des blasphèmes horribles contre ce qu'il y a de plus sacré au ciel et sur la terre. J'en ressentis une si grande peine, que je l'éprouve encore en vous écrivant ceci !
Ce qui me surprit, ce fut de voir à la tête de ces malheureux quelques-uns de ceux qui par leur état doivent les porter au bien, et qui les poussaient au mal.
Il y en a un que je ne nommerai point, qui subira le même sort que les autres à cause de sa damnable philosophie ; le temps vous dira tout, quand ces crimes seront connus et punis.
Le tonnerre grondait toujours dans les airs d'une manière effrayante, lorsque j'entendis une voix qui me dit : "Ne crains point : mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère" ; ils disparaîtront dans un moment.
Tout l’univers sera étonné d'apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville ! je dis superbe par ses crimes, je l'ai en abomination!
Les deux arbres que tu vois, c'est elle qui les a enfantés ; leurs branches représentent toutes les nations qu'elle a empoisonnées par sa malheureuse philosophie qui répand partout l'impiété ; c'est cette maudite Babylone qui s'est enivrée du sang de mes saints ; elle veut encore le verser, et dans peu celui d'un prince...
Elle mettra le comble à ces terribles forfaits, et moi, je lui ferai boire le vin de ma colère ; tous les maux tomberont à la fois sur elle et dans un seul instant.
Je n'entendis plus la voix, mais un bruit effroyable ; le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et dans un Instant, elle fut tout en feu. Les flammes qui la dévoraient s'élevèrent dans les airs, et de suite je ne vis plus rien, qu'une vaste terre noire comme du charbon.
Après tout cela, le ciel s'éclaircit et, d'une nuit affreuse, je vis le plus beau jour que j'eusse jamais vu. Un doux printemps se faisait sentir, et tout paraissait dans l'ordre le plus parfait. Je vis des personnes de toutes qualités, qui étaient en si grand nombre, que c'était comme une fourmilière ; je n'ai jamais vu de figures si contentes ; elles avaient, je ne sais quoi qui inspirait la joie ; elles se tenaient là toutes dans un profond respect, et un silence général régnait, quand j'aperçus une grande place, autour de laquelle toutes ces personnes me parurent réunies.
Au milieu de cette place, je vis une tige semblable à une belle pyramide, dont la cime paraissait s'élever jusqu'au ciel. Il y avait d'autres tiges tout autour de celle-là ; de distance en distance et comme par étages, elles étaient toutes garnies de feuilles d'un vert velouté et d'un brillant admirable ; entre ces feuilles, il y avait des fleurs, les unes d'un rouge éclatant, les autres d'une blancheur non pareille ; tout cela donnait un coup d'œil charmant.
Sur la cime de la principale tige était un gros globe qui me parut d'un or très pur, et une colombe, blanche comme la neige, voltigeait au-dessus. — J'admirais tout cela, lorsque j'entendis un chant si mélodieux, qu'il me semblait venir du ciel et que j'en fus toute ravie ; au même instant, j'aperçus une nombreuse procession de tous les ordres religieux et ecclésiastiques, c'est-à-dire des prêtres, des évêques, des archevêques, des cardinaux, enfin de tous les ordres.
De ce nombre, deux surtout fixèrent mon attention ; ils avaient l'air tout remplis de l'amour de Dieu. — Il y en avait un dont je ne connaissais pas le costume ; l'autre était à côté de lui dans une posture respectueuse, c'est-à-dire à genoux. Dans ce moment, je vis la colombe, qui était sur la cime de la tige, venir se reposer sur la tête de celui dont le costume m'était inconnu (le Pape), lequel mit la main sur la tête de celui qui était à genoux (le Grand Monarque), et alors la colombe vint aussi se reposer sur la tête de celui-ci, puis retourna sur l'autre ; tout le monde, chacun selon son rang, entourait la personne sacrée du Pontife ; les principaux l'approchaient de plus prêt.
La tige en forme de pyramide, présentait quatre portes principales à ses quatre façades. Le chant continuait toujours ; il s'y mêlait des cris d'allégresse, mais sans confusion ; ils disaient : "Gloire à Dieu dans les cieux, et paix sur la terre ! Vive la religion dans tous les cœurs ! Vive le Pape ! Vive le Grand Monarque, le soutien de la Religion !"
Ensuite la procession s'avança vers les portes du midi et du couchant, et sortit par les portes du levant et du nord, continuant de faire entendre le chant le plus mélodieux. Dans cette multitude sans nombre, il y avait des personnes de plusieurs royaumes, mais elles n'avaient toutes qu'un cœur, un même esprit et une même volonté.
Pleine d'admiration à ce spectacle ravissant, je m'écriais : "Quand viendront ces heureux jours ?" J'entendis une vois me dire d'un ton plein de bonté : "Console-toi, ils arriveront quand mes volontés seront accomplies !" Je ne vis plus rien que ma chambre ; il était six heures ».
*** Commentaires : Cette prophétie de La Religieuse Trappistine de N. D. des Gardes ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. Au contraire, cette prophétie nous parle de deux personnes, le Saints Pontife et le Grand monarque qui reçoivent pour leur consécration, une onction de l'Esprit Saint qui se manifeste sous la forme d'une colombe.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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La Religieuse Trappistine de N. D. des Gardes
(1828)
La religieuse trappistine de Notre Dame des Gardes, près de Chemillé, au diocèse d’Angers, est morte en odeur de sainteté, vers 1828. Elle avait trouvé refuge au sein d'une respectable famille contre la fureur des tyrans de 1793, qui, après l'avoir chassée de sa communauté, la faisaient rechercher pour l’ajouter comme tant d'autres au nombre de leurs victimes.
Le règne de la Terreur ayant cessé, cette religieuse passa dans un autre département où elle fut appelée pour aider à fonder un établissement en faveur des pauvres infirmes. L’une de ses visions est relatée dans "Le Tableau des Trois Époques" (Paris, 1829). La plupart de ces visions se sont réalisées littéralement. Voici les prédictions de cette religieuse.
" Cependant je vis de grands troubles dans cette Église ; ils n'ont été terminés que par un Concile général... Je vis ensuite un nuage épais qui se sépara en deux, et au milieu une clarté si vive et si brillante que je me trouvais hors de moi-même. Je voulus me retirer, ne me croyant pas digne de voir cette lumière ravissante, mais je me sentis retenue par une main et j'entendis une voix me dire : "Ne crains point, cette lumière est la figure de l'Église catholique, apostolique et romaine, dont on ne doit jamais se séparer. Tu as vu que le nuage s'est séparé en deux, qu'une partie a disparu à droite et l'autre à gauche : la partie du côté droit marque ceux des schismatiques qui ne reviendront pas ; la partie du côté gauche, celle des hérétiques que l'Église rejette de son sein. Tu vois au bas du nuage un grand lambeau qui se sépare de la lumière et qui tombe en terre : ce sont les prêtres corrompus, indignes du saint ministère. Ils sont rejetés de la sainte lumière que la perversité de leur cœur a éteinte. Alors je ne vis plus que la lumière qui me parut s'étendre dans tout l'univers".
En rendant compte d'une autre vision dans laquelle, la religieuse voyait deux personnages, elle entre dans les plus grands détails touchant les épreuves actuelles et le magnifique triomphe qui doit les suivre. Voici son récit :
« Le jour des Rois 1820, je pris pour mon sujet d'oraison le bonheur de ceux qui suivent le flambeau de la foi, comme les Mages avaient suivi l'étoile, et le malheur de ceux qui vivent sans foi. Il était quatre heures du matin, je ne sais ce que devint mon oraison, ni mes facultés naturelles, je les perdis toutes.
Je me trouvai transportée dans un lieu si vaste, qu'il me parut renfermer tout l'univers. Je vis pour la seconde fois ces deux grands arbres dont j'ai déjà parlé, mais ils me parurent bien plus grands que la première fois ; ils avaient des branches d'une étendue immense, mais ces branches étaient penchées vers la terre et paraissaient demi-mortes. Cependant, malgré leur peu de vigueur, ces arbres s'agitaient d'une manière si rapide et si irrégulière qu'ils faisaient trembler ; ils paraissaient vouloir tout envahir.
J'entendis des voix nombreuses qui criaient d'un ton horrible, et dans ce moment, je me crus demi-morte. Mais j'eus encore plus grand'peur quand j'entendis bien distinctement par trois fois les mêmes voix qui disaient :
"Nous sommes vainqueurs, nous avons la victoire !"
Au moment où les voix prononçaient ces paroles, tout d'un coup, je vis que le ciel devint une profonde nuit ; je n'avais jamais rien vu de si obscur. Cette obscurité fut accompagnée d'un tonnerre, ou plutôt il me semblait que le tonnerre venait à la fois des quatre parties de la terre.
Il m'est impossible de vous peindre quelle fut ma frayeur : le ciel devint tout en feu, il lançait de toute part des flèches enflammées ; il se faisait un bruit si terrible, qu'il paraissait annoncer la ruine entière du monde.
J'aperçus alors un gros nuage rouge couleur sang de bœuf ; ce nuage roulait de tous côtés et me donnait bien de l'inquiétude, ne sachant ce qu'il signifiait.
Cependant j'aperçus des multitudes d'hommes et de femmes qui avaient des figures à faire peur ; ils se livraient à toutes sortes de crimes ; ils vomissaient des blasphèmes horribles contre ce qu'il y a de plus sacré au ciel et sur la terre. J'en ressentis une si grande peine, que je l'éprouve encore en vous écrivant ceci !
Ce qui me surprit, ce fut de voir à la tête de ces malheureux quelques-uns de ceux qui par leur état doivent les porter au bien, et qui les poussaient au mal.
Il y en a un que je ne nommerai point, qui subira le même sort que les autres à cause de sa damnable philosophie ; le temps vous dira tout, quand ces crimes seront connus et punis.
Le tonnerre grondait toujours dans les airs d'une manière effrayante, lorsque j'entendis une voix qui me dit : "Ne crains point : mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère" ; ils disparaîtront dans un moment.
Tout l’univers sera étonné d'apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville ! je dis superbe par ses crimes, je l'ai en abomination!
Les deux arbres que tu vois, c'est elle qui les a enfantés ; leurs branches représentent toutes les nations qu'elle a empoisonnées par sa malheureuse philosophie qui répand partout l'impiété ; c'est cette maudite Babylone qui s'est enivrée du sang de mes saints ; elle veut encore le verser, et dans peu celui d'un prince...
Elle mettra le comble à ces terribles forfaits, et moi, je lui ferai boire le vin de ma colère ; tous les maux tomberont à la fois sur elle et dans un seul instant.
Je n'entendis plus la voix, mais un bruit effroyable ; le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et dans un Instant, elle fut tout en feu. Les flammes qui la dévoraient s'élevèrent dans les airs, et de suite je ne vis plus rien, qu'une vaste terre noire comme du charbon.
Après tout cela, le ciel s'éclaircit et, d'une nuit affreuse, je vis le plus beau jour que j'eusse jamais vu. Un doux printemps se faisait sentir, et tout paraissait dans l'ordre le plus parfait. Je vis des personnes de toutes qualités, qui étaient en si grand nombre, que c'était comme une fourmilière ; je n'ai jamais vu de figures si contentes ; elles avaient, je ne sais quoi qui inspirait la joie ; elles se tenaient là toutes dans un profond respect, et un silence général régnait, quand j'aperçus une grande place, autour de laquelle toutes ces personnes me parurent réunies.
Au milieu de cette place, je vis une tige semblable à une belle pyramide, dont la cime paraissait s'élever jusqu'au ciel. Il y avait d'autres tiges tout autour de celle-là ; de distance en distance et comme par étages, elles étaient toutes garnies de feuilles d'un vert velouté et d'un brillant admirable ; entre ces feuilles, il y avait des fleurs, les unes d'un rouge éclatant, les autres d'une blancheur non pareille ; tout cela donnait un coup d'œil charmant.
Sur la cime de la principale tige était un gros globe qui me parut d'un or très pur, et une colombe, blanche comme la neige, voltigeait au-dessus. — J'admirais tout cela, lorsque j'entendis un chant si mélodieux, qu'il me semblait venir du ciel et que j'en fus toute ravie ; au même instant, j'aperçus une nombreuse procession de tous les ordres religieux et ecclésiastiques, c'est-à-dire des prêtres, des évêques, des archevêques, des cardinaux, enfin de tous les ordres.
De ce nombre, deux surtout fixèrent mon attention ; ils avaient l'air tout remplis de l'amour de Dieu. — Il y en avait un dont je ne connaissais pas le costume ; l'autre était à côté de lui dans une posture respectueuse, c'est-à-dire à genoux. Dans ce moment, je vis la colombe, qui était sur la cime de la tige, venir se reposer sur la tête de celui dont le costume m'était inconnu (le Pape), lequel mit la main sur la tête de celui qui était à genoux (le Grand Monarque), et alors la colombe vint aussi se reposer sur la tête de celui-ci, puis retourna sur l'autre ; tout le monde, chacun selon son rang, entourait la personne sacrée du Pontife ; les principaux l'approchaient de plus prêt.
La tige en forme de pyramide, présentait quatre portes principales à ses quatre façades. Le chant continuait toujours ; il s'y mêlait des cris d'allégresse, mais sans confusion ; ils disaient : "Gloire à Dieu dans les cieux, et paix sur la terre ! Vive la religion dans tous les cœurs ! Vive le Pape ! Vive le Grand Monarque, le soutien de la Religion !"
Ensuite la procession s'avança vers les portes du midi et du couchant, et sortit par les portes du levant et du nord, continuant de faire entendre le chant le plus mélodieux. Dans cette multitude sans nombre, il y avait des personnes de plusieurs royaumes, mais elles n'avaient toutes qu'un cœur, un même esprit et une même volonté.
Pleine d'admiration à ce spectacle ravissant, je m'écriais : "Quand viendront ces heureux jours ?" J'entendis une vois me dire d'un ton plein de bonté : "Console-toi, ils arriveront quand mes volontés seront accomplies !" Je ne vis plus rien que ma chambre ; il était six heures ».
*** Commentaires : Cette prophétie de La Religieuse Trappistine de N. D. des Gardes ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. Au contraire, cette prophétie nous parle de deux personnes, le Saints Pontife et le Grand monarque qui reçoivent pour leur consécration, une onction de l'Esprit Saint qui se manifeste sous la forme d'une colombe.
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Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Une religieuse inconnue
(1830-10-25)
Voici la prophétie d’une religieuse qui a souhaité conserver son anonymat. Ces prédictions furent imprimées et publiées, pour la première fois, en 1832, par fragments d'un manuscrit.
Méditation du 25 octobre 1830 :
« Je trouve quelques passages de l'Ecriture Sainte qui disent : Détruisez la sagesse de la sagesse, et je rejetterai la science des savants ; que sont devenus les sages, que sont devenus ces esprits curieux des sciences de ce siècle ? Dieu n'est-il pas convaincu de la folle sagesse de ce monde ; ils sont inexcusables, parce qu'ayant connu Dieu, ils ne l'ont pas glorifié, mais ils se sont égarés dans leurs vains raisonnements. Quel est donc votre aveuglement, insensés assez ingrats pour outrager votre bienfaiteur. Qui peut, ô mon Dieu, raconter les merveilles de la foi sans renoncer à l'erreur. L'erreur sort de ces cavernes sombres. Point de paix pour l'impie, ô victime salutaire qui nous ouvrez la porte du sanctuaire éternel, donnez-nous la force de vaincre, et venez à notre secours. Gloire vous soit rendue, ô mon Dieu, qui nous avez promis le petit-fils de Saint Louis, il mettra fin à tous nos maux. Il sera élevé en gloire par une seconde reine Blanche, qui lui inspirera toutes les vertus. Charles X, son aïeul, ce roi si vertueux, son oncle, son auguste tante, cet ange de souffrances qui vous est si agréable, ô mon Dieu ! et qui aideront de leurs conseils le Fils de France. Vous dites, Seigneur, père et mère honoreras, afin que tu vives longuement. Il honorera ses chers parents afin de nous apprendre à honorer les nôtres ; il vous adorera , afin de nous apprendre à vous adorer; il vous aimera pour nous apprendre à vous aimer. Que de grâces j'aperçois dans ce jeune coeur, qui possèdera toutes les vertus pour nous faire aimer la vertu. Ce prince doit tout réparer et être le sauveur de la France.
Et encore cinq ans après, au mois d’octobre, je rendais grâce à Dieu de la promesse qu’il m’avait faite quatre ans auparavant.
Et je disais au Seigneur : " Seigneur, votre parole est véritable. Ce prince vous adorera, afin de nous apprendre à vous adorer ; et il vous aimera, Seigneur, pour que nous sachions vous aimer ".
Et je reçus cette réponse : " Il sera le réparateur et le sauveur de ma Patrie ; voici ce qu’il faut désirer, ma fille, qu'il soit doux et humble de coeur. Je lui donnerai toute puissance sur la terre. Il marchera à ma droite jusqu’à ce que je réduise ses ennemis à le servir. Et le sceptre lui sera donné pour défendre l’Autel et le Trône. Lorsqu'il paraîtra avec la puissance qu’il pourra exercer, ses ennemis trembleront au jour de sa force. Le Seigneur l'a promis. Il ne rétractera pas sa parole. Il sera le Roi fort ; il marchera avec le Pape Saint. L'un ne peut se soutenir sans l'autre. Il gagnera les nations, et il les changera en de vrais adorateurs.
Je lui donnerai toute puissance sur la terre. Il marchera à ma droite jusqu’à ce que je réduise ses ennemis à le servir. Et le sceptre lui sera donné pour défendre l’Autel et le Trône ; et ses ennemis tomberont au jour de sa force. Il sera le Roi fort ; il marchera avec le Pape Saint. Il gagnera les nations, et il les changera en de vrais adorateurs ".
Et la voix du Seigneur me dit encore : " Et tous ceux qui font souffrir des maux à mes serviteurs, seront chassés de mon sein loin de moi. Ils seront regardés comme des insensés qui ont dit dans leurs cœurs : " Il n'y a point de Dieu ! " : Ils se sont rendus abominables par leurs démarches, il n'y en a pas un seul qui fasse le bien...
Or, j’aveuglerais ces ouvriers d’iniquité. Ils ne sauront pas s’entendre et ils se révolteront les uns contre les autres ».
*** Commentaires : Cette prophétie de la religieuse inconnue ne fait aucune référence à la survivance Paul VI.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Une religieuse inconnue
(1830-10-25)
Voici la prophétie d’une religieuse qui a souhaité conserver son anonymat. Ces prédictions furent imprimées et publiées, pour la première fois, en 1832, par fragments d'un manuscrit.
Méditation du 25 octobre 1830 :
« Je trouve quelques passages de l'Ecriture Sainte qui disent : Détruisez la sagesse de la sagesse, et je rejetterai la science des savants ; que sont devenus les sages, que sont devenus ces esprits curieux des sciences de ce siècle ? Dieu n'est-il pas convaincu de la folle sagesse de ce monde ; ils sont inexcusables, parce qu'ayant connu Dieu, ils ne l'ont pas glorifié, mais ils se sont égarés dans leurs vains raisonnements. Quel est donc votre aveuglement, insensés assez ingrats pour outrager votre bienfaiteur. Qui peut, ô mon Dieu, raconter les merveilles de la foi sans renoncer à l'erreur. L'erreur sort de ces cavernes sombres. Point de paix pour l'impie, ô victime salutaire qui nous ouvrez la porte du sanctuaire éternel, donnez-nous la force de vaincre, et venez à notre secours. Gloire vous soit rendue, ô mon Dieu, qui nous avez promis le petit-fils de Saint Louis, il mettra fin à tous nos maux. Il sera élevé en gloire par une seconde reine Blanche, qui lui inspirera toutes les vertus. Charles X, son aïeul, ce roi si vertueux, son oncle, son auguste tante, cet ange de souffrances qui vous est si agréable, ô mon Dieu ! et qui aideront de leurs conseils le Fils de France. Vous dites, Seigneur, père et mère honoreras, afin que tu vives longuement. Il honorera ses chers parents afin de nous apprendre à honorer les nôtres ; il vous adorera , afin de nous apprendre à vous adorer; il vous aimera pour nous apprendre à vous aimer. Que de grâces j'aperçois dans ce jeune coeur, qui possèdera toutes les vertus pour nous faire aimer la vertu. Ce prince doit tout réparer et être le sauveur de la France.
Et encore cinq ans après, au mois d’octobre, je rendais grâce à Dieu de la promesse qu’il m’avait faite quatre ans auparavant.
Et je disais au Seigneur : " Seigneur, votre parole est véritable. Ce prince vous adorera, afin de nous apprendre à vous adorer ; et il vous aimera, Seigneur, pour que nous sachions vous aimer ".
Et je reçus cette réponse : " Il sera le réparateur et le sauveur de ma Patrie ; voici ce qu’il faut désirer, ma fille, qu'il soit doux et humble de coeur. Je lui donnerai toute puissance sur la terre. Il marchera à ma droite jusqu’à ce que je réduise ses ennemis à le servir. Et le sceptre lui sera donné pour défendre l’Autel et le Trône. Lorsqu'il paraîtra avec la puissance qu’il pourra exercer, ses ennemis trembleront au jour de sa force. Le Seigneur l'a promis. Il ne rétractera pas sa parole. Il sera le Roi fort ; il marchera avec le Pape Saint. L'un ne peut se soutenir sans l'autre. Il gagnera les nations, et il les changera en de vrais adorateurs.
Je lui donnerai toute puissance sur la terre. Il marchera à ma droite jusqu’à ce que je réduise ses ennemis à le servir. Et le sceptre lui sera donné pour défendre l’Autel et le Trône ; et ses ennemis tomberont au jour de sa force. Il sera le Roi fort ; il marchera avec le Pape Saint. Il gagnera les nations, et il les changera en de vrais adorateurs ".
Et la voix du Seigneur me dit encore : " Et tous ceux qui font souffrir des maux à mes serviteurs, seront chassés de mon sein loin de moi. Ils seront regardés comme des insensés qui ont dit dans leurs cœurs : " Il n'y a point de Dieu ! " : Ils se sont rendus abominables par leurs démarches, il n'y en a pas un seul qui fasse le bien...
Or, j’aveuglerais ces ouvriers d’iniquité. Ils ne sauront pas s’entendre et ils se révolteront les uns contre les autres ».
*** Commentaires : Cette prophétie de la religieuse inconnue ne fait aucune référence à la survivance Paul VI.
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Her- Messages : 9481
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Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Sainte Anna-Maria Taïgi
(1837)
Anna-Maria-Antonia-Jésualda Gianetti, épouse Taïgi, naquit à Sienne, le 30 mai 1769, de parents honnêtes ; Elle se maria à Rome où elle vécut et mourut en 1837. Elle s’offrit à Dieu en victime et souffrit beaucoup. Dieu ne prend pas que des religieuses ou des religieux pour faire accomplir sa mission car Anna Maria Taïgi est une mère de famille qui a eu sept enfants et de nombreux petits-enfants. Ses connaissances religieuses ne dépassaient celles du catéchisme élémentaire, or, c’est à cette femme que Dieu va accorder ses faveurs. Lors de sa réception comme membre du Tiers-Ordre de la Sainte Trinité, la bienheureuse s'était offerte comme victime expiatrice pour les péchés du monde.
Voici, d'après les documents et les communications authentiques, quelques vues prophétiques de cette sainte femme :
« Anna-Maria parlait souvent au prêtre, son confident, de la persécution que l'Église devait traverser, et de la malheureuse époque où l'on verrait une foule de gens que l'on croyait estimables se démasquer. Elle demanda quelquefois à Dieu quels seraient ceux qui résisteraient à cette terrible épreuve ? Il lui fut répondu : "Ceux à qui j'accorderai l'esprit d'humilité". C'est pour cela que la servante de Dieu établit dans sa famille l'usage de réciter après le Rosaire du soir trois Pater, trois Ave et trois Gloria Patri en l'honneur de la Sainte Trinité, afin d'obtenir la mitigation du fléau que la justice divine réserve à nos temps malheureux ».
Un jour de 1818, parlant des prochains fléaux de la terre, des futurs fléaux du ciel, elle précisa qu’ils pourraient, les uns et les autres, être atténués par les prières des âmes pieuses. Anne-Marie prédit que des millions d’hommes sont appelés à mourir par une main de fer, qu’un grand nombre mourront à l’occasion de guerres, de litiges, par traîtrise, et d’autres millions, par des morts imprévues. Des nations entières arriveraient ensuite à l’unité de l’Église catholique. Plusieurs turcs, païens et juifs, se convertiront, en demeurant tout confus devant les Chrétiens, admirant leur ferveur et l’exactitude de leur vie. Elle me dit plusieurs fois que le Seigneur lui fit voir dans le mystérieux soleil, le triomphe et la joie universelle de la nouvelle Eglise, si grands et si surprenants, qu’elle ne pouvait pas l’expliquer.
Anne sera, dans la suite, encore plus précise. Elle indique, en une autre occasion, au chanoine Raymond Pigliacelli, que des temps difficiles s’annoncent pour l’Eglise. À la question du prélat qui porte sur l’identité du pape qui régnera en cette période de mésaventures, Anne répond :
« Le pontife qui régnera, en sera un qui n’est même pas cardinal. De plus, il ne demeurera pas à Rome ».
Elle confirma, quelque temps après, ses propos, à Mgr Imatali, à qui elle avait indiqué la façon de faire face à la persécution que subirait l’église de Rome, à l’intérieur de laquelle l’iniquité serait triomphante :
« Dieu exigera un Pontife saint, choisi selon son coeur, et à qui il communiquerait des lumières tout à fait spéciales ; que celui-ci serait élu d’une manière extraordinaire, qu’il serait assisté et protégé par Dieu, d’une façon particulière, que son nom répandu dans tout l’univers, serait applaudi par les peuples et craint par les rois. Le Turc lui-même le vénérera, demandera à le féliciter. Il fera des réformes. Il instruira le peuple, recevra des secours de toutes parts. Les impies seront écrasés et humiliés, beaucoup d’hérétiques, sous son pontificat, retourneront à l’unité de la Sainte église Catholique Romaine ».
Elle annonça une succession d’événements funestes qui conduiront au triomphe de l’Eglise :
« 1°) Il n'y aura pas un grand nombre de Papes avant la fin des temps, mais elle n'a pas voulu en fixer le nombre.
2°) Les impies déclencheront une grande révolution à Rome, et le conducteur de la Barque de Pierre aura alors beaucoup à en souffrir.
3°) Dieu enverra un double châtiment : le premier part de la terre, à savoir des guerres, des révolutions et d’autres maux. Les religieux seront persécutés et les prêtres massacrés. Les églises seront fermées, mais seulement pour peu de temps. Le Saint Père sera obligé de quitter Rome.
4°) La France sombrera dans une anarchie effroyable. Les Français s’affronteront en une guerre civile désespérée. Les parties politiques, ayant finalement épuisé leur fureur et leur sang sans avoir obtenu le résultat escompté, accepteront en dernière extrémité et d’un commun accord, d’avoir recours à la médiation du Saint-Siège.
5°) L'autre châtiment part du ciel. L’air sera alors empesté par les démons qui apparaîtront sous toutes sortes de formes hideuses. Celle-ci empêchera de voir quoique ce soit. Des ténèbres pestilentielles, horribles, peuplées de visions effroyables envelopperaient la terre pendant trois jours. Ces ténèbres feront mourir surtout les ennemis hypocrites ou avoués de la sainte Eglise de Jésus-Christ. Tant que durera l’obscurité, il sera impossible de faire de la lumière ; à ce sujet Anna-Maria a laissé des conseils aux fidèles, et, parmi ces conseils, on remarque celui de se munir de cierges bénits, parce que leur lumière seule luira dans l'obscurité. Seuls, les cierges bénits préserveront de la mort, ainsi que les prières à la Sainte Vierge et aux saints Anges. Quiconque ouvrira la fenêtre par curiosité et regardera dehors ou bien sortira de sa maison, tombera aussitôt raide mort. En ces jours-là, tous doivent rester chez eux, réciter le rosaire et implorer la miséricorde divine. Tous les ennemis de l’Eglise, cachés ou apparents, périront pendant les ténèbres, à l’exception de quelques-uns que Dieu convertira bientôt après. Le fléau de la terre a pu être mitigé par les prières, mais non celui du ciel, qui sera épouvantable et universel. Le Seigneur ne l’a communiqué à aucune âme. Il viendra à l’improviste.
6°) Qu'après les ténèbres, une apparition céleste viendra rassurer les fidèles : saint Pierre et saint Paul se montreront sur les nuées et descendront des cieux, et tous les hommes verront, et la foi au surnaturel rentrera dans leur coeur. Ils prêcheront dans tout l’univers et d'innombrables conversions d'hérétiques doivent s'opérer avec grande édification. Enfin, ils désigneront le Pape ; une grande lumière, jaillissant de leurs personnes, ira se déposer sur le futur saint Pontife.
7°) Au moment de son élection, le futur Pontife sera encore simple prêtre, et se trouvera dans des contrées lointaines. Le Pontife choisi selon le cœur de Dieu, sera assisté par Lui de lumières toutes spéciales. Il serait élu d'une manière extraordinaire. Son nom sera divulgué, vénéré dans le monde et applaudi par tous les peuples. Le Turc lui-même le vénérerait et l'enverrait complimenter.
8°) Ce Pape est le Pontife saint destiné à soutenir la Barque de Saint Pierre contre la tempête déchaînée. Le bras de Dieu le soutiendra et le défendra contre les impies, lesquels seront humiliés et confondus ; il fera de nombreuses réformes. Si les hommes lui en seront reconnaissants, le Seigneur les comblera de bénédictions ; mais s'ils en abusaient, son bras tout-puissant s'appesantirait sur eux pour les punir. À la fin, qu’il aura le don des miracles et que son règne durerait vingt-sept ans et environ six mois.
9°) Enfin l'Eglise, après avoir traversé plusieurs douloureuses épreuves, remportera un triomphe si éclatant que les hommes en seront stupéfaits. La religion chrétienne se répandra partout et il n’y aura plus qu’un Pasteur.
10°) En ces temps-là, La Russie et l’Angleterre se soumettront, la Chine se convertira et des nations entières reviendront à l’unité de la foi et la face de la terre sera renouvelée par l’Esprit-Saint.
11°) Saint Michel Archange, paraissant sur la terre sous forme humaine, tiendra les démons enchaînés jusqu’à l’époque de la prédication de l’Antéchrist ».
Un jour, sainte Anna-Maria Taïgi, répondit au Seigneur :
« Mais Seigneur, deux cents ans ne sont guère suffisants pour que tout ceci arrive ».
Jésus répondit :
« Cela ne sera pas aussi long que vous le croyez ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Sainte Anna-Maria Taïgi ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. Au contraire, elle annonce que lors de sa désignation et de son élection miraculeuse comme Pape, le futur Saint Pontife ne sera ni Cardinal, ni Evêque (encore moins Pape), mais il sera un simple prêtre, non Italien ; et du fait de la destruction de Rome, il règnera hors de Rome, depuis l'étranger (en France). Son nom sera divulgué, vénéré dans le monde et applaudi par tous les peuples. Le Turc lui-même le vénérerait et l'enverrait complimenter.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Sainte Anna-Maria Taïgi
(1837)
Anna-Maria-Antonia-Jésualda Gianetti, épouse Taïgi, naquit à Sienne, le 30 mai 1769, de parents honnêtes ; Elle se maria à Rome où elle vécut et mourut en 1837. Elle s’offrit à Dieu en victime et souffrit beaucoup. Dieu ne prend pas que des religieuses ou des religieux pour faire accomplir sa mission car Anna Maria Taïgi est une mère de famille qui a eu sept enfants et de nombreux petits-enfants. Ses connaissances religieuses ne dépassaient celles du catéchisme élémentaire, or, c’est à cette femme que Dieu va accorder ses faveurs. Lors de sa réception comme membre du Tiers-Ordre de la Sainte Trinité, la bienheureuse s'était offerte comme victime expiatrice pour les péchés du monde.
Voici, d'après les documents et les communications authentiques, quelques vues prophétiques de cette sainte femme :
« Anna-Maria parlait souvent au prêtre, son confident, de la persécution que l'Église devait traverser, et de la malheureuse époque où l'on verrait une foule de gens que l'on croyait estimables se démasquer. Elle demanda quelquefois à Dieu quels seraient ceux qui résisteraient à cette terrible épreuve ? Il lui fut répondu : "Ceux à qui j'accorderai l'esprit d'humilité". C'est pour cela que la servante de Dieu établit dans sa famille l'usage de réciter après le Rosaire du soir trois Pater, trois Ave et trois Gloria Patri en l'honneur de la Sainte Trinité, afin d'obtenir la mitigation du fléau que la justice divine réserve à nos temps malheureux ».
Un jour de 1818, parlant des prochains fléaux de la terre, des futurs fléaux du ciel, elle précisa qu’ils pourraient, les uns et les autres, être atténués par les prières des âmes pieuses. Anne-Marie prédit que des millions d’hommes sont appelés à mourir par une main de fer, qu’un grand nombre mourront à l’occasion de guerres, de litiges, par traîtrise, et d’autres millions, par des morts imprévues. Des nations entières arriveraient ensuite à l’unité de l’Église catholique. Plusieurs turcs, païens et juifs, se convertiront, en demeurant tout confus devant les Chrétiens, admirant leur ferveur et l’exactitude de leur vie. Elle me dit plusieurs fois que le Seigneur lui fit voir dans le mystérieux soleil, le triomphe et la joie universelle de la nouvelle Eglise, si grands et si surprenants, qu’elle ne pouvait pas l’expliquer.
Anne sera, dans la suite, encore plus précise. Elle indique, en une autre occasion, au chanoine Raymond Pigliacelli, que des temps difficiles s’annoncent pour l’Eglise. À la question du prélat qui porte sur l’identité du pape qui régnera en cette période de mésaventures, Anne répond :
« Le pontife qui régnera, en sera un qui n’est même pas cardinal. De plus, il ne demeurera pas à Rome ».
Elle confirma, quelque temps après, ses propos, à Mgr Imatali, à qui elle avait indiqué la façon de faire face à la persécution que subirait l’église de Rome, à l’intérieur de laquelle l’iniquité serait triomphante :
« Dieu exigera un Pontife saint, choisi selon son coeur, et à qui il communiquerait des lumières tout à fait spéciales ; que celui-ci serait élu d’une manière extraordinaire, qu’il serait assisté et protégé par Dieu, d’une façon particulière, que son nom répandu dans tout l’univers, serait applaudi par les peuples et craint par les rois. Le Turc lui-même le vénérera, demandera à le féliciter. Il fera des réformes. Il instruira le peuple, recevra des secours de toutes parts. Les impies seront écrasés et humiliés, beaucoup d’hérétiques, sous son pontificat, retourneront à l’unité de la Sainte église Catholique Romaine ».
Elle annonça une succession d’événements funestes qui conduiront au triomphe de l’Eglise :
« 1°) Il n'y aura pas un grand nombre de Papes avant la fin des temps, mais elle n'a pas voulu en fixer le nombre.
2°) Les impies déclencheront une grande révolution à Rome, et le conducteur de la Barque de Pierre aura alors beaucoup à en souffrir.
3°) Dieu enverra un double châtiment : le premier part de la terre, à savoir des guerres, des révolutions et d’autres maux. Les religieux seront persécutés et les prêtres massacrés. Les églises seront fermées, mais seulement pour peu de temps. Le Saint Père sera obligé de quitter Rome.
4°) La France sombrera dans une anarchie effroyable. Les Français s’affronteront en une guerre civile désespérée. Les parties politiques, ayant finalement épuisé leur fureur et leur sang sans avoir obtenu le résultat escompté, accepteront en dernière extrémité et d’un commun accord, d’avoir recours à la médiation du Saint-Siège.
5°) L'autre châtiment part du ciel. L’air sera alors empesté par les démons qui apparaîtront sous toutes sortes de formes hideuses. Celle-ci empêchera de voir quoique ce soit. Des ténèbres pestilentielles, horribles, peuplées de visions effroyables envelopperaient la terre pendant trois jours. Ces ténèbres feront mourir surtout les ennemis hypocrites ou avoués de la sainte Eglise de Jésus-Christ. Tant que durera l’obscurité, il sera impossible de faire de la lumière ; à ce sujet Anna-Maria a laissé des conseils aux fidèles, et, parmi ces conseils, on remarque celui de se munir de cierges bénits, parce que leur lumière seule luira dans l'obscurité. Seuls, les cierges bénits préserveront de la mort, ainsi que les prières à la Sainte Vierge et aux saints Anges. Quiconque ouvrira la fenêtre par curiosité et regardera dehors ou bien sortira de sa maison, tombera aussitôt raide mort. En ces jours-là, tous doivent rester chez eux, réciter le rosaire et implorer la miséricorde divine. Tous les ennemis de l’Eglise, cachés ou apparents, périront pendant les ténèbres, à l’exception de quelques-uns que Dieu convertira bientôt après. Le fléau de la terre a pu être mitigé par les prières, mais non celui du ciel, qui sera épouvantable et universel. Le Seigneur ne l’a communiqué à aucune âme. Il viendra à l’improviste.
6°) Qu'après les ténèbres, une apparition céleste viendra rassurer les fidèles : saint Pierre et saint Paul se montreront sur les nuées et descendront des cieux, et tous les hommes verront, et la foi au surnaturel rentrera dans leur coeur. Ils prêcheront dans tout l’univers et d'innombrables conversions d'hérétiques doivent s'opérer avec grande édification. Enfin, ils désigneront le Pape ; une grande lumière, jaillissant de leurs personnes, ira se déposer sur le futur saint Pontife.
7°) Au moment de son élection, le futur Pontife sera encore simple prêtre, et se trouvera dans des contrées lointaines. Le Pontife choisi selon le cœur de Dieu, sera assisté par Lui de lumières toutes spéciales. Il serait élu d'une manière extraordinaire. Son nom sera divulgué, vénéré dans le monde et applaudi par tous les peuples. Le Turc lui-même le vénérerait et l'enverrait complimenter.
8°) Ce Pape est le Pontife saint destiné à soutenir la Barque de Saint Pierre contre la tempête déchaînée. Le bras de Dieu le soutiendra et le défendra contre les impies, lesquels seront humiliés et confondus ; il fera de nombreuses réformes. Si les hommes lui en seront reconnaissants, le Seigneur les comblera de bénédictions ; mais s'ils en abusaient, son bras tout-puissant s'appesantirait sur eux pour les punir. À la fin, qu’il aura le don des miracles et que son règne durerait vingt-sept ans et environ six mois.
9°) Enfin l'Eglise, après avoir traversé plusieurs douloureuses épreuves, remportera un triomphe si éclatant que les hommes en seront stupéfaits. La religion chrétienne se répandra partout et il n’y aura plus qu’un Pasteur.
10°) En ces temps-là, La Russie et l’Angleterre se soumettront, la Chine se convertira et des nations entières reviendront à l’unité de la foi et la face de la terre sera renouvelée par l’Esprit-Saint.
11°) Saint Michel Archange, paraissant sur la terre sous forme humaine, tiendra les démons enchaînés jusqu’à l’époque de la prédication de l’Antéchrist ».
Un jour, sainte Anna-Maria Taïgi, répondit au Seigneur :
« Mais Seigneur, deux cents ans ne sont guère suffisants pour que tout ceci arrive ».
Jésus répondit :
« Cela ne sera pas aussi long que vous le croyez ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Sainte Anna-Maria Taïgi ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. Au contraire, elle annonce que lors de sa désignation et de son élection miraculeuse comme Pape, le futur Saint Pontife ne sera ni Cardinal, ni Evêque (encore moins Pape), mais il sera un simple prêtre, non Italien ; et du fait de la destruction de Rome, il règnera hors de Rome, depuis l'étranger (en France). Son nom sera divulgué, vénéré dans le monde et applaudi par tous les peuples. Le Turc lui-même le vénérerait et l'enverrait complimenter.
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Dernière édition par Hercule le Lun 2 Mai - 8:39, édité 2 fois
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Madame de Meylian
(1848)
Cette prophétie, dite de Madame de Meylian, et dont on n’en connait pas l’auteur, aurait, selon la légende, été rédigé en latin sur un parchemin sans date, découvert dans le cercueil d’un saint religieux. Madame de Meylian est la fondatrice et la supérieure des Religieuses de l’Immaculée Conception à Rome :
« ... Mais deux évènements sont passés : la chute du Traître et l’annonce des vrais descendants des Lys par des voix étouffées.
A ce moment le nombre de vrais légitimistes sera tellement petit, qu’il pourrait tenir dans une chambre de vingt-cinq pieds carrés.
Le troisième signe des évènements va paraître : l’Angleterre se remue !
De même qu’on reconnaît que l’été approche quand le figuier pousse, on verra à ce signe que la crise arrive. Quelle mêlée ! Quel feu ! Quel carnage ! Les éléments eux-mêmes prennent part à la perturbation générale.
O Paris ! l’hommage tardif que tu rendis au Sauveur suffira-t-il pour te sauver des vengeances célestes ?
La place du crime ne doit-elle pas être purgée par le feu ?
L’homme aimé, désiré de plusieurs disparaît.
Mais, au moment où on croyait tout perdu, tout est sauvé.
Le Grand Monarque mettra sa main dans la main du Grand Pontife.
Et le Grand Pontife oindra la tête du Grand Monarque de l’Huile Sainte.
Il marquera son étendard d’un signe sacré (Le Sacré-Cœur) et, le levant avec l’Eglise, il volera de conquête en conquête.
Les conversions s’étendront par tout l’univers et le Très-Haut sera connu par tous les peuples.
Qu’il sera beau ce triomphe car ce sera le dernier.
Le Grand Pape et le Grand Monarque deviennent les délices de l’humanité.
A d’autres de décrire le triomphe de Satan ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Madame de Meylian ne fait aucune référence à la survivance Paul VI.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Madame de Meylian
(1848)
Cette prophétie, dite de Madame de Meylian, et dont on n’en connait pas l’auteur, aurait, selon la légende, été rédigé en latin sur un parchemin sans date, découvert dans le cercueil d’un saint religieux. Madame de Meylian est la fondatrice et la supérieure des Religieuses de l’Immaculée Conception à Rome :
« ... Mais deux évènements sont passés : la chute du Traître et l’annonce des vrais descendants des Lys par des voix étouffées.
A ce moment le nombre de vrais légitimistes sera tellement petit, qu’il pourrait tenir dans une chambre de vingt-cinq pieds carrés.
Le troisième signe des évènements va paraître : l’Angleterre se remue !
De même qu’on reconnaît que l’été approche quand le figuier pousse, on verra à ce signe que la crise arrive. Quelle mêlée ! Quel feu ! Quel carnage ! Les éléments eux-mêmes prennent part à la perturbation générale.
O Paris ! l’hommage tardif que tu rendis au Sauveur suffira-t-il pour te sauver des vengeances célestes ?
La place du crime ne doit-elle pas être purgée par le feu ?
L’homme aimé, désiré de plusieurs disparaît.
Mais, au moment où on croyait tout perdu, tout est sauvé.
Le Grand Monarque mettra sa main dans la main du Grand Pontife.
Et le Grand Pontife oindra la tête du Grand Monarque de l’Huile Sainte.
Il marquera son étendard d’un signe sacré (Le Sacré-Cœur) et, le levant avec l’Eglise, il volera de conquête en conquête.
Les conversions s’étendront par tout l’univers et le Très-Haut sera connu par tous les peuples.
Qu’il sera beau ce triomphe car ce sera le dernier.
Le Grand Pape et le Grand Monarque deviennent les délices de l’humanité.
A d’autres de décrire le triomphe de Satan ».
*** Commentaires : Cette prophétie de Madame de Meylian ne fait aucune référence à la survivance Paul VI.
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Dernière édition par Hercule le Jeu 22 Sep - 4:50, édité 2 fois
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France
Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
Bonjour à tous,
Voici un morceau d'anthologie de Monsieur Eric Faure, texte qui n'engage que son auteur et que j'ai découvert sur le site des adeptes de la survivance du Pape Paul VI (qui doit se retourner dans sa tombe).
Tout le monde aura compris : je ne partage pas cette analyse, je la combats farouchement car elle dénigre et insulte gravement nos trois derniers Pontifes, mais je pense qu'il est nécessaire de vous la faire connaître.
Ce qui va se passer avec l'élection du Saint Pontife Français annoncé par les prophéties chrétiennes est encore plus extraordinaire et dépasse très largement tout ce que nos petits esprits étriqués et coincés par nos limites humaines sont capables d'imaginer :
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http://paulvipapemartyr.over-blog.com/article-a-vous-qui-voulez-comprendre-63072767.html
A vous qui voulez comprendre...
" Pour vous aider , chers lecteurs dans, votre quête de la vérité ...vous qui vous interrogez sur la situation actuelle de l'Eglise, sur la survivance de Paul VI, sur les étrangetés" et contradictions "des enseignements des derniers papes" , nous vous proposons ce message d'Eric FAURE ancien enseignant en philosophie, auteur d'ouvrages spécialisés en histoire des idées, collaborant actuellement avec des professeurs d'université sur un ouvrage consacré à Arnaud de Villeneuve.
"Il existe toutes sortes de prédictions sur les derniers temps de la papauté qui circulent dans les milieux "prophétiques " de l'Eglise. On pourra s'en faire une idée en étudiant le livret du Marquis de la Franquerie "le saint Pape et le grand Monarque". Comme le dit saint Paul :" N'éteignez pas l'esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Eprouvez tout : retenez ce qui est bon. ( I Thes. V, 19-21 ). Toutes les prédictions circulant dans l'Eglise ne sont pas bonnes, d'où la nécessité de se méfier de la subversion "prophétique" et de bien savoir discerner dans le domaine "prophétique" le bon du mauvais.
Pour comprendre comment fonctionne la subversion prophétique relatif au pape de la fin des temps, il importe de savoir comment a fonctionné la subversion "prophétique" sous l'Ancienne Alliance relatif à la notion de Messie souffrant, Satan reprenant toujours la stratégie qui a bien fonctionné , jusqu'à l'améliorer. De même, que la notion de Messie souffrant a été altérée, la notion de pape souffrant l'a été également , ce qui a empêché pour ce qui concerne la notion de Messie , la plupart des juifs de reconnaître en Notre Seigneur le Messie annoncé par les Prophètes de l'ancien Testament, ce qui empêche actuellement le monde dit "catholique" dans son ensemble de reconnaître en Paul VI, le nouvel Elie qui dans les temps de la fin redressera toutes choses dans l'Eglise.
Du temps de N.S. Jésus-Christ, il circulait des prédictions subversives , dénaturant le sens des Ecritures, annonçant dans les premiers temps messianiques , deux messies "un messie, grand prêtre" qui serait secondé par "un messie, roi", et il convient de se demander si "cette histoire de saint pape et de grand monarque" qui circule actuellement dans l'Eglise ne suit pas au sujet du pape souffrant, la même erreur que ces juifs traditionalistes au sujet du Messie souffrant qu'est Notre Seigneur.
En ce qui concerne les célèbres prédictions rapportées par Arnold de Wion au XVI ème siècle sur l'avenir de la Papauté, et attribuées à saint Malachie par ce bénédictin, il importe pour en comprendre le sens de bien connaître son genre littéraire, de bien connaître la littérature apocalyptique médiévale, car ces prédictions s'inscrivent dans le sillage tracé par "Principium Malorum" un manuscrit prophétique du XIII ème siècle, annonçant les papes à venir par des devises, des oracles et des illustrations, qui était considéré par le clergé romain dans son ensemble à la fin du Moyen Age, comme inspiré par Dieu. Il faut savoir en effet que les devises de ce que l'on appelle communément "la Prophétie de Malachie" fait référence à la littérature apocalyptique des XII ème et XIII ème siècles, celle axée sur la question du pape à la fin des temps, et à des manuscrits "prophétiques" des XIV ème et XV ème siècles concernant l'avenir de la papauté. L'auteur de ces devises prend le parti de défendre la littérature apocalyptique des XII ème et XIII ème siècles , celle centrée sur la notion de "pape souffrant", contre des interprétations subversives de son époque relatives aux grands textes "prophétiques" de cette littérature. Il faut savoir que l'expression "Flos Florum" qui tombe sur Paul VI, est une référence à l'Oraculum Cyrilli", qui est un manuscrit "prophétique" de cette littérature apocalyptique du XIII ème siècle, cette expression servant à l'origine à désigner un pape que le monde croira décédé sous le règne de l'Antipapauté antéchristique, mais qui sera toujours en vie sous ce règne, un vrai pape qui après un long exil caché, confondra tous ses usurpateurs !
Cette littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle qui sert de référence à l'auteur des prédictions dites de "Malachie" annonce pour les derniers temps de la papauté :
1 ) Un pape souffrant qui suivra les pas du Christ dans la passion, qui sera dépouillé de ses ornements pontificaux et de tous ses biens pour subir son martyre. Il est appelé "pape nu" par les experts dans ce genre de littérature, qui le plus souvent ont une formation à l'origine d'historien. Le martyre de ce pape consistera à vivre caché en exil sous les règnes successifs de trois antipapes prétendant lui succéder. Ce pape souffrant est Paul VI , pape étant au coeur du secret de la Salette, Notre Dame de la Salette, parlant à maintes reprises d'un pape souffrant, et le comparant à Pie IX, la dernière préfiguration du pape souffrant, en cela que Pie IX fut contraint pour s'enfuir de se dépouiller de ses ornements pontificaux , contraint à vivre en exil.
2) Après l'éclipse totale du pape souffrant passant pour mort alors qu'il sera toujours en vie, cette littérature annonce premièrement un antipape qui sera "romain", mais un antipape malgré lui , qui sera très mauvais sur le plan des idées mais désirant faire la volonté de l'Eglise, qui, apprenant la survie du vrai pape, sera assassiné par la Synagogue de Satan infiltré jusqu'au cardinalat. Il s'agira d'un antipape qui "ne régnera pas longtemps". Notre Dame de la Salette en parle dans son secret : il s'agit de Luciani qui a pris pour nom pontifical " Jean Paul Ier ", et qui n'a régné que 33 jours.
3) Deuxièmement, il y aura après cet antipape , un monstre d'iniquité, un intrus sur le siège de Pierre, plein de haine à l'égard de N.S. Jésus-Christ qui fera semblant d'être catholique, et se fera passer pour un saint, un vrai prophète, un vrai Christ. Cet antipape ne sera pas "romain" mais issu de la "Germania Barbara" ( bien au delà du Rhin : la Pologne ). Il s'agit de Wojtyla qui a pris pour nom " Jean Paul II". Notre Dame de la Salette le désigne en ces termes "ne sera pas romain", "sera un pape que personne ne s'y attend" , "un avant coureur de l'Antéchrist" ( expression désignant un antipape au Moyen age ) , "combattant contre le vrai Christ ( entendre Paul VI ) ( ...) et voulant "anéantir le culte de Dieu pour se faire regarder comme un dieu." (secret de la Salette )
4) Et troisièmement, il y aura après ce monstre un antipape issu lui aussi de la germania barbara, un germain , un allemand. Lorsqu'il élèvera sur les autels le monstre, cette idole qu'est le deuxième antipape, la chute de la Rome apostate sera proche, ainsi que le retour du vrai pape. cet antipape sera livré lui et ceux qui gouvernent avec lui à une puissance politique dévastatrice, comme furent livrés aux légions romaines, les "princes des prêtres" déicides lors de la destruction du Temple de Jérusalem en l'an 70, la résidence des papes parce que occupée par un clergé apostats étant appelée également à la destruction par le feu . Il s'agit de Ratzinger qui a pris pour nom, "Benoit XVI". C'est à Ratzinger que pense Notre Dame de la Salette lorsqu'elle dit : " Tremblez (...) vous qui faîtes profession de servir Jésus-Christ et qui au dedans vous adorez vous mêmes."
Les deux papes "plats vermoulus, douteux" annoncés par Mélanie dans l'un de ses commentaires du secret ou "les deux antipapes successifs" annoncées par Marie -Julie Jahenny sont Wojtyla et Ratzinger, Luciani étant écarté ici , car son règne est insignifiant, et parce qu'il est mort en martyr , même s'il avait de bien mauvais jugements avant d'ouvrir les yeux.
Tout ce que nous disons là en ce qui concerne l'enseignement de cette littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle, est la pure vérité, retranscrit fidèlement le sens des grands textes la composant. De cette littérature, on vient de citer ici "Principium malorum" et "l'Oraculum Cyrilli", mais ce ne sont que les manuscrits les plus connus de cette littérature. Il en existe d'autres, car les richesses de l'Eglise sont grandes et innombrables !
Vous qui voulez comprendre : convertissez vous ! Et invoquez le Saint Esprit dans vos pieuses lectures ! Et suivez les consignes de Notre Dame de la Salette, si bien résumées dans son "appel pressant à la terre".
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Commentaire d'Hercule : Il est certain qu'il doit y avoir de nombreuses fausses prophéties qui circulent en nos temps de grande confusion, mais comme le rappelle Eric, l'Apôtre saint Paul nous dit : "N'éteignez pas l'esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Eprouvez tout : retenez ce qui est bon". ( I Thes. V, 19-21 ).
L'Apôtre nous dit : "prenez ce qui est bon !...", mais il ne nous dit pas : "prenez ce qui arrange vos thèses fumeuses et laissez le reste..."
En effet, les prophéties ne sont pas objet d'interprétation personnelle pour les besoins d'une cause perdue d'avance, qui rejette le Concile Vatican II et nos trois derniers Pontifes, en croyant à la survie (114 ans) du Pape Paul VI, n'en déplaise à notre ami Eric...
Voici un morceau d'anthologie de Monsieur Eric Faure, texte qui n'engage que son auteur et que j'ai découvert sur le site des adeptes de la survivance du Pape Paul VI (qui doit se retourner dans sa tombe).
Tout le monde aura compris : je ne partage pas cette analyse, je la combats farouchement car elle dénigre et insulte gravement nos trois derniers Pontifes, mais je pense qu'il est nécessaire de vous la faire connaître.
Ce qui va se passer avec l'élection du Saint Pontife Français annoncé par les prophéties chrétiennes est encore plus extraordinaire et dépasse très largement tout ce que nos petits esprits étriqués et coincés par nos limites humaines sont capables d'imaginer :
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http://paulvipapemartyr.over-blog.com/article-a-vous-qui-voulez-comprendre-63072767.html
A vous qui voulez comprendre...
" Pour vous aider , chers lecteurs dans, votre quête de la vérité ...vous qui vous interrogez sur la situation actuelle de l'Eglise, sur la survivance de Paul VI, sur les étrangetés" et contradictions "des enseignements des derniers papes" , nous vous proposons ce message d'Eric FAURE ancien enseignant en philosophie, auteur d'ouvrages spécialisés en histoire des idées, collaborant actuellement avec des professeurs d'université sur un ouvrage consacré à Arnaud de Villeneuve.
"Il existe toutes sortes de prédictions sur les derniers temps de la papauté qui circulent dans les milieux "prophétiques " de l'Eglise. On pourra s'en faire une idée en étudiant le livret du Marquis de la Franquerie "le saint Pape et le grand Monarque". Comme le dit saint Paul :" N'éteignez pas l'esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Eprouvez tout : retenez ce qui est bon. ( I Thes. V, 19-21 ). Toutes les prédictions circulant dans l'Eglise ne sont pas bonnes, d'où la nécessité de se méfier de la subversion "prophétique" et de bien savoir discerner dans le domaine "prophétique" le bon du mauvais.
Pour comprendre comment fonctionne la subversion prophétique relatif au pape de la fin des temps, il importe de savoir comment a fonctionné la subversion "prophétique" sous l'Ancienne Alliance relatif à la notion de Messie souffrant, Satan reprenant toujours la stratégie qui a bien fonctionné , jusqu'à l'améliorer. De même, que la notion de Messie souffrant a été altérée, la notion de pape souffrant l'a été également , ce qui a empêché pour ce qui concerne la notion de Messie , la plupart des juifs de reconnaître en Notre Seigneur le Messie annoncé par les Prophètes de l'ancien Testament, ce qui empêche actuellement le monde dit "catholique" dans son ensemble de reconnaître en Paul VI, le nouvel Elie qui dans les temps de la fin redressera toutes choses dans l'Eglise.
Du temps de N.S. Jésus-Christ, il circulait des prédictions subversives , dénaturant le sens des Ecritures, annonçant dans les premiers temps messianiques , deux messies "un messie, grand prêtre" qui serait secondé par "un messie, roi", et il convient de se demander si "cette histoire de saint pape et de grand monarque" qui circule actuellement dans l'Eglise ne suit pas au sujet du pape souffrant, la même erreur que ces juifs traditionalistes au sujet du Messie souffrant qu'est Notre Seigneur.
En ce qui concerne les célèbres prédictions rapportées par Arnold de Wion au XVI ème siècle sur l'avenir de la Papauté, et attribuées à saint Malachie par ce bénédictin, il importe pour en comprendre le sens de bien connaître son genre littéraire, de bien connaître la littérature apocalyptique médiévale, car ces prédictions s'inscrivent dans le sillage tracé par "Principium Malorum" un manuscrit prophétique du XIII ème siècle, annonçant les papes à venir par des devises, des oracles et des illustrations, qui était considéré par le clergé romain dans son ensemble à la fin du Moyen Age, comme inspiré par Dieu. Il faut savoir en effet que les devises de ce que l'on appelle communément "la Prophétie de Malachie" fait référence à la littérature apocalyptique des XII ème et XIII ème siècles, celle axée sur la question du pape à la fin des temps, et à des manuscrits "prophétiques" des XIV ème et XV ème siècles concernant l'avenir de la papauté. L'auteur de ces devises prend le parti de défendre la littérature apocalyptique des XII ème et XIII ème siècles , celle centrée sur la notion de "pape souffrant", contre des interprétations subversives de son époque relatives aux grands textes "prophétiques" de cette littérature. Il faut savoir que l'expression "Flos Florum" qui tombe sur Paul VI, est une référence à l'Oraculum Cyrilli", qui est un manuscrit "prophétique" de cette littérature apocalyptique du XIII ème siècle, cette expression servant à l'origine à désigner un pape que le monde croira décédé sous le règne de l'Antipapauté antéchristique, mais qui sera toujours en vie sous ce règne, un vrai pape qui après un long exil caché, confondra tous ses usurpateurs !
Cette littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle qui sert de référence à l'auteur des prédictions dites de "Malachie" annonce pour les derniers temps de la papauté :
1 ) Un pape souffrant qui suivra les pas du Christ dans la passion, qui sera dépouillé de ses ornements pontificaux et de tous ses biens pour subir son martyre. Il est appelé "pape nu" par les experts dans ce genre de littérature, qui le plus souvent ont une formation à l'origine d'historien. Le martyre de ce pape consistera à vivre caché en exil sous les règnes successifs de trois antipapes prétendant lui succéder. Ce pape souffrant est Paul VI , pape étant au coeur du secret de la Salette, Notre Dame de la Salette, parlant à maintes reprises d'un pape souffrant, et le comparant à Pie IX, la dernière préfiguration du pape souffrant, en cela que Pie IX fut contraint pour s'enfuir de se dépouiller de ses ornements pontificaux , contraint à vivre en exil.
2) Après l'éclipse totale du pape souffrant passant pour mort alors qu'il sera toujours en vie, cette littérature annonce premièrement un antipape qui sera "romain", mais un antipape malgré lui , qui sera très mauvais sur le plan des idées mais désirant faire la volonté de l'Eglise, qui, apprenant la survie du vrai pape, sera assassiné par la Synagogue de Satan infiltré jusqu'au cardinalat. Il s'agira d'un antipape qui "ne régnera pas longtemps". Notre Dame de la Salette en parle dans son secret : il s'agit de Luciani qui a pris pour nom pontifical " Jean Paul Ier ", et qui n'a régné que 33 jours.
3) Deuxièmement, il y aura après cet antipape , un monstre d'iniquité, un intrus sur le siège de Pierre, plein de haine à l'égard de N.S. Jésus-Christ qui fera semblant d'être catholique, et se fera passer pour un saint, un vrai prophète, un vrai Christ. Cet antipape ne sera pas "romain" mais issu de la "Germania Barbara" ( bien au delà du Rhin : la Pologne ). Il s'agit de Wojtyla qui a pris pour nom " Jean Paul II". Notre Dame de la Salette le désigne en ces termes "ne sera pas romain", "sera un pape que personne ne s'y attend" , "un avant coureur de l'Antéchrist" ( expression désignant un antipape au Moyen age ) , "combattant contre le vrai Christ ( entendre Paul VI ) ( ...) et voulant "anéantir le culte de Dieu pour se faire regarder comme un dieu." (secret de la Salette )
4) Et troisièmement, il y aura après ce monstre un antipape issu lui aussi de la germania barbara, un germain , un allemand. Lorsqu'il élèvera sur les autels le monstre, cette idole qu'est le deuxième antipape, la chute de la Rome apostate sera proche, ainsi que le retour du vrai pape. cet antipape sera livré lui et ceux qui gouvernent avec lui à une puissance politique dévastatrice, comme furent livrés aux légions romaines, les "princes des prêtres" déicides lors de la destruction du Temple de Jérusalem en l'an 70, la résidence des papes parce que occupée par un clergé apostats étant appelée également à la destruction par le feu . Il s'agit de Ratzinger qui a pris pour nom, "Benoit XVI". C'est à Ratzinger que pense Notre Dame de la Salette lorsqu'elle dit : " Tremblez (...) vous qui faîtes profession de servir Jésus-Christ et qui au dedans vous adorez vous mêmes."
Les deux papes "plats vermoulus, douteux" annoncés par Mélanie dans l'un de ses commentaires du secret ou "les deux antipapes successifs" annoncées par Marie -Julie Jahenny sont Wojtyla et Ratzinger, Luciani étant écarté ici , car son règne est insignifiant, et parce qu'il est mort en martyr , même s'il avait de bien mauvais jugements avant d'ouvrir les yeux.
Tout ce que nous disons là en ce qui concerne l'enseignement de cette littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle, est la pure vérité, retranscrit fidèlement le sens des grands textes la composant. De cette littérature, on vient de citer ici "Principium malorum" et "l'Oraculum Cyrilli", mais ce ne sont que les manuscrits les plus connus de cette littérature. Il en existe d'autres, car les richesses de l'Eglise sont grandes et innombrables !
Vous qui voulez comprendre : convertissez vous ! Et invoquez le Saint Esprit dans vos pieuses lectures ! Et suivez les consignes de Notre Dame de la Salette, si bien résumées dans son "appel pressant à la terre".
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Commentaire d'Hercule : Il est certain qu'il doit y avoir de nombreuses fausses prophéties qui circulent en nos temps de grande confusion, mais comme le rappelle Eric, l'Apôtre saint Paul nous dit : "N'éteignez pas l'esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Eprouvez tout : retenez ce qui est bon". ( I Thes. V, 19-21 ).
L'Apôtre nous dit : "prenez ce qui est bon !...", mais il ne nous dit pas : "prenez ce qui arrange vos thèses fumeuses et laissez le reste..."
En effet, les prophéties ne sont pas objet d'interprétation personnelle pour les besoins d'une cause perdue d'avance, qui rejette le Concile Vatican II et nos trois derniers Pontifes, en croyant à la survie (114 ans) du Pape Paul VI, n'en déplaise à notre ami Eric...
Dernière édition par Hercule le Ven 13 Mai - 22:30, édité 1 fois
Her- Messages : 9481
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
Re-Bonjour à tous,
Et tant que j'y suis, je récupère aussi ce texte par l'Abbé Augustin Lemann qui est édifiant et très instructif sur les temps douloureux et de grande confusion que nous allons tous avoir à vivre. Chacun sera éprouvé d'une manière jamais atteinte jusqu'alors car nous sommes entrés dans le temps des méta-tentations telles que le monde n'en a jamais connues, nous sommes entrés dans le temps des transgressions suprêmes. Mais rassurons-nous, Dieu avec Ses légions Anges et ses cohortes de Saints, avec l'Auguste Reine des Cieux pour les conduire au combat comme une armée rangée en bataille, Dieu nous accordera la force et tous les charismes nécessaires pour obtenir la Victoire :
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Les champions de la Vérité chrétienne contre l'Antéchrist
L'ANTECHRIST
par l'Abbé Augustin Lemann
(Extrait de Les champions de la Vérité chrétienne contre l'Antéchrist chap.III)
http://paulvipapemartyr.over-blog.com/article-les-champions-de-la-verite-chretienne-contre-l-antechrist-73354647.html
Ce qu'ils seront au point de vue de l'énergie de la foi, saint Augustin l'a exprimé dans ce cri d'admiration : « Que sommes-nous en comparaison des saints et des fidèles des derniers temps, puisque, pour les éprouver, Dieu déliera un ennemi, contre lequel, quoique enchaîné, nous ne pouvons lutter qu'avec de si grands dangers ? » Saint Hippolyte a dit aussi : « O heureux ceux qui vaincront un tel tyran ! Ils seront, il faut l'avouer, plus illustres et plus héroïques que leurs devanciers».
Quels seront-ils donc ces héros de l'avenir ?
D'abord l'Église elle-même, l'Église militante, compacte dans sa hiérarchie, avec l'auguste personne de son Chef, avec ses évêques, ses prêtres, ses religieux, avec tous ses ministres. Aucune mesure, si savante, si oppressive soit-elle, n'aura la puissance de leur fermer la bouche. Lorsque le pèlerin, à la Ville des Papes, visite l'église souterraine de Sainte-Marie-in-Via-Lata, autrefois une prison, il y lit, non sans émotion, cinq mots gravés sur les murailles, reproduction de ceux que, dans ce lieu même, l'Apôtre saint Paul écrivit à son disciple Timothée : « La parole de Dieu ne s'enchaîne pas, Verbum Dei non est alligatum». Lui-même, l'Apôtre saint Paul, a été, de ce nouvel axiome, la démonstration vivante. Libre, il prêcha sur presque toutes les plages du monde alors connu ; prisonnier, il ne cessa jamais de prêcher.
La parole de Dieu ne s'enchaîne pas ! Des lèvres de l'Apôtre, ces mots se sont placés, depuis, sur celles de tous les membres de la hiérarchie catholique. Ils vibraient encore, il y a quelques années, sur les lèvres de ce vieil archevêque de Paris, de si douce et si grande mémoire, le cardinal Guibert, lorsque, à une circulaire ministérielle qui avait la prétention de réglementer les mandements des évêques, il fit cette calme et fière réponse : « Monsieur le Ministre, on n'enchaîne pas plus la parole d'un évêque, qu'on n'enchaîne un rayon de soleil ».
La parole de Dieu ne s'enchaîne pas ! Ces mots seront encore, aux mesures que prendra l'Antéchrist, la réponse de l'Église. L'Église ! Ah ! Elle restera inébranlable dans la mission que lui a confiée son divin Fondateur : « Allez et enseignez toutes les nations... leur apprenant à observer tout ce que je vous ai commandé. Et voici que je suis avec vous tous les jours jusqu'à la consommation des siècles ». Enseigner la vérité chrétienne, l'enseigner à toutes les nations, l'enseigner tous les jours, l'enseigner jusqu'à la consommation des siècles, tels sont le précepte et la prophétie. Rien ne saurait en empêcher l'accomplissement. Et si les flots de la persécution, grossissant toujours, se mettent à monter et à monter encore, veut-on savoir ce qu'il adviendra de l'Église ?... À mesure que les eaux du déluge montaient, dit un texte mystérieux de la Genèse, l'arche, tranquille sur ses destinées, s'élevait de terre et montait dans le sublime : Elevaverunt arcam in sublime à terra.
Le sublime ! Oui, voilà, pour l'Église, les effets des persécutions. Elle montait dans le sublime et parlait de plus haut, lorsque, au siècle de Julien l'Apostat, à l'injonction qui lui avait été faite de cesser tout enseignement, elle répondait par des voix qui se nommaient Athanase, Grégoire de Nazianze, Augustin, Jean Chrysostome ! L'Église montera encore dans le sublime, lorsque, dans la persécution de l'Antéchrist, la plus redoutable de toutes celles qu'elle aura subies, elle poursuivra sa mission avec une fermeté qu'a célébrée d'avance la parole magnifique du P. Lacordaire : « Les princes, s'écriait un jour, dans la chaire de Notre-Dame de Paris, l'illustre dominicain, les princes pourront bien se réunir pour combattre les prérogatives de l'Église, les charger de noms flétrissants afin de les rendre odieuses, dire que c'est une puissance exorbitante qui perd les États : nous les laisserons dire, et nous continuerons à prêcher la vérité... Si l'on nous envoie en exil, nous le ferons en exil ; si l'on nous jette dans les prisons, nous le ferons dans les prisons ; si l'on nous enchaîne dans les mines, nous le ferons dans les mines ; si l'on nous chasse d'un royaume, nous passerons dans un autre. Mais si l'on nous chasse de partout, si la puissance de l'Antéchrist vient à s'étendre sur toute la face du monde, alors, comme au commencement de l'Église, nous fuirons dans les tombeaux et dans les catacombes. Et si enfin on nous poursuit jusque-là, si l'on nous fait monter sur les échafauds, dans tout noble coeur d'homme nous trouverons un dernier asile, parce que nous n'aurons pas désespéré de la vérité, de la justice et de la liberté du genre humain».
Le second champion de la vérité chrétienne contre l'Antéchrist sera une phalange de Docteurs, suscités de Dieu pour ces temps d'épreuve. Jamais les docteurs, astres bienfaisants, n'ont manqué à l'Église. Mais ce qu'il y aura alors de particulier, c'est que cette phalange de docteurs recevra, pour le soutien et la consolation des bons, une plus grande intelligence de nos Saintes Écritures. Le prophète Daniel en a fait l'annonce dans un autre passage de son livre, également consacré à la persécution de l'Antéchrist : « Les impies, dit-il, agiront avec impiété, et tous ces impies n'auront pas l'intelligence, mais ceux qui auront la science de Dieu comprendront». Ce qui signifie que tandis que les impies, frappés d'aveuglement, accompliront les dernières prophéties, comme autrefois les Juifs, sans les comprendre, les docteurs de l'Église, inondés de nouvelles lumières et pénétrant les passages les plus obscurs de ces prophéties, y trouveront l'explication des événements de cette époque, et, prémunissant les fidèles contre les artifices de l'Antéchrist, ils les maintiendront dans la fermeté et la confiance, dans l'attachement à l'Église et à ses divins enseignements, au prix même de la vie. Sous cette parole de feu des docteurs de vérité, l'enseignement chrétien, si persécuté, si traqué qu'il puisse être, brillera encore d'un tel éclat, et un si grand nombre lui devront leur persévérance, que le même prophète Daniel, dans une description sommaire de la vie future, tracée d'une manière rapide, fait exception à l'égard de ces docteurs des derniers âges ; il s'arrête devant eux, et les montrant du doigt : «Ceux, dit-il, qui en auront instruit plusieurs dans la justice brilleront comme des étoiles dans des éternités sans fin».
Le troisième champion de la vérité chrétienne contre l'Antéchrist sera le peuple chrétien demeuré fidèle. Il en fut ainsi chez le peuple juif, au temps de la persécution d'Antiochus. « Le peuple qui connaît son Dieu s'attachera à la Loi et l'observera. » Le peuple qui connaît son Dieu ! À l'opposé des apostats, il y aura donc un peuple de fidèles, et ce peuple de fidèles se montrera hautement, énergiquement attaché à la Loi. « Croyons, dit saint Augustin, que ni les conversions, ni les apostasies ne manqueront à l'Église ; mais les parents, pour faire baptiser leurs enfants, et les nouveaux fidèles, déploieront tant de force, qu'ils triompheront du diable déchaîné ; et tout, ruses plus perfides, efforts plus violents que jamais, tout échouera contre la vigilance de leur sagesse et la force de leur patience... Car, s'il faut avouer que la charité d'un grand nombre doit se refroidir à la vue de l'iniquité triomphante, et que, par des persécutions inouïes, des ruses jusqu'alors inconnues, le démon, libre de ses chaînes, doit entraîner la chute de beaucoup qui ne sont pas écrits au livre de vie ; il faut croire aussi que non seulement ceux dont la foi sortira victorieuse de l'épreuve de ce temps-là, mais plusieurs même du dehors, aidés de la grâce de Dieu et de la considération des Écritures qui prédisent la fin des temps dont ils sentiront l'approche, trouveront alors plus de fermeté pour croire ce qu'ils ne croyaient pas, et plus de force pour vaincre le diable déchaîné»
Et tant que j'y suis, je récupère aussi ce texte par l'Abbé Augustin Lemann qui est édifiant et très instructif sur les temps douloureux et de grande confusion que nous allons tous avoir à vivre. Chacun sera éprouvé d'une manière jamais atteinte jusqu'alors car nous sommes entrés dans le temps des méta-tentations telles que le monde n'en a jamais connues, nous sommes entrés dans le temps des transgressions suprêmes. Mais rassurons-nous, Dieu avec Ses légions Anges et ses cohortes de Saints, avec l'Auguste Reine des Cieux pour les conduire au combat comme une armée rangée en bataille, Dieu nous accordera la force et tous les charismes nécessaires pour obtenir la Victoire :
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Les champions de la Vérité chrétienne contre l'Antéchrist
L'ANTECHRIST
par l'Abbé Augustin Lemann
(Extrait de Les champions de la Vérité chrétienne contre l'Antéchrist chap.III)
http://paulvipapemartyr.over-blog.com/article-les-champions-de-la-verite-chretienne-contre-l-antechrist-73354647.html
Ce qu'ils seront au point de vue de l'énergie de la foi, saint Augustin l'a exprimé dans ce cri d'admiration : « Que sommes-nous en comparaison des saints et des fidèles des derniers temps, puisque, pour les éprouver, Dieu déliera un ennemi, contre lequel, quoique enchaîné, nous ne pouvons lutter qu'avec de si grands dangers ? » Saint Hippolyte a dit aussi : « O heureux ceux qui vaincront un tel tyran ! Ils seront, il faut l'avouer, plus illustres et plus héroïques que leurs devanciers».
Quels seront-ils donc ces héros de l'avenir ?
D'abord l'Église elle-même, l'Église militante, compacte dans sa hiérarchie, avec l'auguste personne de son Chef, avec ses évêques, ses prêtres, ses religieux, avec tous ses ministres. Aucune mesure, si savante, si oppressive soit-elle, n'aura la puissance de leur fermer la bouche. Lorsque le pèlerin, à la Ville des Papes, visite l'église souterraine de Sainte-Marie-in-Via-Lata, autrefois une prison, il y lit, non sans émotion, cinq mots gravés sur les murailles, reproduction de ceux que, dans ce lieu même, l'Apôtre saint Paul écrivit à son disciple Timothée : « La parole de Dieu ne s'enchaîne pas, Verbum Dei non est alligatum». Lui-même, l'Apôtre saint Paul, a été, de ce nouvel axiome, la démonstration vivante. Libre, il prêcha sur presque toutes les plages du monde alors connu ; prisonnier, il ne cessa jamais de prêcher.
La parole de Dieu ne s'enchaîne pas ! Des lèvres de l'Apôtre, ces mots se sont placés, depuis, sur celles de tous les membres de la hiérarchie catholique. Ils vibraient encore, il y a quelques années, sur les lèvres de ce vieil archevêque de Paris, de si douce et si grande mémoire, le cardinal Guibert, lorsque, à une circulaire ministérielle qui avait la prétention de réglementer les mandements des évêques, il fit cette calme et fière réponse : « Monsieur le Ministre, on n'enchaîne pas plus la parole d'un évêque, qu'on n'enchaîne un rayon de soleil ».
La parole de Dieu ne s'enchaîne pas ! Ces mots seront encore, aux mesures que prendra l'Antéchrist, la réponse de l'Église. L'Église ! Ah ! Elle restera inébranlable dans la mission que lui a confiée son divin Fondateur : « Allez et enseignez toutes les nations... leur apprenant à observer tout ce que je vous ai commandé. Et voici que je suis avec vous tous les jours jusqu'à la consommation des siècles ». Enseigner la vérité chrétienne, l'enseigner à toutes les nations, l'enseigner tous les jours, l'enseigner jusqu'à la consommation des siècles, tels sont le précepte et la prophétie. Rien ne saurait en empêcher l'accomplissement. Et si les flots de la persécution, grossissant toujours, se mettent à monter et à monter encore, veut-on savoir ce qu'il adviendra de l'Église ?... À mesure que les eaux du déluge montaient, dit un texte mystérieux de la Genèse, l'arche, tranquille sur ses destinées, s'élevait de terre et montait dans le sublime : Elevaverunt arcam in sublime à terra.
Le sublime ! Oui, voilà, pour l'Église, les effets des persécutions. Elle montait dans le sublime et parlait de plus haut, lorsque, au siècle de Julien l'Apostat, à l'injonction qui lui avait été faite de cesser tout enseignement, elle répondait par des voix qui se nommaient Athanase, Grégoire de Nazianze, Augustin, Jean Chrysostome ! L'Église montera encore dans le sublime, lorsque, dans la persécution de l'Antéchrist, la plus redoutable de toutes celles qu'elle aura subies, elle poursuivra sa mission avec une fermeté qu'a célébrée d'avance la parole magnifique du P. Lacordaire : « Les princes, s'écriait un jour, dans la chaire de Notre-Dame de Paris, l'illustre dominicain, les princes pourront bien se réunir pour combattre les prérogatives de l'Église, les charger de noms flétrissants afin de les rendre odieuses, dire que c'est une puissance exorbitante qui perd les États : nous les laisserons dire, et nous continuerons à prêcher la vérité... Si l'on nous envoie en exil, nous le ferons en exil ; si l'on nous jette dans les prisons, nous le ferons dans les prisons ; si l'on nous enchaîne dans les mines, nous le ferons dans les mines ; si l'on nous chasse d'un royaume, nous passerons dans un autre. Mais si l'on nous chasse de partout, si la puissance de l'Antéchrist vient à s'étendre sur toute la face du monde, alors, comme au commencement de l'Église, nous fuirons dans les tombeaux et dans les catacombes. Et si enfin on nous poursuit jusque-là, si l'on nous fait monter sur les échafauds, dans tout noble coeur d'homme nous trouverons un dernier asile, parce que nous n'aurons pas désespéré de la vérité, de la justice et de la liberté du genre humain».
Le second champion de la vérité chrétienne contre l'Antéchrist sera une phalange de Docteurs, suscités de Dieu pour ces temps d'épreuve. Jamais les docteurs, astres bienfaisants, n'ont manqué à l'Église. Mais ce qu'il y aura alors de particulier, c'est que cette phalange de docteurs recevra, pour le soutien et la consolation des bons, une plus grande intelligence de nos Saintes Écritures. Le prophète Daniel en a fait l'annonce dans un autre passage de son livre, également consacré à la persécution de l'Antéchrist : « Les impies, dit-il, agiront avec impiété, et tous ces impies n'auront pas l'intelligence, mais ceux qui auront la science de Dieu comprendront». Ce qui signifie que tandis que les impies, frappés d'aveuglement, accompliront les dernières prophéties, comme autrefois les Juifs, sans les comprendre, les docteurs de l'Église, inondés de nouvelles lumières et pénétrant les passages les plus obscurs de ces prophéties, y trouveront l'explication des événements de cette époque, et, prémunissant les fidèles contre les artifices de l'Antéchrist, ils les maintiendront dans la fermeté et la confiance, dans l'attachement à l'Église et à ses divins enseignements, au prix même de la vie. Sous cette parole de feu des docteurs de vérité, l'enseignement chrétien, si persécuté, si traqué qu'il puisse être, brillera encore d'un tel éclat, et un si grand nombre lui devront leur persévérance, que le même prophète Daniel, dans une description sommaire de la vie future, tracée d'une manière rapide, fait exception à l'égard de ces docteurs des derniers âges ; il s'arrête devant eux, et les montrant du doigt : «Ceux, dit-il, qui en auront instruit plusieurs dans la justice brilleront comme des étoiles dans des éternités sans fin».
Le troisième champion de la vérité chrétienne contre l'Antéchrist sera le peuple chrétien demeuré fidèle. Il en fut ainsi chez le peuple juif, au temps de la persécution d'Antiochus. « Le peuple qui connaît son Dieu s'attachera à la Loi et l'observera. » Le peuple qui connaît son Dieu ! À l'opposé des apostats, il y aura donc un peuple de fidèles, et ce peuple de fidèles se montrera hautement, énergiquement attaché à la Loi. « Croyons, dit saint Augustin, que ni les conversions, ni les apostasies ne manqueront à l'Église ; mais les parents, pour faire baptiser leurs enfants, et les nouveaux fidèles, déploieront tant de force, qu'ils triompheront du diable déchaîné ; et tout, ruses plus perfides, efforts plus violents que jamais, tout échouera contre la vigilance de leur sagesse et la force de leur patience... Car, s'il faut avouer que la charité d'un grand nombre doit se refroidir à la vue de l'iniquité triomphante, et que, par des persécutions inouïes, des ruses jusqu'alors inconnues, le démon, libre de ses chaînes, doit entraîner la chute de beaucoup qui ne sont pas écrits au livre de vie ; il faut croire aussi que non seulement ceux dont la foi sortira victorieuse de l'épreuve de ce temps-là, mais plusieurs même du dehors, aidés de la grâce de Dieu et de la considération des Écritures qui prédisent la fin des temps dont ils sentiront l'approche, trouveront alors plus de fermeté pour croire ce qu'ils ne croyaient pas, et plus de force pour vaincre le diable déchaîné»
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
Evangile selon Saint Jean 10, 1 - 18
" En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre point par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand.
Mais celui qui entre par la porte est le pasteur des brebis.
C'est à lui que le portier ouvre, et les brebis entendent sa voix ; il appelle par leur nom ses brebis, et il les mène aux pâturages.
Quand il a fait sortir toutes ses brebis, il marche devant elles, et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix.
Elles ne suivront point un étranger, mais elle le fuiront, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers."
Jésus leur dit cette allégorie ; mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait.
Jésus donc leur dit encore : "En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.
Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands ; mais les brebis ne les ont point écoutés.
Je suis la porte : si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera, et il sortira, et il trouvera des pâturages.
Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance.
Je suis le bon pasteur. Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis.
Mais le mercenaire, qui n'est pas le pasteur, et à qui les brebis n'appartiennent pas, voit venir le loup, laisse là les brebis et prend la fuite ; et le loup les ravit et les disperse.
Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire et qu'il n'a nul souci des brebis.
Je suis le bon pasteur; je connais mes brebis et mes brebis me connaissent,
Comme mon Père me connaît, et que je connais mon Père, et je donne ma vie pour mes brebis.
J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie ; il faut aussi que je les amène, et elles entendront ma voix et il y aura une seule bergerie et un seul pasteur.
C'est pour cela que mon Père m'aime, parce que je donne ma vie pour la reprendre.
Personne ne me la ravit, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père ".
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Commentaire d'Hercule : Jésus nous fait cette promesse : "Il n'y a qu'une seule bergerie et qu'un seul pasteur..."
c'est à-dire-dire qu'à la fin de la Grande Tribulation, il n'y a qu'une seule Eglise (celle de Notre Seigneur) car tous les égarés rentreront au bercail (les derniers à y venir seront le Juifs) et il n'y aura qu'un seul pasteur... et ce pasteur sera le Saint Pontife Français annoncé par tant de prophéties chrétiennes ; un saint prêtre religieux persécuté et solitaire qui sera désigné miraculeusement et directement comme Pape sans être passé par le rang d'évêque et de cardinal, lors d'une apparition céleste de Saint Pierre et Saint Paul et cette élection céleste sera incontestable, n'en déplaise aux inconditionnels de la survivance du Paul Paul VI, qui est né à Concesio, près de Brescia en Italie, le 26 septembre 1897 et qui atteindrait cette année son 114ème anniversaire ?!!!! Le pauvre ayez pitié de lui et laissez-le reposer en paix...
Je sais bien que l'ancienne doyenne de l'humanité a vécu 122 ans, 5 mois et 14 jours, et que, s'il vivait encore, le Pape Paul VI aurait encore 8 ans de marge, mais tout de même, soyez sérieux...
" En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre point par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand.
Mais celui qui entre par la porte est le pasteur des brebis.
C'est à lui que le portier ouvre, et les brebis entendent sa voix ; il appelle par leur nom ses brebis, et il les mène aux pâturages.
Quand il a fait sortir toutes ses brebis, il marche devant elles, et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix.
Elles ne suivront point un étranger, mais elle le fuiront, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers."
Jésus leur dit cette allégorie ; mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait.
Jésus donc leur dit encore : "En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.
Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands ; mais les brebis ne les ont point écoutés.
Je suis la porte : si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera, et il sortira, et il trouvera des pâturages.
Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance.
Je suis le bon pasteur. Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis.
Mais le mercenaire, qui n'est pas le pasteur, et à qui les brebis n'appartiennent pas, voit venir le loup, laisse là les brebis et prend la fuite ; et le loup les ravit et les disperse.
Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire et qu'il n'a nul souci des brebis.
Je suis le bon pasteur; je connais mes brebis et mes brebis me connaissent,
Comme mon Père me connaît, et que je connais mon Père, et je donne ma vie pour mes brebis.
J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie ; il faut aussi que je les amène, et elles entendront ma voix et il y aura une seule bergerie et un seul pasteur.
C'est pour cela que mon Père m'aime, parce que je donne ma vie pour la reprendre.
Personne ne me la ravit, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père ".
/////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Commentaire d'Hercule : Jésus nous fait cette promesse : "Il n'y a qu'une seule bergerie et qu'un seul pasteur..."
c'est à-dire-dire qu'à la fin de la Grande Tribulation, il n'y a qu'une seule Eglise (celle de Notre Seigneur) car tous les égarés rentreront au bercail (les derniers à y venir seront le Juifs) et il n'y aura qu'un seul pasteur... et ce pasteur sera le Saint Pontife Français annoncé par tant de prophéties chrétiennes ; un saint prêtre religieux persécuté et solitaire qui sera désigné miraculeusement et directement comme Pape sans être passé par le rang d'évêque et de cardinal, lors d'une apparition céleste de Saint Pierre et Saint Paul et cette élection céleste sera incontestable, n'en déplaise aux inconditionnels de la survivance du Paul Paul VI, qui est né à Concesio, près de Brescia en Italie, le 26 septembre 1897 et qui atteindrait cette année son 114ème anniversaire ?!!!! Le pauvre ayez pitié de lui et laissez-le reposer en paix...
Je sais bien que l'ancienne doyenne de l'humanité a vécu 122 ans, 5 mois et 14 jours, et que, s'il vivait encore, le Pape Paul VI aurait encore 8 ans de marge, mais tout de même, soyez sérieux...
Her- Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
///////////////////////////////////////////////////////////
Prédictions Augustiniennes
(1859)
Nous les dénommons ainsi parce qu'elles sont extraites de la Bibliothèque de Saint-Augustin, à Rome. Elles y furent copiées en 1859, par un vicaire de Mataro, en Espagne, lequel les publia dans le "Diario de Barcelona" du 03 août 1860 :
« Vers le milieu du XIXe siècle des séditions éclateront de tous côtés en Europe, principalement dans le royaume de France, en Suisse et en Italie.
Surgiront des républiques ; des rois disparaîtront ; des personnages ecclésiastiques et des religieux quitteront leurs demeures.
La famine, la peste et des tremblements de terre dévasteront plusieurs cités.
Rome perdra le sceptre par suite de l'obsession des pseudo-philosophes.
Le Pape sera emmené en captivité par les siens, et l'Eglise de Dieu subira le joug révolutionnaire ; de plus elle sera spoliée dans ses biens temporels.
Après peu de temps, le Pape s'éteindra.
Un prince de l'Aquilon parcourra toute l'Europe avec une grande armée ; il renversera les républiques et exterminera les rebelles ; son glaive, mû par Dieu, défendra énergiquement l'Eglise du Christ. Ce souverain combattra pour la foi orthodoxe et conquerra l'empire mahométan.
Un nouveau pasteur de l'Eglise viendra d'un littoral, d'après un signe céleste ; il enseignera le peuple avec simplicité de coeur et selon la doctrine du Christ, et la paix sera rendue au siècle ».
*** Commentaires d'Hercule : Les adeptes de la thèse survivantiste vont être contents car voilà enfin une prophétie qui nous parle enfin de la captivité d'un Pape, mais le problème est Rome perdra le sceptre par suite de l'obsession des pseudo-philosophes, c'est-à-dire que le Pape sera obligé de fuir sur la pression de la franc-maçonnerie. Puis dans son exil, il sera trahit, dénoncé par les catholiques modernistes et schismatiques, puis le Pape sera emmené en captivité en France par les siens, et l'Eglise de Dieu subira le joug révolutionnaire et elle sera spoliée dans ses biens temporels. Après peu de temps, le Pape s'éteindra, en captivité. Il ira au martyre, selon ce qu'indique le troisième secret de Fatima rendu public à la demande du Pape Jean-Paul II.
Le même jour du martyre et de la mort du Pape captif, le Ciel désignera le nouveau pasteur de l'Eglise, le Saint Pontife Français venant d'un littoral, et élu de manière miraculeuse avec un signe céleste, et il se retrouvera à la tête de l'Eglise des catacombes et il demandera à la petite armée de résistance catholique d'aller chercher le roi sur troupe sur une frontière de l'Est de la France. CE grand Pape enseignera le peuple avec simplicité de coeur et selon la doctrine du Christ, et la paix sera rendue au siècle
Ces Prédictions Augustiniennes ne font aucune référence à la survivance Paul VI.
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Prédictions Augustiniennes
(1859)
Nous les dénommons ainsi parce qu'elles sont extraites de la Bibliothèque de Saint-Augustin, à Rome. Elles y furent copiées en 1859, par un vicaire de Mataro, en Espagne, lequel les publia dans le "Diario de Barcelona" du 03 août 1860 :
« Vers le milieu du XIXe siècle des séditions éclateront de tous côtés en Europe, principalement dans le royaume de France, en Suisse et en Italie.
Surgiront des républiques ; des rois disparaîtront ; des personnages ecclésiastiques et des religieux quitteront leurs demeures.
La famine, la peste et des tremblements de terre dévasteront plusieurs cités.
Rome perdra le sceptre par suite de l'obsession des pseudo-philosophes.
Le Pape sera emmené en captivité par les siens, et l'Eglise de Dieu subira le joug révolutionnaire ; de plus elle sera spoliée dans ses biens temporels.
Après peu de temps, le Pape s'éteindra.
Un prince de l'Aquilon parcourra toute l'Europe avec une grande armée ; il renversera les républiques et exterminera les rebelles ; son glaive, mû par Dieu, défendra énergiquement l'Eglise du Christ. Ce souverain combattra pour la foi orthodoxe et conquerra l'empire mahométan.
Un nouveau pasteur de l'Eglise viendra d'un littoral, d'après un signe céleste ; il enseignera le peuple avec simplicité de coeur et selon la doctrine du Christ, et la paix sera rendue au siècle ».
*** Commentaires d'Hercule : Les adeptes de la thèse survivantiste vont être contents car voilà enfin une prophétie qui nous parle enfin de la captivité d'un Pape, mais le problème est Rome perdra le sceptre par suite de l'obsession des pseudo-philosophes, c'est-à-dire que le Pape sera obligé de fuir sur la pression de la franc-maçonnerie. Puis dans son exil, il sera trahit, dénoncé par les catholiques modernistes et schismatiques, puis le Pape sera emmené en captivité en France par les siens, et l'Eglise de Dieu subira le joug révolutionnaire et elle sera spoliée dans ses biens temporels. Après peu de temps, le Pape s'éteindra, en captivité. Il ira au martyre, selon ce qu'indique le troisième secret de Fatima rendu public à la demande du Pape Jean-Paul II.
Le même jour du martyre et de la mort du Pape captif, le Ciel désignera le nouveau pasteur de l'Eglise, le Saint Pontife Français venant d'un littoral, et élu de manière miraculeuse avec un signe céleste, et il se retrouvera à la tête de l'Eglise des catacombes et il demandera à la petite armée de résistance catholique d'aller chercher le roi sur troupe sur une frontière de l'Est de la France. CE grand Pape enseignera le peuple avec simplicité de coeur et selon la doctrine du Christ, et la paix sera rendue au siècle
Ces Prédictions Augustiniennes ne font aucune référence à la survivance Paul VI.
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Her- Messages : 9481
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
L'esprit des prophètes devant est soumis aux prophètes.
Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Une révélation anonyme
(1865)
Une révélation, vers 1865 :
« Le nouveau Pape sera Français… Il ne sera pas Cardinal ; ce sera un religieux qui aura été persécuté dans son ordre. Il aura la fermeté de Sixte Quint, moins la dureté ».
*** Commentaires d'Hercule : Cette prophétie anonyme de 1865 est très claire et ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. Comme d'autres déjà citées, elle nous indique que le Saint Pontife qui ne sera pas passé par le rang de cardinal, sera un religieux Français qui aura été persécuté dans son ordre
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Voici la suite des prophéties chrétiennes qui contredisent cette "fou-thèse" de la survivance du Pape Paul VI :
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Une révélation anonyme
(1865)
Une révélation, vers 1865 :
« Le nouveau Pape sera Français… Il ne sera pas Cardinal ; ce sera un religieux qui aura été persécuté dans son ordre. Il aura la fermeté de Sixte Quint, moins la dureté ».
*** Commentaires d'Hercule : Cette prophétie anonyme de 1865 est très claire et ne fait aucune référence à la survivance Paul VI. Comme d'autres déjà citées, elle nous indique que le Saint Pontife qui ne sera pas passé par le rang de cardinal, sera un religieux Français qui aura été persécuté dans son ordre
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Her- Messages : 9481
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
Bonjour à tous;
J'ai été rendre ma petite visite hebdomadaire au site survivantiste :
http://paulvipapemartyr.over-blog.com/article-le-retour-de-paul-vi-provoquera-un-schisme-65453341.html
Et j'y ai découvert le texte qui suit :
////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Le retour de Paul VI provoquera un schisme
Un ami nous fait part de ce courrier qui lui fut adressé par M. Bonaventur Meyer le 13 octobre 1996.
Nous retranscrivons fidèlement le courrier de Bonaventur dont la langue maternelle est l'Allemand, car le tout est compréhensible :
Cher Monsieur,
(…)
Je vous ajoute aussi la publications concerne l'association « Marien-Kapelle Trimbach » en allemand où nous continuons les prières pour Paul VI qui viendra après le décès de J.P.II et la brève intronisation du pape destructeur qui mène l'église à la base de la destruction. C'est le moment où le Pape Paul VI doit apparaître. Ça qui provoque la division totale de l'Eglise. La suite et le plus terrible événement pour les durs pécheurs : le « grand avertissement ».
ça se réalise entre peux de temps sans que je pourrais nommé un délai précis.
Après c'est triomphe de l'antichriste avec la grande persécution de fidèles. La grande guerre mondiale peut avaler trois quarts de l'humanité et dévorer même des nations intégrales.
////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Nous nageons toujours en plein délire et plus je leur mets de prophéties sur ce site, moins ils les lisent.
Et ils s'entêtent et ils s'obstinent... Il est vrai que le ridicule ne tue pas.
Plusieurs prophéties nous annoncent un schisme très grave dans l'Eglise, la fuite du Pape, son remplacement par un anti-pape non-canoniquement élu, une grande persécution sur l'Eglise, un trône papal vacant pendant plusieurs mois, une France sans personne pour la diriger, pas même un régent !...
Mais en aucun cas, ce schisme ne sera provoqué par le retour du Pape Paul VI...
Ce schisme sera provoqué par la proclamation du doctorat du Père Saint Louis Marie Grignon de Montfort, qui sera suivie de très près par la proclamation du dernier dogme : Marie Co-Rédemptrice, Médiatrice et Avocate...
Cette proclamation et la crise financière mettra les modernistes en furie et se détourneront du Saint Pape pour se ratacher à l'anti-pape. Et Paul VI peut continuer à reposer bien paisiblement dans sa tombe...
J'ai été rendre ma petite visite hebdomadaire au site survivantiste :
http://paulvipapemartyr.over-blog.com/article-le-retour-de-paul-vi-provoquera-un-schisme-65453341.html
Et j'y ai découvert le texte qui suit :
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Le retour de Paul VI provoquera un schisme
Un ami nous fait part de ce courrier qui lui fut adressé par M. Bonaventur Meyer le 13 octobre 1996.
Nous retranscrivons fidèlement le courrier de Bonaventur dont la langue maternelle est l'Allemand, car le tout est compréhensible :
Cher Monsieur,
(…)
Je vous ajoute aussi la publications concerne l'association « Marien-Kapelle Trimbach » en allemand où nous continuons les prières pour Paul VI qui viendra après le décès de J.P.II et la brève intronisation du pape destructeur qui mène l'église à la base de la destruction. C'est le moment où le Pape Paul VI doit apparaître. Ça qui provoque la division totale de l'Eglise. La suite et le plus terrible événement pour les durs pécheurs : le « grand avertissement ».
ça se réalise entre peux de temps sans que je pourrais nommé un délai précis.
Après c'est triomphe de l'antichriste avec la grande persécution de fidèles. La grande guerre mondiale peut avaler trois quarts de l'humanité et dévorer même des nations intégrales.
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Nous nageons toujours en plein délire et plus je leur mets de prophéties sur ce site, moins ils les lisent.
Et ils s'entêtent et ils s'obstinent... Il est vrai que le ridicule ne tue pas.
Plusieurs prophéties nous annoncent un schisme très grave dans l'Eglise, la fuite du Pape, son remplacement par un anti-pape non-canoniquement élu, une grande persécution sur l'Eglise, un trône papal vacant pendant plusieurs mois, une France sans personne pour la diriger, pas même un régent !...
Mais en aucun cas, ce schisme ne sera provoqué par le retour du Pape Paul VI...
Ce schisme sera provoqué par la proclamation du doctorat du Père Saint Louis Marie Grignon de Montfort, qui sera suivie de très près par la proclamation du dernier dogme : Marie Co-Rédemptrice, Médiatrice et Avocate...
Cette proclamation et la crise financière mettra les modernistes en furie et se détourneront du Saint Pape pour se ratacher à l'anti-pape. Et Paul VI peut continuer à reposer bien paisiblement dans sa tombe...
Her- Messages : 9481
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Re: Prophéties et Commentaires qui contredisent, démentent et invalident la "fou-thèse" luciférienne de la survivance du Pape Paul VI comme futur Saint Pontife.
Bonjour à tous;
J'ai encore été rendre ma petite visite hebdomadaire au site survivantiste :
http://paulvipapemartyr.over-blog.com/article-paul-vi-victime-expiatrice-comme-grand-martyr-75155843.html
Et j'y ai découvert le texte qui suit :
////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
LE SAINT PERE PAUL VI EN VIE
(en vie selon les sédévacantistes survivantistes, mais certainement pas selon Hercule).
Paul VI, victime expiatrice comme grand martyr
Avant et après la mort du Pape sosie, surtout également le 1er mai et le 8 septembre 1978, les démons furent contraints de faire sur le sort du Pape Paul VI les déclarations suivantes :
" Le pape paul VI porte une terrible croix. La pointe de cette croix le poignarde presque.
La pointe de cette terrible croix a pénétré dans son coeur et dans son corps. Elle a pénétré d'autant plus qu'il vit et voit mystiquement comment son Eglise, qu'il devrait conduire et dont il est et voudrait être le roc, s'enfonce de plus en plus dans la boue et dans la fange, est de plus en plus contaminée et submergée par l'hérésie et l'esprit du monde.
S'il pouvait parler et exprimer tout ce qu'il a dans la tête dans le coeur, il crierait au monde, avec tout ce que cela a dépouvantable : "Revenez, revenez ! Vous me poignardez, moi votre pauvre pape tourmenté, qui devrais conduire l'Eglise et, par suite de vos épouvantables crimes et délits, n'est presque plus en état de le faire. " S'il n'était pas ce grand et saint Pape, vraiment, votre Eglise serait presque totalement tombée en ruines" (hurlements effroyables).
Il n'y a pas eu de lion sous Néron, de tigre ni d'autre bête féroce à avoir déchiré et mis en pièces les martyrs de Rome, les chrétiens, comme votre Eglise actuelle déchirée met en pièces votre pape Paul VI. Les chrétiens furent martyrisés sous la domination romaine furent certes torturés à mort, traînés à mort... déchirés par des tigres, des lions ou des ours, et le diable sait quoi, mordus par des serpents, etc. Ils furent tourmentés à mort... Ils furent (gémissements) pour ainsi dire lavés pour la vie éternelle dans leur propre sang, dans le sang de martyr".
Mais le Pape Paul VI est lavé non dans son sang, mais d'une manière bien pire. On jette pour ainsi dire sur lui le cloaque de l'Eglise.
Il doit baigner dans l'épouvantable cloaque de l'Eglise blasée, modernisée, hérétique, dans cet épouvantable cloaque, dans cette fange... Il est si affaibli et souffrant que beaucoup le reconnaîtraient à peine, cependant il est plus respectable (respiration très pénible) que mille hommes ensemble. Maintenant CELUI-DE LA HAUT (geste vers le haut) l'a encore comme victime expiatrice, comme grand martyr. Maintenant, cela obtient encore de grandes grâces pour l'Eglise. Mais s'il ne vivait plus, vous seriez dans l'Eglise des orphelins."
extrait de "L'Eglise en danger" de Bonaventur Meyer
////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Nous nageons toujours en plein délire et plus je leur mets de prophéties sur ce site, plus ils s'entêtent et plus ils s'obstinent...
En appuyant toujours leur "fou-thèse" sur des paroles de démons (les fils du mensonges) proférées lors d'exorcismes !...
A force de jouer avec le démon, je ne sais pas si ce n'est pas bientôt sur eux qu'il va falloir pratiquer un grand exorcisme pour les délivrer de l'emprise de l'Esprit du Mal.
En attendant, je demande à ceux qui en comprennent l'importante, de réciter la prière "Auguste Reine" (ci-dessous) pour les victimes de ces tromperies de l'adversaire et pour notre pauvre monde malade de ses apostasie :
Père Louis-Edouard Cestac
(1864-01-13)
Le 13 janvier 1864, une âme accoutumée aux bontés de la Très Sainte Vierge, le Père Louis-Edouard Cestac (fondateur de la Congrégation des Servantes de Marie, au sanctuaire de Notre Dame du Refuge, à Anglet, entre Bayonne et Biarritz, dans les Pyrénées Atlantique, décédé en 1868), fut subitement frappé comme d’un rayon de clarté divine. Il vit les démons répandus sur la terre, y causant des ravages inexprimables. En même temps, il eut une vision de la Très Sainte Vierge. Cette bonne Mère lui dit qu’en effet, les démons étaient déchaînés dans le monde et que l’heure était venue de la prier comme "Reine des Anges" et de Lui demander d’envoyer les Légions Saintes pour combattre et terrasser les puissances de l’enfer.
Ma Mère, dit le prêtre, vous qui êtes si bonne, ne pourriez-vous pas les envoyer sans que l’on vous le demande ? – Non, répondit la Très Sainte Vierge, la prière est une condition posée par Dieu même pour l’obtention des grâces. – Eh bien ma Mère, reprit le prêtre, voudriez-vous m’enseigner vous-même comme il faut vous prier ? Et il reçut de la Très Sainte Vierge la prière : "Auguste Reine des Cieux".
"Mon premier devoir fut de présenter cette prière à Monseigneur Lacroix, évêque de Bayonne, qui daigna l’approuver. Ce devoir accompli, j’en fis tirer 500.000 exemplaires, j’eus soin de les envoyer partout".
"Nous ne devons pas oublier de dire que lors de la première impression, les presses se brisèrent par deux fois".
Sous l’impulsion du Vénérable Père Louis Edouard Cestac, cette prière s’est répandue dans l’univers catholique, accompagnée partout de faveurs extraordinaires.
Monseigneur le Cardinal Paul-Emile Léger, ancien Archevêque de Montréal (1904-1991)annonçait : "L’efficacité surnaturelle de cette prière est très grande".
PRIERE A LA VIERGE
Auguste Reine des cieux, souveraine maîtresse des Anges,
Vous qui, dès le commencement, avez reçu de Dieu
le pouvoir et la mission d'écraser la tête de Satan,
Nous vous le demandons humblement,
Envoyez vos légions célestes pour que,
sous vos ordres, et par votre puissance,
Elles poursuivent les démons, les combattent partout,
Répriment leur audace, et les refoulent dans l'abîme.
QUI EST COMME DIEU !
O bonne et tendre mère,
Vous serez toujours notre Amour et notre espérance.
O Divine Mère,
Envoyez les Saints Anges pour nous défendre,
Et repousser loin de nous le cruel ennemi.
Saints Anges et Archanges,
Défendez-nous, gardez-nous.
Imprimatur – Cambrai, le 26 février 1912 – A. Massart, vicaire général.
Prière authentique indulgenciée par Saint Pie X, pour 300 jours d’indulgence, une fois par jour (par int. De SS. Pie X. 8 juillet 1908).
Texte authentique de la prière dictée au Père Cestac, le 13 janvier 1864. Il est très fortement recommandé de l’apprendre par cœur :
Âmes dévouées à la Très Sainte Mère de Dieu et à la sainte Eglise, récitez cette prière chaque jour. Dans les cas difficiles, récitez-la aussi neuf fois de suite, en neuvaine pour les neuf cœurs des Anges, faites reproduire cette humble prière qui est un très puissant exorcisme, et répandez-la à profusion autour de vous et par toute la terre.
J'ai encore été rendre ma petite visite hebdomadaire au site survivantiste :
http://paulvipapemartyr.over-blog.com/article-paul-vi-victime-expiatrice-comme-grand-martyr-75155843.html
Et j'y ai découvert le texte qui suit :
////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
LE SAINT PERE PAUL VI EN VIE
(en vie selon les sédévacantistes survivantistes, mais certainement pas selon Hercule).
Paul VI, victime expiatrice comme grand martyr
Avant et après la mort du Pape sosie, surtout également le 1er mai et le 8 septembre 1978, les démons furent contraints de faire sur le sort du Pape Paul VI les déclarations suivantes :
" Le pape paul VI porte une terrible croix. La pointe de cette croix le poignarde presque.
La pointe de cette terrible croix a pénétré dans son coeur et dans son corps. Elle a pénétré d'autant plus qu'il vit et voit mystiquement comment son Eglise, qu'il devrait conduire et dont il est et voudrait être le roc, s'enfonce de plus en plus dans la boue et dans la fange, est de plus en plus contaminée et submergée par l'hérésie et l'esprit du monde.
S'il pouvait parler et exprimer tout ce qu'il a dans la tête dans le coeur, il crierait au monde, avec tout ce que cela a dépouvantable : "Revenez, revenez ! Vous me poignardez, moi votre pauvre pape tourmenté, qui devrais conduire l'Eglise et, par suite de vos épouvantables crimes et délits, n'est presque plus en état de le faire. " S'il n'était pas ce grand et saint Pape, vraiment, votre Eglise serait presque totalement tombée en ruines" (hurlements effroyables).
Il n'y a pas eu de lion sous Néron, de tigre ni d'autre bête féroce à avoir déchiré et mis en pièces les martyrs de Rome, les chrétiens, comme votre Eglise actuelle déchirée met en pièces votre pape Paul VI. Les chrétiens furent martyrisés sous la domination romaine furent certes torturés à mort, traînés à mort... déchirés par des tigres, des lions ou des ours, et le diable sait quoi, mordus par des serpents, etc. Ils furent tourmentés à mort... Ils furent (gémissements) pour ainsi dire lavés pour la vie éternelle dans leur propre sang, dans le sang de martyr".
Mais le Pape Paul VI est lavé non dans son sang, mais d'une manière bien pire. On jette pour ainsi dire sur lui le cloaque de l'Eglise.
Il doit baigner dans l'épouvantable cloaque de l'Eglise blasée, modernisée, hérétique, dans cet épouvantable cloaque, dans cette fange... Il est si affaibli et souffrant que beaucoup le reconnaîtraient à peine, cependant il est plus respectable (respiration très pénible) que mille hommes ensemble. Maintenant CELUI-DE LA HAUT (geste vers le haut) l'a encore comme victime expiatrice, comme grand martyr. Maintenant, cela obtient encore de grandes grâces pour l'Eglise. Mais s'il ne vivait plus, vous seriez dans l'Eglise des orphelins."
extrait de "L'Eglise en danger" de Bonaventur Meyer
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Nous nageons toujours en plein délire et plus je leur mets de prophéties sur ce site, plus ils s'entêtent et plus ils s'obstinent...
En appuyant toujours leur "fou-thèse" sur des paroles de démons (les fils du mensonges) proférées lors d'exorcismes !...
A force de jouer avec le démon, je ne sais pas si ce n'est pas bientôt sur eux qu'il va falloir pratiquer un grand exorcisme pour les délivrer de l'emprise de l'Esprit du Mal.
En attendant, je demande à ceux qui en comprennent l'importante, de réciter la prière "Auguste Reine" (ci-dessous) pour les victimes de ces tromperies de l'adversaire et pour notre pauvre monde malade de ses apostasie :
Père Louis-Edouard Cestac
(1864-01-13)
Le 13 janvier 1864, une âme accoutumée aux bontés de la Très Sainte Vierge, le Père Louis-Edouard Cestac (fondateur de la Congrégation des Servantes de Marie, au sanctuaire de Notre Dame du Refuge, à Anglet, entre Bayonne et Biarritz, dans les Pyrénées Atlantique, décédé en 1868), fut subitement frappé comme d’un rayon de clarté divine. Il vit les démons répandus sur la terre, y causant des ravages inexprimables. En même temps, il eut une vision de la Très Sainte Vierge. Cette bonne Mère lui dit qu’en effet, les démons étaient déchaînés dans le monde et que l’heure était venue de la prier comme "Reine des Anges" et de Lui demander d’envoyer les Légions Saintes pour combattre et terrasser les puissances de l’enfer.
Ma Mère, dit le prêtre, vous qui êtes si bonne, ne pourriez-vous pas les envoyer sans que l’on vous le demande ? – Non, répondit la Très Sainte Vierge, la prière est une condition posée par Dieu même pour l’obtention des grâces. – Eh bien ma Mère, reprit le prêtre, voudriez-vous m’enseigner vous-même comme il faut vous prier ? Et il reçut de la Très Sainte Vierge la prière : "Auguste Reine des Cieux".
"Mon premier devoir fut de présenter cette prière à Monseigneur Lacroix, évêque de Bayonne, qui daigna l’approuver. Ce devoir accompli, j’en fis tirer 500.000 exemplaires, j’eus soin de les envoyer partout".
"Nous ne devons pas oublier de dire que lors de la première impression, les presses se brisèrent par deux fois".
Sous l’impulsion du Vénérable Père Louis Edouard Cestac, cette prière s’est répandue dans l’univers catholique, accompagnée partout de faveurs extraordinaires.
Monseigneur le Cardinal Paul-Emile Léger, ancien Archevêque de Montréal (1904-1991)annonçait : "L’efficacité surnaturelle de cette prière est très grande".
PRIERE A LA VIERGE
Auguste Reine des cieux, souveraine maîtresse des Anges,
Vous qui, dès le commencement, avez reçu de Dieu
le pouvoir et la mission d'écraser la tête de Satan,
Nous vous le demandons humblement,
Envoyez vos légions célestes pour que,
sous vos ordres, et par votre puissance,
Elles poursuivent les démons, les combattent partout,
Répriment leur audace, et les refoulent dans l'abîme.
QUI EST COMME DIEU !
O bonne et tendre mère,
Vous serez toujours notre Amour et notre espérance.
O Divine Mère,
Envoyez les Saints Anges pour nous défendre,
Et repousser loin de nous le cruel ennemi.
Saints Anges et Archanges,
Défendez-nous, gardez-nous.
Imprimatur – Cambrai, le 26 février 1912 – A. Massart, vicaire général.
Prière authentique indulgenciée par Saint Pie X, pour 300 jours d’indulgence, une fois par jour (par int. De SS. Pie X. 8 juillet 1908).
Texte authentique de la prière dictée au Père Cestac, le 13 janvier 1864. Il est très fortement recommandé de l’apprendre par cœur :
Âmes dévouées à la Très Sainte Mère de Dieu et à la sainte Eglise, récitez cette prière chaque jour. Dans les cas difficiles, récitez-la aussi neuf fois de suite, en neuvaine pour les neuf cœurs des Anges, faites reproduire cette humble prière qui est un très puissant exorcisme, et répandez-la à profusion autour de vous et par toute la terre.
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Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE :: LES PROPHETIES SUR LE SAINT PAPE ET LE GRAND ROI
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