Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile
Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Sainte Véronique Giuliani (1660-1727)

Aller en bas

Sainte Véronique Giuliani (1660-1727) Empty Sainte Véronique Giuliani (1660-1727)

Message par Her Ven 18 Mar - 23:15

Sainte Véronique Giuliani
(1727)

Vierge, Clarisse, sainte Véronique Giuliani (1660-1727), eut une enfance tout extraordinaire : le mercredi, le vendredi et le samedi, jours consacrés à honorer la Passion de Jésus-Christ et la Sainte Vierge, elle n'acceptait le lait de sa mère ou toute autre nourriture que deux fois et en petite quantité, prélude des grands jeûnes de sa vie. Six mois après sa naissance, elle s'échappa des bras de sa mère et alla d'un pas ferme, toute seule, vénérer un tableau attaché à la muraille et représentant le mystère du jour. À partir de ce moment, elle marcha sans le secours de personne.

À trois ans, elle avait des communications familières avec Jésus et Marie. Quelques fois l'image de Marie portant Jésus devenait vivante, et, se détachant du cadre, descendait dans ses bras. Un matin qu'elle cueillait des fleurs pour orner l'image de Jésus et de Marie, Jésus lui dit : "Je suis la Fleur des champs".

Charitable pour les indigents dès son bas âge, un jour, elle donna une paire de souliers à un pauvre, et, quelques temps après, elle les vit aux pieds de la Sainte Vierge, tout éclatants de pierreries. Elle fit, à douze ans, voeu de se consacrer à Dieu. Bientôt, recherchée par de brillants partis, elle répondit simplement : "C'est inutile, je serai religieuse." Elle entra à dix-sept ans chez les Clarisses. Elle ne connut point les essais de cette nouvelle vie, et se trouva dès le premier jour religieuse parfaite.

Sa grâce spéciale fut de porter en elle la ressemblance de Jésus crucifié, dont elle méditait sans cesse la Passion. Elle eut son couronnement d'épines, qui laissa des traces douloureuses et inguérissables sur sa tête ; elle sentit, un jour de Vendredi Saint, la douleur du crucifiement, et le Sauveur, lui apparaissant, laissa sur ses pieds, ses mains et sa poitrine, des stigmates tout saignants. Les grâces extraordinaires que reçut Véronique furent achetées au prix de grandes épreuves.
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Sainte Véronique Giuliani (1660-1727) Empty Re: Sainte Véronique Giuliani (1660-1727)

Message par Her Sam 9 Juil - 7:26

SAINTE VÉRONIQUE GIULIANI
Vierge, Clarisse
(1660-1727)

Sainte Véronique Giuliani eut une enfance tout extraordinaire: le mercredi, le vendredi et le samedi, jours consacrés à honorer la Passion de Jésus-Christ et la Sainte Vierge, elle n'acceptait le lait de sa mère ou toute autre nourriture que deux fois et en petite quantité, prélude des grands jeûnes de sa vie. Six mois après sa naissance, elle s'échappa des bras de sa mère et alla d'un pas ferme, toute seule, vénérer un tableau attaché à la muraille et représentant le mystère du jour. À partir de ce moment, elle marcha sans le secours de personne. Un an après, accompagnant sa mère dans un magasin, elle dit d'une voix claire au marchand, qui trompait sur le poids : « Soyez juste, car Dieu vous voit. »

À trois ans, elle avait des communications familières avec Jésus et Marie. Quelques fois l'image de Marie portant Jésus devenait vivante, et, se détachant du cadre, descendait dans ses bras. Un matin qu'elle cueillait des fleurs pour orner l'image de Jésus et de Marie, Jésus lui dit : « Je suis la Fleur des champs. » Charitable pour les indigents dès son bas âge, un jour elle donna une paire de souliers à un pauvre, et, quelques temps après, elle les vit aux pieds de la Sainte Vierge, tout éclatants de pierreries.

Elle fit, à douze ans, vœu de se consacrer à Dieu. Bientôt, recherchée par de brillants partis, elle répondit simplement : « C'est inutile, je serai religieuse. » Elle entra à dix-sept ans chez les Clarisses. Elle ne connut point les essais de cette nouvelle vie, et se trouva dès le premier jour religieuse parfaite.

Sa grâce spéciale fut de porter en elle la ressemblance de Jésus crucifié, dont elle méditait sans cesse la Passion. Elle eut son couronnement d'épines, qui laissa des traces douloureuses et inguérissables sur sa tête ; elle sentit, un jour de Vendredi saint, la douleur du crucifiement, et le Sauveur, lui apparaissant, laissa sur ses pieds, ses mains et sa poitrine, des stigmates tout saignants. Les grâces extraordinaires que reçut Véronique furent achetées au prix de grandes épreuves.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum