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La Colombe de France, le Roi de France et le Christ Roi

2 participants

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La Colombe de France, le Roi de France et le Christ Roi Empty La Colombe de France, le Roi de France et le Christ-Roi

Message par Invité Mer 26 Oct - 12:51

J'avoue parfois je doutais d'un retour de la royauté avec un dernier roi.

Dans le livre consacré à sœur Olive ( éditions résiac "La Colombe de France"), Notre Seigneur Jésus Christ veut et il y aura par la volonté de Dieu Trinité Père Fils et Saint Esprit, un roi représentant le Christ pour que le Christ revienne prendre possession de la France et par là du monde entier.

Pour info les paroles de Marie Julie Jahenny viennent bien du Seigneur, confirmé dans le livre.

Le sanctuaire voulu par Dieu à Paris a été construit dans le couvent rue tournefort Paris V au 16 de la rue et devinez il a été détruit en 1977. Notre Seigneur Jésus Christ a prédit si le sanctuaire est détruit alors Paris sera détruit et après le sanctuaire sera reconstruit en plus grand.

Ce roi est connu de Dieu seul il n'est pas des Orléans, Bourbons ou Naundorff (dis dans les écrits de Marie Julie Jahenny reconnus comme venant de Dieu par Dieu lui même dans le livre).

Il est de la branche royale.

Le sanctuaire détruit à Paris a été remplacé par des bâtiments résidentiels et le nom panthéon a été attribué à ces bâtiments (le panthéon à Paris nouveau nom de l'église dédiée au moyen âge à sainte Geneviève patronne et protectrice de la ville de Paris; ses reliques comme celles de saints, saintes, rois et reines profanées avec les tombes brûlés et jetés dans la seine à la révolution française).

Notre Seigneur Jésus Christ demande dans le livre à Soeur Olive de prier pour l'action française pour que certains d'entre eux deviennent de vrais croyants et de soutenir dans la prière leur désir d'avoir un roi en France mais Jésus a dit ils veulent des rois de France mais pas le bon.

Sur la venue du Christ Roi en France, il faut l'invoquer en tant que Christ Roi, Prince de la Paix, Maître des nations.

et aussi Christus vincit, Christus regnat, Christus imperat


Dieu est Amour


PS :
Ce livre peut être répandu et doit l'être.
Le pape a donné l'imprimatur à une prière de Soeur Olive et sa bénédiction apostolique pour cette mission. C'est le Pape de l'époque qui l'a consacré en tant que religieuse voir le livre.

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La Colombe de France, le Roi de France et le Christ Roi Empty Re: La Colombe de France, le Roi de France et le Christ Roi

Message par Her Mer 26 Oct - 19:39

Bonjour Dieu est Amour,

Je suis entièrement d'accord avec votre analyse, en tous points.

Il est bon de temps à autre d'aller prier discrètement à Paris, au pied de cette résidence.

Il semble que Soeur Olive y a caché trois objets qui seront redécouverts à l'heure de Dieu,
ces objets qui lui avaient été confiés par l'Enfant-Jésus à la baie des Trépassés, à Plogoff...

Meilleures pensées
Hercule

/////////////////////////////////////////////////////////

http://jesus.coeurs.marie.perso.neuf.fr/html/olive.htm

Soeur Olive
(Région : Bretagne, Plogoff - Paris)

Qui est Soeur Olive ?

Le 27 mars 1906 : Naissance de Marie Catherine Olive Danzé.

A Plogoff, dans le Finistère, Dieu se manifestera par l’intermédiaire de Sœur Olive Danzé, appelée aujourd’hui la petite soeur. Inconnue du grand public, sa mission a cependant été réalisée. Elle a vécu sous la direction du Christ comme Marthe Robin et Yvonne Aimée.

Marie-Catherine Olive Danzé est née dans le village de Kerveur à Plogoff et reviendra mourir dans ce même village en mai 1968. La vierge lui apparaîtra avec l’enfant Jésus. Jésus, lui, ne retiendra que le prénom de Olive.
A cinq ans, Jésus lui demande sa grande mission et il va l’éduquer. Il lui dit : « Quitte tout et pars, tu seras religieuse. » A 14 ans, visite de Marie et sa mission lui est donnée, qu’elle va remplir avec ferveur, malgré tous les obstacles mis sur sa route.

Le Christ va la combler de grâces et de charismes, dont les stigmates, et elle vivra avec une température au-dessus de la normale. Sa mission sera de faire construire à Paris une basilique sur la deuxième colline de Paris, la montagne Sainte Geneviève.

La petite Olive réussira à faire construire cette basilique, aidée du Christ dont elle sera la messagère. Elle traversera toutes les épreuves pour que, là, à cet endroit, règne l’amour du Christ.
Ce sera la Basilique du Christ–Roi, élevée à Paris au 16, rue Tournefort 75005.
Maquette de la Basilique,construite dans l'enclos du monastère entre 1935 et 1941.
Jésus sera le Maître Spirituel de la petite Olive qui sera reçue par le Pape Pie XII. Beaucoup de phénomènes spirituels se sont déroulés rue Tournefort : guérisons, grâces, apparitions ; mais Sœur Olive a eu à souffrir de ses supérieures.

Petit historique de la mission de Sœur Olive :
- Paris, Août 1926, arrivée de la petite Olive, rue Tournefort, chez les Bénédictines du Saint-Sacrement.
- 1937 -1938 : construction de la Basilique.
- 29 juin 1939 : Baptême des cloches par le Cardinal Verdier.
- 27 octobre 1940 : Première messe dans la Basilique du Christ-Roi.
-16 juin 1956 : consécration du sanctuaire du Christ–Roi, Prince de la Paix, Maître des Nations.
La petite Olive recevra des locutions intérieures du Christ et elle laissera beaucoup de lettres, de messages, gardés secrets encore de nos jours.
Un sort incroyable va arriver : le 2 février 1977, le sanctuaire est livré à la pioche des démolisseurs. Les plus hautes autorités de l’état furent prévenues, avec pour seule réponse : “cela ne nous concerne pas !”Février 1977 L 'édifice fut rasé.

Extraits du volume
La sainte Vierge confirme Olive dans sa vocation religieuse :
Depuis sa communion solennelle, Olive brûle du désir de devenir religieuse :
"Ma place n'est pas dans le monde. Je dois être une vraie religieuse cloîtrée. Mais je ne sais pas où aller. Je ne sais pas dans quel ordre".

"Arrivée à mes quatorze ans (en 1920), le Jeudi-Saint, la Très-Sainte Vierge m'apparut pour me dire que je devais aller au Monastère des Bénédictines du Saint-Sacrement, 16 rue Tournefort, à Paris, pour être réparatrice et consolatrice de son Jésus. Je lui disais :
- Mais ma Mère, je ne connais pas les Bénédictines du Saint-Sacrement. Et puis il me semble que Paris, c'est bien loin de chez nous, n'est-ce pas ?
- Oui, mon enfant, c'est bien loin. Mais ne te trouble pas. Laisse et quitte tout. Pars au loin. C'est là ta place et ta demeure. Tu y trouveras une nouvelle famille.
Dans la nuit, la veille de la Fête-Dieu, j'avais fait comme une promenade dans un pays étranger. Il y avait des arbres, des chemins étroits et puis une grande maison noire, avec une petite porte. Je rentrai par curiosité, pensant que c'était un château délaissé où vivent parfois des revenants, comme papa nous disait lorsqu'il nous racontait des histoires. Non, là il n'y avait pas de revenants...
Ce n'était pas un château mais la Maison de Dieu. Dans une grande salle carrée, en plein milieu, je voyais un pilier de bois et une religieuse qui le tenait dans ses bras. Elle était attachée au pilier par une grosse corde, comme on attachait le cheval pour ne pas qu'il se sauve. Par terre, c’était tout ciré, et des carrés d'ombre s'y dessinaient. Dans le fond de la salle, il y avait une belle statue toute luisante. Je reconnus que c’était une statue de la Sainte Vierge. Elle avait le Petit Jésus dans ses bras, et le Petit Jésus lui présentait les clefs. Elle bougea la tête, et ses yeux me regardaient. Puis, tout à coup, Elle me parla :
"Tu vois, ma petite fille, disait-Elle, c'est ici que tu viendras. C'est moi qui ai le pouvoir sur cette maison, et ici on vient pour réparer et consoler mon divin Fils, que tu vois là-bas caché derrière les rideaux sombres.
Voilà une Victime expiatrice. Elle n'a pas de péché, mais elle s'est liée librement par la corde que tu vois à son cou. Elle est : Epouse du Divin Holocauste.
Tu viendras ici, près de moi. Tu ne seras pas isolée. Tu me reverras.
Tu seras réparatrice des outrages faits à mon Fils qui est Roi. Il est triste d'avoir à porter sur sa Tête une couronne d'ignominie douloureuse. Elle a été tressée par des mains infâmes qui voulurent Le crucifier. Ils craignirent de perdre leur gloire en voyant la Puissance et la Divinité de mon Fils.
Oui, tu viendras ici, ma petite fille, faire réparation envers ces irrévérences causées contre sa Divine Présence dans l'Hostie.
Sais-tu qu'il y a encore des endroits nombreux dans l'ombre et les ténèbres, où mon Fils n'a pas pu encore porter sa belle Parole de Vie et où Il ne rayonne pas ?
Tu viendras ici, mon enfant, pour faire connaître son Amour présent dans l'Hostie. Tu feras aimer sa Royauté et tu Le feras régner".
La Statue était vivante et le Petit Jésus (dans ses bras) la regardait et lui présentait une clef, détachée du trousseau. Je ne pouvais rien dire. Ma langue ne pouvait même pas remuer. Puis la Statue leva la main droite qui soutenait Jésus, et me traça un signe de croix sur la tête. Au même moment, je voulus connaître où j'étais. Alors la Statue vivante et lumineuse me dit où il fallait porter ma demande, me rappelant surtout de ne pas oublier le nom de ce "Lieu béni".
Ayant noté avec soin le nom de ce Lieu béni, Olive revoit en rêve la nuit suivante la Sainte Vierge, "aussi belle que la première fois". Elle me souriait et me disait :
"Mon enfant, regarde mes Filles qui réparent dans le Monastère de la rue Tournefort. Eh bien ! C'est là ta place. Approche-toi des grilles".
Alors, Elle ouvrit un petit guichet, car Elle avait une clef dans la main. Et je vis plusieurs religieuses dans une chapelle pas très grande. Elles avaient un "carton blanc" au cou, et adoraient Jésus dans le Très-Saint Sacrement qui était exposé ce jour-là. Les religieuses portaient une marque sur leur poitrine. C'est ainsi que je connus, pour la première fois, les Bénédictines du Saint-Sacrement. J'étais très heureuse de les connaître".

La Mission de Soeur Olive :

LE SANCTUAIRE DU CHRIST-ROI

L'origine divine du Sanctuaire du Christ-Roi :

"C'est Notre-Seigneur Lui-même qui lui donna le nom de Sœur Marie du Christ-Roi", écrit le Père Jacq, pour bien lui signifier sa Mission. Et Il lui demanda de faire édifier une basilique où son Nom du Christ-Roi serait glorifié, et sa Royauté honorée et respectée :
"Que toutes les nations M'obéissent,
Me prennent pour leur vrai Roi du Ciel et de la terre.
Que tout genou fléchisse à mon Nom :
Jésus-Christ, Roi sur tout l'Univers".

C'est, en peu de mots, l'origine divine de la construction du Sanctuaire du Christ-Roi, Prince de la Paix, Maître des nations, à Paris, capitale de la France, fille aînée de l'Eglise, aimée du Sacré-Cœur, mais hélas ! si froide et si ingrate à son égard".

Sœur Olive "était dans la désolation de ne savoir où se procurer des fonds avec lesquels on pourrait construire cette église", écrit le Père Lena, son confesseur ; aussi Notre-Dame lui fit un premier don de deux francs et lui dit d'aller dans les églises recueillir des collectes.

Sœur Olive alla ainsi quêter à Notre-Dame des Victoires, Notre-Dame de Paris, Notre-Dame des Champs, Notre-Dame de Clignancourt et à la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre. Entre 1927 et 1929, elle sortait ainsi deux à trois heures par semaine, avec la permission de ses Supérieures. L'Enfant-Jésus venait la chercher, l’accompagnait dans tous ses déplacements, et la raccompagnait ponctuellement à son monastère. Elle proposait de petites images du Sacré-Cœur, que l'Enfant-Jésus bénissait.

Jésus lui inspira aussi, le 3 mars 1927, cette "Prière à Jésus miséricordieux", avec ce commentaire : "Chaque fois que cette prière sera dite, J'y attacherai une grande bénédiction et la marque de mon Amour" :
"O Jésus très miséricordieux,
par votre Cœur percé par la lance,
arrachez vos enfants aux périls de la mort,
ralentissez les persécutions,
unissez tous vos enfants,
qu'ils soient tous vos membres.
Régnez sur tous les cœurs.
O Roi universel,
donnez la lumière au Chef qui Vous représente.
O mon Jésus,
que votre Cœur soit honoré, connu, aimé
dans le monde entier !
Que la Présence de Dieu soit connue
dans la Sainte Eucharistie !
Que toutes les créatures se prosternent devant Lui,
le Très-Haut, l'Unique Dieu !"

Notre-Seigneur relie sœur Olive au Sanctuaire du Christ-Roi :
La marche sur les eaux dans la Baie des Trépassés :

Au mois de mai 1927, Sœur Olive part trois jours pour Plogoff, envoyée par Jésus auprès de ses parents avec mission de les convaincre de signer un document dans lequel ils autorisent le Sanctuaire du Christ-Roi à prendre possession du corps et des affaires personnelles de leur fille, après sa mort, initialement prévue pour 1928. Les parents refusent tout d'abord, aucun argument ne parvenant à les convaincre. Le jour de son départ pour Paris, Sœur Olive reçoit de Jésus l'inspiration de demander à son père de l'accompagner une dernière fois jusqu'à la plage de la Baie des Trépassés, toute proche de la maison familiale. Tandis qu'ils marchent tous deux sur la plage, par beau temps et mer calme, Sœur Olive disparaît soudain et son père, affolé, la croit noyée. Elle réapparaîtra trois heures plus tard, trempée, expliquant à sa famille qui s'apprêtait à annoncer son décès, qu'elle venait de marcher sur les eaux en compagnie de Jésus :

"Pendant que nous étions sur la plage, le Seigneur est venu et m'a emmenée sur les eaux de la Baie des Trépassés (Où la tradition bretonne situe la ville d'Ys engloutie). Et pour confirmer ce que je vous dis, II m'a remis trois marques qu'il a retirées du fond de la Baie des Trépassés :
- les armoiries de Bretagne,
- le cachet du Roi de Bretagne,
- une fleur de lys".


Cet événement surprenant met en lumière la soumission confiante de Sœur Olive à la volonté du Seigneur. Dans l'épisode célèbre de l'Evangile, Pierre vient à la rencontre de Jésus en marchant sur les eaux, puis il se met à douter, s'enfonce et appelle son Maître à l'aide. S'avançant sur les eaux de la redoutable Baie des Trépassés, Olive ne doute jamais, elle est constamment soutenue par son abandon filial à l’amour divin.

Confrontés à un tel miracle, les parents de Sœur Olive comprennent qu'ils doivent exécuter la volonté du Seigneur. Ils acceptent de léguer par écrit le corps et les affaires personnelles de leur fille au Sanctuaire du Christ-Roi. Cette lettre de Monsieur Danzé en témoigne :
"Je soussigné ici présent, je vous livre mon enfant avec le plus grand regret, mais reconnaissant la volonté de Dieu, je vous la donne de bon cœur et de ma propre volonté. Après sa mort, je la laisserai reposer éternellement dans votre monastère. Prenez-la, pour votre enfant, donnez-lui les soins pour sa santé de votre pouvoir, Dieu vous aidera. Recevez tous mes respects.
Monsieur Danzé"


Messages de Notre-Seigneur sur le Sanctuaire du Christ-Roi
14 juin 1927 :

"Ce que Je désire, c'est qu'on élève une belle chapelle et qu'on fasse connaître mon Cœur à toutes les nations.
Qu'elles me prennent pour leur Roi.
Je suis Jésus-Christ, Roi et Prince de la Paix sur toutes les nations et sur les âmes de mes créatures.
Il n'est pas difficile de faire connaître mon œuvre aux pays étrangers pour avoir de quoi bâtir la chapelle où mon Cœur de Christ-Roi sera honoré.
Ce sera ici, dans cette ville capitale, que sera élevée la première chapelle du Christ-Roi.
Maintenant, ma petite Reine, puisqu'il faut des sous pour mes épouses, tu iras faire la quête dans les églises que Je t'ai nommées, mais avant, demande la permission à ta bonne maman pour sortir. Affirme-lui que Je suis toujours à côté de toi, âme innocente.

25 juin 1927 :

"Mon Œuvre, c'est que mes enfants et toutes les nations M'adorent dans la Sainte Eucharistie, que Je sois le Roi vivant dans le saint Tabernacle.
Mon Œuvre, c'est encore que toutes les nations apprennent que Je suis le Roi de la Paix, Maître des nations, Maître de tous mes enfants.
Mon Œuvre, c'est que mon Cœur soit connu par toute la terre.
Mon Œuvre, c'est que ma chapelle soit bâtie sans tarder. Je donne deux années entières pour bâtir mon Trône royal.
Ma petite Reine, Je t'ai déjà dit que personne ne devra construire aucun bâtiment sur l’emplacement réservé à ma chapelle. Je te répète encore que le terrain me soit livré, et gardé pour mon Asile. J'arrangerai tout. Je mettrai les bâtiments à leur place.
Ma petite Reine, il me reste ceci à te dire : qu'au moment où l'image de mon Cœur sera faite, Je veux que l'on grave ces paroles en-dessous :
"Adorons le Cœur de Jésus
Christ-Roi
Prince de la Paix
Maître des nations".
Mon Cœur sera alors reconnu comme Roi et Prince".

Jeudi 7 juillet 1927 :

"Pendant la grand'messe, raconte Sœur Olive, je voyais deux anges, un de chaque côté de Jésus-Christ-Roi. Ils avaient dans leurs mains un long ruban blanc sur lequel était écrit :
"Voici votre Roi, venez et adorons-Le,
soumettez-vous à Lui,
Il est le Roi de toutes les nations".
Le Christ-Roi était joyeux, beau. Il était revêtu de rouge-doré, une couronne sur la tête. Il tenait dans sa main gauche une petite boule dorée entourée d'un cercle blanc ; l'autre main montrait son Cœur au peuple qui était devant Lui.
Il y avait plusieurs groupes de soldats armés d'épées qui brillaient. Mais deux groupes se sont mis à combattre l'un contre l'autre. Jésus, le Roi, les regardait d'un air triste. Puis il apparut sur le ruban : "Venez à Moi, Je mettrai la paix entre vous."
Aussitôt le combat cessa entre les deux groupes ennemis. Mais il y avait à côté d'autres groupes de soldats avec un roi qui les surveillait. Les soldats allèrent à Jésus, Le retirèrent de son trône et Le mirent de côté tandis que d'autres soldats mirent leur roi sur son trône, à sa place. Jésus regardait les soldats des nations. Sur le ruban tenu par les anges, apparurent ces paroles :
"Je suis le seul Roi, vous n'aurez pas d'autre roi, vous M'êtes soumis."
Tous alors se prosternèrent dans la poussière, et tous, y compris celui qui était mis comme roi, adorèrent le vrai Roi du Ciel et de la terre qui les bénit, tandis que les anges chantaient la gloire du Christ-Roi et Lui rendaient honneur. Tous les soldats suivaient leur Christ-Roi, Prince de la Paix, Maître des nations.
Les deux anges chantaient ce qui s'inscrivait sur le ruban :
"Suivons notre Roi, rendons-Lui la gloire et les honneurs.
A Lui, la louange, à Lui tout est soumis au Ciel et sur la terre.
II est le Prince de la Paix, suivons-Le partout".
(Jésus explique alors à sa confidente le sens de cette parabole sur sa Royauté sur les nations) :
"Je suis Roi de France et de toutes les autres nations. Je veux que cette chère France se consacre à mon Divin Cœur, que toutes les âmes M'aiment et Me connaissent pour leur vrai Roi.
C’est alors que Je verserai à flots mes richesses, mes grâces et mes bénédictions sur la belle patrie tant aimée de mon Cœur.
Mais pour cela, tu dois prier, tu dois souffrir, ma petite victime, tu dois même mourir. Mais tu dois aussi ressusciter pour venir ici-bas consoler ta chère France, les âmes et aussi mes ministres et mes épouses (ce sera la mission posthume de Sœur Olive, lorsque la France et l'Eglise seront plongées dans la tourmente). Tous seront inquiets de voir l'état de leur patrie, l'état des âmes. Ils demanderont : Est-ce que Dieu est fâché contre nous ? Il nous punit ? Non pas vous, mes épouses et mes ministres, mais ceux qui n'auront pas voulu se soumettre à Moi".
En conclusion de cette vision, Jésus dicte alors à Sœur Olive la prière du Christ-Roi, la plus importante des prières qu'il lui a transmises.

La prière du Christ-Roi :

"O Jésus, l'unique Roi de l'univers,
nous nous prosternons à Vos pieds
pour Vous adorer et pour Vous prendre
pour notre Roi et notre Guide.
Oui Seigneur,
à Vous toutes les nations sont soumises.
Vous êtes seul le vrai Roi,
Vous êtes seul la vraie Paix,
Vous êtes seul la Lumière.
Nous n'adorons que Vous seul !
Vous êtes notre soutien,
Vous êtes notre richesse,
Vous êtes notre Maître,
ô grand Dieu du Ciel et de la terre.
Nous croyons très fermement que Vous êtes réellement Présent
dans la Sainte Eucharistie.
Vous êtes là, vivant, aimant.
Vous voulez nous nourrir du Pain de Vie.
Oui, venez et nourrissez vos enfants.
Vos regards sont fixés sur les âmes,
vous veillez sur toutes les nations.
Votre Cœur est pour nous un asile de repos.
Nous nous consacrons donc à votre Cœur de Roi et de Prince.
A Vous seul Seigneur, toute gloire, honneur, amour soient rendus,
jusqu'à la consommation des siècles et dans toute l'éternité.
Ainsi soit-il".

Jeudi 30 août 1928 :

"Oh ! dis aux hommes combien mon Cœur est peiné, et combien ma colère divine est prête à tomber sur la terre, si les âmes ne prient pas et ne font pas pénitence, et si ma Royauté n'est pas acceptée.
Oui, mon Cœur souffre de voir le désordre dans l'Eglise, dans les familles, dans les âmes, parmi les nations ensemble. Mon enfant, prie pour ta belle patrie.
Je choisis la plus humble fleur des champs de France pour venir jeter des parfums, pour prévenir les vaillants soldats de France. Toi, humble fleur de France, jette le parfum de ton enfance, de ton innocence, aux âmes vaillantes de ta belle patrie.
Mais Je cherche des âmes croyantes, aimantes, pour te comprendre et pour sentir le parfum de mes paroles, jeté par toi, petit porte-voix.
Non, Je ne demanderai plus d'œuvre, celle-ci est la dernière. Ma Royauté est au-dessus de toute gloire, ma Royauté sera annoncée aux pays de toutes les nations. Les âmes viendront, Me glorifieront et adoreront ma Royauté. Si les nouvelles leur sont remises sans tarder, les âmes demanderont la paix, en versant de fortes sommes pour mon Œuvre, mais il faut que les annonces se portent et volent au loin…"

Le même jour, Jésus revient sur le thème, d'une tonalité apocalyptique, de l'instauration de sa Royauté sur les nations :
"Je suis venu à la Fin des temps demander aux âmes de toutes les nations de venir s'agenouiller devant ma Royauté, de connaître mon Cœur miséricordieux pour les âmes afin que chacun demande grâce et miséricorde à mon Divin Cœur, avant la fin de ce monde.
Je veux sauver les âmes. Je suis le Dieu Sauveur, mais Je laisse les âmes dans une large liberté. Les âmes infidèles à ma Grâce sont nombreuses. Il n'y a pas de faute plus grave que le manque de fidélité à ma Grâce. Mon enfant, prie pour les âmes infidèles, prie pour les âmes consacrées à mon service, prie pour mon Œuvre. Voici que Je suis venu au dernier temps, avant la fin du monde, réclamer des nations leur amour, leur générosité pour mon Cœur de Roi, de Prince et de Maître. Il n'y aura plus d'œuvre à faire après ma Royauté, tout sera accompli, ma Royauté complètera ma Gloire.
J'ai choisi une légion d'enfants pour Me faire connaître aux hommes. Ces âmes innocentes sont élues dans mon Royaume, mais voici que Je ne garde plus qu'une petite âme, la dernière, pour faire connaître ma Royauté et réchauffer mon Amour parmi les hommes, déjà refroidi en ce siècle obscur et vide. Oui, dis de nouveau combien Je suis bon, combien mon Amour est infini pour les âmes rachetées par mes Souffrances.
Cette âme choisie dans l'innocence fera connaître ma Royauté, ma Beauté, ma Bonté, ma Miséricorde, ma Puissance, ma Justice, mon Amour.
Je veux régner. Je régnerai sur toutes les nations.
Je terrasserai par des fléaux les méchants, les âmes critiques, les blasphémateurs, les profanateurs, les menteurs, les joueurs.
Oui, mon enfant, Je régnerai. Je serai le Dieu vainqueur. Toutes les nations Me seront soumises.

Mars 1929 :

"Ma petite fleur, Je viens de nouveau vers toi pour te dire de consoler mon Cœur, de réparer pour les âmes qui M'offensent. Prie pour le chef qui conduit les âmes d'Action Française (Charles Maurras, ardent admirateur de l'Eglise catholique et défenseur de ses droits, mais incroyant). Oui, prie pour lui et mon Cœur se laissera toucher.
Ma fleur bénie, tu diras à mes deux chères épouses que l'heure n'est pas encore venue de placer pierre sur pierre dans mon Œuvre, mais dis-leur que cela est proche. Les âmes généreuses vont venir à Moi et J'irai à elles par mes Grâces, mes Lumières, par mon Amour, ma Paix et ma Miséricorde, ma fleur innocente.
Tu diras encore à mes épouses que Je veux que l'Image de ma Royauté soit portée en triomphe. Les âmes me formeront un trône en ce lieu où elles viendront toutes se jeter à genoux en ma Présence pour demander la paix. Oui, il y aura des miracles de paix, d'amour, de lumière, d'union, de miséricorde. Cela sera accordé aux âmes de foi et d'amour. Ma Puissance reste cachée, mais Je suis là. Je vois tout.
Je veux que la Cour soit formée promptement, simple mais grandiose. Il y aura un chef qui me représentera, il y aura un Roi qui sera mon image, une Reine qui représentera ma divine Mère, et il y aura des saints et des saintes, c'est-à-dire des époux et des épouses formant la Cour royale. Mais lorsque la Cour sera formée, Je parlerai, Je commanderai et Je régnerai. Les âmes humaines représenteront la Cour royale. Je suis le seul Roi, le Membre unique de l'Eglise, de l'univers entier".

La soumission au Christ-Roi :

II ne faut pas croire que l'amour du Christ-Roi soit une dévotion, non, mais une véritable soumission devant sa Législation souveraine, écrit Sœur Olive en décembre 1941. C'est un devoir à tous, chrétiens, de s'agenouiller et de se prosterner, de crier à haute voix, en face des assemblées :
"O mon Roi et mon Dieu, je Vous adore, je reconnais votre Souveraineté, en face du ciel et de la terre. Votre pouvoir est absolu, divin, autant que temporel, et votre Règne éternel. Toutes les nations Vous appartiennent, nos cœurs seront votre trône, nos âmes votre gloire, nos vies Vous seront soumises. Notre mort sera unie à votre Sacrifice et notre résurrection à votre Vie qui est immortelle. O Christ-Roi, Unique Maître et Unique Souverain, inébranlable Royaume, Vous serez toujours dans les siècles le Roi éternel."

"Elle date de loin et elle remonte haut, cette universelle Royauté du Sauveur, écrivait de même Mgr Pie, au siècle dernier :
- en tant que Dieu, Jésus-Christ était Roi de toute éternité ; par conséquent, en entrant dans le monde, il apportait avec Lui déjà la Royauté,
- mais ce même Jésus-Christ, en tant qu'homme, a conquis sa Royauté à la sueur de son front, au prix de son sang.
Assurément, le nom et l'attribut du Maître et Dominateur suprême appartient par droit de nature au Fils de Dieu fait homme : c'était l'apanage obligé de la personnalité divine. Mais, à son droit de naissance, il a eu la noble ambition de joindre le droit de conquête.
De quels combats victorieux cette conquête a-t-elle été le prix ? Saint Paul nous l'apprend dans son Epître aux Philippiens :
"Etant l'image vivante et consubstantielle du Père, et ne commettant point d'usurpation en revendiquant d'être égal à Dieu, il s'est pourtant anéanti lui-même, prenant la forme de l'esclave et devenant semblable aux hommes. Que dis-je ? Il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort de la croix. Or, poursuit l'apôtre, voilà pourquoi Dieu l'a exalté et lui a donné un nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse au ciel, sur la terre et dans les enfers."
L'accomplissement d'une vocation réparatrice
Sœur Olive désirait beaucoup participer à l'adoration de nuit. Mais on la trouvait trop jeune, et elle avait tant besoin de sommeil qu'on hésitait à lui accorder cette sainte fatigue. Cependant Notre-Seigneur voulait les adorations de cette âme candide et aimante, choisie pour l’immolation.
Souvent, le vendredi, et surtout chaque premier vendredi du mois, Il venait la réveiller vers onze heures du soir. Elle voyait près d'elle le Divin Enfant lui disant de se lever. Il était resplendissant de lumière. Il guidait Olive, descendant avec elle et la conduisant jusqu'à l'avant-choeur.
Une nuit, le 14 octobre 1926, ce même fait s'était reproduit. Mais après avoir laissé quelque temps Sœur Olive en adoration derrière le Tabernacle, Jésus lui dit d'aller dans le lieu où Il demeurait nuit et jour. Elle comprit qu'elle devait entrer dans le chœur des religieuses, et alla se placer près de la grille. Au bout de quelques instants, elle vit sortir du Tabernacle une grande lumière, puis, tout près d'elle, derrière la grille, aperçut Notre-Seigneur lui montrant son Cœur Sacré. Elle vit la large plaie de son Divin Cœur, entourée de rayons qui allaient jusqu'à son petit cœur et le consumaient. Couverte de sueur et pleurant, elle entendit son Sauveur lui parler de ses souffrances et de l'ingratitude de ses enfants, méconnaissant son amour".

Sœur Olive a retranscrit les paroles de Jésus-Christ à cette occasion :
"Ne pleure point, mon enfant, Je suis là. Mes souffrances sont aussi tes souffrances. Donne-moi l'amour brûlant que ton petit cœur possède. J'ai soif de l'amour de mes enfants. Ils ne savent pas que Je souffre en mon Cœur de voir le peu d'amour qu'ils ont pour Moi. Oh ! ma fille, demande-leur donc de l'amour pour mon Cœur. Je ne suis qu'Amour pour eux. Eh bien, mon enfant, pour Me consoler de cette soif, brûle constamment au-dedans de ton cœur sans jamais te plaindre. Supporte cette chaleur en ton petit cœur et pense au mien. Brûle, brûle pour mon Cœur qui a tant aimé les hommes et que les hommes aiment si peu.
En ce moment, il y en a beaucoup qui M'aiment, mais il y en a encore plus qui M'outragent et Me font de la peine. Toi, ma fille, sache réparer ces outrages et ces oublis, par ton amour qui brûle nuit et jour. Regarde aussi mes Mains percées de clous. Ma Tête est entourée d'une Sueur de Sang qui coule sur mon Visage. Ne prends pas peur, ma petite Victime, toi aussi tu souffriras avec Moi, pendant ma Passion !
Ta petite tête encore tendre aura des douleurs aiguës, mais tu n'auras pas ma Couronne, cependant tu auras les mêmes douleurs. Ton cœur sera percé par la même lance que Moi ; tes petites mains auront les mêmes marques que Moi. Mais ta petite croix sera à ta taille.
Tu ne seras pas toute seule. Je serai là, au milieu de toutes tes douleurs. Ne crains point toutes ces souffrances, ce sont des trésors."
La Sainte Vierge avait bien annoncé prophétiquement à Sœur Olive qu'elle serait, dans ce lieu béni, "réparatrice des outrages faits à mon Fils qui est Roi", qu'elle ferait "réparation envers ces irrévérences causées contre sa Divine Présence dans l'Hostie", et qu'elle ferait connaître "son Amour présent dans l'Hostie" et "aimer sa Royauté".

Sœur Olive écrira, en décembre 1941 :
"La mission de l'âme adoratrice est particulièrement marquée et choisie pour faire régner sur tous le Roi de l'Eucharistie. Elle doit couronner son Roi d'un diadème d'or et de pierres précieuses, en réparation de l'ignominieuse couronne d'épines posée et enfoncée avec mépris et moquerie sur la tête du Roi Suprême ! L'amante doit consoler son Epoux des humiliations des Juifs, devant la foule et dans le prétoire, recevant soufflets et crachats. Ils lui bandèrent les yeux, lui lièrent les mains et le frappèrent. Ils se moquaient de son titre de Roi ! Ils voulaient qu'il fasse un miracle en leur présence, mais leurs yeux étaient trop impurs et n'étaient pas dignes de voir les merveilles. Le Christ Amour et Roi en vérité se taisait. Il le fait encore aujourd'hui dans le Saint-Sacrement de l'Eucharistie, mais Il parle cœur à cœur à l'âme fidèle qui sait faire le vide en elle-même, afin de se remplir de Lui seul et de sa divine parole.
Les amantes du Divin Roi sont les épouses de son Cœur ; elle doivent en vérité étendre, par leur vie de pureté et d'immolation, la divine Royauté du Christ, et ainsi Le faire aimer des nations, de tous, par leur véritable union, leur vie sainte embrasée du véritable amour — à elles devront se joindre les ministres, les moines, les prêtres, les évêques, les missionnaires, les ordres actifs et contemplatifs — tous se scelleront dans la même ardeur de la charité et amitié religieuse pour créer l'harmonie, faisant retentir le "Vivat" de "Christus Vincit, Christus Regnat, Christus Imperat".
La Mère des Novices raconte la vie religieuse de Sœur Olive :
Entrée le 13 août 1926 au monastère de la rue Tournefort, où elle fait un postulat régulier de plus de six mois, Sœur Olive prend d'abord l'habit d'Oblate de Saint Benoît. Le 7 juin 1928, elle est admise par le chapitre de la Communauté à l'unanimité à prendre le saint habit, recevant le nom de Sœur Marie du Christ-Roi.
Elle doit, dans le plan divin initial, monter au Ciel le 15 août 1928 : dans ce court intervalle de temps, sa vie religieuse apparaît alors d'une exceptionnelle richesse surnaturelle, comme en témoigne le récit fait par la Maîtresse des Novices, Mère Agnès de Jésus, des événements miraculeux survenus au début de l'année 1927, peu de mois après son arrivée au monastère.

Le dimanche 30 janvier 1927, "pendant la consécration, écrit Mère Agnès de Jésus, Notre-Seigneur Se montre à Sœur Olive sous les traits du Sacré-Cœur. Il lui recommande encore de prier pour l'Action Française :
"Je régnerai, dit-Il, il y aura des difficultés parmi les différents partis et dans le peuple, mais ils viendront à la lumière et à la vérité".
Jésus dit encore :
"Je suis partout blasphémé, volé, outragé. En Turquie, il y a des sacrilèges contre la Sainte Eucharistie. On a pris des Hosties et on les a jetées au feu. Mon Sang a jailli de l'Hostie. Tu verras cette Hostie et une autre La verra avec toi".
Jésus ajouta :
"Les gouttes de sang qui reposent sur la croix (il s'agit de la croix de la bourse posée sur le meuble servant d'autel pour la communion) sont une preuve de la profanation de l'Hostie et de ma Présence ici. Dis à ta Mère de découdre cette croix".
En s'approchant du meuble qui servait d'autel, la Mère Maîtresse vit sur la croix de la bourse des gouttes de sang vermeil qui restèrent sans se coaguler, jusqu'à ce qu'elle eût porté la bourse à la Révérende Mère et au Révérend Père Confesseur, c'est-à-dire plus d'une heure.
Notre-Seigneur chargea l'enfant de prier le Révérend Père Confesseur d'aller trouver Son Eminence le cardinal et de l'avertir de ce qui se passait, puis de lui porter la prière au Saint Enfant-Jésus qu'il désirait voir se répandre :
"O Jésus, Divin Enfant,
nous venons humblement
Vous adorer,
Vous aimer, et
Vous consoler.
Nous venons déposer
sur votre Visage
le doux baiser de notre amour
pour essuyer les crachats
dont les méchants ont couvert
votre Face si tendre.
Nous voulons réparer
le mal commis contre l'Eucharistie.
O mon Sauveur,
oubliez les injures et
pardonnez aux pécheurs.
Protégez la Sainte Eglise,
défendez vos enfants,
et sauvez la France".

Enfin, de demander des Messes et des Prières pour réparer les profanations et les vols sacrilèges".

Le jeudi suivant, 3 février, le matin, vers 6 heures, Sœur Olive vit au-dessus du ciel de lit, vers le pied, une Hostie lumineuse, avec un cœur rouge au centre, des gouttes de sang en découlant.
D'une croix, également dans l'Hostie, sortaient des rayons. Sœur Olive appela sa petite sœur infirmière, disant : "Sœur Marie Cécile, l'Hostie !...". Après un moment de recherche, la jeune sœur, approchant du lit, vit aussi l'Hostie miraculeuse. Vite, elle courut chercher la Mère Maîtresse, mais pendant ce temps, l'Hostie disparut, "comme une étoile filante", ajouta Sœur Olive.
Le même jour, jeudi, le Saint Enfant-Jésus apparut à Sœur Olive, à nouveau pendant la Consécration, et lui dit qu'il avait voulu lui montrer l'Hostie miraculeuse à l'aurore du Jour où Il avait institué la Sainte Eucharistie, afin de rappeler ce Bienfait et d'obtenir des adorations et des réparations. Notre-Seigneur dit encore ce jour-là de prévenir Son Eminence le Cardinal Dubois de ce qui se passait, et de faire connaître son Désir de voir connue et propagée la Prière au Saint Enfant-Jésus qu'il lui avait indiquée".
Une sainteté évidente :
Ainsi, au terme de deux ans de vie monastique assortis d'intenses souffrances et d'abondants miracles, la sainteté de Sœur Olive est devenue évidente, irréfutable. La toute petite Olive est une très grande sainte, et tout le Ciel le proclame :
- Marie lui dit : "Tu es toute pure et innocente. Il n'y a rien d'autre en toi que le péché originel", ajoutant : "Je vois déjà ton auréole".
- Dans une autre circonstance, la Sainte Vierge lui montre sa couronne céleste, lui disant : "Regarde ta couronne", attestant par là que Soeur Olive s'est en tous points conformée au modèle de sa Sainte Mère.
Son Ange lui montre la couronne qu'il lui tresse dans le Ciel avec des fils d'or, et un Chœur d'Anges lui désigne sa place dans le Ciel : "Ave, élue de Dieu, viens avec nous parmi le chœur des Anges".
- Enfin, Notre-Seigneur Lui-même lui fait cette révélation : "Aux yeux des créatures, tu seras dans la terre, mais au milieu de cette poussière tu resteras intacte". Son corps sera retrouvé incorrompu lorsque l'Eglise cherchera à établir officiellement sa sainteté. Un membre de sa famille, qui porta son corps pour la mise en bière, trois jours après son décès, atteste que celui-ci était encore souple et, tiède, comme vivant, ce qui augure certainement de son caractère incorruptible.
"Jésus, note le Père Jacq, appelle Sœur Olive : "Ma petite sainte", "O Sainte Enfant de Mon Cœur", "O ma petite Reine des enfants innocents", "Sancta Oliva Galliae", "Sainte Olive des Gaules", attribut sublime et très surprenant."

Il faut mentionner ici la visite de saint Martin à la maison des Danzé, avant la naissance d'Olive. Un soir d'hiver, un pauvre se présenta à leur porte sous le nom de "Martin le pouilleux", leur demandant l'hospitalité. La mère hésita un instant : "Mon pauvre homme, il y a beaucoup d'enfants ici, et la maison est si petite...
- S'il vous plaît, insista Martin, je viens de loin, je suis si fatigué. Faites-moi une place dans la crèche près de votre brebis.
- Non, mon ami, répondit le père, cela n'est pas digne d'un chrétien. Vous dormirez dans l'âtre de la grande cheminée, le feu est éteint mais la pierre est encore chaude".
Martin les remercia de leur hospitalité, il leur annonça : "Un jour, cette maison sera bénie !", puis il fit sur eux un grand signe de Croix avant de les quitter pour la nuit.
Le lendemain matin, en descendant, les parents d'Olive ne trouvèrent plus leur hôte : il avait disparu, et pourtant la porte d'entrée était toujours fermée de l'intérieur. Il fallait être "du Ciel" pour savoir qu'ils avaient une brebis dans la crèche et pour disparaître ainsi. Le pauvre "Martin le pouilleux", qui était venu bénir leur demeure était en fait saint Martin, l'apôtre des Gaules, annonçant la venue de la "jeune âme" qui deviendrait un jour "Sancta Oliva Galliae", sainte Olive des Gaules...

Méditant sur la sainteté de Sœur Olive, le Père Jacq écrit encore :
"Dans un colloque avec sa "petite fleur", Jésus lui dit, le 6 septembre 1927 :
"Tu es Reine, tu es sainte, tu es oblate enfantine, tu es ma petite fleur.
Tu ne dois grandir ni en taille, ni en âge, ni en costume.
Tu diras à mes deux chères Epouses bien-aimées de mon Cœur que tu seras déposée sur l'Autel dans ton costume angélique et immaculé.
- Blanche fleur,
- Pur Lys,
- Sainte Enfant,
- Patronne des enfants et des innocents,
- Fleur des âmes pures,
- Reine de France,
- Victime des combats,
- Soutien des combattants,
- Modèle des enfants,
- Vie sacrifiée pour l'Eglise
pour les âmes,
et pour la France.
Voilà, ma petite fleur, tous les titres que tu recevras bientôt, une fois absente de ce monde".
Et si nous cherchons les causes de cette exceptionnelle sainteté, nous en distinguons au moins deux :
- Sœur Olive eut pour modèle la Sainte Vierge, et se conforma à son image,
- Elle conserva toute sa vie l'innocence et la pureté d'âme de sa prime enfance.
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Message par sdurif Sam 19 Jan - 23:18

Je suis Le Christ Roi, Le Grand Monarque.

Signé : Sylvain Pierre Durif
aliasSylvanus, alias L'Homme Vert, alias Merlin l'Enchanteur, alias Le Grand Monarque, alias Oriana Empereur cosmique, alias Al Khidr le verdoyant, alias Le Machiar (messie), alias Maitreya le lion blanc, Le Christ cosmique.

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