Marie Notre Mère - Marie a été le soutien de l’Eglise naissante ; elle sera celui de l'Eglise de la fin des temps
Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE :: NOTRE DAME, SOUVERAINE MAÎTRESSE DE CETTE MISSION
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Marie Notre Mère - Marie a été le soutien de l’Eglise naissante ; elle sera celui de l'Eglise de la fin des temps
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J’ai été le soutien de l’Eglise naissante ; je serai celui de l'Eglise de la fin des temps
En 47 de notre ère selon Ernst, Gamba et Sausseret, ou en 70 selon Hierzenberger, une femme nommée Vila (ou Villa), originaire de Ravessium, atteinte d’une forte fièvre, se fit porter sur le mont Anis. Elle se fit allonger sur la table d’un dolmen jouissant d’une réputation miraculeuse, dite « pierre des fièvres ». Elle s’endormit. La Vierge lui apparut en songe et lui demanda de visiter Georges évêque du lieu, pour qu’il construise une église. Un signe serait donné à l’évêque : la guérison de Vila.
Au réveil, celle-ci se sentit guérie et alla trouver l’évêque qui lui fit bon accueil. Le prélat se rendit sur le mont Anis (un 11 juillet), accompagné de son clergé. L’endroit précis où la Vierge était apparue était couvert de neige ; un cerf traça avec ses bois le contour du futur édifice. L’évêque fit mettre une palissade en bois à cet endroit.
Telle fut selon la tradition locale l’origine du sanctuaire du Puy-en-Velay, qui fut le premier sanctuaire dédié à la Mère de Dieu en Europe. Au XIe siècle, saint Léon IX (1002-1054) le proclama le « plus illustre qui soit en France ». La « pierre des fièvres », mentionnée dans le récit, a été conservée dans la cathédrale jusque vers l’an mil ; puis elle a été installée en haut du grand escalier de 134 marches.
A l'âge de 10 ans, Jean-Claude Courveille fut atteint de la petite vérole, qui lui avait abîmé les yeux : il ne voyait presque plus. Sa mère consulta des médecins qui lui dirent que c'était incurable. Devenu jeune homme, il désirait beaucoup étudier pour être prêtre, mais sa mauvaise vue lui rendait l'application à l'étude impossible.
En 1809, il eut l'inspiration très forte de faire le pèlerinage de Notre Dame du Puy, dont il n'était éloigné que de 5 lieues, de prendre de l'huile de la lampe qui brûle devant la statue de Notre-Dame, d'en frotter ses yeux. Aussitôt qu'il eut fait cela, il distingua parfaitement même les plus petits objets qui étaient dans la cathédrale et depuis il a toujours joui d'une vue excellente.
En 1810, dans la même église, devant la même statue miraculeuse, il promit à la Sainte Vierge de se dévouer tout entier à elle, de faire tout ce qu'elle voudrait pour la gloire de Notre Seigneur, pur son honneur à Elle, pour le salut des âmes. Toute sa pensée était d'être prêtre et de s'employer, par l'exercice du zèle sacerdotal, à la réalisation de ce triple vœu.
En 1812, renouvelant sa même promesse à Marie, au pied du même autel, il reçut un message intérieur dont il existe plusieurs versions. Selon la version transmise par le Vénérable Jean-Claude Colin, fondateur des Pères maristes, la Sainte Vierge lui confia une belle promesse : « J'ai été le soutien de l'Église naissante, je le serai aussi à la fin des temps ; mon sein s'ouvrira à tous ceux qui voudront y entrer.»
J’ai été le soutien de l’Eglise naissante ; je serai celui de l'Eglise de la fin des temps
En 47 de notre ère selon Ernst, Gamba et Sausseret, ou en 70 selon Hierzenberger, une femme nommée Vila (ou Villa), originaire de Ravessium, atteinte d’une forte fièvre, se fit porter sur le mont Anis. Elle se fit allonger sur la table d’un dolmen jouissant d’une réputation miraculeuse, dite « pierre des fièvres ». Elle s’endormit. La Vierge lui apparut en songe et lui demanda de visiter Georges évêque du lieu, pour qu’il construise une église. Un signe serait donné à l’évêque : la guérison de Vila.
Au réveil, celle-ci se sentit guérie et alla trouver l’évêque qui lui fit bon accueil. Le prélat se rendit sur le mont Anis (un 11 juillet), accompagné de son clergé. L’endroit précis où la Vierge était apparue était couvert de neige ; un cerf traça avec ses bois le contour du futur édifice. L’évêque fit mettre une palissade en bois à cet endroit.
Telle fut selon la tradition locale l’origine du sanctuaire du Puy-en-Velay, qui fut le premier sanctuaire dédié à la Mère de Dieu en Europe. Au XIe siècle, saint Léon IX (1002-1054) le proclama le « plus illustre qui soit en France ». La « pierre des fièvres », mentionnée dans le récit, a été conservée dans la cathédrale jusque vers l’an mil ; puis elle a été installée en haut du grand escalier de 134 marches.
A l'âge de 10 ans, Jean-Claude Courveille fut atteint de la petite vérole, qui lui avait abîmé les yeux : il ne voyait presque plus. Sa mère consulta des médecins qui lui dirent que c'était incurable. Devenu jeune homme, il désirait beaucoup étudier pour être prêtre, mais sa mauvaise vue lui rendait l'application à l'étude impossible.
En 1809, il eut l'inspiration très forte de faire le pèlerinage de Notre Dame du Puy, dont il n'était éloigné que de 5 lieues, de prendre de l'huile de la lampe qui brûle devant la statue de Notre-Dame, d'en frotter ses yeux. Aussitôt qu'il eut fait cela, il distingua parfaitement même les plus petits objets qui étaient dans la cathédrale et depuis il a toujours joui d'une vue excellente.
En 1810, dans la même église, devant la même statue miraculeuse, il promit à la Sainte Vierge de se dévouer tout entier à elle, de faire tout ce qu'elle voudrait pour la gloire de Notre Seigneur, pur son honneur à Elle, pour le salut des âmes. Toute sa pensée était d'être prêtre et de s'employer, par l'exercice du zèle sacerdotal, à la réalisation de ce triple vœu.
En 1812, renouvelant sa même promesse à Marie, au pied du même autel, il reçut un message intérieur dont il existe plusieurs versions. Selon la version transmise par le Vénérable Jean-Claude Colin, fondateur des Pères maristes, la Sainte Vierge lui confia une belle promesse : « J'ai été le soutien de l'Église naissante, je le serai aussi à la fin des temps ; mon sein s'ouvrira à tous ceux qui voudront y entrer.»
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