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Maria Simma nous parle de la confession

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Maria Simma nous parle de la confession Empty Maria Simma nous parle de la confession

Message par lucienne1 Lun 10 Déc - 22:58

LA CONFESSION


Les Pauvres-Ames-vous ont-elles parlé du sacrement de réconciliation, ou de la confession?

Oh! Oui, elles en ont souvent parlé. Elles s’attristent beaucoup de ce que ce sacrement soit maintenant si impopulaire, si négligé. Ce don de Dieu est si grand que seul Satan pourrait vouloir le détruire. Et je crains ici encore qu’il y soit bien parvenu.
La confession, comme on devrait l’appeler, est une chose vers quoi il faudrait courir et non pas, comme Satan le souhaite, quelque chose que nous devrions craindre. Ne vous inquiétez pas, il n’y a rien que vous puissiez dire à un bon prêtre qu’il n’ait déjà entendu. Un bon prêtre sait très bien qu’il est lui-même, avec tout ce qu’il a appris et reçu, un bien plus grand pécheur que vous ne l’êtes. C’est une grande joie pour Jésus et tous les habitants du Ciel lorsque nous lui apportons nos blessures et nos faiblesses.
Les Pauvres Ames m’ont dit que soixante pour cent des dépressions du monde entier disparaîtraient si les gens voulaient profiter de ce grand don. Naturellement, beaucoup de médecins et de compagnies pharmaceutiques feraient faillite si tout le monde allait régulièrement à confesse. Notre Seigneur peut sauver qui Il veut et guérir ce qu’Il veut, à condition qu’on veuille faire appel à Lui! Notre-Dame a dit, et je crois que c’est à Medjugorje, que la confession mensuelle pourrait guérir l’Occident.
La confession est très mal comprise. La plupart n’ont pas de difficulté à discerner le mal du bien, mais cela devient beaucoup plus intéressant et bien plus exigeant lorsqu’il s’agit de différencier entre ce qui est bien et ce qui est mieux. La confession ne nous est pas donnée pour avouer que nous avons dévalisé une banque, car les voleurs de banque sont en réalité peu nombreux. Elle est surtout là pour nous permettre de chercher des façons de devenir toujours meilleurs aux yeux de Dieu: au cours du mois dernier, comment aurais-je pu agir plus saintement? Voilà ce que nous devons nous demander, et je défie n’importe qui d’affirmer qu’au cours du mois qui vient de s’écouler il a tout fait comme Jésus l’aurait fait.
L’humilité nous vaut les plus grandes des grâces. Jésus accorde les plus grandes choses aux humbles de cœur. La confession nous rappelle continuellement la petitesse que Jésus désire pour nous afin qu’Il puisse nous faire des dons énormes.

Que répondriez-vous à tous ces gens qui disent, et avec sincérité, qu’ils n’ont pas besoin d’un prêtre pour se confesser, qu’il n’est pas nécessaire de tout raconter à une autre personne et qu’ils peuvent eux- mêmes s’adresser directement à Dieu?

Si c’était vrai, les psychiatres et les psychologues ne feraient pas d’aussi bonnes affaires. Le plus intelligent comme le plus simple pourraient aller voir le même prêtre, et être tous deux également émerveillés des fruits et des grâces qui découleraient de cette brève et libre rencontre avec Jésus. Tout être humain éprouve le même besoin de confesser sa culpabilité et ces interminables et très onéreux groupes de rencontre et thérapies ne seraient nullement nécessaires si seulement les gens allaient à Jésus! Qui plus est, les grandes grâces ne viennent pas de là, elles ne viennent pas des docteurs ou des laïcs séculiers, elles viennent de Jésus et uniquement de Jésus! Il est si facile d’amener les gens à se duper eux-mêmes.
Ne croyez-vous pas que Celui qui, pour commencer, nous a donné la vie, n’est pas également capable de nous donner infiniment plus que ce verbiage de la majorité des psychologues sur « la façon de faire face » ? Que Dieu les bénisse! La plupart n’osent même pas aborder la réalité du péché, comment pourraient-ils évoquer la réalité du pardon? Ils doivent compter sur une clientèle d’habitués, et le refus d’aller se confesser leur garantit l’achat de leur prochaine grosse voiture. Ils prospèrent à cause de nos péchés alors que Jésus est mort pour que nous puissions les vaincre et les effacer à jamais!

Et si l’on réplique que Jésus n’a jamais enseigné que nous devions entrer dans un confessionnal pour se confesser?

C’est exact. Je leur suggère alors d’aller se confesser à un prêtre à voix haute, mais en public. Le fait est qu’il faut que ce soit à voix haute. Jésus nous a dit de nous repentir et si nous le faisons il enlève nos péchés, et c’est alors seulement que Satan ne les connaît plus. Il ne peut plus s’y attacher ou attaquer la personne par ce maillon brisé ou affaibli entre Dieu et nous.

Mais c’est un prêtre qui est dans le confessionnal, ce n’est pas Jésus.

En êtes-vous bien sûr?
Une grand-mère italienne voulait amener son petit-fils de huit ans à Padre Pio pour sa première confession. Elle était naturellement très excitée en arrivant dans son église. L’enfant est donc allé se confesser et il en est ressorti rayonnant de joie. La grand-mère connaissait Padre Pio Elle savait qu’il était petit, rondelet, un peu chauve, avec les yeux noirs, et qu’il avait environ soixante-cinq ans; mais elle a quand même demandé à l’enfant: « Allez, raconte-moi, de quoi est-ce qu’il avait l’air? ». Très calmement et en détail le jeune garçon lui a répondu:
« Oh il était grand et bien bâti, avec les yeux bruns; il avait de longs cheveux châtains et il devait avoir environ trente ans. »

Vous plaisantez !

Non. Ces choses-là arrivent souvent dans des lieux très saints et où l’on prie beaucoup.

Permettez-moi de vous présenter un cas hypothétique et de vous demander ensuite votre avis. Prenons deux familles. Les deux mènent des existences relativement bonnes et saines. Une de ces familles va se confesser de façon assez régulière tandis que l’autre n’y va pas. Y aura-t-il des différences chez leurs descendants et, si oui, quelles seront-elles?

La première famille aura une base solide pour se rapprocher toujours plus de Jésus au cours des générations, tandis que l’autre aura des fardeaux qu’elle n’aurait pas eu à porter si les parents étaient allés se confesser régulièrement. Ces fardeaux comprendront des maladies et des faiblesses qui auraient pu être évitées. L’attitude équilibrée et continuellement pénitente de la première famille apparaîtra dans la force et la foi de leurs descendants, alors que ceux de l’autre famille seront bien plus vulnérables aux attaques de Satan.

Êtes-vous en train de nous dire que les gens auxquels on rappelle constamment leur condition de pécheurs finissent par être en meilleure santé que les autres?

Oh! Oui! Avec l’humilité de la confession, la prière et l’amour de Dieu qui en résultent, une force et un équilibre se développent qui constituent des gens beaucoup plus sains. Ce qui veut dire en meilleure santé émotionnelle, mentale et physique. Et cela se transmet à travers les générations.
Nous pouvons donc avec notre amour, nos prières et la confession garantir une santé meilleure à nos enfants, nos petits-enfants et nos arrière-petits-enfants?

Oui, exactement. Une partie beaucoup trop grande de la médecine aujourd’hui se limite à réparer les dégâts. Si les bons médecins d’aujourd’hui, dans tous les domaines, devaient consacrer le même temps et la même énergie à la prévention - la prévention telle qu’elle nous est demandée dans les Dix Commandements - le monde n’aurait qu’une fraction des maladies qu’il connaît aujourd’hui. La médecine préventive ne coûte rien et, de plus, elle nous fait prendre conscience beaucoup plus clairement de l’immensité de l’amour de Dieu pour nous. Ce n’est pas un jeu de Dieu; il est plein de joie lorsque nous sommes remplis de la paix et de la joie qui en résultent. Tout ce que Dieu veut, c’est que nous soyons heureux, libres et en bonne santé!

Pourriez-vous alors nous expliquer le rôle de la contrition et du repentir au moment de la mort?

Avec une bonne confession, une contrition sincère et une totale honnêteté, toute culpabilité est enlevée, mais il reste la réparation. Nous ne sommes pas complètement libérés de ces péchés. Et pour obtenir une absolution totale, l’âme doit être libre de toute dépendance.
Par exemple, si une mère devait mourir en laissant de nombreux petits enfants, elle devrait s’abandonner au point de pouvoir dire véritablement, « Mon Dieu, je vous donne tout, que votre volonté soit faite ». Et cela peut être très, très difficile.
La liberté, après avoir payé jusqu’au dernier centime, comme Jésus l’a dit, est entre Dieu et nous, entre nous et les autres, avec réparation supplémentaire et une libération totale de toute forme de dépendance vis-à-vis des choses autres que Dieu lui-même.

Ainsi, pour être entièrement libre de tout péché, c’est réellement un processus à trois volets. Est-ce exact?

Oui. Premièrement une réparation entre nous-mêmes et Dieu, puis une réparation entre nous et les personnes que nous avons blessées, ce qui signifie toujours aussi nous-mêmes, et, finalement une réparation sous forme de prières et de bonnes œuvres. Le péché ne doit pas simplement être effacé, il a aussi besoin d’être réparé.

Ceux qui ne sont ni catholiques ni chrétiens devraient-ils aussi aller se confesser?

Oh! Oui! Tout bon prêtre qui veut faire ce que Jésus lui a demandé ne renverra jamais personne. Si cela devait arriver, je conseille d’aller voir ailleurs et de prier pour ce prêtre. Peu importe le pénitent, la manière dont il a été élevé ou son origine, la seule chose nécessaire est un profond regret pour tout ce que l’on a fait de mal. Ce pénitent trouvera bientôt un prêtre selon le cœur de Jésus. Je peux l’en assurer. Bien que les non-catholiques ne puissent pas recevoir le sacrement de confession, aller se confesser leur fera à l’âme un bien immense! Je peux le leur promettre, et si un non-catholique allait se confesser, les grâces qu’il recevrait de Dieu seraient très, très grandes.

lucienne1

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Date d'inscription : 18/11/2012

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