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Le nouveau témoignage de Mme Gloria Polo - expérience de mort imminente

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Le nouveau témoignage de Mme Gloria Polo - expérience de mort imminente  Empty Le nouveau témoignage de Mme Gloria Polo - expérience de mort imminente

Message par Soleil Sam 1 Oct - 8:17

GLORIA POLO

Expérience de mort imminente – Sauvée de l’enfer

Ce nouveau témoignage de Mme Gloria Polo est édité ce jour pour la première fois.

Il est différent des autres témoignages que vous avez déjà lus. Vous y trouverez de nombreuses photos en le téléchargeant sur le lien suivant :

https://magazinelavoixdedieu.wordpress.com/2016/10/01/dernier-temoignage-nouveau-de-gloria-polo/

***

Nous vous laissons en prendre connaissance, car il est très puissant. Méditez-le et préparez-vous à faire la rencontre avec Dieu.

(Témoignage donné en Amérique et traduit en français)

***

Je veux partager avec vous un très grand cadeau que m’a fait « Papa Dieu » le 5 mai 1995.

C’était un vendredi, il pleuvait beaucoup. Mon mari et mon neveu, nous sommes arrivés à l’Université Nationale à Bogota.

Mon neveu et moi nous sommes dentistes. Nous étions en train de faire une spécialisation.

Sur la route en allant à la faculté d’ontologie, nous avons été foudroyés, frappés par la foudre.

A cause de la foudre, nous nous sommes retrouvés sans vie mon neveu et moi. Nous sautions à cause de l’électricité et nous avons fait un arrêt cardiaque.

La foudre a carbonisé tout mon corps et mes organes internes. Le foi, les reins, les poumons, les ovaires ont été très atteint à cause de la brûlure électrique.

J’étais une femme très vaniteuse, je prenais très soin de mon corps, je participais au marathon de gymnastique aérobic, je faisais un tas de régimes, toute ma vie se fut une crise de boulémie et d’anorexie.


J’ai dépensé beaucoup d’argent pour chercher à avoir un beau corps et en un instant, la foudre a enlevé tout ce dont j’étais fière dans mon corps.


Lorsqu’ils ont enfin pu nous prendre par terre, ils nous ont emmenés à l’infirmerie de l’Université Nationale et les médecins ont commencé à faire la réanimation. Mon neveu lui il n’a pas répondu.

Il avait 23 ans et il est décédé. Alors que moi-même, alors que j’étais dans une situation bien plus grave que mon neveu, papa Dieu m’a permis de revenir.

J’ai été transférée de l’infirmerie à l’hôpital. Les médecins m’ont anesthésiée pour faire les chirurgies qu’il fallait faire sur mon corps et à ce moment-là j’ai été victime d’un deuxième arrêt cardiaque.

Rapidement, les médecins m’ont ranimée mais je suis entrée à ce moment là en coma profond, mes reins ne filtraient plus et mes poumons avaient accumulés de l’eau.

Les médecins ont dit à ma famille que j’étais en train de mourir. Le plus grave c’était les brûlures de mes organes internes.

Les médecins ne conseillaient pas que je sois branchée à l’unité des soins intensifs. Ma sœur qui est médecin a dit aux médecins : Branchez ma sœur à l’unité des soins intensifs et que le Seigneur décide. J’ai été trois jours connectée branchée à cette unité des soins intensifs et lorsque j’étais en train de mourir, papa Dieu m’a fait revenir pour la surprise de toute la science médicale.

Je remercie Dieu de mettre retrouvée dans le coma.

J’étais une femme féministe. Je défendais l’avortement, l’euthanasie et si j’avais été réveillée, je n’aurais pas permis que je sois branchée à l’unité des soins intensifs et en ce moment je serais en enfer. Mais ma famille a choisi pour moi.

Lorsque je suis sortie de cette unité des soins intensifs on m’a transferée dans le pavillon des brûlés.

J’y ai passé un mois et demi et je subissais un traitement très douloureux. Tous les jours on me nettoyait et on me raclait les tissus carbonisés ; c’était très douloureux, les jambes étaient comme du charbon et elles ne me faisaient pas mal. Au bout d’un mois et demi on m’annonce qu’on va m’amputer les deux jambes. J’ai supplié Jésus pour que mes jambes ne soient pas amputées. J’ai constaté à ce moment là que l’argent ne servait pas à acheter des jambes. Jésus a redonné vie à mes jambes et elles ont perdu la couleur du charbon qu’elles avaient et la circulation s’est rétablie.

Comme seule séquelle, je dois utiliser des bottes en caoutchou parce que sinon l’électricité passe et je tombe par terre. L’endroit où la foudre est sortie, cela me fait très mal, même si cela fait de longues années de cela. Là maintenant ca me fait toujours un peu mal. Je ne marche plus comme la femme élégante que j’étais. Je clopine un peu, mais à chaque fois que je marche clopin clopan, je dis à Jésus : « Jésus je t’aime ».

Lorsque je suis sortie de l’hôpital un processus très douloureux pour mes jambes a commencé. Je me suis retrouvée au début sur un fauteuil roulant, ensuite je portais des appareils et après j’ai pu marcher par moi-même avec les baskets. Je n’avais plus de sein car ils ont été carbonnisés. Je n’avais que la pointe des seins. Mes côtes étaient creuses, il n’y avait plus de chair dessus. Il y avait comme un creu qui me faisait très mal.

Un an et demi plus tard, Jésus a mis en moi de la chair et des seins. c’est Jésus qui les a fait pousser. Je n’avais plus mes règles car mes ovaires étaient été carbonisées et Jésus m’a fait le cadeau d’une petite fille malgré mes ovaires carbonisées . J’ai même pu allaiter mon bébé.

Mais vous savez ce qu’il y a de plus beau dans tout cela, et je vous demande pardon parce qu’il n’y a pas de mot humain pour décrire cela ; lorsque je suis frappée par la foudre, je me suis retrouvée dans un amour, dans une paix, dans un bonheur, j’étais libre du temps et de l’espace dans une plénitude de bonheur indescriptible.

Il y avait comme un soleil immense très éclatant et brillant d’un blanc d’une blancheur indescriptible et de cette lumière des torrents d’amour vivants se déversaient.

A cet instant là je voyais toute l’humanité et je voyais non seulement l’extérieur des personnes mais aussi l’intérieur et vous savez ce qui m’a impressionnée : c’est le fait de voir que le péché est vivant.

Les personnes n’aiment pas se confesser et ces personnes ont l’air comme des boues marécageuses, épouvantables à cause du péché. L’odeur est horrible.

Moi je prenais dans mes bras toutes ces personnes pour les étreindre et je voulais que les personnes puissent sentir cet amour immense qui m’innondait et que seule ma fille a senti quand je l’ai prise dans mes bras.

Dans cette plénitude d’amour, lorsque je montais, je m’élevais dans cette communion d’amour, j’ai vu également toutes les personnes qui étaient décédées et là j’ai senti beaucoup de douleurs car j’avais été une très mauvaise catholique.

Je ne vivais pas une vie sacramentelle, je ne connaissais pas mon église, j’allais à l’Eucharistie comme pour chercher un porte bonheur de plus comme parmi ceux que je cherchais, j’allais à l’Eglise mais j’épiais pour pouvoir critiquer les prêtres, j’avais beaucoup de mépris pour les prêtres, je pensais qu’ils étaient des dépravés. Je me disais « jamais je n’irai me confesser avec un de ses pécheurs » ; quant aux religieuses je considérais que c’était des vieilles filles qui n’avaient pas pu obtenir un mari et donc il a fallu qu’elles entrent dans l’Eglise pour y être maintenues. Je m’éprisais également les personnes qui priaient. Je pensais que les personnes qui priaient c’était des vieilles dames ménopausées, qui ne profitaient pas de la vie, et tristement je suis tombée dans un péché de synchrétisme, c’est-à-dire que je combinais Dieu avec la sorcellerie, le Nouvel Age, et j’ai fait toute une maîtrise avec le diable dans l’occultisme : la cartomancie, l’astrologie. Quand je disais « je suis gémeau, je suis sagittaire » et bien j’étais en train de nier mon appartenance au Christ. Je suis en train de donner ma vie à ces créatures qui sont des constellations mais que Lucifer utilise pour que nous devenions esclave et Lucifer, le diable sait faire en sorte que tous ses mensonges soient cru.

J’ai fait du yoga, de la méditation transcendantale, je me levais à trois heures du matin pour prendre des énergies astrales comme si j’étais moi-même une pile électrique. Pour moi, tout était énergie positive ou énergie négative. Mes pauvres patients (Mme Gloria est dentiste), je les guérissais avec des énergies positives qui sortaient de mon corps…. Mes pauvres patients ! J’avais une telle confusion dans ce chemin du Nouvel Age que je ne me suis pas aperçue à quel moment je me suis complètement déchristianisée et j’ai commencé à faire des dépressions.

J’avais en moi une grosse erreur. Je croyais à la réincarnation. On me faisait des régressions et Lucifer mettait dans mon cerveau des images me faisant croire à des vies passées, vies antérieures, de sorte que j’avais vu mon arrière grand-mère réincarnée. J’étais végétarienne parce que j’avais peur de manger un parent à moi qui se serait réincarné dans une vache ou dans une poule …. (rires de l’assemblée).

Lorsque j’ai vu mon arrière grand-mère je me suis dit « comme j’ai été bête, on m’a trompé, on m’a volé mon argent avec les thérapies de la réincarnation » parce que lors de mon expérience surnaturelle j’ai vu mon arrière grand-mère et elle ne s’était pas réincarnée et lors de mon expérience de mort imminente, j’ai constaté que de l’autre côté il n’y a pas de temps. Tout est un présent.

Dans mon expérience, j’ai continué à monter vers cette lumière magnifique, c’était une lumière vivante, et une sagesse est venue à moi, une sagesse qui allait au-delà de mon intelligence. Lorsque je me suis approchée de cette lumière, j’ai constaté que cette lumière est vivante, elle palpite.

C’est le cœur de Jésus. Il m’avait pris dans Ses mains et c’est pourquoi j’avais cette sensation que j’étais dans un tunnel qui bougeait ; c’était Ses brans pleins d’amour et Il m’a posé sur Son Cœur et Il m’a serré sur Son Cœur. J’ai vu dans Son Cœur deux arbres vivants qui délimitaient une entrée.

Cette entrée c’était une blessure et au fonds il y avait un jardin avec un lac, c’était un lac plein d’amour.

Il y avait des fleurs qui étaient vivantes, il y avait également une prairie vivante. Tout cela était vivant et plein d’amour. Je voulais entrer . J’éprouvais un tel bonheur et moi maintenant il faut que je parle de manière chronologique mais tout cela je l’ai vécu en un instant.

Lorsque je voulais entrer, je me suis rendue compte que je ne pouvais pas entrer. Je n’étais pas en grâce de Dieu et à ce même moment j’ai entendu mon mari qui criait : Gloria, s’il te plaît, ne t’en va pas, Gloria, ne sois pas lâche, pense aux enfants. Vous voyez combien le sacrement de mariage est grand. Moi je profitais du bonheur de cet amour divin mais les cris de mon mari m’ont attirée. Je le voyais qui pleurait, qui saignait… Lorsque j’étais encore vivante, mon mari m’avait dit qu’il allait faire une fête le jour où moi j’allais mourir et voilà qu’il pleurait…. en criant de ne pas partir, parce que notre couple avait été honteusement désastreux.

C’est une femme féministe qui épouse un homme macho, une vraie guerre et au final nous avions détruit l’amour que nous avions l’un pour l’autre. Quand mon mari s’est mis à crier, moi on m’a fait revenir. Quelle douleur ! Je ne voulais pas revenir alors que j’étais dans cet amour. Je suis descendue et j’ai trouvé mon corps sans vie. Les médecins s’acharnaient afin de me faire revivre après mon arrêt cardiaque. Quand je suis entrée dans mon corps, il était encore en train de faire des soubresauts, la douleur était insupportable. Il y avait de la fumée qui sortait de mon corps, de ma bouche ; une fumée bleu.

Mais j’ai eu une seconde expérience. Lorsque j’ai fait mon deuxième arrêt cardiaque, j’ai vu que des parois du bloc opératoire, des personnes se détachaient des parois, mais elles avaient un regard de haine, une haine vivante, épouvantable qui sortait de leurs yeux.

A cet instant j’ai essayé de trouver une explication scientifique à tout cela : Je me dis j’hallucine parce que je n’ai pas d’oxygène mais de nouveau cette sagesse vient à moi et avec épouvante je constate que toutes ces personnes qui sortaient des parois c’était les péchés que j’avais commis depuis que j’avais 13 ans jusqu’au dernier instant de ma vie.

A 13 ans je suis morte. Je mourus parce que depuis lors je ne me suis jamais confessée. C’est le moment où je suis arrivée à Bogota. Mes parents, alors qu’ils étaient très pauvres, ils m’ont emmené dans une école pour riches et les fillettes riches de cette école considéraient que le bonheur c’était l’alcool, la cigarette, la prostitution. Quand je suis arrivée dans cette école, j’ai commencé à être une jeune fille heureuse, alcoolique, je fumais. Les expériences sexuelles de mes copines ont commencé à m’intéresser. J’ai commencé à savoir ce qu’était le préservatif, mes copines m’emmenaient voir des films pornographiques, la sorcellerie, les pactes de sang, musiques rock et moi je disais que j’étais heureuse ! Quel grand mensonge !

Nous avons connu le grand mensonge du préservatif parce que mes copines, malgré le fait qu’elles utilisaient les préservatifs, sont tombées enceinte et leur maman puisqu’elles avaient beaucoup d’argent payaient les avortements des fillettes.

A mon époque, c’était quelque chose de monstrueux mais peu à peu je me suis habituée à voir que ce qui était mauvais était bon, que c’était un droit des jeunes et j’ai pris en grippe ma maman qui me parlait de Dieu, des valeurs et je ne voulais rien savoir de l’Eglise. J’allais prendre l’Eucharistie, obligée par ma mère. Mais c’était désespérant pour moi d’être dans la sainte Eucharistie et depuis lors je ne me suis jamais plus confessée. Voilà le coup maître du diable.

Mes amies, mes copines, qui participaient même à des orgies, disaient qu’elles ne voulaient pas aller se confesser à un homme pire qu’elles. Et puisque moi j’ai perdu à ce moment là ma personnalité, je répétais ce que disait mes copines. J’étais une copie confirme de ce qu’elles faisaient. J’ai perdu mon identité chrétienne et jamais plus je me suis confessée. Lucifer avait atteint son but avec moi. Il m’a séparée de la miséricorde de Dieu. Voilà à 13 ans.

Mais dans ma vie il y avait une très grande grâce. Une mère sainte qui adorait le Saint Sacrement . Et grâce à ma mère, malgré la pression de mes amies, j’ai toujours été femme d’un seul homme. Mon seul fiancé fut par la suite mon mari, même si je voyais la prostitution, la pornographie, les orgies comme quelque chose de super ou de normal.

Lorsque mes copines ont commencé à se faire avorter, elles ont essayé d’anesthésier le traumatisme post-avortement par le cannabis et le LSD. Mais grâce à la prière de ma mère et malgré le fait que mes amies m’offraient la drogue gratuitement, je ne suis pas tombée dans la drogue et même si j’avais décidé de m’enfoncer dans le péché, la prière de ma mère évitait que je ne tombe plus bas encore.

Au moment où j’ai eu ce deuxième arrêt cardiaque, l’horreur fut de constater que le péché n’est pas gratuit. Ils (ceux qui sortaient des parois du bloc opératoire venaient me chercher. Je me suis enfouie épouvantée, j’ai traversé les parois du bloc opératoire et j’ai sauté comme dans un vide, et je suis entrée dans des prisons vivantes et je suis passée de la lumière à l’obscurité.

Les personnes qui se trouvaient dans les cellules qui étaient en haut, là il y avait beaucoup de lumière, portaient des vêtements vraiment merveilleux. C’était des vêtements très blancs qui étaient vivants. Elles étaient revêtues de l’agneau de Dieu. Lorsqu’elles étaient encore sur la terre, c’était des personnes qui faisaient beaucoup d’adoration. Ces âmes sont sanctifiées très vite par l’Esprit Saint et elles allaient bientôt sortir de là où elles se trouvaient.

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Soleil

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Le nouveau témoignage de Mme Gloria Polo - expérience de mort imminente  Empty Re: Le nouveau témoignage de Mme Gloria Polo - expérience de mort imminente

Message par Soleil Sam 1 Oct - 8:18

Un peu plus bas, les personnes que je voyais portaient des vêtements très beaux mais on voyait leurs visages. Elles étaient très belles, mais au fur et à mesure que je descendais, les personnes se défiguraient. Leurs vêtements étaient horribles, des abîmes, elles avaient très très soif.

Celles qui se trouvaient dans les niveaux les plus bas criaient toutes. Elles se lamentaient de la réponse qu’elles avaient donné à l’amour de Dieu quand elles étaient sur la terre. Elles souffraient de la trace qu’elles avaient laissé dans l’éternité. Lorsque nous nous passons par la vie, nous laissons une trace dans l’éternité. Quelle trace laissons-nous ? C’est pour cela qu’elles criaient.

Chaque personne qu’elles avaient rencontrées lorsqu’elles étaient sur terre, elle voyaient les traces qu’elles avaient laissé dans les personnes : la haine, les mauvais traitements, les insultes… Elles voyaient les personnes qu’elles avaient écartées de Dieu, les personnes qu’elles avaient détruites. Elles souffrent, dans ces bas niveaux du purgatoire, à cause des conséquences de leurs péchés. Elles avaient été pardonnées, mais de leur vivant, elles n’avaient pas réparer le mal qu’elles avaient commis et Il faut voir comment elles souffrent. C’est une souffrance terrible.

Toutes ces personnes dans ces niveaux en bas se lamentaient à cause de l’amour qu’elles n’ont pas donné, à cause du bien qu’elles n’ont pas fait sur terre, à cause de l’évangélisation qu’elles n’ont pas fait quand elles étaient sur terre. Elles ont vu combien d’âmes se sont perdues ou encore combien d’âmes n’ont pas connu Dieu à cause de leur indifférence et de leur péché d’omission.

Lorsque le prêtre lève Jésus, il sort beaucoup d’eau qui jaillit de la poitrine de Jésus. Et toutes ces personnes qui étaient dans ce bas du purgatoire, reçoivent l’eau qui jailli du coté de Jésus parce qu’elles ont une soif terrible dans cet endroit là et à ce moment là quand elles reçoivent l’eau, elles ont un grand repos.

Moi je sents une grande douleur quand le prêtre élève trop vite l’Eucharistie car je sents la douleur de ces âmes du purgatoire.

Quand j’ai continué à descendre, l’odeur était horrible. Il y avait comme des marécages et dans ces marécages, toutes les personnes qui étaient là se lamentaient.

Elles étaient honteuses d’avoir sali leur corps qui est le temple du Saint Esprit et ceux qui hurlaient le plus terriblement parce qu’elles ressentent une douleur qui épouvante ce sont les adultères (c’est-à-dire les maris ou les femmes qui sont infidèles tout en étant mariés à l’Eglise. Les adultères sont aussi les personnes divorcées et remariées civilement qui ne s’abstiennent pas de relation sexuelle) (Le concubinage est un péché mortel qui fait descendre l’âme dans l’enfer).

Moi j’étais une femme qui défendait l’adultère. Je disais aux femmes : Arrêtez de prier pour vos maris car ils vous sont infidèles. Laissons-cela pour nos grands mères qui n’avaient pas fait d’études. Nous nous avons fait nos études. Nous avons de l’argent, et nous savons nous défendre nous-mêmes. Alors vengeons-nous et si un mari trompe sa femme, il faut que nous les femmes nous nous vengions en étant doublement infidèles pour que le mari voit combien cela était désagréable. Et à cet endroit dans cet endroit marécageux, j’ai senti l’horreur de constater que j’avais détruit beaucoup de couples mariés.

Le mariage est saint. Deux personnes entrent dans l’Eglise pour se marier et il en ressort trois. La troisième personne est Jésus. L’amour parfait qui unit l’amour imparfait des trois personnes. C’est une unité, une seule chair. Et cet amour est consumé dans le lit sacramentel où l’Esprit Saint a allumé un feu très grand, immense. La table où l’on partage les aliments, il y a aussi une grande lueur de l’Esprit Saint. C’est la présence de Dieu.

Le foyer est quelque chose d’extrêmement saint. Donc détruire un foyer est grave. Le premier péché que l’on commet, c’est le premier péché que l’on commet contre la très sainte trinité et après contre le conjoint puisque le couple ne fait qu’une seule chair et après contre les enfants. Le ciel demande justice si un enfant se lève si un enfant n’a pas un papa ou sa maman parce que le papa ou la maman sont allés chercher le bonheur ailleurs avec une autre personne. Ceci fait que l’enfant souffre terriblement de ne pas avoir son père ou sa mère et cela produit aussi la solitude du conjoint. Et l’adultère enfreint le 6ème commandement de la loi de Dieu. C’est pourquoi il y a tant d’homosexualité, de lesbianisme, de satanisme, de suicides. Les foyers détruits c’est quelque chose d’extrêmement grave. C’est comme une lèpre qui touche toute la famille humaine.

Quand J’ai constaté la gravité de cela, j’ai senti une honte et une épouvante énorme car j’avais détruit beaucoup de sanctuaires domestiques (mariages) quand j’étais vivante.

Quand j’ai continué à descendre, les ténèbres étaient épouvantables et les personnes étaient tellement défigurées qu’elles avaient perdu l’apparence humaine et pour la première fois j’ai regardé mon intérieur. Gloria Polo se met à crier : Que c’est horrible une âme en état de péché mortel. C’est la chose la plus affreuse qu’on puisse imaginer. Mais les mots ne servent pas à décrire cela ; Mon âme était remplie de toutes ces créatures horribles ; c’était épouvantable. Et moi qui prenait tellement soin de mon corps. Et

J’ai continué à descendre les niveaux du purgatoire et je suis arrivée à un endroit plat et une espèce de bouche ouverte s’est ouverte, vivante et cette bouche m’a aspirée et moi j’ai plongé la tête en avant. C’était horrible. Je voyais donc cette bouche ouverte par laquelle je commençais à entrer et au fonds je voyais qu’il y avait une autre bouche mais qui était fermée celle-ci (c’est l’enfer). Je savais que si j’entrais dans ce trou je n’allais pas rester dans cet espace entre les deux bouches. Je savais que cette deuxième bouche qui était fermée allait s’ouvrir et que si moi j’entrais dans cette bouche je n’allais plus jamais en ressortir. C’était la fin absolue. C’était quelque chose d’épouvantable, de terrifiant. J’étais donc en train de tomber la tête la première dans cet espace, dans ce trou, St Michel m’a pris par les pieds, mais mon corps est entré dans ce trou. Cette bouche vivante bougeait, me tirait, voulait m’arracher, c’était tellement terrifiant ! Et immédiatement, il y a un tas de créatures affreuses qui ont saut sur moi. Elles me brûlaient, la haine vivante de ces créatures me brûlait plus que mes brûlures que j’avais dans la chair. C’était terrifiant !

J’ai commencé à crier car j’étais désespérée. « Je n’ai jamais volé, je n’ai jamais tué, sortez-moi d’ici. Je donnais beaucoup d’argent aux pauvres, j’ai offert des traitements dentaires gratuitement à beaucoup de nécessiteux, j’ai arraché beaucoup de dents gratuitement aux pauvres et dans cette angoisse j’ai crié « Ames du purgatoire, s’il vous plaît, sortez-moi d’ici ».

Et à ce moment là, elles ont commencé à pleurer, à gémir et à crier, leurs dents grinçaient, des milliers et milliers de personnes qui étaient dans ce trou. Il y avait tant de jeunes. Epouvantée, j’ai constaté que dans ce chaos, il y avait toutes les personnes qui s’étaient suicidées (mais pas les malades mentaux qui s’étaient suicidés) c’était les personnes qui s’étaient suicidées parce qu’elles l’avaient prémédité froidement et à ce moment là j’ai commencé à crier « Sortez-moi d’ici, je suis catholique ».

A cet instant, j’ai vu comme un escalier qui recevait de la lumière. (cet escalier représente les divers niveaux du purgatoire). Sur la première marche, il y avait mon père. J’ai vu mon père, il était déjà décédé et là où il se trouvait, la lumière était très très faible. 4 marches au dessus, j’ai vu ma mère qui était déjà décédée avec plein de lumière. Elle était d’une grande beauté. Ces vêtements étaient si beaux, si blancs. Elle avait comme un feu énorme, blanc, au milieu de la poitrine. Quand j’ai vu mes parents, j’ai commencé à crier : « Papa maman, s’il vous plaît, sortez-moi d’ici » Quand ils m’ont vu là dans ce trou, mon père a commencé à pleurer et à crier : « Non Seigneur, pas ma petite fille ». Ma mère, rien ne lui a enlevé la paix qu’elle a. Elle priait en regardant vers le haut. Mon papa ne pouvait pas prier comme elle, il ne pouvait pas prier vers le haut. J’ai compris à ce moment là que la paternité n’est pas un simple fait biologique, c’est un don divin.

Tous les parents nous serons présents quand nos enfants seront jugés, indépendamment du fait que ce soit l’un ou l’autre qui meure avant et nous les parents allons répondre à notre Seigneur du foyer que nous avons donné à nos enfants, de la formation que nous leur avons donnée. L’homme, le patriarche, le chef du foyer doit répondre d’une manière plus sévère parce que Dieu lui a donné un don comme si c’était un bâton. Ce don c’est l’amour et l’autorité de Dieu le Père. Et les pères qui n’ont pas aidé ni contribué à la formation de leurs enfants, qui pensaient que c’était quelque chose qui correspondait qu’à la maman, et mon père pensait que puisqu’il était un homme il pouvait avoir beaucoup de femmes pour s’amuser… Cependant mon père n’avait qu’un seul foyer et il aimait sa femme que le prêtre avait béni. Je n’ai jamais compris mon père, et jamais je n’ai pu comprendre la souffrance de ma mère dans ce sens. Très souvent j’ai voulu que ma mère soit infidèle à mon père. Quand j’étais adolescente je voulais que ma mère abandonne mon père.

Mon père, donc, pleurait dans le purgatoire parce qu’il voyait à ce moment là que la racine de mon féminisme était le résultat de tous ces traumatismes et ces mauvais traitements d’enfants que j’avais reçus. Et moi je pleurais quand je voyais mon père pleurer.

Quand j’ai vu mes parents qui étaient en train de rendre compte j’ai interrompu en criant : s’il vous plaît, sortez-moi d’ici. Je suis catholique. Je n’ai pas à être ici. Et à ce moment j’ai entendu une voix d’une douceur qui a rempli tout cet espace de paix. Les mauvaises créatures sont parti et la Voix me dit : « Très bien, si tu es catholique, dis-moi quels sont les commandements de la Loi de Dieu » Echec et mat ! Je savais qu’il y en avait 10. Rapidement j’ai essayé de me remémorer les commandements et je me disais « je n’ai pas été infidèle à mon mari, je n’ai pas tué, mais il y en a 10, alors où sont les autres ? » Et à cet instant, j’ai crié : Le premier commandement : Tu aimeras Dieu par-dessus tout, et ton prochain comme toi-même ».

Ma mère me disait toujours : « Ma fille, tu veux être heureuse ? et bien sois amoureuse du Christ. Le Christ a un amour passionné pour toi. Va au tabernacle, ma fille. Quand tu seras tombé amoureuse de lui, tu vas sentir un feu très grand dans ton cœur, une passion énorme pour le Christ et tu comprendras alors à ce moment là que le bonheur ce n’est pas les personnes, ce n’est pas l’argent qui le donne, le bonheur tu le trouveras là devant le tabernacle et là tu vas pouvoir aimer toute l’humanité, tu pourras servir tout le monde avec beaucoup d’amour sans attendre rien en échange. Et voilà ce que je disais à ce moment là en évoquant le premier commandement.

Mais voilà que cette voix me dit : Très bien. Est-ce que tu as aimé ?

Et j’ai répondu : Oui, Oui, moi oui j’ai aimais.

Quand on m’a dit : Non, tu n’as pas aimé, tous les masques sont tombés. Mon cœur s’est retrouvé nu. Tous les mensonges, toute l’hypocrisie sont tombés.

Non tu n’as pas aimé ton Seigneur par-dessus-tout et encore moins ton prochain comme toi-même. Parce que toi, tu avais un Dieu. C’est une idolâtrie qui t’a soumise. Ton Dieu : l’argent.

Alors j’ai dit : Mais quel argent puisque je suis en faillite ? Parce que la guérilla m’avait ruinée.

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A ce moment là, on a ouvert mon livre de la vie et en un instant j’ai vu toute ma vie, pas seulement les choses physiques, j’ai vu également le spirituel. La beauté dans ce livre de la vie, c’est l’amour de Dieu, la Passion que Dieu éprouve pour nous. Malgré mes péchés, il continuait à m’aimer et à me chercher. Et voilà cette honte que nous éprouverons tous lorsqu’on ouvre le livre de la Vie : La Passion de Dieu pour nous.

Le livre de la vie commença au moment où l’ovule et le spermatozoïde de mes parents se sont unis, ca a produit une explosion immense dans le ventre de ma maman : mon âme et mon âme qui était une âme adulte. je jouîssais de l’amour de Dieu , le bonheur de voir l’amour de Dieu. Il y avait un plan pour ma vie : c’était le plan d’amour pour ma vie et j’avais déjà des talents, les talents étaient déjà en moi. Dans toutes les âmes, vous voyez comme ce verre, elles sont remplies de l’amour de Dieu et moi mon bonheur c’était de sentir Dieu A partir du moment même de la fécondation, et ce bonheur je l’ai ressenti jusqu’à ce que j’ai l’âge de raison et les petits enfants ce sont des grands théologiens parce qu’ils savent vivre dans ce bonheur de l’amour de Dieu et ces éclats de rire des bébés quand ils sont dans le berceau c’est parce qu’ils vivent cet amour de Dieu et quand je suis née, mes parents m’ont fait baptiser, l’Esprit Saint a pris mon esprit et l’a mis dans le cœur du Christ. Quand le prêtre fait la croix, Papa Dieu met son nuage parce que la présence de papa Dieu je l’ai toujours vu comme un nuage ; Papa Dieu nous fait une croix de feu sur le front, enfant de Dieu, payé au prix du sang, le sang de son Fils. Lorsque je suis entrée par mon baptème dans le cœur de Jésus, Jésus a revêtu mon âme de lui-même, d’une blancheur éclatante, et j’ai commencé à avoir la conscience que je commettais des péchés, c’est comme si dans cette eau on laissait tomber une boule de boue et les vêtements que je portais ont commencé à se salir mais cette boule de boue c’est un péché et donc c’est vivant. Un petit mensonge déchire le vêtement que je portais pour qu’un autre mensonge plus grand puisse entrer et là où le péché entre, l’eau de Dieu sort, c’est-à-dire que peu à peu je perdais l’amour pour le prochain et l’amour pour Dieu et au fur et à mesure que je remplissais de péchés le péché m’a enfermé comme dans une prison et ile me restait que de l’eau boueuse : il ne me restait plus que l’amour propre, égoïsme, l’indifférence envers le monde, l’incapacité d’aimer Dieu, je cherchais Dieu pour qu’il me donne de l’argent et me fasse prospérer, mais j’ai perdu cette relation d’amour avec Dieu ainsi que la relation d’amour avec le prochain.

Quand une personne passe des années sans se confesser, cette boue devient de la pierre, et on devient insensible à la douleur humaine. Et quand Jésus a vu ce cœur que j’avais à la fin, il me disait : ton cœur de Pierre. Jésus m’a demandé à ce moment : quel trésor spirituel m’apportes-tu ? Avant de me poser les questions pour connaître mes péchés personnels, il m’a demandé pour l’humanité. Je disais que si Dieu existait pourquoi il existait cette injustice sociale. Et c’était là la question qui m’a été posée : Quels trésors spirituels tu apportes avec toi ? Mes mains étaient vides . Et on me dit : A quoi ca te sert d’avoir des appartements, à quoi te sert le culte de ton corps, est ce que tu peux venir au ciel avec ton corps et on me dit : Tout ce que tu possédais ca t’avait été donné sous forme de bénédiction. On t’a beaucoup donné, on va beaucoup te demander. Lorsque je dépensais mon argent en bijoux, en vêtements, en toute sorte de vanité, alors que moi je dépensais on m’a fait voir la souffrance de toute l’humanité. J’ai vu l’histoire de l’humanité et sa souffrance. On m’a demandé à ce moment là : qu’as-tu fait des talents que tu avais reçus ? Et c’est à ce moment là qu’on me dit : Ton cœur de pierre, insensible, Le cœur indifférent n’entre pas dans le ciel, le cœur tiède n’entre pas dans le ciel. C’est très grave.

Lorsque je vois mon cœur de pierre, je vois qu’ à cause du péché de l’orgueil, je ne suis pas allé à cause de mon arrogance à la confession sacramentelle.

Lorsque j’étais petite et que j’ai fait ma première confession, mon âme était propre comme la neige. Depuis cette première confession jusqu’à l’âge de 13 ans, je me confessais, et à chaque fois mon âme était propre.

Dans le cœur du prêtre, il y a Jésus qui saigne. Le prêtre n’est pas un homme quelconque. C’est un oint. Papa Dieu s’est fait ce cadeau à lui-même. Sur toute la terre il n’y a aucune créature, ni aucun ange dans le ciel qui puisse donner gloire à Dieu autant qu’un prêtre. A travers leurs mains consacrées, un morceau de pain deviennent le corps et le sang du Christ et au moment où le prêtre impose les mains sur les offrandes, il y a une explosion de l’Esprit Saint si grande, tellement énorme que cette explosion touche tous les coins de la création et le ciel et la terre se rapprochent, à chaque Eucharistie. Et un jour, le ciel et la terre s’uniront et tout le mal et tous les péchés et toutes les maladies disparaitront. Il y a aura un nouveau ciel et une nouvelle terre parce que le tout sera perfectionné dans l’amour du Christ. Ici sur la terre, le cœur du Christ palpite. C’est l’Eglise. C’est pourquoi le démon haït de toutes ses forces le prêtre. Il haît le fait que Dieu ait fait cette blessure d’amour dans le cœur du prêtre. Au moment de l’ordination, le cœur du prêtre et le cœur de Jésus s’unissent et ne forment qu’un seul cœur et les deux blessures des deux cœurs s’unissent. De la blessure du cœur du Christ se déversent des grâces pour le salut de l’humanité.

Lorsque je me suis confessée, Jésus lavait et arrachait toutes ces créatures qui étaient dans mon âme et mon âme se retrouvait propre. Lorsque le prêtre dit : « Par le pouvoir qui m’est confié, tes péchés te sont pardonnés » et mon âme est montée sur l’estrade de la miséricorde. Jésus a arraché des mains du démon le billet à ordre que j’avais signé et qui disait que j’appartenais au démon ; Quand je fais un péché, je sorts Jésus de mon cœur et je m’enfonce dans les ténèbres et là je deviens prisonnière : esclave des vices, des péchés, de la sorcellerie…. Mais pour moi, une fois devenue adulte rien n’était péché, tout était bon.

Quand j’habitais dans ces ténèbres, j’ai signé un billet à ordre qui disait que j’appartenais au démon. Mais quand je me suis confessée, jésus a déchiré le billet et Il m’a prise dans ses bras. Puis Il dit : « Elle est à Moi. Je l’ai payée de mon sang. Une confession bien faite, bien préparée dans la main de la Vierge Marie, du Saint Esprit, et devant le Tabernacle, on prend une feuille et on note tout ce qui nous vient et demandons à ce moment là à la Sainte Vierge de nous donner la douleur de nos péchés et demandons la grâce de ne plus pécher du tout.

Lorsqu’on fait une telle confession, l’âme redevient propre. On sent une paix et un bonheur énorme. Même des maladies physiques guérissent parce que ces créatures sont acides quand elles sont en nous, elles nous brûlent. Quand on vit dans le péché, on ressent beaucoup d’angoisses, on est comme un poisson hors de l’eau. Beaucoup de cancers, beaucoup de dépressions, beaucoup de gastrites s’améliorent après une bonne confession. Mais le démon fait ce qu’il peut pour nous empêcher de faire une bonne confession. Quand je me confessais, le démon venait, et il faisait venir d’autres démons, parce qu’il y a un démon qui veille à ce que la personne n’aille pas se confesser et quand ce démon voit qu’on va se confesser, il fait venir d’autres démons : c’est une vraie guerre qui se passe mais qu’on ne voit pas, dans l’invisible. Mais la Sainte Vierge Marie m’aidait, elle venait me soutenir quand j’allais me confesser. Le diable me disait : Mais tu ne vas pas dire cela au prêtre, tu n’as pas honte ? Il voulait me faire faire des communions sacrilèges et des confessions sacrilèges. Lorsque j’ai pris le corps du Christ, Jésus remplissait mon âme de son eau vive, et quand le prêtre dit : « Ceci est Mon corps, Jésus arrache un morceau de Son Cœur et le met dans la patène et il remplit le calice de Son sang. Tous les anges sont là présents et rendent gloire à Dieu et Papa Dieu qui a son nuage au moment de l’Eucharistie nous appelle tous et nous dit « Venez mes tout-petits, venez, le dîner est servi . J’ai fait descendre ce pain du ciel pour que vous ayez la vie éternelle». Quand nous venons prendre l’Eucharistie, Papa Dieu descend et nous rencontrons tous Papa Dieu qui est dans les bras ouverts du Christ, sur la croix. La table sacramentelle c’est la partie horizontale où le Christ se trouve gisant par amour pour nous. Quelle est grande l’Eucharistie ! et que j’ai été ingrate envers l’Eucharistie.

Si nous demandions à la Sainte Vierge Marie de nous apprendre nous serions très heureux et nous ne chercherions plus à aller à l’Eucharistie que les dimanches, parce que c’est obligatoire pour nous sauver, mais au contraire, nous voudrions y aller tous les jours par amour. Jésus entre dans notre cœur, notre cœur est avec Jésus et nous sommes dans le cœur de Jésus. c’est une communion. L’Esprit Saint entre et Papa Dieu voit son enfant là qui nous justifie par Son Amour et sa pureté et Papa Dieu entre en nous. Le catholique est un temple vivant de la Sainte Trinité. C’est pourquoi le jugement le plus sévère, c’est le jugement pour qui on a le plus donné et nous sommes des temples vivants de la Trinité et cela fait que nous nous donnions à l’humanité, que nous aimons, que nous servons et que nous remplissons les personnes de cet Amour qui est en nous : la Trinité. Et c’est très grave si nous ne faisons pas cela. C’est pourquoi, l’humanité est comme elle est.

Je vais parler un peu des péchés et après j’en aurai fini. J’irai un peu vite, soyez rassurés.

Le premier commandement : « Tu aimeras Dieu par-dessus tout » : Personnellement, je négligeais ma prière quotidienne, je négligeais ma relation avec Dieu. Et la fumée du diable et des démons s’est interposée entre Dieu et moi et la distance était de plus en plus grande parce que je ne priais pas et en moi est entré un péché : le péché d’idolâtrie, quand j’ai cessé de considérer Dieu comme la chose la plus importante de ma vie et cette première place a été occupée par mes amis, par mes copines avec tous leurs péchés. J’ai eu d’autres idolâtries : le pouvoir, l’argent, moi-même, mon arrogance, l’intellectualité.

Le premier commandement je l’ai enfreint également avec la sorcellerie, les voyantes, le Nouvel Age qui m’a séparée de Dieu, le syncrétisme c’est-à-dire la combinaison du divin et de l’occultisme et mon amour pour Dieu s’est refroidi. Je mangeais le corps et le sang du Seigneur de manière indigne, je me moquais des sacrements, j’ai commis de grands sacrilèges, je me moquais de l’Eglise, et c’est un grand péché ; les critiques et les moqueries envers l’Eglise, les calomnies contre l’Eglise et tout cela apporte de la malédiction pour toute l’humanité. Tout ceci est excessivement grave ! Quand on répète les calomnies qu’on a entendu quelque part, ces malédictions retombent sur nous ; Quand je parlais mal des prêtres, et puisque je parlais mal d’eux, on me dit du ciel : « Avec quelle autorité toi femme qui a avorté, jugeais-tu mes oins ? Ils sont de chair mais la sainteté du prêtre c’est l’ensemble de communauté qui doit en répondre.

C’est l’avortement qui a fait de cette génération , la génération la plus perverse de tous les temps. L’avortement est le péché le plus grave. L’avortement est un sacrifice satanique. Celui qui offre ce sacrifice au démon, c’est le médecin, l’assassin, le criminel. Ses yeux sont des yeux de feu. Il est implacable lorsqu’il détruit les enfants. Ce médecin est en excommunication. Il est complètement en dehors du Christ. Il est là pour tuer des bébés dans la méchanceté. Et une maman, qui est un don de Dieu, tout comme le médecin, et cette mère et bien Dieu a fait d’elle quelqu’un qui va donner sa vie pour ses enfants devient l’assassin la plus monstrueuse de toute la création, c’est ce qui fait que cette génération prend la ressemblance de la Bête, pas une ressemblance avec les animaux car les animaux méritent du respect, et nous nous n’avons pas à nous comparer aux animaux, un animal ne fait pas d’avortement, par contre la femme en fait.

Lorsque la libération des femmes a commencé, et que la femme a commencé à se sentir aussi intelligente, aussi travailleuse, scientifique, depuis lors la terre n’a jamais autant été entachée d’autant de sang ; la terre crie, la terre gémit chaque fois qu’une maman tue son bébé dans ses entrailles, le bébé crie, même si la maman est sous anesthésie et toute la terre tremble et toute la création gémit et celui qui est dans la joie c’est le démon et tous ses anges déchus. Dans chaque clinique d’avortement, c’est comme si c’était dans un stade de football lors du championnat mondial , tous les démons dans une joie de voir ce sacrifice ; Ils hurlent de joie chaque fois que le bébé crie et même si le bébé n’a été fécondé que depuis une seconde, il crie tellement fort que le ciel frémit et Dieu voit cette génération, la plus perverse. A chaque bébé qui est avorté en enfer, avec le sang de cet innocent, il y a une trappe qui se lève dans l’enfer, et les démons les plus terribles sortent de l’enfer : les lucifériens. Et les lucifériens attaquent la tête, l’intelligence. Ils attaquent les intellectuels et ils font en sorte qu’il y ait deux sortes de personnes : les esclaves de la télévision des passions, des instincts les plus bas, les dépravations et autres ; on leur vend un préservatif pour qu’ils soient là à se culbuter comme si nous étions des êtes génitaux, rien d’autre, parce que le démon a besoin de sacrifices humains et il sait que le préservatif tôt ou tard va rater… et que au final il va y avoir les avortements de ces enfants.

Le démon, lucifer a utilisé les médias, pour produire des patrons de conduite répétitifs, qu’est ce qu’une personne qui s’alimente des séries, des télés, des romans, tout ce que l’on passe à la télévision, qu’est ce qu’une personne comme cela va recevoir ? Elle va recevoir l’homosexualité, ces esprits de la télévision ne restent pas dehors. Ils ne restent pas dans la télévision, lorsqu’on regarde la télévision, ces esprits nous rentrent par les yeux et nos enfants qui ne savent pas encore faire la différence entre le bien et le mal, dans nos enfants, il y a des patrons de conduite qui s’établissent, des patrons aberrants, homme-homme, femme-femme, les relations, la destruction de la famille ; la télévision cherche à faire que les personnes soient belles physiquement, présente des patrons, des modèles, et toutes les personnes veulent ressembler aux modèles que l’on voit, que l’on présente à la télévision. Sinon, il n’y a qu’à regarder les jeunes partout dans le monde, percings, les cheveux levés, les têtes de mort, les jeans déchirés, la musique, les écouteurs, renfermés dans leur monde à eux, ils sont très bons pour faire du tchat sur internet, ils parlent beaucoup avec ceux qui sont à l’extérieur, mais avec leurs parents, ils se taisent ; Le suicide, la drogue, le satanisme, et nous on est encore devant eux à les regarder sans rien dire…. Et Dieu m’a montré mes enfants et Il m’a dit : tes fils sont des orphelins de père et de mère ; vous deux vous êtes allés dans le monde pour obtenir de l’argent, vous avez acheté des choses élégantes pour vos enfants, vous les avez mis dans des berceaux d’or : télévisions, ordinateurs, jeux vidéos, des vêtements de marque mais ils n’ont ni père ni mère. Mon mari et moi, nous sortions de bon matin pour aller travailler, et après le travail, mon mari allait boire avec ses amis, moi j’allais voir des défilés de mode, j’allais dans des gymnases, j’aller prendre des pots avec mes amies, j’allais faire des spécialisations, des études, de la recherche, et je pensais que j’étais très « réalisée » et je pensais que puisque je payais une dame à la maison qui s’occupait de mes enfants, moi mon rôle de maman, il était bien accompli. Quand le Seigneur m’a montré ce qu’il y avait dans le cœur de mes fils, je voyais dans leur cœur tout ce que lucifer avait voulu mettre dans leur cœur à travers les médias et lucifer a un autre genre de personnes : ce sont ceux qui dominent, les personnes qui gèrent, qui maîtrisent les médias, les intellectuels, parmi lesquels les grands athés, les grands du Pouvoir, ceux qui nous imposent l’homosexualité, les lois pour l’avortement, ceux qui sont là pour détruire l’Eglise, les grands pouvoirs qui payent des grandes fortunes pour faire des scandales sacerdotaux et pour détruire, c’est épouvantable, je ne vais pas continuer avec cela…

D’où vient ce grand pouvoir de lucifer : de l’avortement. C’est une grande armée, l’armée la plus effroyable qu’on n’est jamais vue. C’est pourquoi beaucoup de théologiens qui étudient et même s’ils étudient, la lumière de lucifer les confond et se mettent à dire qu’il n’y a pas d’enfer, qu’il n’y a pas de purgatoire, qu’il n’y a rien de tout cela et ces avortements forment un palais et ce palais s’appelle le palais de la luxure mais il n’est pas construit avec des briques ; c’est un palais qui est construit par des murs qui sont les bébés avortés et là c’est la Bête qui habite et la mission de la Bête, c’est d’attaquer les prêtres et les scandales lorsqu’on pointe du doigt le prêtre, Jésus montre son doigt tout droit, montrant que le sang de nos enfants a fait que les prêtres s’enfoncent dans cette mer de sang.

Avec le sang innocent, cela fait que la Bête prend beaucoup de pouvoir et la mission de ces prêtres est de détruire la sainteté sacerdotale. Si cette Bête s’approchait de nous, la nation entière serait détruite parce qu’un prêtre, ce n’est pas les démons inférieurs qui nous attaquent et qui vont aller attaquer un prêtre, ce sont des démons très puissants qui attaquent les prêtres mais aujourd’hui avec les avortements, le pouvoir du démon est devenu beaucoup plus grand et c’est pourquoi on entend autant de scandales qui affectent ses malheureux prêtres .

Lorsqu’on juge un prêtre et qu’on ne prie pas, on va répondre du péché sacerdotal, c’est toute la communauté qui va répondre du péché. Nous devons supplier Dieu pour la sainteté des prêtres.

Qu’est ce qui arrive avec les petits bébés qui ont été avortés ? Grâce à Dieu, l’Esprit Saint dirige l’Eglise et quand toute cette abomination a commencé, beaucoup de prêtres inspirés par l’Esprit saint, ont fait des Eucharisties en présentant ces bébés dans un baptême d’intention dans la sainte Eucharistie. Et donc ces bébés, grâce à la sainte Eucharistie, ces enfants peuvent voir la gloire de Dieu (c’est-à-dire qu’ils quittent les limbes et entrent au paradis).

Et je vais parler de mon avortement pour les choses soient plus claires : Lorsque j’avais 16 ans, j’étais vierge et mes copines me poursuivaient et me ridiculisaient de ma virginité, et pour ne pas être rejetée du groupe de mes copines, j’ai fait un pacte de sang en jurant à mon groupe de copines, et bien je leur disais que quand j’allais rencontrer un homme et que j’allais tomber amoureuse de lui j’aurais des relations sexuelles avec lui à ce moment là. Mes copines ne couchaient plus avec les garçons par amour, elles le faisaient tout simplement par promiscuité. Lorsqu’on voit beaucoup de films pornographiques, ces esprits adhérents qui sont dans les films entrent en nous et prennent les hormones et ces esprits font en sorte que les personnes aient une sexualité diabolique, et lorsque les jeunes filles comme mes copines commencent à vivre dans cette promiscuité sexuelle, à la fin elles en étaient tellement malades, qu’elles allaient même participer à des orgies et c’est pourquoi une vierge dans ce groupe de filles, c’était une honte. Elles me disaient, mais tu vas attraper le cancer et c’est pourquoi je ne voulais pas tomber amoureuse parce que je ne voulais pas vivre ce genre de vie.

Mais à l’âge de 16 ans, je suis tombée amoureuse d’un jeune garçon qui était comme un chanteur brésilien qui s’appelle roberto Carlos. Il avait des cheveux bouclés et moi j’aimais ces cheveux bouclés et ce jeune garçon il avait aussi des cheveux bouclés et je suis tombée amoureuse de lui . Quand mes amies ont appris que j’étais amoureuse, elles m’ont donné la lettre que j’avais signée et elles m’ont dit : le moment est venu. Et moi je disais ! mais non je ne veux pas ce genre de relation, vous avez avortés vous au final et moi je ne veux pas en venir là. Je suis pauvre, moi je ne peux pas me payer ce genre de choses et mes copines qui me disaient : Nous avons les méthodes parfaites. Il faut utiliser deux préservatifs et tu prends en plus 5 pilules contraceptives et deux pastilles spermicides et tu ne tomberas pas enceinte. Alors j’ai suivi toutes leurs instructions et au premier mois je n’avais plus mes règles et je disais à mes copines : mais qu’est ce que je vais faire maintenant ? Et elles me disaient : Ne t’inquiète pas : elles vont revenir tes règles le mois prochain. Le deuxième mois arrive toujours sans mes règles et elles me disent : quelle mauvaise chance tu as eu, ca n’a pas marché ; alors maintenant il faut faire vite et il faut que tu te fasses avorter parce que quand le bébé est petit, le médecin se fait payer très peu cher. Vous vous imaginez mon angoisse ! Je ne dormais plus, je pleurais, je me sentais prisonnière, acculée mais qu’est-ce que je vais faire… mes parents …. Mais peu de temps après, le bébé commençait à bouger dans mon vente et j’ai commencer à ressentir une telle tendresse, un tel amour de maman, je commençais à aimer mon bébé, mon corps commençait à changer et mon ventre commençait à grandir, tellement que je ne pouvais plus le cacher, mes copines qui m’insultaient, parce que mon ventre était devenu trop grand et je disais : mais c’est terrible, c’est pas la peine d’avoir des relations sexuelles si à la fin il va falloir que je vive cet enfer ; quand j’ai annoncé à mon ami que j’étais enceinte, je croyais que nous allions partir tous les deux et que nous aurions notre bébé. Je me disais : nous allons ensuite revenir avec le bébé dans nos bras et nos parents sauront bien l’accepter ; mais quand je lui ai dit : qu’est ce que nous allons faire ? Il me répondit : nous ne pouvons pas. Il faut avorter. Quand il m’a dit cela, j’ai senti que je m’enfonçais dans une obscurité épouvantable et je disais : Non moi j’aime mon bébé, je ne veux pas le tuer. Mais j’ai manqué de courage ! Et un jour je me suis retrouvée pleurant dans une clinique d’avortement. Vous savez combien a coûté la vie de mon bébé ? Le prix d’une vache. Mon fiancé à vendu une vache de sa propriété et mes copines m’ont emmenées chez leur médecin qui m’a dit que puisque mes copines étaient des bonnes clientes, il allait me faire très bon marché. De mon temps, c’était très cher de se faire avorter. Je pleurais et le médecin s’en foutait complètement. Il a pris mon argent, et on m’a installée dans une salle avec un blouson bleue. On m’a couchée sur un lit horrible : je pleurais et je tremblais tellement j’avais peur et on m’a anesthésiée. Quand je me suis réveillée, j’ai touché mon ventre et je n’ai pas senti le bébé et je me suis tellement haïe ; la douleur était si grande, que je n’ai plus pu dormir. A chaque fois que je dormais, j’entendais le cri de mon bébé et quand je dormais, je sentais que le bébé me caressait le visage alors que je le tuais. Et vous savez ce que le Seigneur m’a montré ? Le bébé grand, et moi anesthésiée mais le bébé était éveillée et quand le médecin est venu sortir le bébé, le bébé était déjà tellement grand que le médecin, sans la moindre compassion, il a décidé de le déchiqueter dans mon ventre et moi je voyais dans le livre de la vie que le médecin avait trouvé la petit jambe droite du bébé et la lui a coupée. Le bébé a crié si fort et l’autre petit jambe, il l’utilisait pour essayer de fuir dans mon ventre mais le médecin a trouvé sa petite jambe également et lui a coupé les jambes et les morceaux de mon bébé sont tombés dans un bac rouge en plastique (gloria polo pleure quand elle raconte cela).

C’est pourquoi je dis que les gouvernements sont des menteurs ; quand ils disent que l’avortement c’est un droit : ce sont des menteurs, des fils de lucifer. Est-ce qu’ils ont voulu savoir ce que ressent une femme qui a avorté ? Les larmes qu’une femme qui s’est faite avorter verse. Combien il y a de femmes qui font de la dépression, les cancers de seins que cela produit. Dieu pardonne malgré ce terrible péché, mais la nature non. (mais il faut se confesser au prêtre pour obtenir le pardon du péché). Ces interruptions aussi violentes, plus la douleur, l’amertume, la haine que ressent la femme, sont à l’origine de beaucoup de cancers, de dépressions, de stérilité, de frigidité, et vous savez, après que j’ai tué mon bébé, je me suis retrouvée morte, même si je vivais. J’avais une telle haine envers mes amies, que j’ai pu obtenir de mon père, qu’il me sorte de ce collège. Je n’ai jamais plus voulu revoir ces amies. Et voilà comment j’ai anesthésié ma douleur : avec l’alcool, la musique, l’aérobic, je ne pouvais pas rester seule avec moi-même. Je ne me supportais pas. Et vous savez, après quand je me suis mariée, j’évitais d’avoir des enfants, parce que je m’étais fait mettre un stérilet. Et vous savez dans tout mon cheminement de femme mariée, de temps en temps j’avais des hémoragies spontanées, avec de gros caillots de sang, vous savez ce que c’était cela ? Des bébés assassinés, et je ne pouvais pas dire que je ne savais pas que le stérilet provoquait des avortements parce que l’Eglise le proclamait au monde entier. Et moi quand j’ai entendu dire que l’Eglise disait que les stérilets provoquaient des avortements, je me suis levée contre l’Eglise. Je disais : mais l’Eglise ne suite pas la science et la douleur que j’ai sentie par ses bébés que j’ai assassinés, parmi ses enfants, il y avait un prêtre et Dieu nous fait voir quelle était la mission de ces bébés : l’un de ses bébés, sa mission était de devenir un prêtre, c’est très douloureux. Je supplie Dieu pour que l’humanité se réveille de cette anesthésie dans laquelle elle vit. Quand les lois d’un pays autorisent l’avortement et que l’on tue les bébés au nom de la nation, au nom de la république, le sang de ces habitants tombent sur tous les habitants du pays qui reconnaît la Loi de l’avortement. Les seuls qui ne sont pas entâchés par ce sang, ce sont les personnes qui luttent et qui défendent la vie et qui ne se lassent pas de lutter pour le droit des bébés à la vie. Vous voyez quelle humanité perverse et quand nous ne voulons pas des enfants, nous les tuons en utilisant la méthode de la planification et si nous ne pouvons pas avoir d’enfants on les fait fabriquer dans un laboratoire.

Et vous savez ce qu’il y a de plus triste dans cela, c’est que malgré cette douleur terrible de l’avortement, lorsque j’avais 16 ans, je me suis mise à me croire scientifique et au final c’est moi qui défendais l’avortement. J’ai payé tant d’avortements. Voilà ce que fait lucifer. Il a confondu de telle manière mon esprit, qu’il m’a convertie en une femme luciférienne. Moi je disais que je n’avais pas tué et les bébés que j’avais assassiné, c’était pas des assassinats ? C’est le pire des meurtres. Et les bébés pour lesquels j’avais conseillé l’avortement, la langue sans Dieu devient une langue assassine. Ma langue a détruit un si grand nombre d’âmes et de vies… Au final, je défendais l’union des homosexuels, je défendais la promiscuité des jeunes. Je disais que c’était une sexualité libre. Je dépensais de grandes sommes d’argent pour offrir des préservatifs aux jeunes, et vous savez ce que le Seigneur m’a fait voir ? L’un des jeunes à qui j’avais donné de l’argent pour s’acheter des préservatifs, malgré son préservatif a attrapé le sida. Et voilà ce que Dieu nous montre. Il nous montre les conséquences de nos péchés, et la manière dont nos péchés détruisent les personnes qui sont autour de nous. Et jusqu’à la dernière personne la plus lointaine de l’humanité, reçoit les effets de nos péchés, la nature elle-même en souffre, souffre de nos péchés.
Lorsque j’ai vu tout mon livre de la vie, tout le mal que j’ai fait, tout le bien que je n’ai pas fait, à ce moment là, j’ai crié avec beaucoup de douleur : Je vois ma maman qui est en haut et je crie : Maman, quelle honte ! je me suis condamnée. Là où je vais mère, je ne vais plus jamais te revoir. Je savais à ce moment là que j’allais en enfer, je n’avais pas voulu accepter la miséricorde de Dieu, je ne me suis pas laissée transformer par l’amour de Dieu et ma mère a regardé vers le haut et quand j’ai regardé des écailles de mes yeux sont tombées : c’était mon aveuglement spirituel. Et à cet instant, j’ai crié du fonds du cœur : Jésus Christ, aie pitié de moi Seigneur ! Pardonne-moi ; donnes-moi une seconde chance, et ce fut le moment le plus merveilleux, parce que Jésus est descendu dans sa lumière, il m’a sorti de ce trou et Il m’a dit avec tant d’amour : Tu vas revenir, tu vas avoir une deuxième chance, mais c’est grâce à la prière de toutes les personnes qui ne sont pas de ta famille. Et j’ai vu à ce moment là le grand pouvoir de la prière d’intercession.

Dans mon pays, beaucoup de personnes ont prié pour moi à la suite du foudroiement qui est paru dans les journaux et l’Esprit Saint faisait monter ces prières comme des petites flammes. Ce qui plaît le plus à Dieu, c’est la prière que nous faisons pour les autres. La Vierge Marie avait recueillie toutes ces prières des personnes qui avaient prié dans mon pays la Colombie et dans sa main gauche, elle avait recueilli toutes les prières des saints et dans l’Eglise de Sainte thérèse de Lisieux, le jour des funérailles de mon neveu, pendant la messe, au moment de l’élévation, la Vierge Marie a tendu les bras en présentant toutes les prières qui avaient été dites pour moi et c’est la raison pour laquelle je suis ici et en particulier grâce à la prière d’un paysan très humble, c’est un paysan qui habite dans le nord de mon pays. Il mourait de faim. La guérilla lui réclamait son enfant parce que lui le paysan, il n’avait pas d’argent pour payer la guérilla, et ce dimanche, ce paysan qui descendait d’une montagne avec sa femme et ses deux enfants en marchant des heures et des heures. Il était très heureux parce qu’il allait à la sainte Eucharistie. Quand il est arrivé à l’Eglise, il s’est mis à genoux et il a mis son front par terre et il a crié avec tout son cœur : Seigneur, je t’aime ; Merci Seigneur pour le don de la vie, Seigneur ; Merci pour mes enfants, Seigneur ; Merci pour tout ce que tu me donnes Seigneur, je ne suis pas digne Seigneur d’un si grand amour ; il mourait de faim et il rendait grâce ; et ce paysan a commencé à crier du fonds du cœur : Seigneur , fais que mes enfants t’aiment, que la Colombie devienne bonne Seigneur, que le monde se convertisse Seigneur, que le monde soit bon ; que le monde t’aime Seigneur et quand on est passé pour la quête, le Seigneur m’a fait voir la poche de ce paysan à ce moment là. Il avait dans sa poche un billet de 10.000 et un billet de 5.000 et le paysan a donné en offrandes son billet de 10.000. Dès qu’il est sorti de l’Eucharistie, après avoir communié, il ressortait avec une lumière immense dans sa poitrine et avec une joie énorme et il a acheté une sucrerie de mon pays qui s’appelle « la pamela » et « la pamela » on la lui a enveloppée dans une coupure de journal et c’est là que se trouvait la photo de moi, carbonisée. Quand le paysan a lu la nouvelle me concernant, en pleurant il tombe par terre, comme si j’étais sa fille. Et il a fait la prière grâce à laquelle je suis ici : Il a crié du fonds du cœur : Père Seigneur, aie pitié de ma petite sœur, Seigneur, Sauve là. Seigneur si tu la sauves, je te promets que je vais aller au sanctuaire de Buga, et je vais accomplir une promesse, mais sauve ma petite sœur. Il a offert au Seigneur de traverser tout le pays pour moi, alors qu’il n’avait même pas de quoi manger. Et le Seigneur me l’a montré et m’a dit : Ca c’est l’amour du prochain. Voilà ce qu’est l’amour. Et c’est à ce moment là que le Seigneur m’a donné cette mission : Et il ma dit à ce moment là : tu ne vas pas répéter cela 1000 fois, mais 1000 fois mille fois et malheur à ceux qui en t’entendant ne changent pas parce qu’ils vont être jugés plus sévèrement comme toi-même tu vas être jugée lorsque tu reviendras ici une deuxième fois et aussi pour Mes oints ou n’importe quel de mes prêtres car il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre et pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

Ceci mes frères et sœurs n’est pas une menace. Dieu n’a pas besoin de nous menacer. Vous savez ce que c’est : C’est Jésus amoureux qui, les bras ouverts, est devant chacun de nous, qui veut nous guérir, qui veut nous pardonner, qui veut nous remplir de son amour ; ce Jésus là est devant chacun de nous parce qu’Il nous aime. Nous sommes importants pour lui. Il veut nous sortir de la violence, de la haine, des vices ; il veut nous guérir. Jésus veut des saints. L’humanité a besoin de saints.

Que le Seigneur vous bénisse.

Je vous aime, dans l’amour de Dieu.

Gloria Polo

Soleil

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