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Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse

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Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse - Page 2 Empty Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse

Message par Her Mer 23 Nov - 20:36

A diffuser à tous vos réseaux!
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Chers amis dans le Christ !

Dans le cadre du Festival d'automne, dont le Ministère de la Culture et de la Communication est l'un des partenaires et financeurs sur fonds publics, commencera, le 8 décembre, en la fête de l'Immaculée Conception, au Théâtre du Rond-Point à Paris un cycle de représentations de Golgota Picnic. Les intentions de Rodrigo Garcia, son auteur, sont claires : "il ne s'agit pas seulement de critiquer le christianisme, mais bien de salir et d'insulter ce qui donne un sens à notre vie de chrétiens : le Christ sur la croix, qui y est présenté comme "fou", "chien de pyromane", "messie du sida" ou "putain de diable". Toutes les représentations chrétiennes de l'Amour divin sont salies ou dénigrées" (Padre Blog).

Les évêques de France ont manifesté leur indignation face à cette offense financée par les pouvoirs publics.

Mgr Le Gall: "le ton de la pièce, qui a suscité de fortes réprobations en Espagne, est résolument antichrétien et blasphématoire. Je me sens solidaire de l'indignation exprimée par de nombreuses personnes, et je partage la souffrance des chrétiens qui voient insulter notre foi ainsi que les valeurs qui nous tiennent le plus à cœur. [...] Nous demandons à nos concitoyens de respecter aussi notre foi, ainsi que notre engagement dans la société, à côté de tout homme de bonne volonté."

Mgr Rey: "un tel spectacle ne peut que blesser violemment les consciences chrétiennes comme celles de tous les hommes de bonne volonté attachés au respect mutuel des uns par les autres".Porter atteinte à la personne du Christ en Croix, c’est tout à la fois porter atteinte à la religion chrétienne dans son ensemble, mais c’est aussi insulter gravement et au plus intime de sa conscience et de son cœur, chaque fidèle".

Les chrétiens doivent réagir avec fermeté et justesse !

Trois réponses sont envisagées.

1) La prière, en réparation des blasphèmes financés par nos impôts !

Le Cardinal André Vingt-Trois, Archevêque de Paris, appelle les catholiques de toute sensibilité.
Il invite, jeudi 8 décembre à 20h, ceux qui le veulent à une veillée de prière à Notre-Dame de Paris au cours de laquelle seront proposées une méditation de la Passion du Christ et la vénération de la couronne d’épines.
Vénérer les reliques de la Passion du Christ, méditer ensemble le mystère du Calvaire, réparer les offenses par notre prière et surtout en tirer un plus grand désir de notre propre conversion... voilà une réponse juste, qui portera de nombreux fruits et permettra de tirer d'un mal un plus grand bien !

Une telle invitation de l'Archevêque de Paris doit être diffusée très largement.
Il est exceptionnel qu'une veillée soit organisée pour répondre à une pièce de théâtre. Le Cardinal André Vingt-Trois réagit face à cette attaque de la même manière qu'il réagit aux drames nationaux et internationaux.
Nous devons oublier les querelles passées et nous trouver unis devant la Sainte Couronne d'épines !

Il est important de nous rendre massivement à la veillée organisée le 8 décembre !

Faisons preuve d'unité et de charité !

2) La « rose blanche », symbole de paix !

Pour compléter cette démarche spirituelle, certains ont proposé un témoignage public, sobre et pacifique : nous pourrions dans la journée, passer déposer en silence des fleurs blanches devant le Théâtre du Rond-Point.
"Ce geste est beau, simple et parlant. Il pourra être renouvelé chaque jour, jusqu'au 17 décembre, date de la dernière représentation. Il peut être partagé par tous ceux qui, croyants ou non, comprennent la douleur des chrétiens et veulent appeler au respect mutuel" (Padre Blog).

3) La manifestation symbole de réveil, de force et de présence publique !

Le scandale public nécessite un réparation publique.

Des manifestations sont également organisées devant le Théâtre du Rond-Point, à chaque représentation (sauf, pour notre part, le soir du 8 où nous faisons le choix d’être tous à Notre-Dame pour la veillée de prière et la vénération des reliques de la Passion).
Ces manifestations pacifiques et non violentes permettront d'attirer l'attention des Français sur la paix et la bonne volonté des chrétiens.
Tous les chrétiens sont donc évidemment conviés à ces manifestations.

Nous ne sommes pas là pour faire du "copinage médiatique", mais pour répondre à une offense publique financée par nos impôts, nous serons dans la rue au lieu et au moment où le Christ, notre Dieu, est bafoué !

Les différentes actions se complètent et ne sont nullement en opposition.
C'est par l'unité que nous serons vainqueurs. Et unité rime avec charité...!

La liberté d'expression doit s'accompagner d'un vrai respect pour vivre ensemble et éviter l’éclatement de la société en de multiples communautés qui s’ignorent ou s’agressent.
"Cette pièce de théâtre est une violence faite aux croyants. Loin de servir la paix - comme l’art sait le faire - elle attise les braises de la division et de l’intolérance" (Padre Blog)

Face à cela, nous voulons exprimer publiquement notre douleur et appeler au respect mutuel.

Nous le ferons en chrétiens, c’est à dire de façon pacifique, sobre et juste, refusant toute violence.

Il ne s’agit pas d’agir au nom de telle ou telle mouvance politique ou religieuse, mais en tant que chrétien !
Les catholiques ont l'occasion d'exprimer ensemble leur amour du Seigneur et leur désir d'œuvrer à un plus grand respect mutuel., par des moyens différents! Nous ne pouvons qu'espérer que cette unité prime, sous l'autorité de nos Evêques.

Antoine Malpieu

Au nom des nombreuses personnes qui se mobilisent pour la défense du Christ insulté.
En union avec les Evêques, diocèses, associations, et communautés se mobilisent face à cette injustice.

Vous pouvez ouvrir le lien suivant :
http://www.theatredurondpoint.fr/saison/fiche_spectacle.cfm/110853-golgota-picnic.html

"Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font." (Lc, XXIII, 33-34)
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Message par Her Jeu 24 Nov - 10:01

secretariat@civitas-institut.com
www.francejeunessecivitas.com

Communiqué d'Alain Escada, Secrétaire général de Civitas : Le 11 décembre, grande manifestation à Paris contre Golgota Picnic


Le 11 décembre, grande manifestation à Paris contre Golgota Picnic

Après la mobilisation contre le spectacle de Castellucci, il s'agit maintenant d'organiser la riposte contre "Golgota Picnic".

Quelle est donc la nature de ce "Golgota Picnic" ? Ce spectacle de Rodrigo Garcia est une injure au Christ. Les mots et les gestes y sont blasphématoires et quasi pornographiques, les scènes et les dialogues y sont viscéralement antichrétiens, sordides, pervers et humiliants. Les Evangiles y sont moqués de façon ordurière et profanatoire, avec une violence abjecte et glauque qui relève d'un fanatisme anticlérical et d'un fondamentalisme laïcard que nous combattrons avec fermeté.

Du 8 au 17 décembre, pas une représentation de Golgota Picnic à Paris ne se fera sans une mobilisation des chrétiens devant les portes du Théâtre du Rond Point.

Nous viendrons chaque jour faire acte de protestation et de réparation publiques.

Pour ce faire, notez déjà que Civitas a déclaré à la Préfecture une manifestation chaque soir de représentation, manifestation qui se tiendra avenue Franklin Roosevelt, face au théâtre.

Notez également que le dimanche 11 décembre sera l'occasion d'une nouvelle grande manifestation nationale contre la christianophobie. Elle partira à 14 H 00 de la place de l'Alma pour se diriger vers l'avenue Franklin Roosevelt. Ce 11 décembre doit être le point d'orgue de notre mobilisation. Organisez-vous dès à présent de toutes les provinces de France. Des cars sont prévus de Suisse et de Belgique. Qu'il en soit ainsi de toute la France.

Tous présents pour défendre l'honneur du Christ !

Alain Escada,
secrétaire général de l'Institut Civitas

+++++++

Escada (Civitas) invité chez Zemmour - La vidéo du débat

La vidéo de la manifestation contre la christianophobie à Toulouse

+++++++

Manifestation pour le Nord : mardi 29 novembre à 19 H 30, place Salvador Allende à Villeneuve d'Ascq
http://francejeunessecivitas.hautetfort.com/archive/2011/11/11/villeneuve-d-ascq-29-novembre-a-19h00-manifestation-contre-l.html

Cette campagne contre la christianophobie coûte cher. Aidez-nous !
- Adhésion à Civitas : normale : 10 € - militante : 30 € - de soutien : 50 € / Adhésion à France Jeunesse Civitas : normale : 5 € - militante : 15 €

adhésion en ligne : http://www.civitas-institut.com/component/option,com_chronocontact/Itemid,120/
- S’abonner à la revue Civitas : 25 €

abonnement en ligne : www.civitas-institut.com (colonne de droite)

achat en ligne des différents numéros de la revue : http://www.civitas-institut.com/content/blogcategory/40/56/

- Faire un don à Civitas. Vous êtes assujetti à l’impôt sur revenu ? La loi vous accorde une réduction de 66% du montant de votre don (article 200 du CGI). Pour un don de 1.000 euros, la réduction d’impôt est de 660 euros et votre contribution personnelle n’est que de 340 euros. Votre don est donc multiplié par trois !
Les dons consentis par les entreprises font l’objet d’une réduction de 60% (article 238 bis du CGI). Nos seuls moyens financiers proviennent de votre générosité.

dons en ligne : www.civitas-institut.com (colonne de gauche)

Pour les adhésions, abonnements et dons, vous pouvez également envoyer vos chèques à Civitas - 17 rue des Chasseurs à 95100 Argenteuil


Civitas
17, rue des Chasseurs - 95100 Argenteuil
01.34.11.16.94
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Message par Her Jeu 24 Nov - 12:50

http://jesusfilsdedieu.blogspot.com/2011/11/golgota-picnic-toulouse-la-mobilisation.html

JEUDI 17 NOVEMBRE 2011

“Golgota Picnic” : À Toulouse, la mobilisation a démarré fort avec la prière puissante des religieux
Lu sur Présent :
Plus de 200 catholiques ont prié dans le calme aux abords du Théâtre de la Garonne à Toulouse lors de la première représentation de la pièce de Rodrigo Garcia, Golgota Picnic. Alternant cantiques et chapelets, soutenus par la présence de plusieurs prêtres, d’une quinzaine de religieux – moines et novices capucins venus du monastère Saint-François de Morgon dans le Gers, plusieurs religieuses – les fidèles ont pacifiquement prié à la lumière de flambeaux, faisant de l’événement une veillée recueillie plutôt qu’une manifestation. Beaucoup de familles, de jeunes – pas tous fidèles de la Fraternité Saint-Pie X – accompagnés d’une fanfare ont ainsi rendu visible la volonté de réparation devant l’outrage de cette pièce qui s’autorise tous les blasphèmes, toutes les diffamations, les pires calomnies sur le Christ crucifié et son Eglise.
La police toulousaine était sur les dents en raison de la contre-manifestation annoncée, maintenant d’emblée les catholiques éloignés du théâtre devant lequel seule une poignée de fidèles ont réussi à se glisser. Ceux-là étaient entourés par les forces de l’ordre pendant qu’ils disaient le rosaire sous les insultes et les quolibets de quelques dizaines de militants gauchistes.
Combien étaient-ils, ceux-là ? Deux groupes, l’un de 70, l’autre de 150 personnes ont tenté en vain de couvrir les prières tranquilles mais bien « sonorisées » des catholiques. Nerveux à force d’entendre les prières (comme nous le raconte l’un des abbés présents mercredi soir) ils ont peu à peu quitté la place. Un de ces militants – probablement « multicartes » vu le nombre d’associations venues bruyamment réclamer que cessent les manifestations catholiques, au nom de la « liberté d’expression », de la LDH à l’extrême gauche ! – s’est même approché d’un étudiant accroché à son chapelet pour lui suggérer de lancer des slogans plutôt que des « Je vous salue Marie ». Eh bien oui, la prière publique des catholiques en France a un sens et une portée que nous ne mesurons sans doute pas assez. Avis au cardinal Vingt-Trois et autres Mgr Le Gall qui ont donné le la pour désigner à la haine les « idiots sympathiques » et les « intégristes » dont l’arme est le chapelet…
« Intégristes, intégristes, intégristes » : lancinant, le quolibet infamant revient dans les comptes rendus médiatiques, six fois répété dans la modeste dépêche de l’AFP que, servilement, les journaux ont recopiée, du Parisien au Figaro. Y compris cette phrase révélatrice : « Les textes et les situations, la plupart du temps loufoques et décalés, doivent parfois être entendus au second degré lorsqu’ils traitent du Christ pour ne pas choquer. »
La Dépêche du Midi, plus originale, a envoyé reporter et photographe, et, pour la « première », une journaliste dans la salle de théâtre. Nicole Clodi relate sans sourciller la première scène jouée sur un parterre jonché de pains pour hambuger pour parodier la multiplication des pains : une fille « montre son sexe à la caméra qui en reflète l’image sur l’écran géant » au fond de la scène et « déclame : “Je ne vous apprendrai pas à baiser les gosses, à envoyer des bombes du haut des tours… puisque ça, vous savez déjà le faire.” »
La délicate journaliste, tout acquise au message de Garcia, approuve ensuite son idée d’interdire les musées montrant « l’iconographie de la terreur » qui, à travers la Crucifixion, font la « propagande de la torture ». La liberté d’expression a de ces ratés…
D’autres manifestations tout aussi pacifiques sont prévues pour les prochaines représentations de Golgota Picnic d’ici à dimanche, tandis qu’une manifestation contre la christianophobie, à l’appel de Civitas, se tiendra place de la Daurade à Toulouse samedi à 18 heures.
En attendant les bobos, snobs et intellos toulousains continueront de se piquer d’avant-gardisme, aux frais du contribuable, en honorant de leur présence ce Golgota Picnic dont les spectateurs néerlandais (ils l’ont vu en septembre à Rotterdam) sont nombreux à souligner que les transgressions ont décidément pris un coup de vieux. « De l’anticléricalisme d’il y a 30 ans : qui est-ce que cela peut encore choquer ? », demande une spectatrice qui s’estime flouée parce qu’aujourd’hui on peut faire bien pire.
Encore une qui n’a pas compris, pas plus que les bobos de Toulouse, Rennes, Paris, que la vraie nouveauté, c’est précisément la Rédemption. Et sa valeur d’éternité.
JEANNE SMITS

Article extrait du n° 7477
du Vendredi 18 novembre 2011

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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/11/la-prière-les-rend-fous.html

17 novembre 2011

La prière les rend fous

Dans Présent, Jeanne Smits relate la prière publique des catholiques à Toulouse, ainsi que la contre-manifestation d'associations gauchistes :

"Combien étaient-ils, ceux-là ? Deux groupes, l’un de 70, l’autre de 150 personnes ont tenté en vain de couvrir les prières tranquilles mais bien « sonorisées » des catholiques. Nerveux à force d’entendre les prières (comme nous le raconte l’un des abbés présents mercredi soir) ils ont peu à peu quitté la place. Un de ces militants – probablement « multicartes » vu le nombre d’associations venues bruyamment réclamer que cessent les manifestations catholiques, au nom de la « liberté d’expression », de la LDH à l’extrême gauche ! – s’est même approché d’un étudiant accroché à son chapelet pour lui suggérer de lancer des slogans plutôt que des « Je vous salue Marie ». Eh bien oui, la prière publique des catholiques en France a un sens et une portée que nous ne mesurons sans doute pas assez."

A propos de l'affaire Benetton, petit souvenir.

Posté le 17 novembre 2011 à 14h07 par Michel Janva

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Commentaire d'Hercule : St Paul a écrit :

Romains 12 : 14-21
"Bénissez ceux qui vous persécutent; bénissez, ne maudissez pas. Réjouissez-vous avec qui est dans la joie, pleurez avec qui pleure. Pleins d'une égale complaisance pour tous, sans vous complaire dans l'orgueil, attirés plutôt par ce qui est humble, ne vous complaisez pas dans votre propre sagesse. Sans rendre à personne le mal pour le mal, ayant à coeur ce qui est bien devant tous les hommes, en paix avec tous si possible, autant qu'il dépend de vous, sans vous faire justice à vous-mêmes, mes bien-aimés, laissez agir la colère ; car il est écrit : C'est moi qui ferai justice, moi qui rétribuerai, dit le Seigneur.
Bien plutôt, si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s'il a soif, donne-lui à boire ; ce faisant, tu amasseras des charbons ardents sur sa tête. Ne te laisse pas vaincre par le mal, sois vainqueur du mal par le bien".
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Message par Her Jeu 24 Nov - 21:51

http://www.laportelatine.org/archives/communic/2011/civitas_rey_agrif111114/rey_agrif111114.php

Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, soutient courageusement l'Agrif dans son action contre Golgota Picnic

Accès aux communiqués archivés en 2011
L'appel de l'abbé de Cacqueray : Défendons le Christ : signons la pétition !
Campagne contre la christianophobie : nul ne peut dire qu'il ne peut rien faire

Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon,
soutient courageusement l'Agrif dans son action contre Golgota Picnic


Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon

Toulon, le 2 novembre 2011
Monsieur le Président,

Vous avez bien voulu me solliciter à propos de l’action en justice de l’association AGRIF, que vous présidez, demandant l’interdiction du spectacle de Rodrigo Garcia intitulé « Golgota Picnic » et programmé du 16 au 20 novembre 2011 au théâtre de la Garonne à Toulouse et du 8 au 17 décembre au Théâtre du Rond Point à Paris.

Les éléments rassemblés dans l’assignation préparée par votre avocat correspondent aux informations circulant dans les médias depuis plusieurs semaines, en provenance d’Espagne notamment, à propos tant du spectacle lui-même que des déclarations de son auteur, M. Garcia.

Depuis que la programmation de ce spectacle est connue, de nombreux chrétiens de mon diocèse et d’ailleurs en France m’ont fait part de leur profonde peine, de leur incompréhension, de leur exaspération et parfois de leur colère face à une nouvelle atteinte au cœur de notre foi chrétienne et de la religion catholique. L’identité de tout fidèle catholique est en effet constituée par la personne même du Christ, et par son sacrifice sur la Croix, au Golgotha, où Il nous a rachetés de nos péchés et ouvert, dans son sang, la voie de la réconciliation avec Dieu. Porter atteinte à la personne du Christ en Croix, c’est tout à la fois porter atteinte à la religion chrétienne dans son ensemble, mais c’est aussi insulter gravement et au plus intime de sa conscience et de son cœur chaque fidèle.

Dans le cas présent, traiter le Christ en Croix de « fou », de « chien de pyromane » et « messie du sida », de « putain de diable », en faire l’égal d’un terroriste, équivaloir la multiplication des pains qui annonce le don renouvelé de Lui-même dans son Eucharistie, à chaque Messe et à chaque communion, et la Crucifixion par laquelle Il nous sauve, à des représentations enfermant les hommes dans la cruauté, tout cela dépasse de très loin la mesure de ce qu’un chrétien peut entendre sans éprouver le sentiment d’une agression très vive dans ce qu’il a de plus cher et de plus intime. Le projet de M. Garcia de prouver que la vie du Christ a créé une iconographie de la terreur va directement à l’encontre de la foi de tous ceux qui voient dans le sacrifice du Christ sur la Croix la source de toute paix et réconciliation.

Un tel spectacle ne peut que blesser violemment les consciences chrétiennes comme celles de tous les hommes de bonne volonté attachés au respect mutuel des uns par les autres.

J’espère vivement que le succès de vos actions permettra à tous ceux qui ont déjà exprimé leur dégoût et leur révolte, de comprendre que la société dans laquelle nous vivons les protège dans leur identité, leur conscience, et leur volonté de dialoguer dans la paix, sans offense et sans violence, avec ceux qui ne partagent pas leur foi ou qui se posent légitimement des questions sur le Christ et sur l’Église.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’assurance de ma prière fidèle et de mon soutien dans votre action confiante en la justice de notre pays.

+ Dominque Rey
Evêque de FREJUS-TOULON


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Message par Her Ven 25 Nov - 8:04

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/11/20/les-catholiques-integristes-perturbent-la-piece-golgota-picnic_1606730_3224.html

Les catholiques intégristes perturbent la pièce "Golgota Picnic"
LEMONDE.FR avec AFP | 20.11.11 | 18h18 • Mis à jour le 20.11.11 | 18h18

A Toulouse, le 16 novembre, manifestation de catholiques intégristes à l'occasion de la première de "Picnic Golgota".AFP/ERIC CABANIS

Les ultra-catholiques sont parvenus pour la première fois, dimanche 20 novembre, à perturber Golgota Picnic lors de leur dernière manifestation à Toulouse, avant de nouvelles protestations à Paris contre ce spectacle qu'ils jugent blasphématoire.
Quelque 150 intégristes, maintenus à l'extérieur, ont réussi grâce à leur sono à faire entendre leurs prières et leurs chants à l'intérieur du Théâtre Garonne où se jouait la pièce de l'Argentin Rodrigo Garcia.

Au terme de délicates négociations, le responsable de l'important dispositif policier mis en place autour du théâtre a dû menacer de faire intervenir ses hommes pour que les organisateurs mettent le tambour et la grosse caisse en sourdine une quarantaine de minutes après le début du spectacle.

C'était la cinquième fois depuis mercredi et la première française de Golgota Picnic au Théâtre Garonne que les fondamentalistes se rassemblaient pour réclamer la déprogrammation et l'interdiction du spectacle, et pour dénoncer ce qu'ils considèrent comme une banalisation de la "christianophie".

Ils laissent un personnel épuisé, de l'aveu du directeur du théâtre, Jacky Ohayon. Golgota Picnic doit à présent être donné au Théâtre du Rond-Point à Paris du 8 au 17 décembre. Les ultra-catholiques ont déjà annoncé de nouvelles manifestations.

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http://www.riposte-catholique.fr/osservatore-vaticano/communication-ov/la-courageuse-denonciation-de-la-funeste-internationale-des-barbus

La courageuse dénonciation de la funeste internationale des barbus
24 novembre 2011 | Enregistrer sous: Communication OV,Eglise en France | Publié par: Vini Ganimara

Ce qu’il y a de bien avec la grosse presse, c’est qu’elle ne s’embarrasse pas de subtilités!

Notre confrère, le solennel et néanmoins vespéral « quotidien de référence », sous le titre: « Les catholiques intégristes perturbent la pièce Golgota Picnic », a publié, le 20 novembre dernier, en partenariat avec l’AFP, un article dénonçant les « ultra-catholiques » qui manifestent à Toulouse.

Cet article présente un certain nombre d’extravagances. Je constate d’abord que 150 « intégristes », armés d’une grosse caisse (!), empêchent la sereine représentation d’une pièce dont le metteur en scène avait réclamé, lors de sa diffusion espagnole, que le public monte sur scène (pour démontrer, je suppose, le caractère vivant autant que « subversif » de ce théâtre « engagé »). Il avait même, si j’ai bien compris (mais ces gens parlent un jargon tellement abscons que je ne suis pas sûr d’avoir bien compris…), laissé entendre qu’une bonne pièce de théâtre contemporain est une pièce où le public moleste les acteurs… ce qui relativise singulièrement la prétendue « violence » des personnes qui prient devant le théâtre!

Je note encore que la pièce, de l’aveu de ses défenseurs, ne vaut pas grand-chose. Ce que « Le Monde » traduisait, la semaine précédente, en termes choisis:

Pour être honnête, il est difficile de rendre compte de Golgota picnic du strict point de vue artistique.
Le sens de cette phrase est encore l’objet de nombreux débats chez les meilleurs exégètes. Mais je puis, d’ores et déjà, amis lecteurs, vous souffler une solution : même les défenseurs de « Golgota Picnic » n’osent pas dire que cette pièce serait de l’art…

Je relève aussi que cette poignée de « fondamentalistes » a de la suite dans les idées. Dans cet article daté du 20 novembre, il était mentionné que c’était la cinquième fois depuis mercredi [16 novembre]

que les fondamentalistes se rassemblaient pour réclamer la déprogrammation et l’interdiction du spectacle, et pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme une banalisation de la « christianophie ».
Ces « intégristes », tout de même, de vrais stakhanovistes! Tous les soirs, ils sont là (même pas de repos dominical). Et tout ça pour dénoncer une « christianophobie » (entre guillemets dans l’article), dont le journaliste – éclairé, lui! – sait bien qu’elle ne peut être dénoncée qu’entre guillemets. C’est-à-dire, en français dans le texte, que les « fondamentalistes » dénoncent une prétendue christianophobie. Au « Monde », on sait bien qu’il n’existe point de christianophobie. On n’en parle qu’entre guillemets. Avec circonspection et sagacité…

Mais, surtout, je note que la photo illustrant l’article (ou la dépêche, car on ne sait trop si c’est « Le Monde » qui dicte à l’AFP ou, au contraire, l’AFP qui tient la plume pour « Le Monde »…) représente des capucins.

Sauf que personne n’en saura rien. Si vous ne lisez que l’article du 20, rien ne vous explique qui sont ces barbus incongrus (à moins que vous ne soyez un lecteur « anormal » du « Monde », connaissant, par ailleurs, les usages des franciscains de la stricte observance). L’article du 17, auquel je faisais référence plus haut, est un peu plus disert sur le sujet. Mais, en toute hypothèse, la photo a une, et une seule, fonction: elle associe le vocable « intégriste » (ou « fondamentaliste », c’est selon) aux barbus. Suivez mon regard…

Comme toujours, il s’agit de « montrer » que les « intégristes » catholiques sont comme les islamistes radicaux. Et même, comme naguère on enseignait doctement que les « intégristes » étaient « pires que les communistes », on laisse entendre que les « fondamentalistes chrétiens » sont « pires que les islamistes » en matière de « violation de la liberté d’expression ».

Et nos bobos de service de se donner bonne conscience en faisant mine de militer héroïquement pour la liberté d’expression. Mais non point devant les personnes qui les menacent de mort, ou qui dynamitent les journaux des « mécréants ». Ils résistent « héroïquement » devant quelques dizaines de catholiques qui récitent le chapelet, emmenés par une poignée de disciples du Poverello d’Assise!

NB: En contemplant la photo et la mise en scène, je ne pouvais m’empêcher de songer à l’excellent Audiard: « Un barbu, c’est un barbu. Trois barbus, c’est des barbouzes! » Et je me demandais avec angoisse: Que fait donc le Parlement ? Il devrait déjà être en train de légiférer pour interdire le port de la barbe à toute personne portant par ailleurs un chapelet (oups, pardon, cela risquerait de concerner aussi des barbus islamistes, qui nous apportent – M. Delanoë nous l’assure et nul n’oserait contester son admirable maîtrise de la théologie coranique – une diversité bien venue et nous enseignent la paix et l’amour; je voulais naturellement dire « toute personne portant par ailleurs un chapelet terminé par une croix »…)

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Commentaire d'Hercule : Et toujours ce grand manque de courage des journalistes qui n'osent pas proclamer haut et fort que cette campagne anti-catholique est orchestrée depuis le fond le plus obscur des loges, et subventionnée par des élus à la solde de la franc-maçonnerie.
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Message par Her Lun 28 Nov - 7:12

http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/mgr-daucourt-refile-golgota-picnic-a-une-commission

Mgr Daucourt refile Golgota Picnic à une commission
27 novembre 2011 | Enregistrer sous: Communication P,Eglise en France,Perepiscopus | Publié par: Maximilien Bernard

Réagissant à son tour à l’épouvantable Golgota Picnic, Mgr Daucourt écrit très sérieusement :

Je demande aux responsables de la commission « Parole de Dieu et Art » de la Maison de la Parole à Meudon d’organiser dans les mois qui viennent – avec la possible collaboration de la Commission d’Art Sacré – des rencontres d’enseignement et d’échanges à propos des oeuvres d’art qui illustrent ou transmettent la Parole et à propos de celles qui la contestent, l’interrogent ou l’offensent.
« Dans les mois qui viennent »… Amis catholiques, dormez tranquille, la commission improbable veille !

A-t-on dit à Mgr Daucourt que les commissions, cela faisait un peu rétro ?
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Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse - Page 2 Empty Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse

Message par Her Mar 29 Nov - 12:57

http://www.france-catholique.fr/Lettre-ouverte-aux-auteurs-acteurs.html

Devant le Christ outragé, les larmes d’un seul enfant sont plus désarmantes que les armes de mille manifestants.
Lettre ouverte aux auteurs, acteurs et promoteurs de Golgota Picnic
par le Père Daniel-Ange
lundi 21 novembre 2011

Autres articles

« Nous devons subir en silence les absurdités de ceux qui dénigrent, déforment, ridiculisent nos convictions… Faudrait-il se laisser égorger en silence ?

Est-ce faire de la politique que de crier son désarroi devant la terreur ? »

(Pierre Claverie, évêque d’Oran, assassiné le 1.09.96)


J’ose être franc avec vous. Permettez-moi quelques questions. Je le fais au nom d’un grand nombre. Pourquoi ? Mais pourquoi donc ce déchaînement de christianophobie ? Ce besoin irrationnel de détruire le christianisme par le biais de la dérision, du cynisme, de l’ironie.

Peut-être n’est-ce pas du tout votre intention explicite. Peut-être n’en n’avez-vous pas conscience. Mais que vous le vouliez ou non, vos œuvres sont tellement provocantes qu’une multitude en est heurtée, blessée, bouleversée. Des chrétiens biens sûr, toutes églises confondues, mais aussi des croyants d’autres religions et simplement des hommes et des femmes, souvent non croyants, mais qui gardent encore un certain sens du respect, de l’honnêteté, de la dignité humaine. Et même des artistes, qui savent encore ce que signifie l’art.

Non et non ! On ne peut faire tout passer sous ce label. Cessons de prostituer la beauté.

La plupart sont des gens simples, des pauvres, des petits, qui en tant que tels méritent encore un plus grand respect.

Pourquoi, mais pourquoi ainsi les blesser dans ce qu’ils portent de plus intime, de plus profond, de plus vrai en eux-mêmes ?

Le saviez-vous ? Pour nous, pour une multitude, la personne de Jésus est ce que nous avons de plus précieux au monde. Il est tout pour nous. Il a transformé notre vie, illuminé notre existence, transfiguré nos souffrances. Il est Celui qui a livré sa vie pour nous ouvrir à tout jamais la Vie après la mort, nous donner ce Ciel dont vous vous moquez, mais qui demeure notre unique avenir. Un jour, vous le saurez… lorsque vous frapperez à la porte…

En attendant, ne prenez pas trop de risque d’en louper l’entrée faute de visa.

Qu’avez-vous contre cette personne qui ainsi vous questionne ?

Je vous le demande : qu’avez-vous contre Lui ? Quel mal vous a-t-il fait ? Pourquoi cette haine viscérale contre Quelqu’un qui n’a été que bonté, douceur, tendresse, totalement donné aux autres, ne faisant que du bien, qui n’a jamais eu des tas de concubines, n’a jamais violé ni massacré. Au contraire, préférant être lui-même tué, tout innocent, plutôt que de tuer ! Ou plutôt qui a tué en son propre cœur la haine, la jalousie, l’orgueil, bref – tous ces péchés qui provoquent 90 % de la souffrance dans le monde. Qui a partagé tout de mon existence, toutes mes souffrances, qui a connu l’exil, le rejet, la calomnie, la prison par pur amour de … toi et moi, pour te, me permettre après la mort – qui vient si rapidement – une éternité de bonheur.

Si vous le tournez en dérision, soyez logiques : moquez-vous aussi des malades, réfugiés, détenus. Jetez de la merde sur un agonisant, sur un enfant (que Lui-même a été).

Vous voyez, si ce qu’il y a de plus sacré au monde pour des milliards de croyants de par le monde ( leur fondateur de religion) n’est plus respecté, alors c’est bien simple : plus rien ne sera sacré, intangible, inviolable. Ni l’enfant en son état de zygote, ni la personne âgée en état de parkinson, ni un gosse qui sanglote, ni une maman qui voit – impuissante- mourir son petit, ni l’homme qui n’a que la rue pour maison. Allez-y, moquez-vous d’eux tous ! Peut-être n’y aura-t-il aucune réaction dans le peuple, tellement nous sommes blasés, amorphes, anesthésiés.

Ou bien, s’il vous faut absolument salir, dénigrer, conspuer, de grâce, jetez votre dévolu sur d’autres personnes de l’histoire (Je vous suggère Danton, Robespierre ou Lénine plutôt que Hugo ou de Gaulle)

Mais demeure cette question : Pourquoi de fait est-ce si souvent Jésus votre cible préférée ? Pourquoi vous questionne t-il à ce point, vous dérange t-il tellement ? Serait-ce qu’inconsciemment il vous interroge, vous pose des questions secrètes, vous rejoint au plus intime. Vous en semblez obsédés, pourquoi ? Oui, pourquoi ?

D’ailleurs, vos caricatures du Christ nous posent une autre question : S’il est si méconnu, si travesti, si peu connu sous son vrai jour, serait-ce en partie notre faute, à nous qui nous disons ses propres frères. Nos existences seraient-elles trop peu transparentes à son visage, béni entre tous ?

L’aurions-nous nous-mêmes défiguré, trahi, renié par nos comportements, nos attitudes, nos actes, si souvent peu conforme à son Evangile ? Si Jésus est pour nous, non pas le symbole, mais la Personne même de l’Amour encore si peu aimé, c’est sans doute que nous, ses pauvres disciples ne l’aimons pas encore.

En ce cas, nous vous demandons pardon, comme nous le demandons d’abord à notre Jésus. Et, provoqué par vos scènes immondes, nous nous décidons à faire resplendir sa beauté sur le tissu de nos vies quotidiennes. De votre côté, soyez honnêtes : la splendeur de son visage resplendit partout où son Eglise se dévoue, se donne sans compter, avec une héroïque générosité, partout où l’homme souffre, quelles que soient ses souffrances, dans les pires situations, cela depuis 2000 ans, sous toutes les latitudes et longitudes. Se faisant l’humble servante de tous ceux qui sont en situations de détresse, de désarroi, de désespoir. Notre souffrance interroge t-elle votre violence ? ..

… Et nos silences douloureux posent-ils question à votre arrogance ?

Certains clament leur très légitime indignation en manifestant publiquement devant théâtres ou salles d’expo. Sans doute certains sont-ils excessifs car excédés par ce déferlement christianophobe. Au moins, admirez leur courage juvénile. Dans leurs condamnables débordements, écoutez le cri de leur cœur. Ils ont le mérite d’au moins réveiller une certaine apathie chez trop de baptisés qui, par fausse pudeur, sont lâches et n’osent pas réagir, terrorisés qu’ils sont par l’opinion médiatique.

Si vous écoutiez vraiment ceux qui veulent dialoguer paisiblement avec vous, comme je le fais ici, si vous teniez compte de leurs plaintes, ils ne devraient pas en arriver là.

Autant n’avons-nous aucun droit aux armes, autant avons-nous tous les droits aux larmes. Bref, nous récusons la violence, mais exprimons notre souffrance.

Et franchement, dites-le moi : leur possible violence, n’est-elle pas réplique à la violence de vos scènes, de vos propos contre cet Innocent incapable de se défendre Lui-même ? Violences extrêmes oui, car elles violent la conscience, la foi de tant de vos frères en humanité. Et très spécialement les enfants. Avez-vous mesuré le traumatisme qu’éprouve un enfant catholique, protestant, évangélique, orthodoxe à la vue de tels spectacles, de telles affiches ? Un enfant dont le seul crime est d’aimer ce même Jésus que vous blasphémez.

Si nos Eglises, en leurs différentes instances hiérarchiques, réagissaient comme un seul homme, calmement mais fermement, de telles manifestations n’auraient pas de raison d’être. Mais devant le silence, ou simplement l’extrême prudence il ne reste à certains que ce langage : descendre dans la rue. Se faire voir. Espérer se faire enfin entendre. Puisque toutes les autres plaintes sont méprisées.

Encore ceci : ne vous suffit-il pas que les chrétiens soient actuellement les croyants les plus persécutés dans le monde entier (dans quelques 54 différents pays, brimés, rejetés, tués)

Qu’en ce moment, il ne se passe pas un seul jour sans que des baptisés soient emprisonnés, torturés, lapidés ou égorgés, leurs églises saccagées, incendiées ? Leur seul crime ? Etre tombés amoureux d’un certain Jésus.

Et voilà qu’en nos pays dont la foi chrétienne a été le liquide amniotique, nous voilà aussi la cible de votre méprisante arrogance.

Cela me fait penser aux affiches-caricatures sur les Juifs… L’avant-persécution commence par la dérision. La dérision n’est pas anodine. Elle cristallise le mépris et la haine et ouvre dans l’inconscient des foules la porte à une possible persécution. Le passage de la représentation symbolique (une pièce de théâtre, une affiche..) à l’acte réel ( un pogrom, un lynchage) est si vite franchi !

Et vous les artistes qui y jouez, y figurez, j’ose espérer qu’au moins l’un d’entre vous soit touché par les paroles même du Christ que vous prononcez ou entendez. Je pense à ces dernières paroles : ses ultimes, donc son testament, sachant que toute parole de mourant est considérée comme absolument sacrées. Par tout homme ayant simplement le sens de l’humanité.

Je pense à cette pièce blasphématoire à Moscou (en 1950), sous la dictature stalinienne. L’acteur principal très connu, bouleversé par les paroles des Béatitudes (correspondant aux 7 paroles du Christ en croix) éclate en sanglots et s’écrie : « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton royaume ! » faisant sienne précisément celle du gangster à qui Jésus ouvre illico son paradis.

Et puis, comme artistes, vous avez sûrement le sens de la beauté. Au plus intime, vous devez bien sentir que tout ne peut pas s’appeler art, sans prostituer les mots.

On ne peut tout faire passer sous prétexte d’art, comme on ne pouvait faire passer les massacres de la Révolution sous prétexte de liberté. La vie est plus précieuse que la liberté. Et l’âme plus grande que l’art qui tente de l’exprimer. La beauté pour être belle n’exige t-elle pas le respect ? Au nom de ce qu’il y a de plus grand en vous : cessez de prostituer la beauté !

Pour vous : censurer revient à régresser au Moyen Age. Mais le fleuron de la civilisation ne réside t-il pas dans le fait d’accéder à un infini respect de l’autre ? N’est-on pas au contraire en pleine régression de civilisation ?

Je vous en supplie : laissez-nous au moins prier et pleurer !

A vous qui subventionnez, promouvez, protégez ces spectacles :

Et maintenant, je me risque à m’adresser à vous, les autorités françaises et européennes qui participez au financement de telles œuvres, avec notre argent, nous vos fidèles contribuables.. Comment avez-vous pu faire cela, sachant – au moins devinant- combien vos propres concitoyens en seraient choqués.

Auriez-vous oublié par hasard qu’aujourd’hui encore, des millions de Français sont chrétiens. C’est de la religion largement majoritaire dans ce pays dont vous avez la responsabilité. (Auriez-vous oublié les propos si nets du Président de la République voici quelques mois au Puy ?) Combien de manifestations antichrétiennes avez-vous ainsi subventionnées ?

Auriez-vous pris le risque de financer des scènes blasphématoires de l’Islam ou du Judaïsme ?

En France, on soutient automatiquement les mouvements de contestation par instinct révolutionnaire. Les médias forgeant l’opinion publique, se rangeant de suite aux côtés des indignés de tous bords. Et les chrétiens seraient les seuls à ne pas avoir le droit de manifester leur désapprobation, leur indignation, plus profondément, leur douleur ? On les arrête comme des criminels, des brigands. Oserez-vous faire cela à la Gay-Pride, ou dans une manif de musulmans réclamant la charia dans leur quartier ?

Alors, si jamais certains d’entre nous sont là, dans la rue, sans aucunement troubler l’ordre public, simplement en silence ou priant, à mi-voix, je vous en supplie : laissez-nous tranquille, comme vous respectez la prière des musulmans dans la rue. (Aux USA et maintenant en Angleterre, on respecte les chrétiens de différentes confessions priant devant les avortoirs, évêques en tête)

Et vous, les responsables politiques qui laissez faire sans avoir le courage d’intervenir, je vous pose la question : votre stratégie politique, qui donc vise t-elle ?

Avez-vous pensé au retentissement de tels procédés sur les croyants d’autres religions. Un musulman bien né, un juif honnête ne peut être qu’horrifié de la manière dont on traite Celui qui est sacré pour un milliard et demi de personnes sur la planète ? Soyez au moins cohérents : pour ne pas faire de discrimination, faites les mêmes caricatures pour Abraham, Moïse, David, et surtout... pour Muhammed… Répondez-moi : pourquoi vous n’osez pas le faire ? Simplement parce que vous avez peur des bombes. Vous vous avez raison, car vous leur feriez 1 % de ces scènes, vous les auriez, les grenades ! Mais les gentils cathos, ces bonnes poires, ça se laisse faire, ça ne réagit pas, c’est mou sinon amorphe, donc aucun risque. Allons-y ! Vraiment, j’admire votre courage !

Mais je vous pose encore cette question : les larmes d’un seul enfant ne sont–elles pas plus terribles que les armes de mille manifestants ?

Pour qui donc roulez-vous ? Vous voulez vraiment saper le christianisme, le marginaliser de la vie sociale et finalement arriver à l’éradiquer ? Mais – par là même, vous êtes en train de faire le lit de l’Islamisme intolérant qui précisément est une réaction contre notre décadence morale occidentale, notre rejet de toute éthique et de tout valeur transcendante. Le meilleur pare-feu à cette galopante radicalisation islamiste est justement de lui couper l’herbe sous les pieds, en favorisent au contraire ce christianisme d’où nous viennent les droits de l’homme., la dignité de la personne, la promotion de la Femme, la justice sociale, le respect du petit et du pauvre, le sens de la vie, l’état de droit.

Serez-vous vraiment content lorsqu’on lapidera vos filles sur la place de la Concorde le vendredi soir ? Et que vos épouses confinées, reléguées à la maison devront porter la burka ? Peut-être alors vous commencerez a regretter ce bon christianisme que vous semblez vomir.. au moins renier, tel un ado crisant contre ses parents. Cessez d’être des adulescents en rébellion !

Sachez-le : s’il n’y a plus rien de sacré, plus aucune instance supérieure, plus aucune valeur de référence, plus aucune transcendance : alors nous sommes livrés pieds et poings liés aux caprices idéologiques de n’importe quel dirigeant, aux diktats de n’importe quel lobby grassement financé par les pouvoirs publics, n’importe quelle dictature. Il n’y a plus qu’à attendre de nouveaux Hitler, Mao, Staline. Leur ennemi n° 1 à tous les 3 : l’Eglise de Jésus. Leurs résistants courageux à tous les 3 : les croyants. Mais qui a fini par l’emporter ? L’Eglise. Car on ne construit pas indéfiniment une société, une nation sur du mensonge et de la dérision. La Beauté qui habite le cœur de l’homme finit pas l’emporter

Pour clore : pardonnez ma franchise, mais comment puis-je me taire la conscience tranquille ? Je serais seul en cause, je subirais, pâtirais, m’écraserais. Mais justement, je ne suis pas le seul visé. D’abord, il s’agit de mon Dieu, de Celui qui est la raison d’être de ma vie. Comment puis-je le laisser ainsi être outragé, assister à sa flagellation à son couronnement d’épines toujours actualisé, sans bouger de mon fauteuil devant la TV2. ?

Même le gangster à ses côtés s’est fait son avocat. Entendant les infâmes insultes, il a crié : « Celui-ci n’a rien fait de mal ! » Le chef de gang s’est fait l’avocat de l’innocence de Dieu. Et moi, je me défilerais ?

Ensuite, comment me taire devant les larmes des pauvres, des petits, des enfants, mes frères de chair et de sang (du même Sang de la même chair que Jésus) . Comment ne pas prendre la défense de l’enfant ainsi scandalisé ? Car tout ce que tu fais à Jésus, tu le fais au plus petit de ses frères. Et vice versa. Nous, c’est Lui. Lui, c’est nous, vous comprenez ? Tu me jettes excréments et crachats sur le visage, tu me plonges dans l’urine. Moi, cela passe encore, mais sur des enfants ? Non et non !

Faites cette expérience : si à la place du visage du Christ, vous mettiez le visage de quelqu’un qui est sacré pour vous : le visage de votre mère, de votre petite fille, de votre fiancée ? Là, vous comprendriez l’impact émotionnel que cela représente pour nous.

Alors, je vous en supplie : des larmes d’un enfant, de nos larmes, ayez pitié. De nos cœurs brisés, ayez un peu de respect ! Juste un petit peu.

C’est une cascade non stop depuis des décennies. Trop, c’est trop ! Nous existons ! Respectez-nous ! Pitié pour nos larmes amères, nos cris étouffés, nos cœurs meurtris ! Laissez-nous souffler ! On n’en peut plus !

Merci de m’avoir lu, écouté, entendu. Peut-être compris ?

Merci pour votre réponse. Nous sommes très nombreux à l’attendre.


Dernière édition par Hercule le Mar 29 Nov - 22:10, édité 1 fois
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Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse - Page 2 Empty Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse

Message par Her Mar 29 Nov - 22:08

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/11/il-parait-que-lon-blasphème-à-toulouse.html

23 novembre 2011

Il parait que l’on blasphème à Toulouse

Très belle homélie de l'abbé Simon d'Artigue, curé de la paroisse étudiante de Toulouse, sur les atteintes contre Dieu dans les théâtres de France. Cette adresse du jour du Christ-Roi est exceptionnelle et remarquable : peut-on proposer mieux à de jeunes catholiques?

Trouvée sur Facebook, je la mets en intégralité ici pour que tous les lecteurs puissent la lire... entièrement et la repercuter de proche en proche (merci à TC) :

"Christ Roi A 2011- Blasphème !

Il parait qu’on blasphème à Toulouse ces derniers temps.

Il parait qu’on insulte Celui que nous aimons du fond du cœur, Celui que nous vénérons dans cette messe, Celui qui a donné sa vie pour nous, Celui qui nous nourrit et nous sauve.

A-t-on le droit de cracher sur ce Christ qui est le cœur de notre vie ?

Tu te dis peut-être qu’il ne faut pas en faire des brouettes, que ce n’est pas la peine de s’exciter comme ça, que ça fait de la pub à ce spectacle qui n’en vaut pas la peine ; tu te dis que tu ne veux pas être confondu avec des « intégristes » ou des « néo – fascistes » et leur violence comme disent les journaux, rapidement, trop rapidement, facilement, en amalgamant tout, (l’avantage de l’amalgame c’est que ça évite d’avoir à trop réfléchir).

Et toi, est-ce que tu as réagis, qu’est-ce que tu as fait en réponse, quelles armes as-tu prises quand on insultait ton Seigneur et ton Dieu ?

A moins que tu n’ai rien fait; à moins, à moins que tu ne L’aimes pas tant que ça; à moins que tu ne sois pas tant blessé que ça quand on insulte le Christ ?

Serais-tu tiède ? Accepterais-tu que l’on crache sur ton père sans réagir ?

Il parait que l’on blasphème à Toulouse, il parait que le Christ est outragé sur une scène de la rive gauche, à Toulouse, à Toulouse oui… et dans chaque cœur qui refuse de laisser trôner le Christ, dans chaque cœur qui préfère le péché au Christ-Roi : mon cœur, ton cœur.

Nous insultons le nom très saint du Christ par chacun de nos péchés. C’est trop facile de reporter la faute sur celui qui donne publicité à son outrage, tandis que nous nous le faisons dans le secret.

A ton avis, pourquoi ces rieurs lourds, pourquoi ces artistes communs, pourquoi ont-ils blasphémé en maculant le visage du Christ, en Le moquant au Golgotha, en souillant la croix du Seigneur, en raillant le Saint-Père ? C’est parce qu’ils n’ont certainement jamais rencontré quelqu’un pour qui la face de Jésus était aimable, adorable; peut-être qu’ils n’ont jamais croisé quelqu’un qui leur ait fait découvrir la beauté de l’amour fou qui se donne à la Croix, l’amour qu’il lui portait ; peut-être n’ont-ils pas rencontré ce témoin lumineux et irradiant, toi ? Il ne t’ont pas croisé à moins que tu ne sois resté muet.

Il parait que l’on blasphème à Toulouse, à Toulouse et partout où le petit est défiguré, où le pauvre est ignoré, ou l’étranger est chassé.

Tu blasphèmes chaque fois que tu insultes le Christ en personne.

Sur Son visage quand Il monte au Golgotha, ployant sous la croix, ce que tu vois, toi qui te tiens sur le bord du chemin, ce sont ses larmes, son sang et tes crachats.

« Ola on se calme mon père ! Quand est-ce que j’ai blasphémé, quand est-ce que j’ai insulté le Christ, quand est-ce que je lui ai craché au visage ?

Moi je suis à la messe aujourd’hui et presque tous les dimanches,

Moi J’y suis allé dans la rue prier devant le théâtre où le Christ était moqué, bafoué » (bafoué comme il y a 2000 ans, comme depuis 2000 ans et certainement comme pour les 2000 ans à venir) tu y as été et tu as bien fait,

« Moi Je suis venu prier ce soir en silence devant le saint sacrement pour redire au Seigneur mon amour. » Tu L’as aimé pour tous ceux qui ne l’aiment pas, et tu as bien fait, tu as bien fait mais c’est trop peu ! C’est juste un début, car « Chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces petits qui sont mes frères c’est à moi que vous l’avez fait ».

Si avant-hier soir en rentrant de cette prière devant le théâtre tu es passé devant un pauvre, un pauvre qui restera dehors cette nuit et que tu n’as rien fait, que tu ne t’es pas assis à ses cotés pour savoir ce dont il avait besoin, lui demander son nom, tu as bafoué ton Seigneur : « j’étais nu et vous ne m’avez pas vêtu ». Si en sortant de cette messe tu ignores l’étranger, tu blasphèmes ton maitre et Seigneur « j’étais un étranger et vous ne m’avez pas accueilli ».

Si ta prière n’a aucun prolongement dans ta vie, si ta révolte est d’un instant et que demain elle retombe, c’est qu’elle est fausse, c’est qu’elle n’est qu’un apparat, une apparence, une mondanité, un peu de gueule… une fois de plus. Tu portes la croix comme on porte une paire de boucle d’oreille, un carré hermès ou un chèche fuchsia, comme une décoration.

Tu as le droit de te révolter contre le blasphème à deux conditions :

Que tu te sois révolté avant !

Et que tu te révoltes demain. Sinon tu seras de ces homme d’un jour, sinon tu seras de ces indignés de salon, de ces indignés de circonstance, tu t’indignes et puis tu rentres chez toi! La révolte, la révolte authentique (celle de Jésus qui chasse les vendeurs du temple par exemple), elle ne peut jaillir que d’un amour plus grand, d’un amour qui embrase une vie, une vie toute entière.

Mais je te vois rouge de colère, me dire que je me moque, que je n’ai pas le droit. Tu as raison, fais-moi mentir !

Ce que nous voulons c’est qu’il n’y ait plus aucun blasphème, ni à Toulouse ni nulle part ailleurs, ni aujourd’hui, ni jamais, ce que nous voulons c’est faire de la France le royaume de Dieu.

Ce que nous voulons c’est que chaque cœur de cette ville porte au Christ, au Christ-Roi le même amour que tu Lui portes.

Ce que nous voulons c’est qu’Il règne sur chaque cœur toulousain.

Et comment est-ce que cela se fera ? À force de prière ? Certainement il faudra s’offrir et offrir, mais pas seulement ; à force d’arguments ? Certainement, il faudra débattre et convaincre, écouter et défendre (être intelligent c’est la marque du catholique) mais pas seulement ; à force de vivre en catholique, à force de la cohérence d’une vie évangélique, à force du puissant rayonnement de la charité vécue, à force de l’invincible témoignage de l’amour que ton cœur porte au Christ-Roi de l’univers, mais roi de ton âme, surtout.

Comment est ce qu’il avance le royaume de Dieu ? Par la charité et par elle d’abord, par elle seule en fait.

C’est ça qui convaincra les futurs metteurs en scène, les futurs journalistes, les futurs enseignants, les futurs politiques, ben oui, où est ce qu’ils sont aujourd'hui ? Ils sont avec vous, dans vos amphis, dans les assoc que vous fréquentez, dans les mêmes bars que vous, sur les mêmes terrains, si vous leur donnez dès aujourd’hui le témoignage d’une foi ardente, d’une charité active, d’une espérance vive, alors ils l’embrasseront et jamais ne viendra à leur esprit la moindre idée de blasphème.

Mais mieux encore, plus encore :

Il y en a certainement parmi vous qui seront les journalistes de demain ceux qui défendront la vérité sur le Christ et sur l’homme, ceux qui tempêteront contre tout mensonge et dénonceront toute injustice. Qui demain sera Léon Bloy pour notre siècle ?

Il y en parmi vous qui seront artistes, peintres, ou sculpteurs et qui exalteront la beauté du Christ, la beauté paradoxale de la croix au sommet du Golgotha, la beauté dérangeante de ce visage outragé. Qui demain sera Francis Poulenc pour notre siècle ?

Il y en a parmi vous qui seront acteurs, metteurs en scène, écrivains et qui démasqueront toutes les compromissions. Qui demain sera Georges Bernanos ou Charles Péguy pour notre siècle?

Il y en a parmi vous qui seront des élus, serviteurs du bien commun. Qui demain sera Edmond Michelet pour notre siècle ?

Il y en a parmi vous qui seront enseignants, éducateurs et bâtiront des hommes et des femmes debout, amants de la vérité et pas des invertébrés à l’humeur changeante ? Qui demain sera don Bosco pour notre siècle ?

Il y en a parmi vous qui seront ingénieurs, chercheurs, défenseur de l’homme et de la vie. Qui demain sera le Professeur Lejeune pour notre siècle ?

Il y en a qui parmi vous seront religieux, soignant, infirmière et qui se pencheront sur toutes misères. Qui demain sera Mère Térésa pour notre siècle ?

C’est toi !

Et demain il n’y aura plus ni blasphème, ni blasphémateur ; on en cherchera, on n’en trouvera plus. Demain il restera un seul peuple, un peuple à genoux pour adorer le Christ Roi, un peuple debout pour servir nos frères".

Posté le 23 novembre 2011 à 08h03 par Lahire |
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Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse - Page 2 Empty Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse

Message par Her Dim 4 Déc - 0:57

http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/12/agrif-contre-golgotha-picnic-et-les.html

AGRIF contre “Golgotha Picnic”… et les pouvoirs publics
Posted: 03 Dec 2011 02:03 PM PST

Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse - Page 2 Parlement1-1

La Providence nous offre parfois un joli clin d’œil, et remet les choses à l’endroit. Le référé d’urgence engagé par l’AGRIF pour obtenir l’interdiction de Golgota Picnic dont la première parisienne doit avoir lieu jeudi prochain au Théâtre du Rond-Point a été plaidé jeudi au Palais de justice. L’affaire a été plaidée sous le regard du Christ crucifié, de la Vierge des Douleurs, et du saint roi Louis. Une reproduction du Retable du Parlement de Paris, magnifique Crucifixion peinte au XVe siècle, qui jadis veillait sur la justice dans la cour d’appel d’Ancien régime, dominait le « cabinet » où l’audience a eu lieu.

C’était dans la magnifique Tour César, ainsi nommée parce qu’elle fut construite par Philippe le Bel sur des vestiges romains. Le Palais de la Cité, du Xe au XIVe siècle, abritait la résidence royale et les édifices administratifs – le temps de la Chrétienté. Sous le « chapeau » de la Tour, l’institution républicaine entend aujourd’hui les Français réclamer justice, et c’est une salle d’audience comme une autre. Mais alors que le fameux Retable a été débarqué du Palais en 1904 en application la séparation de l’Eglise et de l’Etat – tous les emblèmes religieux devaient disparaître des tribunaux – sa reproduction est revenue par la petite porte pour marquer ce que représente la France, ce qu’elle doit à Dieu, ce que par naissance et par baptême elle devrait honorer et défendre.

Dans une semaine, un théâtre parisien subventionné grâce aux impôts des Français doit accueillir – ce qu’à Dieu ne plaise – une « œuvre » obscène, profanatrice, calomnieuse, insultante pour le Christ crucifié et pour les chrétiens. Le propos – largement incohérent – de son auteur, Rodrigo Garcia, est justement de montrer que l’iconographie chrétienne, et surtout les Crucifixions, les scènes de martyre, la décoration des églises, les tableaux dans nos musées provoquent à la violence, expliquent que des prêtres abusent des petits enfants, et sont responsables des massacres et des horreurs que connaît notre monde. Eh bien, l’art chrétien, le Christ et sa Mère s’étaient invités au procès !

L'AGRIF
L’AGRIF, représentée par Me Jérôme Triomphe, a dénoncé la provocation à la haine que constitue un tel spectacle : premier trouble à l’ordre public puisqu’il prive les chrétiens du respect et de la jouissance paisible de leurs droits qu’affirment à la fois les traités internationaux et la Constitution française. Si le blasphème n’est pas punissable en droit français, la provocation à la haine l’est, et il a donc soulevé ce moyen pénal en détaillant les singeries de la Passion du Christ et les attaques calomnieuses que multiplie Golgota Picnic – dont l’auteur propose même dans son script que l’on interdise l’accès des musées à tous, et spécialement aux enfants, pour qu’ils ne soient pas exposés à l’iconographie chrétienne.

Troisième motif, qui devrait à tout le moins faire interdire le spectacle aux mineurs, l’accumulation d’exhibitions sexuelles qu’il met en scène. Ayant vu le DVD du spectacle, je peux attester de leur pénible réalité, avec des jeux d’acteurs, indescriptibles ici, s’entrelaçant nus pendant de longues minutes, les corps peints pour évoquer un tableau d’art sacré. Chose que Brigitte Richard, avocate du responsable du théâtre Jean-Michel Ribes, a balayée d’une main comme inexistant, au mépris total de la réalité. Il faut dire que l’essentiel de sa plaidoirie visait à montrer que l’opposition à Golgota Picnic est idéologique et politique, et nous renvoie aux heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire…

Pourtant, même la Conférence des évêques de France dans son ensemble et de nombreux évêques en particulier ont dénoncé le spectacle – le cardinal Vingt-Trois invite même les catholiques à une vénération de Reliques de la Passion à Notre-Dame-de-Paris, le 8 décembre, en désignant nommément le scandale de Golgota Picnic.

Le plus scandaleux, devant le juge des référés, fut encore la prestation de Mme le Procureur, qui exprime la position de l’exécutif. C’est là, quoi qu’on veuille, la responsabilité directe du président Sarkozy : c’est la voix de son gouvernement qui n’a pas exprimé, qui n’a pas ordonné que le ministère public exprimât le devoir de défendre les droits des chrétiens. Au contraire, Mme le Procureur, quoique choquée par les images (ça se voyait) a affirmé le respect de cette « liberté fondamentale » qu’est la liberté d’expression. Cela surpasse même les exigences de la loi pénale. Contre les chrétiens et contre le Christ, tout est permis, tout est défendable, tout est admirable y compris la « provocation », du moment qu’elle est revendiquée comme art.

Ordonnance mercredi 7 décembre à 17 heures.

Article extrait du n° 7488 de Présent, du Samedi 3 décembre 2011
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Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse - Page 2 Empty Re: Défense de Notre Foi Catholique - Spectacle Blasphématoire "Golgota Picnic" à Paris et à Toulouse

Message par Her Mar 6 Déc - 5:38

http://ZENIT.org/

Aux Champs Elysées, pour réclamer le respect des chrétiens

Des fleurs blanches pour le Christ : une protestation pacifique

ROME, dimanche 4 décembre 2011 (ZENIT.org) – « Des fleurs blanches pour le Christ et pour le respect de chacun » : une protestation pacifique publique est organisée à Paris, aux Champs Elysées, pour revendiquer le respect de la foi des chrétiens, jeudi prochain, 8 décembre, devant le théâtre où se joue une pièce insultante pour le Christ. La protestation durera le temps des représentations, prévues jusqu’au 17 décembre.

Le cardinal archevêque de Paris a invité à une veillée de prière avec vénération des reliques de la Passion, à Notre-Dame de Paris, à 20 h ce même 8 décembre au soir, solennité de l'Immaculée Conception de Marie, en réponse à cette offense (cf. Zenit du 16 novembre 2011).

« Alors que le spectacle « Golgota Picnic », programmé à Paris à partir du 8 décembre prochain, insulte la personne du Christ en croix, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, invite ceux qui le veulent, jeudi 8 décembre à 20h, à une veillée de prière à Notre-Dame de Paris au cours de laquelle seront proposées une méditation de la Passion du Christ et la vénération de la sainte couronne d'épines », a annoncé le diocèse de Paris.

Pour sa part, le collectif "Foi et Culture : et si on se respectait ?" appelle les chrétiens, tous ceux que ce spectacle « blesse ou interroge », y compris les non-croyants, à venir auparavant « manifester publiquement, médiatiquement et pacifiquement leur douleur par un dépôt de fleurs blanches devant le Théâtre du Rond Point » des Champs Elysées (RV à 18 h au métro Champs-Elysées-Clémenceau - lignes 1 & 13)

Le collectif en appelle en effet à tous, croyants et non-croyants « soucieux d’un respect équivalent pour les convictions de chacun et la libre expression des chrétiens », à « venir, dans la dignité, déposer une fleur blanche, signe d'espérance et de paix, devant une image du Christ, le long du théâtre du Rond Point des Champs Elysées. »

Le mot d’ordre de Frigide Barjot, à l’origine de cette protestation, est: « Ni slogan, ni drapeaux, ni banderoles », pour éviter toute forme de toute récupération idéologique ou politique.

Elle réclame la réciprocité du respect: « Les chrétiens et les catholiques, dont je suis, respectent les artistes et la liberté d'expression. Aujourd'hui nous demandons le même respect pour la figure du Christ et l'expression de notre foi, comme de celle de tous les croyants. »

L’artiste évoque ce qui la blesse dans ce spectacle qui s’en prend à la « raison de vivre » de quelque deux milliards de chrétiens : « Le 8 décembre 2011, en la fête de l'Immaculée Conception de Marie, la première représentation de Golgota Picnic de Rodrigo Garcia se jouera au Théâtre du Rond-Point. Cette pièce s'attaque à la personne du Christ en croix, présenté comme « messie du sida », ou « putain de diable », entre autres amabilités. (...) Sous couvert de "parodie" (et je sais de quoi je parle !) et au nom du légitime respect de la liberté artistique, ce spectacle participe en fait du discours médiatique dominant contre l'Eglise catholique et contre son Pape », déplore celle qui se présente elle-même comme « parodiste ».

L'artiste souligne aussi que la manifestation aura lieu non loin de la place « de la Concorde », et elle ajoute: « Souhaitant rappeler publiquement le sens de notre religion pour l'Homme, pour le dialogue et pour la paix civile, c'est sans violence ni anathème, sans détourner notre prière à des fins politiques, et sans interdire le spectacle incriminé », les protestataires « viendront manifester leur douleur profonde de voir le Christ ainsi nié dans son existence même », mais aussi, insiste l'artiste, « de voir notre croyance et notre culture phagocytées par le monde contemporain, et notre crainte que la discorde et la haine s'installent durablement dans notre société. »

Plus encore, Frigide Barjot souhaite que des artistes et des intellectuels puissent dialoguer ensuite, à 18 h 30, « sur le rapport et les limites de l'Art et du Sacré, et le respect de la liberté d'expression pour tous, les artistes comme les croyants ».

« Avec eux, ajoute-t-elle, nous espérons rencontrer Jean-Michel Ribes, directeur du théâtre du Rond-Point, afin de lui faire part personnellement de notre souffrance et de notre « exigence de répondre à l’offense d’une manière déterminée, mais résolument pacifique ».

La manifestation doit cesser à 19 h, de façon à « éviter toute tension avec les spectateurs à l'ouverture des portes du théâtre ». Les manifestants sont invités à rejoindre ensuite la cathédrale Notre-Dame pour participer, à 20h, à la veillée organisée par le cardinal Vingt-Trois.

Mais cette action durera jusqu'au 17 décembre 2011, date de la dernière représentation de la pièce : Frigide Barjot propose en effet deux types d’engagements. Elle suggère aux catholiques « de prier chez eux les mystères douloureux du Chapelet » et, avec le Collectif, elle invite « tous les citoyens attachés à la liberté de chacun à venir réitérer ce dépôt de fleurs devant le théâtre ».

« Ce sera l'occasion pour tous, explique l’artiste, de partager la douleur des chrétiens et de demander le respect de leur foi, élément fondateur de notre culture et de notre histoire commune. »

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Message par Her Jeu 8 Déc - 7:16

http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/messeigneurs-les-catholiques-se-passent-de-vos-mandats

Messeigneurs, les catholiques se passent de vos mandats
8 décembre 2011 | Enregistrer sous: Eglise en France,Identité catholique,Perepiscopus | Publié par: Maximilien Bernard
Dans L’Homme Nouveau, Pasquin consacre son humeur à Mgr Wintzer, administrateur du diocèse de Poitiers et président de l’Observatoire Foi et Culture, si prolixe sur la pièce de Castellucci, mais complètement muet sur Golgota Picnic :

La gauche se plaint d’avoir un « capitaine de pédalo» comme candidat, mais si nous revenons au « café presse » que vous avez organisé mi-novembre comme porte-parole de la CEF avec Mgr Wintzer, président de l’Observatoire Foi et Culture, à propos des manifestations contre la pièce de Castellucci, nous étions plus proches du pédalo que de la barque d’où Jésus calme la tempête ! Et le « catholique sans mandat », comme dit un de vos confrères, est un peu agacé par les indignations unilatérales et les condamnations ! Alors, deux ou trois points de précision : d’abord Civitas et « autres intégristes » ne se trompent pas plus que saint Pierre au jardin des Oliviers, et dans le coeur de Jésus, l’Histoire montre qu’il vaut mieux être saint Pierre que Judas ! Ensuite, tous n’étaient pas « Civitas et les intégristes »… Bref, ceux que vous avez dénommés « prétendus chrétiens » sont aussi des chrétiens des paroisses parisiennes et toulousaines, et ce n’est pas de leur faute si pour prier sur le terrain, ils n’ont rencontré que ces indignés-là ! Enfin Monseigneur, vous avez beaucoup dit ce qu’il ne fallait pas faire, mais pas ce que vous préconisiez. Ce fut même difficile pour vous d’annoncer la veillée de prière organisée par Mgr Vingt-Trois… Peut-être était-ce par crainte de choquer ce confrère de Libération qui vous a demandé ce que vous alliez faire ! Dialoguer, avez-vous répondu, dialoguer ! Alors Messeigneurs, dialoguons ! D’abord avec ceux qui manifestent, pour leur dire ce que l’Église attend de ses fidèles, puis avec les spectateurs de Golgota picnic. Oui Monseigneur, vous qui présidez l’Observatoire Foi et Culture, venez ce soir-là avec quelques chrétiens convaincus, capables de parler de Jésus avec la tête et le coeur. Il y aura derrière vous, et dans le calme, des centaines de chrétiens pour prier silencieusement. Allez, Monseigneur, on y va ?
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Message par Her Mar 13 Déc - 8:36

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/12/golgota-picnic-baisse-de-la-subvention-du-théâtre-du-rond-point.html

07 décembre 2011

Golgota Picnic : baisse de la subvention du Théâtre du Rond-Point

La mobilisation paie : au Conseil de Paris, lors de la séance de décembre 2011 concernant le budget primitif d’investissement et de fonctionnement de la ville de Paris pour 2012, les élus du groupe Centre et Indépendants ont demandé de baisser la subvention du Téâtre du Rond-Point.

Cette subvention de fonctionnement à la SARL Théâtre du Rond-Point s'élève à 1.026.562 euros. Le Nouveau Centre demande de supprimer 28.125 euros, correspondant à la part de Golgota Picnic. Dans ses explications, le groupe Nouveau Centre explique :

"Considérant que la laïcité impose à l’Etat et aux collectivités territoriales un principe de neutralité à l’égard des religions, qui leur interdit autant d’en faire la promotion que de les dénigrer ; Considérant que l’Archevêché de Paris s’est ému du caractère visiblement anti-chrétien de la pièce de théâtre « Golgota Picnic » jouée au Théâtre du Rond-Point à partir du 8 décembre au 17 décembre, soit 10 jours".

Posté le 7 décembre 2011 à 20h22 par Michel Janva
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Message par Her Mar 13 Déc - 9:50

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/12/golgota-picnic-lagrif-fait-appel.html

09 décembre 2011

Golgota Picnic : l'Agrif porte plainte au pénal

Jugeant sa condamnation incompréhensible, l'AGRIF a décidé de poursuivre au pénal l’ensemble des passages incriminés devant la 17ème chambre correctionnelle. Dans un communiqué dans lequel elle a joint la photo d'une scène scatologique de la pièce, l'Agrif détaille :

"Rappelons notamment les singeries de la crucifixion par une actrice méprisante et vulgaire portant un justaucorps sur lequel est imprimé le corps supplicié du Christ et portant un casque sur lequel est imprimé la couronne d’épines. [...]

En ce qui concerne les exhibitions sexuelles particulièrement obscènes, le juge a tenté de les atténuer et de les justifier en prétendant que rien n’interdisait la nudité dans un spectacle. Sauf que le Code pénal interdit toute exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible au public ! En tout état de cause, ce n’est pas la simple nudité qui est ici en cause mais une mise en scène d’une rare obscénité. Pour seul exemple cette scène où l’on voit des acteurs non pas dans une simple nudité naturelle mais dans la plus obscène composition d’avilissement scatologique représentent exactement l’inverse de ce qu’est la dignité humaine. [...] On voit certes par ailleurs bien des obscénités, mais qui atteignent rarement ce degré d’abjection. [...]

GOLGOTA PICNIC comporte des propos qui constituent des provocations pénales directes à la haine et à la violence envers les Chrétiens. Mais également, pour un passage explicite, envers les Juifs : « Il voulut être le meneur d’une poignée de fous — il les désigna comme le peuple élu pour l’inauguration du chauvinisme — et il voulut mener ce peuple de fous à la guerre contre tous »."

Posté le 9 décembre 2011 à 11h55 par Michel Janva
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