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La Ruine de la France - Chroniques de la Mort Ordinaire en France et dans le Monde

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La Ruine de la France - Chroniques de la Mort Ordinaire en France et dans le Monde Empty La Ruine de la France - Chroniques de la Mort Ordinaire en France et dans le Monde

Message par Her Mer 15 Juin - 10:27

http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/15/1107107-la-fin-tragique-du-sdf-polonais.html#xtor=EPR-1

PUBLIÉ LE 15/06/2011 07:45 - MODIFIÉ LE 15/06/2011 À 08:19 | P.-J. P.
Albi. La fin tragique du SDF polonais
le cadavre des berges identifié


Le SDF polonais dormait sur ce banc, en bordure du GR 36. Les pompiers ont retrouvé son corps, 25 mètres en contrebas./ Photo DDM, PJP

Il s'appelait Grzegorz Botner et était né en 1956 en Pologne. Le corps retrouvé lundi matin, sur les berges du Tarn à Albi, est sans doute celui d'un sans domicile fixe polonais. Si l'homme n'avait pas de papiers sur lui, un certain nombre d'éléments ont permis aux policiers de la brigade de sûreté urbaine d'Albi de l'identifier. A commencer par ce bandeau, un détail vestimentaire familier d'un SDF surnommé «Le Polonais». L'intéressé, qui faisait la manche à l'entrée du Géant Casino, était connu des services sociaux, notamment du foyer du Colibri. Il avait fait parler de lui cet hiver. En squattant la ferme de la Renaudié, propriété du centre hospitalier d'Albi qui avait porté plainte. Pourtant discret et pas du tout tapageur, le quinquagénaire avait été obligé de quitter ce nid douillet. Aux beaux jours, il s'était installé en bordure du GR 36, le sentier de grande randonnée qui longe la rive gauche du Tarn à la Renaudié. Il dormait sur un banc de bois, à quelques mètres de cette falaise boisée qui descend à pic jusqu'à la rivière. C'est à cet endroit précis que le drame a eu lieu, à une date inconnue. Selon les constatations de la police, le malheureux aura trébuché, s'écrasant 25 mètres plus bas.

Une mort accidentelle. Le SDF polonais n'est pas le premier à tomber de cette falaise: plusieurs résidants de la Mapad, la maison de retraite construite à la Renaudié, en ont été victimes. Depuis, l'hôpital a renforcé la sécurité aux abords. En novembre 2007, un homme de 72 ans avait miraculeusement survécu à une chute de 30 mètres. Grzegorz n'a pas eu cette chance. Reste maintenant aux enquêteurs à essayer de retrouver sa famille, en Pologne. Sinon, les autorités albigeoises n'auront pas d'autre choix que de l'inhumer dans le carré des indigents.

TARN
Albi. Le corps d'un SDF gisait dans le ravin
Macabre découverte hier matin, sur les berges du Tarn à la Renaudié. Un corps en état de décomposition avancée gisait en contrebas du GR 36. Il s'agit sans doute du clochard qu'on voyait souvent sur ce chemin. Depuis des jours, si ce n'est des semaines,...
PUBLIÉ LE 14 JUIN 2011


Dernière édition par Hercule le Jeu 16 Juin - 9:14, édité 1 fois
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Message par Her Mer 15 Juin - 10:31

http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/24/1089564-joggeuse-de-bouloc-100-jours-deja.html

PUBLIÉ LE 24/05/2011 07:55 - MODIFIÉ LE 24/05/2011 À 10:50 | DOSSIER RÉALISÉ PAR GUILLAUME ATCHOUEL ET F.AB
Joggeuse de Bouloc : 100 jours déjà et toujours pas de meurtrier


Des fleurs ont été déposées sur la route de Villematier, à l'endroit où le corps de Patricia Bouchon a été retrouvé. / Photo DDM.

Il y a 100 jours, Patricia Bouchon était agressée lors d'un footing à Bouloc (31). Son corps a été retrouvé mais son meurtrier n'a toujours pas été identifié.

Les jours passent, les semaines défilent et le mystère demeure. Cent jours après la violente agression dont a été victime Patricia Bouchon, 49 ans, la joggeuse de Bouloc en Haute-Garonne, l'énigme reste entière. Disparue le 14 février au mtin, son corps avait été retrouvé presque un mois après à quelques kilomètres de chez elle.

Les gendarmes de la section de recherche qui ne négligent aucune piste butent toujours sur cette affaire criminelle atypique. De témoignages en recoupements, ils essaient de mettre un nom et un visage sur l'auteur présumé de ce crime. Un crime qui a traumatisé à vie une famille et bouleversé les habitudes de certains habitants de Bouloc et de ses environs. Le 14 février, vers 4 h 30, Patricia Bouchon quitte sa villa, en rase campagne, pour faire son jogging matinal avant de reprendre le travail. En cours de route, elle est violemment agressée par un individu, au croisement de la départementale et d'une impasse. Ses cheveux sont arrachés, tout comme sa boucle d'oreille, et un piercing. Son sang se répand sur ce petit chemin de terre. Dans cette impasse, les riverains entendent un cri, des propos étranges tenus par un homme, « excuse-moi ! », et pour terminer des crissements de pneu de voiture. Patricia Bouchon a disparu. Cette mère de famille, secrétaire dans un cabinet d'avocats toulousain, s'est volatilisée laissant derrière elle d'inquiétantes traces de sang et des indices peu rassurants. Le 28 février, soit quinze jours après sa disparition, le parquet ouvre une information pour meurtre. L'enquête judiciaire bascule, enfin et officiellement, vers une affaire criminelle. Le 29 mars, soit 44 jours après la violente agression, le corps très abîmé de Patricia Bouchon est retrouvé par un employé communal, sous un pont, dans une retenue d'eau, à Villematier, village situé à 12 km de Bouloc. L'autopsie confirme la violence des coups reçus au visage. La victime ne porte pas de traces d'agression sexuelle. Son larynx est brisé laissant penser à une mort par étranglement. Un gant en latex est retrouvé au fond de sa gorge. Cent jours après, de nombreuses questions restent en suspens.

Les temps forts de l'affaire
Le 14 février, Patricia Bouchon disparaît.

Le 14 février, vers 4 h 30 du matin, Patricia Bouchon, 49 ans, est agressée alors qu'elle est en train de faire, comme chaque matin, son jogging à Bouloc (Haute-Garonne).

Mardi 15 février, les recherches s'amplifient.

Ce jour-là et les suivants, 300 militaires sont déployés à Bouloc et dans ses alentours. Ils fouillent les fossés et sondent de nombreux point d'eau. Patricia Bouchon demeure introuvable.

Mercredi 16 février : le sang retrouvé a parlé.

Le procureur de la République, Michel Valet, confirme que le sang retrouvé dans l'impasse est bien celui de Patricia Bouchon.

Le 25 février : première garde à vue.

Un homme de 38 ans a été placé en garde à vue dans la matinée. Il est le premier dans cette affaire. Il s'agit d'un éboueur du Frontonnais qui passait régulièrement, pour son travail ou pour s'y rendre, devant le domicile de Patricia Bouchon. sa mère possède, de plus, une Clio, un type de voiture qui aurait été aperçu tout près du lieu de l'agression. Le lendemain, il a été remis en liberté.

Le 28 février : ouverture d'une information.

Le parquet de Toulouse ouvre une information judiciaire pour meurtre. La juge d'instruction Nicole Bergougnan est chargée de la poursuite des investigations.

Le 17 mars : un deuxième suspect placé en garde à vue.

Un homme de 39 ans, ancien toxicomane, est à son tour placé en garde à vue. Il avait été pris en stop non loin de Bouloc dans la nuit du 16 février, soit deux jours après la disparition de Patricia Bouchon. Présentant des marques suspectes au visage, cet homme au comportement « étrange » aurait tenu des propos équivoques, au fil de la discussion qu'il a eue avec l'automobiliste. Il aurait, notamment, dit avoir eu une dispute avec une amie et avoir possédé une voiture Clio. Le lendemain il est, lui aussi, remis en liberté.

Le 29 mars : découverte du corps de Patricia Bouchon.

Un employé communal de Villematier découvre, sous un pont de Villematier, le corps d'une femme. Le lendemain, le procureur de la République confirme qu'il s'agit bien de celui de Patricia Bouchon.

Le chiffre : 2
Hommes > ont été placés en garde à vue. Depuis le début de l'enquête, deux hommes ont été successivement placés en garde à vue. Mis hors de cause, ils ont été remis en liberté sans qu'aucune charge n'ait été retenue contre eux.

« L'enquête et les investigations continuent. Tout est mis en œuvre pour confondre le meurtrier de Patricia Bouchon ». Michel Valet, procureur de la République de Toulouse.

Un tueur en série ?
Après qui courent les enquêteurs ? Un tueur en série ou l'auteur d'une agression sexuelle qui a mal tourné ? Toujours est-il que depuis cette sauvage agression, il n'a, semble-t-il, plus fait parler de lui. Aucun crime similaire ou au mode opératoire comparable n'a été constaté depuis en France. La présence d'un gant en latex blanc retrouvé dans la gorge de la victime peut laisser penser que le meurtrier a préparé cette agression. La violence des coups qu'il a portés au visage de la mère de famille conduit des psychiatres à penser qu'il n'a pas supporté qu'elle le regarde dans les yeux. S'agit-il d'un habitant du secteur, un homme qui a repéré sa proie ou bien n'était-il que de passage ? Seule l'enquête l'établira.

Qui était Patricia Bouchon ?
Patricia Bouchon avait 49 ans et travaillait dans un cabinet d'avocats en tant que secrétaire, Grande rue Saint-Michel, à Toulouse. Cette mère de famille pratiquait le jogging tous les matins, depuis longtemps. Le 14 février, le jour de son agression, elle devait reprendre le travail après 15 jours d'arrêt maladie. Ce matin-là, après son jogging, elle devait, avec son mari, quitter Bouloc en taxi pour aller travailler. Toujours avec son taxi, son époux se serait alors rendu à l'aéroport pour prendre l'avion. Femme sans histoires, discrète, dynamique, menue et très appréciée par son entourage professionnel, Patricia Bouchon et sa famille s'étaient installées à Bouloc, début 2009, dans une maison, à proximité d'un bois. Auparavant, le couple et leur fille vivaient, route de Seysses, à Toulouse.

Quel scénario ?
La piste d'une agression sexuelle qui a dégénéré reste, selon de nombreux experts et criminologues, la plus plausible. Patricia Bouchon aurait très probablement été repérée alors qu'elle faisait son jogging sur la route départementale, à la sortie de Bouloc. Arrivé à hauteur du croisement d'une impasse, l'agresseur aurait tenté d'attraper la joggeuse qui, dans la lutte, aurait alors perdu son attache-cheveux, un piercing, une boucle d'oreille, des cheveux et du sang. Plus loin dans l'impasse, son agresseur lui aurait assené des coups violents au visage, jusqu'à la mort. L'autopsie n'a pas révélé de fractures sur les jambes.

Un curieux tutoiement
Le 14 février, vers 4 h 40 du matin, des riverains de l'impasse où a été agressée Patricia Bouchon ont entendu une voix d'homme supplier « Excuse-moi ! Excuse-moi ! ». Des propos pour le moins étranges et qui ont très vraisemblablement été tenus par l'agresseur. Ce tutoiement signifie-t-il qu'elle connaissait son agresseur ? Selon des experts psychiatres, le tutoiement est souvent employé lors d'agression de ce type. Par la suite, les enquêteurs ont appris qu'un homme impliqué dans des affaires de viols commis dans la région du Mans et qui se trouvait en Haute-Garonne le jour de l'agression de Patricia Bouchon avait tenu des propos plus ou moins similaires lors des atteintes sexuelles qu'il aurait commises dans la Sarthe.

Une mystérieuse voiture
Très vite, une voiture, type Renault Clio, va intéresser les gendarmes. Selon les constatations et les témoignages recueillis, c'est ce type de modèle qui aurait été aperçu, le matin du 14 février, à Bouloc, sur les lieux de l'agression. Un modèle ressemblant, garé sur la place de la commune de Bouloc, a d'ailleurs été saisi par les gendarmes , deux jours après la disparition de Patricia Bouchon, pour des vérifications. De même, au domicile de la première personne placée en garde à vue, les enquêteurs ont passé au peigne fin une Clio. Ces recherches n'ont rien donné.

Le silence des proches
Le mari, la fille, comme les parents de Patricia Bouchon, un couple de retraités installés à Colomiers, ne donnent aucune interview et optent pour une totale discrétion. Par peur de gêner l'enquête ? On peut légitimement imaginer la douleur et l'incompréhension que peut ressentir cette famille traumatisée depuis trois mois. Dans le second cercle des proches de Patricia Bouchon, il y a aussi ses partenaires de travail.

Dans le cabinet d'avocats où elle travaillait, c'est la même ligne de conduite : silence absolu.

A Bouloc, on croit à la piste d'un homme du coin
à Bouloc, les habitants sont toujours sous le choc de l'agression et de la mort de Patricia Bouchon même si, avec le temps, cette affaire n'alimente presque plus les conversations. Elle a cependant modifié les habitudes de certains. « Je ne laisse plus ma fille, qui a 14 ans, sortir faire un tour de vélo le soir comme au printemps dernier », explique une mère de famille. Bon nombre d'enfants se regroupent toujours pour aller prendre le car scolaire le matin. « ça me rassure. Avec un meurtrier en liberté, je n'aime pas savoir ma petite rejoindre toute seule l'arrêt de bus », ajoute une autre maman qui assure que « ses enfants ont peur depuis que ce drame est arrivé ».

LA MAISON EN VENTE
Une retraitée avoue « ne plus aller se promener seule au bois avec son chien comme avant, car on ne sait jamais ». Son mari, lui, se demande « si on réussira un jour à attraper le salaud qui a fait ça ». Pour lui, « tant qu'il ne sera pas arrêté, la tranquillité et la confiance ne reviendront pas ».

Un commerçant est persuadé que « le meurtrier est forcément un gars du coin. Car pour s'être débarrassé du corps sous un pont à Villematier (NDLR : à 12 km de Bouloc) il faut, c'est sûr, bien connaître les parages ». Pas mal de gens dans le village pensent sensiblement la même chose. « C'est un gars qui doit passer régulièrement dans le coin et il aura repéré la joggeuse avant de l'agresser ». Le pire pour Daniel, un artisan, « c'est que si ça se trouve, nous sommes nombreux ici à côtoyer cet assassin et à parler avec lui sans se douter que c'est lui ».

Depuis quelques jours, Christian Bouchon, le mari de Patricia, a mis en vente la maison familiale. « Anéanti par le chagrin, il ne lui est plus possible de rester vivre là avec sa fille », rapporte un voisin.
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Message par Her Jeu 16 Juin - 9:14

http://www.zenit.org/

Voyages du désespoir vers l’Europe : plus de 1800 victimes en 2011

Veillée de prière à Rome le 16 juin

ROME, Mercredi 15 juin 2011 (ZENIT.org) -Depuis 1990, au moins 17.597 personnes sont mortes au cours du voyage en direction des frontières de l'Europe, dénonce l’agence vaticane Fides. Une veillée de prière est organisée en leur mémoire à Rome, sous l’égide du Conseil pontifical pour les Migrants et de la communauté de Sant’Egidio, le 16 juin.

Le changement de scénario géopolitique qui intéresse les pays d'Afrique du Nord et en particulier le conflit en Libye ont poussé nombre de personnes à entreprendre la dangereuse traversée en direction de l'Europe. Dans ce contexte, au cours des cinq premiers mois de 2011, ont été enregistrés 1820 morts dans l'ensemble du bassin méditerranéen dont 1633 étaient en voyage vers l'Italie.

Le bilan est probablement plus tragique encore si l'on pense aux personnes qui se trouvaient à bord d'embarcations desquelles on n'a plus eu de nouvelles et qui ne sont jamais parvenues à atteindre les côtes italiennes.

Les routes principales que suivent les flux d'immigrants par mer depuis le début de 2011 sont au nombre de deux : elles proviennent l'une de Tunisie et l'autre de Libye. La route tunisienne a vu 187 personnes mourir noyées alors que la route libyenne a enregistré, au cours de la période de référence, la mort en mer de 1633 immigrants sub-sahariens (selon les données de Fortress Europe).

La condition de ceux qui proviennent de la Libye en guerre est d'extrême vulnérabilité : menacés par l'ensemble des parties au conflit, ils sont contraints d'entreprendre la traversée sur des embarcations délabrées et surchargées afin d'atteindre un refuge sûr en Europe.

Face à ces données, il n'est pas possible de garder le silence. Il s'agit en effet d'hommes, de femmes et d'enfants fuyant des situations de conflit, de graves violations des droits de l'homme et des persécutions. A la recherche d'un refuge, ils ont en revanche trouvé la mort.

A l'occasion de la Journée mondiale du Réfugié 2011, qui sera célébrée le 20 juin, la Communauté de San Egidio, l'Association Centre Astalli, la Fédération des Eglises évangéliques en Italie, la Fondation Migrantes de la Conférence épiscopale italienne, la Caritas Italie et les ACLI organisent cette année encore une veillée de prière en mémoire des victimes des voyages en direction de l'Europe, veillée à laquelle participent communautés et associations d'immigrés, réfugiés et organisations de bénévoles, représentants oecuméniques et parents des victimes.

La veillée, qui a pour thème « Mourir d'Espérance » et sera présidée par Mgr Antonio Maria Vegliò, Président du Conseil pontifical pour la Pastorale des Migrants et des Personnes en déplacement, aura lieu en la Basilique de Sainte Marie en Transtevere à Rome le 16 juin à 18h00.
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Message par Her Mar 21 Juin - 6:35

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet.php

France
Hérault. Frappée devant son collège, une élève de 13 ans décède
Faits diversmardi 21 juin 2011

Florensac, dans l'Hérault
Une jeune fille de 13 ans et demi est décédée lundi après-midi près avoir été agressée à la mi-journée à la sortie de son collège à Florensac (Hérault), près de Montpellier, par un adolescent de 15 ans. Elle avait passé plusieurs heures dans le coma.

«Cette élève, âgée de 13 ans, a été rouée de coups lundi vers 12h30 à la sortie du collège Voltaire par le frère d'une autre élève avec laquelle elle était en conflit», a déclaré Pierre Maitrot, directeur de cabinet du préfet du département. L'élève a été violemment projetée à terre et c'est au cours de cette chute que sa tête aurait heurté le sol.

Son agresseur présumé s'est présenté de lui-même, avec sa mère, à la brigade de gendarmerie de Florensac, où il était en garde à vue lundi après-midi, a-t-on précisé de même source.

Selon le Midi Libre, un conflit opposait les deux adolescentes, pour une histoire de coeur, depuis plusieurs semaines : la soeur de l’agresseur avait cessé depuis un mois d’aller en cours, par crainte d’y croiser sa rivale. Elle aurait finalement tout avoué à sa mère qui l'avait emmené à la gendarmerie pour porter plainte.
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Message par Her Mar 21 Juin - 6:35

http://www

http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/28/1116969-rayssac-qui-a-poignarde-dans-le-dos-le-pere-de-famille.html#xtor=EPR-1

PUBLIÉ LE 28/06/2011 03:53 - MODIFIÉ LE 28/06/2011 À 09:48 | P.-J. P.
Albi. Qui a poignardé dans le dos le père de famille ?


C'est devant cette agence bancaire que l'agression s'est déroulée vendredi soir./Photo DDM, Jean-Marie Lamboley

L'Albigeois de 37 ans qui a reçu deux coups de couteau dans le dos, vendredi soir devant une agence bancaire, est toujours hospitalisé mais hors de danger. La police lance un appel à témoins pour retrouver ses agresseurs.

Les agressions à l'arme blanche, en plein jour, dans une rue passante : une forme de violence à laquelle Albi n'est pas habituée… et heureusement d'ailleurs. C'est pourquoi la mésaventure survenue à un homme de 37 ans, vendredi soir, suscite autant d'incrédulité voire d'inquiétude dans le quartier de Rayssac où ont eu lieu les faits (lire notre édition de samedi).

Il est 19 heures environ, avenue du Maréchal-Juin. Cet Albigeois vient de garer sa voiture devant l'agence de la Caisse d'Épargne Midi-Pyrénées. En cette fin d'après-midi, il y a encore beaucoup de monde sur cette artère animée.

L'homme, un père de famille qui habite ce quartier et rentre sans doute chez lui, est à peine sorti de son véhicule qu'un groupe de plusieurs individus (un témoin parlera d'une dizaine) surgit derrière lui.

L'un d'eux est armé d'un couteau qu'il plante à deux reprises dans le dos de l'Albigeois. Par chance, la lame n'atteindra pas des organes vitaux. Toutefois, un des coups a touché la plèvre. Pris en charge très rapidement par les secours, le blessé sera évacué en urgence sur le centre hospitalier d'Albi. Il se trouvait toujours en observation hier après-midi mais à aucun moment ses jours n'ont été en danger.

Reste à savoir pourquoi il a été la cible de ce qui ressemble fort à une vengeance voire à un règlement de comptes.

La police albigeoise reste pour le moment très discrète sur cette affaire, s'attachant à « réunir les tenants et les aboutissants », confie une source proche de l'enquête. La scène de l'agression s'est produite devant plusieurs témoins. Certains ont déjà pu être interrogés mais tout autre témoignage sera précieux pour la brigade de sûreté urbaine. Si vous passiez, vendredi vers 19 heures, sur l'avenue Maréchal-Juin, ou si vous avez vu quelque chose depuis la fenêtre de votre domicile, vous pouvez contacter le commissariat d'Albi au 05 63 36 28 00.


Dernière édition par Hercule le Mar 28 Juin - 12:17, édité 1 fois
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Message par Her Mar 21 Juin - 9:18

http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/21/1111237-il-maquille-le-meurtre-de-son-amie-en-suicide.html

Frouzins et sa région
« Haute-Garonne
PUBLIÉ LE 21/06/2011 07:42 - MODIFIÉ LE 21/06/2011 À 10:12 | RECUEILLIS PAR G.A.
Frouzins. Le meurtre d'Élodie maquillé en suicide

Élodie Despons avait 23 ans. Photo DR.

Tarik Barrahoui, 23 ans, a été mis en examen, hier, à Toulouse, pour le meurtre de sa compagne élodie, perpétré le 12 juin à Frouzins en Haute-Garonne. Il a ensuite maquillé son crime en suicide avant de rester plusieurs jours auprès du cadavre avec l'enfant qu'il a eu avec élodie.

En ce dimanche de Pentecôte, la dispute tourne au drame entre Tarik et Élodie, un jeune couple de 23 ans qui réside dans un petit appartement du centre-ville de Frouzins, en Haute-Garonne. Comme souvent, le jeune homme a du mal à se maîtriser. Dans un excès de violence, il attrape une rallonge électrique et la passe autour du coup de la jeune femme. Et il serre. En quelques secondes, élodie est morte. Dans la chambre juste à côté, leur fils de 4 ans et demi est endormi. Comprenant qu'il a commis l'irréparable, Tarik va alors s'attacher à maquiller son crime en suicide. Il va se saisir d'un objet tranchant pour taillader les veines du poignet gauche de sa compagne. « Le médecin légiste a relevé cinq coupures dont une plus importante », a indiqué, hier, Michel Valet, le procureur de la République de Toulouse.

Puis, Tarik va mettre Élodie dans leur lit et rester trois ou quatre jours avec son fils à côté du cadavre. Pour l'heure, on ne sait pas quelles explications il a donné à l'enfant pour justifier que sa mère ne se réveille pas durant une si long période.

Finalement, mercredi ou jeudi dernier, Tarik quitte les lieux pour déposer son garçonnet chez l'une de ses sœurs qui vit à Toulouse. Ensuite, il se rend à Narbonne pour y faire la fête avec des amis.

Vendredi dernier, à 10 h 45, le père d’Élodie, inquiet de ne pas avoir de nouvelles de sa fille, se rend à l'appartement. « J'ai les clés et j'ai ouvert. Et là, je l'ai trouvée morte. Elle était déjà en état de décomposition ».

Immédiatement alertés, les gendarmes de la section de recherches de Toulouse ne tardent pas à relever des invraisemblances sur la scène du crime. Pour eux, quelque chose cloche. Leur conviction est renforcée par les constatations du médecin légiste qui établi que les entailles au poignet ont été faites après le décès. Dès lors, ils savent qu'ils ont affaire à un meurtre maquillé en suicide. Ils se mettent aussitôt aux trousses de Tarik qui s'est littéralement volatilisé. Ils apprennent que le jeune homme, déjà condamné à quatre reprises pour des violences et des vols aggravés, est extrêmement jaloux. D'ailleurs, les proches du couple ne le cachent pas : « Les scènes de ménage étaient monnaie courante ».

Samedi dernier, vers 15 h 45, les gendarmes l'interpellent enfin dans le quartier de Jolimont à Toulouse. Il n'était rentré de Narbonne que depuis quelques heures.

Lors de sa garde à vue, Tarik aurait reconnu les faits. Sorti de prison en février, il dort à nouveau en cellule depuis hier soir.

« Nous voulons que justice soit faite»
Françoise et Jacques Despons, les parents d’Élodie, se doutaient malheureusement que Tarik avait une responsabilité dans le décès de leur fille. « Il était violent et plusieurs fois je l'avais mise en garde, explique son papa. Nous craignions que cela finisse mal. Il était jaloux et n'avait de cesse de s'en prendre à elle. Et voilà ».

Aujourd'hui, Françoise et Jacques Despons, mais aussi leur fille aînée, la sœur d’Élodie, veulent que justice soit faite. « Nous espérons qu'il va payer pour tout le mal qu'il vient de nous faire ».

Mais, si ces parents demandent justice, ils se tournent aussi vers l'avenir : « Aujourd'hui ce qui compte pour nous c'est de récupérer le petit, le fils d'élodie. Hier, il a été placé dans une famille d'accueil et nous allons engager une démarche pour qu'il vienne vivre avec nous. Nous sommes sa famille et nous voulons l'aider, l'aimer. Il en a bien besoin avec ce qu'il a vécu ».

Depuis le drame, les Despons reçoivent de nombreux témoignages de sympathie : « De se savoir soutenu, de voir que certains pensent à nous ça aide, même si rien ne pourra nous ramener notre fille ».

Le chiffre : 3
Jours > Au moins. Tarik Barrahoui serait resté trois ou quatre jours, avec son fils de 4 ans et demi, dans l'appartement de Frouzins, en présence du corps de sa compagne.
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Message par Her Jeu 23 Juin - 7:43

http://www.sudouest.fr/2011/06/22/le-parquet-confirme-que-le-corps-carbonise-est-celui-de-la-joggeuse-432902-7.php

23 juin 2011 07h50
Le corps carbonisé est bien celui de la joggeuse
Le cadavre avait été découvert au fond d'un trou dans une zone escarpée à Tournon-sur-Rhône (Ardèche). La piste criminelle ne fait aucun doute.

Des gendarmes hélitreuillent, le 22 Juin 2011, le corps carbonisé retrouvé hier sur les hauteurs de Tournon-sur-Rhône (AFP)

Faits divers

Le corps carbonisé découvert enterré en Ardèche est bien celui de la joggeuse de 17 ans, disparue depuis samedi à Tournon-sur-Rhône, a annoncé mercredi le procureur de la République de Privas, pour qui "la piste criminelle" ne fait aucune doute.

"C'est le corps de Marie-Jeanne qui a été découvert dans cette fosse. L'analyse ADN a été faite dans la journée", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse en début de soirée à la gendarmerie de Tournon. D'autres examens "doivent déterminer des pistes ou les circonstances du décès", a-t-il précisé. Une autopsie sera pratiquée jeudi à l'institut médico-légal de Saint-Etienne.

Mardi soir, les enquêteurs avaient découvert dans une zone escarpée et boisée des hauteurs de Tournon un corps en partie calciné, enterré dans un trou, à proximité d'effets personnels appartenant à la victime. Le corps avait été hélitreuillé mercredi à la mi-journée.

Selon le magistrat, le fait que les lunettes, les écouteurs et le MP3 de la joggeuse "aient été retrouvés aux abords du trou signifie qu'il y a eu quelque chose de violent là et pas ailleurs". C'est bien un acte "criminel" même s'il n'y a pas pour l'instant "de piste prégnante". "Tout est imaginable", a souligné le procureur, ajoutant qu'une "information judiciaire sera ouverte jeudi au pôle d'instruction d'Avignon".

"Pour brûler un corps, il faut un carburant suffisamment puissant dans sa capacité de brûlage et alimenté durant un certain temps", a-t-il encore dit. "Le trou peut avoir été creusé quelques jours ou quelques semaines avant", selon lui. Celui-ci est "une sorte de rectangle, assez net, géométrique, profond de quelques dizaines de centimètres", a précisé un responsable de la gendarmerie. Les enquêteurs avaient évoqué dans un premier temps l'hypothèse qu'il s'agisse d'une fosse utilisée par les chasseurs pour enterrer les viscères de leurs prises, une possibilité balayée mercredi par Francis Charles, président de l'Association communale de chasse agréée (Acca), pour qui il ne s'agit "pas d'une pratique courante" de chasse.

Environ 150 gendarmes restent mobilisés jeudi pour sécuriser et ratisser le site à la recherche de nouveaux indices.

C'est le témoignage d'un habitant de Tournon-sur-Rhône qui a mis les enquêteurs sur la voie. Cet homme avait aperçu un élément inhabituel - des flammes ou une fumée suspecte - la nuit de la disparition de la jeune fille. En revenant sur les lieux mardi matin pour participer aux recherches, ce bénévole avait alors découvert le MP3 et les lunettes de la joggeuse et alerté les gendarmes.

Brillante élève de première ES, Marie-Jeanne Meyer devait passer son baccalauréat de français lundi. "Une cellule d'écoute" a été mise en place au lycée fréquenté par la jeune fille, selon le proviseur Patrick Chateaux. "Je reçois les élèves, je les écoute, il faut extérioriser leur anxiété, la mienne aussi", a-t-il dit. Une "marche silencieuse" sera organisé vendredi à 14 heures à l'initiative des lycéens, avec l'accord de la famille, qui sera elle absente. "On a besoin de se réunir pour une même cause", a expliqué Thomas, un camarade de classe de Marie-Jeanne.
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Message par Her Mar 28 Juin - 12:15

http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/28/1116694-le-mystere-du-corps-calcine-est-leve.html

LA DEPECHE.FR

PUBLIÉ LE 28/06/2011 07:46 | RICHARD BORNIA
Lavaur. Le mystère du corps calciné est levé
Drame de lavaur

L'entrée du centre d'enfouissement des ordures ménagères à Lavaur, trois heures après le drame : les gendarmes relèvent tous les indices./Photo DDM, Richard Bornia.

L'autopsie du corps découvert calciné, jeudi matin, à l'entrée de la déchetterie de Lavaur, a conclu à un suicide par immolation. Si les tests ADN ne sont pas encore connus, tout indique que la victime est bien Alain Desperon , un artisan de 55 ans.

Il n'y a plus d'énigme concernant le corps calciné d'un homme retrouvé sous sa voiture brûlée jeudi dernier à 4 heures du matin, à l'entrée du centre d'enfouissement technique des ordures ménagères aux Brugues, route de Castres, à Lavaur (voir nos éditions du vendredi 24 et samedi 25 juin).

L'autopsie pratiquée à l'Institut médico-légal de l'hôpital Rangueil, à Toulouse, a permis de confirmer, ce week-end, ce qui était l'hypothèse privilégiée par les gendarmes depuis le début de leur enquête : il s'agit bien d'un suicide.

Même si les gendarmes avaient travaillé sur tous les scénarios,meurtre, accident ou suicide, un acte désespéré était, à leurs yeux, la piste la plus vraisemblable. L'autopsie a confirmé ce scénario horrible : le désespéré s'est donné la mort en s'immolant par le feu. Il se serait aspergé avec une bouteille de white spirit qui a été d'ailleurs retrouvée par les enquêteurs pas très loin de la victime. Le corps en flammes aurait alors provoqué l'incendie de la voiture, une Renault Clio blanche.

Une lettre laissée chez lui
Pourquoi la tête était-elle sous le véhicule ? C'est la seule question qui reste sans réponse précise à ce jour. Car l'identité de la personne ne laisse plus place au doute. Même s'il faudra attendre encore que les résultats définitifs des prélèvements ADN le confirment, la personne calcinée est un artisan vauréen, Alain Desperon. Ce dernier avait disparu dans la nuit de mercredi à jeudi. Deux heures environ avant qu'on ne retrouve cette voiture en feu, il avait quitté son logement, un appartement situé dans un ensemble résidentiel, route de Belcastel à Lavaur. Élément clé pour éclairer ce drame, une lettre a été retrouvée au domicile conjugal. En quelques mots adressés à sa famille, cet homme de 55 ans annonce qu'il compte mettre fin à ses jours. Mais il n'explique pas les raisons de son geste. Autre élément matériel, la voiture brûlée appartenait bien à Alain Desperon. L'autopsie a aussi démontré que la taille du corps calciné était identique à celle de l'artisan vauréen, de même que les cicatrices sur le torse correspondent à celles d'Alain Desperon. Cet homme discret avait cumulé les ennuis ces dernières années. Des déboires professionnels mais aussi de gros problèmes de santé.

//////////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Nous sommes entrés dans les temps de la désespérance et beaucoup de personnes blessées par la Vie, par le Divorce, le Manque de Travail, la perte des repères spirituels, etc. préfèrent mettre fin à leurs jours de souffrances.

Les deux seules choses qui peuvent nous sauver des pires situations les plus désespérées sont l'entraide familiale et la foi.

En ce qui me concerne, je coule une retraite tranquille et paisible, et je me sens très bien au milieu des miens et avec un ancrage solide dans la foi catholique. Si vous entendiez parler en ce qui me concerne, de mort accidentelle ou de suicide, il vous faudrait considérer ces informations avec la plus grande suspicion car je n'ai aucun penchant suicidaire, aucun problème de santé et je me déplace avec prudence en voiture... Si par cas, une telle chose arrivait, il faudrait regarder et rechercher des responsabilités du côté de la secte maçonne...
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Message par Her Jeu 7 Juil - 10:20

http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/07/1123612-toulouse-violee-il-y-a-4-ans-la-policiere-se-suicide.html#xtor=EPR-1

LA DEPECHE .FR

Toulouse. Violée il y a 4 ans, la policière se suicide

Victime d'un viol en 2007, en région parisienne, une policière toulousaine de 35 ans, gardienne de la paix, a mis fin à ses jours, hier matin, en se jetant du haut d'un pont de la Ville rose. Très affaiblie par cette histoire personnelle, la victime, mère de famille, devait reprendre son travail hier.

Tragique dénouement hier matin à Toulouse. Une policière de 35 ans, gardienne de la paix dans un commissariat du centre-ville et affectée au bureau des contraventions, a été retrouvée morte sous le pont Saint-Michel. Victime d'un viol en 2007, en région parisienne et mutée à Toulouse depuis cette affaire douloureuse à porter, la jeune femme, extrêmement fragilisée par ces événements, a mis fin à ses jours quatre ans après cette agression et alors qu'elle devait reprendre son travail après plusieurs semaines d'arrêt.

Hier, peu après 8 heures, les secours n'ont rien pu faire pour sauver la jeune policière qui venait de se jeter du haut du pont surplombant la Garonne. Son corps sans vie a été retrouvé en contrebas, gisant sur un îlot. Sa voiture a été découverte quelques mètres plus loin, sur l'Île du Ramier. « C'était une policière très bien insérée dans son travail, sérieuse et méthodique, assure Lucien Pourailly, directeur départemental de la sécurité publique de Haute-Garonne. Elle avait des soucis d'ordre personnel mais donnait entière satisfaction. » Une cellule de soutien psychologique a été mise en place pour aider sa famille et ses collègues de travail profondément affectés. La victime, désarmée, mère de deux enfants et en instance de divorce avait fait son école de police à Toulouse avant de rejoindre le département de la Seine-Saint-Denis. En avril 2007, elle est victime d'un viol à la sortie du commissariat de Bobigny. L'affaire intervient à quelques jours de l'élection présidentielle et prend un tour éminemment politique. Une passe d'armes avait même opposé Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal sur le thème de la sécurité.

Cette semaine, une policière des Alpes-Maritimes a elle aussi mis fin à ses jours. Dans une lettre, elle avait dénoncé ses conditions de travail. À Toulouse, le syndicat Unsa-police, par la voix de son représentant régional, Cédric Delage, rappelle que « la situation personnelle de nos collègues est aggravée par des problèmes ressentis au quotidien dans leur travail. Les arrêts maladie se multiplient. » Un drame à propos duquel, « il serait indécent de faire le lien avec les conditions de travail de la victime au commissariat du centre-ville », précise Didier Martinez pour Unité SGP-Police-FO. La jeune femme qui traversait parfois de longs moments de mélancolie, était en attente de jugement pour la garde de ses enfants.

L'affaire avait enflammé la présidentielle
Coup sur coup, deux affaires de viol sur des policières, en région parisienne, avaient enflammé la campagne présidentielle en mai 2007.

La jeune policière toulousaine qui a mis fin à ses jours, hier, avait été victime d'un viol, fin avril 2007 à Bobigny. Alors qu'elle venait de quitter son lieu de travailà Bobigny, un dimanche matin, la policière gardienne de la paix avait été attaquée. La jeune femme, en civil, venait de finir son service à la direction départementale de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis (93), quand un individu l'avait agressée sexuellement. Il s'agissait, à cette époque, de la deuxième agression d'une policière en quelques semaines. Le 18 mars, une gardienne de la paix également en civil, qui venait de quitter son service, avait été violée pratiquement au même endroit, par deux hommes qui avaient pris la fuite.

Nicolas Sarkozy, alors candidat à la présidentielle et ancien ministre de l'Intérieur, avait jugé ces actes « inacceptables et inexcusables», demandant que les auteurs soient « sanctionnés avec une sévérité exemplaire.»

Ségolène Royal, candidate face à Nicolas Sarkozy, avait exprimé son « horreur » et salué « le mérite et l'engagement de tous ces fonctionnaires qui, en première ligne du combat contre la violence, en sont souvent victimes».

Le chiffre : 50
suicides de policiers>Par an . Selon une étude de l'Inserm, le risque de suicide dans la police est supérieur de 36% à celui du reste de la population. Cette étude confirme qu'il y a chaque année entre 40 et 50 suicides de policiers.

« C'était une policière qui connaissait des soucis personnels liés au drame qu'elle avait vécu. Elle était très bien entourée dans son travail. » Lucien Pourailly, directeur départemental de la sécurité publique de la Haute-Garonne.
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Message par Her Mar 6 Sep - 5:13

http://www.leparisien.fr/economie/deux-suicides-a-la-societe-generale-29-08-2011-1582993.php

Deux suicides à la Société générale
Daniel Rosenweg | Publié le 29.08.2011, 07h00

Après le suicide d’un salarié de la banque dans le Val-de-Marne, le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail mène une enquête. | (LP/C. Amar.)

Malmenée par les marchés, victime d’« attaques de rumeurs » à répétition, la Société générale a été le cadre de deux suicides sur le lieu de travail. Le premier s’est produit le 9 août dernier, en Alsace, à Schiltigheim. Un salarié de 49 ans est monté sur le toit de l’immeuble de la banque et s’est jeté dans le vide.

Selon nos informations, le second s’est déroulé mercredi dernier dans les locaux bancaires situés au Val-de-Fontenay, à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Là, un salarié d’une cinquantaine d’années s’est donné la mort par pendaison.

L’entreprise traverse une passe délicate depuis trois ans

Dans les deux cas, les victimes n’ont, à notre connaissance, pas laissé de lettre motivant leur geste. Une enquête du CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) est en cours à Fontenay-sous-Bois, qui doit tenter de préciser les causes de ces passages à l’acte. Les syndicats, qui ont confirmé l’information, se refusent à faire un lien entre ces gestes désespérés et la situation délicate que traverse la banque, même si, confient certains, les conditions de travail se sont durcies ces derniers temps, avec des mutations contraintes et des objectifs commerciaux renforcés. Néanmoins, les syndicats devraient prochainement rencontrer Frédéric Oudéa, le président de la Société générale, et décider — le cas échéant — d’une journée d’action fin septembre ou début octobre.
Depuis l’affaire Kerviel et les crises des marchés, la banque traverse, depuis plus de trois ans, une période chahutée qui a vu l’ensemble de sa direction remaniée — son président Daniel Bouton a notamment été remplacé en mai 2009 par Frédéric Oudéa — et son cours de Bourse subir des mouvements de yo-yo impressionnants. Le dernier en date remonte à la mi-août : outre la méfiance généralisée qui s’est aggravée vis-à-vis du secteur bancaire à la suite de la crise grecque et de celle de l’euro, la Société générale a été victime d’un article du quotidien britannique « Daily Mail », faisant état de rumeurs — démenties depuis — sur une possible faillite de la deuxième banque française. Le titre a perdu jusqu’à 22,5% en séance.
Le Parisien
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Message par Her Mar 6 Sep - 7:09

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/08/policiers-désespérés.html

Policiers désespérés
Posted: 30 Aug 2011 01:17 AM PDT
Lu dans Les 4 Vérités :

"Entre 40 et 50 policiers se suicident chaque année en France, soit un taux supérieur de 36 % à la moyenne de la population."
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Message par Her Mer 7 Sep - 21:43

http://www.sudouest.fr/2011/09/07/edf-condamnee-pour-faute-inexcusable-492422-1391.php

EDF condamnée pour faute inexcusable
Un électricien avait été exposé aux fibres d'amiante. Il en est mort.

Anne Lescop, une des filles de l'électricien d'EDF décédé d'un cancer de l'amiante. PHOTO X. LÉOTY

La lecture, hier, du jugement (1) du tribunal des affaires de sécurité sociale de La Rochelle condamnant EDF pour faute inexcusable dans l'affaire concernant le décès de Yves Lescop, l'un de ses électriciens qui avait été exposé à l'amiante entre avril 1958 et avril 1985 au point de contracter un cancer spécifique, a été une délivrance pour la famille du disparu.

Anne Lescop, une des filles du décédé (il était domicilié à Lagord, près de La Rochelle), avait assisté avec émotion à l'audience du 7 juin dernier. Elle indiquait : « Ce jugement est la reconnaissance de ce qui a tué mon père et, surtout, dit que l'employeur avait conscience du danger mais n'a pas pris les mesures de protection adéquates. Ce jugement est aussi la reconnaissance de la souffrance de mon père et la souffrance de sa femme, de ses filles et petits-enfants. » Tous étaient partie civile au procès. EDF (devenue RTE pour la partie transport de l'électricité) est condamnée à verser des sommes conséquentes à chacun.

Longue procédure

« Mon père avait engagé cette procédure avant son décès survenu en février 2010, à l'âge de 80 ans. Cette affaire, plusieurs fois reportée, a été longue et douloureuse à mener. Heureusement, nous avons eu le soutien de l'Addeva [Association départementale de défense des victimes de l'amiante]. Ce jugement servira aussi à d'autres victimes de l'amiante », souligne Anne Lescop. Elle rappelle que son père avait vécu deux années de calvaire avant de mourir « et il y a d'autres victimes de l'amiante qui sont dans la même situation ». Lors de l'audience de juin, l'avocat de RTE n'avait pas contesté la maladie professionnelle mais considérait que la responsabilité de la société employeuse n'était pas engagée. L'avocat des membres de la famille Lescop avait, lui, détaillé avec force attestations les conditions de travail de l'électricien décédé, tout en repositionnant cette situation dans le dossier général de l'amiante qu'il qualifiait volontiers de « scandale ».

L'Addeva s'est félicité de ce jugement et indique « que l'amiante a fait 80 morts connus en Charente-Maritime (chantiers navals, dockers, EDF-GdF, marins, artisans, SNCF) et que d'autres dossiers pour faire reconnaître la faute inexcusable d'employeurs sont en préparation. »

Éric Chauveau

(1) Ce jugement est susceptible d'appel.
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Message par Her Mer 7 Sep - 21:44

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/07/1161488-un-corps-repeche-dans-l-hers.html

Toulouse et sa région
PUBLIÉ LE 07/09/2011 07:43 - MODIFIÉ LE 07/09/2011 À 10:20 | CLAIRE LAGADIC
Le corps d'un SDF repêché dans l'Hers

Les enquêteurs examinaient hier soir les lieux proches de la découverte du corps à Gramont./Photo DDM Thierry Bordas.

Le corps d'un SDF d'une cinquantaine d'années a été retrouvé, hier, en fin de journée, flottant dans l'Hers à Toulouse. Les circonstances de sa mort restaient mystérieuses hier soir. Une autopsie doit être pratiquée aujourd'hui.

Le corps d'un homme d'une cinquantaine d'années a été découvert, hier, aux alentours de 17 h 30, flottant dans l'Hers, à hauteur de la zone d'activités de Gramont à Toulouse. Il s'agirait d'un sans domicile fixe qui vivait sous une tente, près d'un pont, à quelques centaines de mètres du lieu de la découverte.

Les causes de la mort de cet homme restaient mystérieuses hier. Selon nos informations, son pantalon a été retrouvé baissé sur ses chevilles. Son corps ne présentait pas de traces de coup de couteau ou de coup de feu. Il avait cependant un important hématome au niveau de l'œil. Hier soir, les spécialistes de la police ont procédé, en présence d'un représentant du parquet, aux constatations d'usage. Des relevés ont été effectués sur le corps mais aussi autour de la tente dans laquelle il vivait depuis plusieurs années, au bord de l'Hers.

Aucune piste n'était écartée hier quant aux causes du décès. A-t-il été victime d'une agression ? A-t-il succombé à un malaise alors qu'il se trouvait à proximité du cours d'eau ? A-t-il voulu mettre fin à ses jours ?

Cet homme, Éric, vivait depuis plus de cinq ans sous une tente à cet endroit, été comme hiver. La veille au soir, un voisin de tente dit l'avoir entendu. « Je lui ai souhaité bonne nuit, relatait-il hier. C'était quelqu'un de gentil, qui ne voulait de mal à personne. »

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du décès. Elle a été confiée aux policiers de la sûreté départementale. Une autopsie sera pratiquée cet après-midi.

Un autre corps dans la Garonne

Un autre corps a été découvert, hier après-midi, peu avant 16 heures, cette fois, dans la Garonne, au niveau des allées du Niger à Toulouse. Des plongeurs sont intervenus pour le sortir du fleuve. Il s'agirait du corps d'un homme dont l'identité et l'âge n'ont pas été révélés. Là aussi, une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du décès même si la thèse du suicide est privilégiée.
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Message par Her Jeu 8 Sep - 11:45

http://www.sudouest.fr/2011/09/08/la-rochelle-un-jeune-massacre-a-coups-de-couteau-493267-1391.php

06h00 | Mis à jour 08h54
La Rochelle : un jeune massacré à coups de couteau
Un jeune homme a été tué hier devant la résidence Lincoln. A priori, il n'y habitait pas.

C'est devant cet immeuble que le jeune homme est décédé. PHOTO DOMINIQUE JULLIAN
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Quand les pompiers, prévenus par un passant, sont arrivés rue Eugène-Labiche, au pied de la résidence Lincoln, hier, peu avant 16 heures, ils ont découvert un jeune homme baignant dans son sang. Le corps du malheureux présentait de nombreuses plaies sur le corps et sur le crâne. Les médecins du Samu ont tenté, en vain, de lui prodiguer des secours sur place. Le jeune homme est décédé dans la rue de ce quartier de Mireuil.

À proximité du corps, une fourgonnette éclaboussée de sang témoignait de la violence avec laquelle l'agresseur s'est acharné sur sa victime. Cette voiture a été embarquée par la police.

On ne connaissait pas, hier soir, l'identité de l'homme qui a été « massacré à coups de couteau », selon les déclarations d'un policier sur place. On ne savait ni son nom, ni s'il habitait le quartier de Mireuil, ou même La Rochelle, mais on indiquait pourtant qu'il était âgé de 26 ans. A priori, il ne vivait pas dans cet immeuble. « On le saurait maintenant, si c'était le cas », s'exclamait en début de soirée, un des résidents.

S'agit-il d'une bagarre, d'un règlement de comptes ? Le jeune homme a-t-il été agressé par une ou plusieurs personnes ? L'enquête, confiée à la police judiciaire, de la Rochelle qui a bénéficié du renfort de ses collègues de Poitiers, ne fait que commencer. Selon le substitut du procureur, également présent au pied de la résidence Lincoln, hier après-midi, on devrait en savoir davantage aujourd'hui.

Il semble que cette agression, en plein après-midi, n'ait pas eu de véritables témoins. La résidence Lincoln est immense et la plupart de ses occupants travaillent à cette heure-là. Et ceux qui se trouvaient dans le quartier ont seulement vu un homme à terre, du sang partout.

Deux heures après le drame, des résidents, choqués, regardaient le drap blanc recouvrant le corps du jeune homme en s'inquiétant de la présence d'enfants, et se demandant pourquoi on ne l'enlevait pas.
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Message par Her Lun 19 Sep - 8:16

http://www.sudouest.fr/2011/09/19/deux-ans-apres-le-proces-d-un-crime-hors-norme-503192-7.php

06h00 | Mis à jour 09h09
Par ADRIEN VERGNOLLE

Assises de la Dordogne : il avait agressé et découpé vivante une retraité
Yves Bureau, 58 ans, comparaît à partir d'aujourd'hui devant les assises de la Dordogne pour avoir agressé et découpé vivante une retraitée, en septembre 2009.

Le 7 octobre 2009, une marche en hommage à Édith Muhr, qui avait 68 ans. PHOTO ARCHIVES ÉMILIE DROUINAUD

Depuis longtemps, à Verdon, Yves Bureau, 58 ans, n'est plus le voisin qu'on salue au village en passant le bras hors de la voiture. Ni le voisin brave et serviable, juste rural et taciturne comme parfois les gens d'ici ; un dur au mal, père de deux enfants, qui aime la chasse, les brocantes et les promenades en forêt. Ni l'ex-conseiller municipal, retraité de la poudrerie de Bergerac, reconverti sur le tard dans l'exploitation d'une petite ferme. Il n'est plus que le coffre-fort d'un mystère : comment un homme banal pourrait sans raison mutiler, saigner et découper en morceaux une retraitée du village voisin ? Deux ans après ce crime hors norme, Yves Bureau comparaît devant les assises de la Dordogne, à partir d'aujourd'hui, à Périgueux.

La cour d'assises s'est donné cinq jours, peut-être six, pour comprendre l'horreur. Édith Muhr était une retraitée allemande de 68 ans, paisible et érudite, originaire de Cologne, tombée sous le charme de ce coin du Bergeracois. Elle était vivante quand son meurtrier lui a d'abord tranché un doigt, puis le reste du corps, la laissant se vider de son sang. Il a coupé les seins, les organes génitaux et arraché son cœur. Un doigt et l'utérus n'ont jamais été retrouvés. La découpe aurait duré une heure, violente, précise.

Dans des sacs d'engrais

C'était le 10 septembre 2009, vers midi. Édith Muhr marche sur ce chemin de 6 kilomètres entre Faux et Lanquais, où son mari l'attend à l'auberge. Comme elle n'arrive pas, il refait le chemin en voiture et finit par prévenir les gendarmes. Et rapidement, ils découvrent dans un bois son bob, ses lunettes, un miroir, une boîte de sucrettes et des traces de sang sur un morceau de bois.

Sur la terre, les traces d'un corps qu'on a traîné. Le lendemain, les enquêteurs reçoivent tous les habitués de la route qui longe ce bois du lieu dit Les Mazades, dont Yves Bureau, qui se présente spontanément. Il habite tout près d'ici, à la frontière de Verdon. Il éveille les soupçons en expliquant qu'il a uriné à cet endroit et aperçu des véhicules suspects ; rien ne colle avec d'autres témoignages.

Placé en garde à vue, il explique avoir trouvé le corps d'Édith Muhr nu et découpé. Il raconte qu'il a chargé les morceaux, les a immergés dans la mare de la ferme et, craignant qu'ils ne remontent à la surface, les a placés dans des sacs d'engrais et cachés dans un champ de maïs. Plus tard, il dit qu'il a percuté la retraitée avec son fourgon, qu'elle traversait la route, nue. Et le matin du 12 septembre 2009, il explique aux gendarmes où trouver les sacs.

À cette date, Bureau raconte tout. La grange chez sa mère, l'échelle en bois sur laquelle le corps a été étendu, la scie métallique, les couteaux, le hachoir. La kinésithérapeute de la mère témoigne : le 10 septembre, elle a entendu crier en début d'après-midi, alors qu'elle soignait sa patiente à domicile. Elle était sortie pour s'en inquiéter. Bureau avait passé la tête hors de la grange pour la rassurer. « Tout va bien. »

Une dizaine de versions

Quelques jours plus tard, les enquêteurs demandent à Bureau s'il a pris les bijoux de sa victime. Il se braque, vexé d'être pris pour un voleur, et indique l'endroit où il les a rangés : une poutre sous le toit de l'appentis de la ferme. Il a ensuite tout nié, proposé une dizaine de versions. Dans la dernière, il a trouvé le corps, l'a chargé dans sa camionnette et l'a retrouvé découpé dans la grange. Il se dit victime d'une vengeance.

Personne n'a rien vu venir. Et beaucoup dans le coin connaissaient aussi bien Bureau qu'Édith. Tous sont sonnés. Aux enquêteurs, personne n'a jamais parlé d'un homme agressif. Les experts n'ont rassemblé que de rares indices pour trouver le berceau de l'horreur : la mort du père sept mois plus tôt, l'enfance peu confortable à la campagne, le souvenir de l'arrestation de son père par la Gestapo ou les difficultés financières du couple. Chocs banals d'une vie normale.

Il y a un an, pendant la reconstitution, Yves Bureau avait eu des sourires étranges au moment de raconter la découpe. « Totalement insensible », s'indignait Me Christophe Bayle, l'avocat de Rolf Walgenbach, le mari d'Édith Muhr. « Il parlait d'une chose et pas d'un être humain. » Il comparaît pour homicide volontaire avec actes de torture ou de barbarie, précédé ou accompagné d'un autre crime.

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Message par Her Jeu 22 Sep - 23:40

http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/Monde/Troy-Davis-execute-aux-Etats-Unis-a-clame-son-innocence-jusqu-au-bout-_NG_-2011-09-22-714227

Actualité > Monde

22/9/11 - 10 H 20 MIS À JOUR LE 22/9/11 - 10 H 20
Troy Davis, exécuté aux Etats-Unis, a clamé son innocence jusqu'au bout
Troy Davis, devenu un symbole de la lutte contre la peine capitale, a été exécuté mercredi 21 septembre aux Etats-Unis, sans pouvoir remporter son ultime marathon judiciaire.

(AP Photo/David Tulis)
Manifestation en faveur de la libération de Troy Davis, à Atlanta, le 19 septembre.
Avec cet article
La Géorgie refuse la clémence au condamné à mort Troy Davis
Juste avant l'injection mortelle au pénitencier de Jackson (Géorgie, sud-est), cet Afro-américain de 42 ans a répété qu'il n'était pour rien dans la mort du policier blanc pour laquelle il a été condamné en 1991. "Ce n'était pas de ma faute, je n'avais pas d'arme", a déclaré Troy Davis , selon une journaliste locale qui a assisté à l'exécution aux côtés de parents de la victime. "A ceux qui s'apprêtent à m'ôter la vie, que Dieu vous bénisse", a-t-il ajouté.

Initialement prévue à 19h locales (23h GMT), l'exécution a été retardée de plus de quatre heures, dans l'attente d'une décision de la Cour suprême des Etats-Unis, qui a finalement autorisé sa mise à mort. Le décès a été constaté à 23h08 (3h08 GMT jeudi 22 septembre), une quinzaine de minutes après le début de l'exécution.

Condamné à mort pour le meurtre du policier Mark MacPhail tué par balles sur un parking de Savannah en 1989, Troy Davis avait déjà échappé à trois exécutions grâce à de multiples recours judiciaires évoquant des doutes quant à sa culpabilité.

Lors du procès, neuf témoins l'avaient désigné comme l'auteur du coup de feu mais l'arme du crime n'avait jamais été retrouvée et aucune empreinte digitale ou ADN n'avait été relevée. Depuis, sept témoins s'étaient rétractés, certains d'entre eux affirmant avoir été incités par la police à accuser Troy Davis.

"LE COMBAT POUR LA JUSTICE" NE S'ARRÊTERAIT PAS AVEC LUI
La décision de la Cour suprême a mis fin à une journée d'intenses efforts de l'avocat de Troy Davis, qui a réclamé une suspension de l'exécution en assurant avoir "de nouvelles preuves" exonérant son client. La requête déposée mercredi 21 septembre au matin par Me Brian Kammer citait notamment "un faux témoignage" du médecin légiste qui a autopsié le corps du policier décédé. Mais cette requête a été rejetée successivement en première instance puis par la Cour suprême de Géorgie et enfin par la Cour suprême des Etats-Unis.

La veille, le comité des grâces de Géorgie avait rejeté un précédent recours, ouvrant la voie à l'exécution. Troy Davis s'était ensuite adressé par écrit à ses partisans depuis le couloir de la mort où il se trouvait depuis 20 ans, affirmant que "le combat pour la justice" ne s'arrêterait pas avec lui.

Le président Barack Obama avait fait savoir le 22 septembre au soir qu'il se refusait à intervenir. Le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, a indiqué qu'il n'appartenait pas au président "de peser sur des affaires spécifiques comme celle-ci, qui est une procédure d'Etat fédéré".

Interrogée sur la chaîne de télévision CNN, Anneliese MacPhail, la mère du policier tué en 1989, a dit attendre "soulagement et paix" de l'exécution de Troy Davis, après "l'enfer" qu'elle a vécu depuis la mort de son fils.

46 EXÉCUTIONS AUX ÉTATS-UNIS EN 2010
Présenté par ses partisans comme le prototype du Noir condamné à tort, Troy Davis jouit de l'appui de personnalités comme l'ancien président Jimmy Carter, le pape Benoît XVI ou l'actrice Susan Sarandon et des centaines de manifestations de soutien ont eu lieu partout dans le monde. Le New York Times avait dénoncé "les nombreuses graves erreurs" commises dans le dossier Davis, qui selon le quotidien prouvaient à nouveau "la barbarie de la peine de mort".

Quelques heures avant Troy Davis, au Texas (Sud), Lawrence Brewer, un Américain de 44 ans membre du Ku Klux Klan condamné pour un meurtre raciste, était lui aussi exécuté. Les Etats-Unis ont pratiqué 46 exécutions en 2010.

Les centaines de manifestants présents à l'extérieur de la prison ont accueilli la nouvelle de la mort de Troy Davis dans un profond abattement après avoir espéré pendant des heures un improbable geste de la plus haute juridiction du pays.

Le gouvernement français a rapidement réagi pour regretter l'exécution. "Nous déplorons vivement que les nombreux appels à la clémence n'aient pas été entendus", a fait savoir le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.

AFP
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Message par Her Ven 23 Sep - 8:57

http://www.sudouest.fr/2011/09/23/serie-noire-dans-les-rangs-de-la-police-506833-7.php

06h00 | Mis à jour 06h44
Série noire dans les rangs de la police

En l'espace de deux heures, hier matin, deux policiers se sont suicidés et un troisième est en état de « mort cérébrale » après un acte similaire.

La série noire a débuté vers 8 heures dans le 19e arrondissement de Paris. Un gardien de la paix en poste à la police judiciaire du Val-de-Marne a mis fin à ses jours « à l'aide de son arme de service, dans une voiture banalisée ». Il était en état de mort cérébrale. Une heure plus tard, un de ses collègues, en poste à la direction de l'ordre public, a mortellement blessé son épouse chez lui, à Chevilly-Larue (Val-de-Marne), avant de retourner son arme de service contre lui. Il se serait également servi de son arme de service pour se donner la mort. Vers 10 heures, au Pré-Saint-Gervais (Seine-Saint-Denis), un troisième gardien de la paix en poste en région parisienne s'est pendu à son domicile.

Le fait que ces suicides se soient étalés sur un laps de temps aussi bref relève du « hasard », selon des sources syndicales policières.

Problème récurrent

Des enquêtes ont été ouvertes afin de déterminer la cause de ces suicides n'ayant pas de liens entre eux, de premières informations faisant état de « raisons et drames personnels » et non professionnels. Mais la préfecture de police a immédiatement réagi. Assurant prendre « toute la mesure du problème » et exprimant son « émotion », elle a organisé une réunion dans l'après-midi, sous l'égide du préfet Didier Martin, secrétaire général de l'administration policière. Elle a également mis en place, « pour les familles ou les policiers qui le souhaitent, un soutien psychologique ».

Les suicides dans la police sont un problème récurrent, souvent tabou. Une étude de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a fait valoir par exemple, en 2008, que le risque de suicide dans la police est supérieur de 36 % à celui du reste de la population. Il y a chaque année entre 40 et 50 suicides de policiers, et les fonctionnaires passant à l'acte le font majoritairement avec leur arme de service.

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Message par Her Mar 27 Sep - 13:03

ttp://www.sudouest.fr/2011/09/27/ils-ont-ete-enterres-vivants-510434-7.php

06h00 | Mis à jour 07h29
Ils ont été enterrés vivants

Deux hommes sont jugés cette semaine par la cour d'assises de Bourges pour avoir enlevé et tué Guy Bordenave et Luc Amblard. Un sombre règlement de comptes familial

Luc Amblard (à gauche) et Guy Bordenave avaient une société d'organisation de spectacles. DR

La mort atroce d'un couple d'homosexuels, enterrés vivants en 2009 près de Bourges pour une sombre histoire de règlement de comptes familial, a hanté la première journée du procès des deux accusés, Claude Juillet et Christophe Rayé, hier, devant les assises du Cher. La lecture de l'acte d'accusation a ravivé des souvenirs éprouvants pour la dizaine de parties civiles, membres des familles des deux victimes, Guy Bordenave, 39 ans, et Luc Amblard, 56 ans.

Ces deux organisateurs de spectacles formaient un couple « fusionnel » et « discret », selon des témoins. Ils vivaient dans le petit village de Couy, à une trentaine de kilomètres à l'est de Bourges.

Morts étouffés

Ils ont été séquestrés pendant toute la nuit du 7 au 8 mars 2009, puis enterré vifs sur une berge sablonneuse de la Loire à La Charité-sur-Loire (Nièvre). Face à face, assis, la bouche bâillonnée. L'autopsie montrera qu'ils sont morts étouffés, sans pouvoir appeler à l'aide. Leurs corps seront retrouvés trois mois plus tard. À l'évocation des faits, plusieurs parties civiles ont les larmes aux yeux.

Dans le box des accusés, Claude Juillet, ancien intermittent du spectacle sans emploi, 55 ans. Jeans, baskets, petites lunettes, petite taille, il est l'ancien employé des victimes et l'ancien compagnon de Marie-Laure Bordenave, sœur de Guy. Il reconnaît la séquestration et l'ensevelissement du couple, qui voyait selon lui d'un mauvais œil sa relation avec Marie-Laure, et aurait persuadé celle-ci d'y mettre fin. Ce qu'elle avait fait en 2008. Ils représentaient « un entourage négatif qui n'arrêtait pas de foutre la merde » dans leur couple, dira-t-il lors de l'enquête. « Qui tiendriez-vous responsable de cette séparation ? » lui demande l'avocat de Rayé, Jean-Michel Fleurier. « Les victimes », souffle Juillet. « Est-ce que ça justifierait leur mort ? » renchérit le président Jacques Lavigerie. « Non », lâche-t-il, les yeux baissés.

Dans le box des parties civiles, les familles des victimes hochent la tête, consternées. Parmi elles, Marie-Laure Bordenave se lève et livre une tout autre version des raisons de leur séparation. « Il ne travaillait pas. J'en avais marre de bosser (seule), alors j'ai décidé qu'on vivrait chacun chez soi. »

Personnalité complexe

Une partie de la première journée d'audience a été consacrée à l'examen de la personnalité complexe de cet ancien intermittent du spectacle. Impulsif, colérique, antisocial, énigmatique pour les uns. Père attentionné d'une petite fille, « pas mauvais bougre » pour les autres. « Trop gentil », dit Juillet de lui-même.

À ses côtés, Christophe Rayé, 39 ans, ancien cariste sans emploi, ancien ami de Juillet. Grand, cheveux courts, petites lunettes, il s'exprime avec un léger accent de son Sud-Ouest d'origine. Il reconnaît la séquestration du couple, auquel il a d'ailleurs volé de l'argent, mais nie avoir participé à l'ensevelissement.

Cette affaire sordide avait d'autant plus défrayé la chronique que l'hypothèse d'un crime homophobe avait un temps circulé dans certains médias et sur Internet. En 2010, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, avait même cité ce fait divers sur son site pour illustrer la mauvaise intégration des homosexuels.

Une hypothèse battue en brèche par l'enquête et démentie par l'avocate de Claude Juillet. « Ni dans le dossier, ni dans l'esprit de mon client, il n'a jamais été question d'homophobie », a expliqué Me Karine Berthon.

Jugés pour enlèvement et séquestration suivie de mort, les deux accusés risquent la réclusion à perpétuité. Le verdict est attendu jeudi.

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Message par Her Mer 28 Sep - 10:43

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110928.FAP5398/une-fonctionnaire-du-tresor-public-se-donne-la-mort-a-auch.html

Une fonctionnaire du Trésor public se donne la mort à Auch
Publié le 28-09-11 à 11:30 Modifié à 11:25

TOULOUSE (AP) — Une fonctionnaire du Trésor public s'est donné la mort mardi après-midi par arme à feu à Auch (Gers), sur son lieu de travail, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.

Agée de 43 ans, cet agent des impôts était employé au service de la monnaie au Trésor public d'Auch. Le corps de la fonctionnaire a été retrouvé mardi après-midi dans la salle des coffres où elle s'était enfermée pour se donner la mort. Elle aurait au préalable laissé sur son bureau une lettre d'explication.

"Une enquête est en cours pour déterminer les motivations de cette personne, mais pour l'instant rien ne permet d'établir, bien au contraire, que son geste ait un lien avec ses conditions de travail. Il semblerait que des problèmes strictement personnels en soient à l'origine", a déclaré mercredi matin à l'Associated Press le procureur de la République d'Auch, Alix Cabot-Chaumeton.

Une autopsie devrait avoir lieu dans la journée de jeudi, a indiqué Mme Cabot-Chaumeton. AP

xdec/se/jp

Mots-clés : GERS, TRESOR, PUBLIC, SUICIDE
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Message par Her Jeu 6 Oct - 12:12

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/douce-france-2.html

30 septembre 2011

Douce France

Hier, vers 20 h 30 sur la ligne 7 à la station Crimée (Paris XIXème), en direction de la Courneuve. Un agresseur était en train d’importuner une jeune femme quand un homme s’est interposé pour tenter de la défendre. Ce dernier a alors été pris à partie par l’agresseur qui l’a poussé sur les voies au moment du passage d’une rame. La victime est décédée sur le coup. Son agresseur a réussi à prendre la fuite et est activement recherché par la police. Il s’agit d’un homme de type nord-africain âgé de 25 ans environ et mesurant entre 1,75 m et 1,80 m.

Posté le 30 septembre 2011 à 16h53 par Michel Janva

/////////////////////////////////////////////////////////////

http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/08/1187449-babu-l-electrocute-du-metro-parisien-est-il-vraiment-un-heros.html

Accueil » Actu » Faits divers
PUBLIÉ LE 08/10/2011 07:33 | GUILLAUME ATCHOUEL
Babu, l'électrocuté du métro parisien, est-il vraiment un héros ?

Babu, ce jeune indien de 33 ans mort électrocuté après avoir été projeté par un jeune homme, le 29 septembre dernier, sur les rails du métro parisien à la station Crimée, est-il vraiment ce héros que la police et tous les médias ne cessent depuis d'encenser ?

Une nouvelle version des faits de ce qui s'est passé ce jour-là vient mettre à mal cette idée. Jusque-là, il avait été dit que Rajinder Singh, alias Babu, qui se trouvait dans une rame du métro, était intervenu pour empêcher un passager de voler le téléphone portable d'une jeune femme. Le ton serait alors monté entre les deux hommes, descendus pour en découdre sur le quai de la station Crimée. Au cours de la bagarre, Babu a été poussé sur la voie par le présumé voleur. Malheureusement, le jeune Indien est mort électrocuté.

Cette affaire a suscité une vague d'indignation. Et immédiatement Babu a été élevé au rang de héros. « Son acte citoyen devrait donner l'exemple », avait alors clamé le directeur adjoint de la police des transports, Serge Rivayrand. Jeudi dernier, le ministre des Transports, Thierry Mariani, et son collègue de la Culture, Frédéric Mitterrand, ont rendu hommage à Babu, « ce héros ordinaire », en déposant une gerbe de fleurs à la station de métro Crimée.

Deux jours plus tôt, mardi, la police était parvenue à interpeller le jeune homme de 22 ans qui l'aurait poussé sur la voie.

Un suspect mis en examen
Et c'est l'avocat de ce dernier, Me Augustin d'Ollone, qui éclaire l'affaire d'un nouveau jour : « Selon les images de la rixe, (N.D.L.R : filmée par les caméras de vidéosurveillance), que j'ai pu visionner, c'est « au contraire » le défunt qui a porté les coups. Ces images révèlent que mon client n'a eu à aucun moment un comportement agressif ». L'avocat assure que « Sur cette vidéo, on voit son client sortir seul de la rame, suivi d'un groupe de 5 ou 6 personnes, dont Babu fait partie. Et, au bout du troisième assaut de Babu, mon client a posé son paquet de bonbons pour pouvoir se défendre. Il a alors repoussé Babu qui est à ce moment-là tombé sur la voie ».

Me Augustin d'Ollone s'étonne : « Je ne comprends pas pourquoi on a donné une telle coloration à cette affaire. Pour l'instant il apparaît que mon client n'a, à aucun moment, agressé de jeune fille ou tenté de voler un portable. J'imagine que ce scénario n'est qu'une accumulation de on-dit et de rumeurs ». Son client a été mis en examen, hier, en fin d'après-midi, pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Il a ensuite été présenté à un juge des libertés et de la détention qui devait décider de le placer en détention provisoire ou de le laisser en liberté.

La police recherche toujours les personnes qui voyageaient dans la rame avec les deux hommes. « Leur audition nous permettra peut-être d'en savoir davantage sur l'origine précise du différend ».


Dernière édition par Hercule le Sam 8 Oct - 11:03, édité 1 fois
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Message par Her Jeu 6 Oct - 12:13

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/sans-voix.html

30 septembre 2011

Ca laisse sans voix

Lu ici :

"Des secouristes ont pratiqué une césarienne sur une femme qui venait d'être tuée d'une balle dans la tête par un déséquilibré, alors qu'elle assistait à une messe à Madrid".

Le bébé est vivant.

Posté le 30 septembre 2011 à 18h28 par Lahire
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Message par Her Jeu 6 Oct - 12:28

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/la-vie-est-un-don-de-dieu.html

30 septembre 2011

La vie est un don de Dieu

Quel beau témoignage dans la douleur de ce père de famille qui vient de perdre un fils de 20 mois, malade et que les médecins, après une polémique nationale, avaient refusé de soigner :

"Une tante de l'enfant a essayé de le réanimer, peu après 16 h 30, mardi, a raconté Paul O'Donnell, le porte-parole de la famille Maraachli, qui s'est entretenu avec le père de Joseph, une heure après le décès.

« Il semblait très triste, très fatigué et très égaré », a confié M. O'Donnell. Je crois que Joseph laissera un héritage. La famille Maraachli va militer en faveur du droit à la vie, et aidera d'autres familles. »

La famille de l’enfant s'est dite heureuse que Joseph ait pu vivre ses dernières heures dans sa maison.

Selon M. O’Donnell,

« la famille voulait que Joseph ait une mort paisible et naturelle, lorsque Dieu en décide, et non voir un hôpital ou une cour de justice décider de son sort ».

Posté le 30 septembre 2011 à 07h33 par Lahire
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Message par Her Sam 15 Oct - 12:35

http://www.sudouest.fr/2011/10/15/il-tue-une-jeune-policiere-a-coups-de-sabre-japonais-527141-7.php#xtor=EPR-260-%5BNewsletter%5D-20111015-%5Bzone_info%5D

Il tue une jeune policière à coups de sabre japonais
Un permis de port d'armes lui avait été refusé à la préfecture du Cher. Le professeur de 33 ans est revenu avec un sabre, qu'il a sorti à l'arrivée des forces de l'ordre.

Hier, à la préfecture du Cher, un forcené armé d'un sabre a mortellement blessé une policière et fait deux blessés, un policier et une fonctionnaire. PHOTO AFP JEFF PACHOUD

Le drame a eu lieu à la préfecture du Cher, hier, à Bourges. Un homme armé d'un sabre a grièvement blessé une policière, qui est morte peu après. Âgée de 30 ans, Anne Pavageau était l'épouse d'un policier et mère de deux enfants en bas âge. Un autre policier a été blessé à l'épaule, une fonctionnaire a été plus légèrement touchée.

« L'agresseur est un professeur de sciences de la vie et de la Terre de Bourges, absolument pas connu des services de police mais qui, au dire de l'autorité académique, donnait des signes de faiblesse dans son enseignement », a indiqué le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, au cours d'un point de presse sur place.

Le forcené, Olivier Roson, âgé de 33 ans, a été blessé d'une balle à la jambe avant d'être maîtrisé et interpellé.

« Très véhément »

Selon un fonctionnaire de la préfecture présent lors du drame, l'homme est arrivé dans la matinée à la préfecture pour demander un permis de port d'arme pour arme à feu de 4e catégorie. On lui a expliqué qu'il ne remplissait pas les conditions. Il est donc parti pour revenir, un quart d'heure plus tard, avec un sabre japonais d'une longueur de 80 centimètres environ, qu'il portait dans un fourreau à la ceinture.

« J'ai assez rapidement vu que cette personne avait un trouble de comportement. Il n'était pas particulièrement agressif, mais il était très véhément », a expliqué Christophe Vareilles, chef du bureau réglementation de la préfecture.

Les fonctionnaires présents ont tenté d'apaiser leur interlocuteur dans un bureau derrière un guichet, tout en faisant appeler les forces de l'ordre.

« C'est lorsqu'il a vu les uniformes arriver qu'il a sorti son arme et a donné des coups tout autour de lui », blessant une fonctionnaire puis deux des policiers. Un troisième policier a tiré et l'a blessé.

« Intense émotion »

D'autres témoins qui se trouvaient à l'extérieur ont expliqué avoir entendu un coup de feu puis avoir vu un policier sortir de la préfecture, les mains en sang. Une quinzaine de véhicules de secours et de police ont été mobilisés. Les blessés ont été transportés sur des brancards, avant que la rue ne soit bouclée.

Claude Guéant a affirmé : « Ce drame est l'occasion de surveiller à nouveau l'efficacité et la pertinence de la sécurité dans les lieux qui accueillent le public », a-t-il dit.

De son côté, François Hollande a exprimé son « intense émotion » et sa « profonde indignation » en appelant à « la sanction la plus sévère ».

Pour sa part, le syndicat Unsa-Police a dénoncé dans un communiqué ce « lâche assassinat » en demandant que « les peines maxi- mums soient systématiquement appliquées aux tueurs de flics ».

////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Les gens deviennent fous parce qu'on les a rendus fous en les détournant de la Vérité de la Foi et en les abreuvant de violence, de sexe, d'alcool, de drogue... en les poussant dans les filets et entre les griffes du Diable et de ses suppôts...
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Message par Her Sam 15 Oct - 12:38

http://www.sudouest.fr/2011/10/15/l-enseignante-de-beziers-est-decedee-526960-7.php

L'enseignante de Béziers est décédée
La professeur de maths qui s'était immolée par le feu dans la cour du lycée est morte de ses blessures.

L'enseignante du lycée Jean-Moulin de Béziers, qui s'était immolée par le feu jeudi matin, est décédée vendredi des suites de ses blessures.

Selon une source médicale, l'enseignante de 44 ans, professeur de mathématiques, « était brûlée au troisième degré sur 95 % du corps ». « Le corps a besoin de la peau pour respirer, et avec ces brûlures, elle n'aurait pas pu survivre en raison des infections. »

À la mi-journée, les collègues de l'enseignante avaient lu, devant les grilles du lycée, un message de « solidarité pour Lise », brandissant de petites pancartes blanches intitulées « Plus jamais ça », « On veut des actes ».

L'un des enseignants a annoncé la tenue d'une « marche blanche » lundi, à 14 heures, au départ de l'établissement. Selon lui, les cours ne reprendront pas lundi matin, en vertu d'un droit de retrait éventuellement reconductible.

Hier, l'établissement avait rouvert ses portes pour accueillir les élèves et enseignants qui souhaitaient être entendus par la cellule de soutien psychologique, qui avait déjà pris en charge jeudi après-midi plusieurs dizaines d'élèves très choqués et qui devait encore fonctionner plusieurs jours.

Pression

Si ses collègues se veulent prudents sur les raisons de cet acte, l'un d'entre eux estimait jeudi soir, sous couvert de l'anonymat, que « la pression ambiante était peut-être trop forte » et qu'« une écoute aurait peut-être évité ce passage à l'acte ». « Au cours des années, on a vu le métier évoluer, le public changer, les réformes arriver, des réformes nécessaires mais bien souvent menées à l'emporte-pièce, sans discernement, dans l'urgence, et à un moment donné il peut arriver ce genre de geste », confiait-il.

Au niveau national, le Snes, premier syndicat du secondaire, a réclamé un « débat » sur le métier d'enseignant après cette « tragédie ». Il souhaite notamment « interpeller le ministre sur l'importance de la mise en place d'une véritable médecine du travail dans l'Éducation nationale » et l'amélioration des « conditions générales de travail des enseignants, dont la pénibilité s'est considérablement accrue ces dernières années ».
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