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Marie Thérèse de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe

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Marie Thérèse de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe Empty Marie Thérèse de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe

Message par Her Mer 26 Jan - 9:40

http://louis-xvi.over-blog.net/article-03-septembre-1792-princesse-de-lamballe-56419114.html

Le 03 septembre 1792,
Marie Thérèse de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe est massacrée à la prison de la Force

Marie-Thérèse Louise de Savoie-Carignan
(en italien, « Maria-Teresa di Savoia-Carignano »)
plus connue sous le nom de « princesse de Lamballe »
née à Turin le 8 septembre 1749 le même jour et la même année
que Yolande de Polastron, duchesse de Polignac,
morte lynchée à Paris le 3 septembre 1792.

Elle est issue d’une branche cadette de la famille royale de Piémont et devient membre d’une branche légitimée de la famille royale de France par son mariage en 1767 avec le fils du duc de Penthièvre (lui-même fils du comte de Toulouse fils légitimé de Louis XIV et de Madame de Montespan)

À Paris, pendant les massacres des prisons de Paris, décès de S.A.S. Madame la pri ncesse de Lamballe, née Marie-Thérèse Louise de Savoie-Carignan, princesse de Carignan (Turin, royaume de Sardaigne, le 8 septembre 1749)

Elle était la fille de Louis-Victor de Savoie, prince de Carignan (branche cadette de la maison de Savoie, qui deviendra ainée au XIXe siècle) et de Christine-Henriette de Hesse-Rheinfels-Rothenbourg (soeur de la duchesse de Bourbon et la reine de Sardaigne)

La princesse passa son enfance à Turin et grandit dans la sagesse et la piété, vertus qui firent que le duc de Penthièvre (petit-fils de Louis XIV, issu de la ligne légitimée) la choisît pour épouse de son fils Louis Alexandre de Bourbon, prince de Lamballe, un libertin et dévergondé, qui la maria en 1767.

Le ménage fut malheureux et dura peu car le prince mourut en 1768, des suites d'une maladie vénérienne.

La veuve restera attachée à son beau-père, qui la aimiat comme à sa propre fille.

À partir de 1770 elle fréquenta la Cour et se lia d'amitié à la Dauphine, qui, devenue reine en 1774, la nomme

« surintendante de la Maison de la reine »

Marie-Antoinette partage son coeur entre ses amies la Lamballe et Yolande de Polignac.

Même si cette dernière lui prend sa place dans la faveur royale, la princesse sera toujours una amie dévouée de la Reine.

Elle entra dans la Maçonnerie en 1781 par instigation de son beau-frère le duc d'Orléans (marié a la fille du duc de Penthièvre), mais sans sa malice et pour pure frivolité.

Éclatée la Révolution et lorsque presque tous les amis et proches du couple royal s'enfuirent, Madame de Lamballe revint à côté de la Reine et y resta, reprenant ses fonctions de surintendante aux Tuileries.

Lors de l'assaut du palais, elle alla avec la famille royal se réfugier à l'Assemblée.

C’est alors que fut prononcée la déchéance du roi et décidée son incarcération au Temple.

La princesse fit partie du convoi, mais dix jours plus tard, on vint chercher tous ceux qui n’appartenaient pas à la famille royale « stricto sensu». Les deux amies durent se dire adieu.

La princesse fut conduite à la prison de la Force, d'où ne sortit pas en vie, ayant été la victime de la fureur meurtrière des révolutionnaires.

Tandis que sa tête était promenée au bout d’une pique jusqu’à la tour du Temple, son corps fut transporté sur des kilomètres, profané, mutilé et dépecé, jusqu’au comité civil de la section des Quinze-Vingts.

Enfin, la tête fut portée à son tour au comité, à sept heures du soir, après avoir été repoudrée, afin d’être « inhumée auprès du corps » dans une tombe du cimetière des Enfants-Trouvés.

Quelques heures plus tard, le duc de Penthièvre dépêcha son fidèle valet Fortaire de retrouver sa dépouille, en vain.

La princesse de Lamballe est l'exemple le plus achevé du dévouement de l'amitié jusqu'au sacrifice.
Her
Her

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