Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

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Message par Her Mar 4 Jan - 10:28


Bonjour à tous,

J'ouvre ce fil en hommage à Madame Andrée Renoncé-Chazaux, une femme de France
Victime du Totalitarisme Franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise,
le vendredi 27 Août 1999, en la fête de Sainte Monique.

Sa dépouille a été rapatriée en France pour une bénédiction dans la basilique Saint-Denis,
le tombeau des Rois de France, le jour de la fête des défunt 2007.

J'invite tous la Amis de la Croix à enregistrer ces pages,
à les lire lentement et à les diffuser très largement.




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Message par Her Mar 4 Jan - 15:23

A LA FRANCE

Tu es coupable du crime commis sur une famille innocente, inoffensive, chaleureuse charitable pleine d’amour et de bonté.
Tu es coupable de tes juges impitoyables et de certains médecins monstrueux, sans cœur.
Tu es coupable de tes policiers cruels qui ont détruit le chef d’œuvre d’une grande Dame française.
Tu es coupable de ton silence de ton égoïsme.
Tu es coupable de la fausseté de ton jugement.
Tu es coupable de M6 qui s’est laissé dicter une conduite mafieuse par un faussaire mythomane et psychopathe : Six ans après avoir été accueilli et secouru par cette famille exemplaire il a organisé un coup monté pour la détruire alors qu’elle était accablée par la souffrance et la maladie, M6 complice s’y est introduite allant jusqu'à oser se recommander d’un prêtre ami décédé pour détruire la si belle famille de la Sauldre.
Tu es coupable de tes journalistes, sans conscience de tes médias criminels.
Tu es coupable de certains de tes évêques francs-maçons qui depuis 20 ans s’acharnant avec les autres ennemis de l’Eglise pour exterminer une famille heureuse.
Tu es coupable de croire à un néophyte plutôt qu’a une grande Sainte comme Andrée Renoncé-Chazaux.
Tu es coupable d’avoir mandaté auprès d’elle de piètres enquêteurs, presque des enfants, ordinaires sans culture, insolents et voraces. Ils n’avaient pas connu la guerre ni fait de résistance comme elle, et c’est pourtant sans aucun égard qu’ils ont interrogé cette grande Dame Française. Ô France quelle médiocrité ! tu ne sais que critiquer tuer par coups de langue, te moquer de ceux qui donnent leur vie pour toi. Tu es coupable de saccager leur domaine tranquille, de faire peur à une vieille dame de 89 ans. D’avoir fait mourir de chagrin les animaux.

Tu es coupable pour les enfants privés des allocations familiales.
Tu es coupable de prier les innocents
Tu es coupable de tes juges aveugles programmés par la franc-maçonnerie pour écraser les grâces et la bonté
Que caches-tu ? les crimes pédophiles et d’autres crimes affreux ?
Quel est ton héroïsme ?
Venir avec des jouets et viser la plaie du cancer
Venir pour tuer celle qui agonisait ?

Quelles est ton intelligence pour écouter un affabulateur Jaloux du bonheur de cette famille ? n’ayant jamais réussi dans son travail il a espéré faire fortune en écrivant sur elle un livre odieux qu’il a reconnu lui même être « un tissu de mensonges ».

Tu es coupable de fausse liberté, d’hypocrisie terrible, de tant de crimes.
France si tu crois encore as tu conscience de ce que sera ton départ vers un autre monde ?
N’as tu pas peur quand tu te regardes coupables de tortures et d’acharnement qui n’en finissent pas tu t’enfonces de plus en plus dans le crime tes mains sont pleines de sang.
N’as tu pas peur que demain peut être d’autres bottes de SS viennent démolir ce que tu as semé.
N’as tu pas peur de la justice innocente
Il y a toujours quelqu’un qui te regarde c’est Dieu le Dieu de l’Amour et de la liberté.
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Message par Her Mar 4 Jan - 15:30

ATTESTATION DE MONSIEUR KAZIMIERZ STANIZ

Très étonnés et soucieux, nous recevons en Pologne des informations lugubres venant de France, de cette France qui a toujours été notre ami et allié. L'histoire de cette amitié est bien connue aux Français et aux Polonais. Dans quelques années nous devons être ensemble dans l'Union Européenne. Il est évident que nous Polonais ne voulons pas nous y trouver en aveugles, les yeux fermés. Nous observons avec beaucoup d'attention et nous voyons tout ce qui se passe dans le Pays dont le XVIIIème siècle fut une des plus belles époques grâce à sa riche pensée philosophique. Cette "pensée philosophique, par la nature des choses, a son reflet dans les relations sociales" juridiques et morales. Nous Polonais y sommes très sensibles, car nous sommes la seule Nation qui a eu de douloureux contacts avec la culture et la morale hitlérienne et stalinienne. Voilà pourquoi nous portons beaucoup d'attention à tous les témoignages de la renaissance de la barbarie occidentale et orientale. Nous n'acceptons pas d'Europe infectée par l'anticulture.
Avec étonnement et soucis, nous notons ce genre d'informations venant de France, comme celle par exemple de la police de Bourges qui entre en force dans la maison de Madame Suzanne Hug âgée de 87 ans, démolit ses meubles, la terrorise, lance des injures. La simple entrée en force d'hommes criant est une torture pour une vieille femme sans défense. Et tout ceci a lieu dans la solennité de la loi, sans aucune sanction contre les auteurs directs ou indirects. France, où est ta grandeur, ta culture ? Les Polonais te regardent, tu perds ta face.
Est aussi étonnant le fait d'user de violence contre Madame Andrée Chazaux, âgée de 74 ans, contre Madame Breuilh, Docteur qui consacre son temps à ses malades, ou bien contre Sophie Gibas, journaliste et écrivain, qui se dévoue au service des orphelins. Ce qui touche cette dernière est pour nous particulièrement intéressant, car Sophie est Polonaise, elle est la personnification de l'amitié franco-polonaise, de ce que l'on peut faire pour le bien des autres. Pour tout cela, en récompense, que des difficultés qui ruinent sa santé, des attaques de journalistes malhonnêtes, non objectifs. Pourquoi ? Parce qu'elle est courageuse et a ses propres opinions, ses convictions ? France des Encyclopédistes, où es-tu ?
Les pays membres de l'Union Européenne doivent prendre en compte que la Pologne, s'adaptant aux exigences et aux lois de l'Union européenne, ne les acceptera pas sans critique. Les Polonais ne le permettront pas, la majorité des Polonais qui ont encore dans le sang une tradition et une culture européenne occidentale intactes, purifiées au cours de l'histoire, trempées dans une attitude héroïque contre la barbarie occidentale et orientale. Nous pouvons offrir beaucoup de choses à l'Occident. Nous ne saluerons que les valeurs durables et universelles, l'Occident ayant une loi bonne, juste et efficace.
Vous transmettant ces informations, ces réflexions et les convictions de nombreux Polonais, je vous prie de croire en mes sentiments très profonds.

Kazimierz Staniz
(Psychologue, philosophe, journaliste, interprète.)
Varsawa 15-06-1999.


Dernière édition par Hercule le Mer 26 Jan - 15:22, édité 1 fois
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Message par Her Mar 4 Jan - 15:31

Varsovie 1999.06.15

Témoignage de Pologne

Je la connaissais depuis peu, depuis quelques mois à peine. Cette courte période a suffi pour que l’image de sa silhouette pleine de dignité se gravât dans ma mémoire et dans mon cœur.
Si quelqu’un au cours d’un entretien la définit comme étant une « Grande Dame ». Je rétorque : « oui, mais ce n’est pas assez dire, votre définition est bien au-dessous de la réalité.
S’il ajoute qu’elle fut comme une mère pour beaucoup, j’en reste tout à fait d’accord. Car pour de nombreuses personnes elle fut une vraie mère. Mais même cette définition n’est pas suffisante. C’était une « Mère Sainte ». Il suffisait d’échanger quelques mots avec elle, de voir son regard, d’entendre sa voix chaude et cordiale pour percevoir l’ambiance d’un autre monde d’une autre réalité que celle de notre quotidien, telle que chacun de nous la vit - ambiance de rue, de salons, souvent frelatée. Car Andrée Chazaux - pour continuer sa route - vivait de vérité sans jamais mettre le masque des fausses apparences si difficile à porter. Elle était d’une qualité véritablement Humaine.

On ne rencontre pas souvent, très rarement même, des gens de cette qualité. C’est pourquoi j’ai éprouvé le besoin de la connaître pour essayer d’élucider le mystère du rayonnement de cette personnalité si humaine.
Dieu a dirigé les événements qui nous ont permis de nous rencontrer à maintes reprises. Quand je fis sa connaissance, elle était déjà très malade. Elle s’amenuisait sous nos yeux sans que pour autant son sourire radieux cessât d’illuminer son visage. Elle ne manquait jamais d’adresser un mot gentil à chaque personne rencontrée. En conversant avec elle on aurait pu croire qu’elle n’avait jamais connu que des gens de bien et de valeur. On pouvait avoir l’impression que jamais personne ne lui avait causé de tort. Seuls ses proches avaient accès aux mystères de sa vie et sa vie était un Golgotha.

Qu’est ce qu’était sa vie ? C’était porter une lourde croix en silence, les yeux de sa foi vive et profonde fixés sur son Dieu-Homme et Miséricordieux. Cela émanait de ses paroles et de ses écrits : c’était une fervente adoratrice de Dieu de la Miséricorde.
Cela permet de comprendre son attitude envers ses détracteurs et les persécuteurs de sa grande et heureuse famille. En effet elle a élevé et donné à la société Française et Polonaise beaucoup de gens de valeur. En France elle a fondé et dirigé pendant trente ans une école qui a compté jusqu'à 350 élèves. Elle s’est occupée de beaucoup de français sans abris et d’émigrés polonais en leur assurant l’hébergement et la possibilité de faire des études supérieures. Des prêtres en France et en mission, des juristes en France et en Pologne sont ses enfants, ceux dont elle a su prendre soin.

Hélas dans sa bonté et son grand amour pour les gens elle a accepté un Juda avec sa famille, sa femme enceint et ses quatre petits enfants. Elle mit à leur disposition son appartement personnel. Elle même ne pouvant habiter qu’une seule petite chambre. Elle lui a donné un travail comme secrétaire de l’association qu’elle avait créée. Il lui a menti, il l’a dupée et s’est servi d’elle pour en tirer profit. Manipulé par les puissants de ce monde il l’a outragée cruellement. Il lui a caché le fait qu’il était recherché par la police. Il avait été condamné par le tribunal et se cachait. Retrouvé, arrêté il a fait trois mois de prison, et a proféré des menaces de mort en sortant de prison.
C’est à ce moment là qu’avec la brutalité satanique s’est réalisé la parole de Notre Seigneur (J 15/20) « S’ils m’ont persécuté, vous aussi ils vous persécuteront ». Il n’a pas été jugé selon ses crimes. Soi-disant victime, il a publié un livre plein de mensonges, de fabulations et de falsifications attaquant « la secte religieuse » d’Andrée Chazaux et de sa fille Sophie (sans être nommées on les reconnaît sous les traits d’ignobles caricatures).
M6 est entrée en jeu et malgré bien des réticences on lui a fourni les matériels et les documents nécessaires à faire connaître la vie d’Andrée et de sa famille. Les 19 heures de tournage ont permis un montage de 10 minutes des plus tendancieux !
Beaucoup de journalistes Français dépourvus de sens critique, sans aucune objectivité et si peu d’intelligence ont relayé ces informations.
Un groupe influent a déposé au Parlement Européen un projet de loi pour la défense des jeunes contre les sectes. ( Et parmi ces sectes sont répertoriées des institutions religieuses, caritatives et les jésuites). Nous savons maintenant que grâce à l’intervention courageuse du vatican le dit projet a été retiré, mais l’esprit de ce monde n’a pas changé.
La police a pénétré de force dans la propriété de Madame Chazaux, terrifié et rapté illégalement une adolescente, agressé deux vieilles dames, fracturé des meubles anciens, emporté sans justificatifs de nombreux documents et photographies laissant certaines pièces dans un état de saccage. De façon illégale sur mandat du procureur et du tribunal on a enlevé et confié à une famille d’accueil une adolescente et on l’a complètement coupée de sa famille. On a supprimé toute aide financière pour les enfants depuis un an. Il n’existe aucun document sur cette affaire seulement des messages téléphoniques. Et l’occident trouve que ses lois sont idéales !
Andrée et sa famille la plus proche ont été « mises en danger » car elles ne pouvaient compter ni sur la police ni sur l’aide du juge ou du procureur tandis que l’assassin impuni et manipulé a lancé des menaces de mort. Grâce à des représentants de l’église Andrée a réussi par des chemins détournés à passer en Pologne.

Quelle ironie ! Fuir le pays si fier de sa devise : « Liberté Egalité Fraternité » pour le pays de l’intolérance muni d’un système social peu développé. Et pourtant ici en Pologne on peut respirer et se sentir hors de danger.
Sarah-Monica a réussi, sans papiers, à traverser plusieurs frontières fuyant la France vers un pays « barbare » et y retrouver « La mère qui ne s’occupe pas de ses enfants » selon les reproches téléphoniques qui lui avaient été fait alors que toute relation épistolaire ou téléphonique avaient été interdites entre elles. La brave fille continuant sa route a cherché pendant presque deux mois à rejoindre sa mère. Elle est arrivée à la veille de Noël 1999.

La famille d’André C. se réunit et se retrouve peu à peu. Mais Maman Andrée (on l’appelait ainsi entre nous) elle, elle n’est plus parmi nous. Elle est partie chez le Seigneur le 27 Août 1999. J’ai assisté à sa mort, non à son passage vers une autre vie. Sur son visage et dans ses paroles il n’y avait rien de ce que j’ai pu voir chez d’autres personnes en agonie ; Il n’y avait pas d’angoisse, aucun signe d’inquiétude pour elle même ; nous savions pourtant son inquiétude d’avoir à quitter Sophie. Elle ne se plaignait de rien ni de personne. Elle s’exprimait de tout son être.
A peine une heure avant son décès nous nous sommes parlés quoique sans paroles. Mais je ne sais pas de quelle manière, ni comment cela s’est passé. Nous nous regardions dans les yeux et sans paroles nous nous transmettions des messages d’âme à âme. Nous n’avions pas besoin de paroles, elle n’auraient fait que nuire. Elle devançait mes questions et y répondait. Elle n’a pas eu de reproches pour ses tortionnaires bien qu’elle sache qu’ils ont fortement contribué à sa mort précoce. Elle a tout pardonné à tous et à chacun comme le maître Divin nous l’a enseigné.
Elle n’avait ni crainte ni peur de la mort car elle a toujours eu une confiance sans limite dans la Miséricorde de Dieu. Elle n’avait aucune crainte pour ses proches car après sa mort elle pourra les aider mieux que pendant sa vie sur terre.
Là où elle va il y a un autre univers temporel mais sûrement elle pourra les aider d’une manière plus efficace qu’ici et avant tout elle les aidera à aimer Dieu toujours davantage son soucis majeur étant de ne pas cacher Dieu par sa personnalité c’est ainsi qu’elle veut être aimée par ses proches.
Notre entretien portait sur des choses prosaïques : elle ne se soignait pas comme elle aurait pu le faire car les autres étaient plus importants pour elle qu’elle-même. C’est ainsi qu’elle a renoncé à ses soins dentaires dont le coût l’aurait privée d’aider tant de personnes dans le besoin.
Par contre elle était jusqu'à souhaiter d’être élégante jusque dans son cercueil. Et qu’elle fut belle et majestueuse dans la mort.
Elle m’a demandé d’aider Sophie sa fille d’adoption.
Andrée comment est-ce possible que nous ayons pu nous parler de tout cela si clairement moi qui ne connais pas le français et toi qui ne parle pas polonais.
Que DIEU soit béni !
Notre Maître t’a prise chez lui. Il t’a appelée, il t’a dit ces mots charmants et miraculeux « ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens c’est à moi-même que vous l’avez fait. »
Il a évoqué comment dans la pluie et le froid et dans la neige tu as collecté des dons pour nous les Polonais pendant la loi martiale. Quand tu les amenais à pleines voitures avec ta fille adoptive à LODZ à ZAMOSC.
Il t’a appelé les sans-abri, les paralysés, les aveugles qui grâce à toi ont retrouvé la foi et l’espérance. Qui ont appris à aimer véritablement.
Et tous ces enfants il te les a rappelés, qui ont grandi dans un sentiment de sécurité, se développant heureux à tes côtés. Et tout ce que tu as fait pour ta fille bien aimée Sophie, et pour tous ces gens devenus adultes qui furent tes protégés qui peuvent maintenant témoigner de ta vie si sainte, si belle ;
Et toi Maman Andrée demande pour nous des grâces à notre Maître, offre-les nous comme les roses que tu as tant aimée. Qui étaient l’expression de ton attention et de ton amour pour nous. Demande des Grâces pour nous, celles que nous allons te demander, pour que ton intermédiaire DIEU soit glorifié.

21.05.2000

Kazimierz Stanisz

P.S. Maman Andrée gît au cimetière d’Olsztyn. Privée de sa propre tombe elle gît dans une tombe d’emprunt. Remarquable éducatrice de la jeune génération, ayant travaillé au Parlement Européen, Femme d’une foi profonde qui a propagé en France la dévotion à la miséricorde de DIEU, cette femme-là a été obligée de fuir les persécutions et d’aller chercher refuge en Pologne.
Que DIEU récompense sa foi, son sacrifice, et son amour.
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Message par Her Jeu 6 Jan - 9:30

Bonjour,

Parmi les messages qu'elle recevait, Madame Andrée Renoncé-Chazaux avait reçu cette dévotion du chapelet aux Sept Plaies de Notre Seigneur.

La version qui vous est présentée est la mienne, c'est-à-dire que je récite ce chapelet de cette manière. La version originale de Madame Chazaux était plus simple dans ses formulations mais les mystères médités sont identiques.
Lorsque Mme Chazaux sera réhabilitée, la version originale sera rétablie.


LE CHAPELET AUX SEPT PLAIES
MESSAGE DU CHRIST AUX FEMMES DE France
Reçu par Madame Andrée Renoncé-Chazaux

« Moi, JESUS, votre SEIGNEUR, qui vous aime et qui ai souffert pour vous sous Ponce Pilate, Je vous demande de toujours porter sur vous le chapelet aux Sept Plaies douloureuses.
Ce chapelet vous protègera ; par lui des grâces abondantes parviendront à ceux et à celles qui le porteront car j'étendrai mes bénédictions à tous ceux qui m'aideront à porter Ma Croix.
Je promets ici, que toutes celles qui réciteront quotidiennement ; matin et soir, Mon chapelet, n'auront rien à craindre de l'envahisseur pour elles et pour leurs enfants. Je promets, en outre, que pour celles qui se consacreront à transmettre et à communiquer ce chapelet, J'assure de venir les chercher moi-même, à l'heure de leur mort, pour les conduire auprès du Père.
Chaque grain de ce chapelet représente l'une de Mes blessures pour vous et le Sang que J'ai versé pour racheter l'homme ; en invoquant chacune de Mes Plaies, c'est la Miséricorde du Père que vous implorez, et elle vous sera donnée.
En vérité, en vérité, Je vous le dis si vous M'aimez vraiment, priez comme Je vous l'ai enseigné. Alors, Je vous l'affirme : le Sang de Douleur versé pour vous se transformera en Sang d'Alliance et J'abrégerai l'épreuve des sept plaies que la France doit bientôt connaître pour racheter ses péchés ».
Ainsi soit-il. »

Le secret du chapelet aux SEPT PLAIES ou « CHAPELET DU CHRIST » réside dans le fait qu'il représente toutes les souffrances de Notre Seigneur, le jour de Son grand sacrifice pour l'humanité.
En disant ce chapelet, c'est donc le Chemin de Croix que nous refaisons avec Lui et nous l'aidons véritablement à porter cette Croix qui est aussi, nous ne l'oublions pas, la nôtre.
L'effet de ce chapelet, dit individuellement ou en réunion de prières, représente une force spirituelle considérable et représente un acte sacré de communion et d'alliance avec le Christ s'apparentant à la Sainte Eucharistie ; voilà pourquoi Notre Seigneur nous parle de transformation du Sang de Douleur en Sang d'Alliance, par cet acte de prière.
Le chapelet aux Sept Plaies fait aussi la synthèse des différentes invocations à Ses Plaies que Notre Seigneur a demandé par l'intermédiaire d'âmes privilégiées : invocation au Chef Sacré, au Sacré-Cœur et à la Plaie de l'Épaule qui complètent les plaies des Mains et des Pieds. Il réunit toutes les grâces promises séparément.
En méditant son chapelet, nous obtenons la compréhension du message douloureux de Notre Seigneur sur la Croix, mais aussi ses correspondances universelles tant humaines qui cosmiques.
À chacune des Plaies de Notre Seigneur correspond une ville qui souffrira les mêmes douleurs que le Christ, mais aussi un des sept lieux où Notre-Dame s'est manifestée pour étancher la blessure de Son Fils Bien-Aimé et qui sera un des sept lieux de pèlerinages des Femmes de France. Ce chapelet résume donc bien le Mystère de la Mort et de la Résurrection ; il doit être notre guide et notre soutien constant dans les épreuves qui nous menacent et qui menacent la France.

« Pèlerinage de Lourdes
« Pèlerinage de Pellevoisin
« Pèlerinage de Pontmain
« Pèlerinage de Tilly-sur Seulles
« Pèlerinage de la Rue du Bac
« Pèlerinage de Neubois
« Pèlerinage de La Salette

Comment réciter le chapelet aux Sept Plaies ?

Veuillez propager cette dévotion du CHAPELET DU CHRIST
1 Utiliser, pour cela, le chapelet spécial composé de sept septaines
(en vente dans les boutiques de pèlerinage).
2 Faire le Signe de la Croix avec la Croix du chapelet.
3 Dire sur chacune des trois perles de la Trinité :
« Bénis soient le Père, le Fils et le Saint-Esprit, maintenant
et toujours, pour les siècles des siècles. Ainsi soit-il ».
4 Dire le « Notre Père » sur la médaille.
5 Réciter le chapelet avec les invocations indiquées dans les 7 tableaux ci-dessous.
À la fin de chaque dizaine, récitez « l’Ave Marie de Notre Dame des Douleurs » du Saint Curé d’Ars :

« Je vous salue, Marie pleine de douleurs, Jésus crucifié est avec vous.
Vous êtes digne de compassion entre toutes les femmes,
et Jésus, le fruit béni de vos entrailles, est digne de larmes.
Sainte Marie, Mère de Jésus crucifié, faites que nous qui l’avons crucifié,
nous pleurions ce malheur, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il ! »
6 Terminer par « Bénis soient le Père, le Fils et le Saint-Esprit, maintenant et toujours,
pour les siècles des siècles. Ainsi soit-il ».
7 Faire le Signe de la Croix avec la croix du chapelet.
N.B. Ce chapelet du Christ ne prétend pas remplacer le Chapelet existant et le saint Rosaire.
Mais il est révélé par Notre Seigneur Jésus-Christ pour freiner les désordres de ces temps troublés
et pour tenter de compenser les effets de nos péchés en multipliant les grâces par la prière.


1ère septaine : « …pour la protection de Votre Église et du Saint Pape ».
1 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de Votre Église et du Saint Pape.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Chef Sacré couronné d'épines. « Notre Père… »
2 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de Votre Église et du Saint Pape.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main droite transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
3 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de Votre Église et du Saint Pape.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main gauche transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
4 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de Votre Église et du Saint Pape.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie de Votre Sacré-Cœur
transpercé par la lance et l'offrande de Votre très Précieux Sang. « Notre Père… »
5 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de Votre Église et du Saint Pape.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied droit transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
6 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de Votre Église et du Saint Pape.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied gauche transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
7 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de Votre Église et du Saint Pape.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Épaule gauche qui porta douloureusement la Croix. « Notre Père… »
« Je vous salue, Marie, pleine de douleurs, Jésus crucifié est avec vous.
Vous êtes digne de compassion entre toutes les femmes,
et Jésus, le fruit béni de vos entrailles, est digne de larmes.
Sainte Marie, Mère de Jésus crucifié, faites que nous qui l’avons crucifié,
nous pleurions ce malheur, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il ! »


2ème septaine : « …pour la conversion des pauvres pécheurs ».
1 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des pauvres pécheurs.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Chef Sacré couronné d'épines. « Notre Père… »
2 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des pauvres pécheurs.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main droite transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
3 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des pauvres pécheurs.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main gauche transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
4 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des pauvres pécheurs.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie de Votre Sacré-Cœur
transpercé par la lance et l'offrande de Votre très Précieux Sang. « Notre Père… »
5 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des pauvres pécheurs.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied droit transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
6 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des pauvres pécheurs.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied gauche transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
7 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des pauvres pécheurs.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Épaule gauche qui porta douloureusement la Croix. « Notre Père… »
« Je vous salue, Marie, pleine de douleurs, Jésus crucifié est avec vous.
Vous êtes digne de compassion entre toutes les femmes,
et Jésus, le fruit béni de vos entrailles, est digne de larmes.
Sainte Marie, Mère de Jésus crucifié, faites que nous qui l’avons crucifié,
nous pleurions ce malheur, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il ! »


3ème septaine : « …pour la délivrance des âmes du purgatoire ».
1 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la délivrance des âmes du purgatoire.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Chef Sacré couronné d'épines. « Notre Père… »
2 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la délivrance des âmes du purgatoire.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main droite transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
3 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la délivrance des âmes du purgatoire.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main gauche transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
4 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la délivrance des âmes du purgatoire.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie de Votre Sacré-Cœur
transpercé par la lance et l'offrande de Votre très Précieux Sang. « Notre Père… »
5 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la délivrance des âmes du purgatoire.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied droit transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
6 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la délivrance des âmes du purgatoire.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied gauche transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
7 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la délivrance des âmes du purgatoire.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Épaule gauche qui porta douloureusement la Croix. « Notre Père… »
« Je vous salue, Marie, pleine de douleurs, Jésus crucifié est avec vous.
Vous êtes digne de compassion entre toutes les femmes,
et Jésus, le fruit béni de vos entrailles, est digne de larmes.
Sainte Marie, Mère de Jésus crucifié, faites que nous qui l’avons crucifié,
nous pleurions ce malheur, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il ! »


4ème septaine : « …pour la protection de la France et du Grand Roi ».
1 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de la France et du Grand Roi.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Chef Sacré couronné d'épines. « Notre Père… »
2 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de la France et du Grand Roi.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main droite transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
3 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de la France et du Grand Roi.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main gauche transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
4 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de la France et du Grand Roi.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie de Votre Sacré-Cœur
transpercé par la lance et l'offrande de Votre très Précieux Sang. « Notre Père… »
5 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de la France et du Grand Roi.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied droit transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
6 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de la France et du Grand Roi.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied gauche transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
7 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la protection de la France et du Grand Roi.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Épaule gauche qui porta douloureusement la Croix. « Notre Père… »
« Je vous salue, Marie, pleine de douleurs, Jésus crucifié est avec vous.
Vous êtes digne de compassion entre toutes les femmes,
et Jésus, le fruit béni de vos entrailles, est digne de larmes.
Sainte Marie, Mère de Jésus crucifié, faites que nous qui l’avons crucifié,
nous pleurions ce malheur, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il ! »


5ème septaine : « …pour tous ceux qui souffrent et ceux qui meurent aujourd'hui ».
1 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui souffrent et ceux qui meurent aujourd'hui.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Chef Sacré couronné d'épines. « Notre Père… »
2 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui souffrent et ceux qui meurent aujourd'hui.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main droite transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
3 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui souffrent et ceux qui meurent aujourd'hui.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main gauche transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
4 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui souffrent et ceux qui meurent aujourd'hui.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie de Votre Sacré-Cœur
transpercé par la lance et l'offrande de Votre très Précieux Sang. « Notre Père… »
5 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui souffrent et ceux qui meurent aujourd'hui.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied droit transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
6 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui souffrent et ceux qui meurent aujourd'hui.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied gauche transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
7 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui souffrent et ceux qui meurent aujourd'hui.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Épaule gauche qui porta douloureusement la Croix. « Notre Père… »
« Je vous salue, Marie, pleine de douleurs, Jésus crucifié est avec vous.
Vous êtes digne de compassion entre toutes les femmes,
et Jésus, le fruit béni de vos entrailles, est digne de larmes.
Sainte Marie, Mère de Jésus crucifié, faites que nous qui l’avons crucifié,
nous pleurions ce malheur, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il ! »


6ème septaine : « …pour la conversion des francs-maçons ».
1 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des francs-maçons.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Chef Sacré couronné d'épines. « Notre Père… »
2 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des francs-maçons.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main droite transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
3 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des francs-maçons.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main gauche transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
4 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des francs-maçons.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie de Votre Sacré-Cœur
transpercé par la lance et l'offrande de Votre très Précieux Sang. « Notre Père… »
5 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des francs-maçons.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied droit transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
6 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des francs-maçons.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied gauche transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
7 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour la conversion des francs-maçons.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Épaule gauche qui porta douloureusement la Croix. « Notre Père… »
« Je vous salue, Marie, pleine de douleurs, Jésus crucifié est avec vous.
Vous êtes digne de compassion entre toutes les femmes,
et Jésus, le fruit béni de vos entrailles, est digne de larmes.
Sainte Marie, Mère de Jésus crucifié, faites que nous qui l’avons crucifié,
nous pleurions ce malheur, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il ! »


7ème septaine : « …pour tous ceux qui Vous aiment et qui Vous servent ».
1 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui Vous aiment et qui Vous servent.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Chef Sacré couronné d'épines. « Notre Père… »
2 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui Vous aiment et qui Vous servent.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main droite transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
3 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui Vous aiment et qui Vous servent.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Main gauche transpercée du clou de la Croix. « Notre Père… »
4 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui Vous aiment et qui Vous servent.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie de Votre Sacré-Cœur
transpercé par la lance et l'offrande de Votre très Précieux Sang. « Notre Père… »
5 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui Vous aiment et qui Vous servent.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied droit transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
6 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui Vous aiment et qui Vous servent.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Pied gauche transpercé du clou de la Croix. « Notre Père… »
7 Père Éternel, nous vous offrons les Sept Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ
pour tous ceux qui Vous aiment et qui Vous servent.
Mon doux Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de la Sainte Plaie
de Votre Épaule gauche qui porta douloureusement la Croix. « Notre Père… »
« Je vous salue, Marie, pleine de douleurs, Jésus crucifié est avec vous.
Vous êtes digne de compassion entre toutes les femmes,
et Jésus, le fruit béni de vos entrailles, est digne de larmes.
Sainte Marie, Mère de Jésus crucifié, faites que nous qui l’avons crucifié,
nous pleurions ce malheur, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il ! »
« Bénis soient le Père, le Fils et le Saint-Esprit, maintenant et toujours pour les siècles des siècles.
Ainsi soit-il ! »
Terminer par le Signe de la Croix avec la croix du chapelet.



PRIERE EN L’HONNEUR DE LA PLAIE DE L’ÉPAULE DE NOTRE SEIGNEUR

Cette plaie qui n'est pas connue des hommes, m'a occasionné plus de douleur que toutes les autres. Mais révèle-la aux hommes et sache que toute Grâce demandée en vertu de cette plaie sera accordée.
Et à tous ceux qui, en souvenir d'elle, M'honoreront chaque jour par 3 Pater, Ave et Gloria, je pardonnerai tous leurs péchés mortels et véniels. Ils ne mourront pas de mort imprévue, et, à l'heure suprême, ils seront visités par la Bienheureuse Vierge et obtiendront Grâce et miséricorde.


Très aimé Seigneur, très doux agneau de Dieu,
moi pauvre pécheur, j'adore et vénère la très sainte Plaie
que Vous avez reçue à l'épaule en portant au Calvaire la très lourde Croix
qui laissa découverts trois os saints, occasionnant une immense douleur.
Je Vous supplie, en vertu des mérites de ladite Plaie,
d'avoir pitié de moi en m’accordant la grâce (...) que je Vous demande ardemment,
en me pardonnant de tous mes péchés mortels ou véniels,
en m'assistant à l'heure de ma mort
et en me conduisant dans Votre heureux Royaume.
Amen !

Pour terminer réciter maintenant trois fois : Pater Noster, Ave Maria, Gloria.
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Dim 9 Jan - 2:48

Maman ANDRÉE – Son martyre, son exil et sa miséricorde divine
Ineffable entretien avec une Mère Sainte

***

Je la connaissais depuis peu, depuis quelques mois à peine. Cette courte période a suffi pour que l'image de sa silhouette pleine de dignité se gravât dans ma mémoire et dans mon cœur.
Si quelqu'un, au cours d'un entretien, la définit comme étant un "Grande Dame", je rétorque: « Oui, mais ce n'est pas assez dire, votre définition est bien au-dessous de la réalité ».
S'il ajoute qu'elle fut comme une mère pour beaucoup, j'en reste tout à fait d'accord. Car, pour de nombreuses personnes, elle fut une vraie Mère. Mais, même cette définition n'est pas suffisante. C'était une "Mère Sainte".
Il suffisait d'échanger quelques mots avec elle, de voir son regard, d'entendre sa voix chaude et cordiale, pour percevoir l'ambiance d'un autre monde, d'une autre réalité que celle de notre quotidien telle que chacun de nous la vit: ambiance de rue, de salons - souvent frelatée.
Car Andrée Chazaux, pour continuer sa route, vivait de Vérité, sans jamais mettre le masque des fausses apparences - si difficile à porter. Elle était d'une qualité ...véritablement Humaine.

*
On ne rencontre pas souvent, très rarement même, des gens de cette qualité.
C'est pourquoi j'ai éprouvé le besoin de la connaître pour essayer d'élucider le mystère du rayonnement de cette personnalité si humaine. Dieu a dirigé les événements qui nous ont permis de nous rencontrer à maintes reprises.
Quand je fis sa connaissance, elle était déjà très malade.
- Elle s'amenuisait sous nos yeux sans que, pour autant, son sourire radieux cessât d'illuminer son visage.
- Elle ne manquait pas d'adresser un mot gentil à chaque personne rencontrée.
- En conversant avec elle, on aurait pu croire qu'elle n'avait connu que des gens de bien et de valeur.
- On pouvait avoir l'impression que jamais personne ne lui avait fait du tort.

*
Seuls ses proches avaient accès aux mystères de sa vie et sa vie était un Golgotha.
Qu'est-ce qu'était sa vie? C'était porter une lourde croix en silence, les yeux de sa foi vive et profonde fixés sur son Dieu-Homme et Miséricordieux.
Cela émanait de ses paroles et de ses écrits: C'était une fervente adoratrice du Dieu de la Miséricorde.
Cela permet de comprendre son attitude envers ses détracteurs et envers les persécuteurs de sa grande et heureuse famille.

***

En effet elle a élevé et donné à la société française et polonaise beaucoup de gens de valeur.
En France, elle a fondé et dirigé pendant trente ans une École qui a compté jusqu'à 350 élèves.
Elle s'est occupée de beaucoup de Français sans-abri et de Polonais émigrés en leur assurant l'hébergement et la possibilité de faire des études supérieures.
Des Prêtres, en France et en Missions, des juristes, en France et en Pologne, sont ses enfants, eux dont elle a su prendre soin.

*

Hélas, dans sa bonté et son grand amour pour les gens, elle a accepté un Judas, avec sa famille: sa femme enceinte et ses quatre petits enfants.
Elle mit à leur disposition son appartement personnel. Elle-même ne pouvant habiter qu'une seule petite chambre.
Elle lui a donné un travail comme Secrétaire de l'Association qu'elle avait créée.
Il lui a menti, il l'a dupée, s'est servi d'elle pour en tirer profit.
Manipulé par les puissants de ce monde, il l'a outragée cruellement.
Il lui a caché le fait qu'il était recherché par la Justice. Il avait été condamné par le Tribunal et se cachait. Retrouvé et arrêté, il a fait trois mois de prison et a proféré des menaces de mort en sortant de prison.

*

C'est à ce moment-là qu'avec la brutalité satanique s'est réalisée la Parole de Notre Seigneur: "S'ils M'ont persécuté, vous-aussi, ils vous persécuteront" (Saint Jean, chapitre 15, verset 20).
Il n'a pas été jugé selon ses crimes.
Soi-disant victime, il a publié un livre, plein de mensonges, de fabulations et de falsifications, attaquant "La secte religieuse" d'Andrée Chazaux et de sa fille Sophie. Sans être nommées, on les reconnaît sous les traits d'ignobles caricatures.
M6 est entrée en jeu et, malgré bien des réticences, on lui a fourni les matériaux et les documents nécessaires à faire connaître la vie d'Andrée et de sa famille. Les 19 heures de tournage ont permis un montage de 10 minutes des plus tendancieux!
Beaucoup de journalistes français, dépourvus de sens critique, sans aucune objectivité et si peu d'intelligence, ont relayé ces informations.
Un groupe influent a déposé au Parlement Européen un projet de loi pour la défense des jeunes contre les sectes. Or, parmi les sectes sont répertoriés des institutions religieuses, caritatives - et les Jésuites.
Nous savons maintenant que, grâce à l'intervention courageuse du Vatican, ledit projet a été retiré.
Mais l'esprit de ce monde n'a pas changé.

*

La police a pénétré par force la propriété de Madame Chazaux, terrifié et "rapté" illégalement une adolescente, agressé deux vieilles femmes, fracturé des meubles anciens, emporté sans justificatifs de nombreux documents et photographies, laissant certaines pièces de la maison dans un état de saccage.
De façon illégale, sur mandat du procureur et du tribunal, on a enlevé et confié une adolescente et on l'a complètement coupée de sa famille.
On a supprimé toute aide financière pour les enfants depuis plus d'un an.
Il n'existe aucun document sur cette affaire, seulement des messages téléphoniques.
Et l'Occident trouve que ses lois sociales sont idéales!

***

Andrée et sa famille la plus proche ont été "mises en danger"*, car elles ne pouvaient compter ni sur la police, ni sur l'aide du juge ou du procureur, tandis que l'assassin, impuni et manipulé, a lancé des menaces de mort.

Grâce à des représentants de l'Église, Andrée a réussi, par des chemins détournés, à passer en Pologne.
Quelle ironie! Fuir le pays si fier de sa devise "Liberté, Égalité, Fraternité", pour le pays de l'intolérance muni d'un système social peu développé.
Et pourtant, ici, en Pologne, on peut respirer et se sentir hors de danger.

*

Monika a réussi, sans papiers, à traverser plusieurs frontières, fuyant la France vers un pays "barbare", et y retrouver "La mère qui ne s'occupe pas de ses enfants", selon les reproches téléphoniques qui lui avaient été faits - Alors que toute relation épistolaire ou téléphonique entre elles avait été interdite!
La brave fille, continuant sa route, a cherché, pendant presque deux mois, à rejoindre sa Mère. Elle est arrivée à la veille de Noël 1999.

*

La famille d'Andrée C. se réunit et se retrouve peu à peu.
Mais Maman Andrée, - on l'appelait ainsi entre nous -, elle, elle n'est plus parmi nous.
Elle est partie chez le Seigneur le 27 août 1999.

*

La mise en danger, pour l'auteur comme pour le lecteur, est l'acte de mettre quelqu'un dans la gueule de la mort et du criminel. Pour le code pénal français, elle ne désigne qu'une passivité à sauver la vie et n'est hélas pas considérée comme crime. L'auteur utilise l 'expression du code pour la ramener au sens commun.

***


L'ineffable entretien

J'ai assisté à sa mort, non, à son passage vers une autre vie.

Sur son visage et dans ses paroles, il n'y avait rien de ce que j'ai pu voir chez d'autres personnes en agonie: il n'y avait pas d'angoisse, aucun signe d'inquiétude pour elle-même. Nous savions son inquiétude d'avoir à quitter Sophie.
Elle ne se plaignait de rien ni de personne.
Elle s'exprimait de tout son être:
À peine une heure avant son décès, nous nous sommes parlé quoique sans paroles. Je ne sais de quelle manière, ni comment cela s'est passé.
Nous nous regardions dans les yeux et, sans paroles, nous nous transmettions des messages d'âme à âme. Nous n'avions pas besoin de paroles, elles n'auraient fait que nuire.
Elle devançait mes questions et y répondait:

Elle n'a pas eu de reproches pour ses tortionnaires bien qu'elle sût qu'ils ont fortement contribué à sa mort précoce.
Elle a tout pardonné à tous et à chacun comme le Divin Maître nous l'a enseigné.
Elle n'avait ni crainte ni peur de la mort car elle a toujours eu une confiance sans limite dans la Miséricorde de Dieu.
Elle n'avait aucune crainte pour ses proches car, après sa mort, elle pourrait mieux les aider que pendant sa vie sur terre.
Là où elle va, il y a un autre univers temporel, mais sûrement elle pourra les aider d'une manière plus efficace qu'ici et, avant tout, elle les aidera à aimer Dieu toujours davantage. Son souci majeur étant de ne pas cacher Dieu par sa personnalité. C'est ainsi qu'elle veut être aimée par ses proches.
Notre entretien portait sur des choses prosaïques: Elle ne se soignait pas comme elle aurait pu le faire, car les autres étaient plus importants pour elle qu'elle-même. C'est ainsi qu'elle a renoncé à ses soins dentaires dont le coût l'aurait privée d'aider tant de personnes dans le besoin.
Par contre, elle allait jusqu'à souhaiter d'être élégante jusque dans son cercueil. Et qu'elle fut belle et majestueuse dans la mort!
Elle m'a demandé d'aider Sophie sa "fille d'adoption".

Andrée, comment est-ce possible que nous ayons pu nous parler de tout cela si clairement? Moi qui ne connais pas le français et toi qui ne parles pas polonais!
Que Dieu soit béni!

***

Épitaphe

Maman Andrée gît au cimetière d'Olsztyn. Privée de sa propre tombe, elle gît dans une tombe d'emprunt.
Remarquable éducatrice de la jeune génération, ayant travaillé au Parlement Européen, Femme d'une foi profonde qui a propagé en France la dévotion à la Miséricorde de Dieu...
...Cette femme-là a été obligée de fuir les persécutions et d'aller chercher refuge en Pologne.
Que Dieu récompense sa foi, son sacrifice et son amour.
France, honore et rapatrie son Corps!
Monde entier, reconnais cette Femme!
Et que Dieu manifeste sa sainteté!

***

Notre Maître t'a prise chez Lui.
. Il t'a rappelée; Il t'a dit ces mots charmants et miraculeux: "Ce que vous avez fait au plus petit d'entre les miens, c'est à Moi que vous l'avez fait" (Saint Matthieu, chapitre 25, verset 40).
. Il a évoqué comment, dans la pluie et le froid, et dans la neige, tu as collecté des dons, pour nous les Polonais, pendant la loi martiale (décrétée en 1981). Quand tu les amenais, à pleines voitures, avec ta fille adoptive, à ŁÓDŻ, à ZAMOSC.
. Il t'a rappelé les sans-abri, les paralysés, les aveugles, - Qui, grâce à toi, ont retrouvé la foi et l'espérance, - Qui ont appris à aimer véritablement.
. Il t'a rappelé tous ces enfants qui ont grandi dans un sentiment de sécurité, se développant heureux à tes côtés.
. Et tout ce que tu as fait pour ta fille bien aimée Sophie.
. Et pour tous ces gens devenus adultes qui furent tes protégés.
Ils peuvent maintenant témoigner de ta vie: si sainte, si belle.
Et toi, Maman...
***
Prière

Maman Andrée

Demande pour nous des grâces à Notre Maître,
Offre-les nous, comme les roses que tu as tant aimées;
- Elles qui étaient l'expression de ton attention et de ton amour pour nous - ;
Demande des grâces pour nous, - celles que nous allons Te demander -, Pour que, par Ton intermédiaire, Dieu soit glorifié.

Le 21 mai 2000

Kazimierz Stanisz

Note: Ce noble témoignage dense, pénétrant et humiliant, émane d'une personnalité spirituelle et morale de notre temps. Ce chef d'œuvre de la chronique contemporaine, écrit à chaud, avec les difficultés de traduction et forcément quelques obscurités et approximations, méritait la présentation la plus respectueuse et la plus soignée.
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Dim 9 Jan - 2:48

Détruire la France, mode d’emploi,
...en détruisant la famille


Je vous remercie d’avance de prendre un peu de temps pour lire cette première page... et peut être les suivantes.

C’est un « cri d’alarme » au français que vous êtes.
C’est une mise en garde et une information.

Si vous avez sauvé des prisonniers durant la guerre, au péril de votre vie.
Si vous aidez des orphelinats à l’étranger.
Si vous recevez des pauvres ou des personnes en difficultés sous votre toit.
Si durant plus de trente ans vous vous êtes dévoué pour former la jeunesse.
Si vous aimez la culture, les arts, l’histoire de France.
Si vous organisez des conférences sur le pays que vous aimez et faites prier pour lui.
Comment vous détruire, vous, et tout que ce que vous représentez ?

Il suffit d’ourdir un COMPLOT, de salir votre réputation par médias interposés, de truquer votre histoire par des faiseurs d’images astucieux* afin de soulever la vindicte populaire puis de placer votre affaire dans les mains d’un juge « ami ».
* (filmer beaucoup puis effectuer un découpage afin de faire dire l’inverse de ce qui a été dit...)

C’est la triste histoire de Madame Andrée R Chazaux, victime d’un mythomane, financé par un riche procédurier qui, ensemble, ont alerté certaines administrations et médias et vous voilà englué jusqu'à la mort, parce que vous avez un cœur et vous aimez la famille et la France.

Afin que votre tour ne soit pas programmé, prenez à cœur de demander plus d’information sur l’histoire tragique et mortelle de Madame Chazaux et de sa famille reconstituée. Aujourd’hui sa fille Sophie, qui a sauvé un bébé d’une mort certaine, se voit assignée à résidence et doit pointer comme une criminelle tous les 15 jours.

Monika adoptée par Sophie dix ans auparavant lui est enlevée et placée illégalement par la DDASS dans une famille d’accueil où elle a subi violence sexuelle et menaces. Quel traumatisme pour cet enfant !

Le seul moyen de se sauver soi même c’est d’aider les autres, étant informé, comment continuer dans l’indifférence ? Ne sera-ce pas bientôt votre tour ?
Afin que les honneurs soient rendus à cette « Grande Dame Française », chassée par ses persécuteurs et morte en exil, vous pouvez de par l’autorité que vous représentez mettre un terme à cette INDIFFERENCE mortelle.
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Message par Her Dim 9 Jan - 2:49

Chers amis,

Je m’adresse à chacun de vous

Je vais vous raconter l’histoire peu commune d’une maman de cœur qui s’est donnée par vocation de préserver la vie des plus faibles, de l’enfant jusqu’au vieillard, de récompenser une famille chrétienne.

Sophie qui hier fut adoptée par une grande dame française a été élevée dans la morale chrétienne, comme de très nombreux frères et soeurs de cœur l’ont été avant elle, et en même temps qu’elle. Fidèle à l’exemple et à l’éducation qu’elle a reçu, elle a adoptée elle même trois enfants et recueilli, en diverses périodes, de nombreux autres en difficulté... Jusque là rien d’exceptionnel !...

Pourtant, je dois vous parler de l'enfant sauvé, le dernier pris en charge, âgé aujourd’hui de 21 mois. Son sort, comme celui de centaines de milliers d’enfants avant lui et de milliers d’enfants aujourd’hui, était la condamnation à mort sans jugement, sans appel possible, puisque sa mère génétique envisageait, comme la loi l’y encourage, de se faire avorter.

Sophie décidait selon la loi des hommes qui exige d’eux de porter assistance à personne en danger ; et selon le cinquième commandement de Dieu : « tu ne tueras pas » de sauver donc coûte que coûte l'enfant d’un mort certaine, d’une mort programmée. Pour cela, au delà de tout formalisme, de toute réglementation humaine, elle offrait à la mère « d’adopter » l’enfant que celle-ci portait dans son sein. Aujourd’hui l’enfant est sauvé : il est vivant... il est heureux

C’est ici que je suis amené à solliciter votre avis :

Doit-on en priorité l’obéissance à la loi des hommes qui légalisent l’avortement et qui, paradoxalement, exigent de tout citoyen de porter assistance aux personnes en danger ?
Doit-on en priorité obéissance à une loi humaine condamnant à mort un enfant par avortement, ou doit-on obéissance au commandement de Dieu et à la loi naturelle : « tu ne tueras pas ».
Doit-on condamner le geste et le choix de Sophie parce qu’il peut être jugé « hors la loi » par les hommes, ou doit-on la récompenser pour son courage ?

L'enfant avait-il et à t-il droit à la vie ? à jouer ? à être heureux ?

Ces questions, je vous les pose à chacun : doit-on repenser notre société par rapport à cet exemple de don d’amour, ou accepter de rester indifférent au sujet de ces millions d’innocentes victimes. Il est temps que chacun y réponde, et je vous invite à le faire par écrit sur une simple carte postale, exprimant en votre âme et conscience votre choix : l’enjeu, c’est la vie ou la mort de millions de d'enfants....

Est-ce folie de la part de Sophie d’aimer la vie en dehors de toute considération administrative ; ou bien était-il raisonnable de laisser cet enfant mourir ?
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Dim 9 Jan - 2:49

Objet : appel au conseil et à la conscience des autorités publiques

Messieurs,

La famille de Madame Chazaux, et notamment sa fille Sophie, ont été mises dans un état de réel danger dans leurs enfants, leurs intérêts et leurs biens, l’association Tournesol, et leurs amis...

Cette famille a été mise à la merci d’escrocs et de journalistes malhonnêtes ; des menaces de mort ont été proférées... Parmi les conséquences les plus dramatiques de cette lamentable affaire, nous citerons la mort de Madame Chazaux et des attaques pédophiles sur Monika-Sarah qui est sous l’autorité de la DDASS.
A la suite d’un coup monté sous couverture légale et sous des prétextes forts légers, (une erreur de déclaration administrative de naissance), entraînant indéniablement un certain désordre public grâce à une rumeur calomnieuse et diffamatoire qu’ils ont adroitement utilisée puis cautionnée.
(la plainte à l’origine de cette affaire a été déposée sur la simple foi d’un ouvrage mensonger dont l’auteur a été condamné plusieurs fois comme faussaire et pour perversion).

Nous croyons ce que nous dit cette famille honnête et bonne qui ne nous a jamais trompés ni déçus. Nous sommes au courant de tout ce qui s’est passé par dessous toute cette affaire. Désormais, les familles chrétiennes ne sont plus en sécurité et peuvent, sous un prétexte futile, se voir arracher leurs enfants et remettre leur honorabilité en question.
Devant la mauvaise foi qui sert de fil conducteur au déroulement de cette farce méchante, nous avons fini par comprendre que c’est la simple appartenance à la catholicité qui motive cette agressivité difficile à justifier sinon pour des raisons occultes...

Une grande partie de la famille à dû fuir à l’étranger il y a plus d’un an parce que les autorités compétentes ne lui ont pas offert les conditions de sécurité prévues par la loi. Madame Chazaux en est morte !... pendant ce temps, le docteur Breuilh a été mise sous tutelle (médecin de valeur, bon et équilibrée, elle prit le parti de mettre ses compétences au service de cette famille harcelée et persécutée par ceux qui devraient être les garants de sa sécurité, de sa tranquillité.
A son retour de Pologne, Sophie est assignée à résidence par le Juge du Tribunal de Grande Instance de Bourges (Monsieur Mollé)... contre toute attente et à la grande stupéfaction des gens de cœur.

Nous souhaitons vivement que sécurité et liberté soient rendues aux deux personnes susnommées, et que des conditions de vie normale puissent reprendre dans leur famille... ainsi que dans l’association Tournesol, reconnue pour sa droiture, et son efficacité discrète au service des malheureux...

Nous faisons appel à votre compétence et à votre bienveillance pour que soient rapidement prises toutes les mesures utiles pour faire cesser cette traque malhonnête qui donne trop à penser qu’elle est commanditée par des intentions inavouables visant les libertés fondamentales de la famille catholique.

Nous vous exprimons notre préoccupation et notre inquiétude qu’au pays de la liberté et des droits de l’homme, une intention cachée, d’origine sectaire, puisse, seule, expliquer les abus de pouvoir, les procédures vexatoires et autres grossièretés inadmissibles ; à plus forte raison dans le cas d’une simple erreur administrative...

Comment faire pour que soit réparé le tort causé aux victimes et a leur réputation ?
Nous estimons de notre devoir de nous regrouper pour demander vos conseils éclairés et compétents et aider efficacement cette famille chrétienne et l’association humanitaire qu’elle dirige, afin qu’ils puissent utiliser les moyens les mieux adaptés pour se sortir d’une situation inextricable dans laquelle notre administration Française a délibérément choisi le rôle du méchant. (Le pot de terre contre le pot de fer !)

Comment obtenir une solution légale et jurisprudentielle, qui empêche désormais les ennemis de la catholicité et de la famille chrétienne en tant que telle, de mettre en danger sa liberté et son existence même par des voies « légales », sur simple plainte, en assimilant n’importe qui à une secte ?

Andrée Chazaux avait coutume de dire que Sophie avait pour mission entr’autres de « Nettoyer la France » or elle se présente actuellement comme une âme victime exceptionnelle chargée de nettoyer toutes les plaies dont la France risque de mourir en souffrant physiquement et moralement de ces mêmes plaies.

Plaie due à la perversité des écrits et des médias et de la complaisance d’un public avide de « martyrs dans l’arène »
Plaie hélas si profonde en France de la délation calomnieuse.
Plaie du pouvoir judiciaire et policier qui invitent les « indics » délateurs à se porter partie civile pour pouvoir sévir sans preuves et sans délais, puis tardent indéfiniment à rendre justice aux innocents.
Plaie de la dépravation des mœurs enfants victimes de pédophiles, complicité des médias qui scandalisent ces petits et étalent la pornographie.
Plaie d’un Etat sournoisement totalitaire qui prétend prendre la place des parents en s’introduisant dans les familles sous différents prétextes et qui n’hésitent pas - alors que le P.A.C.S. est largement appliqué - a qualifier de secte une famille reconstituée et exemplaire.
Plaie des sectes qui font perdre sa liberté à l’homme et l’éloigne de sa réalité d’enfant de Dieu.
Plaie de la secte maçonnique, seule secte condamnée par l’Eglise.
Plaie de l’Eglise apostate qui ne tient pas compte de cette condamnation tant de fois confirmée. Silencieuse à ce sujet. Silencieuse pour défendre ses mystiques, pour défendre les martyrs chrétiens du monde entier oubliés pendant tant de décennies, comme le disait Monseigneur HUET à ses confrères dans « Le Temps des chiens muets ». Silencieuse pour rappeler la Loi Divine quand il s’est agi de l’avortement.
Plaie de la médecine matérialiste qui a perdu la notion du respect dû à la personne humaine. Psychiatres qui ignorent tout de l’âme et de ses Lois. Gynécologues avorteurs. Pauvres médecins obsédés par les problèmes d’argent et de pouvoir.
Plaie de l’économie, responsable de pollutions de toutes sortes en particulier alimentaire, entraînant de graves maladies.
Plaie de la drogue, moyen de pouvoir tellement efficace, qui avilit la jeunesse en enrichissant les détenteurs de l’argent qui devrait servir à nourrir les pays affamés.
Plaie de l’avortement qui condamne le monde entier du sang de ces petits martyrs dont les âmes errantes crient vengeance vers le ciel.

Plaie du cartésianisme et du matérialisme qui se conjuguent pour conforter l’égoïsme prôné comme une vertu. Les cris des cœurs meurtris sont taxés de folie, l’amour est ignoré détesté, caricaturé. Tout est conçu par un intellect aveugle qui nous conduit inexorablement vers une civilisation de mort.

Sophie, Ame victime souffre atrocement dans son corps depuis 7 ans en raison de l’incompétence et du mensonge de la médecine.
Sophie a souffert, comme les drogués, les tourments du sevrage, et des séquelles insupportables demeurent : Devenue extrêmement sensible à toute pollution, elle ne peut plus se nourrir selon ses goûts. Le moindre écart la rend très malade.

Sophie a été, et est toujours, la malheureuse victime d’un complot maçonnique.
Honteusement persécutée, ainsi que la remarquable et tant aimée Andrée Chazaux, qui en est morte, par les médias l’administration d’Etat, la police et un juge qui ont ancré leur jugement sur la délation calomnieuse d’un repris de justice, et ont ainsi pu détruire cette famille admirable. Cette « mafia », le mot n’est pas trop fort, a retiré illégalement la fille de Sophie et l’a placée dans une famille où elle est victime d’un pédophile.

Sophie a courageusement sauvé un enfant de l’avortement, en assumant le risque d’une fausse déclaration d’état civil, selon la promesse faite à la mère génétique.

Venue voir le juge de son plein gré, pour l’informer de ce fait, celui ci l’assigne à résidence après une garde à vue très humiliante et grossière.

Quant à l’Eglise Catholique, apostolique, Romaine, de France, elle fait la morte et dérive inexorablement...


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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Dim 9 Jan - 2:50

EXPOSE GENERAL A LA DATE DU 21.08.00
POUR COMPRENDRE LE DRAME DE SOPHIE

En 1989 Sophie a acquis avec sa mère adoptive de cœur, « la Sauldre », propriété dans le Cher où elles vivaient en « famille, jusqu’en 1999 avec :
Mamie âgée, à ce jour, de 88 ans.
Deux cousines d’Andrée 34 et 38 ans.
Olivier et Sarah 12 et 15 ans adoptés par « Sophie » il y a dix ans.
Pierre Henri Bogdan, bébé né le 9 novembre 1998. (Pour le sauver de l’avortement Sophie avait promis de l’adopter.)
Depuis 1997 Elodie 9 ans et marie Sophie 12 ans, sont scolarisées à la Sauldre, confiées par leur mère malade.
Gaëtan 16 ans en fin de scolarité, issu d’une famille nombreuse amie, petit fils de Monsieur d’Heilly.
Monsieur Bogdan Gibas venait chaque année de Pologne passer six mois. (Amené en 1997 par avion sanitaire, il décède en France la même année au sein de la famille.)
<Madame Breuilh, médecin en retraite, habite une pièce qui lui est réservée plus de six mois par an.
François, SDF, routard, stabilisé et réinséré depuis 1998.
Chaque année pendant plusieurs mois les cousins d’Andrée en retraite.
Et bien d’autres amis de passage ou personnes en détresse... et c’est à ce titre que :

En 1992 Andrée et Sophie avaient recueilli une famille de sept personnes, le père était recherché et fut arrêté par la police. En sortant de prison il proféra des menaces, disant avoir été dénoncé.
En 1998 il fait paraître un livre décrivant la Sauldre et l’association comme une secte.
M6 se propose pour aider, en fait, médiatise la « secte » avec la plus grande mauvaise foi, profitant du secret gardé autour du bébé pour tacher d’accréditer les calomnies aussi infâmes que fantaisistes contenues dans le livre.
Les administrations dispersent les enfants, coupent les allocations.
Sophie part en Pologne avec Olivier qui est scolarisé par correspondance, rejointe bientôt par Andrée avec le bébé, car elles redoutent qu’il ne soit enlevé par la DASS.
Sarah étant interne dans un établissement spécialisé pour handicapés, avant de partir Sophie l’avait confiée aux cousins d’Andrée pour ses sorties qui avaient lieu, comme d’habitude, chaque semaine à la Sauldre. Or en vertu d’une procédure totalement illégale, Sarah fut placée par le juge dans une famille d’accueil inconnue sans aucun moyen de contact avec sa famille.
Le cancer d’Andrée se mit à galoper ; épuisée par la persécution, elle est morte saintement en Pologne, il y a un an, sans avoir revu Sarah, malgré les démarches désespérées de sa mère, et l’appui de nombreux amis.
Sarah s’enfuit et rejoignit la Pologne à Noël. 1
Se croyant bien conseillée par la police, Sophie est revenue en France au mois de juin pour expliquer tous les faits (la mère du bébé ayant déclaré sa maternité il n’y avait plus de secret à préserver par rapport à elle).
Alors que Sophie se présente sans convocation, le juge la met d’abord en garde à vue, s’arrange pour que son avocat ne soit pas présent, lui fait subir un interrogatoire grossier, ironisant sur sa douleur.

Finalement, il l’assigne à résidence. Elle doit se présenter à la police tous les quinze jours.
Enfin, le juge demande une expertise médicale par un psychiatre ! Entre temps le docteur Breuilh a été mise sous tutelle depuis plusieurs mois pour « psychose maniaco-dépressive » puis pour « délire chronique ». (Les deux experts et la psychologue polonais, après examen de deux heures n’ont trouvé aucun signe pathologique).
Sophie est en danger. On veut la priver de ses droits civiques, mettre les enfants à la DASS.

1. C’est alors qu’elle appris à sa mère que le père de la famille d’accueil où la DASS l’avait placé, avait abusé d’elle sexuellement.


Dernière édition par Hercule le Mer 26 Jan - 15:24, édité 2 fois
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Dim 9 Jan - 2:50

André RENONCE-CHAZAUX.
Née le 23/12/1924,
décédée le vendredi 28/08/1999 à 15h en exil en Pologne,
victime des médias (M6, Ant2, la presse).

Grande dame française, elle connut dès son enfance la ruine de sa famille par « coup-monté ». Elle fut une héroïne pendant la guerre, fabriquant des fausses cartes pour prisonniers évadés. Elève puis enseignante brillante, plus jeune directrice de France, elle ouvre, à 23 ans une école où pendant 30 ans elle forme des milliers d’élèves. Sténographe au Parlement Européen, elle reçoit le diplôme « d’encouragement au Bien ».

Elle fonde et anime par ses connaissances étendues les « Femmes de France », organisant des pèlerinages dans les hauts lieux mariaux œuvrant pour la mission divine de la France. Secourant toujours les plus démunis, particulièrement les orphelins, elle fonda avec sa fille « adoptive de cœur », Sophie, une magnifique famille. Elle présida par ailleurs une association pour venir en aide à toute misère, en particulier aux orphelinats polonais, ne se permettant pas pour elle même de soins coûteux, afin de faire soigner les autres (d’où ses douleurs dentaires jamais traitées sérieusement).

Infatigablement dévouée et efficace, toujours attaquée, mais juste et bonne, arrivée au dernier stade d’un cancer, elle fut odieusement calomniée : par un homme malade qu’elle avait secouru avec sa famille. Persécutée par les médias et les administrations, elle dut s’exiler cependant que sa belle famille était anéantie. Une perquisition sauvage de 23 policiers saccagea sa maison, sans égard pour « mamie », âgée de 87 ans, dont la maladie cardiaque s’aggrava dangereusement. Sa petite fille Monika, orpheline handicapée, fut enlevée et placée « au secret » par la DASS dans une famille d’accueil où elle a subi une violence inexprimable.

Sous le coup d’un tel malheur son cancer a flambé. Elle est morte le jour de la sainte Monique ayant espéré en vain revoir sa petite Monika bloquée en France par un juge impitoyable.

Elle fut jusqu'à la fin sereine, souriante, sourire d’amour « céleste » pour sa fille Sophie au destin « privilégié » attaquée à mort pour le bien qu’elle fait, pour sa charité.

Elle quitta cette fille bien aimée sur ses paroles : « Ma petite reine, tu es trop belle pour cette terre ».

Elle est morte martyre comme le Christ, objet de tout son amour, la plaie qu’elle portait comme lui au côté a exhalé un parfum de violette et le médecin venu à ses derniers moments l’a quittée pieusement en se signant avec un infini respect.

Il n’y avait plus de place pour elle dans son pays. Ni la Pologne, ni aucun pays qu’elle a secouru ne l’oublieront.

Elle est morte en pardonnant. Depuis toujours elle priait pour ses ennemis. Celle qui fut calomniée, arrachée à son pays tant aimé. Innocente, belle, a donné son pardon à ceux qui l’on abattue en pleine maladie.

Elle continue a pardonner, elle aime toujours.



O Jésus, Roi et centre de tous les coeurs,
qui avez accordé à votre humble servante

Andrée RENONCE-CHAZAUX

qui a tellement aimé Votre Mère, la grâce d’être comme la « femme forte » de la Bible et qui, par amour pour Vous et pour ses frères les hommes, en secourant les plus démunis en adoptant les orphelins et, voulant être unie à Vous jusqu'à la Croix, a pris le risque de l’amour du prochain et des ennemis, par ses mérites et son intercession, accordez-nous la délivrance des maux présents et des tribulations qui nous accablent.

Notre Père
Je vous salue Marie
Gloire à Dieu
Her
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Dim 9 Jan - 2:51

LA BATAILLE DES SECTES

L'accusation de secte est le moyen utilisé le plus fréquemment pour détruire tout ce qui va à l'encontre de l'idéologie nationale dominante.
C'est ainsi qu'a été exterminée une famille chrétienne franco-polonaise particulièrement exemplaire : celle de Madame Andrée Renoncé-Chazaux et de sa fille polonaise Sophie, adoptive de cœur.
Madame Chazaux, née en 1924, vouée à la Vierge Marie à sa naissance, ayant connu la pauvreté, secrétaire à la Direction du Ministère Français des Prisonniers et Déportés. Profitant de sa situation, cette grande résistante établit et fournit de fausses cartes aux prisonniers évadés. Elle sauva ses archives clandestines au péril de sa vie lors d'une perquisition de la Gestapo.
Sans ambition personnelle, fuyant les honneurs, elle consacra quarante ans de sa vie à former jeunes et adultes aux emplois de bureau, en dirigeant une école commerciale de pointe qu'elle a elle-même fondée à vingt-trois ans et qui a compté jusqu'à trois cents élèves.
Décoratrice, elle ouvrit le goût français aux réalisations polonaises et canadiennes.
Sténographe parlementaire au Parlement Européen, elle contribua à l'organisation de l'Europe.
Ouverte au monde et à tout ce qui est humain, elle adopta ("adoptions de cœur"), de nombreux orphelins dans les pays victimes de la misère et de la guerre.
Pour que son cher pays soit préservé et remplisse sa mission de "Fille aînée de l'Eglise", elle anima l'Association catholique des "Femmes de France". Leurs pèlerinages, leurs prières et leurs sacrifices contribuèrent certainement à ce que la France soit épargnée d'un coup d'Etat communiste à la Libération.
Elle fut une des premières à diffuser la dévotion à la Divine Miséricorde de Sainte-Faustine.
Elle devint "maman de cœur" d'une jeune Polonaise, Sophie Gibas, âme privilégiée. Fille de résistants, victimes des totalitarismes, elle était venue en France pour être protégée et soignée. Réfugiée non assistée, elle était abandonnée, menacée de représailles et méprisée.
Son père Bogdan Gibas, Professeur et Recteur d'Université, fut promoteur du Scoutisme en Pologne. Rescapé de Katyn, il fut Partisan de l'Armia Krajowa (AK) dont il reste une figure célèbre ; au prix de très longues et épuisantes courses à ski, il sauva des villages entiers, les prévenant à temps de l'arrivée des miliciens. Il organisa la fuite de nombreux prisonniers des camps de concentration. Recherché comme terroriste, il fut torturé par les nazis.
Inspirées par le Ciel, Madame Chazaux et Sophie, aidées par plusieurs prêtres, fondent une famille pour ceux qui n'en ont pas. Collaborant avec tous les gens de bien, Mme Chazaux fonde aussi l'Association Tournesol grâce à un héritage, pour aider les autres familles et les orphelins.
Pendant "l'état de guerre", en plein hiver, elle va porter vivres, habits et médicaments à Lódz et à Zamosc. Elle procure des bourses à des étudiants polonais à Paris.
Unies à "Solidarité" pour sauver la tradition (Noël, la fête de famille), Madame Chazaux et Sophie tirent des enfants des orphelinats polonais, dès avant la victoire et l'ouverture du mur de Berlin afin qu'ils aient une famille en France. Sophie les adopte légalement. Fille du pays martyr, Sophie reconstruit sa famille.
Le fils de Bogdan, torturé par les nazis quand il était enfant, puis emprisonné pour cause de "solidarité" va aider Mme Chazaux et Sophie. Bogdan vient en France pour manger à sa faim, recevoir des soins et être un père pour tous les orphelins.
Dès le début, Mme Chazaux et sa fille Sophie sont victimes des coups de langue ; un gynécologue indigne, un évêque mal informé, un prêtre qui donne crédit aux commérages. La famille se reconstitue malgré tout.
En 1993, Sophie est véritablement empoisonnée par le traitement d'un médecin ignorant et indigne. Pour ne pas être dénoncé, il la soumet au chantage. Elle survit miraculeusement mais aux prix de terribles séquelles persistantes à ce jour. Choquée, épuisée par les soins et les souffrances de sa fille, Andrée Chazaux voit se développer un cancer.
Ces deux grandes malades continuent de secourir physiquement et moralement tous ceux qui ont recours à elles. Héroïquement, elles accueillent un homme, se disant en détresse et sa nombreuse famille. Elles lui font confiance. Quand les gendarmes mettent la main sur lui, à la faveur d'un contrôle routier, il se retrouve en prison ; ce repris de justice était un escroc et un pervers récidiviste. Pendant que sa femme accouche d'un 5ème enfant, assistée et entourée de ses bienfaitrices, ce mythomane pris d'une haine aveugle, fait le projet de les faire passer pour secte et pour en retirer de l'argent, il publie un livre de calomnies sur elles.
Elles aidaient, aussi, entre autres, une famille amie. Elles la recevaient pour les vacances, prenaient l'un ou l'autre des enfants pour soulager la maman souvent malade. Le père de celle-ci, homme haineux et procédurier, s'étant vu retirer le droit de visite à ses petits-enfants (mis en relation avec l'escroc) imagina faire passer pour secte la famille d'Andrée Chazaux et de Sophie. Il se trahit lui-même lors d'une confrontation devant le Juge pour enfants, déclarant en colère qu'il avait financé le livre de l'escroc. Il pensait ainsi obtenir la garde des enfants sous le prétexte de les "arracher à la secte" qu'il invente pour ce faire.
Les deux complices, liés à la franc-maçonnerie, vites cooptés par elle, suivent le plan Vivien. Ce dernier, ouvertement franc-maçon (cf. "sa télévision viol des consciences" de Korspérien) est à la tête d'une milice (MILS), fondée pour lutter contre les sectes. Avec Messieurs Maurois et Jospin, ils font passer pour secte, depuis vingt ans, les initiatives humanitaires et les associations religieuses qui ne vont pas dans leur sens. Ils ont également un plan pour détruire les familles dignes de ce nom, les plus dynamiques.
La stratégie mise au point est bien connue. De prétendus sectologues, sans aucun titre universitaire, très contestés par les spécialistes, enseignent aux administrations, aux corps enseignants, à la police, etc.… comment reconnaître un individu appartenant à une secte : changement de costume, de lecture, de régime, etc.… Ces premières constatations permettent de répandre une rumeur à l'insu de la personne concernée. Dès que cette Rumeur est médiatisée, le député chargé de la lutte contre les sectes alerte le Préfet qui déclenche une enquête générale. Toutes les administrations tombent en même temps sur les victimes désignées, bloquant toute activité et les désespérant. Enfin, un procès leur est intenté par l'organisme anti-secte (MILS) Des expertises psychiatriques menées par des "experts" rationalistes concluent inévitablement à des nécessités de mise sous tutelle et de démantèlement des familles.
C'est ainsi qu'une journaliste de M6, cooptée par l'auteur du livre infamant, se recommande d'un prêtre, ami de Sophie et décédé, pour s'introduire. Elle prétend venir défendre la famille. Madame Chazaux, malade à cause de son cancer, accepte.
Dix-neuf heures de tournage sont extorquées (qui ne seront jamais rendues). Ne paraissent ni l'arbre de Noël, ni la crèche pourtant au centre de la pièce et autour desquels eurent la plupart des dialogues eux-mêmes truqués. Ce montage pervers est diffusé en février 1999 malgré la promesse verbale de la journaliste de cacher les visages. Or Sophie et tous les membres de la famille sont montrés à visage découvert.
Mensonges grotesques démentis par les faits ; Sophie, accusée de fausseté, est choisie par la population locale comme jurée cette année-là ! Madame Chazaux était reconnue comme incorruptible dans sa carrière et au niveau de ses responsabilités exercées à la Chambre des Métiers. L'Association Tournesol venait d'être primée comme petite Association non subventionnée, la plus performante au service des enfants.
Après le coup de poignard du livre diffamatoire, pour Madame Chazaux, c'est le coup de grâce ; son cancer se met à flamber, ne lui laissant que quelques mois à vivre. Le livre, les médias et les tribunaux perpétuent sur cette famille le génocide raciste contre les Polonais. Ne reconnaissant pas ce peuple martyr, ils taxent d'escroqueries, tout effort des Polonais et de leurs amis pour panser ces plaies.
Mettant ses dernières forces à défendre les siens, Madame Chazaux doit s'exiler en Pologne avec sa fille et une partie de la famille.
Pendant ce temps, plusieurs chaînes de télévision et la presse se déchaînent. Les dénonciations se multiplient, les Administrations harcèlent la famille. Plusieurs perquisitions brutales et barbares s'abattent sur elle et des familles amies. Plus de cinquante familles de bienfaiteurs et d'amis font l'objet de pressions à domicile. Les mauvais coups avaient été décidés par le Tribunal avant enquête :
- Monika, mineure orpheline, adoptée depuis dix ans, hémiplégique, est placée illégalement en secret par la DASS dans une famille. Le père de cette famille, pédophile, abuse d'elle. Monika en deviendra épileptique.
- Le Docteur Vallentin, médecin en retraite qui secondait Mme Chazaux auprès de Sophie, est mis sous tutelle pour "délire chronique" parce que la plus capable de témoigner sur la foi d'un certificat médical préparé à l'avance.
Sans attendre l'enquête, l'accusation d'escroquerie touche plusieurs membres et proches de la famille. Les magistrats ou policiers qui ont refusé de collaborer sont mutés immédiatement.
Andrée Chazaux meurt en août 1999 en odeur de sainteté. Le médecin et la personne chargée de sa toilette mortuaire témoignent qu'elle embaumait.
Dès 1999, des personnalités du monde entier s'insurgent dans les Organismes internationaux contre la nouvelle barbarie française, la troisième persécution contre les chrétiens depuis 1789 et la III République.
Plus précisément, ils dénoncent le crime contre l'humanité commis à travers cette famille : des milliers d'orphelins et de personnes âgées dans le monde ne seront pas aidés parce que calomnies et cruauté auront découragé collaborateurs et donateurs.
En 2000, Sophie revient en France, abusée par des fonctionnaires. Elle est gardée à vue, privée de son avocat. Elle subit un traitement immonde au Tribunal. Elle est privée de passeport et conviée à un rendez-vous avec un psychiatre complice. La procédure judiciaire sans motif affirmé se fait lourde et durable dans le but de faire craquer les personnes. La famille doit quitter la maison et commence alors une vie de fugitifs.
En juin 2001, l'ADFI fait voter une nouvelle loi qui permet d'intenter un procès sans preuve. C'est au "harcèlement administratif" de trouver une preuve afin de pouvoir accuser enfin des personnes d'avoir formé une secte.
Malgré cela, ces personnes tiennent bon mais sont conviées périodiquement par le Tribunal pour subir des examens psychiatriques.
Les plaintes des victimes sont étouffées. Elles ont eu cependant gain de cause contre le journal "Femme actuelle". Elles portent plainte pour crime contre l'humanité à Bruxelles et à Strasbourg ainsi qu'à Genève pour tortures.
En 2002, Sophie continue à aider ses proches, considérés eux aussi comme de dangereux criminels. Ils n'ont plus le droit de se déplacer pour rendre visite à leur famille.
Avant la mort de Mme Chazaux, une "Fondation de la Miséricorde" voit le jour en Pologne qui doit fermer maintenant.
En plus des mises sur écoute téléphonique illégales, les comploteurs ont embauché des hommes de main, protégés par les forces de l'ordre. Ils ne réussissent pas toujours leurs attentats. La famille et l'Association sont ruinées.
Depuis 1999, Sophie est privée d'allocations versées pour les enfants qu'elle a élevés héroïquement. Impôts et Administration inventent de grosses sommes à payer, peu de prestations parviennent. Le plan maçonnique a été appliqué point par point.
Au total, la pression est telle que ces personnes sont détruites par le stress et les mauvais traitements. Moins voyant mais pire que la mort en trois ans de camps nazis. Tout cela, pourquoi ?
A l'automne 1998, juste après la parution du livre infamant naissait un bébé. Sophie l'avait sauvé de l'avortement en promettant à sa mère qu'elle l'adopterait si elle le laissait vivre. A l'accouchement, il est déclaré enfant de Sophie avec l'aide du Docteur Vallentin.
Cet enfant est du même sang que Sophie car il est le fils de son frère atteint d'un cancer. Les parents naturels l'ont vite reconnu, comme cela arrive souvent avant toute poursuite pour fraude émanant de l'Etat civil. Mais les comploteurs ont empêché que la reconnaissance soit officielle et que la volonté des parents naturels de confier l'enfant à Sophie soit respectée. Depuis cinq ans, l'enfant a grandi mais privé de parents reconnus. Il est toujours sous la menace d'être enlevé à Sophie. Pour être traité comme Monika ?
Les comploteurs étaient pour l'avortement, ils sèment la mort. Pour une action héroïque et bonne, décidée en quelques minutes, pour un acte de courage civique à donner en exemple, dans le pays sans âme, une famille et une œuvre sont écrasées et détruites.
Dans le monde entier, des diplomates, des personnalités réagissent. Des films et des cassettes circulent. D'autres sont en cours. Des récits étoffés sont publiés.
Madame Chazaux, dans sa vie et dans sa mort, était sœur spirituelle du Bienheureux Jerzy Popielusko. Sans fanatisme, sans se montrer, collaborant avec ceux de tout bord qui cherchent le bien, avec sa fille, Andrée Chazaux est allée au martyr pour avoir incarné les cinq vertus du dernier sermon du prêtre martyr : la dignité humaine avant tout, la bonté, la justice, le courage civique et la victoire sur le désir de vengeance. Elle a répondu au crime par le bienfait et le pardon.
Calomniée par sa fidélité au Saint-Père, elle est un modèle pour n'avoir dit que du bien de toute personne qu'elle connaissait. Elle montre l'exemple de son cran et de son courage. Elle nous donne l'espoir d'une victoire prochaine sur les sociétés secrètes et sur l'hypocrisie.


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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Dim 9 Jan - 2:51

17 Juin 2006,

Monsieur,


Objet : Bref récit de nos épreuves

Voici le récit ce que nous avons subi et subissons aujourd'hui par suite d'attaques inattendues à cause de notre charité.

Pendant l'hiver 1993-1994, nous avons accueilli sous notre toit un homme avec ses cinq enfants. Il nous avait apitoyés, disant qu'il n'avait rien, qu'il vivait avec sa famille dans une caravane dont le toit coulait, ce qui était faux. Ma Mère adoptive de cœur, en plein cancer, les hébergea en les installant dans son propre appartement, se contentant pour elle-même d'une chambre sans eau chaude.
On dut constater que cet homme présentait des troubles de la personnalité. Chaque jour il inventait de nouvelles histoires du genre : Il y a quelqu'un dans la propriété qui vient la nuit, ou encore : Je suis le Roi.
Cette mythomanie permanente nous amena petit à petit à la catastrophe. Il se rendit bien compte qu'il ne pourrait jamais offrir à sa femme ce qu'il voyait chez nous : l'harmonie, l'amour, une nourriture comparables.
Or il était connu et recherché comme faussaire, escroc et violeur d'animaux, ce que nous ne savions pas.
Retrouvé et incarcéré, se sentant par ailleurs découvert par nous dans sa mythomanie, comme tout mythomane il a décidé de nous ruiner de n'importe quelle façon. Et voici qu'il déclenche la police et la ridiculise. Il rejoint ceux qui étaient déjà jaloux pour notre bonheur, pour notre belle maison.

Durant plusieurs années, ils tissent leur toile, jusqu'à la sortie en 1998 du livre de calomnies qu'ils lui ont aidé à écrire.
Mon Père, grand diabétique, était tombé dans le coma un an auparavant quand il avait deviné ce qui se tramait. Ma Mère adoptive de cœur, grande Dame française, grande résistante pendant la guerre, est tombée malade elle aussi à la lecture du livre. Son cancer, stoppé par les soins et l'amour de notre famille, se met à flamber. Les camarades d'école se mettent à cracher sur mes enfants.
Puis vient l'émission de M6 du 14 Février 1999. Pour dix-neuf heures de tournage, quelques minutes de montages mensongers. Les cantiques de Noël cachés ; les chants d'enfants, le bonheur, l'Amour, l'arbre de Noël, tout cela, on le cache. On nous traite de secte. Le, les complots s'organisent, de toute sorte.
Oui, l'on nous a saccagé et notre bonheur et notre maison. Vingt-trois policiers entrain de s'abattre sur la propriété à l'heure où notre "Mamy", âgée de quatre-vingt-sept ans, fait la sieste. Les meubles : saccagés, alors qu'ils étaient si bien soignés ; les papiers tenus et rangés avec ordre et affection : déchirés ; les bouteilles, les services : cassés. Les animaux : effrayés ; un maître chien était venu avec son fouet dirigé contre eux.
Ma Mère, menacée, malade, meurt dans la misère en exil. Elle meurt dans mes bras, comme mon Père, héros de la Résistance, est mort deux ans plus tôt.
Ma fille Monika, handicapée, hémiplégique, adoptée depuis dix ans, est "kidnappée", enlevée illégalement par les services sociaux. Elle est victime de pédophilie dans une maison où on l'a placée et mise au secret. Elle en est devenue épileptique.
Mon fils Daniel qui était adopté, maintenant "fait la vie" car on lui a craché au visage. Des motards nous ont cassé les vitres à la maison.

Les humiliations, la confiscation de nos papiers d'état-civil, la garde à vue où j'ai été horriblement maltraitée, tout cela parce que j'ai sauvé l'enfant de mon frère !
Les institutions s'acharnent, "la machine à broyer" se met en route jour et nuit jusqu'à extermination. Les amis sont torturés, on leur déclenche des enquêtes et des perquisitions. Je dois pointer et signer à la gendarmerie comme un criminel.

Un cauchemar, l'impossibilité, même maintenant de rentrer en possession de nos biens, car on ne veut pas effacer les mots « secte » et « escroc ».
Or jusqu'à maintenant, c'est nous qui sommes escroqués, c'est nous, simples catholiques de France.
Le complot règne, le silence règne. Mais l'indignation de toute part règne aussi.
Je suis maintenant malade. Le mal se glisse partout, comme dans la révolution, au cri de : « Les profiteurs, on va en profiter ! »
Le Docteur Breuilh, amie de notre famille, a été mise sous tutelle. Un génie qui a travaillé durant cinquante ans au service de la France ! Une femme de valeur !

Sept ans de persécution, d'affaiblissement, sept ans où les complots continuent sans cesse, où l'on meurt doucement dans ce pays de « fraternité, égalité et liberté ».
Or dans mon histoire familiale, et depuis longtemps, ma famille a offert tout ce qu'elle pouvait pour la France ; elle est à la fondation d'hospices, d'écoles, de couvents, - et même de châteaux ; pendant la guerre elle a apporté vivres et subsides. C'est ainsi que l'on nous honore ? Et c'est ainsi que je suis récompensée pour avoir suivi l'exemple de mes ancêtres ?

Nous restons à votre disposition pour un dossier détaillé.


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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Dim 9 Jan - 2:52

Lettre ouverte aux Evêques

à : Messieurs les Evêques de France réunis en Assemblée Plénière
à Lourdes, la Cité de la Très Sainte Vierge Marie,

le : 9 novembre 2001
Lettre des amis de Sophie
pour demander sa réhabilitation
par les plus hautes Autorités Religieuses.

Il y a vingt ans, au Congrès Eucharistique International de 1981, dans la Prairie, nous chantions «Les pauvres mangeront à la table du Seigneur», nous promettant de tout faire pour qu’ils trouvent à Lourdes l’hospitalité vraie dans la dignité. Le bruit des chars d’assaut longeant le sanctuaire, ne parvenait pas à recouvrir nos voix. L’atroce attentat n’empêchait pas le Saint Père de nous parler par son Légat. Le Père Daniel-Ange était ordonné Prêtre par les mains du Cardinal Gantin. Notre vie, à la suite de cette Messe, devenait sacrifice universel.
___

Pères Cardinaux et Evêques, pour nous, vous incarnez l’état de perfection dans votre Fonction Sacrée et votre action, surtout quand vous êtes ensemble. Vous êtes les « ailes de la Colombe », celle du creux du Rocher de Massabielle, exorcistes victorieux de Satan, dans la lutte de la Très Sainte Vierge Marie que vous servez, contre son projet de destruction totale.

Assemblée Plénière, pour nous, tu ne consistes pas en cérémonies, hôtels, fax et communiqués, subis « par obéissance » « en attendant que tout rentre dans l’ordre ». Et vous, Père Evêque de Lourdes et Chapelains qui nous recevez, quand vous faites appel à notre générosité, nous donnons et nous appelons à donner pour l’expansion du Sanctuaire et des œuvres de Bien qui gravitent autour, car ces projets sont ceux de « l’Immaculada Councepciou », seule autorité locale historiquement légitime avec qui les autres collaborent. Seigneur, tu nous donne un clergé et des frères meilleurs que ce que nous méritons.

Assemblée Plénière, tu es l’occasion pour tous de se confesser. Nous décidons en ces jours de rompre avec la critique, la calomnie, les agissements par en-dessous et l’esprit de contradiction entre Prêtres, Prophètes et Rois. Nous ne laisserons pas appeler « minorités religieuses » nos Pasteurs ni les plus dynamiques d’entre nous.

Pères Evêques, nos Pasteurs, votre assemblée est l’occasion de renforcer les familles catholiques et les chrétiens engagés. « Doigt de la main » du Saint Père pour diffuser la lumière du Christ, allant au devant de ses plus chères volontés, elle va démultiplier ses directives, ses impulsions, ses rappels à l’ordre, suivant l’exemple de son martyre dans l’actuelle passion de l’Eglise : « Il sera leur nourriture et ils seront sauvés ».
___

Votre Assemblée est également un des conseils du Saint Père pour que toute personne, à commencer par les sans-voix, puisse lui faire parvenir ses attentes, ses cris, ses pensées.

Les sans-voix en France aujourd’hui, après tant d’associations de catholiques avortées, tant de ferveurs rebutées et tous ces jeunes et leurs éducateurs découragés, ce sont les familles catholiques en tant que telles, et les familles tout court, contre qui la persécution a été déclenchée. Et d’abord, la famille modèle de Madame Andrée Renoncé et de Sophie, leur Œuvre et leurs amis. C’est une famille catholique pratiquante (famille reconstituée et adoptive de cœur selon la définition de l’Eglise Catholique) :
- Andrée Renoncé-Chazaux, grande Résistante, enseignante et éducatrice hors-pair, ayant rendu de grands services dans un Ministère et au Parlement Européen, faisait prier pour la France, adoptait des orphelins et faisait du bien dans le monde entier.
- Sophie, d’une famille de bienfaiteurs de la France, consacrée au Bien jusqu’au sacrifice. Avec les enfants, elle va prier dans les églises, les fleurit et les nettoie. Le dossier de Sophie, comme âme privilégiée, est au Vatican, selon l’usage et le droit, et nulle part ailleurs. Elle n’a jamais refuser de rencontrer le clergé local.
- Une famille modèle où la Très Sainte Vierge Marie était honorée et où l’amour régnait.
- Des collaborateurs de valeur.
- Des enfants heureux et bien élevés dans l’ouverture à tout ce qui est beau, noble, bon et juste.
- Une Association non confessionnelle, Tournesol, pour aider les autres familles, primée en 1998 comme la plus performante.

La persécution. Fin 1998, s’est déclaré en France une dérive totalitaire de l’anti-culture, une barbarie de complots criminels dont la rumeur calomnieuse est l’origine et le vecteur. « La secte, point central, d’où procèdent et où aboutissent toutes les sectes », dénoncée par sa Sainteté Léon XIII à la suite de plusieurs Papes et de plusieurs Evêques Français au XIXe siècle, n’aurait jamais pu en arriver là sans notre sommeil, notre lâcheté, notre tiédeur et notre incapacité à vivre notre foi et à aimer tout homme sans distinction. Celui qui s’habitue à la télé et au journal, n’importe lesquels et sans prendre de recul, est l’adepte le plus commun de la première secte venue. Et cette chose noire est subversive : elle appelle « anti-secte » ses bureaux publics.

En France, il y aura bientôt 10 ans que nous avons laissé détruire les articles pénaux de la loi de 1905 sur les cultes qui protégeait les Chrétiens et les autres Religions. En même temps, nous l’avons laissée remplacer par des lois-par-en-dessous, une « jurisprudence » sur les groupes religieux, faite par des autorités civiles donc incompétentes, sans tenir compte de l’Eglise, et elle est appliquée surtout et en premier contre les Catholiques. Le divorce, l’avortement, le pacs, le clônage et l’euthanasie ne suffisent pas, en 1999 nous avons laissé passer de nouvelles mesures pour empêcher et régenter l’éducation des enfants à la maison et l’entraide entre familles.
Leur justice de secte a déjà saisi les dossiers d’une officialité dans un Archevêché. Comme tant d’autres, le Père Daniel-Ange attend toujours que nous le défendions publiquement contre les calomnies de la télé. Tant d’Evêques et de Prêtres, nous le savons par Vous, sont soumis à de terribles pressions et harcelés. Par le même complot, Monseigneur E. Milingo a été calomnié, une secte l’a séquestré et lui a lavé le cerveau ; qui avons nous cru ? la calomnie ou l’Archevêque ?
Ça commence en famille et autour de soi. Car, maintenant, c’est à la maison que le culte, la prière et la bonne éducation sont persécutés. Cette fausse inquisition est pire que la Gestapo et le K.G.B. : rien de sacré ne les arrête. Et ça continue en public : écoutes, violations de vie privée, délation, tortures, harcèlement, appel à la violence, prise d’otages, attentats, assassinats, attentat à la personne des enfants, infiltration de l’administration, persécution économique et professionnelle, rumeur, lynchage médiatique, inscriptions aux registres des damnés, jusqu’à légitimer officiellement les crimes et leurs auteurs. La rumeur criminelle est un grave désordre public. Sans nous l’Etat serait sans force pour le réprimer et il continuerait à se laisser imposer ses actes. Il est plus que temps de réagir : La France est, une fois de plus, le pays, «en pointe» écrit «Le Monde Diplomatique», pour la lutte contre la liberté religieuse. Du monde entier parviennent des réactions officielles et de personnalités contre cette violation des droits de l’homme. Le droit des familles à être protégées par les Autorités Civiles et le droit de se défendre si les Autorités ne les protègent pas.

La persécution contre la famille de Sophie s’est déclarée dans l’hiver 1998-1999. Livre calomnieux, menaces de mort, émissions et articles mensongers, harcèlements administratifs, perquisitions sauvages, psychiatrisations et tutelles, assignation à résidence, tout l’éventail est employé jusqu’aux meurtres. Dans un premier temps, Andrée se réfugie à l’étranger, la persécution la frappe de plein fouet alors qu’elle a un cancer au stade terminal. Elle meurt en pardonnant, comme une reine, en odeur de grande sainteté, en Pologne, fin août 1999. Pendant ce temps, sa petite fille, enfant hémiplégique adoptée, est «raptée »par les services sociaux où elle subit violence, elle en devient épileptique. Sa maman Sophie, déjà empoisonnée par un mauvais médecin plusieurs années auparavant, est accusée comme criminelle pour avoir adopté, donné son nom, à un enfant qu’elle a ainsi sauvé de l’avortement. Elle revient de Pologne pour se présenter librement à la Justice Française où elle est torturée l’été dernier. Elle est assignée à résidence comme si elle était une criminelle. Ses bourreaux ont programmé qu’elle meure avant l’issue du procès. Déjà, le Docteur Dor avait été traîné en correctionnelle, pour avoir sauvé des vies à leur début et pour avoir dit que les moyens contraceptifs sont cause d’assassinats…
La famille est détruite, les jeunes traumatisés et écœurés. L’Œuvre est anéantie :
les enfants, les vieux, les personnes qui auraient été aidées sont les premières victimes.

Il y a eu parmi nous, amis de Sophie, dès le début, des Evêques et des Prêtres, c’est réconfortant. Mais certaines autorités, dans l’Eglise de France, dont un Evêque présent aujourd’hui dans cette Assemblée, portent la lourde responsabilité d’être à l’origine de cette persécution et de l’avoir actionnée à toutes les étapes, et d’avoir abusé le grand nombre des fidèles. Il y a eu au début une cabale de bigots et d’ecclésiastiques : cela ne leur plaisait pas qu’Andrée Renoncé soit soumise et attachée au Saint Père. Quatre Catholiques indignes de leurs titres, portent la terrible responsabilité directe d’avoir livré cette famille, œuvre et amis, aux bourreaux et de les enfoncer aujourd’hui : un Professeur de Médecine qui se dit Catholique, et trois Monseigneurs. Vous portez la responsabilité de les avoir dénoncés aux bandits et aux persécuteurs et de les avoir fait accuser comme criminels par l’Etat que vous avez trompé et affaibli. Vous portez la terrible responsabilité d’avoir livré potentiellement toutes les familles catholiques à la persécution et indirectement d’avoir exposé les autres. Pourquoi avez-vous fait cela ?
Au spirituel, vous portez la responsabilité d’avoir livré potentiellement les cellules de base de l’Eglise, les familles, pour peu qu’elles soient généreuses.
Au moral, vous portez la responsabilité d’avoir livré des innocents à la persécution administrative et pénale, au deuil et à la détresse.
Vous partagez cette responsabilité :
- avec un escroc notoire, pervers et mythomane qui collectionne 36 rapports de gendarmerie, qui a écrit un livre de calomnies en remerciement de l’hospitalité reçue,
- avec l’écrivain qui l’a aidé, journaliste qui ne prend pas la peine de vérifier ses sources,
- avec un grand-père indigne et procédurier, sans cesse débouté dans ses demandes de droit de visite pour ses petit-enfants. Ce soi-disant Catholique harcèle à mort ses enfants, sa famille et les amis des siens. Il a fourni de grosses sommes pour payer qui l’aiderait. C’est lui qui a inventé la rumeur de la pseudo-secte,
- avec l’homme de l’ombre, le chef de la commission d’inquisition à qui des comparses reprochent de « tout régenter », qui donne les directives de manipulation aux médias, qui fabrique des victimes par le biais d’associations fantômes labellisées et rétribuées, qui sont commanditées pour déposer plainte contre Sophie et les siens,
- avec ces faux journalistes achetés, voleurs de documents, tripatouilleurs de pellicule,
- avec ces magistrats indignes, fonctionnaires de Police et autres gendarmes prêts à tout pour monter en grade et pour des pots de vin. Certains tribunaux, sous la menace, il est vrai, ont pris la voie de ceux qui guillotinaient le clergé,
- avec les hommes d’Etat qui ont donné le feu vert pour la création des organismes inquisiteurs.
___

Messieurs les Evêques, réunis en cette Assemblée Plénière, nous avons l’honneur de vous demander de bien vouloir au plus tôt :
- confirmer et crier sur les toits :
- « Andrée Renoncé-Chazaux, Sophie, leur famille et leurs amis sont Catholiques ! ».
- publier une Déclaration au niveau national qui réhabilite Andrée Renoncé-Chazaux, Sophie, famille, Œuvre et amis,
- envoyer un rapport au Saint Père en faveur de cette famille et œuvre persécutée, en honnête collaboration avec elle,
- condamner le livre de J.Bouflet « Faussaires de Dieu », et lui retirer l’imprimatur qui est un déshonneur pour l’Eglise de France. Son dos de couverture est une insulte au Bienheureux Padre Pio que l’on donne en caution à ce ramassis puant. Ce livre-poubelle sert aujourd’hui aux « anti-sectes » contre les plus beaux trésors du Peuple de Dieu,
- faire une démarche officielle, au nom de L’église de France, auprès du Gouvernement pour qu’il rétablisse l’ordre public, fasse cesser la persécution et pourvoie à la réhabilitation de la mémoire des morts et à celle des survivants.
___

Et vous, la bande des quatre, qui portez la responsabilité directe, dans l’Eglise, de la persécution contre cette famille dont nous sommes solidaires, nous vous informons ici que justice sera faite rapidement côté civil et côté religieux par nos soins et avec l’aide de Celui qui Juge :
- côté civil. Nous demandons à nos avocats de vous faire assigner et comparaître pour faux-témoignage, etc.
- côté religieux. Nous demandons l’arbitrage du Vatican et s’il le faut un procès canonique.
Nous vous supplions, au nom du doux regard du Christ supplicié, d’amorcer un virage à 180 degrés.
Nous nous permettons enfin de vous conseiller d’entreprendre au plus tôt toutes démarches publiques et privées que nous sollicitons, utiles à la réhabilitation et au dédommagement des ayant-droit, et pour la bonne renommée de l’Eglise de France, avant que la justice immanente ne s’abatte sur vous.
___

« Solidarité entre familles »
Quant à nous, nous croyons ce que nous dit cette famille honnête. Elle ne nous a jamais trompés ; son influence sur nous a toujours été bienfaisante. A travers sa douloureuse expérience, elle nous aide à reconnaître cinq fléaux qui menacent toute famille après elle : l’avortement, la pédophilie, la désinformation-calomnie des médias, les criminelles bavures médicales et les négations de justice.
Avec la force de l’Esprit-Saint et l’encouragement de nos Pasteurs, nous continuons sur la voie de la solidarité, entre familles, entre menacés et persécutés, tracée victorieusement par le Bienheureux Père Georges Popiéluszko et suivie jusqu’au Martyre par l’humble Servante de Dieu : Andrée Renoncé-Chazaux. C’est une petite charte des droits de l’homme en cinq points :
Se rendre vainqueurs du mal par le bien-même.
- Conserver la Dignité de Fils de Dieu.
- Promouvoir la Charité et la Justice.
- Vivre dans la Vérité.
- S’entraîner à la vertu de Courage.
- Etre Libres du désir de violence et de vengeance.

Fondation Polonaise de la Miséricorde
des Orphelins et des Personnes Agées
Défense des Amis de Sophie
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Message par Her Dim 9 Jan - 2:53

Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 10,11-18

Je suis le bon pasteur, le vrai berger. Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire, lui, n'est pas le pasteur, car les brebis ne lui appartiennent pas : s'il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s'enfuit ; le loup s'en empare et les disperse. Ce berger n'est qu'un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Le Père m'aime parce que je donne ma vie pour la reprendre ensuite. Personne n'a pu me l'enlever : je la donne de moi-même. J'ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : voilà le commandement que j'ai reçu de mon Père. »


Malheureusement, aujourd'hui, beaucoup de nos Evêques ont oublié ce passage des Evangiles, en se contentant d'organiser une battue pour rattraper la brebis qu'ils estiment "égarée", et au plus profond du bois, bien à l'abri des regards, ils l'attachent à un poteau et la livrent aux loups voraces...

Prions pour nos Evêques
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Message par Her Ven 14 Jan - 21:13

A Son Eminence le Cardinal Jean Marie Lustiger

PETITION du 8 février 2002

Pour que soit retiré l’imprimatur au livre de Bouflet « Faussaires de Dieu »
et qu’une mise en garde officielle soit lancée contre lui
Quand les intérêts vitaux de la société et de la religion sont menacés, résister est un devoir que nul ne peut contester. Même s’il est douloureux d’en arriver là, citer des noms est un devoir, quand un crime est entrain de se perpétrer sur un grand nombre de personnes. La solidarité est un devoir. Elle gagne toujours.
En mai 2000, l’Abbé Michel Dupuy et Monseigneur Maurice Vidal du Diocèse de Paris, accordaient le « nihil obstat » et l’ « imprimatur », c’est à dire l’autorisation religieuse, en votre nom, pour « Faussaires de Dieu », le livre bien nommé de Monsieur Joachim Bouflet. Les Presses de la Renaissance prenaient la responsabilité d’éditer cet assemblage criminel de faux témoignages.
Cette compilation du printemps 2000, avec la caution de Monseigneur Vernette, prépare en détail la livraison des victimes à l’arsenal répressif de la loi du 12 Juin 2001, sans précédent en perversion et en dureté, contre croyants et gens de bien.
Les victimes les plus spectaculairement broyées par ces faussaires sont: Sophie, sa famille, l’Association Tournesol et leurs amis. Conscients du danger qui en découle pour tous les gens honnêtes, le 9 novembre 2001, des amis et défenseurs de ces victimes tentaient en vain de remettre aux Evêques Français assemblés à Lourdes, une lettre ouverte leur demandant, et surtout vous demandant, de : « condamner ce livre et de lui retirer l’imprimatur qui est un déshonneur pour l’Eglise de France ». Sa préface est de Monseigneur Vernette, connu pour ses responsabilités ecclésiastiques, et « son dos de couverture », où son nom figure aussi, « est une insulte au Bienheureux Padre Pio. Elle fait croire -§2- que ce dernier aurait cautionné ce ramassis puant ». Ce livre poubelle apparaît aujourd’hui sur les sites Internet de ceux qui se disent « anti-secte ». Il livre ainsi les plus beaux trésors du peuple de Dieu. La secte ecclésiastique de ceux qui minent de l’intérieur, calomnie, pour les saccager, nos richesses spirituelles et humaines, pour le compte de sa complice, la secte laïque son bras séculier.
Dans cette imposture, l’auteur se fait passer par ses comparses pour habilité à des jugements sur des choses sacrées, pour la voix de l’Eglise : « formation en -je ne sais quoi de- mystique », « fournit… les bases assurées de…discernement» « il répond de manière dûment argumentée à la question… :Comment distinguer…la manifestation divine…des faussaires ». Il obtient une apparence d’habilitation comme expert au détriment de ceux qui étaient désignés régulièrement par vos prédécesseurs, comme le regretté Docteur A. Assailly, dont il manipule cyniquement les propos pages 356 et 476. Il n’est pas possible que le collecteur et tripatouilleur d’histoire, n’ait pas eu des fournisseurs indiscrets et malveillants parmi les Evêques ; nous savons que c’est un travail collectif de la franc-maçonnerie ecclésiastique.
Qui est visé ? D’abord le Cœur de Marie, la Mère des Croyants, et à travers elle, le Christ, son Fils. Cette attaque contre la Très Sainte Vierge et les manifestations du surnaturel divin, est un péché contre l’Esprit-Saint. Avec eux, l’auteur falsifie l’image d’autant de Saints que de jours dans l’année. Et il calomnie leurs disciples. En premier, les Evêques et les Prêtres qui s’efforcent de faire leur travail. Il détourne en subversion les propos du Saint Père. Il contrefait tous les lieux d’apparitions confirmés. Se prenant pour Dieu le Père, il se permet d’attaquer ceux dont le Ciel se sert en sa Providence et en sa Miséricorde pour ramener à Lui les âmes égarées.
Qui est cité et recopié comme informateur digne de foi ? Stéphane Dekeyser, FAUSSAIRE, escroc, violences sexuelles sur animaux, plusieurs fois condamné pour de tels faits, mythomane, athée affiché. Pages 410 à 414, c’est à lui qu’est accordé l’imprimatur, à ses calomnies délirantes et criminelles. Par contre l’humble servante de Dieu Andrée Renoncé qui invitait les Femmes de France à de véritables Pèlerinages aux Apparitions en France de La Sainte Vierge du 19ême siècle, est morte de cette même calomnie.
Aujourd’hui une famille catholique remarquable, reconnue comme telle par ses pasteurs, celle d’Andrée et de Sophie, est victime de vexations médiatiques, de harcèlements administratifs et de persécutions judiciaires construites uniquement sur des commérages et sur la rumeur calomnieuse issue de « biens pensants »( ?), de personnes qui se disent chrétiennes. Deux membres de cette famille sont décédés par cancer à cause du stress généré par cette situation. Une enfant hémiplégique a subi les assauts d’un pédophile dans la famille d’accueil où elle avait été placée au secret après avoir été enlevée à sa mère. On menace de psychiatriser les adultes pour délire mystique pour les tuer, et on leur arrache les enfants. L’œuvre de bien que cette famille soutenait est anéantie…
Si, aujourd’hui, les familles catholiques ne font rien pour que l’Eglise de France condamne ce livre de Satan, nous verrons, dans peu de jours, les âmes privilégiées françaises épinglées dans ce volume, ceux qui leur accordent crédit et ceux qu’ils assistent, condamnés avec leur famille à subir la même persécution. Nous verrons les organisateurs de pèlerinages aux lieux d’apparitions non encore reconnues, être confrontés aux mêmes menaces, et ceux qui, de bonne foi et souvent sans moyens, répondent à leur appel, être détruits par le même bannissement. Nous verrons les bénéficiaires des bonnes œuvres suscitées par cette générosité inspirée, condamnés par les calomnies qui détournent les donateurs.
L’ouvrage précédent de Bouflet avait inspiré le complot qui a mis au point l’attaque de de Keyser (p.219 de son livre) contre le Pape et les croyants. Ce nouveau livre revendiqué aujourd’hui par les groupes « anti-secte » pour « démasquer » les « dérives sectaires » au sein de l’Eglise, apparaît comme l’outil idéal pour un complot de la secte de la franc-maçonnerie dénoncée par le Pape Léon XIII, pour détruire les familles, la culture et la foi. Empressé de piétiner le principe de présomption d’innocence, ce livre appelle à un crime contre l’humanité par génocide sectaire à connotation religieuse et culturelle, page 412 par exemple : « L’œuvre en faveur des orphelins est purement fictive et ne sert qu’à attirer les dons » ; « les faits de…sont une vaste escroquerie », etc. Le surnaturel et la mise en pratique en famille de ce que le Ciel demande, voilà le plus combattu aujourd’hui. Les pauvres du monde entier en font les frais.
Nous avons choisi. « Dieu premier servi ». Nous avons choisi la vie. La reconnaissance religieuse qui nous importe le plus, c’est « la Couronne de Vie » (Apocalypse 2,9-10). Nous ne voulons pas à notre tour nous retrouver calomniés avec imprimatur à la clef, et puis broyés pour cause de catholicisme, nous ne voulons pas la mort des pauvres, des enfants ni des vieux.
Des preuves et des témoignages sont à disposition. Plusieurs films en préparation révèleront au monde entier les noms des coupables. Il est très fâcheux, pour des Evêques, de se retrouver condamnés par un tribunal civil approprié, pour manque de la plus élémentaire vigilance.
Il est encore plus fâcheux que la réputation de l’Eglise de France soit à ce point tachée. Il n’est jamais trop tard pour réparer.
SOLIDARITE FAMILLES CHRETIENNES
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Ven 14 Jan - 21:18

Père Louis Hau NGUYEN
Communauté des Rédemptoristes
170, boulevard Montparnasse
75014 PARIS - FRANCE

à

Son Eminence le Cardinal NGUYEN VAN THUAN
Président du Conseil Pontifical « JUSTITIA ET PAX »
Piazza SAN CALISTO, 16
00120 CITTA del VATICANO


Paris, le 13 mars 2002

Eminence et Cher Cousin,

La Providence a voulu que je connaisse Madame Andrée Renoncé-Chazaux au temps où j’étais à Montmartre et où elle s’occupait du mouvement spirituel « les Femmes de France », et que je connaisse Sophie enfant que j’aidais dans son malheur. Et la Providence a bien voulu se servir de moi pour les faire rencontrer au Sacré-Coeur, Madame Chazaux devenait ainsi sa « maman adoptive de cœur ». Je témoigne qu’elles sont des « tabernacles vivants », et du bien qu’elles ont fait dans le monde entier, en fondant une famille recomposée, au profit des pauvres et des abandonnés. Je témoigne de l’équilibre humain, des valeurs morales, et de la bonne odeur spirituelle de cette famille catholique exemplaire.

Précisément à cause de cela elles ont subi en France la persécution que l’on réserve aux bienfaiteurs exceptionnels. Le but du « complot » était d’anéantir l’œuvre de bien que Madame Andrée Renoncé-Chazaux avait fondée, et que cette famille soutenait. Madame Renoncé-Chazaux en est morte. Ils en ont profité pour s’acharner sur sa « fille » inconsolable et affaiblie. Je demande de l’aide pour Sophie, âme hors du commun, en sachant les innombrables grâces qui sont accordées par son intermédiaire, ses prières et ses souffrances. Ils ont voulu faire un exemple en ruinant la famille, en prenant les enfants, en torturant et violant, par la menace et la barbarie, le harcèlement administratif et judiciaire, et la psychiatrisation. Pour faciliter la persécution qu’ils ont décidée contre les familles chrétiennes, 3ème période anti-chrétienne, dans la ligne de celle de la révolution Française.

Il a été surtout reproché à Sophie, d’avoir adopté, reconnu pour sien à sa naissance, l’enfant de son frère, pour qu’il ne soit pas avorté, il était le fruit d’une union illégitime. Elle montrait au monde que la régularité d’une déclaration administrative compte moins que le courage de sauver des vies innocentes. Son frère a maintenant reconnu l’enfant. Les juges s’acharnent à maintenir le petit dans l‘insécurité administrative. Et le geste de Sophie n’est pas surprenant pour qui veut bien comprendre qu’elle est catholique. Tous les jours, elle prie le compagnon de Saint Alphonse, Saint Gérard Majella, le patron des mamans et des enfants. Tout au long de sa vie, elle accepte des sacrifices et témoigne pour les petits enfants qui mourront sans baptême, et concourt à ce qu’ils aillent au ciel, dans une union spirituelle avec le Frère Marcel Van, disciple comme elle de Sainte Thérèse de Lisieux et de Saint Gérard. C’est à ce titre exceptionnel qu’un Prêtre de ses amis, lui reconnaissait, il y a quelques jours, la qualité de « marraine » des enfants avortés.

Le combat du Conseil Pontifical « Justitia et Pax » est celui de Sophie.

Je vous envoie le dossier que viennent de recevoir : le Président de la République, un Député, trois Préfets, deux Procureurs, les Juges, l’ensemble des Evêques de France, les Organismes et Associations de défense, et les amis qui les soutiennent. Il contient mon témoignage.

Bien conscient que vous n’aurez pas, à cause de vos lourdes responsabilités, le temps de le lire, je vous joins un bref résumé.

Si son combat est le même que le vôtre, c’est qu’elle dévoile, à travers le drame qu’elle vit, les machinations de la franc-maçonnerie et du Premier Ministre, M. L. Jospin, pour tenter d’instaurer un état totalitaire, son idéologie étant anti-spiritualiste, rationaliste et très spécialement anti-catholique.

Son projet est en cours, depuis bientôt 20 ans, avec M. Maurois, ancien Premier Ministre : sous prétexte de lutte contre les sectes, il a chargé Monsieur A. Vivien, député franc-maçon, de toute l’organisation « anti-secte. » En fait les francs-maçons dénoncés par plus de dix Papes comme la secte la plus dangereuse, se placent, en France, à la tête de la lutte contre l’influence des sectes, pour se préserver ainsi de toute attaque par une mainmise sur la justice, la police, le renseignement et les médias.

Des sectologues, sans formation universitaire spécifique, enseignent au personnel des administrations, au corps enseignant, aux magistrats et aux fonctionnaires, les signes sur lesquels on peut détecter l’appartenance d’un individu à une secte.

Et, par ailleurs, une stratégie est mise au point pour suggérer que tel ou tel groupe, ou famille, ou association, est une secte :

- Premièrement, répandre la RUMEUR à partir de suspicions (les calomnies ne pouvant à ce niveau être réfutées, - et les victimes les ignorent souvent -, étant petit à petit isolées.)

- Ensuite, dénonciations calomnieuses auprès des administrations, des pouvoirs publics, des magistrats.

- Enfin la diabolisation par médiatisation manipulée (médiabolisation) : reportages truqués, journaux, t.v., en suscitant, si possible, un repenti.

- C’est alors que les organismes « anti-secte », UNADFI, DMS, etc., financés par les deniers publics, diligentés par Vivien, créature de M. Jospin, enquêtent puis portent plainte devant les tribunaux, en fait et place de victimes qui n’existent pas. Toute la matière pour les dépôts de plainte leur est fournie par la MILS (Mission Interministérielle de Lutte contre les Sectes. Organisme rattaché directement au cabinet du Premier Ministre Jospin.)

- Les mesures d’exception sont immédiatement utilisées sans vérification des accusations. Les enfants sont mis à l’Assistance Publique, des perquisitions sauvages sont diligentées, les gardes à vue honteuses pratiquées, les biens si possible confisqués.

- Le moyen le plus ingénieux et le plus perfide consiste à soumettre les accusés à un examen psychiatrique. La psychiatrie étant actuellement totalement rationaliste, les experts choisis par les juges stigmatisent invariablement les gens hors normes par leurs qualités souvent exceptionnelles, de malades mentaux (rappelons-nous de Soljenitsyne).

Or il faut bien se souvenir que depuis de nombreuses années, la franc-maçonnerie, par Mr. Jospin ou d’autres, s’est ingénié à promouvoir un socialisme basé sur l’économie. Il se préoccupe du chômage sans y porter remède. Il propose aux jeunes une société permissive où le travail est relégué à 35 heures par semaine, où le manque de sanction ôte tout repère aux jeunes délinquants. Mais dans le même temps, il détruit la famille par des lois impies. Grâce au travail « anti-secte » et autres lois bien ciblées, les organismes qui traditionnellement formaient les jeunes selon les vraies valeurs (scouts d’Europe, écoles libres catholiques, etc.) et tous ceux qui cherchent le bien, de quelle religion qu’ils soient, pourvu qu’ils soient généreux et authentiques, sont tracassés et exclus de la société.

A moins d’être suffisamment riche pour honorer les meilleurs avocats ou d’avoir des amis assez courageux pour être défendu, les soi-disant « sectaires » sont bannis et anéantis corps et biens.
Sophie et Madame Andrée Renoncé-Chazaux ont été les victimes de l’un de ces « complots » dont est responsable Monsieur Jospin par l’intermédiaire de Monsieur Vivien qu’il a chargé de ces basses besognes. Il y a les mêmes partis, les mêmes projets, les mêmes procédés en Italie et autres pays Européens.

Elle a pu, grâce à ses amis et à des avocats désintéressés qui croient en un Dieu juste et bon, démonter les rouages de cette machination, et porter la cause à Bruxelles devant la Cour de justice internationale du Roi de Belgique, et la Cour Européenne des Droits de l’Homme à Strasbourg.

Les jours de la mère adoptive de Sophie ont été cruellement abrégés par cette épreuve. Elle est morte en exil, en odeur de sainteté. Le Saint Père qui connaissait bien Sophie et sa famille, et qui leur avait maintes fois accordé audience, a fait téléphoner par Son Secrétaire Particulier, Monseigneur Stanislaw Dziwisz, de garder toutes les affaires de Madame Andrée Renoncé-Chazaux, (pour un Procès en Béatification). Il nous apparaît, par des signes évidents, qu’elle continue dans l’au-delà son œuvre de justice, de bonté, et de paix. Cette femme de prière et d’action s’est dévouée sans compter pour Sophie et sa mission. Nul doute, Eminence, qu’elle vous aidera à promouvoir la Justice et à faire connaître la Vérité sur les dangers gravissimes que les anti-chrétiens tendent sous les pas des familles, qu’elles soient chrétiennes, ou de quelque religion qu’elles soient.

Eminence, je vous remercie de votre attention. De l’humble place qui est la mienne, il me semble que l’étude de ce dossier, et la recherche de porter réconfort et soutien aux victimes, peut conduire en avant le Conseil Pontifical, pour résoudre des problèmes inédits. Je ne sais si vous pourrez apporter une aide à Sophie. Mais ici, c’est elle qui vous apporte la sienne pour le bon combat, pour que le Christ règne. Elle Le prie, ainsi que la Très Sainte Vierge Marie, notre Mère et Maîtresse, pour vous et pour toutes vos intentions.

Je me joins à elle, Eminence, pour vous exprimer mon admiration et ma reconnaissance. Le Conseil Pontifical nous a élevé et élargi le cœur par la récente rencontre oecuménique d’Assise. Vos témoignages publiés dans la presse française ont fait bénéficier tant de gens de la force morale dans l’épreuve dont vous êtes le vivant exemple. Vous êtes la fierté de notre famille, et un modèle pour nous, pasteurs, pour votre engagement dans le combat de la Foi catholique, seule capable de nous faire connaître et vivre la Paix et l’Amour de Notre Seigneur Jésus Christ Sauveur.
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Ven 14 Jan - 21:28

- Le Bienheureux Père Jerzy Popieluszko -

TESTAMENT SPIRITUEL

« Le 19 octobre 1984, pendant l’office du soir pour les milieux ouvriers en l’église des Saints Frères Martyrs Polonais à Bydgoszcz (en Pologne), quelques heures avant sa mort martyre inattendue, l’abbé Jerzy Popieluszko a développé des réflexions religieuses patriotiques que l’on peut considérer comme la quintessence de sa prédication et comme son testament spirituel laissé à la nation polonaise ,-et au monde entier*-, pour exécution. L’idée pilote de ce testament est l’appel: « TRIOMPHE DU MAL PAR LE BIEN »*, et son développement – des postulations détaillées touchant la vie vraiment chrétienne dans les dimensions individuelles et sociales. Voici le texte intégral du dernier discours (réflexions) de l’abbé Jerzy Popieluszko:
*«-et au monde entier-»: rajouté par les diffuseurs.
*«Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais triomphe du mal par le bien »: Epître aux Romains 12, 21, cité par le Concile Vatican 2.

«Conserver la DIGNITE de l’enfant de Dieu

Le 23 juin 1982, le Saint-Père Jean-Paul 2 s’est adressé en ces termes à la Vierge de Jasna Gora: Je te remercie, Mère, pour tous ceux qui restent fidèles à leur conscience, qui luttent contre leur faiblesse et confortent les autres. Je te remercie, Mère, pour tous ceux qui ne se laissent pas vaincre par le mal, mais triomphent du mal par le bien.
Celui-là seulement peut vaincre le mal qui est riche de bien, qui veille à son développement et son enrichissement avec les valeurs qui déterminent la dignité humaine de l’enfant de Dieu. Multiplier le bien et vaincre le mal, c’est veiller à la dignité de l’enfant de Dieu, à sa dignité d’homme. Il faut vivre dignement sa vie, car elle est une! Il faut aujourd’hui beaucoup parler de la dignité humaine pour qu’on puisse comprendre que l’homme surpasse tout ce qui peut exister en ce monde, hormis Dieu. Il surpasse la sagesse du monde entier.
Conserver sa dignité pour pouvoir accroître le bien et vaincre le mal, c’est rester libre au-dedans, même dans les conditions de l’asservissement extérieur, c’est rester ce que l’on est dans chaque situation de la vie. En tant qu’enfants de Dieu nous ne pouvons pas être esclaves. Notre filiation divine porte en elle l’héritage de la liberté. La liberté est donnée à l’homme comme une dimension de sa grandeur. La vraie liberté est la première qualité de l’humanité. Elle a été offerte par Dieu non seulement à nous mais aussi à nos frères, d’où l’obligation de la réclamer là où elle est injustement limitée. Mais la liberté n’est pas seulement un don de Dieu, c’est une tâche à réaliser pendant toute une vie.
Demandons au Seigneur que nous conservions la dignité de l’enfant de Dieu dans notre vie quotidienne!

«Se laisser guider par la CHARITE et la JUSTICE

Garder sa dignité pour pouvoir accroître le bien et vaincre le mal, c’est se laisser guider dans la vie par la justice. La justice dérive de la vérité et de la charité. Plus il y a en l’homme de vérité et de charité plus il y a aussi de justice. La justice doit aller de pair avec la charité, car on ne peut être pleinement juste sans charité. Là où manquent la charité et le bien, là se substituent à leur place la haine et la violence. Et qui se laisse guider la haine et la violence ne peut parler de justice. De là vient qu’est si douloureusement ressentie et que saute aux yeux l’injustice dans les pays où le pouvoir se fonde non sur le service* et la charité mais sur la violence et l’asservissement.
*dans le texte: «ministère », qui veut dire service.
Il est important pour le chrétien de se rendre compte que la source de la justice est Dieu lui-même. On ne saurait donc parler de justice là où il n’y a pas de place pour Dieu et pour ses commandements, où le mot «Dieu » est officiellement éliminé de la vie de la nation. Il faut donc se rendre compte de l’irrégularité (d’une telle situation) et du tort fait à notre nation dans son immense majorité chrétienne, quand on détruit dans les âmes des enfants et des adolescents les valeurs chrétiennes qui leur ont été inculquées par leurs parents depuis le berceau et qui avaient tant de fois fait leurs preuves dans notre histoire millénaire. Faire la justice et réclamer la justice, tel est le devoir de tous sans exception. Car - comme l’a dit un penseur de l’antiquité - malheureux est le temps où la justice se tait.
Prions pour que la justice nous guide dans notre vie quotidienne!

«Vivre dans la VERITE

Triompher du mal par le bien c’est garder la fidélité à la vérité. La vérité est une propriété très délicate de notre raison. Dieu lui-même a greffé en l’homme l’aspiration à la vérité, d’où l’inclination naturelle de l’homme à la vérité, d’où l’inclination naturelle de l’homme à tendre à la vérité et son aversion pour le mensonge. La vérité, comme la justice, est liée à la charité, or la justice coûte. La vraie charité est dévouée, d’où vient que la vérité doit coûter. La vérité unit toujours les hommes et les regroupe. La grandeur de la vérité effraie et démasque les hommes mesquins, intimidés.
Depuis des siècles dure le combat ininterrompu contre la vérité. La vérité cependant est immortelle alors que le mensonge périt d’une mort rapide, aussi, comme l’a dit feu le cardinal Primat Stefan Wiszynski* (*qui l’a ordonné Prêtre le 28-05-1972 et l’a désigné en 1980 comme prêtre auprès des sidérurgistes de Gdansk): Il ne faut pas beaucoup d’hommes qui parlent selon la vérité. Seules les paroles du mensonge doivent être nombreuses, car le mensonge se débite au détail et change comme une marchandise à l’étal de la boutique. Il doit être toujours nouveau, il doit toujours être nouveau, il doit avoir de nombreux serviteurs qui, selon le programme, le débiteront tel qu’il est aujourd’hui, qu’il sera demain, dans un mois, après quoi viendra un nouvel entraînement dans un nouveau mensonge. Pour maîtriser toute la technique du mensonge programmé il faut beaucoup d’hommes. Il n’en faut pas autant pour proclamer la vérité.
Nous devons apprendre à distinguer la vérité du mensonge. Ce n’est pas facile au temps où nous vivons. Ce n’est pas facile au temps dont un poète contemporain a dit que jamais encore on n’avait aussi cruellement fouetté nos échines avec le fouet du mensonge et de l’hypocrisie. Ce n’est pas facile aujourd’hui que la censure raye, surtout dans les écrits catholiques, les paroles vraies et les pensées courageuses, qu’elle raye même les paroles du Primat, du Saint-Père. Ce n’est pas facile quand on interdit au catholique non seulement de combattre les opinions de l’adversaire, même de défendre ses propres convictions ou les convictions proprement humaines. Victime d’attaques, seraient-elles les plus calomnieuses et les plus injustes, il lui est interdit de rectifier le mensonge que les autres peuvent proclamer en toute liberté et propager impunément. Ce n’est pas facile quand, pendant des décennies, on a semé dans le sol national la graine du mensonge et de l’athéisme. Le devoir du chrétien c’est de garder la vérité, devrait-elle coûter beaucoup. Car on paye pour la vérité, seule l’ivraie ne coûte rien. Pour la graine du froment de la vérité il faut parfois payer.
Prions pour que notre vie quotidienne soit pénétrée de la vérité.

«Prendre soin de la vertu du COURAGE

Pour triompher du mal par le bien, il faut veiller à la vertu du courage. La vertu du courage consiste à dépasser la faiblesse humaine, surtout l’angoisse de la peur. Le chrétien doit se souvenir qu’il ne faut craindre que de trahir le Christ pour quelques piastres* d’aride tranquillité (* « piastre » : monnaie coloniale). Le chrétien ne peut se contenter uniquement de condamner le mal, le mensonge, la lâcheté, l’asservissement, la haine, la violence : il doit lui-même être un vrai témoin, un avocat et un défenseur de la justice, du bien, de la vérité, de la liberté et de la charité. Il doit courageusement revendiquer ces valeurs pour lui et pour les autres. Vraiment circonspect et juste – disait le Saint-Père – peut être uniquement un homme courageux. Malheur à une société – clamait le Primat du Millénaire* (*le Cardinal Wyszynski, primat en 1966, millénaire de la Pologne, et qui avait résisté dans le passé malgré tout ce que le régime communiste lui avait fait subir) - dont les citoyens ne sont pas gouvernés par la vaillance, ils cessent d’être des citoyens, ils deviennent de simples esclaves. Si le citoyen renonce à la vertu de la vaillance, il devient esclave et fait le plus grand tort à lui-même, à sa personnalité humaine, à sa famille, son groupe professionnel, sa nation, à l’Etat et à l’Eglise. Quoi qu’il pût être facilement gagné à la peur à la crainte, pour du pain et des considérations secondaires. Mais malheur au pouvoir qui veut gagner le citoyen au prix de l’intimidation et de la peur esclave. Si le pouvoir gouverne des citoyens intimidés, il perd son autorité, appauvrit la vie nationale, culturelle et réduit les valeurs de la vie professionnelle. Ainsi le souci de la vaillance doit-il (demeurer) dans l’intérêt du pouvoir comme des citoyens.
Au Christ qui porte la croix, demandons que, dans notre vie quotidienne, nous fassions preuve de vaillance dans la lutte pour des valeurs vraiment chrétiennes!

«Etre LIBERE du désir de vengeance et de violence*

(* Ce titre surprend plus d’un : car la liberté n’est pas de se livrer à n’importe quel sentiment, mais de se libérer des impulsions néfastes. *« L’état de guerre », proclamé le 13-12-1981 par le pouvoir communiste en Pologne, dura 15 mois.)
Pour triompher du mal par le bien et conserver la dignité de l’homme, on ne peut user de violence. Pendant « l’état de guerre* », le Saint-Père a dit dans une prière à la Vierge de Jasna Gora qu’une nation ne peut se développer correctement quand elle est privée des droits qui déterminent sa pleine individualité, et que l’Etat ne peut être fort de la puissance d’aucune violence. Qui n’a pas réussi à vaincre par le cœur et la raison, s’efforce de vaincre par la violence. Toute manifestation de violence est une preuve d’infériorité morale. Les luttes les plus magnifiques et les plus durables qu’ait connues l’humanité, qu’ait connues l’histoire, ce sont les luttes de la pensée humaine. Les plus misérables et les plus brèves, ce sont les luttes violentes. Une idée qui a besoin d’armes pour se maintenir meurt d’elle-même. Une idée, si elle ne se maintient que grâce au recours à la violence, elle est gauchie. Une idée capable de vivre par elle-même est conquérante et entraîne après elle des millions (de personnes).
(**En 1980, avec lui, depuis le premier dimanche d’août) Si « Solidarité » a si rapidement* étonné le monde, c’est qu’elle n’avait pas lutté par la violence mais à genoux, le rosaire à la main*. Auprès des autels en plein air elle revendiquait la dignité du travail humain*, la dignité et le respect de l’homme* (*la dignité du travail humain et de l’homme, voir les encycliques du Saint-Père). Elle réclamait davantage ces valeurs que le pain quotidien. Dans les dernières années de sa vie, le Cardinal Wiszynski a dit que le monde du travail avait connu en l’espace des dernières dizaines d’années de nombreuses déceptions, restrictions. Les hommes du travail et toute la société avaient connu en Pologne la privation des droits fondamentaux de la personne humaine, des limitations de la liberté de pensée, de la conception du monde, de la confession de Dieu, de l’éducation de la jeune génération. Tout cela était étouffé. Dans le secteur du travail dépendant* (*des ouvriers salariés) a été créé un modèle spécial d’hommes contraints au silence et à la rentabilité du travail. Quand cette oppression eut définitivement porté les hommes à bout, il s’est produit un élan vers la liberté qui a engendré « Solidarité » : elle a prouvé que pour instaurer le renouveau socio-économique il ne faut pas nécessairement rompre avec Dieu.
Prions pour que nous soyons libérés de la peur , de l’asservissement, mais surtout de la soif de revanche et de violence. »

D’après le Père Antoni Lewek son ami : « L’abbé Jerzy Popieluszko », Varsovie, 1990.

LA POLOGNE ET LA FRANCE

Le Prêtre Polonais avait suivi jusqu’au bout l’exemple du Souverain Prêtre Polonais qui avait défié l’attentat mortel mais inutile du 13 mai 1981.

Le meurtre bestial, commis sur lui par des fonctionnaires communistes cette nuit-là du 19 octobre 1984, fut le signal d’une victoire spirituelle fondée sur son témoignage héroïque. Cinq ans après, le mur de Berlin disparaissait.

La victoire de « Solidarité » n’est pas seulement comparable au « Miracle de la Vistule » du 17-08-1920 où les Polonais du général Jozef Pilsudski empêchèrent les chevaux du tzar rouge Lénine de venir boire aux eaux du Rhin. Elle dépasse même en gloire la bataille de Grünwald du 15-07-1410 où les Polonais du roi Ladislas 2 Jagellon défirent la coalition d’une Europe liguée contre le Catholicisme, rendant possible la mission de Jeanne d’Arc qui devait restaurer le Royaume de France pour que Rome puisse redevenir Rome avec un Saint Siège digne de ce nom. Elle a créé, par sa victoire de 1989 sur « le mal de la superficialité », les conditions pour que le culte maçonnique de 1789 puisse être ôté de la Constitution du Pays de la Liberté, afin que le Saint-Siège soit libéré de ce serpent qui l’enserre d’une étreinte mortelle.

Madame Andrée Renoncé-Charaux, sténogaphe parlementaire au Parlement Européen, grande Dame française et humble servante de Dieu, mourait en exil à Olsztyn, Pologne, en odeur de sainteté, le 27 août 1999, dans des circonstances analogues, sous les attaques de la MILS du gouvernement Chirac-Jospin. Elle a été la sœur spirituelle de l’Abbé Georges Popiuleszko. Que son exemple victorieux suscite chez les Français le même réarmement moral, et le monde s’en portera mieux!

Les valeurs qui ont permis à ce peuple de se libérer du nazisme et du communisme peuvent nous aider contre toute tyrannie ou violence sociale, contre l’emprise franc-maçonne et son idéologie, le carcan du libéralisme matérialiste et le communisme. C’est une résistance morale, fondée sur cette solidarité de familles qui est le tissu du pays, quand les intérêts de la société, de la culture et de la religion sont en péril.

Les 5 règles d’or qu’il expose, sont les seules capables de lutter contre les 5 principaux fléaux de notre monde :
- les crimes médicaux
- la pédophilie
- l’avortement
- la désinformation-calomnie des médias
- le déni de justice
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Ven 14 Jan - 21:28

Témoignage posthume de Mélanie de La Salette, stigmatisée.

Sur le Cœur de Marie : « je croyais qu’Elle m’attirait dans son intérieur, et il me semblait que mon cœur s’ouvrait au sien » (Apparition du 19- 09-1876, imprimatur de l’Evêque de Lecce, 3ème scène : l’Ascension de la Très Sainte Vierge).

Extrait de ses récits de son voyage à Rome de 1878, compilés par l’Abbé Gouin :

Celle qui, par ses stigmates et ses souffrances, « a expié pendant 73 ans les fautes du Clergé qui la méconnaît », et que nous remercions d’avoir fait savoir jusqu’à nous ces faits, n’a pas été excommuniée pour autant, au contraire. Voyez l’attestation de son Evêque : « Mélanie n’a jamais été excommuniée »
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Ven 14 Jan - 21:29

Mgr Jean Vernette est décédé, lundi 16 septembre 2002

Né en 1929 à Port-Vendres (Pyrénées-Orientales), prêtre du diocèse de Montauban, Mgr Jean Vernette a été directeur national du catéchuménat en France, coordinateur des catéchuménats européens et Vicaire épiscopal à Montauban. Docteur en théologie, licencié en philosophie et droit canon, il était connu pour sa grande connaissance des sectes. Responsable du service national "Pastorale, sectes et nouvelles croyances" dans la commission épiscopale de la Mission universelle de l’Église en France, il a collaboré à plusieurs revues. Il a rédigé de nombreuses publications sur les sectes et des ouvrages sur la catéchèse et la pastorale : "La méthode catéchétique de Théodore de Mopsueste" (Rome), "Pour les adolescents d’aujourd’hui : des Temps-forts" (Sénevé), "Seront-ils chrétiens ? Perspectives catéchuménales" (avec le P. H.Bourgeois, ed. Chalet), "Sectes et réveil religieux, quand l’Occident s’éveille" (Salvator), "Dictionnaire des groupes religieux aujourd’hui" (avec Claire Moncelon, puf), "les sectes" (puf), "L'Eglise catholique et les sectes" (document SNOP 15 janvier 2001, numéro 1086)

Ses obsèques seront célébrées mercredi 18 septembre, à 15heures, en l’église Notre-Dame de la Paix à Montauban.
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Message par Her Ven 14 Jan - 21:32

Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 21,20-25.

En se retournant, Pierre aperçoit, marchant à leur suite, le disciple que Jésus aimait. (C'est lui qui, pendant le repas, s'était penché sur la poitrine de Jésus pour lui dire : « Seigneur, quel est celui qui va te livrer ? ») Pierre, voyant ce disciple, dit à Jésus : « Et lui, Seigneur, que lui arrivera-t-il ? » Jésus lui répond : « Si je veux qu'il reste jusqu'à ce que je vienne, est-ce ton affaire ? Mais toi, suis-moi. » Ainsi se répandit parmi les frères l'idée que ce disciple ne mourrait pas. Or, Jésus n'avait pas dit à Pierre : « Il ne mourra pas », mais : « Si je veux qu'il reste jusqu'à ce que je vienne, est-ce ton affaire ? » C'est lui, le disciple qui rend témoignage de tout cela, et qui l'a rapporté par écrit, et nous savons que son témoignage est vrai. Il y a encore beaucoup d'autres choses que Jésus a faites ; et s'il fallait rapporter chacune d'elles, je pense que le monde entier ne suffirait pas pour contenir les livres que l'on écrirait ainsi.

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

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Ce texte d’Evangile prouve que certaines missions secrètes peuvent le rester aussi pour la plus haute instance de l’Eglise.
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Message par Her Ven 14 Jan - 21:33

Le vade-mecum
du délégué diocésain
Pastorale, nouvelles croyances
et dérives sectaires

Coordination nationale
Pastorale, nouvelles croyances et dérives sectaires
Conférence des Evêques de France

Octobre 2008

1. Un vade-mecum, pour quoi ?

Pendant plusieurs décennies, notre pastorale en France, a cherché comment s'adresser à l'homme contemporain marqué par l'athéisme, dans un monde sécularisé.

Mais avec étonnement, nous constatons que dans le paysage actuel, l'homme contemporain est sollicité par de nombreuses propositions religieuses et parmi elles, certaines provenant de dérives sectaires.

Il nous faut, à la fois en Église, prévenir les chrétiens vis-à-vis de ces propositions séductrices et les aider à opérer un discernement au milieu de ce foisonnement religieux.

Dans plusieurs diocèses, les évêques ont nommé des délégués à la Pastorale "Nouvelles Croyances et Dérives Sectaires". Le vade-mecum rédigé par la coordination et le bureau national a pour but de soutenir les délégués dans leur mission, leur donner des informations nécessaires et les aider dans leur discernement pastoral.

Puisse ce vade-mecum répondre à leur attente !

Comme Évêque, Président du Conseil pour les relations inter-religieuses et des nouveaux courants religieux, et Évêque accompagnateur de la coordination pastorale "Nouvelles Croyances et Dérives Sectaires", je remercie en votre nom tous ceux qui ont collaboré à la rédaction de ce "vade-mecum".

Avec tous mes encouragements pour votre mission.

Très fraternellement.

Monseigneur Michel SANTIER
Evêque de Créteil


2. Historique de la Coordination nationale

1. En 1975, le Conseil permanent de l’Episcopat établit les grandes lignes d’une mission spécifique : de recherche, d’information et formation, d’aide aux personnes, de production de travaux. Il nomme un responsable à cette tâche.
Une Equipe Nationale s’est constituée peu à peu, qui se réunit régulièrement durant l’année avec le Secrétaire Général de l’Episcopat chargé des questions pastorales.
Depuis, le réseau des correspondants diocésains s’est mis progressivement en place. Des Sessions Nationales nous ont réuni :De multiples journées de formation, sessions locales, conférences se sont tenues et de nombreux ouvrages et articles ont été produits. Le compte-rendu annuel des travaux de l’équipe nationale de ce Service dénommé en 1980 « Pastorale et sectes », est publié régulièrement dans le Bulletin du Service Information – Communication de la Conférence des Evêques de France (SNOP). Il est envoyé une ou deux fois l’an en « Note Info » à chacun des délégués.

2. Une deuxième étape significative intervient avec le Document romain de 1986, fruit d’une enquête sur les cinq continents, dont le titre définit la pointe de la mission : « Les sectes : un défi pastoral ». Notre mission sera pastorale. Elle couvre quatre secteurs de l’activité évangélisatrice de l’Eglise universelle, représentés par les quatre Dicastères romains signataires du Document : Secrétariats pour l’Unité des chrétiens, pour les non-chrétiens, pour la Culture, pour les non-croyants (où Mgr Jean Vernette était nommé consulteur). Le Conseil pour le Dialogue interreligieux en assure depuis lors la coordination. L’esprit pastoral sera souligné encore par le Pape Jean-Paul II au Consistoire extraordinaire de 1991 : « l’Annonce de Jésus-Christ face au défi des sectes ». Il est développé dans l’« Anthologie des textes de l’Eglise Catholique (1986-1994) Sectes et nouveaux mouvements religieux » publié par les mêmes Dicastères, auquel se joint la Congrégation pour l’Evangélisation.

3. Troisième étape : l’Assemblée plénière et le Conseil permanent, en 1995, précisent encore notre mission en créant un « Comité épiscopal des nouveaux courants religieux », comme membre d’une des grandes Commissions de l’Eglise de France : celle de la Mission Universelle de l’Eglise.

4. Quatrième étape. A la suite du décès de Mgr Jean VERNETTE, survenu subitement le 16 septembre 2002, le groupe national "Pastorale, sectes et nouvelles croyances" élabore des "Orientations concernant le service national" à la demande initiale de Mgr Bernard PANAFIEU, évêque accompagnateur du service, puis avec l'accord de Mgr Olivier de BERRANGER qui lui a succédé dans cette responsabilité, et en présence du Père Bernard HAYET, secrétaire général adjoint du Service des Questions Pastorales de la CEF. Ces orientations consacrées à l’avenir du service, à sa mission, son organisation, son mode de fonctionnement, ses moyens, etc., ont été amendées par l'ensemble des délégués diocésains représentés par des délégués des Provinces ecclésiastiques au cours de l’année 2004.
Au terme de la réforme de l’organisation et du fonctionnement de la Conférence des Evêques de France, le service national est reconduit ; il devient une coordination nationale. En 2005, Mgr Michel SANTIER en devient l’évêque référent, au titre de sa présidence du conseil épiscopal « Relations interreligieuses et nouveaux courants religieux », et Mgr André Dupleix, nouveau secrétaire général adjoint de la C.E.F. en prend l’animation. C’est sous leur responsabilité qu’est organisée la 9ème session nationale, les 29 et 30 novembre 2005, et qu’est constitué un nouveau bureau conduit par deux coordinateurs, le père Denis Lecompte et M. Bertran Chaudet (diacre permanent), à l’automne 2006.
En 2007, prenant en compte les évolutions de la mission du délégué diocésain, le bureau national et les relais pour les provinces donnent à la coordination son nouveau nom : Pastorale, nouvelles croyances et dérives sectaires.

Le bureau national


3. La Coordination nationale
Pastorale, nouvelles croyances
et dérives sectaires
Sa mission, son organisation

Héritière du travail réalisé par l’ancien Service national Pastorale, sectes et nouvelles croyances, cette nouvelle structure a été mise en place dans le cadre de la réforme ayant visé à réorganiser le fonctionnement de la Conférence des évêques de France. Etant donnée l’importance de ce champ pastoral pour nos diocèses, il a semblé nécessaire de maintenir une instance plus légère, destinée à accompagner la mission des délégués diocésains. Je reprends volontiers à notre compte ce qu’en disait la Boîte à outils éditée en 2001 :

« Dans ce vaste mouvement d’un retour du religieux éclaté et flottant, l’Église doit faire face à un double défi : celui des « sectes » proprement dites ; il est devenu mondial. Mais aussi celui des conceptions du monde et de ces sagesses buissonnantes qui constituent un maquis de croyances et de religiosités nouvelles dont il n’est pas toujours aisé d’identifier la complexité ».

Dans cette double perspective, notre Coordination nationale se reconnaît une mission précise. Elle rejoint le souci de l’Église catholique vis-à-vis de tant d’hommes et de femmes confrontés à de nombreuses et nouvelles formes de croyances et de recherches. Certaines, certes, peuvent être déviantes et avoir des conséquen-ces graves pour l’existence. Mais il s’agit d’être avant tout attentifs et réceptifs à ce qui se vit et se joue autour de nous, avec prioritairement une volonté d’écoute, de compréhension et d’accueil dont la vigilance et la clairvoyance, au nom du Christ, ne sont bien évidemment pas absentes.

Dans le respect des personnes, notre tâche s’appuie sur les valeurs inscrites dans l’Évangile. Ecouter, dialoguer, accompagner, soutenir
sans transiger sur le contenu de notre foi, tel est le fond de notre responsabilité humaine et spirituelle. Pour ce faire, il nous est nécessaire de collaborer, entre nous et avec tous ceux et celles qui œuvrent en ayant le même objectif : prendre en compte l’ensemble de ces « signes des temps » que représentent bien des nouveaux courants religieux, tout en aidant les personnes en difficulté ou en situation de dérive ou de détresse.

La Coordination nationale, avec les moyens qui sont les siens, veut relever ces défis. Et cela, jusque dans la complexité de tant de situations, souvent intensifiée par le climat d’insécurité accompagnant les changements sans précédent que nous connaissons aujourd’hui.


1. Notre organisation.

La Coordination nationale Pastorale, nouvelles croyances et dérives sectaires est rattachée au Conseil pour les relations interreligieuses et les nouveaux courants religieux. L’évêque président de ce Conseil assure, par le fait même, la responsabilité de la Coordination.

La Coordination nationale, est composée de deux ensembles :

- Un réseau de délégués diocésains et provinciaux ;

- Un bureau national constitué : du Président du Conseil, du Secrétaire général adjoint de la Conférence des évêques de France en charge de ces questions, des deux coordinateurs nationaux nommés par le Président du Conseil, des délégués de quelques provinces ecclésiastiques, ainsi, éventuellement, que d’autres personnes au titre de leur compétence ou de leur expérience.

Une session de formation est organisée périodiquement (tous les trois ans environ).

2. Des tâches précises

La Coordination, enracinée dans la pastorale d’ensemble de l’Eglise, a pour mission – comme son nom l’indique – de suivre, avec une attention particulière, l’évolution des courants religieux contemporains et des dérives de type sectaire. Quatre ensembles de tâches incombent au bureau national, relayé par l’ensemble des délégués :

➢ Les Relations à l’Eglise de France et aux pouvoirs publics. Le champ dans lequel travaille la Coordination croise la plupart des grands secteurs pastoraux de la mission ecclésiale. Un lien reste nécessaire avec les instances de l’Etat particulièrement chargées de ces questions (MIVILUDES : Mission Interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les Dérives Sectaires)

➢ Les relations aux Médias et à la société civile. Il s’agit non seulement d’être présent dans les moyens de communication (notamment Internet) et de participer aux débats publics mais d’être en mesure de répondre aux demandes multiples qui peuvent surgir et supposent une information précise et la plus juste possible.

➢ La réflexion, la formation et la documentation. Cet aspect essentiel est un peu le socle de la Coordination : réflexion fondamentale à dimension pluridisciplinaire (théologie, philosophie, sciences humaines, éthique personnelle et sociale…), nécessité d’un centre de ressources et de documentation.

➢ La coordination provinciale. Il est important d’être présents sur le terrain mais aussi de susciter une réelle collaboration entre délégués diocésains et provinciaux. Une rencontre annuelle régulière est assurée entre provinciaux avec le bureau national.

Mgr André DUPLEIX
Secrétaire général adjoint
de la Conférence des Evêques de France

4. La mission du délégué diocésain


Consultés de longue date pour des dérives, voire des abus à caractère sectaire, les délégués sont aujourd’hui fréquemment questionnés par – et autour de – la profusion de croyances, de techniques, de thérapies… présentes sur le “supermarché du sens et du bien-être“. Ils sont également interpellés par les “évolutions religieuses contemporaines“ et les “transformations socioreligieuses“ qui accompagnent le foisonnement de propositions, demandes et attentes de ce “marché“. En conséquence, si le délégué doit poursuivre l'accueil, l'orientation, l’aide de personnes victimes d'agissements sectaires (selon les cas et les lieux), il ne peut à ce jour se cantonner à cette seule question. De là, sa mission, ses compétences et ses responsabilités peuvent s’élargir à travers une attention particulière à ces nouveaux espaces culturels. Et cette attention peut à son tour donner lieu à des relations, à un dialogue, tout à la fois sincères, bienveillants et exigeants.

Introduction

L’histoire du service national témoigne de l’évolution considérable qu’a connue la mission du délégué diocésain depuis son origine, en 1975, et plus particulièrement au cours des dix dernières années. Au moment où la question des « sectes » a été politiquement et médiatiquement importante (grosso modo la dernière décennie du XXe siècle) et qu’elles sont apparues comme un fléau social justifiant la lutte engagée au plan politique, les délégués ont souvent été mis à contribution, voire pris à témoin, dans ce climat de peur et ce caractère d’urgence. Cela a parfois contribué à faire d’eux – en dépit de leur volonté d’apaisement social et relationnel - des auxiliaires de justice, de police ou au minimum des spécialistes de (certaines) sectes : une fonction de suppléance justifiée par le souci de « l’opprimé » et, plus largement, des Droits de l’Homme.
Durant cette période, l’attention des délégués a également été attirée par « un certain détournement des religions » et par « le risque sérieux de manipulation marchande de l’expérience religieuse à des fins de rentabilité et de profits financiers par des groupes captant l’actuelle séduction de l’irrationnel, du magique, du ‘mystérieux’ confondus avec l’expérience religieuse. (Aussi les délégués ont lutté) avec d’autres croyants contre cette perversion de

l’expérience de Dieu ‘qui ne doit jamais être instrumentalisée et soumise au pouvoir de l’argent ‘ »2.
Ni policier, ni juge, le délégué n’a pas à se substituer à eux. Le délégué n’est pas davantage un informateur à propos des ‘sectes’ ou des groupes qui vivent des dérives sectaires. Il est mandaté par une institution qui a une histoire et une mission spécifiques, et qui évolue aujourd’hui dans un contexte religieux pluriel. Il est situé en chrétien et en catholique, membre d’une Eglise elle-même non exempte d’ombres.

Aujourd’hui, le délégué a pour rôle d’aider des personnes en questionnement, ou en difficulté, voire en danger, et qui le sollicitent directement ou indirectement, à trouver des repères, des réponses, des moyens, des tiers aidant (associations et/ou institutions) répondant – de manière adaptée et authentiquement chrétienne – à chaque situation spécifique pour laquelle il est consulté.
Si des délégués sont encore saisis de certaines dérives, de certains abus – parfois y compris au sein de leur propre institution –, ils sont plus fréquemment ou largement questionnés par – et autour de – la profusion de croyances, de techniques, de thérapies… présentes sur le “supermarché du sens et du bien-être“. Ils sont également interpellés par les transformations socioreligieuses qui accompagnent ce foisonnement dans lequel il n’est pas toujours aisé de se repérer. Depuis plusieurs années, l'attention des délégués, du fait des questionnements qu'ils reçoivent3 et des observations qu'ils font, « est appelée par les évolutions religieuses contemporaines (leurs raisons, leurs conséquences, les responsabilités et conversions qu'elles appellent dans l'Eglise catholique) dont les "sectes" ne sont qu'une partie ». Cela signifie que si le délégué doit poursuivre l'accueil, l'orientation, l’aide de personnes victimes d'agissements sectaires (selon les cas et les lieux4), il ne peut à ce jour se cantonner à cette seule question »5.

Il résulte de cette histoire que le positionnement du délégué n’est ni toujours aisé ni toujours bien compris : « il est non seulement peu connu, mais il est aussi mal connu » ; lui-même peut avoir à se situer ou se resituer au sein de son organisation diocésaine.

Approche pastorale et proposition de la foi
Le délégué diocésain est membre de la coordination nationale Pastorale, nouvelles croyances et dérives sectaires à laquelle ont été confiées quatre missions5 : être une instance d'information éclairée, un laboratoire d'analyse objective et critique, une incitation fondatrice pour l'annonce de l'Evangile, un témoin résolu de l'attitude dialogale6.
L’éveil à ces quatre missions a été favorisé par les évolutions du paysage religieux contemporain, nous l’avons dit ; il a aussi été suscité, de manière particulière, par des prises de position du magistère catholique. Dès 1986, « le Document romain »7 - fruit du travail de quatre organismes du Vatican -a permis d’entendre, de manière nouvelle, les « besoins et aspirations » de nos contemporains, en observant « les raisons de l’extension des mouvements et groupes » auxquels il se rendait attentif. Cinq ans plus tard, à l’occasion du consistoire extraordinaire de 1991, le cardinal Francis Arinze, alors président du Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux, a insisté sur le fait que « le phénomène des Nouveaux Mouvements Religieux est un défi et une chance pour l’Eglise » ; il a alors explicitement invité à une approche pastorale du phénomène des ’sectes et des N.M.R.’ et à « une réponse pastorale qui ne devrait pas être une attaque » et « ne devrait pas être négative »8.
Un troisième document occupe une place importante dans cet éveil, la lettre aux catholiques de France : « Proposer la foi dans la société actuelle »9, par laquelle les évêques invitaient à « comprendre notre situation de catholiques dans la société actuelle » et à « former une Eglise qui propose la foi ».
Les évolutions religieuses en cours, la prévention et la répression des groupements sectaires par les pouvoirs publics, l’atténuation de la question des « sectes » qui s’en est suivie, et ces textes majeurs ont contribué, en quelques années, à approfondir le rôle du délégué diocésain et sa mission spécifique. La vigilance concernant certains groupes abusifs, la lutte contre les dérives, le soutien des victimes et de leurs familles - tout en demeurant dans ses attributions - ont progressivement fait place à une approche pastorale et missionnaire. Tenter de mieux comprendre le moment présent grâce à une écoute attentive et une compréhension respectueuse. Se rendre attentifs aux expressions multiples et diverses de la recherche de sens et de dépassement de soi des hommes et des femmes aujourd’hui. Puis réfléchir, analyser, discerner ce qui, dans la multitude des chemins tracés, des propositions offertes - dans le supermarché du sens, des croyances et du développement personnel - est chemin de croissance, de devenir et de ‘’plus être’’. Enfin, se tenir présents, disponibles, au coeur de cette pluralité, pour aider, éclairer, soutenir, accompagner. Et, en tout cela, être humblement témoins, en termes d’attitudes, de conseils et de propositions, de la spécificité chrétienne et de la Révélation évangélique.

Ce rôle d’observation, de réflexion, de proposition, conduit le délégué diocésain à un nouveau positionnement au sein de son diocèse. Il n’est plus seulement le délégué que l’on consulte à propos de groupes inquiétants ou sectaires, mais un vis-à-vis qui peut mettre au service des diverses réalités diocésaines et de ses acteurs, ses constats, ses réflexions, ses analyses, ses ressources et ceux de sa coordination nationale, en vue de chercher une adéquation toujours plus grande des dispositifs et propositions diocésains avec ce que vivent nos contemporains, leurs besoins, leurs attentes et leurs quêtes. Il peut ainsi vivre une réelle fécondité grâce aux relations et aux réflexions partagées avec les réalités diocésaines en charge de l’accueil, de la formation, de la catéchèse, du catéchuménat, des recommençants, et plus largement de l’annonce, et du dialogue (interculturel, interconfessionnel et interreligieux)10.

Les tâches du délégué diocésain
Pour expliciter les diverses tâches qu’accomplissent les délégués diocésains, plusieurs voies sont possibles, retenons-en deux ici.
La première consiste à reprendre les séries de verbes déjà cités et, face à chacune, se demander quelles sont les collaborations possibles, tant au sein de l’Eglise locale que, plus largement, sur le territoire concerné. Nous énumérons ces verbes :
- Accueillir, orienter, venir en aide, accompagner, soutenir11.
- Observer, réfléchir, analyser, discerner12.
- Informer, éclairer, sensibiliser, prévenir.
- Former, interpeller.
- Annoncer, dialoguer13.
La seconde voie – que nous avons choisie de développer ici – explicite les quatre groupes types d’interlocuteurs du délégué diocésain que sont les responsables et les membres de l’Eglise locale, les membres de groupements de type « nouveaux mouvements religieux », le grand public, et les collectivités territoriales et associations locales.

Au sein de son Eglise locale :
- il accueille questionnements, demandes, de toutes sortes ;
- il rend service ponctuellement (demandes concernant des groupements, des prêts ou des locations de salles, la validité de baptêmes reçus en d’autres Eglises, etc.) ;
- il oriente vers d’autres personnes, services ou initiatives ;
- il informe, sensibilise, forme pour ce qui concerne le pluralisme religieux, les nouvelles croyances, les nouvelles manières de croire ;
- comme instance d’observation et de compréhension du paysage religieux contemporain, il se tient à la disposition des autres services du diocèse pour les aider dans leurs tâches propres.
- il propose des éléments de lecture chrétiens, des attitudes chrétiennes, éveille à la responsabilité des catholiques au sein du pluralisme religieux.
- il contribue à l’évitement de dérives sectaires au sein de l’Eglise locale14.

Dans sa relation à des membres/des responsables de groupements de type « nouveaux mouvements religieux », il répond à des demandes de rencontres, de dialogues ou en prend l’initiative, en fonction de questionnements reçus15. La dynamique dialogale, lorsqu’elle est possible, nécessite l’approfondissement des convictions d’autrui et des siennes propres. Elle favorise une meilleure connaissance mutuelle et permet que s’établisse une relation de confiance et de respect.

Dans sa relation au public
- il répond aux demandes de renseignements ;
- il informe, éclaire, apaise et favorise la prévention (animations, conférences, interventions en AEP et Enseignement Catholique,…) ;
- il oriente ;
- il vient en aide en cas d’emprise ou de manipulation sectaire (sous certaines conditions, et en fonction de la situation au plan local)16 ;
- il accompagne les victimes de groupes abusifs, leurs familles, mais aussi des personnes en recherche.

Dans sa relation aux collectivités territoriales et aux associations locales enfin, il consulte, est consulté en fonction, une nouvelle fois, de la situation locale et des demandes reçues ou des dossiers traités.

Des tâches liées à des situations locales et personnelles
Les diverses tâches énumérées ci-dessus ne peuvent être assumées par tous les délégués et de manière identique, du fait de responsabilités multiples de la majeure partie d’entre eux, de compétences et d’intérêts propres, de missions spécifiques, et de situations diocésaines et locales diverses.
Nous voulons donc achever ce chapitre consacré à la mission du délégué en faisant état de cette diversité des situations personnelles et locales, et en évoquant quelques points d’attention, du fait précisément de l’importance que revêt la mission du délégué diocésain pour le service des diocèses et de l’Eglise.

Des situations locales diverses
La physionomie des lieux d’implantation des délégués sont très différents les uns des autres. Dans certains lieux, il existe un pluralisme religieux important : groupes non catholiques, groupes non chrétiens, groupements socialement controversés. En d’autres lieux, on compte ces groupes sur les doigts d’une main. Là où sont implantés des groupes qui se sont avérés sectaires, il peut ou non exister des associations d’information ou de défense concernant les « sectes », et des cellules de vigilance préfectorales. Mais ce n’est pas le cas partout. Le diocèse lui-même peut ou non compter des agents en responsabilité du dialogue interreligieux, interconfessionnel (avec les évangéliques), un ou des délégué(s) auprès des communautés de vie catholiques récentes.
Tout cela peut avoir des incidences sur l’activité, mais aussi, en amont, sur le besoin ressenti par le diocèse, d’un délégué diocésain. Très concrètement, par exemple, s’il n’existe pas, au plan local, d’association d’information concernant les « sectes » ou d’aide aux victimes de « sectes », le délégué diocésain peut en faire office. Il est d’autant plus important en ce cas qu’il soit bien connu et que sa mission soit clairement identifiée.
Ainsi, la mission et les tâches du délégué sont nécessairement liées à un contexte. Mais en fonction de la perception initiale que l’on a de la mission de ce délégué (ou qu’il a de sa propre mission), on peut aussi risquer de le limiter à un contexte donné alors que celui-ci a évolué et que sa mission est devenue plus large.
Des situations personnelles diverses
Si la situation locale a des incidences sur la mission du délégué, il est évident que son profil, sa disponibilité, la perception que l’on a de lui, en ont plus encore. Ceci renvoie :
- au mandat du délégué diocésain. Que lui demande l’Eglise qui l’envoie ? Quel est le mandat reçu ? Quel est son statut au sein du diocèse?
- à sa disponibilité personnelle en tant que délégué : il peut s’agir d’un plein temps, d’un mi-temps, d’un temps très partiel, voire occasionnel, en fonction de ses autres responsabilités notamment.
- à la perception que le diocèse/le public a du délégué : est-on au courant de l’existence de ce délégué ? Est-il repéré comme tel ? S’il est repéré, comment l’est-il? Comment se présente-t-il/est-il présenté ?
- aux centres d’intérêt, aux compétences et aux priorités du délégué, (plus ou moins connus ou perçus), et qui peuvent générer ou induire des demandes et des questionnements, ou leur absence.
- à l’existence ou non d’un bureau/d’un lieu d’accueil et de documentation spécifique.
- à la proposition de permanences.
En fonction de ces divers éléments, le délégué peut être plus ou moins mis à contribution, peut recevoir plus ou moins d’appels, de demandes, et aussi des appels ou demandes plus ou moins ciblés. Il est clair en effet que si la demande oriente l’offre du délégué, son offre elle-même peut également susciter et façonner la demande.
L’évolution de la mission du délégué au cours des dernières années, de ses domaines d’attention, de ses tâches, a conduit des délégués à susciter des équipes et à mettre en place des services diocésains s’appuyant sur des collaborations et des compétences nouvelles17. Le bureau de la coordination nationale a lui-même insisté sur l’importance d’échanges entre délégués diocésains au sein des provinces ecclésiastiques afin de mettre en commun connaissances, expériences et retour d’expériences, réflexions, analyses, documentation.
C’est à ces conditions que le délégué diocésain, son équipe, son service, seront le plus à même d’aider leur diocèse à prendre la mesure des transformations socioreligieuses en cours, des besoins et attentes de présence effective sur le terrain (rencontre et dialogue) qu’elles suscitent, et des nouvelles dispositions et responsabilités qu’elles appellent de la part de notre Eglise.


Pour accompagner sa mission élargie aux nouveaux espaces socioreligieux et culturels et aux dialogues qui peuvent en découler, le délégué diocésain doit pouvoir disposer de nouvelles ressources. Parmi celles-ci, pourraient voir le jour :
− La mise en place d’une « communauté de pratique » des délégués diocésains qui permette à chacun de bénéficier au mieux et au plus vite des connaissances et des expériences disponibles des autres ;
− La mise à disposition d’une « plate-forme interactive » de références et d’outils qui facilitent la tâche quotidienne des délégués diocésains.

5. Le délégué diocésain en situation. Pistes pratiques

Ce chapitre a pour objectif de proposer aux délégués de partager des outils qui ont fait leurs preuves et qui sont susceptibles de les aider dans leurs diverses tâches.
Nous l’inaugurons avec une première proposition, celle d’un outil rôdé au fil des années et enrichi des “retours d’expérience“ d’un certain nombre d’entre nous.
Si vous êtes en possession ou avez connaissance d’autres outils, vous êtes encouragés à les communiquer à un membre du bureau national qui s’en fera le relais pour les mettre à disposition de l’ensemble des délégués.

Outil A

Pour répondre à un appel/à un questionnement concernant une dérive sectaire supposée ou avérée :

1. au sein d’une réalité méconnue/inconnue
- Tenter de cerner les motifs de l’appel (dits et non dits). Si certains interlocuteurs accusent des groupements d’être sectaires pour des raisons fondées, d’autres le font au nom d’intérêts personnels, la sectarité avancée leur permettant par exemple d’engager une procédure de divorce, ou de demander la garde d’enfants…
- Demander l’identité du groupement concerné : est-il membre d’une religion ou confession historique qui possède ses propres régulations internes, ou est-il rattaché à une religion ou confession mais non régulé, est-il encore membre d’une fédération, d’une entente ou d’une alliance, ou est-il totalement autosuffisant ? En fonction de la réponse obtenue, la démarche à engager pourra être très différente.
- S’assurer que les faits (la sectarité) reprochés sont avérés et ne relèvent pas seulement de on-dit, de suppositions ou de craintes.
- Essayer d’entendre le registre et le degré de sectarité du groupement en question. Est-il sectaire du point de vue de la tradition dont il se réclame (autosuffisance, exclusivisme,…) ou l’est-il au regard des lois en vigueur (atteintes aux droits de la personne, à l’Ordre public,…) ?

Ces différentes démarches peuvent prendre du temps et exiger une ou des rencontres destinées à comprendre, aider, clarifier, soutenir… ; il peut être utile également de s’informer auprès de plusieurs personnes ou associations ressource.

- Au terme, en fonction de la clarté de la situation, de sa gravité, de son urgence, orienter : vers des responsables des religions ou confessions concernées, ou vers des services sociaux, ou vers la police, ou vers la justice… Autrement dit diriger vers des instances et des services existants. Les contacts ou collaborations engagés en amont pourront alors être d’un important secours.

2. - dans une communauté catholique18
En premier lieu, prendre en compte le fait qu'il s'agit d'une communauté ecclésiale, quelle que soit l'opinion que l'on a d'elle. Ceci aura des répercussions sur notre manière d'en parler, de la présenter, d'accueillir les doléances à son propos et, le cas échéant, d'exprimer les réserves ou les questionnements qui la concernent.
Que l'appel vise une demande d'information ou fasse part d'une plainte, il est souhaitable, pour bien orienter la personne qui appelle, d’identifier précisément la communauté dont il s'agit, sa vocation propre, ses règles internes, et ses liens et rattachements ecclésiaux.

– Des questions à se poser :
- De quel type de communauté s'agit-il ?
- Une communauté de fondation récente ou ancienne ?
- Résidentielle ou non résidentielle ?
- Issue du Renouveau charismatique ?
- De qui dépend-elle en Eglise ?
- A-t-elle un statut canonique ? Lequel ?
- Association privée de fidèles ?
- Association publique de fidèles ?
- Institut religieux, Monastère ?
- Institut séculier ?
- Société de vie apostolique ?

–Des questions à poser :
Outre le recueil d'informations précises auprès du demandeur. Vous êtes-vous déjà adressé(e) à d'autres instances ? En Eglise ? Hors Eglise ?

– Des instances vers lesquelles orienter, en fonction de leurs rôles et compétences :
Avant d'appeler l'ordinaire du lieu où est implantée la communauté, ce qui ne devrait être fait qu'en dernier recours, voici des instances que l'on pourra joindre en fonction du profil de la communauté.

♦ Instances diocésaines
- Le délégué diocésain à la vie religieuse ou à la vie consacrée.
- Le délégué diocésain du Renouveau (et des nouvelles communautés ecclésiales)

♦ Instances nationales
- La Commission épiscopale pour la vie consacrée
- Le Conseil pour les mouvements et associations de laïcs, le Groupe d'accompagnement pour le Renouveau
- La Conférence des Supérieurs Majeurs de France (CSMF)
- La Conférence des Supérieures Majeures (CSM)
- Le Service de Moniales
- Le Service Accueil-Médiation pour la vie religieuse et communautaire (SAM) ne peut, quant à lui, être saisi -par l'intermédiaire du secrétaire général adjoint de la Conférence des évêques de France qui en a la responsabilité- que dans la perspective d'une demande de médiation qui engage une communauté de fondation récente ou ancienne.

3. dans une Eglise chrétienne
S’il s’agit d’une communauté luthérienne, réformée, anglicane ou orthodoxe, et que les dérives sectaires sont avérées ou tout au moins jugées très probables, on pourra :
- soit appeler le responsable de cette communauté et lui faire part de l’appel reçu, à condition bien sûr que cela ne mette pas l’interlocuteur en situation difficile, et à fortiori en danger ;
- soit appeler un responsable de l’Eglise concernée et lui exposer la situation ;
en les invitant l’un ou l’autre à prendre les dispositions qui s’imposent.
S’il s’agit d’une communauté chrétienne évangélique, d’une Eglise libre, qui, par définition, a une importante, voire une totale autonomie, il est nécessaire, une fois encore, de reprendre les différents points d’attentions énumérés en 1. Nombre de communautés évangéliques sont membres d’unions, de fédérations

19
ou d’associations dans la mesure où elles ont une même origine (cf. par exemple les mennonites, les méthodistes, les baptistes, etc.). D’autres sont membres de fédérations ou d’alliances nationales ou locales. Certaines, parmi lesquelles des récentes, n’ont de lien ni avec une instance fédérative, ni avec une autre Eglise. Si des dérives surviennent en leur sein, elles seront peu ou mal armées pour les dépister et les surmonter. On aura donc le souci de vérifier ce point déterminant pour les démarches qui pourront être engagées ultérieurement19.
En ce qui concerne ces communautés évangéliques, on aura également soin de préciser le registre de sectarité dont il est question lorsqu’elles sont mises en cause. La danger exprimé par certains interlocuteurs catholiques est-il d’ordre doctrinal (« ils ne croient pas comme nous »), d’ordre ecclésial (« ils ne sont pas catholiques », ou «ils missionnent sur des terres catholiques ») ou d’ordre légal ? Ce sont là des registres très différents qui se superposent parfois dans les considérations de personnes qui nous appellent. Notre rôle consiste alors aussi à clarifier ce qui relève de chaque domaine. Finalement, concernant les dérives sectaires dénoncées, dans la mesure où elles sont avérées, et en fonction de la situation de la communauté, on se tournera vers l’instance qui est la plus à même d’aider la communauté à y mettre un terme d’une part et de venir en aide à la ou aux personnes concernées d’autre part.

4. dans un groupe non chrétien répertorié ou réputé comme sectaire
Des groupements ont pu vivre des dérives et se sont ensuite réformés. Certains ont connu des dérives occasionnelles. Il en est encore qui ont vécu des dérives mais ces dernières n’ont jamais relevé d’une atteinte à l’intégrité et à la liberté des individus. C’est dire que même si on est appelé ou questionné à propos d’un groupement qui s’est révélé sectaire à un moment donné de son histoire, il convient de s’informer, d’approfondir comme on le ferait pour tout groupement à propos duquel on est interrogé (cf.1).
Ensuite, toujours selon la réalité et la gravité des faits, on pourra :
-soit prendre contact avec le responsable de ce groupement, si cela est possible et ne porte pas préjudice à la personne qui a appelé, et lui faire part du questionnement reçu ;

- soit orienter la personne vers une association d’aide, vers la police ou vers la justice, voire l’aider dans ses démarches auprès de ces instances si la situation l’exige.
6. Les textes de référence
(Eglise universelle, Eglise en France)

- l’Eglise universelle, conférences épiscopales, évêques dans le monde

///////////////////////////////////////////////

Je vous fais grâce du reste.

Nos technocrates mitrés sont intelligents et savent bien écrire...

Mais des écrits aux actes, il y a un abîme...

Et la question essentielle qu'on a envie de poser à Mgr André DUPLEIX est la suivante :

A quel endroit du Nouveau Testament, trouvez-vous un seul mot de Notre Seigneur Jésus-Christ vous permettant de justifier cette chasse aux sectes ? cette nouvelle inquisition ? cette chasse au sorcières ?
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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Sam 15 Jan - 16:54

Une famille Catholique Lâchement Calomniée,
Harcelée Persécutée, par l’administration et par la justice !
Certains Evêques COMPLICES

Andrée Renoncé-Chazaux, Grande Dame Française, a été résistante. Secrétaire au Ministère des Statistiques, elle falsifia et cacha au péril de sa vie les cartes des prisonniers évadés.
Plus jeune en tout, elle fut à 35 ans, directrice de la meilleure Ecole de comptabilité et forma des générations de jeunes filles.
Pour cela elle eut un diplôme d’encouragement au Bien.
Elle fut enfin sténographe au Parlement Européen.
Mais ce qui comptait pour elle n’est pas la louange des hommes, mais le cœur, elle cachait le bien qu’elle faisait. Elle a envoyé des colis dans le monde entier, adopté des orphelins, aidé en Russie, en Algérie, au Liban, vécu à Calcutta comme Mère Térésa. Elle trouvait le moyen de protéger les artistes et de montrer qu’est le goût français. Ouverte à tout ce qui est humain et qui élève : le beau, le noble, le bien, une Reine. Elle ne relevait que ce qui est bien en autrui et toujours encourageait, hébergeait sans distinction.
Elle adopta une Polonaise qui était à la rue : Sophie Gibas. Et toutes deux fondèrent une famille pour tous ceux qui en manquent.
Pour cela Andrée créa aussi l’Association Tournesol. Celle-ci fut primée en 1998 comme petite association humanitaire, non-confessionnelle, la plus performante. L’association Tournesol n’a pas monté un orphelinat. Andrée et Sophie ont créé une famille pour justement tirer des enfants des orphelins et des institutions. Sophie ne fait pas partie de l’Association.
Elle a eu à cœur de tout quitter pour se dévouer, comptant sur la Providence, l’amour et le travail de son équipe, pour offrir ce qu’il y a de plus beau (même si les meubles étaient achetés à Emmaüs ) pour ceux qui ont le plus besoin.
Personne ne parlait de cette famille qui soutenait l’Association Tournesol.

Sophie est ce qu’on appelle « une Grande Âme », écrivain et journaliste pour la défense des enfants assassinés et maltraités, de la nature et des animaux : Eux ne torturent pas, mais sont de plus en plus torturés. La famille fut à la fondation en France de courents et hospices et elle a aidé les Français pendant la guerre.
Avec elle, des gens de valeur dont le meilleur médecin de Paris : Madame Breuilh, fille de résistants. Aimée de ses patients et se dévouant à eux totalement. Psychologue remarquable. Elle a partagé avec elles ce même amour du Bien.

Malheureusement le dénigrement de Sophie est venu d’un Evêque.
On venait trouver Sophie pour être conseillé et guéri de toutes sortes de maux de l’âme, de la psychologie et du corps.

Andrée Renoncé, Sophie et Madame Breuilh ont une caractéristique : elles sont toutes 3 Catholiques et toutes 3 ouvertes. Sophie est Polonaise : dans ce pays 94% des gens vont à la messe, mais personne ne regarde comment se tient le voisin ni comment il est habillé.

La première torture est spirituelle. Elle est la fourberie de faux-frères. Ecclésiastiques et bigots ont commencé leur ostracisme, il y a plus de 10 ans. Pendant la guerre, trop d’ecclésiastiques et de bigots ont livré les victimes aux nazis par leur langue et leur lâcheté. Là c’est pareil.

J’avoue avoir eu de la cruauté, et la paresse et l’audace de trahir ; il m’arrive de retomber. Comme pénitent, j’appelle s’il y a lieu. Mettre les criminels hors d’état de nuire est urgent. Mais le meilleur moyen, pour lequel aussi l’on travaille : l’autocritique de l’opinion et la contrefaçon du repentir ; monstrueuses formes de la torture moderne.

Ensuite, il y a 6 ans, Sophie a été empoisonnée par un mauvais médecin. Pour un kyste, on lui prescrivit de l’ «Agréal ». Mais, au lieu d’un cachet par jour pendant 2 mois, ce furent 5 pendant 6 mois (Veuillez excusez mon imprécision, je dois écrire de mémoire) Il y a dedans un neuroleptique. Il fallut le quitter. Overdose, syndromes parkinsoniens, probablement idiosyncrasie, et troubles du sevrage.
Le sevrage est horrible. L’ensemble a causé insuffisance vertébro-basiliaire, troubles de la circulation de la lymphe et accès de polynévrite. Ces souffrances persistent. Elles sont connues et redoutables entre toutes : dans l’ordre : troubles de l’équilibre ; de l’eau dans tout le corps : on gonfle ; gaine de myéline endommagée : c’est comme la brûlure de milliards de bourdons dans tout le corps. Troubles récepteurs et végétatifs. Sur le sevrage, on lui avait administré des neuroleptiques pour la faire passer pour folle. Car cette mafia a coutume de se soutenir l’un l’autre pour couvrir les « erreurs médicales ». Tout cela a tiré sur le cœur. Depuis le début et fréquemment elle a des crises cardiaques jusqu'à la cyanose.
Mais elle avait résisté, il y a 6 ans, à l’empoisonnement médical. Les spécialistes n’en reviennent pas que son cerveau soit intact.
L’ensemble, forme inédite de torture neurologique et physique.
Mère et fille s’aiment comme je n’ai jamais vu et je ne suis pas digne de témoigner en faveur de telles personnes. Andrée, déjà ulcérée par une première vague de critiques, n’a pas supporté de voir sa Fille dans cet état et cela lui donnait du cancer. L’amour des êtres entre eux décuple l’effet de la torture, torture morale.
*Veuillez excuser mon imprécision, je dois écrire de mémoire.
Bonnes jusqu'à l’héroïsme, à ce moment et dans cet état, elles ont accueilli un homme « Stéphane Dekeyser » avec ses 6 enfants, sa femme et un jeune homme. Il était déjà incriminé, mais ses hôtes l’ignoraient. Elles ont tout fait pour lui pendant les 6 mois où elles l’ont accueilli, et après les gendarmes sont venus le chercher. Faillite frauduleuse, sévices sexuels et cruauté sur animaux, pervers et mythomane il a dit que ses hôtes l’avaient dénoncé ! Qu’en fait, il n’avait pas supporté la tendresse.
Il a été condamné à nouveau pour le même genre de faits. Il a escroqué plusieurs familles, etc. mais il a des complicités et il court toujours.
Il a écrit (grâce à R. Marhic) sur la famille d’Andrée et de Sophie un livre : « Voyage au bout de la secte » Chez Buchet-Chastel Il a dit à témoin : Je sais que tout est faux mais j’ai besoin de fric. C’est un tissu de calomnies utilisant des documents volés et falsifiés.
La principale consiste à faire passer notre famille pour secte. Imaginez des catholiques polonais où cela n’existe pas et des français comme Andrée et ses collaborateurs qui sont loin de tout cela.
- La vérité c’est que, en situation, je suis incapable de bien présenter la chose pour la mettre dans un joli dossier, le plus épais possible comme on les réclame.
En 1988 l’ouvrage calomnieux fait son ravage. En Février 1999 les médias, M6, A2 et la presse écrite, l’amplifient et sèment le mépris et le mensonge sur tout le territoire et à l’étranger.
Andrée est lucide et rédige une circulaire pour ses amis, elle écrit : « c’est un coup monté » (sic). Il y a visiblement dans les émissions destructrices des hommes qui font ostensiblement partie de sociétés secrètes. M.C Verspieren: « La télé viol des consciences » distribué par Téqui cite A. VIVIEN et autres. Celles-ci sont par définition, la ruine de toute légalité et le disent : toute association, selon eux, quelle qu’elle soit, est dangereuse. Resterait la mafia et l’arrière loge. Plus gravement depuis longtemps, leur but affiché est la destruction de la famille.
Mais je ne suis pas là pour faire des généralités. La deuxième forme de torture que nous subissons est la tentative de détruire notre personnalité. Le mot « torture psychologique » est mauvais. Nous subissons une forme inédite de torture dont le vecteur est la rumeur :
- Menaces de mort avec pour cela embauche de barbouzes.
- Médias achetés par un homme qui s’est fait le « parrain » de Mr « de Keyser», Monsieur d’Helly avec de l’argent dont on aimerait savoir la provenance. Depuis 18 ans, il harcèle à mort sa fille et son gendre amis de notre famille.
Les émissions ont surtout servi à camoufler 19 heures de tournage extorqué donc sans autorisation et jamais rendues. Mme Tarnowska et A.Molia. Le reste est truqué de bout en bout : Paroles mises sur les lèvres, découpage aux ciseaux. Des paroles pour en subvertir le sens en en changeant les prémisses, etc. Les journalistes s’étaient infiltrés par moyens déloyaux.
Andrée, sur le conseil du Procureur, avait tenté de recourir à la justice.
Alors s’infiltrent dans la maison, par des moyens aussi déloyaux que les médias, des jeunes gens, M. Clavaud, A.D.M.S, déguisés en association ; Par leur bouche nous savons qu’ils font parti d’un comité occulte. Ils portent plainte contre celle qu’ils ne sont pas dignes de juger (Andrée).
Ensuite, fin Mai 1999 arrive un cinéma bien cruel. Une vingtaine de gendarmes investissent la propriété. Ils s’acharnent pendant toute la journée sur une mamie de près de 90 ans. Ils humilient 3 personnes par « lavage de cerveau » et autres procédés coutumiers, dans un « gnouf » et des bureaux d’inquisition.
Les documents sont cambriolés sans procédure normale. Et ces documents vont être lus par les petits copains du juge indigne de Bourges qui s’est engagé avec le parquet dans ce complot barbare. Il se fait remarquer dans cette dérive totalitaire. Que ne ferait - on pas pour de l’avancement ? Il fait s’éparpiller les documents volés. Ceux-ci systématiquement utilisés pour un préjugé issu de l’ouvrage calomnieux. Des fonctionnaires et des magistrats ont été achetés. Suite à ce coup, d’autres personnes ont été inquiétées de la même manière en France et à l’étranger.
Fin mai 1999 c’est un simulacre de procédure pénale. Ses prétextes et ses buts sont nombreux. D’abord s’emparer d’une enfance adoptée par Sophie, Monika, en profitant de son absence et sous de faux prétextes. Ceux qui s’en occupaient de force ont fait pression sur elle pour lui faire écrire ou dire du mal de sa famille.
Pourquoi s’emparer de Monika ? La dass (même le nom à changé) et les établissements du Cher sont connus pour être le principal « archipel » français : commerce juteux et moyen de perversion.
Elle a aussi subi une tentative de viol (la tentative vaut l’acte en droit pénal) dans la « famille d’accueil ». Monika est hémiplégique.
Les autres prétextes à la « descente » d’individus armés d’escroqueries ; Andrée ne pense qu’aux autres, jamais à elle ni à repeindre ou restaurer son modeste appartement. Sophie a toujours refusé les remerciements en argent ou en nature. Elle donne sa chemise au premier venu.
- faux papiers : Il va de soi que beaucoup d’étranger sont reçus en France sous identité inexacte. Ce n’est pas un crime. S’ils viennent en France c’est pour être protégés. Si l’âge de Sophie est flou, il y a une raison légitime.
- et substitution d’enfant. En novembre 1998 Sophie a réussi à sauver un enfant d’assassinat par avortement. Il est de son sang et la mère a vécu chez elle 20 ans. Sophie est allée jusqu’au bout. Dans un premier temps, elle lui a donné son nom pour le sauver. Ceux qui lui reprochent d’avoir fait cela sont pour l’assassinat des enfants à naître.
Revenons en arrière :
Trois membres de la famille ont été menacés de mort avec embauche de barbouzes qui rôdent autour de la maison. Ils ont la bénédiction des forces de l’ordre et l’aide de certains de leurs membres ; Celles-ci pantouflent sauf pour mettre sur écoute pesamment et depuis longtemps notre famille et nos amis. Viol de la vie privée, graves lésions de la tranquillité nécessaire à la famille, surtout quand on sait qu’il s’agit de tout faire pour rattraper des orphelins. Le « rapt » de Monika n’en est que plus monstrueux. On viole notre vie privée et on nous met à découvert en lien avec les criminels. Dans ce climat d’insécurité le départ de Sophie était prévu depuis longtemps pour une cure.
Mais elle a dû protéger les siens en les éloignants de France ; Les Autorités Françaises ne lui assurant pas la sécurité pour protéger ses enfants et sa maman. La famille s’est trouvé coupée en deux. Monika avait été confiée à des cousins. Le Docteur dit que le cancer d’Andrée a flambé à cause de tout cela. Les poumons déjà brûlés par les rayons avalent la poussière de l’appartement où elle se cachait à Paris, la pneumonie en Pologne s’est déclenchée.
Vers la fin, elle est tombée est devenue épileptique, avec le visage tuméfié. Elle est morte en exil le 27 août 1999.
Le père de Sophie, célèbre résistant Polonais aux Nazis dans l’A.K., et aux communistes avait été hospitalisé deux ans avant pour du diabète en France. On l’a tué à l’aldil. Ces deux deuils consécutifs ont été décapité la famille, l’ont plongée dans le chagrin et le désarroi, l’ont déstabilisée et désorganisée.
Las articles dans les journaux et la télé ont continué avec des mensonges.
Les autorités Françaises non seulement ne lèvent pas le petit doigt mais espionnent et aident les criminels.Depuis le livre, toutes les administrations se mettent à nous harceler, alors que pendant 10 ans elle étaient plutôt inexistantes : le Conseil Général les allocations familiales, l’Education Nationale, etc. Les rescrits sortent ou jour nommé pour nous empêcher d’élever les enfants ou pour nous détruire. J’en ai long à dire là-dessus, il faudrait un bureau pour l’exposer. Les responsables de l’ordre public, parmi eux les Préfets, s’illustrent par le silence et leur passivité à le rétablir.
En juillet 1999 Madame le docteur Breuilh, psychologue hors pair est mise sous tutelle par le coup monté avec l’aide de deux enfants P. et M. M. dont les mobiles sont immondes. Pour l’empêcher de faire le bien et s’approprier ce qu’elle a gagné en sauvant des vies ?
Heureusement Monika a réussi à s’enfuir et à rejoindre sa Maman en Pologne à Noël grâce l’aide d’un ambassadeur qui s’est ému.
Les jeunes sont traumatisés. Il avaient connu du bonheur et maintenant les spécialistes détectent les troubles dûs à la persécution contre notre famille. Le pire : torture spirituelle. Quand ils voient la lâcheté de ceux qui devraient empêcher les criminels de recommencer, quand ils voient que le banditisme pavoise et se fait donner du « Monsieur le Colonel, Monsieur le Juge, Monsieur le Préfet », ils risquent de devenir des bandits eux aussi.
Mais ce n’est pas tout. Qui pense aux orphelins et aux vieillards ? Ils espéraient être bientôt hébergés par l’œuvre de bien d’Andrée. Ils pleurent avec leur valise près d’eux en attendant.
Une foule ne seront pas conseillés ni guéris. Crimes aussi des colis ouvriers ou médicaux qui n’arriveront pas parce que les donateurs potentiels auront été prévenus contre par calomnie.
Et pendant que les médias accusent, Sophie de fuir, elle continue à espérer que cette France qu’elle aime tant n’est pas totalitaire et barbare.
En Juin 2000, sur simple coup de téléphone d’un colonel de Gendarmerie, mais qui prouve alors qu’il est colonel ? elle vient se montrer à la gendarmerie et au tribunal de Bourges. Et là il s’est passé quelque chose que j’ignore pour une part mais dont je vois les effets comme proche témoin. Sophie se réveille toutes les nuits avec spasme par le chagrin du manque de sa Maman. La mort de sa maman la tue. Si ce n’était pas le bébé, elle l’aurait suivie. Mais depuis qu’elle est revenue de Bourges, je ne sais pas exactement ce qu’ils lui ont fait, mais elle est atteinte physiquement. Elle avait résisté, il y 6 ans, à l’empoisonnement médical. Les spécialistes n’en reviennent pas que son cerveau soit intact. Cette fois ci elle a le courage de combattre contre le mal, elle n’est pas suicidaire comme des tortures célèbres mais il y a eu quelque chose de monstrueux, de mortellement monstrueux.
Bien sûr, ce fut un simulacre de procédure. Elle a été convoqué sans signification et elle n’a pu être assistée de son avocat. L’enquête du gouvernement viole notre vie privée et aide les criminels par de fausses promesses.
Et au retour la voilà « assignée à résidence » à pointer tous les quinze jours : ce qu’on ne demande pas aux criminels. L’expression est trompeuse ; Ce qui était domicile et résidence devient. Obligée par une soi-disant justice à être une belle cible pour ceux qui la menacent.

On cherche par tout moyen à étayer la fausse accusation d’escroquerie du simulacre de procédure de l’an passé. Par contre la régularisation de l’identité du bébé est en cours, les parents acceptent de le reconnaître maintenant qu’il est né !
Ce n’est pas tout : En Juillet 2000 Sophie reçoit une convocation à se montrer à un psychiatre. Rappelons nous ce qu’il est advenu du docteur Breuilh, et que R. Marhic nous met tous fous.
Nous estimons que le but du complot est de s ‘approprier la maison, un beau domaine de 4 hectares, d’où les accusations d’escroquerie, inspecteur Sommier. Andrée estimait que rien n’est trop beau pour les pauvres et les malheureux ! et de faire enfermer tout le monde. Rappelons nous ce qu’il est advenu de Monika.
Mais je crains que à l’heure où j’écris, sur prétexte d’un contrôle fiscal, des policiers ou gendarmes indignes n’essaient de capturer tout le monde et de piller.

La torture à laquelle vous pensez, on nous l’a promise lors de la « descente » de la fin Mai 1999 : « Tu parleras. Tu finiras par parler » dit le Colonel de Gendarmerie. La vie privée d’une famille honnête ne regarde personne. Et nous avons subi les interrogatoires, lavages de cerveau de ceux qui sont endurcis à le pratiquer. Mais la vraie tortue a plus d’ampleur et elle comprend celle-là :
. Les SS reculaient devant une médaille ou une image pieuse au moment des exécutions. Ceux-là continuent froidement leur besogne.
. A Dora les kapo détruisaient lentement les personnes pour que cela se voit moins « les camps de la mort lente ». Ils étaient des anges à côté de ceux-ci : il suffit d’étaler la chose sur plus de temps pour dire que cela n’existe pas. Et la souffrance est augmentée à proportion de la personnalité des victimes, car il y a des héros parmi nous, de la durée et de la bonté des personnes.
Pardonnez-moi de citer Jésus et sa mère, sa bonté vis-à-vis de Judas a augmenté l’angoisse de la traque et sa souffrance ; Ses tentatives en direction de ses ennemis l’ont fait souffrir et mis à découvert ; l’amour qui régnait dans sa famille et ses amis faisait souffrir chacun quand les autres étaient menacés. C’est le chantage pratiqué aujourd’hui sur Sophie et ses enfants et ses amis : Si je ne peux t’avoir, je tuerai tes amis etc. Jeanne d’arc aujourd’hui serait brûlée à petit feu, c’est ce que vit Sophie et à quoi nous participons. On cherché la petite sur tout sujet systématiquement et, pour cela, on invente ce qui n’est pas. À peine un mauvais coup a frappé, un autre commence. Je rappelle que toutes, les administrations y participent soit par leur harcèlement, soit par leur passivité à rétablir l’ordre. Qu’il y a une dimension législative et réglementaire de la torture subie par notre famille impossible à traiter hors bureau ; prescrits lois d’exception, couronnant une politique de destruction du peuple sous couvert de « nouvelles lois ». Cette dimension nous l’avons observée décrite et nous la faisons connaître. Si je cite les noms pour sortir du « on » et comme point de départ d’enquête, sans préciser suffisamment leurs actions, de quelques personnes qui s’illustrent contre notre famille, personnes déjà citées nommément ou implicitement par la presse, il va de soi que les responsables sont beaucoup plus étendus en nombre, en fonctions et en temps.
En conclusion, peut-on parler de crime contre l’humanité ?
Oui
Il y a difficilement crime quand on croit bien faire si quelqu’un se « repentait » sincèrement d’avoir fait partie d’une réputée association de malfaiteurs par exemple. Il y a crime si l’on veut bien admettre la liste quand on le commet en le sachant. Il y a crime contre l’humanité quand c’est systématique et le croyant ajoute ; quand il s’agit des crimes « qui atteignent le Ciel ». C’est le cas ici.
Et crime contre l’humanité de 1er ordre.
Car il s’agit de détruire une famille modèle et des personnalités hors pair. Pourquoi ?
Parce que la tortue « psychiatrique » et par tous moyens bien connus est devenue pratique ambiante pour détruire tout le peuple :
On tue les vieux et les enfants, on pourrit les survivants : il est même arrivé à l’Unesco d’en publier l’apologie.
On marginalise, on violentise, on dé-culturise.
- Et le tout sous couvert d’autorité : on appelle « loi » le rescrit.
- La cruauté et la fourberie, avec des moyens matériels et des procédés inédits dont les maladies de notre temps sont la conséquence et le reflet.
- Je ne suis pas là pour vous faire un cours. Il y en aurait besoin à cause de la paresse à explorer les crimes collectifs actuels.
Donc c’est un crime contre l’humanité parce qu’on empêche les témoins du crime contre toute l’humanité et contre toute l’humanité en les détruisant.
C’est aussi un crime sur un petit nombre de personnes contre leur humanité pour préparer et faciliter de nouvelles formes de crimes encore plus raffinés et cruels, si c’est possible avant que tout saute.
Crime charnière en une période charnière.
Attention ! La même chose peut se déchaîner sur n’importe quelle famille. Nous avons trop laissé faire. Criminel qui laisse faire.
Voilà pourquoi j’appelle au secours ; pour toutes les familles.
Mais la notion de crime contre l’humanité n’est pas la seule à invoquer.
Ce n’est pas mon cri d’appeler au secours pour nos personnes pour les personnes, qui m’ont accueilli dans la dignité, qui m’ont offert la véritable hospitalité : André, sa fille et leur famille et amis, c’est : le ciel en premier est « persécuté », la religion est persécutée, pour que saute le verrou ouvrant la porte à toute torture.
Mon cri c’est ; la Patrie en second est persécutée et l’Union des Patries qu’Andrée et Sophie illustrent, car elle et le bras pour empêcher la torture de se pratiquer.
J’ai déjà appelé des militants contre la torture que je connaissais dont un membre connu d’O.N.G. Il n’y a pas de Cour Internationale où un groupe de personnes derrière ses avocats puisse demander que soient jugés et empêchés de nuire les tortureurs collectifs. Il faut qu’un état fasse la demande m’a t-on dit. Sophie Gibas étant Polonaise et le mal commis sur nous se traînant sur plusieurs pays, la Cour Européenne est insuffisante et inadaptée. Il y a tout de même une Convention qu’émane de votre Organisation.
Mais il y a que vos personnes pour entendre mon cri, celui de ma famille. C’est à vous qu’il est adressé. Pour une réponse d’actes immédiats, pour engager une démarche et pour que les institutions nécessaires se construisent au plus tôt.

Ceux qui m’ont aidé a titre personnel ou dans leurs fonctions à établir et à faire parvenir cette lettre je les remercie vivement. Une vidéo cassette a été réalisé sur la vie à la Sauldre et la mort d’Andrée. Un film est en cours. Des personnalités du monde entier s’émeuvent. Des inconnus et des amis se solidarisent et le font savoir, des plaintes sont déposées et soutenues malgré la partialité des Tribunaux, des hommes de loi s’affairent. Déjà pour certains tortionnaires le compte à rebours de la Justice Immanente est commencé. Que cela vous encourage. Mais ma lettre presque illisible et trop de notations décalées par rapport aux événements. La seconde version, non relue, apporte des corrections grossières et des précisions insuffisantes. Je n’avais pu jusqu'à ce jour incorporer un texte sans mise au point. C’est chose faite, mais il si tard.
Au total un rapport impossible : Si j’en avais plus, si les coupables n’étaient connus, si j’en avis les moyens de faire un rapport, je mettrais les victimes au danger de représailles. Yeux crevés, langue coupée, la torture c’est cela. Je pense au Cardinal Pacelli pendant la guerre de 40. Que son exemple nourrisse votre discernement.
Veuillez joindre la présente au dossier et en donner connaissance à qui de droit.

Témoignage d’une victime,
ami de la famille à un ami membre d’une ONG


Et ce totalitarisme abject se poursuit encore aujourd’hui, après dix années de persécution, en n’accordant pas même le droit à cette famille de toucher un RMI ou un RSA.


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Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique. Empty Re: Mme Andrée Renoncé-Chazaux, une Femme de France victime du totalitarisme franc-maçon, et décédée en exil en terre Polonaise, le vendredi 27 Août 1999 à 15h, en la fête de Sainte Monique.

Message par Her Sam 15 Jan - 16:54

Intervention de Christian Cotten à l’OSCE, Varsovie, octobre 2006

Allocution prononcée le 10 octobre 2006 à Varsovie, lors du meeting annuel de l’OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe) consacré aux Droits de l’Homme, devant les représentants officiels des 56 États membres, dont la France.
Voir : http://www.osce.org/documents/odihr/2006/10/21371_fr.pdf
Publié le 1er novembre 2006


Bonjour,

Je suis Christian Cotten, psychosociologue français, président de l'association Politique de Vie. Je représente plusieurs milliers de mes concitoyens persécutés depuis des années au motif d'appartenance sectaire, lorsque ceux-ci participent d’une minorité spirituelle ou religion non officielle.

Une politique déterminée et agressive est menée depuis vingt ans par certains acteurs de l'État français, trop souvent en totale contradiction avec les discours tenus sur les scènes internationales.

Cette politique, soutenue par des budgets conséquents et mise en oeuvre au plus haut niveau, se traduit par une véritable chasse aux sorcières contre toutes les personnes qui recherchent vérités et sagesses en dehors des chemins autorisés de quelques religions d'État et qui sont qualifiés d'adeptes de sectes, au motif que celles-ci seraient dangereuses pour la société, alors qu'elle y apportent souvent créativité et beautés multiples.

L'ouverture tonitruante de cette chasse aux adeptes de sectes s'est faite en 94 puis 95 avec les massacres de l'Ordre du Temple Solaire en Suisse, France et Canada, qui ont fait près de 80 morts. Ces massacres, dans un contexte obscur qui mêle financiers, trafiquants d’armes, militaires, politiques, policiers et magistrats pour un véritable crime d'État mafieux, ont servi de prétexte à des politiques de discrimination de centaines de milliers de citoyens, au motif qu'ils sont Bouddhistes, Témoins de Jéhovah, Hindouistes, Scientologues, médecins et guérisseurs alternatifs ou encore Raëliens, Catholiques trop charismatiques ou écologistes végétariens.

Dans une incohérence radicale avec plusieurs siècles de culture française, au pays créateur des discours Droits de l'Homme, nous assistons, impuissants, à des agressions multiples – descentes de police ou de gendarmerie chez des chercheurs de renommée internationale, licenciements abusifs, spoliations diverses, enlèvements d'enfants, suicides provoqués par les persécutions de l'État ou d'associations intégristes, familles détruites... Des communautés familiales sont montrées du doigt, stigmatisées, diffamées, au motif qu'elles pratiquent l'agriculture bio nourrie d'ondes de forme et de spiritualités exploratoires ou qu'elles développent des pédagogies innovantes.

Paradoxalement, dans le pays promoteur de la tolérance laïque de toutes les philosophies, sagesses et spiritualités, la notion de laïcité sert désormais de justification à une confiscation des institutions de la République par les membres d’associations souvent occultes promouvant telle ou telle philosophie ou spiritualité particulière. Cette chasse aux sectes spécifique à la France, est in fine une guerre de sectes qui fait quantité de victimes innocentes de violences institutionnelles et sert, dans le même temps, à cacher crimes d'État et dossiers de corruption internationale.

J’ai été moi-même victime directe de ces violences d'État, comme chef d'entreprise : ma société de conseil et formation a été citée dans le rapport parlementaire Les Sectes et l’Argent de juin 99 comme prétendue « filiale de secte » et ce, sans aucun fondement ni factuel ni juridique. Cette citation infamante dans un rapport officiel a entraîné la destruction d’une entreprise renommée et prospère ainsi que l’éclatement de ma propre famille, lourdement touchée par ces violences.

Depuis 99, je n’ai jamais pu accéder à un quelconque recours, ni politique, ni administratif ni judiciaire. A aucun moment, malgré de multiples démarches, je n’ai pu obtenir un jugement équitable d’un quelconque tribunal et encore moins réparation des préjudices moraux et financiers subis.

La Halde – Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations, créée l’an dernier par l’État français et présidée par M. Louis Schweitzer doit être citée comme un parfait exemple de l’hypocrisie et des mensonges de l’État français dans ces affaires de discriminations : sollicitée pour assurer ma défense dans ce dossier, la Halde n’a pas hésité à violer les textes qui la fonde, tout en mentant effrontément pour ne pas remettre en cause les acteurs politiques les plus violents de la chasse aux sectes en France. À ce jour, comme tant de mes concitoyens placés dans le même type de situation, je n’ai strictement aucun recours pour obtenir justice de ces violences.

Dans un autre cas, Mme Sophie Gibas, fervente catholique polonaise installée en France qu'elle croyait terre d'asile a été pendant plusieurs années ignominieusement persécutée pour cause de ferveur religieuse et d'altruisme trop visibles : diffamation, gardes à vue violentes, procès infondés et inéquitables, spoliations de biens par des réseaux obscurs de chasseurs de sectes.

Je pose donc aujourd'hui ces trois questions à l'OSCE.

Quand l’OSCE compte-elle intervenir auprès de l'État français afin que celui-ci se mette en conformité avec ses engagements internationaux en matière de respect des minorités spirituelles et de la liberté de conscience ?
Quand l’OSCE compte-elle intervenir auprès de l'État français afin que celui-ci cesse ses persécutions et ses agressions à l'égard des membres de ces minorités et indemnise justement toutes les victimes de la chasse aux sectes initiée en 1985 par le rapport parlementaire Vivien ?
Quand l’OSCE compte-elle intervenir auprès de l'État français afin que celui-ci démontre de façon concrète et observable sa compétence à remplacer les violences institutionnelles paranoïaques par un véritable respect des libertés fondamentales de conscience, d’association et d’entreprise et abandonner ainsi l'amour du Pouvoir au profit du pouvoir de l'Amour ?
Merci de votre attention.

Christian Cotten
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Message par Her Sam 15 Jan - 16:55

À l’attention de Monsieur Lionel Jospin Premier Ministre de la République Française.

Monsieur le Premier Ministre,

Je voudrais exprimer ici ma vive préoccupation concernant le cas de Madame Andrée
Renoncé-Chazaux, Sophie Gibas, leur famille et amis, l’Association caritative de droit alsacien-lorrain Tournesol ; cette famille catholique est persécutée par : un escroc mythomane, son complice pervers qui a fabriqué la rumeur et payé les comparses, les journalistes, Monsieur Vivien (MILS), la justice et les administrations. Andrée Renoncé-Chazaux en est morte. Sophie, torturée en juin 2000, toujours assignée à résidence sans motif, est privée de droits et d’allocations familiales. Sarah, enfant adoptée hémiplégique, violée suite à un placement illégal. Le Docteur Catherine Breuilh, mise sous tutelle, privée de sa retraite. Monsieur Dominique Robert, assigné à résidence, faussement accusé d’escroquerie. L’Association Tournesol, tracassée, empêchée de poursuivre son aide aux orphelinats Polonais. Je vous demande instamment de mener une véritable enquête sur leur cas, d’obtenir la prise en compte des plaintes, que cessent désordres, rétorsions, perquisitions sauvages, et que soient privilégiés Vérité, Droit et Justice, notamment à l’égard des familles chrétiennes.

Monsieur Lionel Jospin
Premier ministre
Hôtel Matignon
57, rue de Varenne
75007 Paris


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